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La main fine et délicate, quoique particulièrement pâle de Roxane, entrouvrit légèrement la voilure qui la séparait de la vue imprenable qu'elle avait depuis le sommet de sa tour. Non, Roxane de Vissec n'était pas une princesse prisonnière attendant impatiemment la venue de son Prince Charmant. Loin de là. Elle avait plutôt le rôle du dragon épiant avec gourmandise la venue d'un être naïf à dévorer. Voilà plus de 650 ans qu'elle vivait dans cette tour abandonnée qui s'élançait de façon inquiétante au beau milieu des contrées du Chaos. Jusqu'à présent, peu de monde s'était risqué à entrer dans son domaine. Tout au plus une centaine de pauvres diables. Ensuite, l'existence d'un monstre mangeur d'homme vivant en haut d'une tour s'était propagée de village en village et les proies s'étaient faites de plus en plus rare. Au grand damne de Roxane qui avait de plus en plus faim. Et lorsqu'elle avait faim, elle était d'humeur plus massacrante encore que d'habitude.
Son regard bleu et glacial se promena quelques secondes au dehors tandis que le vent soufflait et malmenait les arbres morts qui craquaient de protestation, subissant l'assaut d'une pluie torrentielle. Un spectacle bien désolant et qui amenuisait ses chances d'assouvir sa faim. A moins qu'un être stupide vienne trouver refuge ici, qui sait.
Dans un soupire, Roxane lâcha le voile et avança de quelques pas dans la pièce immense qu'était sa chambre. C'était une pièce sombre et froide dont le plafond s'élançait à plus de huit mètres de haut, recouvert de divers toiles araignées et de mystérieuses sculptures. Au centre trônait un lit à baldaquin aux vieux rideaux rouges et poussiéreux, les murs étaient une succession de peintures, sculptures et vieille tapisserie. A gauche de l'entrée, une partie de la charpente s'était effondrée près d'un ancien miroir brisé. Un miroir cependant splendide dans le passé, semblable à celui que questionnait sans cesse la belle-mère de blanche neige dans les Contes pour enfants. La seule source de lumière, hormis celle très faible du soleil, était un chandelier d'argent posé près d'un tas de cadres de peinture vides. Ça ne payait pas de mine, mais l'ensemble avait son charme. Roxane aimait cet endroit.
Il y faisait également un froid mordant, mais notre belle créature n'y était pas du tout sensible. Même aussi peu habillé qu'elle était. D'ordinaire, elle portait une longue et grande robe noire dont la traine suivait gracieusement le rythme de ses pas, ainsi que de longs gants noirs recouvrant jusqu'à ses coudes. Mais cette fois-ci, peut-être pour égayer un peu cette effroyable soirée, elle avait enfilé sa superbe et longue robe rouge sang, faite en soie, un pendentif en rubis et des bas en dentelle de même couleur particulièrement affriolants. Elle aimait être désirable en toute occasion. Elle avait également ajouté un rouge à lèvre très vif sur sa bouche gourmande, couleur qui tranchait particulièrement avec la pâleur de son visage. Quant à ses cheveux, pour une fois, ils étaient détachés et cascadaient gracieusement sur ses épaules... (son apparence : http://img15.hostingpics.net/pics/588285sweetprincessbykryseisretouched5yd9xl.jpg)
Elle fit quelques pas, ses talons rouges claquant sur le sol et s'approcha du miroir brisé. Une multitude de son reflet apparurent sur les différents morceaux encore accrochés. Elle se regarda ainsi quelques instants, admirant sa beauté, puis attrapa une brosse avec laquelle elle brossa lentement sa chevelure. Elle ne se doutait pas un instant qu'un être particulier allait lui rendre visite...
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Quand le seigneur des apparences, le maitre de la tromperie, le roi du complot, l’empereur de la métamorphose, le dieu de la trahison, faisait le tour du propriétaire au travers des mondes, il faisait exactement ce qu’il savait faire de mieux< : des royaumes s’effondraient, des dictateurs s’élevaient, des guerres civiles éclataient, des empires étaient disloqués ! Au final, voilà comment fonctionnaient les choses. Certes, cela ne passait jamais inaperçu, mais ses serviteurs se révélaient tellement plein de zèle devant leur maitre que même des dynasties millénaires étaient capables de disparaitre en quelques heures tant il gangrenait les mondes ! Et le bruit de l’entropie qui s’enchaîne ! Il avait un frisson qui lui parcourait l’échine à chaque fois qu’une nouvelle tête couronnée passait suer le billot, à chaque fois qu’un époux était trahi par sa femme, une sœur par son frère…. Vous ne sauriez comprendre le pouvoir qui recelait en tout cela ! Vous ne le comprendriez pas même si vous vous y intéressiez, car jamais vous ne pourrez en être la source comme il l’était !
Il finit par arriver sur les lieux d’une autre visite à faire… il se souvenait parfaitement de l’outil dont il allait se serv… euh… dont il allait vérifier l’état et le fonctionnement. Rien qu’à repenser à tout ce qui avait conduit à sa création, il avait été sacrément inspiré en agissant de la sorte. C’était il y avait combien de temps déjà ? presque 700 ans, non ? Oh comme il s’était amusé ce jour là ! Il se souvenait de tout dans presque tous les détails de la scène ! Il avait été là, le jour où l’incendie s’était déclaré, il avait mené une fausse révolte d’un groupe de domestiques, qui, à l’aide d’alcool, et d’huile, avaient mis feu au château, ces mêmes domestiques qui se mirent à prévenir du feu !
Il se souvenait très bien que la jeune femme qui voulait retourner cherche des chiards avait été retenue par son mai, il l’avait plus ou moins encouragé, et dès lors, le dieu avait continué à semer la haine dans le cœur de la jeune femme, il avait tout fait pour que celle-ci concentre et cristallise sa haine vis-à-vis de son mari… un type bien pourtant… quel dommage. Il était responsable de tout ce qui s’aggravait dans cette relation, et ce, jusqu’à la fuite… il se souvenait très bien d’un détail tout bête : lorsque l’épouse avait voulu dire à son mari qu’elle était enceinte, il était tellement ivre qu’il était presque évanoui, il l’avait remplacé au pied levé, et mieux encore, il avait dit tout ce qu’il fallait pour la pousser au bord du gouffre, jusqu’à ce qu’elle fuit. Et là, il mit fin à la fabrication d’objet, il se souvenait comme si c’était hier de ces propos :
« Je peux t'offrir bien mieux que la mort, Roxane de Vissec. Une vie où tu auras l'éternité et le pouvoir de te venger, de manipuler... une vie mêlée d'horreur... et de plaisir. »
Se venger contre qui déjà ? Ah oui, ceux qui l’avaient manipulé, d’inverser les rôles…. Ou du moins, le laisser croire. Elle n’avait pas cessé d’être son outil, à aucun moment, du début, jusqu’à sa fin, si elle en avait une, elle, elle l’avait presque supplié d’agir de la sorte. Alors pourquoi s’en priver ? Il lui avait donné ce qu’elle voulait ou croyait vouloir ! Il lui avait donné le pouvoir, et l’avait enfermée dans son besoin. Il lui avait offert la beauté, la luxure, l’envie, le plaisir, mais il lui avait aussi offert cette faim dévorante qui jamais ne serait tarie et en même temps, jamais elle ne pourrait sortir d’ici, ou du moins, il essayait de faire en sorte qu’elle n’en ait pas envie…
Ses visites s’étaient comptées sur les doigts d’une main en sept cents ans, ; mais d’une manière ou d’une autre, il savait se rappeler à la « jeune » femme quand le temps était venu ou qu’il sentait qu’elle relâchait sa dévotion. C’était impressionnant comme il pouvait se sentir connecté à ses dévôts sujets, à ses loyaux fidèles, quelque soit la forme de la vénération, qu’elle passe juste par un sentiment d’obligation ou par une admiration sans bornes.
Prenant la forme d’une fumée noire, aussi ténébreuse que la nuit, il s’introduisit par un interstice très mince entre le mur et un carreau, entrant dans la pièce lentement pour faire lentement passer cette brume à la noirceur infinie. Qui provoqua un léger courant d’air dans la chambre de la jeune femme, toujours aussi belle alors qu’elle se tenait devant sa coiffeuse, faisant ce que fait une femme devant sa coiffeuse. Pas se laver bien sur, mais arranger sa coiffure.
La brume prit une forme humaine, celle d’un homme à la peau d’acajou, de grand jeux rouges, des dents acérées comme des poignards, vêtu d’or, d’argent, de diamants, bref, somptueux et magnifique, une longue toge qui lui descendait aux mollets avec élégance. Comme si il ne touchait pas le sol il glissa sur la pierre et les tapis avec un silence absolu, jusqu’à apparaitre d’un coup, brusquement, dans le reflet du miroir.
« Petite chose… devine qui vient te voir dans cette tour aussi isolée ? »
Il eut un rire de gorge qui ressemblait à un grincement de portes dont les gonds n’avaient jamais été huilés, et sa main se glissa sous le menton de la jeune femme pour laisser glisser des ongles légèrement griffus sur sa gorge.
« Cela fait si longtemps… »
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Qu'est-ce que l'éternité, au fond ? Comment Roxane avait-elle plus la ressentir durant ces longues, très longues années ? Et bien... un peu comme une minute excessivement intense. Pour elle, l'éternité n'était guère plus longue que la vie. Elle ne ressentait pas le temps qui passe, ces longues nuits de silence et de solitude. A quoi bon s'en plaindre et en éprouver de la souffrance ? Ce n'était rien comparé à ce qu'elle avait pu vivre durant sa vie de mortelle. Et puis l'expérience de cette nouvelle vie était bien plus existante.
La faim qu'éprouvait sans cesse Roxane n'avait rien à voir avec celle que l'on connait. Elle se rapproche de la soif du vampire. Une faim viscérale et essentielle à assouvir. Récolter des âmes est un travail minutieux. Mais un travail impossible à réaliser si le plaisir charnel n'y est pas explicitement mêlé. Cette faim, ce n'était pas un estomac qui gronde, c'était une sensation puissante de manque, cette envie sauvage de faire jouir le corps dans un ébat puissant. Elle aimait les faire durer, profiter de chaque seconde, car ces moments se faisaient si rare.
Aujourd'hui encore, la faim la taraudait. Elle aurait pu quitter sa tour et aller chercher elle-même ses proies, mais son instinct l'en dissuadait. Ses pouvoirs n'étaient pas aussi puissants au dehors et elle savait que plus elle s'éloignait de sa tour, plus son immortalité et sa beauté s'amenuisait. Hors ils étaient l'essence même de son existence.
Tout en brossant ses cheveux, Roxane espérait furieusement qu'un homme se présente. N'importe lequel. Un vieux, un jeune, un laid, un beau, qu'importe. Sa faim était si grande qu'une nuit entière ne suffirait pas à l'assouvir. Elle ferma les yeux un instant, plaisant à s'imaginer une silhouette s'approchant de sa tour. La silhouette d'un être naïf.
Mais lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle sursauta, manquant de laisser tomber sa brosse à terre. Derrière elle, dans son reflet, se trouvait un être des plus étrange. Certes, elle ne l'avait jamais vu sous cette forme. Mais on ne pouvait pas la tromper. Elle savait pertinemment de qui il s'agissait. Bientôt 7 longs siècles qu'elle ne l'avait pas vu. Son cœur s'emballa, pulsant contre sa poitrine, sa respiration s'accéléra. Elle ne prononça pas un mot. L'individu ricana, douce musique aux oreilles de la jeune femme qui fut parcourut subitement d'un délicieux frisson lorsque les ongles de l’intrus glissèrent le long de sa gorge. Roxane ferma de nouveau les yeux, renversant délicatement sa tête en arrière, respirant discrètement le parfum de son "créateur". Alors seulement, elle souffla :
- Je vous ai tant attendu, Maître. Je n'espérais plus...
En effet, elle était plus que ravie et honorée de sa présence. Elle pivota lentement, faisant face à ce démon divin qui lui avait tout donné. Son visage était près du sien, et elle adorait ça. Elle ignorait pourquoi, mais sa faim était d'autant plus titillée en sa présence. Le désir et l'envie devenaient un brasier en elle. Elle parlait doucement, presque à voix basse, comme si trop de bruit aurait pu tout gâcher.
- Pourquoi êtes-vous venu ? Ais-je fait... quelque chose de mal ? Êtes-vous venu pour que je vous serve d'une quelconque manière ?
Elle se laissa glisser à genoux, face à lui, ouvrant doucement ses bras. Littéralement soumise et impressionnée par la présence de cette créature.
- Je n'existe que pour vous servir, Maître.
Roxane était méconnaissable. Elle qui d'aventure tenait les rênes et faisait preuve d'une extrême méchanceté et de beaucoup d'autorité, changeait tout à fait de comportement face à celui qu'elle considérait comme son Maître. Et elle avait hâte de le contenter, de lui prouver à quelle point elle lui était soumise.
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Il eut à nouveau ce ricanement qui vous donne la chair de poule, qui fait descendre ce très long frisson dans le dos depuis votre nuque jusqu’à vos reins et qui vous laisse dans l’attente de ce qui suit non sans une légère appréhension, en général. Mais apparemment pas chez elle… il était presque un peu déçu tant cela lui coupait ses effets… il n’était pas rageur, mais il avait quand même une pointe d’amertume dans le cœur, ou du moins ce qui devait lui servir de cœur : des ruines froides ayant perdue toute valeur sentimentale depuis bien longtemps… Il eut une petite moue mi-figue, mi-raisin…
Elle était bien différente que quand il l’espionnait, en effet, celle qui maitrisait tout, la dominante par excellence était à ses pieds, guère plus qu’une loque humaine devant sa majesté et sa puissance. Non, il ne s’agissait pas de poussée d’égo particulièrement brusque, non, il ne s’agissait d’un simple fait : rien que de penser à elle était déjà un honneur, même si ce n’était qu’une pensée la réduisant à l’état d’un tapis particulièrement sale et dégoutant. Elle était son obligée, mieux encore, elle était, d’une manière informelle, mais pourtant le terme semblait approprié, son esclave et jamais il n’avait eu la moindre intention de changer cet état de fait. Tout adorateur n'est-il pas esclave du dieu qu'il vénère ? On ne change pas une équipe qui gagne… Il avait un petit sourire en coin, évoquant cette pensée.
Il redevint fumée, une fumée plus nacrée avant de prendre l’apparence de la jeune femme, et seule une voix grave qui n’avait rien de féminine aurait pu trahir sa nature, non pas qu’il ne puisse changer de voix, c’était d’une facilité enfante, mais il ne faisait en cet instant qu’étalage de son pouvoir de manière physique. Il se fit serpent, un magnifique serpent plus long qu’elle n’était haute, un serpent qui, loin d’avoir ce toucher cuir froid semblait gluant, et doucement, ondulant de ses anneaux, il vint s’enrouler autour d’elle, le longe de son bras, pour rejoindre son buste, serrant légèrement autour de son cou. Sa tête venant près de son oreille pour lui siffler quelques mots dans l’oreille d’une manière particulièrement désagréable.
« Les gens parlent, et ils ont des légendes pour sssssssssse qui sssssssssse passssssssssse isssssssssi…. Ils dissssssssssent qu’un monsssssssstre habide dans ssssssssssette tour… un monsssssssssstre qui dévore leursssssssssssss âmes…. »
Sa langue vint s’enfoncer dans son oreil avant de ressortir. Faisant bouger ses anneaux, il se déplaça pour la fixer en face. Peu à peu, il grandissait et prenait du poids jusqu’à ce que sa propre tête soit aussi grosse que celle de cele qu’il avait forgé à partir de quelqu’un qui paraissait être quelqu’un de bien… non, il n’était pas vraiment content de la situation et pesait de tout son poids sur sa nuque, pour la forcer à se placer plus bas que terre.
