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Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

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Silence

Légion

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    Silence, mercenaire, capitaine de la guilde des Griffes d'Ammoth.

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 15 dimanche 14 juillet 2013, 17:04:03

Silence la regardait avec satisfaction. Oui, elle lui plaisait beaucoup. Il ne pouvait pas empêcher son regard de déviant de détailler lentement les courbes gracieuses et alléchantes de Pipa, moulées presque à la perfection par sa tenue de latex. Il remarqua qu'elle regardait tout autour d'elle, jugeant sa nouvelle maison de son regard encore rouge et mouillé des larmes qu'elle avait laissé s'échapper un peu plus tôt. Il remarqua aussi la véritable flaque de cyprine juste en-dessous d'elle. C'était assez excitant, et sa bête recommençait déjà à s'emballer. Elle ouvrit la bouche, attendit quelques instants puis parla, Silence l'écoutant attentivement :

- Merci maître, cette chambre me plait beaucoup.

Il ne manquerait plus que ça. Les esclaves n'étaient pas habitués à être logés, et d'habitude toutes logeaient dans la chambre de Silence, avec lui. Mais en ce moment, il était à cours d'esclaves. Il y en avait bien une dans sa chambre en ce moment, mais à part son énorme paire de seins, elle était plutôt moche. Alors, autant continuer de s'amuser avec la petite Pipa, qui avait quelque chose en plus, par rapport à toutes les esclaves sur lesquelles il était passé depuis qu'il avait eu l'idée de collectionner les jouets sexuels vivants. Perdu dans ses pensées, il regardait d'un air légèrement distrait la jeune hybride frotter ses yeux, puis prendre l'éponge humide qu'il avait apportée et s'en servir pour nettoyer son intimité souillée, qui dégoulinait encore d'un étrange liquide, mélange plutôt bizarre de cyprine, de semence et de sang. Tout en faisant cela, elle grimaça. Il avait dû lui faire réellement mal. Mais qu'importe, un objet ne ressent pas la douleur !

Tout à coup, alors qu'elle frottait doucement sa fente endolorie, elle prit le risque d'écarter complètement les jambes, conférant à son nouveau maître une vue imprenable sur son vagin encore humide. Silence ne comptait pas la prendre à nouveau, mais il fallait avouer que c'était plutôt tentant de la baiser dans cette position. Mais il parvint à se maîtriser, bien que son érection ne soit plus invisible du tout, et détourna le regard, s'intéressant soudainement au mur de la pièce. Une fois qu'elle eut lavé et essuyé son corps, ainsi que le sol de la chambre, il recommença à la regarder, pour remarquer qu'elle semblait réfléchir à quelque chose. Il ne prit pas la peine d'attendre et déclara :

- Parle.

Un ordre simple et précis. Doucement, tout en fixant les pieds du mercenaire, elle répondit à Silence :

- Est-ce que je peux avoir un peu d'eau, s'il-vous-plaît, Maître ?

Elle avait soif, hein ? En temps normal, il lui aurait déjà fourré son membre dans la bouche e lui disant "Et bien vas-y, bois !", mais il y avait de fortes chances pour que ce soit précisément cela qui lui ait donné soif. Sans lui répondre, il ouvrit la seconde porte de la chambre, celle donnant sur une salle de bain, contenant une cabine de douche, un robinet et des W.C. Pour une petite bâtisse aux environs de Nexus, c'était la pointe de la technologie. En réalité, ils avaient été volés par les Griffes sur le territoire de Tekhos. Il saisit donc un petit gobelet, ouvrit le robinet jusqu'à remplir le verre et le rapporta à Pipa. Il lui donna avec un sourire en coin, et elle s'empressa de le vider, presque d'un trait. Il avait une forte envie de l'embêter encore, mais que lui faire... Où que lui faire faire ?

Il cherchait quelque chose de bien... Mais d'un autre côté, pendant qu'il réfléchissait, Pipa s'en sortait plutôt bien, et ce n'était pas plus mal de la laisser mariner un peu... Et pourquoi pas la rassurer un peu, pour mieux l'enfoncer par après ? Avec un sourire se voulant bienveillant, il lui caressa la tête et dit :

- Ça t'a plu ? Si tu as besoin d'autre chose, n'hésites pas !



Pipa

Terranide

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 16 lundi 15 juillet 2013, 20:03:30

Pipa se demanda si demander de l'eau à son maître n'était pas là un excellent moyen de se faire encore plus humilier. Elle était presque certaine que son maître serait du genre à lui dire d'ouvrir la bouche et à uriner dedans... elle aurait alors était contrainte de boire, qu'elle le veuille ou non. Elle voyait bien, au regard qu'il lui lança... elle avait appris à surveiller du coin de l’œil les personnes qui se tenaient au-dessus d'elle, tout en ayant l'air de ne regarder que ses pieds... qu'il cherchait un moyen de la torturer d'avantage, mentalement ou physiquement. Et pourtant, contre toute attente, il fit ce qu'elle lui avait demandé : il alla à la salle de bain. Elle entendit un bruit d'eau qui coule, et revint avec un verre remplit d'eau... mais de quel genre d'eau ? Elle se demanda si il ne lui faisait pas boire l'eau des toilettes... au fond, ce serait meilleur que ce qui sortirait du pénis de son maître.

