Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Pipa le dimanche 07 juillet 2013, 14:59:19

Titre: Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le dimanche 07 juillet 2013, 14:59:19
Il faisait nuit, sur la partie de Terra où se trouvait la ville-état de Nexus, et dans la forêt qui entourait la ville, le silence nocturne n'était rompu que par le chant nuptiale des chauve-souris et par le cri du hibou en chasse. Le ciel était entièrement dégagé, et les étoiles et la pleine-lune faisaient baigner le monde de leur lueur argentée. Mais dans la zone où débute notre histoire, au sein-même de la forêt entourant la ville, dans les profondeurs de celle-ci, les arbres avaient une ramure si épaisse que les rayons de lune ne pouvaient pas les traverser. Dans cette partie de la forêt, les habitants nocturnes étaient généralement plongés dans un noir total... je dis bien généralement, car en cette nuit, une lueur dans le noir se faisait voir. C'était un feu de camp, se trouvant au milieu de tentes dressés, et près duquel dormait paisiblement une petite et fine forme qui respirait doucement. Il y avait très peu d'habitants de Nexus qui s'enfonçaient aussi loin dans les profondeurs de la forêt, à cause et terranides sauvages essayant d'échapper à l'esclavage, et des bêtes. Mais certains jeunes trop sûrs d'eux et des militaires en entrainement s'y risquaient, parfois.

Dans ce cas-là, c'était la seconde proposition qui était la bonne : un noble de la ville, chef-militaire accompli et prince de sa zone, était partis en Week End d'entraînement intensif avec sa petite armée personnelle, composée d'une centaine d'homme... pas grand-chose, mais suffisant pour donner la donne lorsqu'un noble supérieur à lui faisait appel à ses services. Ils étaient partis sur la direction de leur chef pour un Week End de survie dans la forêt, avec au programme randonnée, varappe, nage, entraînement au tir et à l’escrime et pas de nourriture et d'eau, il leur fallait trouver tout ce dont ils avaient besoins eux-même. Cependant, même sur Terra, il était parfois permis d'emporter un petit plaisir avec soit... le prince ne se séparait jamais, depuis qu'il l'avait acheté, de son esclave préférée, Pipa, la terranide-oiseau aux formes généreuses sans pour autant être ridiculement grosses. C'était elle qui restait près du feu, endormie à-même le sol. Un collier maintenu avec un cadenas était passé autour de son cou, et la relié à un poteau en bois planté au sol par une chaîne... c'était à se demander pourquoi le prince avait pris cette précaution, puisque Pipa n'était pas du genre à essayer de s'échapper.

La jeune fille n'avait pas droit à plus de considération qu'un animal, c'était pour ça qu'elle dormait dehors, à même la terre, le corps nu. Elle avait quand-même eut droit à une fine couverture qui la cachait et la protégeait du froid. L'esclave restait toujours au campement, lorsque les hommes partaient pour leurs entraînement, car il ne faudrait pas non-plus que sa présence les déconcentre... cependant, le soir, lorsqu'ils rentraient, elle était là pour détendre leurs muscles mis à rude épreuve. La pauvre petite créature était épuisée, après avoir passée la soirée à masser chacun de ces soldats par ordre d'importance, et avoir dansée pour eux jusqu'à ce que ce soit l'heure d'aller se coucher. Et pour cela, dormir sur la sol ne la dérangeait pas, du moment qu'on la laissait se reposer un peu... mais pourtant, cela ne l'empêcha pas se réveiller en sursaut lorsqu'elle entendit un bruit de branche qui se craque tout près d'elle.

Pipa cligna des yeux et regarda la pénombre autour d'elle... elle ne voyait que des tentes grises et n'entendait plus que les ronflements des hommes. Cependant, maintenant, elle sentait la peur monter en elle : ils l'avaient laissée ici, seule, à la merci des bêtes sauvages. Et si l'une d'elle venait ici pour la manger ? Réussirait-elle à crier assez fort pour réveiller les hommes, pour qu'ils viennent la sauver avant qu'il ne soit trop tard ? La terranide-oiseau se recroquevilla sous sa couverture, toute tremblante. Elle rampa alors un peu pour se rapprocher du feu... non-pas qu'elle avait froid, mais elle savait que les animaux avaient peur du feu, elle espérait être plus en sécurité ainsi. La tête posée sur les feuilles mortes, elle eut du mal à retrouver le sommeil... jusqu'à ce que des cris lui fasse comprendre que ce n'était pas une bête qui l'avait réveillée...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le dimanche 07 juillet 2013, 16:20:14
Silence s'accroupit. Dissimulé par la nuit et par la haute silhouette de l'arbre derrière lequel il s'était caché, le mercenaire distinguait des lueurs facilement identifiables dans la forêt. Des feux. Un campement. Ce qui voulait dire dans le langage des Griffes d'Ammoth, "Pillage" ! "Rapine" ! Et potentiel "Viol" ! Il jeta un rapide coup d'oeil à sa droite pour s'assurer que Venin, Ronfleur, Ronce et Étreinte étaient bien prêts pour la manoeuvre. Sur sa gauche, Douleur, Chimère, Aiglon et Cyclope lui lancèrent un hochement de tête équivoque. L'assaut pouvait commencer. Plume, qui ne devait pas participer au raid, attendait derrière le chef des Griffes, aux aguets. Celui-ci lui signifiait qu'ils étaient prêts. Avec un sourire, la jeune femme encocha une flèche dans son arc et, ajustant sa cible avec une précision diabolique, abattit tour à tour les gardes qui faisaient leur ronde dans le campement. Le dernier avait malheureusement poussé une sorte de cri étouffé, mais il ne pourrait pas réveiller quelqu'un. Ils bénéficiaient donc de l'effet de surprise.

Lentement, les neuf mercenaires marchèrent jusqu'au campement, ombres silencieuses déchirant le voile de l'obscurité. Une fois en position, Silence exécuta un geste vif de la main droite, celle qui était désarmée, tandis que l'autre portait son légendaire "Vol de Corbeau". En poussant un rugissement enthousiaste, les Griffes d'Ammoth pénétrèrent dans les tentes et égorgèrent les endormis avant même que ceux-ci aient pu comprendre ce qui leur arrivait. Le massacre fut assez vite terminé et les tentes furent mises à sac. C'est à ce moment-là que Silence entendit un bruit. Il se dirigea vers le feu de camp, et quelle ne fut pas sa surprise de découvrir une jeune fille. Elle était recouverte par une simple couverture mais ne semblait pas porter de vêtements en-dessous. Un simple coup d'oeil suffit au mercenaire pour comprendre que c'était une esclave Terranide, une hybride-oiseau, qui plus est. Il sourit, d'un sourire qui ne présageait rien de bon...