« Les prinsssssses, les rois ne ssssssssse déplasssssent plus parssssssssse qu’ilsssssssss ont peyur d’un monssssssssstre ignoble qui habiterait ssssssssssses lieux….. et je suis obligé de réparer les dégats que tu causssssssssssssssse… on raconte à nouveau qu’une jouvensssssssssselle en détresssssssse habiterait isssssssssi, otage d’un monssssssssssssssstre. De nobles sssssssssires et de nobles cœurs sssssssssssont en route…. »
Sa lourde queue reptilienne vint - est-ce vraiment nécessaire de dire volontaire ? - les reins alors qu’il relâchait son emprise pour reprendre une apparence plus humanoïde, une apparence plus, conventionnelle dirons-nous. Il prit l’apparence de la première victime choisie par Rahemar pour être offerte en pâture à Roxane, un jeune homme en armure étincelante, assez naïf pour croire qu’il devrait pourfendre un dragon pour sauver une jouvencelle en détresse… quelle surprise il avait eu… par cela il lui montrait que jamais il ne détournait les yeux de ses chers outils d’entropie.
« Tu existe pour servir mais tu sers mal… je t’ai offert le pouvoir et tu me remercies en bâclant l’unique chose que je te demande ? Tu n’es pas là pour t’amuser mais pour obéir et servir comme sied à un ciseau de couper le tissu sous la main habile du tailleur, comme il sied à une pelle pour ramasser le fumier dans rues d’une ville entre les mains des agents de la voirie… je devrai d’ailleurs en avoir une pour toi… tu n’es pas mieux que cela : un fumier infect ! »
Il la regardait d’un air sévère, un air mauvais et surtout avec un sourire qui ne présageait jamais rien de bon et qui tordait le visage de la personne dans un rictus qui n’avait absolument rien d’humain. La peau se fendilla, et colosse (http://img197.imageshack.us/img197/7479/2o0u.jpg) de la couleur carmine du sang, il s’éleva alors que les lambeaux de chair restaient collés épars, sur son corps. Il possédait de longues pattes de boucs, de longues cornes, plusieurs pairs sur la tête, comme si elles remplaçaient des cheveux, et une forme de museau qui n’était pas sans rappeler la gueule d’un animal. Et qaund il parlait, il ne fut qu’un grondement sourd qui firent vibrer les murs sous les basses de la tonalité qu’il employait.
« Qu’as-tu à dire pour ta défense, insignifiante petite chose qui s’est révélée inutile et incapable ? »
Et maintenant elle avait le droit de parler.
[Désolé je dois partager la pensée qui me vient avec le lecteur, je revois Peine et Panique (Hercules « nous sommes des larves, de pauvres larves ! » xDDDDDD]
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* * *
Et non, Roxane n'était pas la même devant cette apparition qu'elle considérait comme son Maître. Comment en aurait-il pu être autrement ? Elle lui devait tout, sa vie lui appartenait, alors oui, elle était plutôt du genre soumise face à lui. Pour le moment. Sa présence était un mystère pour elle... après tout ce temps ! Pourquoi venir ?
Soudain, il disparut dans une épaisse fumée, surprenant la jeune femme. Il venait de prendre son apparence là ?! Elle resta bouchée, ne sachant toujours pas où il voulait en venir. Puis il se transforma en un serpent impressionnant et s'enroula autour d'elle. Elle paniqua un peu mais n'osa pas bouger d'un pouce. Que pouvait-elle face à lui ? Rien. Elle le sentit serrer autour de son cou, inquiète. Qu'avait-elle bien pu faire de si mal ? Il approcha sa gueule de son oreille pour y siffler des explications. Roxane gémit doucement, serrant les dents en écoutant comme elle pouvait ses paroles. Les rumeurs ? Et bien quoi les rumeurs ?! Étais-ce si grave ? Elle ne comprenait pas où il voulait en venir.
Elle sentit la langue de la créature titiller dans son oreiller et frissonna de plus belle. Elle rouvrit les yeux lorsqu'il se positionna face à elle. Il commençait à se faire lourd, si lourd qu'elle peinait à rester droite. Elle tenta de résister en grimaçant, mais fini par se retrouver face contre terre en gémissant.
Les explications se firent plus claires. Elle comprit enfin ce qu'il lui reprochait. Avec ces rumeurs, les visiteurs se faisaient de plus en plus rare près de cette tour. Ce qui réduisait considérablement le nombre d’âme qu'elle avait pu réunir. C'était vrai, ses proies se faisaient rare, et sa faim de plus en plus vive le prouvait. Mais que faire ? Elle aurait aimé dire quelque chose, mais en était incapable.
Il avait fait en sorte d'arranger l'affaire. D'après lui, bientôt, d'autres âmes viendraient lui rendre visite. Elle ne devait pas échouer. C'était une bonne nouvelle mais pour l'heure, Roxane ne pouvait s'en réjouir. Elle subissait la punition de son Maître, légèrement tremblante. Malgré cela, elle avait toujours autant de respect pour lui. Il était normal qu'il réagisse ainsi après tout... elle n'avait pas été à la hauteur jusqu'à présent.
Enfin, l'emprise du serpent se relâcha. Roxane reprit une grande goulée d'air et toussa un peu, le regard baissé, toujours à genoux sur le sol. Devant elle se tenait maintenant sa première victime d'autrefois. Elle s'en souvenait parfaitement. Elle leva les yeux sur lui, attentive, mais toujours inquiète. Il était furieux et il lui fit bien comprendre. La jeune femme baissa alors de nouveau les yeux, honteuse. L'homme en armure devint un monstre gigantesque. Roxane recula légèrement, se retrouvant plaquée contre ce qui restait du vieux miroir. Ce colosse gigantesque n'avait rien de rassurant, même pour elle. Ce qu'elle avait à dire pour se défendre ? Voilà ce qu'il lui demandait de sa voix de stentor. Roxane, la respiration folle, tenta de reprendre ses esprits. Lentement, elle avala sa salive avant de répondre :
- Je n'ai aucune excuse, Maître. Je suis désolée pour toutes ces rumeurs, mais je n'avais pas le pouvoir de les faire taire. Pardonnez-moi, je ne vous décevrai plus je vous le promet...
Doucement, elle se redressa et se releva. Comment faire pour apaiser la colère de son Maître ? Elle ne savait pas vraiment, elle le connaissait malheureusement si mal ! Elle fit un pas vers lui, puis soupira.
- Je n'existe que pour vous servir et votre colère est légitime. C'est à moi de vous demander... que puis-je faire pour me faire pardonner ? Pour vous montrer ma bonne foi ?
Malgré son intimidation, elle avança pour caresser sensuellement le torse du monstre d'une main, le souffle court. Elle espérait simplement pouvoir le satisfaire davantage dans le futur. Elle ne le décevrai plus désormais et allait tout faire pour qu'il soit fier d'elle.
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Elle avait très bien compris la situation : elle n’avait aucune excuse ! Oh, Rahemar n’était pas aussi en colère que ce que laissait entendre son aspect physique et sa voix, non, mais n’était-ce pas cela, les apparences ? Il était le dieu des apparences et de la tromperie, ainsi, il pouvait très bien rappeler à elle d’autres apparences sans aucun rapport avec la réalité de l’instant. Il aurait pu prendre l’apparence de feu ses enfants, il aurait pu prendre l’apparence de son, ancien époux. Autrement dit, c’était très vaste, et si c’était vaste, alors il avait l’embarras du choix. Mais pour le coup, il avait eu l’intention de lui faire peur. Et vu son geste de recul, la jeune femme – ou du moins, elle n’avait de jeune que l’apparence – avait eu peur, ou du moins avait été assez effrayée sur le coup pour reculer jusqu’au miroir, ce qui était un bon point. La questionné tait donc la suivante : était-ce la colère divine ou l’apparence qui lui avait fait peur. Même si il aurait été ravi que ce soit l’apparence, il préférait penser que c’était devant la colère divine. D’autant que des aveux complets ne suffisaient pas à la dédouaner. De toute manière qu’aurait-elle pu faire ? Avouer une incompétence dépassant toute limite en se trouvant des excuses qui, somme toute n’auraient été que plus ridicules que la version exacte ?
Qui plus est, elle promettait qu’elle ne le décevrait plus, allant même lui demander s’il y avait une manière de se rattraper, ou plutôt, selon ses termes, de prouver sa bonne foi. Se pensait-elle chez les boy scouts ? Qu’une seule personne ose le trahir ou le décevoir assez et il lui offrirait des tourments faisant passer l’enfer pour le paradis, mais qu’il joue avec lui sur la trahison, le mensonge et les apparence, il n’attendait que cela ! Il était le Dieu de ces éléments, c’était son apanage ! Que l’on s’en serve avec lui, contre lui, voilà qui était lui rendre hommage, mais ni la trouille visible, ni la bonne foi n’avaient leur place dans ce monde qui était le sien ! Il ricana d’ailleurs quand elle prononça ces quelques mots, il avait déjà une répartie cinglante sur le bout de la langue, il la retint, la mâcha un peu avant de la lui lancer à la figue alors qu’il venait prendre dans son énorme paluche son poignet qu’il aurait pu, sous cette apparence, briser sans même y penser. Il l’écarta vers le haut, d’un geste lent, la soulevant du sol sans le moindre effort par un bras. Vive les apparences…
« Alors d’abord une insignifiante petite chose qui s’est révélée inutile et incapable et maintenant on rajoute la bêtise par-dessus le marché ? Allons bon, ne me prends pas pour plus stupide que je ne le suis… »
Il avait fait en sorte que son visage soit en face de sa gueule garnie de crocs qui exhalait une odeur de soufre qui particulièrement incommodante. Ses crocs étaient reliés entre les deux parties de la mâchoire par de longs filets de bave écoeurante alors que sa langue ondulait dans sa gueule comme le sepet qu’il était il y avait peu de temps.
« La bonne foi… peuh…. Elle ne vaut rien quand on sait que si tu me déçois je peux te reprendre tout ce que je t’ai offert, ou même juste une partie. Imagines-tu l’éternité dans la peau d’une vieille femme laide et ridée avec cette faim qui te dévorer les entrailles mais qui ne sera jamais satisfaite ? »
Il ricana de nouveau avant de la lâcher. La menace était plus qu’explicite.
« Au moins, avec ça je sais que tu t’appliqueras… tu as des dons, joues-en, ne te contente pas de ça pour t’envoyer en l’air, entretient un mythe, crée une légende et fais la vivre, c’est ce pourquoi tu as été fait… c’est ce pourquoi je t’ai tiré de la fange dont tu es issue… »
Sur ces derniers mots, il prit l’apparence de feu son époux – il était mort et décomposé depuis le temps…
« C’est toi qui a choisi cette vie, alors montre t’en digne… »
Il reprit l’apparence énorme et démonique qui lui avait fait peur pour s’asseoir sur le lit qui émit un craquement sinistre, signe du poids excessif. Il eut un sourire qui n’apparaissait que comme une grimace sur ce corps massif avant de lui dire, sur un ton qui vibrait davantage d’amusement que de colère désormais. Un perpétuel jeu, voilà ce qu’était la vie pour lui.
« Tu veux de la bonne foi ? N’en espère pas… au mieux, surprends moi… mais sache que jamais ne ferme les yeux sur mes outils, toujours, je sais toujours ce qu’ils fond, et où ils sont… »
C’est ça, vas-y, il n’espérait qu’une chose, qu’elle croit qu’il soit capable de lire dans les pensées…
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* * *
Même si ses gestes et le ton de sa voie pouvait laisser penser le contraire, Roxane n'avait pas d'idée particulière quant à la manière de se faire pardonner en réalité. De quoi pouvait donc se sustenter un Dieu ? Un Démon ? Cette créature pouvait-elle seulement lui accorder son pardon d'ailleurs, ou bien se contenter de la punir comme il le faisait jusqu'à ce qu'elle prouve sa "bonne foi" avec des actes futurs ? Elle ignorait tout de son Maître, et pourtant elle était consciente de tout lui devoir. S'il décidait de se débarrasser d'elle, il n'avait qu'à claquer des doigts et tout serait terminé. Elle serait plongée dans le plus profond des enfers à souffrir l'éternel échec de sa vie d'autrefois. Rien qu'à cette idée, elle fut parcourut d'un frisson glacial et désagréable dans tout le corps.
Ses paroles n'avaient pas apaisée son bienfaiteur, bien au contraire. Elle s'en rendit rapidement compte et si elle avait pu, s'en serait mordu les doigts. Elle se contenta de mordre sa lèvre inférieure en jurant pour elle même.
Devant son visage, la gueule répugnante du monstre dont il avait prit la parole éructait des mots cinglants tout droit sortis de ses entrailles brûlantes et malfaisantes. Une odeur de souffre insoutenable qui la fit grimacer et détourner la tête sans pouvoir toutefois bouger davantage. Et il lui rappela qu'en effet, elle lui devait tout. Et qu'il pouvait à tout moment lui reprendre et ne faire d'elle qu'une vieille sorcière décomposée, laide, et rongée pour toujours par une faim impossible à assouvir. Roxane fut parcourut d'un violent tremblement. Elle supplia d'une voix faible :
- Non... pas ça... je vous en prie...
Il la lâcha, et la lady tomba à terre comme une poupée de chiffon, des larmes débordant de ses beaux yeux bleus. Ses longs cheveux blonds retombaient devant son visage, elle les repoussa lentement d'un geste de la main, retenant avec peine ses sanglots alors qu'il le voyait désormais prendre la forme d'un corps mort depuis longtemps... celui de son époux. Celui de Sylvain. Cette vue était plus insoutenable que toute autre. Elle gémit et détourna les yeux.
Il voulait qu'elle créer un mythe et ne se constante pas d'assouvir sa faim. C'est ce qu'il attendait d'elle.
Roxane, le cœur au bord des lèvres, porta une main à sa bouche, comme pour retenir le sanglot et la nausée dont elle était l'otage.
Le corps détruit de son époux fit place de nouveau au démon grandiose qui s'installa sur le lit dans un craquement. Il la prévint alors qu'il avait toujours un œil sur elle comme sur tous ses outils, et qu'il attendait d'elle qu'elle le surprenne. Roxane ravala le flots de sensations qui la submergeait et prit sur elle pour se redresser et passer une main dans ses cheveux. D'une voix mal assurée elle dit alors :
- Vos désirs sont des ordres, Maître. Je ne vous décevrai pas... je vous le promet.
Elle avait froid et chaud en même temps. Cette sensation était désagréable et inconfortable. Elle avait honte que son Maître se soit déplacé à cause de son incompétence et ignorait désormais comment réagir. Elle ferma un instant les yeux, la faim était toujours présente, plus viscérale que jamais. Mais elle n'osait pas demander la clémence du démon. Si elle osait lui demander son aide, il se mettrait surement dans une rage folle. Mais c'était plus fort qu'elle.
Ses joues avaient pris une teinte légèrement rosée, son rythme cardiaque s'était accéléré et ses pupilles brillaient, signe que la faim la taraudait plus que jamais. Étais-ce sa présence qui amplifiait cette faim ? Elle l'ignorait.
Elle avait cette envie de se toucher, de se caresser pour calmer cette faim. C'est ce qu'elle faisait parfois lorsque celle-ci devenait trop forte...
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Il avait trouvé le point sensible avec quelques mots seulement ? Evidemment ! A quoi d’autre vous attendiez vous, bande de mortels insipides ? la beauté, autant que ce qui vous brule les entrailles, voilà ce qu’il fallait viser chez elle, comme chez beaucoup d’autres, la faim n’était pas forcément la même en fonction de la personne, mais elle était toujours présente. Il fallait l’attiser en retirant l’avantage qui allait de pair… Il n’y avait pas mieux que le forgeron pour connaitre le point faible d’un de ses outils, car non content de les avoir longtemps utilisé, il les avait lui-même forgé !