Mais peu importe : elle avait trop soif, et son maître avait la "gentillesse" de lui apporter ce qu'elle avait demandé. Elle saisit le verre et le but à grosses gorgées, heureuse de pouvoir s'hydrater. L'eau était clair, transparente, et elle n'avait pas de drôle de goût... il n'avait rien mi dedans, c'était vraiment de l'eau. Elle s'en sentit rassurée, et profita de ce bon verre d'eau... boire était un plaisir simple, mais ce que ça pouvait faire du bien ! Et tout le monde pouvait en profiter, qu'on soit libre ou qu'on soit esclave... pour le plaisir de boir, tout-le-monde était égo. Lorsqu'elle eut fini, plusieurs goûtes coulaient le long de son menton, renversés dans sa précipitation... elle les essuya du revers de sa serre avant qu'elles ne tombent par-terre et les lécha. Elle avait bu avec tant d'empressement qu'elle se sentait toute essoufflée, et elle respirait fort par le nez.

Lorsque ce fut terminé, elle leva légèrement la tête vers Silence, mais pas trop, ne faisant pas mine d'avoir l'insolence de vouloir le regarder dans les yeux, gardant ainsi un air d'animal soumis, et lui rendit le gobelet. Elle se sentait bien plus calme... mais craignait toujours ce que son maître lui préparé. Et pourtant, toujours en bonne esclave, elle lui dit :


-Merci beaucoup, maître... je me sens mieux. Je n'ai besoin de rien d'autre. Puis-je encore faire quelque-chose pour vous être agréable ?

Silence

Légion

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    Silence, mercenaire, capitaine de la guilde des Griffes d'Ammoth.

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 17 mardi 16 juillet 2013, 12:52:01

- Merci beaucoup, Maître... je me sens mieux. Je n'ai besoin de rien d'autre. Puis-je encore faire quelque-chose pour vous être agréable ?

Oui, Pipa. Tu peux te plier à la volonté de Silence et devenir sa chose. Et c'est ce que tu feras, que ça te plaise ou non. Car il te domine en tout, et tu n'es plus rien si ce n'est sa chose. Tu es à lui, et tu n'es rien d'autre. Bien sûr, le mercenaire a d'autres idée, beaucoup même. Et il ne tarde pas, gravant sur son visage un énigmatique sourire, à ressortir de la pièce, allant faire le plein d'accessoires divers pour s'amuser encore avec la petite Terranide. Ascenseur émotionnel, tu connais ? En un instant, tu es très contente puis très déçue. C'est exactement ce qui va se produire. Silence lui offre une chambre de qualité, il lui donne à boire sans rien demander en échange, sans même lui jouer le moindre mauvais tour. Ça ne pouvait pas durer. Autrement, ça n'aurait pas été Silence.

Lorsqu'il revint dans la pièce, il avait un grand sac sur l'épaule. Inutile de tout prendre en main, cela aurait gâché la surprise, et Pipa aurait tout repéré dès son entrée. Faire durer le plaisir et le suspense était beaucoup plus amusant, surtout pour Silence, d'ailleurs. Toujours cet étrange sourire sur la face, il fouilla quelques secondes dans le sac et en ressortit en foulard noir totalement opaque. Il s'avança ensuite vers l'hybride, brandissant l'objet.

- Pour l'épreuve suivante, je vais t'ôter temporairement la vue. Savais-tu que la vue régis 80% des sensations de l'être humain ? Même si tu n'es pas humaine, je ne dois pas être loin de la vérité. La peur est beaucoup plus présente lorsqu'on ne voit pas. Mais tu vas le comprendre très vite par la pratique.

Il ne lui laissa pas le temps de répondre, et lui noua le foulard autour du visage avec force, lui serrant évidemment trop fort, jusqu'à être sûr et certain qu'elle ne pouvait rien voir du tout. Lorsque cela fut fait, il lui demanda de se déplacer jusqu'au mur. Assise dos à celui-ci, elle ne risquait pas de tomber en arrière à cause de la surprise, où autre péripétie du même genre. Même si en vérité, cette position excitait juste le mercenaire. Dans sa petite tenue moulante, elle était si mignonne. Et avec les yeux bandés, un sentiment de totale supériorité gonflait les chevilles de Silence. Il se retourna, presque à regret, et alla piocher un objet supplémentaire dans son sac. C'était un magnifique oeuf vibrant, qu'il avait acheté pour une de ses esclaves raffolant des jouets. Maudissant déjà le bruit que cela allait faire, il se rapprocha de Pipa et s'agenouilla en face d'elle, puis rouvrit lentement la fermeture éclair qui dissimulait à nouveau son intimité.