- Viens, toi. On a tué tout le monde ici, si tu reste, tu seras toute seule, à la merci des bêtes sauvages. Alors viens. Je suis ton nouveau maître.

Comme elle restait silencieuse, il s'approcha d'elle, la prit par la taille et la souleva sur son épaule. Elle n'eut pas le réflexe de retenir la couverture, et Silence confirma donc son hypothèse. Détaillant les courbes de Pipa, il murmura :

- Je sens qu'on va bien s'amuser, tous les deux...

À cet instant, Ronfleur parut et s'exclama :

- On a prit tout ce qui était intéressant, Silence ! Mais j'ai l'impression que t'as gardé le meilleur pour toi...

- T'y touche pas. C'est mon esclave, maintenant, on la ramène à la Bâtisse, et on la dresse...

Il éclata d'un rire tonitruant. Bien plus tard, lorsqu'ils atteignirent la Vieille Bâtisse, Silence alla directement chercher des vêtements pour Pipa. Il l'habilla avec une tenue en latex sombre extrêmement sexy pour faire ressortir ses formes et lui mit une robe blanche par-dessus pour qu'elle ne s'en rende pas compte tout de suite. Ensuite il la posa sur son lit et sortit de la pièce en verrouillant la porte. Il était temps de voir comme elle allait réagir en milieu inconnu...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le dimanche 07 juillet 2013, 17:32:39
Les choses s'étaient passés si vite que Pipa n'avaient pas vraiment tout saisie, mais elle avait quand-même compris le plus important, et c'était que maintenant, le prince était mort, et que ce n'était plus à lui qu'elle devrait obéir, ni appeler "maître". Ce qui avait dû attirer le chef des Griffes jusqu'à la petite esclave, c'était qu'en entendant les cris d'agonies, les hurlements des hommes passant à l'attaque, en voyant ses ombres furtives dans les nuits et les tentes des soldats abattues, elle s'était redressée en position assise, recroquevillée contre le poteau qui retenait sa chaîne attaché à son collier, la couverture recouvrant son corps jusqu'au menton, et qu'elle avait pleurée à-cause de la peur. En voyant l'homme arriver vers elle, et en entendant ses paroles, elle avait compris qu'elle était tombée entre les mains d'un barbare ou d'un mercenaire sanguinaire qui serait peut-être bien violent envers elle... oh, Pipa pouvait tout supporter, mais ce n'était pas pour autant qu'elle aimait lorsqu'elle était violentée et humiliée. Elle ne chouina pas, cependant, ne protesta pas, ne se défendit pas... elle laissa Silence la prendre, la mettre sur son épaule, et resta silencieuse durant tout le voyage vers ce qu'il appelait "la Bâtisse".

Durant tout le voyage sur l'épaule de son nouveau maître, Pipa resta calme et silencieuse... elle devait plus ressembler à une peau de bête ramenée d'une chasse qu'à une jeune fille capturée lors d'une rixe, dans son attitude. L'homme qui avait pris possession d'elle et qui semblait être le chef de ce groupe d'assassins avait bien précisé aux autres qu'ils n'avaient pas le droit de la toucher... mais ça ne l'empêcha pas de s'attirer des regards pervers et de convoitise de la part des hommes, et même de certaines de ces femmes libres. Les larmes aux yeux, Pipa avait alors timidement croisée les mains au-niveau de son menton et avait caché la pointe de ses seins avec ses coudes... et, vu que personne ne lui ordonna de changer de position, elle resta ainsi. Puis, une fois à la bâtisse, l'esclave se laissa docilement habiller comme le voulait le mercenaire, et resta allongée jusqu'à ce qu'il sorte de la chambre où il l'enferma à clé. Inutile, de toute-façon, elle ne comptais pas sortir...

Lorsque Pipa se retrouva seule, alors elle osa se redresser, dans sa robe blanche qui sentait encore la propreté... elle se demandait cependant combien de temps cela allait duré, ou alors combien de temps elle allait lui rester sur le dos... et elle s'agenouilla sur le lit. Ses yeux bleus humides dans lesquels il manquait une certaine lueur... celle de l'espoir, de la liberté... volèrent alors autour de la chambre, s'intéressant au mobilier et à la couleur des murs. Agenouillée, les mains croisées au-niveau du visage comme si elle cherchait à se cacher, ses ailes gonflées formant comme un éventail de plumes roses autour d'elle, Pipa avait un air timide et terrorisée. En réalité, elle avait déjà était dressée, dans sa jeunesse, et on lui avait appris à ne pas bouger et à se taire temps qu'on n'avait pas besoin d'elle. Alors, immobile et silencieuse, Pipa attendait que son maître, ou qu'un autre homme souhaitant ses services, vienne la chercher, terrorisée, se demandant se qui l'attendait, maintenant...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le dimanche 07 juillet 2013, 18:34:52
Silence ne comptait pas s'absenter très longtemps. Il était plutôt allé distribuer quelques consignes aux autres Griffes, notamment la plus importante d'entre elles : on ne devait les déranger, lui et sa nouvelle esclave, sous aucun prétexte, quel qu'il fut. Les autres décisions seraient prises par Douleur, sa seconde. Une fois tous ces petits problèmes sans intérêts résolus, il revint dans la chambre. Il était temps de prendre les choses en mains.

- Bien. La première chose que tu dois savoir, c'est qu'à partir d'aujourd'hui tu ne vis plus que pour exaucer tous mes souhaits, que tu ne dois pas m'appeler autrement que "Maître", et que si jamais tu venais à me désobéir, tu recevrais une punition comme jamais tu n'en as reçu. Est-ce que c'est bien clair ?

Il ne laissa pas à la petite Terranide le temps de lui répondre. Déjà, il se rapprochait d'elle, un air menaçant gravé sur le visage...

- Cette petite robe te va bien, ma chose... On l'a trouvée dans la chambre d'une gamine, la fille d'un trafiquant d'alcool, je crois...  Je me suis dit qu'elle pourrait être utile, qui sait... Et j'ai eu raison !  Maintenant, tu vas me dire ce que je dois savoir sur toi... Pour ne pas m'ennuyer, je veux que tu me déshabilles en même temps... Et n'hésite pas à attarder tes mains... Et quand tu auras fini, je veux que tu me dises comment tu t'appelles... Et ne traîne pas, ma patience a des limites...