Il avait le rictus carnassier qui rappelait un sourire plaquer sur le visage. Il était là, devant elle, et elle ravalait sa superbe, ah, d’un seul coup la maitresse des lieux n’était plus rien… et au fond, cela ne lui faisait pas de mal que de retrouver la place qui était la sienne : à ses pieds. Il n’y avait qu’à cet endroit qu’elle méritait d’être, et qu’elle n’avait jamais cessé d’être de tous ces siècle, bien qu’elle ne s’en rendît pas forcément ompte, bien sur, sinon, cela n’aurait pas été amusant…
« Je le sais très bien, je sais très bien que tu ne me décevras plus. C’est dans ton intérêt après tout… et puis, ce serait une éternité de souffrance si jamais tu en arriver là, tu en as conscience… et pour cette raison je te fais confiance, tu ne me décevras plus… l’autre manière de ne plus me décevoir serait de te suicider, ainsi, tu n’aurais plus d’erreurs possibles, n’est-ce pas ? »
Il y eut un éclat similaire à celui d’un amusement dans son regard, oui, punir l’incompétence était plaisant, de son point de vue, cela entrainait souvent à des jeux délectables… il s’en léchait les babines, littéralement : sa longue langue vint effleurer les lèvres de cuir craquelé de l’apparence démoniaque, alors qu’il imaginait des suites possibles. Il n’en avait pas de précise en tête, mais plein de petites. Le fouet ? Le fer rouge ? à la main ? Lui lacérer les entrailles ? L’écarteler ? Il avait tant d’options lentes et douloureuses… c’en était particulièrement ravissant, il en frémissait d’excitation à la moindre mention du fait qu’en lui accordant le droit à l’immortalité, il avait accordé à la jeune femme perdues qu’elle était à l’origine le droit, et le devoir, voir même l’obligation, de défier la mort à chaque fois qu’elle se présenterait. Où il pouvait aussi la faire souffrir par sa faim. Il n’avait pas encore commencé à faire empirer les choses à ce niveau là, mais maintenant qu’il y pensait, c’était peut être la solution, que d’embraser sa faim sans avoir le droit de l’assouvir pouvait être une punition à la mesure du sadisme naturel du Dieu…
Celui-ci pointa son doigt vers son outil pourlui faire signe de se rapprocher de lui, et, ce faisant, à chaque pas qu’elle faisait, à chaque mouvement qu’elle esquissait, il faisait grandir la faim de la jeune femme dans ses veines, dans ses entrailles, il augmentait toujours davantage cette faim. Mais pire encore, qu’elle recule et ce serait pire à ce niveau là, et mieux encore, si elle avait une faim sans commune mesure avec ce qui était présent d’habitude, il allait la priver de toute faim, de toute âme dont il fallait qu’elle se repaisse pour vraiment s’apaiser, pas juste se calmer temporairement avec quelques attouchements, non, vraiment s’apaiser, le besoin deviendrait plus que primaire…
« La faim, elle est forte, n’est-ce pas ? Et si je te disais que jusqu’à ce que je parte d’ici tu n’as pas le droit de t’en délivrer, d’une quelconque manière que ce soit, sachant que je passerai bien le prochain millénaire ici, qu’en penserais-tu ? »
Il avait un sourire tout en dents à cette idée, même si princes, rois et chevaliers faisaient la queue en bas, il lui promettait quelque chose de simple : pas de nourriture pendant un bon moment… il voulait qu’elle le supplie de la laisser se repaitre réellement.
« Normalement, le premier des invités est prévu pour demain dans la matinée… quel dommage, il devra repartir sans avoir eu ce pourquoi il était venu… et toi tu n’auras pu te repaitre de quoique ce soit d’ici là…. Je me demande combien de temps tu tiendras avant de me supplier de mettre fin à tout cela… »
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* * *
Bien sûr, le demain savait toucher à ou cela faisait le plus mal. Après tout, il la connaissait mieux que quiconque pour l'avoir créée telle qu'elle était aujourd'hui. Elle lui devait absolument tout, et c'était cette conscience qui la poussait à se soumettre au moindre de ses caprice, qui la poussait à se recroqueviller au moindre mouvement de colère. Si elle était forte, face à lui, elle était faible. Elle n'était rien. Et si elle collectait des âmes inconnues, la sienne lui appartenait. Définitivement. Comment lutter contre un être qui détient tout ce que vous êtes au creux de sa main ? Qui peut vous détruire d'un claquement de doigts si le cœur lui en dit. Roxanne ne voulait pas de ce genre de fin l'éternité était devant elle, et elle voulait en profiter encore. Elle avait déçu son créateur, mais à partir d'aujourd'hui, elle espérait ne plus faire un seul faux pas. L'autre moyen de le décevoir serait de se suicider... si seulement elle pouvait. Roxane ignorait réellement comment il lui était possible de mourir. Le temps n'avait pas d'emprise sur elle, mais le reste ? Elle n'avait pas encore approfondie la question et préférait ne pas le faire pour l'instant. Tout ce qu'elle savait, pour l'heure, c'était qu'elle avait faim. Une faim d'âmes, une faim de caresses, ne faim de sexe tout simplement. Elle était ainsi faite, c'est ainsi que s'exprimait sa faim et elle n'y pouvait rien.
Tandis que le démon l'observait, apparemment amusé, elle espérait grandement qu'il ne détecte pas en elle cette envie. Mais c'était peine perdu, il était son créateur, il sentait tout. Elle était l'objet de sa fabrication, rien ne pouvait lui échapper. Puis il lui fit signe d'avancer. Dès le premier pas, Roxane se sentit brûler. Le désir prit une ampleur plus importante, et elle grandissait à chaque pas, devenant presque insupportable. Elle tremblait, le souffle presque coupé. Mais elle avançait toujours vers son Maître, alors qu'elle peinait à marcher sous le feu qui brûlait son corps. Elle avait si faim ! Si faim qu'elle se sentait devenir folle et commençait à trembler des pieds à la tête. De plus en plus amusé, le démon ricana et semblait vouloir jouer de cet état. En entendant ses mots, Roxane paniqua. Non ! Il ne pouvais pas lui faire une chose aussi terrible... elle avait trop faim ! Ce qu'elle en penserait ?
La jeune femme ne put tenir davantage sur ses jambes tremblantes. Elle tomba à genoux, à ses pieds, et s'agrippa à lui en gémissant.
- Oh non... Maître... pitié, j'en mourrais... j'ai si faim... !
La première proie ne viendrait que demain. Jamais elle ne tiendrait jusque là ! La menace du démon était une torture. Elle ne pouvait imaginer tenir autant sans se repaitre. Elle allait devoir le supplier, mais peu importe. Elle gémit de nouveau alors que la chaleur était plus présente encore, la faisant trembler. Elle serra les cuisses, se mordant les lèvres. Elle aurait voulu se toucher, adoucir un peu ce désir en elle, mais elle n'en avait pas le droit.
Elle serrait les poings tellement forts que ses ongles s'enfonçaient dans sa peau. Elle releva son visage vers son créateur, les yeux brillants de désir.
- Maître... je vous en supplie... je... ah !
Elle émit un gémissement, tremblant encore. Elle sentait l'excitation entre ses cuisses qui commençait à humidifier son intimité, elle sentait la pointe de ses seins se durcir sous le tissu et sa peau frissonner au moindre coup de vent. Elle respirait bruyamment, incapable de retenir cette envie.
- Arrêtez ! Je ne peux plus... oh Maitre j'en ai tellement besoin, je ne peux plus attendre, pitié...
Sa voix était gémissante, demandant avec ferveur qu'on la délivre de cette terrible, mais délicieuse torture. Il faisait si chaud ! Sa tête commençait à lui tourner tant les sensations étaient fortes.
* * *
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Le Dieu éclata de rire devant la déconfiture de la chose qui lui servait d’outil… il en rit à s’en tenir les côtes, amusé par la situation, elle e était arrivée là, à devoir supplier pour assouvir une faim qui n’était pas entièrement sienne, seules les braises étaient siennes, l’essence, était celle qu’avait rajouté Rahemar, pour son plus grand plaisir en la matière. Non, pas une histoire de plaisir sexuel, juste un plaisir particulièrement vicieux à « partager ». Il se contentait donc de lui faire part de son hilarité en s’en tenant les côtes… Il semblait avoir du mal à se retenir d’agir de la sorte… bon, d’accord, il n’essayait pas vraiment de se retenir ! Immense sourire sur les lèvres, il finit néanmoins par calmer son fou-rire alors qu’elle venait encore une fois le supplier, elle ne pourrait pas attendre demain ? Vraiment ? Et bien, elle allait devoir se retenir… et soyons honnêtes, elle n’en mourrait pas ! Si ? Et bien disons que sauf si il s’était trompé en lui accordant ses pouvoirs, en modelant sa nature, elle ne pourrait pas crever d’envie au sens littéral du terme…
Ses yeux, ses lèvres, son corps entier criait au plaisir le plus complet, alors pourquoi se priver de l’empêcher de faire quoique ce soit ? Ce ne serait pas drôle de la voir se soulager devant lui, comme ça, et sincèrement, elle n’était pas assez intéressante à ses yeux pour qu’il ne la soulage lui-même… quoiqu’en gardant ce corps elle devrait souffrir de manière exquise, non… en effet, si on gardait toutes les proportions, cela risquait d’être même impossible…
« Oui, je sais que tu as faim… je m’en rends très bien compte…. Je sais ce que tu ressens, mais je ne sais pas, je ne suis pas convaincu par ta performance… quelque chose me dit que tu manques un peu d’envie, comme si tu ne croyais pas vraiment à ce que tu disais…. »
Oui, juste une manière de rendre le tout plus mauvais encore : il suffisait de retarder la délivrance… mais cela ne passerait pas comme une lettre à la poste, non, si il la délivrait, il lui fallait offrir autre chose en contrepartie, une chose. Il ne soulagerait pas son fardeau sans raison valable et sans qu’elle ne souffre en contrepartie, il n’y aurait rien pour rien ! Il s’en amusa énormément. Il la regardait sur le sol comme une larve, larve qui suppliait de mettre fin à son supplice, et lui, il était le gosse à la loupe qui venait de bruler les antennes de l’insecte, le regardant se tordre avec le même plaisir sadique que trous les marmots.
« Que vais-je faire de toi, insignifiante petite chose ? Tu es là, à gémir pour te soulager comme la dernière des catins, et je suis presque tenté de te venir en aide, mais je ne sais pas pourquoi… je n’en ai pas envie… à moins que… »
Il laissa volontairement sa phrase en suspend avant de finalement faire un mouvement de tête négatif. Comme si ce n’était pas une bonne idée…, puis, comme mu par une idée génial, il frappa dans le creux de la paume de sa main de son poing, comme si il avait une idée géniale…
« Je peux accélérer son trajet, avec de la chair et du sang… c’est quelque chose de dangereux, il pourrait ne jamais arriver à destination si je me trompe… et tu ne serais pas satisfaite pendant au moins une bonne semaine…. Penses-tu pouvoir te retenir une semaine ? Ben tiens, quand je disaisque tu étais une incapable… »
Il n’était pas déçu sa voix se tintait d’une note de… jubilation…. Oui, même le dieu s’était trahi…
« Bon, allez, j’ai pitié ! Dans mon extrême compassion et mon infinie bienveillance je t’autorise à te détendre, mais tu le fais maintenant et sans les mains. Je crois que sinon, tu vas en devenir folle et tu n’auras alors plus aucune utilité… tu seras bonne à jeter, et quand je me débarrasse de mes outils, lje les dépouille de tout ce que je leur offre… puisque tu supplies comme une larve, jusqu’à nouvel ordre tu seras larve, interdiction de te relever à compter de ta délivrance ! »
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* * *
Son besoin, son envie, semblait se décupler un peu plus à chaque seconde. Mais le démon ne semblait pas être d'accord pour lui offrir son aide aussi facilement. Sa faute était-elle réellement si grave pour subir un tel châtiment ? Méritait-elle vraiment une punition qui pourrait bien la mener à la folie ? Mais après tout, les démons n'étaient pas des enfants de cœur, ils aimaient la souffrance qui se lisait sur le visage des autres, même de leurs outils qui devenaient alors victime durant un instant. Roxane n'aimait pas l'idée d'être victime, mais elle aurait été bien folle et inconsciente d'exprimer sa colère et de se mesurer à son Maître. Elle n'en avait tout simplement pas le pouvoir. Et son châtiment serait alors bien pire que la mort. Oui, bien pire ! Il disait pouvoir comprendre sa faim et ce qu'elle engendrait, mais elle en doutait sérieusement. Pourquoi refusait-il de la libérer ? Combien de temps encore allait durer ce supplice ?
Il l'observait, de plus en plus amusé, semblant réfléchir au meilleur moyen de l'asticoter encore et encore. Elle savait qu'il n'avait pas envie de mettre fin à cette joyeuse petite torture, tant que cela pouvait l'amuser, il continuerai. Et rien qu'à cette idée, Roxane avait envie de hurler. Elle n'en fit rien, se contentant de gémir et de serrer les dents. Elle ne se sentait as vexée ou en colère qu'il la traite de vulgaire catin. Après tout, c'est ce qu'elle était, elle en était consciente.
Elle espérait qu'il change d'avis, qu'il mette fin à cette torture, mais non. En fait, ses paroles rendait la chose plus difficile encore et la désespérait. Mais elle n'avait d'autre choix que de se plier et se taire. Une semaine ? Impossible. Plus qu'impossible en fait. Elle secoua la tête, muette sous les assauts féroces de son corps. Finalement, soit disant par pitié, il lui offrit une alternative. Une alternative qui n'en était pas une toute à fait, mais quand même, c'était mieux que rien. Elle soupira, envahie de frissons. Sans les mains ? Grotesque... comment ? Il n'y avait rien ici qui puisse la soulager autre que ses mains. A part son Maître. Mais il ne semblait pas vouloir explorer cette option. Tant pis. Elle allait devoir tricher un peu et peu importe si ça en plaisait pas, elle ne pouvait plus attendre.
Elle rejeta sa tête légèrement en arrière et soudain, sa robe se déchira dans son dos, laissant apparaitre quatre tentacules. Elle pouvait elle aussi changer son apparence, et bien soit, elle se servait de ce pouvoir donné si généreusement. Deux des tentacules filèrent doucement vers sa poitrine désormais dénudée et se mirent à les caresser. Elle gémit, cette fois de plaisir. Cela faisait tant de bien !
Une autre tentacule caressa ses hanches avec sensualité tandis que l'autre, plus avide, venait caresser son intimité. Elle se mordilla la lèvre et sans pouvoir réellement attendre, fit pénétrer la tentacule à l'intérieur de son sexe humide et chaud. Elle gémit de plus belle, entrouvrant un peu plus les cuisses, profitant de ce moment incroyable de libération.
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Comment allait-elle faire ? Il se le demandait sincèrement, tout ce qu’il voulait, c’était s’amuser. et s’amuser, se divertir, lui demandait beaucoup de créativité, alors de temps à autres, utiliser la créativité des autres n’était pas toujours mauvais. La preuve, rien qu’en imaginant comment elle se débrouillerait sans les mains Il lui avait donné une occasion en or de se montrer plus inventive pour se satisfaire, et il pensait sincèrement qu’une bonne catin, pour se soulager trouve toujours un moyen, si vous permettez ce petit proverbe du cru du narrateur !
Il se demandait sincèrement de commet elle allait le faire, si c’était si urgent que cela elle n’avait qu’à désobéir…. Il voulait qu’elle désobéisse, ne serait-ce que parce qu’il avait envie de jouer, et qu’il était sur qu’il pouvait lui faire peur comme jamais elle ne l’avait eu… il pourrait la pendre par les pieds du haut de la tour et regarder ce qui se passe avec le sang qui remonte dans la tête si jamais elle désobéissait, sinon, elle pouvait bien venir se frotter l’intimité contre un pied du lit, cela soulagerait et frustrerait en même temps, perspective intéressante à superviser et à regarder, et surtout, après, plonger ses yeux dans son regard et y lire comme à ciel ouvert l’insatisfaction de la situation voilée par l’envie de lui plaire en quelque manière que ce soit. Il en avait des frissons partout rien que d’y penser.
Et c’est alors qu’il eut l’impression qu’il venait d’être surpris quand il vit la robe se déchirer et qu’il vit ce qu’il en sortait : des tentacules ! Il avait fait beaucoup de plans dans sa tête, mais jamais il n’avait pensé à une telle idée ! Elle était inventive, et vous savez quoi ? Elle venait de gagner son ciel ! En faisant preuve d’une originalité amusante, elle venait de le surprendre assez pour se sentir amusé !