Il ne s'en lassait pas, et ne s'en lasserait sans doute jamais : lorsque sa sublime petite fente chaude et encore humide apparut devant ses yeux, son érection ne se fit pas attendre pour revenir à l'assaut, mais elle allait devoir patienter. D'abord, le jeu. Une fois qu'elle fut entièrement dévoilée devant lui, il caressa sa vulve d'un doigt tendre, résistant à l'envie d'y plonger sa hampe de chair. Puis il appuya sur le bouton servant à activer la fonction vibrante de l'objet et l'inséra doucement dans son petit antre chaud, écartant lentement et précautionneusement ses petites lèvres intimes. Une fois que le jouet fut bien installé, il entreprit de venir lécher la poitrine rebondie de la semi-harpie avec envie. Comment allait-elle réagir devant son nouveau "jeu" ?



Pipa

Terranide

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 18 mardi 16 juillet 2013, 19:12:56

En voyant le sourire quelque-peu inquiétant que se mit à arborer son maître, tendis qu'il sortait et revenait, la "Chose" s'était recroquevillée sur elle-même, visiblement inquiète... elle était certaine que ce sourire n'annonçait rien de bon pour elle, et que ce ne sera que du plaisir pour Silence.

Oh oui, Pipa savait que lorsqu'on ne voyait pas, le peu de plaisir qu'elle pouvait ressentir lors des prises forcés des hommes étaient remplacé par de la peur... Silence n'était pas la seule personne à prendre son pied en lui bandant les yeux, ou alors en couchant avec elle dans une pièce totalement noire. Il y en avait même qui préféraient carrément lorsqu'elle était aveuglée, entravée des bras et des jambes, et baillonée... le bondage faisaient monter le plaisir de beaucoup d'homme et de beaucoup de femmes dominatrices au détriment de la pauvre esclave-harpie qui ne pouvait qu'attendre, effrayée, espérant que ce qu'on allait lui faire subir ne serait pas trop dure... et elle ne savait toujours ce qu'on lui réservait que lorsque ça lui arrivait.

L'esclave de Silence se retrouva donc plongée entièrement dans le noir, les yeux couvert, et le sang de sa tête circulant mal... il l'avait serré tellement fort qu'elle avait failli porter ses mains au morceau de tissus pour le retirer et le jeter au loin... ça aurait été là l'une des plus grosses erreurs de sa vie, elle s'en rendait bien compte, et elle s'était alors contenté de serrer les dents et de se retenir, de supporter la douleur. Son maître était soudainement devenu si gentil avec elle... elle avait eue pendant un instant le fol espoir qu'il en avait fini pour ce soir et qu'elle ne subirait plus de sévices... elle s'était visiblement faite des idées, et, adossée contre le mur dans sa tenu sexy et dans le noir complet, elle ne pouvait qu'attendre... a chaque bruit qu'elle entendait, elle sursautait, et lorsque le maître lui ouvrit la fermeture éclair et mit son intimité à l'air libre, elle frissonna... elle s'imaginait déjà tout ce qui pourrait être enfoncé douloureusement à l'intérieur, et sa crainte pris le dessus tendis qu'elle voyait derrière ses paupières fermés des choses longues et énormes.

Un bzzzz la mit alors sur le chemin de ce qui allait lui être mis... un simple œuf vibrant, et elle en eut confirmation lorsqu'elle sentit que son maître se plaçait face à elle, et qu'il le lui enfonçait doucement dans le vagin, après avoir préparé celui-ci avec des caresses. Elle se mit à trembler et à gémir de sa façon si particulière, qui avait justement tendance à exciter la libido de ceux qui l'entendaient. En fait, un œuf vibrant, ce n'était pas si horrible que ça... généralement, elle aimait bien ce genre de jouet, bien que tout dépendait de sa taille et de la façon dont il était placé. Mais ce n'était pas pour-autant qu'elle se sentait rassurée... le sac avec lequel Silence était revenu dans la pièce était très gros, et il devait renfermer bien plus qu'un simple œuf vibrant. Elle sentait qu'il commençait doucement seulement pour avoir le plaisir de bien la faire souffrir après, comme lorsqu'il l'avait mise en confiance avec son verre d'eau, puis qu'il lui avait bandé les yeux. Les mains croisée devant son menton, mais les coudes écartés pour ne pas le gêner pendant qu'il malaxait douloureusement sa poitrine, Pipa laissait à la fois exprimer sa jouissance... et sa peur.