Sur ces entrefaites, Silence écarta les bras pour signifier à la Terranide qu'elle pouvait y aller. L'air dur qui restait marqué sur son visage laissait deviner à l'hybride-oiseau que si elle ne s'exécutait pas, il ne serait pas tendre avec elle...
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Posté par: Pipa le dimanche 07 juillet 2013, 20:02:29
Au retour de son maître, Pipa s'était recroquevillé sur elle-même, effrayée devant son air dur, attendant avec crainte qu'il lui dise ce qu'il comptait faire d'elle... pour le moment, ça ne semblait pas trop terrible, il voulait juste qu'elle le déshabille en se présentant... mais vu qu'il tenait à ce qu'elle le déshabille, elle ne doutait pas une instant de ce qu'il comptait faire d'elle juste après. Elle espérait qu'elle réussirait à satisfaire son désir et sa curiosité, qu'il ne serait pas trop violent, et qu'elle n'aurait pas à recevoir la punition qu'il lui avait promise si elle lui désobéissait ou qu'elle ne le satisfaisait pas. Dès qu'il eut écarté ses bras, Pipa se leva alors et s'approcha doucement de lui... son air timide et apeuré était toujours présent sur son visage, mais elle bougeait plutôt vite comparé à cela... elle savait ce qu'elle risquait et était prête à agir comme il le fallait pour ne pas être maltraité.

La terranide oiseau se colla tendrement contre le corps de Silence, tendis que ses mains tripotaient dans son dos afin de trouver l'attache de ses ceintures et de décrocher celle-ci. Une fois que ce fut fait, elle commença son récit :


-J'ai été dressée comme esclave depuis aussi longtemps que remonte mes souvenirs, par deux frères marchands. Ils ont été dure et doués envers moi... je suis très obéissante et docile, j'obéirais à chacun de vos ordres et je recevrais tout ce que vous désirerez me faire subir.

Pipa s'attaqua alors à la veste de son maître. Tendis qu'elle la déboutonnés d'une main, elle lui caressait son large torse musclé de l'autre. Chaque fois qu'elle retirait un vêtement, elle prenait le temps de le plier en deux et de le poser à côté d'elle, pour ne pas l’abimer. En faisant bien en sorte de caresser sa peau avec ses paumes et passant la tête contre son ventre et son torse, elle retira ensuite son tee-shirt.

-J'ai été dressée pour presque tout. Je suis en-outre une très bonne danseuse et une excellente masseuse. Mon ancien maître aimé voir mes plumes bouger lors de mes danses, je peux faire des démonstrations. Et pour ce qui est de vos fantasme... il suffit de demander, et je vous obéirais.

On pouvait voir que ce n'était pas la première fois que quelqu'un lui demandait de le déshabiller, et Pipa prenait parfois des initiative pour rendre cela plus agréable. Lorsque vint le moment de retirer le bas, elle s'agenouilla devant son maître, déboutonna son pantalon, défit sa braguette en prenant bien soin de caresser cette endroit si particulier... et, en le descendant, elle attrapa son caleçon avec ses dents et le baissa en même-temps. Les odeurs, le goût... elle avait vécu tellement de choses que ça ne la dérangeait plus. Le temps de défaire les bottes de son maître, elle continua :

-Je résiste à la douleur et à la faim, mais pour la nourriture, je ne supporte que la viande crue, à-cause de mes gênes de rapace. J'aime particulièrement le fois.

Il avait voulu qu'il lui dise tout ce qu'il y avait à savoir sur elle, et c'était grosso-modo ce que les vendeurs avaient dit à son ancien maître lorsqu'ils la lui avaient vendue... alors elle le répétait. Elle savait qu'avouer sa résistance risquait de l'encourager dans les sévices... mais elle espérait aussi que cela le satisferait, et elle avait trop peur de lui pour lui mentir ou lui cacher quelque-chose. Pipa retira délicatement les chaussettes de son maître en débutant par un simulacre de massage, puis retira le reste. Ça y était, il était nu, alors elle se redressa devant lui, le visage baissé d'un air soumis, n'osant pas le regarder dans les yeux.

-Et je m'appelle Pipa, maître.

Elle avait terminé son récit... alors, craintive de savoir si ce qu'elle avait fait lui avait plu, et si ce n'était pas le cas, de se prendre une gifle, elle ferma les yeux et crispa les muscles de ses épaules...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le lundi 08 juillet 2013, 09:10:36
Docile, et sans doute la crainte de tout ce qui pourrait lui arriver aidant, la jeune Terranide s'exécuta sans mot dire. Elle se leva, avec un air néanmoins apeuré, que Silence notifia avec délectation. Si elle avait peur, elle serait plus facile à dresser. Elle se plaqua tout contre le corps musclé du mercenaire, et défit lentement sa ceinture. Dans le même temps, elle répondit à sa première question :

- J'ai été dressée comme esclave depuis aussi longtemps que remontent mes souvenirs, par deux frères marchands. Ils ont été durs et doués envers moi... je suis très obéissante et docile, j'obéirais à chacun de vos ordres et je recevrais tout ce que vous désirerez me faire subir.

Bon à savoir, pour commencer. Elle savait encaisser. Toutefois, la mince partie de l'esprit de Silence qui savait encore faire preuve de pitié espérait pour l'oiseau qu'elle ne soit pas présente en période de forte colère du mercenaire. Elle pourrait y rester. Ensuite, l'esclave ôta le reste des vêtements du mercenaire, prenant bien soin de les plier correctement, et de caresser chaque centimètre carré du corps de Silence au passage.

- J'ai été dressée pour presque tout. Je suis en outre une très bonne danseuse et une excellente masseuse. Mon ancien maître aimait voir mes plumes bouger lors de mes danses, je peux faire des démonstrations. Et pour ce qui est de vos fantasmes... Il suffit de demander, et je vous obéirai.

Deuxième information dont l'homme aux cheveux d'argent prit bonne note. Tous ses fantasmes... Impossible à réaliser, pour la plupart, même avec beaucoup de bonne volonté. Mais cela eut au moins le mérite de le faire sourire, un bon point pour l'hybride. Il apprécia également son initiative de lui enlever son sous-vêtement avec les dents, créant une proximité très excité entre son sexe et la bouche de l'esclave... Patience.

- Je résiste à la douleur et à la faim, mais pour la nourriture, je ne supporte que la viande crue, à cause de mes gênes de rapace. J'aime particulièrement le foie.

Silence était nu, à présent. La Terranide se releva, prenant soin de porter une attention toute particulière à ses pieds, de peur de manquer de respect à son nouveau maître, sans doute. Et pour finir, elle répondit à sa dernière question.

- Et je m'appelle Pipa, maître.

D'abord, Silence crut qu'elle se moquait de lui. Mais non. Il sourit, non pas un sourire mauvais, mais plutôt amusé. Un jeu de mot vaseux venait de s'imposer à son esprit, et c'était le moment de s'en servir pour tester réellement les capacités de "Pipa". Comme elle pouvait s'en rendre compte, vu la direction de son regard, le sexe du mercenaire pendait lamentablement. Elle avait encore beaucoup de travail, pour qu'un homme comme lui, qui en avait vu d'autres, soit véritablement excité. Et c'était bien pour ça qu'elle allait devoir lui montrer de quoi elle était capable.