« C’est bon, tu peux arrêter, je vais calmer ta faim moi-même, fais moi disparaitre ça ! »
Oui, il était quand même un poil dégouté par ce qu’il voyait, non pas qu’il n’estime pas les tentacules amusantes, mais disons juste qu’il les préférait à petite dose, de temps en temps, il avait lâché il y avait moins d’un mois une créature tentaculaire dans le bordel le plus en vogue de Nexus, accompagné d’une bonne vieille MST, ça c’était répandu encore plus vite que dans un harem turc ! il en avait bien ri ! Donc, oui, la kles tentacules, il frissonna de délice et d’horreur en même temps.
Puis, doucement, il se leva et s’approcha d’elle, reprenant l’apparence de son ex mari, vous savez, l’homme qu’elle avait fui il y avait si longtemps pour tomber entre ses griffes.
« Ce sera une manière de célébrer le bon, vieux temps, allez, relève-toi et viens sur le lit ! Je vais faire disparaitre la faim qui te brûle, et tu t’en souviendras… »
Il sourit et déposa une main chaude sur son épaule, avec un grand sourire.
« Rappelle moi un peu comment tu traitais ton mari lorsqu’il t’imposait le devoir conjugal…. Montre moi un peu comment tu maitrises ton art ! »
Il eut un grand sourire !
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* * *
Roxanne n'arrivait pas à croire qu'elle ait osé faire ça. En soit, ce qu'elle venait de faire n'était pas réellement de la désobéissance, loin de là. Elle avait suivit les règles : ne pas se servir de ses mains. Elle aurait pu frotter son sexe contre quelques chose, n'importe quoi, mais cette idée là avait été bien plus lumineuse et surtout, bien plus satisfaisant. Les tentacules, elle n'avait jamais essayé. L'idée lui était apparut tout naturellement, sans doute poussé par la faim grandissante qui avait prit possession d'elle. Et il fallait avouer que cette idée était fabuleuse !
Ses seins étaient plus durs et pointaient plus que jamais sous les caresses délicieuses des deux tentacules. Et cette autre qui la pénétrait, ce n'était pas aussi bon que le sexe dressé et puissant d'un homme, mais au point ou elle en était, elle ne demandait pas davantage. C'était si bon !
Quelques gouttes de sueur coulèrent dans son cou et entre ses seins tandis qu'elle se faisait un bien fou. Elle ne chercha pas à voir la réaction de son Maître, elle viendrait d'elle même bien assez tôt. Et en effet, il ne lui laissa pas vraiment le loisir de se faire plaisir davantage ainsi. Elle cessa alors ce qu'elle faisait au moment même ou la voix du démon retentit. Roxane avait les joues légèrement roses sous l'excitation et elle osa lever les yeux sur l'individu.
Il lui ordonna de faire disparaitre les tentacules, annonçant qu'il se chargerait d'assouvir sa faim lui même. La jeune femme n'était pas certaine que cela soit une bonne nouvelle, mais bizarrement, cette idée l'excitait. Alors elle obéit, faisant disparaitre soudainement ses tentacules pour reprendre sa forme normale.
Mais ce ne fut pas le démon, ni même un être parmi d'autre qui s'avança vers elle... mais son mari. Ou tout du moins celui qui l'avait été durant des années: Sylvain. Son cœur rata un battement et elle soupira, ayant un léger mouvement de recule. Ce démon était décidément capable du pire sadisme.
Célébrer le bon vieux temps, se faire de nouveau toucher par son ancien mari, ce n'était pas vraiment bon pour elle. Elle aurait tout accepté, mais ça, elle en avait bien du mal. Elle était sur le point de refuser, mais préféra se taire. Il allait assouvir sa faim, nul besoin de le faire changer d'avis !
Il posa une main sur son épaule et elle le regarda, évitant de trop baisser les yeux. Alors, elle finit par timidement suivre ses ordres et alla s'installer sur le lit, le souffle court.
Elle aurait pu, comme elle avait l'habitude de faire, changer un peu son apparence pour aguicher les sens de sa "victime" qui était plutôt son bourreau aujourd'hui. C'est ainsi qu'elle avait l'habitude de s'y prendre. Seulement elle ne pouvait pas pénétrer l'esprit de son aître pour connaître ses fantasmes, et s'il avait prit le visage de son mari, c'était pour la prendre ainsi, telle qu'elle était, telle qu'elle avait été.
Une fois qu'elle fut plus proche de lui, sur le lit, elle posa délicatement le bout de ses doigts sur la chemise qui le recouvrait afin de l'ouvrir lentement et sensuellement. Elle, elle était déjà quasiment nue. Il n'y avait encore qu'un morceau de sa robe la recouvrant au niveau des hanches, mais rien de plus.
Une fois la chemise sur le sol, elle déboutonna doucement le pantalon, plongeant son regard dans celui de son "mari" pour ne pas fuir la situation, ce qui aurait agacé son Maître.
Elle fit glisser le vêtement le long des jambes de l'homme, suivit rapidement par le sous-vêtement, laissant apparaitre son sexe.
Roxane eut une petite seconde d'hésitation, mais finit par refermer doucement sa main sur le membre de question, commençant alors à la caresser avec dextérité. Celui-ci durcissait à vu d’œil. Le fait de refaire l'amour à Sylvain était perturbant, mélangeant une sorte de torture mentale à un plaisir charnel. Elle continua ses caresses jusqu'à ce que le sexe soit dur, puis se pencha pour le lécher. Elle début ainsi, humidifiant le sexe au fur et à mesure, jouant un peu avec celui-ci, le titillant, avant de l'engouffrer dans sa bouche avec une lenteur incroyable...
* * *
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Il n’avait pas besoin de pénétrer son esprit pour connaitre une vérité qui apparaissait comme l’évidence même : cet acte l’excitait autant qu’il la révulsait. Il savait très bien ce qu’elle pensait de Sylvain, il savait très bien pourquoi elle avait fui, il savait aussi très bien pourquoi elle était ici et pas six pieds sous terre. Elle l’avait fui, et elle était obligée de le supporter de nouveau. Oh, certes, les premiers temps, elle devait l’avoir trouvé très bien, très bon avec elle, mais après, c’était ça qui importait, comment Rahemar avait dégradé toute cette entente avec des gestes qui paraissaient simples et anodins, il l’avait manipulée depuis le début, et elle ne comprenait sans doute pas qu’il avait toujours été là, et pourtant.
« Oui, voilà, c’est très bien… »
Il lui flatta le flanc droit quand elle fut sur le lit et l’y rejoignit, non sans un grand sourire torve sur les lèvres, s’installant confortablement sur le lit, la tête reposant sur assez d’oreillers pour pouvoir l’observer en plein travail. Car oui, c’était bien cela son travail… et elle le savait tout autant que lui !
Il la laissa tout faire, il n’était pas là pour travailler, mais en l’occurrence pour se détendre et s’amuser. Ce divertissement était pour lui une manière comme une autre de vérifier l’état de son outil pour la suite, car il avait de grands projets pour elle ! Ou du moins, des projets à la mesure du talent qu’elle saurait développé ou qu’elle avait développé, tout cela ne dépendant pas de lui, mais d’elle, rien de plus… Elle le déshabilla lentement, un poil trop à son gout, mais bon, il ne pouvait qu’apprécier son self contrôle et la maitrise de la situation telle qu’elle l’affichait. Oser le regarder dans les yeux en cet instant, c’était du cran et il respectait cela au plus haut point !
Le seul moment où il la sentit faillir fut avant la prise en main de l’objectif, en effet il sentit son hésitation et peut être que si sa joue avait été plus proche il l’aurait giflée pour cela, mais bref, vu la situation, autant passer l’éponge, d’autant que cette main qui glissait lentement sur l’attribut masculin par excellence faisait son petit effet relaxant, son petit effet divertissant, elle avait la main douce et chaude, et d’une certaine manière, on sentait une forme d’empressement et en même temps de répulsion, d’autant plus plaisant quand la jolie langue rose vint laper l’objet de désir de la « jeune » femme. Et que dire quand ce furent, très lentement ses lèvres qui se joignirent à la partie. Il ne pouvait que reconnaitre son talent en la matière. La lenteur presque exagérée était tout ce qui était nécessaire pour offrir autant de sensations que ce qui était possible. Il ne put s’empêcher un commentaire.
« Si tu t’occupes de toutes tes cibles comme ça, pas étonnant qu’ils te troussent jusqu’à en mourir… »
Ceci fait, il sourit et se redressa pour aller doucement, d’une pression sur ses flancs, la forcer à se tourner légèrement, ‘inaction n’avait pas que du bon, il voulait, lui aussi occuper un peu son temps, malgré le plaisir qu’elle procurait et qui lui accaparait une partie majoritaire de sa conscience. Cela ne l’empêvcha pas de lui mettre une petite claque sur sa croupe, qui suivit d’un malaxage en règle… l examinait sa pouliche.
« Décidément, j’ai bien fait de prendre cette apparence juste pour toi. Le démon aurait écartelé ton corps jusqu’à ce que tu romps ! Mais laisse moi deviner, cela te faisait envie aussi ! »
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* * *
En général, Roxane était toujours celle qui contrôlait l'acte. Mais si elle laissait parfois l'homme prendre le dessus, elle contrôlait toujours tout, méticuleusement, sans leur laisser la possibilité de la dominer vraiment. Elle les manipulait pour décider ou et comment ça devait se passer. Elle fonctionnait ainsi depuis toutes ces années, elle pénétrait dans les désirs les plus secrets des hommes et s'en servait comme d'une arme. Mais aujourd'hui, tout était différent. Complètement différent. Elle avait l’impression que les rôles s'étaient échangés et qu'elle était la victime, et son Maître le manipulateur. Oui, c'était exactement ça. Et en effet, cette situation la révulsait et l'excitait tout autant.
Elle savait que ce n'était pas à Sylvain qu'elle donnait ce plaisir, ce n'était pas à lui qu'elle devrait s'offrir et contenter, mais bel et bien son Maître. Et pourtant... pourtant elle ne pouvait s'empêcher d'avoir l’impression qu'il était vraiment là. Et ça rendait la chose très compliqué.
Autrefois elle avait aimé cet homme, profondément, et lui avait tout donné. Leur amour avait été puissant, il était un homme doux et attentionné, romantique même. Il se serait damné pour elle, et inversement. Et puis tout avait basculé le jour ou leurs enfants étaient morts dans l'incendie. Quelque chose s'était brisé, et Sylvain était devenu un monstre. Il n'y avait plus de mot doux, plus de caresses, que des cris, des coups, et des rapports forcés. Un cauchemar, un souvenir atroce qui lui faisait un mal de chien dès qu'elle y pensait. Et à cet instant, elle ne pouvait s'empêcher d'y penser. Et ce corps ! Ce corps qui avait toujours faim et réclamait, excitée malgré elle par la situation. Pourquoi ? Elle l'ignorait. Était-elle du genre masochiste finalement ? Allez savoir !
Le Maître la félicita, ce qui la fit frissonner de plaisir. Sucer ce membre lui plaisait malgré tout. Il la poussa cependant à cesser et à se retourner, ce qu'elle fit sans rechigner. Elle faisait de nouveau face à Sylvain, et son cœur se serra dans sa poitrine. Elle se sentait déchirée entre l'envie puissante qu'il la prenne, et le besoin cruel de fuir et de se refuser à un acte quelconque. Son Maître lui souligna que s'il avait gardé son apparence de démon, il l'aurait sans doute écartelé, mais se disait que ça lui aurait sans doute plu. Roxanne ne savait pas trop quoi répondre, mais fini par dire, la voix légèrement tremblante :
- Je... je ne sais pas. J'étais... curieuse...
Curieuse, oui, c'était peut-être cela. Car au final l'idée d'être écartelée ne lui plaisait pas du tout, vraiment pas. En revanche, être prise par un monstre puissant et dominant, oui. Sans doute.
Les caresses et les attouchements qu'il lui procurait faisait de nouveau grimper le plaisir en elle. Un désir puissant alors qu'elle reconnaissait sur elle les mains de son mari. Elle ne pouvait pas les oublier. C'était un véritable combat en elle, mêlant torture et plaisir.
* * *
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Elle était douée, très douée, tout ce qu’il fallait maintenant, c’était voir jusqu’à quel point elle l’était, car il était sur qu’il y aurait peu de limites à cette compétence qu’elle avait eu tant de siècles à développer ! Il l’avait laissée cultiver son don patiemment, espérant toujours une révélation quant au potentiel de l’outil, mais jusqu’alors il était resté dans le flou. Il trouvait que souvent, elle manquait de discernement, c’était ainsi qu’elle en arrivait à satisfaire sa faim sans penser aux conséquences de ses actes, don son acte, prenons plutôt au cas par cas. Laisser des gens rentrer en vie, déjà, ensuite laisser les gens dire ce qu’ils voulaient sans les influencer. De temps en temps des cri de terreur et de douleur à vous en faire péter les tympans accompagnés d’un bon rugissement auraient permis d’entretenir le mythe de la damoiselle en détresse… mais non, ça bien sur, elle n’y avait pas pensé apparemment…. Quand je vous disais que le dieu manquait cruellement de discernement !
Peu enclin à la gentillesse gratuite, il hésitait entre deux réactions à ses paroles : changer d’apparence ou en remettre une couche sur l’apparence qu’il avait revêtu pour lui rappeler les bons souvenirs – qui n’étaient bons que dans l’esprit du dieu d’ailleurs, et il le savait pertinemment… et pour cela, il s’en amusait plus que de raison ! Il avait ce sourire enfantin aux lèvres et sans doute le quitterait-il vite car il avait autre chose à faire de ses lèvres, comme proférer des propositions où perlaient une légère nuance de menace si légère et si ténue qu’il aurait fallu avoir l’esprit clair pour le comprendre…
« Alors, cela te fait plaisir de retrouver ce corps que tu connais si bien, j’en suis persuadé, non ? Mais je me demandais si tu n’apprécierais pas davantage que tout se passe comme si j’étais vraiment lui… après tout, d’une certaine manière, tu aimais ça… »
Mensonge, mais qu’elle ose nier les propos de son seigneur et maitre, ce serait amusant, tiens ! Il eut un nouveau ricanement alors que, se penchant vers le corps qu’il effleurait et caressait – non sans une certaines forme de possessivité – pour lui mordre la chair, pas jusqu’au sang, mais sans doute que cela ne passa pas loin. Quand il relâcha la pression sur ses chairs, il y avait une jolie marque de dents sur sa cuise, il savait très bien qu’elle la ferait disparaitre sans problème, là était le pouvoir de la transformation.
Frémissant sous les attouchements u’elle lui procurait à l’aide de ses lèvres sur sa verge parfaitement prête à l’emploi, il lui mit une nouvelle fessée.
« Est-ce là toute l’étendue de ton talent où as-tu dans ton sac d’autres tours qui méritent d’être montrés avant que tu n’obtiennes la seule chose à laquelle tu aies droit ? »
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Roxane aurait sans doute préféré se nourrir sur l'une de ses victimes. Elles étaient toutes bien différentes, chacun avec un petit truc, qui la poussait à agir différemment, à pousser un peu plus les portes de l'étrange et de la sensualité. Il lui arrivait, souvent, de tuer ses victimes après l'acte. Elle n'en rougissait pas, ne le regrettait pas non plus, mais n'en faisait pas une habitude. Elle en avait laissé certains partir, mais dans un tel état de traumatisme que la plupart s'était donné la mort ou avaient été enfermés comme fous. Enfin, il y avait les plus chanceux, qui avaient lancé les rumeurs. Et comme Roxane ne prenait jamais la même forme suivant ses proies, les histoires étaient de plus en plus farfelues. Cependant, elle n'était pas si stupide que ça. Peu importe que l'on hurle qu'un monstre se trouvait dans la tour, car nombreux était les hommes fous ou vaillant à vouloir braver ce genre de légende, à chercher un défi à la hauteur de leur force. Nombreux avaient échoué. Aujourd'hui les victimes étaient un peu rare, mais Roxane avait l'habitude d'attendre. Pas son Maître.
Il était alors tout spécialement venu pour lui donner une petite correction et lui expliquer ce qu'il attendait d'elle... avant de se rendre compte qu'elle ferait un jouet et un divertissement fabuleux pour quelques instants.