Silence

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Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 19 mercredi 17 juillet 2013, 10:23:23

Lorsque Silence lui avait introduit l'oeuf vibrant, elle avait presque immédiatement commencé à trembler et à pousser de petits gémissements, certes excitants, mais qui sonnaient terriblement faux. Il ne pouvait pas vraiment lui en vouloir, elle n'avait rien demandé et en plus, elle ne voyait rien. Deux paramètres qui ne motivaient pas vraiment à donner de sa personne. Elle avait peur, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. D'ailleurs, il n'était même pas certain qu'elle essayait de faire passer ses gémissements plaintifs pour une étrange forme de jouissance. Comment pouvait-elle avoir encore peur de quoi que ce soit, avec tout ce qu'elle avait déjà vécu ? Notez qu'avec Silence, elle allait peut-être découvrir pire encore, quelque chose qu'elle n'avait jamais expérimenté et qui lui permettra d'explore encore plus profondément les méandres de la souffrance psychologique – et peut-être même physique. Le mercenaire était loin d'être un tendre. La pauvre allait pouvoir s'en apercevoir, si ce n'était déjà le cas. Mais il avait aussi ses bons côtés. Il voulait que ses esclaves vivent dans le confort maximal, qu'ils ne manquent de rien, et surtout, que personne ne les touche ou ne leur adresse la parole sans son autorisation exceptionnelle. Avec lui, Pipa serait bien protégée des autres... Mais pas de son maître.

Il continuait à lui tripoter la poitrine, léchant ses tétons avec gourmandise, les sentant légèrement pointer sous ses coups de langue joueurs. De même, sous les assauts du jouet vibrant, et même si cela ne lui plaisait pas, elle ne pouvait pas s'empêcher de mouiller. Silence jeta un oeil en direction du sac qu'il avait apporté. Inutile de se précipiter, il pouvait se servir de tout cela sur le long terme, et il fallait dire qu'il avait tout son temps. Autant profiter à fond de chaque jeu qu'il imposait à la petite Terranide. Qui elle, profiterait surement des moments d'accalmie où il la laisserait tranquille. Comme la nuit, par exemple. Enfin, certaines nuits seulement. Car il sentait bien qu'il aurait du mal à se séparer de l'hybride, dorénavant. Par exemple, il pouvait très bien passer la nuit avec elle. Les seules personnes qui s'en plaindraient seraient Pipa, qui ne dirait rien, et ne se plaindrait que dans sa tête, et l'esclave nymphomane et masochiste qui logeait dans sa chambre et qui ne pourrait pas assouvir les désirs de son maître.

Alors que Pipa avait le minou bien occupé par l'objet, il décida qu'il était temps de découvrir une nouvelle facette de son jeune et joli corps. Lentement, il ouvrit la seconde fermeture éclair, celle qui dissimulait son petit trou secret. Heureusement, grâce au son produit par la vibration de l'oeuf, et aux jérémiades de Pipa, elle n'entendit pas le bruit de l'ouverture. Silence en profita pour la soulever de terre, lui arrachant un cri de surprise et de terreur. La position assise était peu pratique pour cela. Sans lui expliquer quoi que ce soit, la maintenant contre le mur à la seule force de ses bras, il posa son gland tout rose contre son fondement, et ne prit pas la peine de la préparer.

- Et maintenant, tout ton corps m'appartient...

Et il s'enfonça d'un coup sec dans le postérieur de la Terranide, lâchant un puissant râle d'extase, son membre complètement comprimé par les parois de son anus, lequel état encore resserré par la présence dans l'oeuf dans le vagin de Pipa. Même dans les pires moments, il fallait toujours voir un côté positif. Pour l'esclave, le côté positif... C'était que Silence avait arrêté de maltraiter sa poitrine.



Pipa

Terranide

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 20 jeudi 18 juillet 2013, 15:28:33

Oui, Pipa avait vaicu bien des choses dans sa vie d'esclave sexuelle. Ce n'était pas pour rien que les vendeurs à qui elle avait appartenu l'avaient prêté à un harem : ils voulaient qu'elle vive le plus d'expériences possible et qu'elle devienne plus docile, et plus résistante à la douleur et à l'humiliation qu'elle devait quotidiennement subir. On l'avait elle ne savait combien de fois violée, violentée, malmenée, on lui avait fait subir toutes les sortes possibles et imaginables de sévices sexuelles... c'était surprenant de voir le nombre de fantasmes qu'il pouvait exister dans le monde. Elle avait été contrainte à des choses telles que le bondage, la sodomie, la scatophilie,... certaines personnes avaient même emmenés avec eux d'adorables petites bêtes pour s'amuser à la voir se faire prendre par un chien, une chèvre, ou encore un cheval... la zoophilie excitait ces personnes qui n'en étaient par la suite devenu que plus violentes avec leur "petit oiseau de paradis". En réalité, il serait très difficile pour Silence de lui faire ressentir quelque-chose qu'elle n'avait jamais ressentie, de la surprendre.