- Et bien dans ce cas, tu vas m'en tailler une, de Pipa ! Montre-moi ce que tu sais faire avec cette belle bouche. Si tu réussis à me faire jouir, tu auras une récompense. Sinon, c'est la punition ! Mais comme il ne s'agit que de la première épreuve, et que je suis quelqu'un d'infiniment bon, je t'offre une aide non-négligeable. Soit, l'autorisation d'enlever cette robe. Tu verras que la tenue que je t'ai offerte t'aidera beaucoup dans ta tâche...

Il plaça ses mains sur les épaules de Pipa, et força un peu pour la faire s'agenouiller. Il était temps de voir ce qu'elle valait...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le lundi 08 juillet 2013, 18:40:22
Oh non, Pipa ne se moquait pas de son nouveau maître... jamais elle n'oserait faire une telle chose. D'ailleurs, elle ne s'était jamais moquée de qui que ce soit, ni de ses maîtres, ni d'une autre personne libre, ni d'un autre esclave... elle ne se considérait pas comme assez importante, dans ce monde, pour se moquer des autres, et pour être honnête, si elle savait quand on se moquait d'elle, quand on la rabaissait, quand on l'humiliait, généralement pour s'amuser avec son esprit et son joli corps, elle ne savait pas elle-même comment on se moquait des gents. On lui avait appris à se rabaissait et à obéir, à se taire et à se soumettre, pas à rabaisser les autres, bien au contraire. Alors oui, elle avait dit la vérité, et elle s'appelait bien Pipa... certainement pas son nom de naissance, mais c'était celui qu'on lui avait donné après lui avoir effacé la mémoire. Et Silence n'était pas le premier à faire le rapprochement avec l'acte et son prénom... surement une autre cruelle idée des deux dresseurs dans le but de la rendre plus soumise, plus désirable, et de l'humilier, ce qui plaisait généralement aux clients.

Et ainsi, la petite esclave qui portait si bien son nom, vu la circonstance dans laquelle elle se trouvait, se laissa docilement mettre à-genoux par son maître. Elle commença, vu qu'il le lui permettait... elle se demandait d'ailleurs si ce n'était pas plutôt un ordre déguisé, et dans le doute, elle se dépêcha d'agir ainsi... par retirer la belle robe blanche qui la recouvrait. Ses mouvements étaient lents et calculés, elle faisait en sorte de se montrer le plus désirable possible, en faisant durer le plaisir sans pour-autant se montrer trop lente. Ses plumes roses au bout de ses ailes semblaient jouer dans l'air à chacun de ses mouvements, et bien que cela ne semblait pas être fait exprès, elle était consciente qu'à chacun de ses mouvements, le pointes de celles-ci caressait doucement le sexe, les testicules, ou l'alentour de cette partie de l'anatomie de son maître. Le contact de ses plumes était doux comme du coton, et elles étaient si légères qu'elles ne chatouillaient pas... elles offraient un contact agréable qui faisait frissonner de plaisir la plupart de ceux qui lui étaient déjà montés dessus... elle espérait que cela serait le cas pour son maître, et que ça lui plairait.

Pipa retira donc la robe entièrement et la plia délicatement pour la poser à-côté de d'elle, là où elle ne gênerait pas, près des habits de l'homme... il ne fallait pas l'abimer, ou le maître serait en colère, elle en était sûre. Durant une seconde, elle en profita pour observer la tenue qu'elle portait en-dessous... c'était une épaisse combinaison en latex fort sexy pour ceux qui appréciaient ce genre de choses. Elle recouvrait en grande-partie sa peau, et ses manches partaient jusqu'à ses coudes et ses genoux, laissant les parties granuleuses de ses bras et ses jambes, ainsi que ses serres, libres. Serrés par des anneaux en métal cachés sous la tenue, ses seins étaient à l'air libre et légèrement gonflés... c'était douloureux. Des fermeture éclair couvraient son intimité et son anus, pouvant ainsi être dévoilés si on voulait les utiliser. Le tenu était attachée par une autre fermeture éclair dans le dos. Elle était très serrée, les parties couvertes lui tenaient très chaudes, et les parties nues étaient parcourues de frissons à-cause des courants de la pièce.

Pipa ne s'attarda pas là-dessus, de crainte que le maître s'impatiente... et elle commença son travail. Elle commence d'abord par soulever le pénis encore flasque de son maître... elle savait comment faire pour exciter les hommes, elle avait fait cela bien des fois, et elle connaissait les hommes... ils aimaient tous plus ou moins la même chose, il lui suffisait de se montrer soumise et entreprenante. Elle commença d'abord par lécher les testicules de Silence, dans de lents et doux coups de langue, allant doucement pour ne pas risquer de lui faire mal. Puis petit à petit, ses lèches montèrent plus haut, au fur et à mesure que le sexe grossissait et devenait droit. Elle n'hésitait pas à poser son nez dessus... avec les années, bien qu'elle n'en avait pas perdu les sens, elle n'était plus gênée par les odeurs et les goûts. Le maintenant avec sa serre aux griffes taillées, évitant ainsi toute blessures grâce à ses pointes arrondies, elle lécha trois fois la gland... puis le mit entre ses lèvres, l'embrassa... et commença doucement à tailler la "Pipa" que lui avait demandé son maître.

Elle alla doucement, progressivement... le maître se disait pressé, mais elle savait aussi qu'aller trop vite ne plaisait jamais, alors elle fit en sorte de ne pas avoir l'air trop lente sans pour autant le faire jouir en une minute. Se contentant d'abord de suçoter le bout, elle commença ensuite à enfourner le sexe vers la moitié, puis avança vers le bout... au finale, elle se retrouva à vers des allés-retours de plus en plus rapides, son nez se retrouvant toujours dans la touffe de poil de son maître, le large sexe allant presque jusqu'au fond de sa gorge. Elle gardait ses yeux éteints levés vers le visage de l'homme, se montrant ainsi tel un animal soumis. Elle continua à sucer le membre de son maître jusqu'à ce que celui-ci ne jouisse dans sa bouche...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le mardi 09 juillet 2013, 07:06:04
Comme il le lui avait conseillé, la petite Terranide, Pipa donc, enleva lentement la petite robe blanche que Silence lui avait enfilée il y avait très peu de temps. Mais au moins, elle n'était pas abîmée, et pourrait très bien devenir le vêtemenr que porterait habituellement sa nouvelle petite esclave... À voir. Pour l'instant, il était concentré sur le présent, et sur son membre encore mou. Car il ne comptait pas trop faciliter la tâche à Pipa non plus, il allait donc faire son possible pour se retenir. Chose ardue, pour un homme, lorsqu'il fait face à de tels arguments... En effet, sous la robe, la tenue de latex noir de l'hybride avait le don de beaucoup exciter le mercenaire, et cela associé aux caresses dont elle le gratifiait, il avait beaucoup de peine à rester visuellement insensible. La semi-harpie put s'en rendre compte par elle-même : son barreau de chair trépignait déjà d'impatience, se soulevant quelque peu pour faire part de son mécontentement. Elle prenait son temps. Si le chef des Griffes n'écoutait que son "cerveau du bas", cela aurait fait bien longtemps qu'il se serait jeté sur elle, et l'aurait violée avant même qu'elle ne comprenne ce qui lui arrivait... Peut-être même ceci dès qu'il l'a trouvée dans le campement, dans la forêt...