Voilà comment elle était arrivé à cela, presque entièrement nue sur le lit, à caresser et sucer le sexe d'un démon ayant prit l'apparence de son défunt mari. Une torture affreuse, mais sa faim était grande, et elle aimait le sexe. Sans compter que se refuser au démon aurait été pure folie. Du suicide !
Son Maître présumait qu'elle devait aimer retrouver ce corps qui l'avait mainte fois aimé dans le passé, et qu'elle apprécierait même peut-être encore plus qu'il soit réellement Sylvain. Roxane rougit, sans savoir que répondre. Bien sûr que non ! Si autrefois cet homme avait été doux, ses derniers souvenirs de rapports avec lui étaient des plus affreux. Mais que dire ? Elle n'allait tout de même pas démentir ouvertement... ce serait trop risqué. Elle garda donc le silence.
Soudain, il remua et elle sentit une vive douleur à la cuisse. Il venait de la mordre, férocement. Elle gémit, souffrant presque autant qu'elle était excitée. Mais le Maître se demandait si elle n'avait pas d'autre atouts. La jeune femme réfléchit un court instant. Son Maître était très excité, mais l'idée de l'émousser plus encore la ravissait. Quel dommage qu'il soit Sylvain... et quel plaisir en même temps.
Elle se pencha sur lui pour lui offrir un baiser sucré et langoureux. Finalement, elle se concentra un peu, et posa ses mains sur ses seins qui se mirent à grossirent. Au naturel, ils étaient plutôt de taille moyenne, insuffisante pour ce qu'elle entreprenait. Une fois que sa poitrine fut ronde et particulièrement généreuse, elle enserrera le sexe de son mari, ou de son maître, entre ceux-ci, exerçant alors des mouvements de vas et viens pour caresser sa verge du bas jusqu'en haut, lentement. Puis, en même temps, elle recommença à sucer le bout de son sexe avec gourmandise. Agir ainsi l'excitait et son intimité se faisait plus humide encore, elle pouvait le sentir. Elle ne cessa que pour murmurer, sans pouvoir se retenir :
- Hum... vous avez bon goût, Maître...
Étais-ce le même que celui de Sylvain ? Peut-être, elle ne voulait pas s'en souvenir.
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Oh, vraiment, de cette manière là ? Et bien soit, c’était amusant, il toucherait du bout de sa verge ses amygdales plus tard, parce que cette manière de faire était particulièrement plaisante pour deux raisons :
D’abord, il y avait le fait qu’en utilisant ses monts de chairs dans une superbement bien exécutée cravate de notaire ! On sentait l’habituée à ce genre de sensations, en effet, elle avait directement commencé à faire grossir sa poitrine pour être plus efficace dans le domaine avant de commencer ses vas et viens de son corps sur la verge du dieu des apparences, il pouvait autant jouer avec la sienne que celle des autres. Peut être y aurait-il recours à un autre moment, qui sait…
Le deuxième point, c’était le rôle que la femelle donnait à son propre corps, ainsi, elle s’avilissait encore plus, montrant qu’il disposait d’elle autant qu’il le désirait puisqu’elle donnait son propre corps, son propre corps n’était plus qu’un objet sexuel entre les mains d’un maitre. Elle se donnaiyt à nouveau entièrement, il aurait pu la jeter du haut de la tour qu’elle n’aurait pas émis la moindre protestation. Ou du moins, elle ne l’aurait pas formulé assez fort pour qu’il l’entende … il aimait tant avoir la main mise sur l’autre ! C’était tellement grisant ! Il inspira à fond cette odeur purement fictive de luxure et d’abandon complet qui émanaient de l’individu de sexe féminin qui lui appartenait complètement !
Le Dieu la regarda faire avec délice alors que doucement, il venait empoigner ses cheveux pour l’encourager à se montrer plus volontaire quand elle léchait ce qui dépassait de sa poitrine désormais particulièrement opulente. Il s’agissait d’une excellente sensation, et mieux encore, il savait une chose qu’elle ignorait : comment il voyait se passer la suite. Sans ménagement, il raffermit sa prise sur sa chevelure blonde la redressa tout en l’attirant vers lui.
« Oui, je sais que j’ai bon gout, j’ai pris le gout de ton défunt époux… »
Il vint gifler les joues de son outil qui savait en cet instant se mettre en valeur de sa verge avant de la « jeter » pour l’allonger sur le ventre sur le lit alors qui saisissait les restes de la robe, il ne le déchira pas, mais le lui enleva précipitamment tout de même. Il manquait clairement de patience. Il sourit et lui saisit les poignets pour les attacher avec les restes de robe, qui, une fois en place devinrent de solides et cruelles lanières de chanvres qui savaient parfaitement bruler les poignets assez pour rendre les choses désagréables sans pour autant attaquer la chair, la blesser de manière trop cruelle n’était pas son but… il voulait jouir pleinement de ce corps et de son outil avant de l’abîmer.
Il sourit et doucement, comme pour lui rappeler son ancien « propriétaire » car soyons sérieux, elle appartenait à son mari avant de lui appartenir, il lui prit de nouveau les cheveux pour la faire se cambrer légèrement. Il sourit en posant sa verge sur son intimité trempée ; son autre main sur sa poitrine, il se pencha pour lui murmurer :
« Dis moi, te souviens tu de ta première fois, comment il t’a pris été fait sienne ? Parce que cela va recommencer… »
Il sourit et en effet, il s’amusa à légèrement transformer son corps, réduisant énormément sa poitrine, la faisant passer de opulente à discrète. Il lui pinça par la suite mamelon alors qu’un Hymen tout neuf se créait dans on intimité.
« ça te fera un souvenir inoubliable… »
En tordant violamment d’un coup la pointe de chair de la jeune femme, il entra en elle d’un violent coup de rein tout en la forçant à se cambrer à outrance.
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Elle sentait que ce qu'elle faisait lui plaisait, et c'était bien le but. Le membre était, tendu, puissant, beau. Sylvain, de ce coté là, avait été gâté par la nature. Oui... elle s'en souvenait bien, et chaque fois que ce sexe pénétrait entre ses lèvres, malgré elle, elle se remémorait ces moments là ou, coquine et disciplinée, elle offrait ce genre de gâterie à son mari. Le gentilhomme adorait ça, mais par pudeur, ne le demandait jamais explicitement à son épouse, préférant nettement lui procurer du plaisir plutôt que d'en recevoir simplement. Tout avait changé bien sûr à partir du moment ou il avait commencé à boire et s'était montré violent. Ça, elle ne voulait plus y penser. Malheureusement, elle n'en aurait pas le choix.
Roxane sentit la main de son Maître se refermer sur ses cheveux et lui relever la tête pour la redresser et l'attirer vers lui. Elle émit un petit gémissement sous le traitement, tentant d'ignorer la douleur. Il lui rappela qu'il avait clairement prit le goût de son mari. Une pointe de désespoir perla dans les yeux de la jeune femme qui préféra fermer les yeux. A ce moment-là, elle se prit une gifle, puis fut brusquement rejetée sur le lit, à plat ventre. Elle gémit de nouveau, sonnée. Elle avait... comme une impression de déjà vu particulièrement désagréable.
Soudain, sa robe lui fut enlevée. Elle pensait qu'il allait la lancer plus loin mais non, il s'en servit comme des liens, lui donnant d’ailleurs leur apparence. Roxane avait encore cette impression d'être déjà passé par-là. Et pour cause, Sylvain se montrait en effet tout aussi violent et indigne envers elle. Et son maître reproduisait avec délice les même gestes, l'enfonçant plus encore dans cette souffrance mêlée de plaisir. Elle avait mal, mais elle ne voulait pas le montrer. De nouveau, le Maître imita son mari autrefois, agrippant de nouveau sa chevelure pour la forcer à se cambrer. Elle ne put retenir un nouveau gémissement et un râle de douleur, serrant la mâchoire. D'une voix toujours aussi semblable à celle de son époux, il lui demanda si elle se souvenait de la première fois que Sylvain l'avait prise, la nuit ou il 'avait déflorée. Une larme apparut au coin de ses yeux. Elle s'en souvenait parfaitement. C'était durant leur nuit de noce, au château de Vissec. Un moment fabuleux, splendide, qui aujourd'hui prenait une allure de cauchemar. Comment pouvait-il oser rendre ce si beau souvenir en un moment aussi affreux ? Roxane était à deux doigts de se débattre, de ne plus obéir, mais elle se retint. C'était une mauvaise idée, elle le savait.
Le Maître fit réduire sa poitrine à son état d'origine, prenant alors l'un de ses mamelon entre ses doigts. C'était douloureux, n'étant aucunement un geste tendre. Mais sa poitrine ne fut pas la seule chose qui changea en elle. Elle sentit un changement dans son intimité. Elle ne comprit pas immédiatement ce qu'il avait fait. Et puis ses paroles raisonnèrent dans sa tête. La Première fois. Non ! Il n'avait pas osé ? Roxane prit un air horrifié sur le visage. Mais elle eut tout juste le temps d'ouvrir la bouche pour protester qu'il s'enfonçait déjà en elle avec violence.
Roxane poussa un cri de douleur. Il la cambrait plus que nécessaire, malmenant son corps tendu déjà par la douleur. La larme dégoulina sur sa joue.
- Maître... je vous en supplie... vous me faîtes mal !
Pourquoi avait-elle l’impression de subitement faire un bond en arrière, dans cette maison froide de campagne ou Sylvain l'avait mainte fois prise avec une violence semblable ? Mais bien sûr, c'était tout à fait le but recherché par le démon... Misère.
Elle pouvait sentir le sang couler en elle et sur la verge de l'homme, nouant sa gorge de honte.
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Souriant jusqu’aux oreilles, il sentit très bien qu’il lui faisait mal, c’était le but aprè tout, il sil avait voulu se montrer doux, il lui aurait donné des baisers dans le cou, ne lui aurait pas attaché les mains et ne lui aurait pas provoqué une remise en place d’un hymen qu’elle n’avait plus depuis tant d’années. Le choc du retour en arrière pouvait être choquant, et c’était plus ou moins le but recherché, le choc de revenir au moment où elle avait été épousée et le moment où elle avait cessé d’avoir toute liberté. Pendant quelques années ça avait été bien, mais après…. Il sourit et se pencha vers elle pour lui murmurer doucement dans l’oreille quelques mots rapides et doucereux qui laissait transparaitre une bonne dose d’exaltation et de jubilation.
« Qu’est-ce qui te fait mal ? Est-ce ça ? »
Il sourit empoigna plus fermeent sa chevelure pour lui renverser la tête en arrière. Et la fixer, dans cette position inconfortable et hautement désagréable. Mais, finalement, il relâcha cette prise, ou plutôt, il l’atténua, de manière à moins tirer à cet endroit. De son autre main, il vint doucement lui gifler le flanc avec délectation, profitant de cette peau ferme et douce à outrance. Avec une lenteur goute volontaire, il laissa sa main remonter vers sa poitrne pour se saisir de nouveau d’un mamelon, et, alors qu’il lui posait une nouvelle fois la question, il lui imprima, en tirant dessus, une violente torsion.
« Ou peut être est-ce cela ? »
Il relâcha la pression pour la prendre au dépourvu en recommençant plus brutalement. Finalement, il laissa cette partie de son anatomie tranquille pour venir saisir la corde. Tirant sur la corde, il faisait frotter les liens élimés contre la peau de son jouet, histoire de rappeler à elle la brûlure du chanvre dur l’épiderme mis à nu. Et il en riait.
« Ah mais attends, c’est peut être cela qui te fait souffrir ! »
Il se retira d’elle et s’y enfonça à nouveau tout aussi brusquement, perforant à nouveau un hymen qu’il avait fait apparaitre et qui s’était montré plus résistant que la dernière fois, juste pour augmenter la dose de douleur. Oui ? une punition dans le cadre des désagréments causés par son manque de discernement. Une punition qui se solderait par l’exutoire pour la servante du dieu, tout simplement. Il se retira à nouveau d’elle pour se plaquer contre sa croipe, constre son dos alors qu’il venait de nouveau malmener ses globes de chair mammaires.
« Ou peut être le tout combiné…. Mais donne moi une seule bonne raison d’écouter ta supplique…. »
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Le plaisir et l'excitation, malheureusement, n'était pas franchement partagée. Roxane savait à quel point les colères et les punitions des démons pouvaient être fourbes et douloureux, mais elle n'avait pas imaginé ce genre de torture là. Aurait-elle préféré qu'il ne lui cède rien et la laisse affamée ? Elle hésitait encore. Mais il était un peu tard pour se poser la question et retourner en arrière, le démon avait décidé de s'amuser et justement, ce genre de petit jeu semblait le faire jubiler.
Pour la suite, il ne s'amusa que plus encore, faisant mine de se demander ce qui pouvait bien lui faire si mal. Il commença par empoigner ses cheveux blond pour tirer dessus, l'obligeant à se cambrer plus qu'elle ne pouvait le faire. Roxane gémit, essayant de passer outre cette douleur qui pulsait dans toutes ses articulations. Il relâcha légèrement sa prise, mais pour mieux gifler son flanc et malmener son sein. Elle poussa un petit cri, mais n'osant toujours pas essayer de se dégager. Face à cela, elle ne pouvait que subir et se taire. Plus ou moins. A priori, supplier n'était pas suffisant, au contraire, cela semblait plutôt l'encourager. La prochaine étape consistait à brûler sa peau délicate en s'aidant des liens inconfortables qui maintenaient ses poignets. La jeune femme serra les dents, baissant la tête en grimaçant, priant pour qu'il finisse par arrêter cette torture.
Malheureusement, c'était loin d'être fini et au contraire, il renouvela le pire, celui de la pénétrer de nouveau, ayant de nouveau créer un hymen intact dans son intimité, qu'il brisé avec une violence extrême, arrachant un nouveau cri de douleur à la jolie blonde qui se contorsionna sous la douleur. Puis il se retira, se penchant sur elle en continuant de se moquer d'elle, lui demandant de lui donner une bonne raison d'avoir pitié d'elle.
La jeune femme ne répondit pas tout de suite, n'ayant pas le contrôle de sa voix tant la douleur la paralysait encore. Elle finit par déglutir et répondre :
- Je vous ai promis de ne plus vous décevoir... que voulez-vous de plus ? Je ferai tout ce que vous voulez, mais je vous en supplie, arrêtez...
Elle avait toujours faim bien entendu, même si la douleur avait un instant anesthésié complètement cette sensation. Et manifestement, le démon ne comptait pas la sustenter comme elle le désirait. C'était dommage, mais elle aurait du s'y attendre.
Elle ravala ses larmes, même si tout son corps criait grâce. Et maintenant ? Allait-il enfin accéder à sa supplique ? Sincèrement, elle l'espérait.
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Il ne fallait être surpris que tout soit à sens unique dans cette relation. Il n’y avait pas d’autres manières de prendre les choses de toute manière, n’avait-elle pas elle-même rappelé son statut. Il était son maître, donc il décidait et il disposait d’elle comme bon lui semblait, non ? Il sourit à cette pensée. Il n’avait que faire de ses suppliques et de sa volonté, aussi, il n’avait pas l’intention d’y accéder. Pas un seul instant cette idée l’avait effleurée. Il lui caressa les cheveux doucement avant de prendre la parole dans le creux de son oreille, d’un ton doucereux qui ne lui allait pas du tout.
« Allons, rappelle-toi… je suis ton maitre et je dispose de toi comme je l’entends… tu le sais… et mieux encore, je t’ai promis d’apaiser ta faim et je le ferai. Je souhaite juste m’amuser avant, j’en ai le droit et le pouvoir ! Alors pourquoi est-ce que tu penses que je devrai en finir plus tôt que j’en ai envie ? »
Il introduisit sa langue dans son oreille avant d’en mordre le lob. Il caressa son fessier rougit par les différentes claques, fessées, et gifles. Il laissa glisser ses foigts le long de son corps. C’était difficile de savoir comment cela se faisait mais ceux-ci étaient glaciaux.. Une main laissa courir son majeur et son index entre ses fesses et le fit remonter le long de la colonne vertébrale très lentement. En passant sur la corde en chanvre, il la changea en velours, desserrant les nœuds, elle pouvait se défaire quand elle le désirait. Mais elle aurait besoin de ses mains pour enserrer les draps et tenter d’amortir la suite des évènements. A cette pensée il ne put empêcher un sifflement qui rappelait un ricanement – si il avait été émis par un serpent - sa main qui venait de remonter le long de son dos se glissa sur sa gorge qu’il empoigna sans douceur, mais sans chercher à l’étrangler pour autant.
