Nom/Prenom/Surnom : Noelie
Âge : 32 ans
Sexe : Femelle
Race : Terranide
Orientation sexuelle : Pansexuel
Description physique :
Plus jeune, Noelie était morte de trouille. Comment se fait-ce que mes fesses ne s’arrondissent pas ? C’est insensé, j’avais pour dessein que mes seins soient encensés ! Je suis découragée, mes courbes n’encouragent pas à être courtisées… Et c’est vrai que pendant un temps, la jeune terranide resta plate. Heureusement, ce ne fut qu’un temps, car ses formes d’abord timorées, furent tantôt tentatrices. Comme dirait l’autre, y’avait pas besoin d’être aussi tendue qu’un string ! La puberté fait parfois bien les choses.
La puberté oui, mais le temps pas toujours. Ainsi sa main droite restera t-elle marquée à vie par la morsure des flammes tandis que son petit doigt se fera absent à jamais. C’est ce qui arrive lorsque l’on joue à la guerre. Ces imperfections, Noelie les assume tout à fait, même si leur seule vie la met mal à l’aise. Encore heureux que la puberté se décida peut après à lui offrir un lot de compensation. Seins trop petits se gonflèrent pour offrir une paire capable de remplir n’importe quelle mimine. Sa croupe s’embellit pour affoler même le plus timoré et le plus chaste des émasculés. L’ensemble de son corps n’en n’est devenu que plus ferme et souple, sa bouche pulpeuse. Ses cheveux brillent du feu qui brûle en elle, un feu à la fois moite et ardent, capable de consumer le plus implacable des troncs.
Pour ce qui est du reste, Noelie est une terranide tout ce qu’il y a de plus banale, une queue se balançant dans son dos et des oreilles s’agitant sur sa tête. A ceci près qu’elle est presque imberbe sur l’ensemble de sa peau qui, le temps passant, s’est assombrit d’un bleu océanique.
Caractère :
Maman déchue
Cela ne se voit peut-être pas et se ressent encore moins, mais Noelie a été maman. Du moins le temps de quelques jours. Depuis son petit-être disparu et éloigné d’elle, la jeune femme a développé un instinct maternel un chouya maladif. Plus précisément, la terranide aura tendance à devenir un peu trop collante lorsqu’elle aura la sensation de reconnaître son enfant chez quelqu’un qui pourrait éventuellement avoir le même âge que lui à ce moment-là. Cette névrose obsessionnelle, comme l’aurait dit un bon psychiatre de Nexus, les lunettes écrasées sur le nez, peut se caractériser par plusieurs paliers.
En premier lieu, ça peut faire « chboum la dedans » lorsqu’elle croise un jeune homme qui a éventuellement le même âge que son enfant. Un déclic qui ne dure qu’un instant, n’entraînant qu’une déprime passagère. Mais cela peut éventuellement devenir plus compliqué si la personne en question partage un physique commun avec le bébé disparu. Auquel cas, Noelie aura la mauvaise manie d’en apprendre un peu plus sur ladite personne, se mettra à la suivre, voir à l’aborder.
Et plus cette fausse-vérité s’enracinera au cœur de son esprit maladif et moins elle arrivera à s’en détacher, ne vivant plus que pour une chose : renouer avec son tout petit. Ce harcèlement peut alors durer pendant des mois. Parfois, cela se finit bien… la jeune terranide finit par se convaincre de son erreur et se détache de sa victime pour se donner un tout nouvel objectif, entre autre celui de mettre fin à ses jours. Mais parfois, cela se finit mal… Alors la vengeance de la mère déchue, qui veut punir l’importun de s’être « joué » d’elle, est aussi pénible que sanglante. On finit toujours par retrouver le corps, le visage tant défiguré qu’il en devient impossible à reconnaître. Une manière pour Noelie d’interdire ceux qui ne veulent être son enfant de ressembler à son enfant.
Envies de vivre
Lorsqu’elle ne déprime pas ou ne pense pas à mettre fin à ses jours, la terranide ne songe qu’à des histoires appartenant aux vivants. Rêveuse et amatrice de légendes et de contes de fées, Elonie rêve d’assister un jour à un de ces bals masqués, de se mêler aux nobles et à une populace habituée aux beaux apparats, aux repas de luxe, à la musique enchanteresse et aux danses endiablées. Du moins est-ce là la vision idéologique qu’elle se fait d’un monde qui n’est en rien le sien mais où elle y déambule dans ses rêveries, dansant à en perdre la tête et couchant à tout va.