Toujours est-il qu'elle finit par s'arrêter, et ramener toute son attention sur la protubérance masculine à demi-molle que Silence tentait encore de rabaisser avec toute sa force mentale... En vain. Elle souleva son membre et commença à lui lécher les bourses... Sa langue était d'une douceur incomparable, et le mercenaire comprit tout de suite qu'elle savait y faire, impossible de s'y tromper. Peu à peu, sa lance de chair se faisait plus épaisse, plus consistante, et surtout plus tendue. Dans le même temps, l'esclave continuait de le lécher, de plus en plus haut... Elle finit par embrasser plusieurs fois son gland et réellement commencer sa fellation. Expérimentée, elle savait comment faire pour satisfaire un homme... Elle accéléra petit à petit, d'abord en suçant uniquement la pointe de sa verge, pour ensuite l'engloutir complètement. Silence regardait son visage alors qu'elle le suçait, sentant son gland cogner contre le palais de Pipa à chaque fois qu'elle avançait sa tête pour englober son sexe entier dans sa bouche... Elle le regardait, elle aussi, avec un regard qui en disait long. Un regard de soumission pure, comme celui d'un chien apprivoisé, ou plutôt d'une chienne, qui saurait s'attendre à prendre des coups si elle ne ramenait pas le bâton.

Tremblant, frissonnant, profitant de son point de vue idéal sur la poitrine rebondie de la Terranide, Silence finit par s'abandonner entre ses lèvres avec un râle. Il avait beau être déçu de sa prestation, il n'en restait pas moins assuré. Il attendit qu'elle ait avalé tout le contenu de sa jouissance pour se retirer, puis, sans prévenir, il la prit par la gorge, manquant de l'étrangler et s'exclama :

- J'ai rêvé, ou bien j'ai vraiment vu un petit sourire satisfait ? Tu crois vraiment pouvoir être fière de toi ? Si j'ai joui, c'est uniquement grâce à ta tenue. Je savais bien que c'était trop, comme assistance... Mais ce n'était que le début... Et je tiens parole. Je t'avais promis une récompense...

Il la relâcha, et alors qu'elle retombait bruyamment sur le sol de la chambre, il ouvrit la porte et hurla :

Ronfleur ! Apporte moi la bête d'hier !

Il referma la porte, et alla s'asseoir sur le lit, attendant que la Griffe revienne avec "la récompense", regardant d'un air amusé son esclave se relever péniblement. Lorsque Ronfleur pénétra dans la chambre avec un plateau, Silence lui prit avant de le chasser de geste de la main. Il s'approcha de Pipa avec un sourire mauvais :

- Tu vois ? Ça, c'est ce qu'il reste du sanglier qu'on a mangé hier ? Tu disais que tu aimais la viande crue, je me trompe ? Parfait. Prends donc cette jambe de sanglier... Mais je vais d'abord, si tu permets – et même si tu ne permets pas d'ailleurs – m'en servir pour ta deuxième épreuve. Tu m'as fait jouir, d'accord, mais maintenant je veux voir à quoi tu ressembles quand TU jouis. Alors tu vas te servir de l'os de cette jambe de porc, et de la viande autour, comme d'un jouet pour arriver à jouir... Si tu y parviens sans utiliser autre chose que ce jouet, tu pourras manger la viande. Sinon... Tu sais ce qui t'attends...

Au moins, elle savait à quoi s'en tenir...  Avec un sourire mauvais, Silence la contempla, alors qu'elle découvrait l'objet...
Titre: a
Posté par: Pipa le mardi 09 juillet 2013, 19:56:33
Pipa ne se souvenait pas d'avoir sourie, ni de s'être sentie satisfaite temps qu'elle n'avait pas était certaine que l'homme avait vraiment aimé ce qu'elle avait fait, mais elle savait qu'elle ne devait pas répondre à son maître, ou elle risquait les pires des punitions. De toute-façon, quand il la prit à la gorge, elle fut tellement serrée qu'elle en était incapable de prononcer le moindre mot. Elle ne put que le regarder avec un regard suppliant, se demandant ce qu'elle avait bien pu faire de-travers pour qu'il la traite de cette façon... quoi-que, elle savait que certaines personnes aimaient lui faire du mal, tout-simplement. Peut-être qu'il ne faisait que chercher une raison de la punir... et l'écouter lui parler. Lorsqu'il la relacha, elle tomba sur la sol, à quatre patte, et toussa longuement, manquant de s'étrangler... elle eut le reflex de mettre sa main devant sa bouche pour ne pas tousser sa salive sur son maître. Elle y trouva quelques goûtes de sperme qu'elle se dépêcha de lécher et d'avaler, puis, retenant un sanglot parce qu'elle avait mal et qu'elle avait peur, elle se tourna vers l'homme devant-elle. Le membre des Griffes qui passa avec la cuisse de sanglier encore crue lui lança un regard assez dégoûtant... elle cacha son intimité de ses mains et rampa vers le lit où se trouvait son maître comme pour lui échapper.

Silence lui expliqua ce qu'il voulait qu'elle fasse avant d'avoir le droit de manger, et elle regarda, intimidée, la taille de la cuisse couverte de viande... on lui avait déjà demandé d'utiliser un gode pour se masturber sous le nez des clients, les hommes aimaient souvent ce genre de démonstration... mais jamais avec une chose pareil. L'homme avait beaucoup d'imagination, et elle se rendait compte qu'il pouvait se montrer sadique et d'une grande cruauté... mais au moins, pour le moment, si il avait failli l'étrangler, il ne l'avait pas frappé... pour combien de temps, cependant ? Elle n'avait pas envie de faire cela... mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Alors elle prit la cuisse qu'elle trouva bien lourde et la mit verticalement sous elle. Dandinant des fesse en s'abaissant vers l'os levé, elle fit, une fois de plus, en sorte de faire durer le plaisir pour son maître... ses plumes se mouvaient autour d'elle tendis qu'elle se déhanchée.