Son autre main, quant à elle, avait pris position à un tout autre endroit. En effet, ceux-ci venaient de l’immiscer dans son intimité, la fouillant de fond en comble sans la moindre hésitation, sans la moindre retenue qui aurait été normale chez des amants. Ils n’étaient pas amant. Elle était un jouet dont il se servait, et aussi vulgairement que cela puisse paraitre en cet instant de penser en ces termes, elle était son vide-bourse de l’instant.
« Encore une fois, je me montre plus charitable que je n’en ai envie ou que tu ne le mérite… surtout en t’entendant protester de la sorte… après tout, je n’ai pas de comptes à te rendre. »
Il se mit à onduler de son bassin, faisant coulisser ainsi sa verge dans sa vallée, il n’y avait pas de pénétration, juste des frottements alors qu’il la redressait en continuant de la « tenir » par la gorge, laissant courir ses ongles de chaque côté de sa jugulaire. Il se mit à lui souffler dans le cou, la mordillant de manière récurrente, et c’est là que sa transformation commença.
Alors qu’il gagnait en stature, en puissance musculaire, et aussi en poids et en chaleur corporelle, un craquement fut audible, et les pieds du lit craquèrent. Définitivement. Et le sommier s’effondra entre ceux-ci. Il éclata de rire. Le souffle démoniaque, empli de souffre était exhalé sur son cou, et son corps brulait appréciait le contact frais du sien. Sa longue langue vint, rapeuse, cajoler son mamelon qui devait avoir les nerfs à vif à cause de la succession de douleur, histoire de rendre le tout plus sensible. Sa poigne faisait presque le tour de sa groge avant qu’il ne la relache.
En elle, les énormes pattes griffues faisaient leur possible pour ne pas la blesser. Elle pouvait sentir le membre imposant contre elle et, dans un murmure proche du grondement, il rit en lui disant :
« Toi qui étais curieuse, je vais satisfaire celle-ci en même temps que ta faim… »
Et retirant ses doigts il positionna sa verge.
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Le ton mielleux et faussement doux du démon qui se glissait dans son oreille ne présageait rien de bon, vraiment pas. Résultat, il n’accéderait pas à sa requête. Elle s'en était un peu douté, cela aurait été trop beau. De la violence, il passait à des geste plus tendres, comme caresser ses cheveux, ce qui donnait un peu de répit à la jeune femme qui se préparait tout de même à autre chose, car ça ne durerait certainement pas longtemps. Comme il le disait si bien, elle lui appartenait, elle lui avait promis obéissance et c'est pour ça qu'elle était encore vivante aujourd'hui, disposant de pouvoirs si intéressants. Il comptait bien assouvir la faim de son objet, ce qu'elle était, mais quelque chose lui disait que ce ne serait pas aussi agréable qu'elle se l'était imaginé au prime abord, avant qu'il ne se mette à la torturer. Et il allait prendre son temps. Roxane aurait beau se préparer psychologiquement, elle se disait qu'elle devait être loin d'imaginer jusqu’où pouvait aller ce démon. Il avait tous les pouvoirs et surtout, tous les droits sur elle.
Elle sentit sa langue chaude dans son oreille et ses dents sur son lobe, ce qui déclencha un délicieux frisson à la jeune femme. Sa faim s'éveillait, remplaçant une partie de la douleur qu'elle sentait encore. Et c'était agréable. Ce fut mieux encore, même si la peau était particulièrement froide, lorsqu'il caressa ses femmes et son dos lentement. Roxane frissonna de nouveau, ne pouvant s'empêcher un soupire de plaisir. Les liens devinrent velours, libérant en partie ses poignets qui avaient soufferts. Mais bien sûr, comme elle s'y était attendu, ce plaisir ne dura pas.
En effet, son Maître agrippa soudain sa gorge sans aucune douceur et elle sentit les doigts de son autre main, gelés, pénétrer et fouiller furieusement on intimité, ravivant un peu la douleur. Ce n'était pas aussi douloureux que le traitement précédent, elle parvenait même à ressentir du plaisir et gémit. Mais les mots qui suivirent en disaient long, elle ne devait pas prendre l'habitude de ce traitement plus sympathique.
Le membre imposant glissait entre ses cuisses, excitant la jeune femme davantage qui en éprouva un réel délice. Le traitement, pour le moment, était superbe et elle gémit un peu plus davantage, de plaisir cette fois-ci plutôt que de douleur. Que c'était bon ! Elle n'avait plus qu'une envie : qu'il la prenne, là, maintenant.
Mais elle fut éjectée de sa rêverie lorsque le lit craqua et que les pieds cédèrent. Les doigt lisses et agréables dans son antre devinrent chauds et agressifs, la main sur sa gorge s'agrandit et elle put sentir la pointe des griffes titiller sa peau. Quant au membre entre ses cuisses... il avait nettement grossit. Roxane su immédiatement ce qui venait de se passer et son cœur rata un battement. Il n'allait pas... mais si.
L'époux était devenu démon, monstre hargneux et imposant dont la langue rapeuse vint titiller son sein sensible, les doigts qui bougeaient en elle lui faisaient mal, le moment de répit était bel et bien terminé.
En peu de temps, alors qu'elle avait tout juste réalisé ce qui se passait, il avait déjà positionné son membre, plus qu'imposant, face à son intimité. Roxane se débarrassa du lien, libérant ses mains et ses bras pour agripper le drap... et tenter de s'échapper. Oui, elle osa. Pas besoin d'observer ce monstre pour savoir qu'elle allait salement déguster, et à sentir la taille de ce membre, elle n'était pas certaine de pouvoir supporter la douleur. Malheureusement, il la maintenait fermement.
- Maître, non ! Pas ça ! Je... je n'ai plus faim, je ne veux plus !
Et oui, la curiosité est un vilain défaut n'est-ce pas ? Elle aurait mieux fait de se taire. Et mentir comme ça ne tromperait personne, encore moins le démon qui la dominait sans le moindre effort.
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Oh, elle ne voulait pas ? Elle n’avait plus faim ? Menteuse ! Même lui il entait qu’elle avait encore faim et que ça la dévorerait encore plus quand la peur serait passée… concernant la douleur bon, c’était une autre paire de manche, reconnaissons le ! Elle aurait mal et elle aurait le mâle en elle ! Il s’agissait de ne pas la soustraire à cela ! Il avait un sourire carnassier sur les lèvres alors qu’il sentait qu’elle cherchait à fuir… il lâcha sa gorge pour lui pétrir fermement un sein, mais sans chercher à lui faire mal, venant pincer et tirer doucement un mamelon avec deux griffes.
« Allons, y a pas deux minutes tu gémissais d’impatience ! Et puisque je dois soulager ta faim comme je l’ai promis, je le ferai à ma manière ! Quand ton mari te prenait pour les dernières fois, tu te soumettais sans broncher et là tu débats ! De quoi as-tu peur , De la taille ? Allons, réfléchis un peu, insignifiante petite chose inutile et incapable ! Lui Tu te taisais et tu endurais, et moi tu te débats ! Tu mériterais que je te prenne l’anus comme ça, sans préparation, et que la douleur te déchire de l’intérieur, c’est tout ce que tu mérites ! Mais dans mon extrême générosité, je vais te préparer un peu avant de te prendre ! »
Il lui lâcha la gorge et le sein pour la saisir rapidement par les hanches et la soulever comme de rien pour porter son intimité à sa gueule garnie de crocs et, serpentine, sa langue frappa, venant s’immiscer entre ses lèvres intimes pour humidier tout cela, pour la faire mouiller et ainsi, aussi, dilater l’entrée principale ! Mais comme pour ne pas lever complètement sa menace, un doigt griffu vint commencer à se frotter à son anneau rectal, comme pour la faire garder à l’esprit l’idée que si elle tentait de se débattre de manière trop ouverte, ce serait par la sortie de secours qu’il passerait !
Sa langue fourrageait son intérieur sans la moindre retenue, léchant de cette longue langue qui s’introduisait jusqu’au fond de son intimité comme en essayant de toucher de partout, elle bougeait comme un odieux serpent qui s’y serait installé. Et pendant ce temps, son doigts entrait au sein de son fondement très lentement, très légèrement…
Il retira sa langue alors, ainsi que son doigt pour lui lancer sur un ton qui indiquait très clairement que c’était préférable pour elle :
« Tu as de la vaseline ? De l’huile ? Du beurre ? N’importe quoi qui soit bien gras pour que je te prenne comme la petite chienne en chaleur que tues sans avoir besoin de passer dix ans à m’enfoncer en toi ? Non ? Tant pis ! »
Il lui mit une nouvelle petite fessée avant de remettre à frotter sa verge contre l’entrée de son intimité… avant d’arrêter de nouveau.
« A moins que tu ne veuilles tenter la pipe impossible histoire de bien la lubrifier… »
Il la maintenait, prêt à s’enfoncer en elle par la force en elle si elle s’y refusait…
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Roxane s'accrochait au drap comme à une bouée de sauvetage. Mais avouons-le, c'était un peu stupide. S'il y avait bien une chose incapable de l'aider, c'était bien ça. Mais que voulez-vous, quand l'instinct de survie se réveil, on ne réfléchit guère beaucoup, on agit et puis c'est tout. C'est vrai, lorsque son mari la prenait avec violence, elle ne se débattait pas, ou alors très très rarement. Simplement là, elle savait que ce n'était pas sylvain, c'était un démon infernal. Même ivre et violent, son époux était l'homme qu'elle avait aimé et le père de ses enfants. Pas ce montre. Et ça changeait tout pour elle. De quoi elle avait peur ? De la taille, qu'il ne puisse pas contenir ses élans de sauvagerie. Comme par exemple l'idée atroce de la prendre par les fesses sans préparation ni ménagement. Rien qu'à cet idée, Roxane trembla de peur. Non, s'il faisait ça, elle n'y survivrait pas c'est sur. Bon, il y avait toujours moyen de "réparer" les dégâts avec ses pouvoirs, mais c'était tout de même un coup à passer un sale quart d'heure. Sincèrement, elle n'avait pas envie d'explorer la question. Elle secoua vivement la tête, refusant d'en entendre davantage.
Heureusement, il n’exécuta pas sa menace. Au lieu de ça, il l'agrippa pour la soulever et se mettre à lécher son intimité, faisant pénétrer sa langue de serpent en elle pour explorer chaque recoin de son fondement. Les sensations étaient superbes, exquises, insolites. Mais bien entendu, il y mêla une sensation un peu moins agréable, celle de faire entrer son doigt dans son autre fondement. Roxane grimaça un peu, se crispa, priant pour qu'il ne soit pas plus violent. De nouveau, cette sensation exquise mêlée à la douleur... mais c'était terriblement bon ! Vraiment, elle aimait ça et gémit de nouveau, ne pouvant définitivement pas s'en empêcher. Il lui proposa de lui trouver un produit quelconque qui puisse la préparer à ce qui l'attendait. La jeune femme avait envie de fuir de nouveau. Comme elle ne répondait pas assez vite, trop perturbée par cette idée, il lui claqua les fesses, relançant du même coup les neurones de la jolie blonde qui se mit à réfléchir en quatrième vitesse. Elle sentait déjà le membre énorme s'approcher de sa cible. La solution qui consistait à sucer son membre était définitivement hors de question. Une chose pareille ne pouvait définitivement pas entrer entièrement dans sa bouche non plus. Refuser était une option ? Non.
- Attendez ! Je... j'ai...
Elle tendit le bras, fouillant un endroit près du lit dont elle extirpa fébrilement une boite. A l'intérieur, un tube de ce qui se rapprochait communément de la vaseline, et quelques objets sexuels. Et bien quoi ? C'était une femme de terrain, évidemment qu'elle avait des outils ! Et encore, il n'y avait là qu'une infime partie de la collection... mais pas question de tout montrer à son Maître. La main légèrement tremblante, elle tendit le tube au démon par-dessus on épaule, le souffle court et le cœur battant. Même avec ça, elle n'allait pas aimer. Mais si elle ne faisait pas un minimum d'effort, ce serait pire. Elle déglutit et termina en lançant :
- S'il vous plaie... ne soyez pas trop violent...
Elle ferma les yeux et serra les dents, histoire de se préparer. Mais il allait falloir qu'elle se décrispe un peu car tendue ainsi, ça ne serait que plus douloureux encore, non ? Mais c'était plus facile à dire qu'à faire bien entendu...
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Le dieu se demandait s’il allait vraiment le faire : la pénétrer sans le moindre lubrifiant était particulièrement tentant, mais il y avait une donnée à prendre en compte. Si il était toujours d’actualité qu’elle garde son travail actuel, en le faisant mieux, il fallait qu’elle ne soit pas non plus particulièrement traumatisée par cet acte, nul doute qu’elle aurait des cibles plus répugnantes ou plus gênantes qu’un démon avec une verge comme son avant bras - ou comme sa cuisse, ça dépendait du point de vu…
Il s’apprêtait à la prendre - quoiqu’en réduisant tout de même légèrement la taille de son gourdin, réflexion oblige, une partie du cerveau devait être déplacé ailleurs. Aussi, il rendait cela plus simple, et qund il allait se lancer en elle pour la pilonner et se faire plaisir autant que soigner sa faim, il fut interrompu par elle. De quel droit ? Celui de la victime qui a une dernière volonté avant don exécution ? Avouez que si exécution il y avait, c’était une mort plus douce que beaucoup d’autres, non ? Mais toujours est-il qu’elle l’avat interrompu pour ouvrir la table de chevet, pour finalement lui tendre un tube de vaseline. Oui, elle préférait la manière douce, si on pouvait parler de manière douce avec un démon qui avait déjà brisé le lit sans même y penser…
C’était amusant de savoir que la femelle qu’il allait saillir ait quelques objets sexuels, cela prouvait bien le désoeuvrement auquel elle faisait face. Mais à qui la faute en fait ? A elle. C’était pas la faute du dieu si elle perdait une partie de sa clientèle… Comme une catin dans sa camionnette, il se demandait si celle-ci ne devrait pas être déplacée légèrement, que son racolage mortel soit plus efficace !
Il prit le tube entre deux griffes aussi délicatement qu’il le pouvait, et plutôt que de l’appliquer sur un des orifices en particulier, il favorisa une autre approche, préférant voir en cela une bonne manière d’accroitre l’angoisse, puisque cela ne laissait pa supposer quoique ce soit sur la suite. Il préféra prendre ce lubrifiant et en vider le tube pour l’étaler sur sa verge imposante. Même si elle lui demandait de ne pas être trop violent, il ne garantissait pas, primo de s’y tenir, secundo de ,ne pas lui faire mal. Mais il pouvait bien faire cela pour elle.
« Je verrai ça. Mais ça dépendra de toi, si tu m’oblige à trop forcer, je forcerai davantage, c’est donnant donnant… tu me facilite l’accès, je me calmerai peut être sur la violence… »
Il eut un autre sourire carnassier et replaça sa verge devant son intimité, et il commença à entrer en elle. Si le gland parvint à rentrer sans problème. Le reste était définitivement trop imposant… Il y eu une caresse du bout des griffes le long de ses épaules, sans lui abimer les chairs, ni chercher à lui faire mal, pour une fois. Puis, saisissant ses bras juse au dessus des coudes, le dieu tira sur son corps autant qu’il poussait sa verge en elle pour gagner centimètre par centimètre, étalant son lubrifiaint au fur et à mesure o ù il s’enfonçait dans l’antre chaud et étroit de son intimité. C’était très agréable pour lui, même si c’était limite, niveau étroitesse, chaque légère contraction abdominale pouvait se sentir, et avec une telle communion de chair, il sentait tout beaucoup mieux.