Car, sans détours, Noelie est la définition même de la « salope notoire ». Amatrice de sexe sous toutes ses formes, on pourrait presque dire qu’elle suit un régime très stricte à base de semence tant le goût du sperme sur sa langue éveille son appétit. Si son caractère est d’un naturel doux, calme et maternel, celui-ci change du tout au tout une fois la machine lancée. Alors peut-elle se révéler franchement dévergondée voir même crue. Entre autre, sans doute des restes dus à sa jeunesse, la terranide est adepte du « plus c’est gros, mieux c’est » avec une vénération pour la dilation dont elle considère qu’il n’existe pas plus noble et plus merveilleuse pratique, même si lui arrive encore de s’étonner de tout ce qui est capable de s’insinuer par la « petite porte »…
Même si sa situation financière le lui interdit, Noelie est une femme coquette aux goûts raffinés. En effet, la terranide aime les beaux vêtements, autant ceux qui collent au corps que les plus amples et les plus larges. Elle aime s’imaginer grande dame dans des robes extravagantes aux milles couleurs, bien qu’elle doive se contenter de ce que ses gagne-pains lui permettent de s’offrir pour ne pas finir en guenilles. Car s’il y a bien quelque chose que la jeune femme ne supporte pas, c’est de montrer ses faiblesses, d’être ridicule et encore moins de se faire ridiculiser. Qu’elle souffre physiquement, intérieurement, qu’elle soit morte de faim ou que la misère frappe à sa porte, elle fera toujours en sorte de bien paraître et montrera le moins possible de signes de faiblesse.
Quelques détails
Noelie est franchement rancunière. En général, cela ne se voit pas sur l’instant, la jeune femme affichant librement des petits sourires et des mots gentils. Mais une fois quelqu’un pris en grippe, il lui est très difficile de faire marche arrière. Si la rancune est suffisamment forte, la terranide peut-être poussée par la vengeance. Elle fera alors preuve d’une violence purement sadique, témoin d’une grande frustration et manière de calmer à la fois sa colère et sa peine. Cela n’en fait pas une manipulatrice pour autant, Noelie ne débordant pas par son intelligence. Elle peut néanmoins faire preuve d’une rare originalité dans laquelle elle n’éprouvera aucun plaisir, seulement l’envie de faire mal, encore une fois, par frustration. Ces moments de bas instincts lui profitent également pour faire une offrande au Veilleur.
Plus qu’un Dieu ou un prophète, le veilleur est une entité omniprésente que les fidèles l’adorant pensent voir en rêve. Il ne serait ni bon ni mauvais, seulement observateur et commentateur de ce monde. Après l’un de ses rares moments de violence, et si elle a commit un massacre, Noelie se repend à sa façon en payant le Veilleur. Ainsi glisse t-elle une grande partie de ses économies dans la bouche de sa victime avant de graver la marque de l’entité sur le front de l’infortuné : un œil rond surmonté d’une croix. Par ce rituel issu d’une lointaine superstition, la terranide espère de tout cœur que cet argent profitera à son enfant qu’elle continue de chercher.
Histoire :
La tribu des Skiliskilis
On ne sait pas trop comment c’est arrivé. Est-ce que de nouveaux croisements de terranides se sont fait la malle loin de Tekhos pour se réfugier sur les terres de glace et former des tribus ? Car c’était-là une grande mode dans la cité : multiplier les races de terranides pour coloriser un peu le monde. Ou alors les scientifiques n’avaient strictement rien à foutre de leurs journées. Toujours est-il que l’on vit de nouveaux foyers de terranides primitifs fleurir ça et là sur les terres gelées du royaume terranide. Ils étaient ainsi revenus à un état presque sauvage, eux qui pourtant provenaient de la grande ville. Intéressés par le côté sociologique de la chose, des chercheurs entrèrent en contact avec ces tribus dans le but de voir s’il était possible de les réapprivoiser et de les rééduquer.
L’une de ces tribus s’était autoproclamée celle des skiliskilis. Un nom coquet qui faisait directement référence aux petits cris que font les musaraignes polaires, fort courantes dans le coin, lorsqu’on leur marche dessus ou qu’on les lance en l’air. C’était là une de leurs activités préférées. En voyant cela, il était évident pour nos chers chercheurs chevelus et chevronnés que le chemin de la civilisation était à portée pour ces êtres sauvages et dénués de tout sens logique. Jeune et petite, Noelie faisait alors partie des skiliskilis. Ce fut sa première rencontre avec des hommes de la ville, une rencontre qui finit par la précipiter très loin de chez elle, sans le moindre regret.
Comme tout homme de Terra qui veut instruire des tribus barbares, le premier objectif de ces chercheurs était donc de leur montrer les merveilles de la civilisation. Le contact établi, quelques familles acceptèrent de se séparer un temps de leur progéniture pour que ceux-ci découvrir la splendeur de Tekhos et des miracles qu’il pouvait offrir. C’est lors de ce voyage à travers les terres terranides que Noelie, qui faisait partie de la petite troupe, appris le B.A.BA de la langue commune. Plus que cela, ce fut également lors de ce périple que l’un de ses accompagnateurs lui fit vent du Veilleur, une entité soi-disant omniprésente, le grand œil qui observe le monde et qui ne penche ni vers le bien ni vers le mal. Selon ses dires, le veilleur ne prenait jamais parti, se contentant d’apparaître en rêves aux simples mortels susceptibles de l’intéresser pour mieux les observer. La petite terranide pu ainsi apprendre à reconnaître le signe de cette étrange entité : un œil rond surmonté d’une croix. Le lendemain de cette leçon, le pauvre bougre fut abattu pour avoir voulu répandre une religion néfaste et mauvaise. Manifestement, le Veilleur n’était connu que par peu de vivants que l’on maudissait ensuite de leur gisant.