Le bout de l'os commença petit à petit par la pénétrer, elle allait doucement, et l'enfonçait petit à petit jusqu'au fond de son intimité... c'était désagréable, l'os n'avait pas une texture très adaptée pour ce genre de chose, et la viande la démengeait sur les parois sensibles de son vagin... mais elle savait qu'elle devait jouir avec ça, elle n'avait pas le choix, et elle était trop craintive pour oser simuler. Alors elle continua à descendre et à remonter sur l'os du cuisseau en poussant de petits gémissement qu'elle muait petit-à-petit en petits cris, et cela dura longtemps.

Au bout de plusieurs minutes de jeux de cette façon, elle décida de changer de position, devenant peut-être plus aguicheuse pour son maître... elle se laissa tomber sur le dos, le visage près des pieds de l'homme assis sur le lit, puis entoura la cuisse avec ses jambes et, le manipulant de cette façon, le fit elle-même entrer et sortir de son intimité. Elle commençait un peu à arriver à trouver du plaisir à faire cela, alors que son liquide vaginal humidifié l'os et le rendait moins rapant. Elle se mordit les lèvres inférieurs, continua à accellerer... et finalement, enfin, elle poussa un long cri de jouissance, tendis que la viande qu'elle allait peut-être pouvoir manger se couvrait de sa cyprine. Les muscles de Pipa se détendirent un peu tendis qu'elle restait dans la même position, au sol, sous son maître, afin de reprendre son souffle... elle n'osa cependant pas retirer le cuisseau d'en elle, préférant attendre que l'homme lui en donne l'autorisation.
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le mercredi 10 juillet 2013, 08:10:40
Encore assis sur le lit, Silence regardait avec délectation sa nouvelle esclave. Elle lui plaisait beaucoup : mignonne, docile et obéissante... Et elle savait encaisser. Le rêve pour tout esclavagiste. Il la regardait donc obéir à son ordre farfelu. Pas parce qu'elle en avait envie. Pas en attente de quelque chose. Non. Juste parce qu'il l'avait demandé. Elle plaça l'os sous elle, et s'abaissa progressivement, offrant une vue imprenable à Silence son vagin étroit dont les lèvres s'écartaient au fur et à mesure que le fragment d'animal mort la pénétrait. Dans le même temps, elle se déhanchait comme une strip-teaseuse, dandinant des fesses moulées dans le latex, excitant tout autant le mercenaire. Pipa commença donc à replier et déplier les jambes, s'empalant sur ce jouet improvisé, accomplissant ainsi un acte que la bête n'aurait même pas pu imaginer de son vivant.

Au fil des minutes, la Terranide semblait s'habituer à cet étrange façon de se faire plaisir, car elle semblait mettre plus de coeur à l'ouvrage, elle commença par changer de position – mauvais point pour elle, comme ça il la voyait moins bien – et ensuite faire aller et venir le bout de viande dans sa petite fente, cette dernière étant de plus en plus humide. Elle allait aussi de plus en plus vite, semblant prendre un petit peu plus de plaisir à chaque pénétration... Et enfin, dans un long et retentissant cri de plaisir, elle s'abandonna à sa jouissance, son futur repas se recouvrant de son nectar d'amour... Pipa se détendit, restant couchée dans la même position. Silence se leva donc, passa de l'autre côté de son corps étendu pour lui faire face à nouveau. Il se pencha et retira d'un coup sec le morceau de viande.

- Comme convenu, tu as le droit de le manger... Profites-en tant que ton jus est dessus, ça donne du goût.

Il s'agenouilla devant elle et referma lentement la fermeture éclair de sa tenue... Pourquoi précipiter les choses ? Il avait tout son temps... Il s'assit en face d'elle et attendit... Durant de longues minutes, il patienta, jusqu'à ce que Pipa récupère et se montre prête pour la suite. Elle devait en profiter maintenant, tant qu'il était gentil... Ça ne durerait pas. Lorsqu'enfin elle se redressa, elle sembla elle-même honteuse de l'avoir fait patienter aussi longtemps. Elle faisait bien. Silence n'était pas extrêmement satisfait de cette attente qui lui avait parut bien trop longue, d'autant plus qu'à regarder sa poupée de latex ainsi, son membre était à nouveau en pleine forme, prêt à explorer avec son propriétaire les secrets les plus profonds de la perversité. Il franchit la distance qui les séparait et l'enjamba, se retrouvant étendu sur elle. Il caressa lentement ses jambes, appréciant le contact de sa chair tendre et si douce...

- Hmmm, tu as de belles jambes...

Ce n'était pas un compliment. Plutôt une constatation, et une auto-félicitation s'avoir déniché une telle perle par hasard. Inquiétée par cette soudaine proximité – en effet, elle pouvait sentir le souffle de Silence sur sa peau, tant il était proche – Pipa semblait un peu déboussolée. Le mercenaire n'en tint pas compte, et ses mains dénuées de tout tabou remontèrent lentement sur ses cuisses avant d'atteindre ses belles fesses rondes, qu'il pressa avec avidité. La langue presque pendante, et avec quasiment la bave aux lèvres, il ne put malheureusement pas se contenir plus longtemps.

Avec une sauvagerie peut commune, il empoigna l'un des globes de chair de Pipa et le malaxa vigoureusement, l'autre main décidant de finalement découvrir les secrets que Pipa recelait encore. Peu à peu, il vit son petit minou glabre et tellement appétissant être si proche de lui qu'il en perdit la tête. Sans penser au fait qu'elle avait jouit peu de temps avant, et qu'il fallait la préparer un peu, il saisit son membre tendu et le posa contre ses lèvres vaginales. Il la frotta quelques instants ainsi, faisant mine de la pénétrer à chaque coup, voulant faire grimper chez elle l'envie, le besoin même, de se faire prendre par lui. Et finalement, quand il la sentit recommencer à mouiller pour lui, il s'enfonça brutalement en elle avec un râle de plaisir malsain...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le mercredi 10 juillet 2013, 18:00:46
Pipa n'aimait pas le goût acre de sa propre cyprine... mais depuis le temps où on la forçait à faire des choses répugnantes, elle avait finit par ne plus être dérangée par les questions de goût, ou d'odeur... elle n'en avait pas perdu les sens, mais tant-pis que la cuisse en soit recouverte, du moment que c'était comestible et que ça pouvait calmer sa faim, elle était heureuse, et même reconnaissante, d'avoir le droit de manger cette viande. En plus, passant outre la couche de liquide vaginale qui couvrait l'extérieur de la cuisse, la viande à l'intérieur était bonne au palet d'une harpie qui ne mangeait que de la viande crue. Alors, lorsque son maître lui avait donné la cuisse... et après avoir étouffée un gémissement douloureux, car il le lui avait retiré de façon brutale et douloureuse... Pipa s'était dépêchée de mordre dedans et d'arracher des morceaux de viande... toutes ces émotions lui avaient donnée vraiment très faim. Elle n'allait pas trop vite et n'avalait pas goulument, cependant, car on lui avait appris à bien se comporter... face à un maître aussi barbare que Silence, cependant, ce fut une erreur, et elle le comprit au regard de reproche qu'il lui lança. Elle était toute recroquevillée sur elle-même, toute désolée, lorsqu'elle eut finit de rogner la viande de l'os et qu'elle le posa à côté d'elle, prête à à-nouveau se faire utiliser.

