Voilà. Je viens de finir d'écrire mon rêve, fait à l'instant. Pardon, il fallait que je l'écrive quelque part. Pis comme c'est le premier dont je me souviens depuis des années, j'le partage, parce que... J'ai envie.
19:54
SP ♥ Je suis vraiment désolée pour toi... *câlinichonne*
Surtout dans les circonstances actuelles, c'est vraiment pas cool. Je t'envoie tout mon soutien par ondes télépathiques.
Courage, j'espère que tu trouveras vite ♥
19:55
Bon, et du coup, pour ceux qu'ont rien à foutre, voici mon rêve :
J'ai rêvé que j'emménageais avec deux copines à moi, dans une ville genre à la montagne. Mes copines avaient chacune une chambre et on avait mis mon lit mezzanine dans le salon, très grand, au demeurant. La journée on se baladait, puis, le soir, des gens venaient chez nous, dont je ne connaissais pas une seule personne. Ils faisaient genre un peu la nouba. Certains de leurs parents venaient, s'installaient autour de la table basse et parlaient d'un film ou d'un spectacle qu'ils avaient trouvé très bien, genre, apparemment, on devait les héberger pour la nuit. Je sais qu'on devait héberger des gens, mais il y en avait quand même vachement beaucoup...
Puis, avec mes coloc, saoulées par le monde et le bruit et tout, on est sorties. On a marché jusqu'à une sorte de cabane, où il y avait deux espèces de seaux remplis de terre, plutôt hauts. En déboutonnant leurs pantalons et en fléchissant légèrement les cuisses, elles ont pissé dedans. Je me suis exclamée "Vous allez quand même pas pisser là dedans !?", "Bien sûr que si !". Bon, l'une étant du genre à faire ce qui lui plaît en toutes circonstances, ça m'a pas trop étonné, en fait.
Puis on est rentré et j'avais depuis un moment des problèmes de mémoire, et je n'arrêtais pas de demander à l'une de mes copines ce qu'il s'était passé dans la journée, ce que je pouvais avoir bien fait, car il semblait avoir des gros black out sur des pans entiers, surtout de la soirée.
Il n'y avait quasiment plus que des jeunes à la soirée, qui étaient vraiment très bruyants. Certains étaient montés dans mon lit en mode squat et m'envoyaient péter quand je leur demandais de descendre. J'ai pris celui qui me répondait le plus mal par le col - plus ou moins mes pieds en équilibre sur un barreau de l'échelle - en lui disant que soit il descendait, soit il prenait mon poing dans la gueule.
Après je suis allée voir une de mes coloc' qui s'était couchée. Elle m'a appris que l'autre aussi, dans sa chambre. Sa fenêtre, tout en long, me tira la réflexion que, en hiver, lorsqu'il neigerait, elle ne verrait plus l'extérieur car nous étions au rez-de-chaussée. A ce moment là, il a commencé à neiger. Je me suis exclamée que, décidément, ma pov' dame, y a plus de saison, et suis sortie aussitôt... En peignoir, et pieds nus. J'ai glissé sur la neige jusqu'au côté opposé de la rue, mais quand je me suis retournée, j'étais perdue. Après avoir demandé mon chemin à une mère et sa fille - qui m'a très mal parlé - j'ai commencé à marcher. Je souriais intérieurement en me disant que je devais avoir l'air un peu zinzin avec mon peignoir et mes pieds nus dans la neige. J'ai trouvé un cinéma, dans lequel je suis entrée sans le vouloir. En voyant que j'étais dans une sorte de couloir/hall j'ai fais demi-tour, ai un peu erré, toujours à la recherche de ma maison. Un black m'a alors mis la main aux fesses, et il insistait, en disant je ne sais quoi. J'ai tenté de me dégager, mais il appuyait, j'ai voulu le frapper, mais il a paré, et, me regardant droit dans les yeux a insisté : "votre paquet d'OCB est en train de sortir de votre poche !" (ouais parce que là du coup j'avais mon pantacourt en jean), du coup, rassérénée, je me confonds en excuses, puis nous rions de la mésaventure. Je retrouve ma maison et là je me suis réveillée.
Mon inconscient me fait un peu flipper quand même, parfois.