Le dieu se demandait s’il allait vraiment le faire : la pénétrer sans le moindre lubrifiant était particulièrement tentant, mais il y avait une donnée à prendre en compte. Si il était toujours d’actualité qu’elle garde son travail actuel, en le faisant mieux, il fallait qu’elle ne soit pas non plus particulièrement traumatisée par cet acte, nul doute qu’elle aurait des cibles plus répugnantes ou plus gênantes qu’un démon avec une verge comme son avant bras - ou comme sa cuisse, ça dépendait du point de vu…
Il s’apprêtait à la prendre - quoiqu’en réduisant tout de même légèrement la taille de son gourdin, réflexion oblige, une partie du cerveau devait être déplacé ailleurs. Aussi, il rendait cela plus simple, et qund il allait se lancer en elle pour la pilonner et se faire plaisir autant que soigner sa faim, il fut interrompu par elle. De quel droit ? Celui de la victime qui a une dernière volonté avant don exécution ? Avouez que si exécution il y avait, c’était une mort plus douce que beaucoup d’autres, non ? Mais toujours est-il qu’elle l’avat interrompu pour ouvrir la table de chevet, pour finalement lui tendre un tube de vaseline. Oui, elle préférait la manière douce, si on pouvait parler de manière douce avec un démon qui avait déjà brisé le lit sans même y penser…
C’était amusant de savoir que la femelle qu’il allait saillir ait quelques objets sexuels, cela prouvait bien le désoeuvrement auquel elle faisait face. Mais à qui la faute en fait ? A elle. C’était pas la faute du dieu si elle perdait une partie de sa clientèle… Comme une catin dans sa camionnette, il se demandait si celle-ci ne devrait pas être déplacée légèrement, que son racolage mortel soit plus efficace !
Il prit le tube entre deux griffes aussi délicatement qu’il le pouvait, et plutôt que de l’appliquer sur un des orifices en particulier, il favorisa une autre approche, préférant voir en cela une bonne manière d’accroitre l’angoisse, puisque cela ne laissait pa supposer quoique ce soit sur la suite. Il préféra prendre ce lubrifiant et en vider le tube pour l’étaler sur sa verge imposante. Même si elle lui demandait de ne pas être trop violent, il ne garantissait pas, primo de s’y tenir, secundo de ,ne pas lui faire mal. Mais il pouvait bien faire cela pour elle.
« Je verrai ça. Mais ça dépendra de toi, si tu m’oblige à trop forcer, je forcerai davantage, c’est donnant donnant… tu me facilite l’accès, je me calmerai peut être sur la violence… »
Il eut un autre sourire carnassier et replaça sa verge devant son intimité, et il commença à entrer en elle. Si le gland parvint à rentrer sans problème. Le reste était définitivement trop imposant… Il y eu une caresse du bout des griffes le long de ses épaules, sans lui abimer les chairs, ni chercher à lui faire mal, pour une fois. Puis, saisissant ses bras juse au dessus des coudes, le dieu tira sur son corps autant qu’il poussait sa verge en elle pour gagner centimètre par centimètre, étalant son lubrifiaint au fur et à mesure o ù il s’enfonçait dans l’antre chaud et étroit de son intimité. C’était très agréable pour lui, même si c’était limite, niveau étroitesse, chaque légère contraction abdominale pouvait se sentir, et avec une telle communion de chair, il sentait tout beaucoup mieux.
Finalement, il n’entra pas jusqu’à la garde. De toute manière, c’était trop long pour ça, il savait très bien ce qui se passerait si il allait trop loin en elle, et pour une fois, le dieu compatissait. S’il s’enfonçait jusqu’au bout, venant taper le fond de son intimité, cela aurait sur elle le même effet que si on lui avait envoyé un coup de pied dans les parties…
Arrivé là où il voulait, il commença à reculer, puis à s’avancer, des coups de bassin amples qui avaient pour objectif premier, non pas de se soulager, mais d’étaler le lubrifiant et ainsi faciliter davantage le passage, une fois que ce ne serait plus une plaie de bouger en elle, il accélérerait !