L'homme vint alors se placer sur elle, et elle comprit que le moment qu'elle avait redouté allait bientôt arriver : elle allait se faire prendre... et elle craignait de découvrir à quoi ressemblait l'étreinte sauvage et barbare de ce mercenaire. Au début, il fut plutôt calme, se contentant de lui caresser ses jambes couvertes de latex, la gratifiant d'un compliment sur celles-ci. Toute timide, elle commença un léger :


-Merci, maî'...

... mais elle ne put pas finir, car l'homme ne put pas plus longtemps contenir ses pulsions, et il commença à malaxer ses fesses, avant de jouer avec les lèvres de son intimité et d'enfoncer de manière très violente et très douloureuse pour la petite esclave son sexe dans son vagin. Elle poussa un long gémissement douloureux, qui se mua en de petits cris tendis qu'il la prenait comme un animal... des cris à mi-chemin entre la jouissance et la douleur, car après tout ce qu'elle avait déjà dû traverser, Pipa avait appris à jouir de tout, comme il avait pu le voir un peu plus tôt, même avec un morceau de viande crue. Pipa n'aimait pas cette prise, elle n'aimait pas la façon qu'il avait de malaxer ses fesses en même-temps qu'il la violait, et elle n'aimait pas son haleine qu'il lui soufflait au visage... elle fit cependant ce qu'on attendait d'elle : elle s'offrit à lui, et fit en sorte de ne pas montrer qu'elle souffrait.

Les yeux fermés, se mordant la lèvre inférieur, Pipa se laissa prendre, et fit même des geste comme pour encourager son maître à continuer à la violer... elle posa ses mains sur ses épaules et entoura ses hanches de l'une de ses jambes, accompagnant chacun de ses mouvements... l'autre jambe resta tendue au sol, à tressauter, sa serre se refermant dans le vide à chaque coup de rains qu'il donnait. Les violents coups lui faisait monter les larmes au yeux, et elle sentit que du sang se mélangeait au jus de son vagin... elle se tenait prête à embrasser son maître, si celui-ci montrait le désir qu'elle le fasse.
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le mercredi 10 juillet 2013, 21:12:43
Silence était plus que ravi, en cet instant. Il pouvait enfin goûter à l'intérieur de cette pauvre petite esclave, qui était si mignonne... Il lui semblait, et il se trompait rarement dans ces cas-là, que l'intérieur était tout aussi intérieur que l'extérieur... À retenir, quand on parle de beauté intérieure, ça veut juste dire que c'est bon à pénétrer... Et dans le domaine de la pénétration, il n'y allait pas de main-morte, l'animal, et s'en donnait même à coeur joie ! Pipa ne semblait pas réagir très positivement, mais il s'en moquait éperdument, puisque lui prenait son pied ! Elle fermait les yeux, se mordait les lèvres... Elle faisait beaucoup d'efforts pour satisfaire son maître. C'est triste, car ils étaient tous vains, Silence prenant tout ce qui l'intéressait par sa propre force. En tout cas en cet instant, c'est la Terranide qu'il prenait, lui labourant le vagin avec violence, s'enfonçant de plus en plus profondément en elle, explorant chaque parcelle de son anatomie, voulant tout connaître d'elle, chaque recoin secret que comptait son corps...

Pour l'heure, il se contentait tout à fait de son petit puits d'amour, qui inondait son bassin de sa cyprine. Voulant y mettre un peu du sien, Pipa entoura ses larges épaules de ses bras fins et ses hanches avec l'une de ses jambes. Elle avait l'air déterminée à lui donner son maximum, et cette attitude impressionna positivement Silence. Bien qu'il ne compte absolument pas lui faire savoir. Il se contentait pour le moment de s'enfoncer en elle à une vitesse stupéfiante. La violence de ses coups de bassin rageurs ne tarda pas à faire apparaître de petite larmes brillantes sous les yeux de l'hybride-oiseau. Et dans le même temps, Silence remarqua que la petite saignait. Il en fut plutôt surpris, et plus encore par le fait qu'elle continue à accompagner ses mouvements, alors qu'une douleur terrible devait lui scier les entrailles. Elle marquait des points, la petite...

Il baissa la tête et donna quelques coups de langue sur la poitrine de Pipa, plus précisément sur son téton droit avant de le prendre complètement en bouche, le titillant, le mordillant même de temps à autre pour la faire réagir. Il voulait qu'elle crie, qu'elle l'implore de continuer à la prendre, qu'elle lui dise que c'est bon... Il voulait qu'elle lui appartienne complètement...
Titre: nt
Posté par: Pipa le jeudi 11 juillet 2013, 21:28:20
Pipa souffrait... et pourtant, par habitude, par son dressage, par ce qu'elle sentait qui était bon pour sa survie, elle souffrait en silence, et faisait même mine d'encourager son maître en accompagnant ses mouvements. Les seuls indices du calvaire qu'elle était en-train de vivre pouvaient être l'intonation de ses gémissements qui ne ressemblaient qu'à moitié à de la jouissance, les larmes qui parlaient entre ses paupières fermés, ses mimiques qu'elle tentait de cacher en se mordant les lèvres... se mordre ainsi l'aidait aussi à un tout petit-peu plus supporter la douleur... et à ses muscles qui se crispaient à chaque coup de rein, alors que l'imposant muscle s'enfonçait dans ses entrailles. La serre du pied qu'elle avait gardée étendue sur le sol griffait régulièrement celui-ci en laissant échapper un bruit de raclement sur le parquet... mais lorsque l'homme vérifierait, il pourrait voir qu'elle n'avait fait aucune trace, ses griffes ayant été taillées et arrondies depuis longtemps. Elles restaient jolies et meurtrières à l’œil-nu... mais elles n'étaient en rien dangereuses.

Silence commença alors à s'occuper de l'un de ses seins, et la douleur de Pipa se fit encore plus grande... les seins d'une femmes étaient sensibles, et c'était surtout le cas pour cette petite créature délicate et fragile, alors qu'elle venait à peine de jouir. Il malaxait, mordillait, aspirait comme si il espérait avaler du lait, et il la faisait souffrir... mais bien qu'elle continua à gémir, elle ne pleura pas, ne se plaignit pas, et ne se défendit pas... le maître pouvait voir qu'elle ne lui avait pas menti : elle recevait tout, tolérait tout, s'adaptait à tout, et elle enquêssait tout, et lorsqu'on lui demandait, elle était même prête à dire "merci", qu'elle ait aimée ou pas. Elle ouvrit l'un de ses yeux rempli de ses larmes contenues, et vit l’expression sur le visage de l'homme tendis qu'il passait sa bouche sur son sein...

