La jeune femme prit bien note des indications de l’ancienne déesse. En effet, la néko elfique n'eus aucune difficulté à trouver la fameuse salle d'eau. Elle se sentait bien minuscule dans cette pièce qui paraissait sans fin. Samaëlle était désorienté par tant de grandeur venant d'un endroit qui paraissait peu imposant de l'extérieur.
Elle était assez nerveuse d'entendre ses pas résonner dans la pièce, ses oreilles s'orientant vers les échos de manière instinctive. Le fait d'être seule donnait à la salle d'eau un air inquiétant et rassurant. On ne parle pas de l'ameublement et des choix de la décoration qui ne fit que rougir cette petite chatte. Samaëlle se demandait si cet aménagement avait été payé où s'il s'agissait du travaux des femmes du harem. Quoi qu'il en était, elle se défeuilla, pliant ses affaires dans un coin.
Chaque bassin eut le droit de goûter à l'orteil de Samaëlle, cette dernière jugeant la température pour ne pas tomber sur une eau trop tiède, froide ou bouillante. C'est alors qu'elle constata la disparition de son vêtement démoniaque. Cette disparition l'inquiétait grandement. Ce qu'elle ne pouvait savoir c'est que le vêtement était retourné à sa détentrice c'est à dire Thalia. La neko préféra ne plus y penser en se glissant dans l'endroit prévu pour se laver avant d'entrer dans les bassins.
Elle y trouva des éléments communs pour des personnes aisée. Du savon et un liquide nettoyant les cheveux, oui du shampoing. La jeune femelle prit en premier lieu du savon. Il n'y avait pas besoin d'attacher ses cheveux qui étaient courts. Si elle fit tout pour retarder les zones nouvellement acquises, la néko elfique ne pouvait être à moitié propre. Elle commença par sa poitrine. Avec d'infini douceur elle passa ses mains dessus, faisant mousser le savon. La terranide ne pouvait refouler une excitation naturelle suite à ses attouchements.
Cela vint d'ailleurs à faire légèrement peur à Samaëlle qui s'arrêta d'un coups, mais très vite la sensation de manque apparut. N'étant guère résistante à l'appel du plaisir, elle transforma ses petits effleurements en des attouchements plus présente. Elle se malaxait la poitrine tout en sentant son bas ventre devenir chaud et humide. Elle se savait trop faible pour arrêter en si bon chemin, même si une gêne intense la prenait. L'ancienne voleuse gémissait légèrement, étant répandu en écho dans la pièce, rendant la scène encore plus excitante. Les mains se firent plus baladeuse, descendant sensuellement vers son intimité.
Seulement Samaëlle ne se sentait pas du tout à l'aise assise et vint à poser son dos sur le dallage qui n'était pas froid. Il était plus facile pour elle d'accéder à son entrejambe ainsi. La néko ne fit que jouer avec ses lèvres intimes. Elle sentait son esprit devenir brumeux, comme si un brouillard aveuglait son raisonnement.
C'est alors qu'un bruit de par distinct se fit entendre. Telle une gamine effrayée de se faire reprendre, elle se rassit sur le tabouret. Samaëlle voulait faire croire qu'elle était encore en train de se laver, les joues rouge et son entrejambe humide. Tant que l'on se tenait à une certaine distance on ne pourrait voir l'excitation de la jeune néko, mais une fois assez près elle ne pouvait cacher des éléments important, comme sa poitrine tendue. Samaëlle avait sa queue qui se balançait nerveusement, essayant d'être la plus naturelle possible.