Mais ce n'était pas parce qu'elle connaissait toutes ces choses, parce qu'elle les avait déjà vécu plus souvent qu'elle ne pouvait les compter, que Pipa s'était mise à aimer la douleur ou l'humiliation... ce genre de choses excitaient certaines personnes, mais pas elle, elle trouvait cela juste douloureux et humiliant, cela rendait ses nuits agités, lui faisait faire des cauchemars et la faisait pleurer quand elle était seule... même lorsqu'elle dormait, en réalité, elle n'était jamais trenquille, car elle revivait souvent ce qu'on lui avait fait subir durant la journée. La douleur et l'humiliation, on pouvait ressentir cela tout au long de sa vie, si on n'aimait pas, il était impossible de s'y habituer complètement. Pipa avait seulement pu apprendre à prendre sur elle, à accepter ce qu'on lui faisait, et à simuler des cris d'orgasmes pour les choses les plus horribles afin de faire plaisir à ses maîtres.

Elle sentit d'un coups de puissants bras qui ne pouvaient être que ceux de Silence la saisir par les cuisses et la soulever... surprise, elle poussa un cri appeuré entre ses gémissements de jouissance. C'est alors qu'elle sentit un courant frais passer sur ses fesses... son maître avait ouvert la dernière fermeture éclair, et la perspective de ce qu'il allait lui arriver fit frissonner Pipa... elle n'aimait pas qu'on la prenne par là. Son anatomie était naturellement étroite et petite, et son anus avait toujours était un endroit particulièrement douloureux pour elle, elle n'avait jamais réussi à prendre de véritable plaisir à la sodomie... surtout maintenant, alors que l'oeuf vribrant dont la commande pendait et se balançait par le fil qui sortait de son intimité la faisait se crisper. Mais elle était impuissante, et elle le savait... elle ne pouvait rien faire, rien dire. Elle ne pouvait qu'imaginer le visage de son maître en laissant suspendre ses bras vers le sol, et attendre l'innéluctable. Lorsqu'il la pénétra de force, les griffes de ses pieds et de ses mains se serrèrent de façon incontrolable, et elles se desserraient et se reserraient à chaque sortie et pénétration.


-Je... suis... heureuse... qu'il soit... à vous... maître... réussit-elle à articuler en réponse à ce qu'il avait dit entre chaque coup... elle ne le pensait pas, mais ça plairait peut-être à Silence, et c'était peut-être tout ce qu'elle avait pour ne pas se faire trop maltraiter... elle devait le satisfaire pour moins souffrir.

Deux tâches claires apparurent de chaque côté du foulard que l'homme lui avait attaché devant les yeux... la sensation de la sodomie lui avait fait monter d'incontrôlables larmes aux yeux.

Silence

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Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 21 samedi 27 juillet 2013, 15:40:10

- Je... suis... heureuse... qu'il soit... à vous... Maître...

C'était si mignon. Même dans cette situation terriblement désagréable pour la jeune hybride, elle arrivait tout de même à essayer de flatter le mercenaire, de l'amadouer, de faire en sorte d'adoucir un peu son calvaire, par des paroles gentilles et de petits cris de jouissance, quand bien même elle souffrait plus qu'elle n'appréciait ce que son nouveau maître lui faisait subir. Avec un sourire, Silence remarqua les petites taches humides qui transperçaient son foulard, prouvant à son maître qu'elle était bien loin d'aimer ça, contrairement à ce qu'elle essayait de lui faire croire. Elle pleurait, tout en faisant tout son possible pour ne rien laisser paraître.

Silence, de son côté, ne se gênait pas pour continuer à la pénétrer avec violence, son membre turgescent complètement dressé planté profondément dans le petit trou chaleureux et accueillant de la Terranide-harpie. Dans le même temps, il pouvait voir, en se délectant du pouvoir absolu qu'il avait sur elle,  son intimité secouée de spasmes, palpitant à cause de l'oeuf vibrant qui gigotait en elle, se souciant peu qu'elle apprécie ou non les multiples sensations qu'elle devait ressentir, à l'instant même. De là où il était, et vu la façon dont il soutenait son esclave, il pouvait remarquer chaque geste, chaque mimique même involontaire que faisait Pipa.

Il savourait chaque coup de bassin, appréciant à sa juste valeur la chaleur et l'étroitesse de son fondement, son membre tendu s'enfonçant chaque fois plus loin dans l'anus de l'hybride, étant à chaque fois plus comprimé. Silence commençait à fatiguer à mesure qu'il accélérait le rythme et la profondeur de ses pénétrations. Sa respiration se faisait plus forte, alors qu'il cherchait désespérément à reprendre son souffle, ses mains, en plus de l'aider à maintenir Pipa en suspension, malaxait ses fesses avec énergie.

Histoire de l'embêter encore un peu, et avant que la fin de son jeu et la nuit noire ne finissent par libérer l'hybride des griffes de son maître, il enfonça lentement un doigt dans son anus, en plus de son pénis, l'écartant sans la moindre forme de pitié.

- Si tu veux être à moi, tu dois pouvoir résister à tout. À tout. Et si tu es bien sage, tu pourras même devenir la plus heureuse de toutes les Terranides. Mais pour l'instant, tu dois faire tes preuves...