Les temps Modernes
Quand on quitte les terres sauvages et glacées pour des maisons, des rues et des hommes et femmes habillés de toutes les couleurs, forcement ça fait un choc. C’était loin d’être la première fois que les gens de la ville voyaient des terranides. Souvent esclavagisés, leurs cousins déambulaient dans la cité, souvent vêtus de colliers, toujours accompagnés de leur maître ou maîtresse. La plupart des invités en furent effrayés, effarés de constater de quelle manière les terranides étaient traités. Mais Noelie, submergée par les hauts bâtiments, les tours et les costumes, la vérité sur la civilisation se trouvait sous ses yeux, son regard porté vers les étoiles.
Revenue chez les skiliskilis la tête emplie de rêveries, Noelie fut chargée de convaincre les siens des bienfaits de la civilisation. Mais les « peaux pâles », comme ils s’amusaient à les appeler, n’inspiraient que haine et dégoût. Noelie, habillée pour l’occasion comme une petite fille de Tekhos, fut elle-même accusée d’être devenue l’une de ces envahisseurs, réincarnée en une terranide pour mieux amadouer les skiliskilis. Grand bien lui fit, la jeunette s’installa à Tekhos sous la responsabilité d’un couple aisé qui en fit une domestique tout en achevant son éducation.
Cette situation perdura quelques années au cours desquelles la jeune fille tomba enceinte. C’est généralement ce qui arrive lorsque l’on copule joyeusement et de façon régulière avec le maître de maison. Le chef de famille n’en n’était pas à son coup d’essai avec les servantes terranides. Mais ce qui aurait du être un énième viol devint un cours d’apprentissage sexuel, la jeunette étant si reconnaissante d’appartenir à la civilisation qu’elle en écarta les cuisses avec un grand sourire. Et ce qui aurait du être un cadeau au maître du domicile se métamorphosa en dépendance, Noelie devenue tout simplement accro à la verge frétillante du vieil homme et à son lait bouillonnant et limpide. Son ventre s’arrondissant au fil du temps, ce fut une occasion de découvrir une autre joyeuseté, à savoir la sodomie dont la terranide en fit son plaisir gourmand. Mais la maîtresse de la maisonnée n’ayant guère accepté cette nouvelle tromperie de la part de son mari, l’enfant né fut confisqué quelques jours plus tard pour être revendu à un marchand d’esclave qui s’en délesta lui-même très vite. Cet événement plongea Noelie dans une profonde dépression, oubliant le ménage et le sexe et devenant doucement négligente.
Cette peine, la terranide pu la noyer trois ans plus tard. Alors reconvertie au nettoyage des latrines après que sa brave et bonne famille l’eut chassée pour ses loyaux services, la jeune femme eut vent des nouvelles de sa tribu. Les Skiliskilis s’étaient unis à bien d’autres copains pour former une horde qui s’en prenait alors à tout non terranide leur passant sous la main. Toujours est-il que Noelie, sans savoir pourquoi, les jugea coupables de ses malheurs. Engagée de son plein grès, elle assista quelques troupes uniquement composée de terranides pour écraser cette pseudo rébellion. Pour les autres, il n’y avait rien de plus amusant que de voir des terranides se foutre sur la poire sans avoir aucune raison de le faire. Toujours est-il que, même si Noelie ne contribua qu’à peine aux escarmouches, car ne sachant pas se servir de ses armes, elle n’entendit plus jamais parler de musaraigne polaire.
Egarement
La guerre, même s’il ne s’agissait plus d’une éradication que d’une guerre, n’était pas faite pour elle. Noelie y laissa la douceur de la peau de sa main droite ainsi que son petit doigt. Mais plus que cela, son esprit était ravagé par la perte de son tout petit. C’est dans ces circonstances que la terranide renoua avec le Veilleur. Cette entité qui voyait et entendait tout devait savoir où se trouvait son enfant. Ainsi lui priait-elle chaque jour de veiller sur son tout petit, inscrivant en cachette sa marque sur le sol et les murs des maisons. Parfois lui confiait-elle l’ensemble de ses économies qu’elle gagnait par le biais de travaux divers et variés : dame de chambre, barmaid, nettoyeuse de rue, danseuse de charmes…
Elle ne tarda également pas à redécouvrir le sexe, testant les limites de son corps, copulant autant avec les humains qu’avec les animaux, insatiable, insatisfaite et affamée. Aujourd’hui, Noelie ne connaît de chemin que celui qui va toujours droit, sans savoir ce que l’avenir pouvait lui apporter.
Situation de départ : Expérimentée
Autres :
- Il semble qu’elle soit malade. La terranide tousse parfois du sang et est prise de maux de fièvre brutaux qui peuvent durer plusieurs minutes.
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