Finalement, il n’entra pas jusqu’à la garde. De toute manière, c’était trop long pour ça, il savait très bien ce qui se passerait si il allait trop loin en elle, et pour une fois, le dieu compatissait. S’il s’enfonçait jusqu’au bout, venant taper le fond de son intimité, cela aurait sur elle le même effet que si on lui avait envoyé un coup de pied dans les parties…
Arrivé là où il voulait, il commença à reculer, puis à s’avancer, des coups de bassin amples qui avaient pour objectif premier, non pas de se soulager, mais d’étaler le lubrifiant et ainsi faciliter davantage le passage, une fois que ce ne serait plus une plaie de bouger en elle, il accélérerait !
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* * *
Roxane était crispé. Et ce n'était pas vraiment le meilleur moyen de se préparer à ce qui allait se passer, bien au contraire. Est-ce qu'elle regrettait ? Elle regrettait surtout de s'être plantée, de ne pas avoir satisfait son maître comme elle aurait du. Elle avait cru pouvoir gérer la situation facilement..., mais c'était tombé à l'eau. La "nourriture" se faisait bien trop rare, et voilà où ça l'avait mené. Le démon était en colère et comptait la punir à sa manière. Une manière dont elle se serait bien passé, mais qui d'un certain côté, lui permettait d'assouvir sa soif. Que ça lui plaise ou non, c'était ainsi. Son Maître attrapa la vaseline qu'elle lui avait tendu. Elle espérait grandement que cela suffise. La seule chose qu'elle pouvait contre ce qui l'attendait, c'était de ne rien faire du tout, de laisser faire le démon sans rechigner. Après tout elle méritait sa punition, elle le savait.
Elle avait supplié le démon de ne pas y aller trop fort, mais il ne promettait rien. Simplement d'essayer de calmer sa violence si elle ne tentait pas de se débattre et lui facilitait l'accès. Roxane baissa les yeux, les ferma, et serra les poings. Elle devait se reprendre ! Trembler ainsi comme une feuille n'était pas digne d'elle ! Plus aujourd'hui.
Puis elle sentit son sexe énorme s'approcher, puis commencer à la pénétrer. Roxane serra la mâchoire. C'était douloureux, mais supportable. Enfin jusqu'à ce qu'il agrippe ses bras pour la cambrer et entre encore plus profondément en elle. Elle gémit de douleur, le souffle coupé. Ce sexe était vraiment énorme pour une femme constituée comme elle. Elle aurait pu se servir de ses pouvoirs, mais cela mettrait son Maître hors de lui et ne servirait à rien d'autre qu'à envenimer son cas.
La vaseline faisait heureusement assez bien travail. Le chibre immense du démon s'enfonçait encore et encore, lentement d'abord, mais très profondément, tapant contre le fond de son vagin. C'était un mélange de douleur et de plaisir qui se mêlaient. Roxane elle-même ne savait même plus si elle soupirait de plaisir ou de douleur. Le démon la pénétrait de plus en plus facilement grâce au produit, elle sentait que son Maître accélérait petit à petit la cadence.
Elle gémit de plaisir, ce plaisir d'être dominé par cet être si puissant... et si terrifiant à la fois. Parfois c'était la douleur qui prenait le dessus, mais elle ne pouvait s'empêcher d'apprécier d'un certain côté.
- M... Maître..., gémit-elle.
Les secondes lui paraissaient subitement être des heures. Et ce n'était qu'un début...
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Il la sentait tendue, et il savait qu'elle allait être violemment abîmée temporairement par cela… il le savait par avance, il savait qu'elle n'aimait pas cela, mais quelle importance ? Qu'il la violente, qu'il la martyrise, elle semblait être prête à tout accepter, après tout, cela venait de son maître, de son dieu, de celui qui faisait d'elle ce qu'elle était, elle lui devait la vie, elle lui devait tout, absolument tout, et elle l'avait déçu, c'était normal qu'elle soit punie pour cela ! Il eut un regard sec et mauvais envers elle alors qu'il peinait à besogner son intimité si serré… qu'elle éessaye de la détendre avec ses dons et elle n'y arrivait pas, pendant un temps, il bloquait ses dons, qu'elle ne puisse rien faire si ce n'est subir… il lui sourit alors qu'il faisait des mouvements aussi brutaux que possible compte tenu de la difficulté de chaque mouvements en elle…
Il lui sourit et lui saisit doucement la gorge dans sa poigne griffue pour la redresser… il allait lui faire un joli petit cadeau temporaire… qu'il lui enlèverait quand elle le mériterait… il cessa d'aller et venir en elle, se fichant au fond de son anatomie avec brusquerie alors que sa main venait pincer son mamelon du bout de ses griffes et tira fort dessus…. Le sein ne grossit pas… mais quelque chose sembla en sortir, une petite chaine d'argent qui semblait fichée dans son sein qui fit de même dans l'autre, liant les mamelons ensemble, jouant ensuite avec la chaine avec beaucoup de douceur mais tirant suffisamment dessus pour qu'elle sente la douleur..
« Chut… chut… ne dis rien, sauf pour me rappeler que tu n'es qu'une chienne qui mérite pire que cela.. »
Il éclata de rire avant de glisser ses doigts du milieu de la chauine vers son nombril, matérialisant une nouvelle chaine liées aux autres, c'étaient de jolis maillons, fins et boen ouvragés, puis, avec violence, il se retira d'elle pour la retourner, sur le dos, qu'elle voit ses yeux pleins de colère, de rage de violence de sadisme alors que sa verghe se posait sur son ventre, lui rapelant sa taille titanesque…
« Qu'attends-tu pour supplier comme ordonner ? Que je jouisse en tou à t'en faire exploser les entrailles ? »
Il lui gifla les cuisses avant de forcer nouveau leur barrage, le pucelage, semblant définitivement décidé à revenir en boucle alors qu'il se penchant sur elle et que sa langue venait jouer avec la chaine, jouant à tirer dessus avec amusement alors qu'un ricanement montait du fond de sa gorge… il la besogna ainsi de longues minutes et quand finalement il sentit sa jouissance proche, se retira d'elle pour la regarder et lui dire, sur un ton sec…
« Va chercher un seau que je te donne ta seule boisson et ta seule nourriture jusqu'à ce que j'en décide autrement... »
Il comptait éjaculer des litres, volontairement, dans le seau jusqu'à raz bord avant de lui ordonner de lapper comme une chiene, le seau ne se viderait pas, jamais, jusqu'à ce qu'il décide qu'elle ait eu assez de ce traitement, sachant que non contente de le boire, elle devrait aussi se laver avec, et faire toutes lestaches qui nécessessitaient cela avec ce seau… il avait un sourire machiavélique...alors qu'il attendait...
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La douleur et le plaisir entrelacés... voilà bien une sensation étrange ! Parfois c'était particulièrement jouissif, mais là... il s'agissait d'un démon la pénétrant avec un sexe énorme ! Un sexe qui la faisait souffrir alors qu'il forçait pour se frayer un passage, un peu plus rudement à chaque coup. Roxane avait parfois le souffle coupé, mais lorsque cette masse chaude remplissait son intimité étroite et frottait contre ses parois, elle ne pouvait s'empêcher d'y prendre plaisir. Il n'y avait guère que lorsqu'il atteignait le fond de son antre que cela devenait douloureux. Il était brutal, la punissant durement, et y prenant manifestement du plaisir. Il prenait d'ailleurs bien plus de plaisir à la voir souffrir et supplier qu'autre chose au fond. Il la redressa de sa main griffue, la faisant grimacer sur le coup. Il avait fiché son sexe profondément en elle, s'immobilisant, pour mieux la punir ensuite. Il tira sur son seins et soudain, sans même qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, elle se retrouva avec une sorte de chaîne liant ses deux mamelons. Une sensation qui la fit grogner de douleur. Roxane gémit ensuite. Encore une fois, elle avait mal, mais cela excitait son corps aussi. Le démon joua avec la chaîne, et elle gémit de nouveau, un petit peu plus fort, souffrant de cette sensation peu ordinaire.
Il ne voulait pas l'entendre visiblement, sauf pour qu'elle lui rappeler qu'elle ne méritait que cette leçon. Roxane se mordit la lèvre inférieure pour retenir ses gémissements. Elle tremblait, priant pour être capable de se taire avec tout cela. Ce sexe énorme en elle, ses mamelons tendus... c'était impossible ! Pire encore, il rajouta une chaîne, tirant alors ses seins vers son nombril, les liant tous trois ensemble. Roxane réussit à retenir un gémissement avec grande peine, se mordant la lèvre presque jusqu'au sang, une larme perlant au bord de ses yeux.
Il la retourna brutalement. Elle eut un hoquet de surprise et de douleur, alors qu'il posait son chibre immense et humide sur son ventre. Elle eut la gorge serrée. Cette chose avait réussit à entrer en elle ?! Elle blêmit, le souffle court. Il voulait qu'elle supplie encore pour qu'il puisse jouir. Jouir en elle ? Roxane ouvrit de grands yeux ronds de terreur. Elle n'était pas certaine de pouvoir supporter une chose pareille !!
Son cœur s'emballa, elle avait l’impression de ne même pas pouvoir parler. Ses seins la faisaient souffrir. Il lui gifla les cuisses et elle poussa un petit cri, apeurée, avant qu'il ne la pénètre de nouveau de son sexe imposant. Roxanne poussa un cri plus bruyant, gémissant alors d'une voix tremblante entre désir et souffrance :
- Oh M... Maître ! Oui, punissez-moi ! Je ne mérite pas votre pardon, je ne suis qu'une chienne soumise à vos désirs, punissez-moi encore !
Elle ne pensait pas réellement ses paroles, car la punition avait, pour elle, atteint son paroxysme. Et pourtant, elle ne se doutait pas de ce qui l’attendait. Il continua de la pénétrer brutalement, s'enfonçant encore et encore en elle. Roxane commençait à s'épuiser, haletant sous les coups de reins du démon. Soudain, il cessa, lui ordonnant d'aller chercher un seau pour le remplir de sa semence. Il voulait que cela soit sa seule consolation jusqu'à ce qu'il en décide autrement. La gorge de la demoiselle se serra, mais elle obéit. Elle n'était pas en mesure de lui refuser quoi que ce soit ou de lui tenir tête. Elle en avait assez eu !
Elle descendit du lit, les jambes tremblantes, et ramena alors le seul seau qu'elle put trouver. Tombant à genoux, elle leva l’ustensile vers lui, n'osant même plus le regarder dans les yeux. Sa peau blanche luisait de sueur, et elle avait encore mal, ses seins malmenés et son intimité humide et douloureuse.
- Je vous en prie, Maître...
Elle l'invitait alors à s’exécuter, puisqu'elle n'avait pas d'autre choix. Que ferait-elle d'elle ensuite, lorsqu'il en aurait assez de s'occuper d'elle ? La laisserait-il seule ici ?
* * *
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Dans ses lèvres, la supplique avait un goût amer, il le savait, car elle ne l'aurait jamais dit si elle ne l'avait pas ordonné… il lui sourit, venant avec douceur lui caresser la joue alors qu'elle lui apporteait le seau… il la regarda et admira sa peau blanche, ses courbes légères, douces, le délicieux ornement qu'il y avait rajouté, elle était parfaite dans son rôle, il ne lui manquait plus qu'un collier… il finit par regarder le seau et opina du cheef, oui, ça irait très bien… il comença à se masturber au dessus du seau, devant elle… il lui sourit alors qu'elle était juste ici à côté de li… il tendit la main pour venir caresser sa peau laiteuse, laissant courir une griffe sur son corps usqu'à se prendre dans les mailles de la petite chainette…
« Regarde bien... »
Il lui sourit avant d'émettre un râle et d'éjaculer dans le seau… ne semblant pas vouloir s'arrêter, les giclées se succédant aux giclées comme ses bourses étaient infinies… peut était-ce le cas… peut être n'était-ce qu'une apparence… peut être pas… ça, elle ne le saurait jamais sans doute jamais, si elle avait envie de le savir bien sur… il contoinua ainsi pendant de ongues minutes jusqu'à ce que le seau soit plein, aussi, il sourit à la jeune femme avant de lui dire.
« Allons, ma belle, voilà de quoi t'occuper… mais il te manque quelque chose je trouve… tu l'as reconnu toi même, après tout, tu es une chienne, ma petite chienne bien soumise, alors il te faut un collier et te mouvoir à quatres pattes... »
Il avait un regard mauvais quand il disait cela… il la saisit par la gorge et au moment où il la saisissait il fit apparaître sous ses doigts comme une bande de curi qui venait s'enrouler autour de sa gorge, joli collier gravé au nom de Roxane… non, pardon de Roxie… il eut un léger sourire et lui caressa la joue avec beaucoup de douceur, reprenant l'apparence de Sylvain, non sans ui faire un petit clin d'œil…
« Commences par nettoyer ma queue de ta mouille et de mes restes de foutre, suite à quoi, je voudrais que tu commences à lapper dans leau pendant que je te sodomiserait violemment… tu sais comme j'ai toujours aimer te sodomiser, n'est-ce pas ma chérie... »
Nou sourire, il était rare qu'il ne sourit point pendant les punitions… ah et il y avait deux choses à lui dire encore…
« Ensuite, je vais devoir te laisser… pour un temps…. Sche que désormais il te faura te faire un masque avec mon sperme tous les jours au lever pour que tu puisses continuer à rester belle et jeune… c'est peu cher payé je trouve… quand aux petits accessoires, n'espère même pas les enlever, ils reviendront et à chaque fois, avec un maillon en moins de chaque côté… tu vas avir du travail pendant ces prochains jours…. Beaucoup de travail, j'ai réussis à convaincre des personnes de tenter leurs chances comme tu t'en doutes… je t'observerai… et uand je reviendrai, si tu ne m'as pas déçue de nouveau, j'aurai de grandes choses à te faire faire... »
Il éclata d'un rire froid et mauvais...
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Roxane laissa faire le démon qui se masturbait au-dessus du seau. Bientôt, il serait très certainement remplit de sa semence. Roxane ne lui avait pas demandé ce qu'il comptait en faire, mais il fallait être stupide pour ne pas s'en douter. Vicieux et pervers comme il était, il la forcerait à le boire en entier ou quelque chose du genre. A cette idée, la gorge de la jeune femme se serra et elle eut un haut le cœur. Jamais elle ne parviendrait à tout avaler. C'était certain. Mais que pouvait-elle faire ? Refuser ? Ce serait purement suicidaire de sa part.
Son Maître lui demanda de regarder. Obéissante, comme toujours, la jolie blonde leva les yeux et du fermer un œil pour ne pas recevoir une goûte de sperme dans l’œil lorsque celui-ci se déversa subitement dans le seau. Il y en avait une quantité impressionnante !! Cela prit un petit moment avant que le seau ne soit plein et la demoiselle en était sidérée. L'odeur caractéristique de ce liquide blanc et visqueux envahit rapidement les narine délicates de la jeune femme avant de se tourner de nouveau vers le démon qui s’adressait à elle.
Il trouvait qu'il lui manquait quelque chose. Surprise, elle ne put s'empêcher d'être effrayée. Qu'allait-il inventer encore ? Un collier ? Elle avala doucement sa salive, et opina, sans oser refuser évidemment. Mais le regard mauvais du démon lui rappelait que de toute manière, si elle tentait quoi que ce soit, elle était perdue. Il la saisit sans peine à la gorge. Roxane gémit de douleur tandis qu'un collier en cuir apparaissait autour de son cou. Son Maître lui caressa la joue avec douceur, mais elle savait qu'il manigançait quelque chose. Et elle avait raison. De nouveau il prit l'apparence de Sylvain, la faisait frémir d'horreur. Non, pas encore ! Il voulait qu'elle nettoie son sexe, puis qu'elle lape sa semence dans le seau pendant qu'il la sodomiserait. Le programme, ébranlant manifestement la demoiselle, n'était pas terminé. Elle en souffrait d'avance, mais hocha la tête en retenant une plainte.