Sur ces entrefaites, un doigt de son autre main alla rejoindre le jouet vibrant dans son intimité dégoulinante de cyprine, l'écartant de la même façon. La pauvre hybride allait devoir être courageuse encore un moment avant de pouvoir se reposer...



Pipa

Terranide

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 22 dimanche 28 juillet 2013, 17:01:18

Pipa en avait reçu, des tortures, dans sa vie, elle s'était si souvent faite maltraitée, humiliée, pénétrée par des membres et des godes de tailles et de longueurs multiples... elle avait si souvent été déchirée, elle avait souvent saignée, et elle n'avait reçu que bien-peu de pitié... elle était devenue résistante à ce genre de douleur, elle était même devenu plutôt endurante. Mais pourtant, comme tout-le-monde, elle avait elle-aussi des limites, et Silence était si imaginatif dans ses prises, dans ses tortures, dans ses humiliations, qu'elle ne savait pas si elle serait capable de résister très longtemps. Silence était doué, elle se demandait sur combien d'autres esclaves il avait pu exercer son art avant elle. Il savait allait de façon progressive, lentement, puis accélérant d'un coup, s'enfonçant de plus en plus profondément à chaque mouvement... particulièrement agréable pour lui, mais horriblement douloureux pour elle.

Lorsque vint le moment où il ajouta ses doigts à son calvaire dans son vagin et dans son anus, Pipa leva la tête et poussa un cri qu'elle tenta d'étouffer en serrant les dents... elle avait de la salive blanche sur le bord des lèvres. La pauvre petite esclave était épuisée, elle avait mal, et elle n'était pas certaine que l'élasticité de ses orifices tiendraient encore longtemps... mais elle ne pouvait rien faire, et après-tout, le fait qu'elle soit fatiguée ne changeait rien : c'était l'homme qui faisait tout le travail, elle, elle ne faisait que le recevoir. Les oreilles sifflante, une migraine horrible lui transperçant la tête, elle réussit malgré-tout à entendre ce que son maître avait à lui dire... et elle répondit, comme toujours, avec la plus grande soumission :


-Je serais... sage, maître... promis... faite... de moi... ce que vous... voulez. Je... je...

Elle n'avait plus la force de finir sa phrase, et elle posa son menton sur sa poitrine. Elle n'avait plus non-plus la force de crier, elle n'arrivait plus qu'à gémir... elle ne s'était pas endormie, et elle le prouva en mettant ses bras autour des épaules musclées de l'homme. Elle n'avait tout-simplement plus la force de résister à la douleur, ou de parler... elle se contenta donc de s'abandonner à la douleur, et de recevoir, silencieuse, tout ce que voudrait lui faire subir son maître. Elle souffrait, en silence, pour Silence... elle espérait qu'il lui donnerait vite l'autorisation de dormir un peu, même si elle ne le demanderait pas... elle continuerait à recevoir tout ce qu'il lui donnerait aussi longtemps que l'homme le désirerait.

Silence

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Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 23 lundi 29 juillet 2013, 08:33:00

- Je serais... sage, maître... promis... faite... de moi... ce que vous... voulez. Je... je...

- Si c'est le cas, tu n'auras plus à me craindre...

Elle était tout simplement épuisée. Elle n'avait plus la force de crier, plus la force de parler, plus la force de jouir. Elle ne pouvait que faire de son mieux pour que Silence croit qu'elle aime ce qu'il lui fait subir. Mais l'homme n'est pas dupe. Tout ceci n'est qu'un test, en aucun cas il ne désire faire plaisir à l'esclave. Si son propre plaisir peut en procurer aussi à Pipa, tant mieux. Mais si les deux ne coïncident pas, et que la Terranide n'apprécie pas ce que Silence lui fait, tant pis pour elle. Du moment qu'elle ne meurt pas, ou ne subit de blessures ou mutilations trop importantes, elle reste son jouet personnel. Et pour l'instant, elle est en passe de devenir son jouet préféré. Exténuée, elle posa sa tête sur le torse du mercenaire, qui n'y prêta pas vraiment attention, concentré sur sa pénétration et sur l'orgasme qui ne tarderait plus.

Il accéléra le rythme de ses coups de bassin, pilonnant le corps déjà meurtri de Pipa sur deux fronts. Après plusieurs minutes de pur extase pour lui, et de pure souffrance pour sa petite hybride, il se déchargea en elle avec un cri de jouissance, remplissant de semence son petit cul serré. Se reculant légèrement, il la déposa délicatement sur le sol, retira d'un coup sec le jouet vibrant, puis enleva le bandeau qui lui cachait la vue. Avec un sourire qui, pour la première fois, se voulait rassurant, il déclara :

- Tu as gagné le droit de voir, Pipa. Tu as bien fait ton travail et tu m'as déjà fait jouir deux fois. Continue comme ça, tu es sur la bonne voie.