Il lui expliqua ce qu'il attendait d'elle ensuite, une fois qu'il serait partit. Cela ne l'enchantait pas, mais elle savait qu'elle le ferait. Comme il le disait, il aurait l’œil sur elle. Et si elle le satisfaisait, peut-être lui proposerait-il de grandes choses. Elle ignorait où il voulait en venir, mais elle n'avait pas le temps de se poser de question.
- A vos ordres, Maîtres...
Elle glissa son visage vers le sexe du démon sous l'apparence de son défunt mari, et commença à lécher lentement de bas en haut pour le nettoyer, avalant au fur et à mesure la mouille et le sperme qui le recouvrait. Elle le suça également un peu, laissant entrer et ressortit le sexe dans sa bouche. Une fois certaine que le sexe était bien propre et qu'elle le sentait durcir de plus en plus dans sa bouche et gonfler, elle se mit à quatre pattes, comme il le lui avait demandé, et s'approcha du seau. Elle inspira un peu d'air, histoire de se préparer, puis commença la sperme au goût âpre et encore chaud, l'avalant au fur et à mesure. Elle ne cesserait que lorsqu'il lui demanderait...
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A ses ordres… il sourit et la laissa faire, profitant du plaisir de sentir sa petites bouche qui venait enrober et jouer avec la verge qu'elle avait du i souvent aimer et ensuite si souvent subir ;.. par ses soins ;.. savait-elle qu'il s'était chargé de ruiner sa vie pour l'élevr ensuite ? Non, assurément, et il n'était pas prêt de le lui dire en tout cas… il sourit en la voyant s'appliquer avec, si ce n'est envie, diligence et attention, en effet, elle cherchait à lui plaire, et elle avait tout intérêt car il n'avait fait que jouer, si elle l'avait suffisament déçu elle l'aurait sentie passer toute autrement… il lui sourit et lui caressa la joue alors qu'elle finissait de bien récurer et par la même occasion de lubrfier sa verge… il eut un sourire en coin avant de lui lancer, sur un ton amusé…
« Bravo ma petite chieenne, elle a bien mérité sa petite popte, la petite chienne... »
Il lui sourit et ne fit rien, la regardant commencer à lapper, la regardant faire, regardant ses mèches de cheveux glisser pour venir s'enduir de la crème qu'il lui avait offert… comme c'éyait beau comme spectacle… une chienne, rien de plus… il lui flatta la croupe avant de lui écarter les fesses et cracher à plusieurs reprises sur son petit anus frémissant… c'était quelque chose qu'il s'était toujours réservé, un peu comme un jardin secret qu'il était le seul à profaner… ce trou était le sien, et il avait déjà prévenu Roxane… non, pardon, Roxie, que personne d'autre ne devrait l'utiliser, un peu comme sun rappel physique qu'elle lui appartenait à lui seul : il était le seul à la posséder complètement…
Il glisa un doigt sur son œillet et commença à appuyer tendrement, comme pour la préparer à la suite… il n'était pas venu la voir depuis si longtemps qu'il n'avait pas du souvent être distendu… aussi, il allait un peu la préparer avant de la sodomiser… non, on sodomise quand on respecte. Il allait l'enculer… il lui sourit avant de lui dire, sur un ton chantant, presque extatique tant il était ravi du dilemme qu'il comptait lui imposer…
« Arrête de lapper un instant tu veux… j'ai du mal à faire un choix… et je vais devoir m'en remettre à toi… mais avant tout, comment trouve tu ta boisson ? Assez nourrissante ? Comment trouves-tu le petit arrière goût de soufre ? »
IL eut un éclat de rire peu amène.
« Bref, tu as le choix, il va falloir supplier pour ce que tu préfères… préfères-tu sentir le poing de sylvain t'écarteler le cul, ou préfères-tui te faire enculer, te faire défoncer par la queue de ma forme démoniaque ? »
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* * *
C'était assez humiliant il fallait l'avouer. Devoir boire cette semence à quatre patte comme un animal... mais en se liant avec un démon, elle savait les sacrifices auxquels elle devait s'attendre. Elle ne pouvait pas se rebeller. Refuser un ordre de son maître revenait à devoir mourir, car il était bien capable de se débarrasser d'elle. On ne garde pas des esclaves inutiles. Elle ignorait bien entendu que cette vie qu'elle avait vécues, les actes de son mari, n'étaient l’œuvre que de ce démon. Mais le savoir aurait-il changé quelque chose ? Peut-être pas. Elle en aurait été toujours réduite à obéir à ce démon sans rechigner.
Les yeux fermés, les rouges rouges de confusion, elle lapait le sperme lentement, le laissant couler au fond de sa gorge, le laissant souiller sa chevelure. Elle avait envie de pleurer, mais s'en empêcha. Après tout c'était de sa faute tout ça, elle n'avait pas bien fait son travail, elle avait mérité cette punition. Elle n'avait pas le choix.
Elle eut de nouveau un frisson de peur lorsqu'elle le sentit cracher et préparer son anus. Elle n'avait pas envie de cela. Elle se rappelait la douleur ressentie lorsque Sylvain s'était adonné à cet acte avec elle. Le démon, lui, avait décidé que cet acte n'était réservé qu'à lui seul, raison pour laquelle elle n'avait pas vécu cet acte sexuel depuis des années !
Elle trembla un peu, ayant de plus en plus de mal à avaler la semence du démon. Heureusement, il lui demanda de cesser un instant pour qu'elle prenne un choix. Le goût de sa semence était... étrange. Ni bonne, ni excessivement mauvais, bien que ce goût de souffre n'ait rien de plaisant. Elle ne répondit que par un hochement de tête, sans oser le regarder. Et voilà qu'il voulait qu'elle choisisse entre le poings de son ex mari ou le sexe immense du démon. Elle ouvrit de grands yeux ronds, effrayée.
- M... Maître, je vous en supplie... pas ça...
Elle serra les dents pour ne pas pleurer. Elle devait supplier pour sa préférence, par pour qu'il arrête sa punition qui n'était manifestement toujours pas terminée. Elle finit par se reprendre, inspirant une grande bouffée d'air. Que pouvait-elle choisir ? L'un comme l'autre était ignoble et serait sûrement très douloureux ! Cependant, elle n'avait pas le choix, elle devait lui donner une réponse. Et comme voir Sylvain la repoussait bien d'avantage qu'un démon, elle répondit :
- Oh, Maître, je veux que vous me preniez sous votre forme démoniaque ! Votre sexe est si gros, si bon... je veux la sentir en moi !
Elle regrettait presque son choix, mais cela aurait été de même si elle avait opté pour la première option. Désormais, elle ne pouvait qu'attendre sa sentence.
* * *
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Rahemar attendait plusieurs choses… d'abord un avis sur le goût de la semence, et ensuite une supplication sur la suite… et s'il eut vite l'une des deux réponses, l'autre de lui parvint jamais… erreur… jusqu'à cette erreur il aurait accordé sa préférence à la petite chienne Roxie – ça sonnait drôlement bien, non ? - mais voilà, elle avait commis une erreur et pas des moindres… il regarda la jeune femme installée ainsi à quatre pattes au dessus du seau, en ayant désobéi à son Maître et lui la frappa… renversant le seau par la même occasion sans le faire exprès, ce n'était pas de sa faute…. Elle l'avait entrainée dans sa chute…
Il la saisit par la chaine qui reliait ses piercing et la tira vers lui ainsi sans la moindre douceur, la soulevant presue du sol alors qu'il gardait le corps de Sylvain, il y avait une coilère roide dans le fond de ses yeux… il la regarda et la relacha d'un coup, sans la reposer au sol au préalable, la laissant chuter sans douceur alors qu'il émétait d'une voix qui avait perdu de sa joie et de son plaisir de punir, il reviendrait, il n'en doutait pas, mais là, d'abord, il fallait sévir.
« Tu as renversé le saut de tes ablutions… je me fous e comment tu t'y prends, mais tu as intérêt à ln'en laisser aucune goutte sur le sol, lèche, éponge avec ton visage ou tes cheveux, voir les trois en même temps je m'en fiche, et redresse le seau, tu vois bien que ça continue de verser! Savoure et apprécie l'hgonneur ue j et e fais de te garder à mon service au lieu de tout sagouiner… et réponds aux questions quna don te les pose, pas juste àç celles que tu veux ! »
Il lui envoya un violent coup de pied dans l'abdomen avant de sa saisir entre les cuisses et de la replacer sur les genoux, que sa tête aille nettoyer le sol, il allait la punir comme oil se devait ! Sans la moindre pitié ! Il regarda sa croupe et y envoyait une paires de claques bien sonores… puis il sourit et lui chuchota sur un ton presque dou en comparaison…
« C'est stupide, alors même que tu ne mere, j'avais décidé de t'accorder ta préférence, mais maintenant… maintenant tout à changé… je vais prendre ce que je veux, comme je le veux et tu subiras… je ne m'arrêterais que quand je t'aurais cassé la voix à force de te faire hurler… et je ne chercherai pas ton plaisir... »
Il recracha sur son œilet bien fermé, y présenta un doigt et commença à forcer ses chairs, sans douceur, profanant ses reins de son intrusion violente… il remua un peu avant de commencer à mettre un deuxième doigt… ce ne serait pas le poignde sylvain qu'elle aurait… non, ce serait bien plus… ce seraient les deux…. Et ensuite… ensuite, il concluerait la punition… si elle le méritait… si son repentir était sincère...
Tu peux avancr jusqu'au bout de cette partie de paunition si tu le souhaites^^
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Roxane ne s'était pas attendu à cela. Elle n'avait pas imaginé que le simple fait de ne pas répondre explicitement à une question mettrait son maître aussi en colère. Voilà pourquoi elle poussa un cri de surprise et de peur lorsqu'il la frappa. Elle se retrouva au sol, le seau se déversant tout près d'elle. Elle en fut terrifiée, consciente que cela n'améliorerait pas l'humeur du démon. Pour preuve, il l'agrippa par les chaînes qui reliait sa poitrine et son nombril, lui arrachant un cri de souffrance. La douleur était atroce, et cette fois-ci, elle ne put retenir ses larmes. Quelle idiote elle était ! Elle aurait du répondre ! Pourquoi n'avait-elle pas répondu !
Mais il était trop tard pour y penser, bien trop tard. Le démon était en colère, et il allait le lui faire comprendre. Elle tremblait alors que la voix rauque et terrifiante de son maître lui donnait des ordres et des avertissements. Elle s'en voulait tellement de l'avoir déçu... Il la frappa de nouveau d'un coup de pied, lui coupant le souffle, et l'agrippant de façon à ce que ses cheveux trempent dans la semence étalée au sol. Roxanne sanglotait, incapable de luter, mais d'avantage en colère contre elle-même. Son Maître lui claqua les fesses avant de lui expliquer ce qui l'attendait. Il voulait la confronter à ses limites, la punir jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus sans chercher à lui faire plaisir.
Roxanne aurait voulut dire quelque chose, mais elle avait la gorge trop serrée. Du sperme recouvrait ses bras, son visage, ses cheveux... elle n'était pas dans une position des plus agréable à regarder. C'est alors qu'il s'attaqua à son anus. La jeune femme poussa un gémissement tandis qu'il enfonçait un doigt, puis deux dans son antre. La jeune femme serrait la mâchoire en pleurant silencieusement. Son corps tremblait. Les geste du démon étaient violents, sans douceur, la faisant souffrir un peu plus à chaque fois. Mais ce n'était qu'un début.
Elle s'évertuait à ne rien dire, subissant sa punition comme une bonne petite esclave. Mais c'était si douloureux !
Le démon entrait en elle un doigt de plus, petit à petit. Et plus il en enfonçait, plus elle avait mal. Lorsqu'il parvint à y enfoncer son poing en entier, Roxanne poussa un cri. La douleur était telle qu'elle ne pensait pas pouvoir la supporter longtemps. Elle se contentait de gémir, de pleurer, mais il ne s'arrêtait pas pour autant. Il avait décidé d'aller plus loin encore. Les gémissements de Roxanne devint des cris, puis des hurlements de douleur alors qu'il la pénétrait de ses poings, sans douceur, la défonçant littéralement. Elle hurla, sanglotant !:
- STOP ! Je... je vous en prie, M... Maître... j'ai si mal ! Aaah... !!!!
Elle voulait que ça cesse, elle ne pouvait plus en supporter d'avantage. Son corps hurlait de douleur, c'était un véritable supplice. Elle était à bout de souffle à force de hurler et de supplier.
- Je suis désolée Maître ! Je ne vous désobéirai plus, je vous le promet ! Je ferai tout ce que vous voudrez, mais je vous en prie... arrêtez !
Son visage était trempé de larmes et de spermes. Ce n'était pas beau à voir du tout. Ce qui était certain, c'était qu'elle ne se permettrait plus jamais de décevoir son Maître à l'avenir. Pour lui montrer sa bonne volonté, elle tenta d'avaler et de lécher le plus de semence possible qui s'était déversé au sol, se foutant bien que cela lui donne envie de vomir. Il avait demandé qu'elle soit obéissante et qu'elle nettoie, tout ça, alors elle le fit, avalant et léchant autant que possible, tout en criant de douleur parfois et en pleurant, toujours.
* * *
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C'était lent, certes, mais sans douceur ni amabilité, il se foutait de son plaisir et regatrdait avec délice son derrière se distendre sous ses assauts de moins en moins doux, de moins en moins aimable… il eut un petit sourire alors qu'il lui ramonait l'intérieur d'abord avec un poing, puis avec les deux, il n'y allait pas de mains mortes, l'entendant gémir et pleurer, mais pas hurler, non, alors il continuait, se faisait plus fort, plus violents alors qu'elle se mettait enfin à hurler, à crier… il continua comme ça, alors que même elle suppliait de tout stopper… parce qu'elle vait mal… tant mieux, c'était le but, mais elle n'avait pas encore la voix cassée qu'il attendait… se montrant toujours pire…
Elle criait, suppliait, faisait des promesses, es promesses qui étaient plus belles que vraies… il regarda la jeune femme alors qu'elle sanglotait, lappant, léchant essuyait le sol avec tous les moyens qu'elle avait il la regarda faire et arrêta avec les deux poings bien avancés en elle, il força pour aller plus loin, pour aller plus loin, pour aller plus profond avant de finalement rester immobile… avant de regarder le visage de la jeune fille et de commencer à forcer, pour écarter les poings des deux côtés… comme si cette fois c'était juste pour lui agrandir le derrière et ce ne fut que quand elle ne fut plus à même de crier qu'il arrêta… il n'aurait de cesse de la martyriser avant qu'elle n'ait plus de voix… alors seulement il sortit ses poings et la prit avec beaucoup de douceur dans ses bras, jouant avec sa chaine reliant ses poings meurtris…
Il lui sourit alors avant d'observer les alentours et de la déposer sur son lit avec douceur avant de prendre le seau et de l'inonder, de couvrir complètement de cette semence infecte le corps de sa petite chienne roxie avant de lui masser l'entrecuisse avec douceur, créant un petit anneau à son clitoris pour quil pouisse être lié à celui de son nombril come ceux-ci l'étaient avec ceucx de ses mamelons… il lui caressa la joue avant de placer ses doigts devant ses yeux avec lenteur et lui lancer.
« Voilà, tu as été puie…. Maintenant, tu vas aller te rincer de ce sperme… chaque matin, et chaque soir, tu vas te remplir les orficies, les trois, de ce sperme et tu le garderas en toi une heure avant de le faire couler dans un verre et tout boire… puis tu te laveras avec puis tu te rinceras, je ne suis pas un monstre, c'est le seul ordre que je te donne avant de revenir dans dix jours… ne me déçois pas Roxie… oh et le collier, ne le mets que quand je suis là, pareil pour les chainettes, mais les piercinsg, ne les fais pas disparaître, je le prendrai très mal... »
IL éclata d'un rire mauvais, malsain, avant de finalement lui lancer, sur un ton désinvolte.
« Ah oui, j'ai oublié de te dire deux choses, ta faim, d'abord, sera intensifiée pendant cette période, et en plus, je te conseille de ne pas oublier de boire mon foutre… tu n'aimerais pas faire une crise de manque... »
IL éclata de rire et se dématérialisa… il espérait qu'elle aimait les groupes, car ça, c'était sa première surprise...