Il s'amusa quelques instants à regarder son petit trou dégouliner de son sperme, puis il se releva et se dirigea vers la salle de bain d'un bon pas. Il s'arrêta devant la porte fermée et jeta un coup d'oeil agacé en direction de son esclave, bien qu'il sache pertinemment qu'elle était encore sous le choc, et qu'elle aurait eu bien de la peine à le précéder. Reprenant son air sévère, il aboya :

- Et alors, qu'est-ce que tu attends ? Ouvres-moi cette porte et lave-moi. Tu te laveras en même temps, en veillant bien à être la plus excitante possible. Une fois que nous serons propres tous les deux, tu me masturberas une fois encore en te servant uniquement de tes mains, et de tes seins si tu le désires, et tu t'arrangeras pour recevoir mon sperme à un endroit de ton choix mais qui permettra de ne pas en renverser une goutte. Si tu réussis à faire tout ça correctement... Je te laisserais la paix pour aujourd'hui, et tu pourras prendre du repos. À présent, fais ton travail.

Lentement, encore flageolante, elle se redressa, passa doucement devant lui et ouvrit la porte de la salle de bain. Dans un accès de brutalité gratuite et inutile, il la bouscula pour entrer à sa suite, et la jeune Terranide-harpie manqua de se trébucher, se retint in extremis, puis glissa sur une flaque qu'avait formé l'eau lorsque Silence avait rempli son verre et renversé un peu d'eau, elle tomba sur le sol, se rattrapant comme elle pouvait en se protégeant avec ses bras. Comme on pouvait s'y attendre, Silence ne fit rien pour l'aider à se relever, il contempla plutôt avec satisfaction les orifices encore à l'air libre de Pipa, qui étaient décidément magnifiques, même encore pleins de cyprine séchée, de cyprine moins séchée, et de sperme collant. Il attendit donc qu'elle se relève et se mette au travail pour contenter une nouvelle fois son insatiable maître...



Pipa

Terranide

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 24 mercredi 31 juillet 2013, 19:46:48

Pipa était épuisée, elle avait mal partout, et maintenant, elle avait surtout mal à son pauvre derrière qu'elle sentait dégouliner de l'humide semence de son maître, bien que son orifice en lui-même, elle ne le sentait plus... et elle eut mal aux yeux lorsqu'il lui retira le bandeau, d'abord à cause de la vive lumière qui éclairait la pièce, et ensuite parce que son sang, qui avait eu du mal à passer à cause du tissus serré très fort, se remit à circuler normalement dans son cerveau. Elle craignait encore ce que pouvait lui faire subir Silence... mais cette fois-ci, elle eut la certitude que son sourire était sérieux, qu'il était satisfait, et non qu'il cherchait encore à lui faire croire qu'elle pouvait se sentir rassurer, juste pour le plaisir de lui faire encore plus de mal après, tout en prenant, lui, du plaisir. Elle se sentit rassurée, même si elle sentait qu'elle n'était pas encore sortie d'affaire... après-tout, cela faisait maintenant un moment qu'il profitait d'elle, mais la soirée, elle, ne faisait que commencer, et elle doutait que cet homme puissant ait déjà tout donné.

Elle profita donc du moment où il s'éloigna d'elle pour se reposer un peu... mais sursauta lorsqu'il se mit à lui crier après. Il s'était attendu à ce qu'elle devine ce qu'il voulait qu'elle fasse, et elle, elle était restée affalée contre le mur... voilà qui risquait de lui faire perdre des points. Elle se releva donc brusquement, la tête bien basse, et, malgré ses membres tremblants et son apparente fatigue, elle réussit à marcher vers son maître en bredouillant :


-Pardon, maître...

Elle était épuisée, mais elle était habituée à la fatigue, et au moins, elle n'avait plus un œuf vibrant ou un pénis enfoncé en elle pour gêner ses mouvements. Elle était confortée dans l'idée qu'au moins, après, si l'homme tenait sa promesse, elle pourrait réellement se laver, puis dormir un peu. Jusque-là, il avait toujours tenu ses promesses. Mais elle réfléchit aussi à ce qu'il lui avait ordonné de faire ensuite... elle ne voyait pas vraiment sur quel endroit de son corps elle pourrait faire jaillir son sperme sans risquer d'en mettre partout lorsqu'elle se relèverait... sur son ventre, sur son dos, entre ses seins, même dans ses mains... c'était impossible, elle allait forcément en renverser... même dans son vagin ou dans son anus, il en tomberait forcément un peu lorsqu'elle se mettrait debout. En fait, elle n'eut pas à réfléchir longtemps avant de savoir où elle devrait le mettre pour ne pas en mettre par-terre... elle se demanda si son maître l'avait compris lui-aussi, et si il avait fait mine de lui laisser le choix seulement pour le plaisir de l'humilier encore d'avantage. Elle ne réfléchit pas longtemps à ça, cependant, ça n'avait pas d'importance, surtout que lorsque Silence la poussa violemment, elle se releva en se disant qu'il valait mieux qu'elle se dépêche de faire ce qu'il voulait.

Pipa se dirigea d'abord vers la douche et ouvrit le robinet, faisant bien attention à la température... cette fois-ci, pour le réglage, elle ne prit pas son temps, comme lorsqu'elle préparait son maître, car il n'y avait rien d’excitant à régler une douche... sauf pour le fait qu'elle s'était baissée en faisant bien en sorte de garder les fesses en l'air. Lorsque ce fut bien tiède, elle s'écarta, comme pour inviter Silence à entrer, et lorsque ce fut fait, elle le rejoignit. Elle ne retira pas sa combinaison, car elle savait que son maître l'aimait beaucoup, hors, elle, tout ce qu'elle avait à laver, c'était ses parties intimes, déjà à l'air libre. L'eau clapota en touchant la matière en cuir. Elle commença, comme il le lui avait demandé, par le laver à lui. D'abord, elle fit bien couler l'eau sur chaque partie de son corps, en frottant doucement avec ses serres ses épaules, ton torse, puis son pénis, son anus, entre ses jambes... elle descendait petit-à-petit et termina par les pieds. Ses mouvements étaient lents et ressemblaient à des caresses.

Puis elle se releva, attrapa du savon... mais au lieu de le vider sur ses mains ou sur un gant, elle eut l'idée de le vider sur ses ailes, puis sur sa poitrine. Elle commença alors à savonner le corps de son maître en le caressant avec ses douces et délicates ailes, se servant de ses plumes comme d'une multitude de petites éponges. Quand elle s'attaque à savonner ses parties génitales, cependant, elle le fit en y frottant bien ses seins...

Silence

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    Silence, mercenaire, capitaine de la guilde des Griffes d'Ammoth.

Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]

Réponse 25 jeudi 01 août 2013, 13:26:41

Pipa ouvrit donc le robinet de la douche. Plus aucune volupté dans ses mouvements, elle agissait uniquement pour s'épargner une punition supplémentaire. Comme Silence s'y attendait, c'est la peur qui la motivait, et l'on ne pouvait que la comprendre. Il l'avait découverte depuis quelques heures seulement, mais il lui avait déjà fait subir toutes sortes de sévices. C'est dans ce genre de moments qu'il était heureux d'être à sa place, et pas à une autre. Il remarqua cependant que malgré son chagrin, malgré sa douleur, elle prenait tout de même son temps pour faire de son mieux pour lui plaire... Alors qu'elle réglait la température, elle avait relevé ses jolies fesses moulées dans le latex, envoûtant le regard du mercenaire qui regardait avec insistance son intimité et son anus souillés, alors que son membre recommençait déjà à bande ferme. Peu après, elle se redressa, s'écarta de la douche et fit signe à son maître d'y pénétrer. Il ne se fit pas prier, et entra dans la cabine. Elle le suivit ensuite, découvrant alors que la cabine était en principe conçue pour une personne à la fois. L'étroitesse du lieu était plutôt excitante, et il ne l'invita donc pas à sortir. Il sentait contre son torse les seins de Pipa qui se pressaient contre lui. Quelle agréable sensation...

Elle commença par faire couler l'eau sur la totalité du corps de Silence. Évidemment, cette proximité et la beauté de son esclave contribuèrent à lui donner une érection impressionnante, ce qui était plutôt handicapant dans cette petite cabine. En effet, pour ne pas être complètement coincée contre le mur si elle se mettait devant lui, elle était obligée d'éviter le membre de Silence, car si elle s'était postée devant lui, il n'y aurait pas eu assez de place. Ensuite, elle se releva, et se mit à le savonner... Après l'avoir renversé sur ses ailes, et surtout, sur sa poitrine. Qu'elle lui donnait envie de la prendre comme ça, sans prévenir, avec ses jolis seins rebondis par sa tenue, et dégoulinant d'une substance blanche... Bon Dieu, qu'elle l'excitait. Elle savonna donc tout son corps à l'aide de ses grandes ailes, qui devaient se sentir un peu à l'étroit. Ensuite, elle eut la bonne idée de se servir de ses seins pour lui nettoyer la hampe, manoeuvre qu'il apprécia beaucoup. Un bon point pour elle, encore une fois. Il lui caressa les cheveux, ravi.

- Hummm... C'est trop bon !

Il rejeta sa longue chevelure en arrière, pour ne pas qu'elle soit gênée dans son "nettoyage". Étant donné que sa lance de chair était complètement tendue, lorsqu'elle dut nettoyer son gland, il ne put retenir un grognement de plaisir, et un spasme le fit trembler comme une feuille. Il agrippa sa tête avec plus de force.

- Allez... Maintenant branles-moi comme t'as jamais branlé aucun de tes maîtres... Avec tes nichons. Fais-le !




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