C'était l'expression d'un dominateur pur et dur, un mâle alpha qui désirait la posséder, qui voulait faire d'elle son objet, au mieux un animal... elle connaissait cette expression, elle l'avait déjà vu chez d'autres personnes qui avaient profité d'elle. Elle devina les désirs de cette homme rien qu'en regardant son expression... appelons ça une "déformation professionnelle", elle savait les choses à force de les avoir pratiqués, ou plutôt de s'être faite pratiquée. Elle sut alors que si elle voulait parfaitement satisfaire son nouveau maître, elle devait se soumettre au point de le complimenter sur sa prise... bien-sûr, elle pouvait se tromper, mais quoi qu'il arrive, qu'elle dise ce genre de choses, qu'elle le pense ou non, pourrait surement lui plaire.


-Oh... maître... commença-t-elle à chuchoter de sa petite voie aigus, sa voie sursautant à chaque violente prise. Vous êtes... incroyable... pitié... ne vous arrê... arrêtez... pas... je vous... appartiens... mon corps... est votre... chose...

La seule chose qu'elle pensa réellement dans toute cette phrase qu'elle réussit à articuler, ce fut "pitié"...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le vendredi 12 juillet 2013, 16:52:41
Silence avait volé cette esclave. Il l'avait trouvée nue dans le campement d'un mec qu'il ne connaissait pas, mais qu'il avait tué quelques heures auparavant. Mais il ne pouvait s'empêcher de penser que sur le marché aux esclaves, elle devait valoir fort cher. Si elle était vierge, ce serait mieux encore, bien sûr, mais d'un autre côté elle était tellement expérimentée que son maître en retirait quelques avantages également... Et à cet instant, il se félicitait d'avoir pu l'obtenir aussi facilement, car même s'il ne risquait pas de lui avouer, il adorait être en elle. Malgré le fait qu'il la brutalise, qu'il la prenne sans ménagement dans sa chambre, après l'avoir frappée, forcée à se masturber avec un os, obligée à lui faire une fellation accoutrée avec une tenue de latex qu'il lui avait lui-même enfilée... Et bien malgré tout ça, elle ne disait rien, elle supportait tout ce qu'il lui faisait subir pour qu'il soit content d'elle, pour qu'elle souffre moins par la suite... Il ne pur s'empêcher d'être admiratif par ce sens du sacrifice... Elle se préoccupait plus de lui que d'elle-même. Il était satisfait, et cela serait surement bénéficiaire à sa petite esclave par la suite...

Tout à ses réflexions, Silence n'avait pas remarqué le regard baigné de larmes que Pipa avait porté sur lui... Elle pinça les lèvres avant de prendre la parole d'une voix saccadée, à peu près chaque mot étant séparé du suivant par le bruit retentissant du bassin du mercenaire qui cognait contre ses cuisses :

- Oh... maître... Vous êtes... incroyable... pitié... ne vous arrê... arrêtez... pas... je vous... appartiens... mon corps... est votre... chose...

Elle n'avait pas besoin de lui dire ça, Silence savait bien que son corps lui appartenait, tout simplement parce que c'était lui qui en avait décidé ainsi. Mais il nota la bonne volonté dont elle s'efforçait de faire preuve. Pour la récompenser de cette attention, il décida d'abréger ses souffrances. Durant plusieurs secondes, il la pénétra violemment, de toutes ses forces et de plus en plus vite, jusqu'à sentir une seconde fois cette sensation si particulière, celle de son membre tendu qui palpite plus encore que d'ordinaire, celle d'une douce et intense chaleur parcourant son urètre avant de se déverser avec délice à l'intérieur du vagin de l'hybride. Il poussa un râle de plaisir répugnant, restant quelques instants en elle jusqu'à ce qu'il se soit délesté de tout la semence qu'il pouvait lui donner.

Ensuite, il se retira lentement, frissonnant, son membre soudain sensible à l'excès le faisant souffrir au moindre contact avec une des parois vaginales de Pipa. Une fois complètement hors d'elle, il se releva maladroitement et s'exclama :

- Comme tu peux t'en apercevoir, ton corps est bien ma chose. Jusqu'à nouvel ordre, il est officiellement nommé réservoir à sperme de Silence, chef de la guilde des Griffes d'Ammoth ! J'espère que tu te sens fière de toi, tu es l'esclave d'un homme important. Et vois le bon côté des choses. Tant que tu seras à mes côtés, ta survie est assurée. Alors fais en sorte de ne pas me décevoir, et tout se passera bien pour toi.

Malgré ce qu'elle lui avait dit avant qu'il ne jouisse en elle, elle était surement plutôt contente que ce soit terminée. Il leva la main pour lui dire de patienter et s'absenta quelques instants, avant de revenir un peu plus tard avec des mouchoirs, deux serviettes et une éponge. Il lui dit alors :

- Je ne sais pas si je te l'ai déjà dit, mais à présent cette pièce est ta maison. Si tu as besoin de quelque chose, dis-le moi et peut-être accepterais-je de te donner ce que tu veux. En attendant, essuie tes larmes et éponge le sang qui coule de ta mignonne petite chatte mouillée. Ce serait dommage de l'avoir abîmée...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le samedi 13 juillet 2013, 09:50:18
Au moins, Pipa venait d'avoir la preuve que lorsqu'elle y mettait de la bonne volonté, son calvaire devenait moins terrible qu'il ne l'était d'habitude... en effet, seulement quelques secondes après qu'elle ait réussie à articuler ces quelques paroles pour lui, son nouveau maître décida d'être plus rapide et plus violent... elle ne savait pas que c'était possible d'aller aussi vite, il était vraiment très endurant. Les gémissements de Pipa se transformèrent en des cris douloureux, car il lui faisait vraiment très mal, au point qu'elle n'arrivait plus à faire passer ça pour de la jouissance, et enfin, ce fut terminé : il poussa un dernier violent coup de reins en elle, poussa un dernier râle tendis qu'elle gémissait, et se vida à l'intérieur de ses entrailles. Pipa sentit le liquide chaud couler en elle, déborder et tâcher le sol et le corps de son maître. Lorsqu'il se retira d'elle, elle resta un moment à-même le sol où il l'avait prise, toute essoufflée, sentant du liquide s'écouler de son vagin... il y en avait un peu trop pour son petit corps fragile.

Avec difficulté, car elle savait qu'elle n'avait pas le droit de se reposer temps qu'on ne lui en donnait pas l'autorisation, Pipa se releva et se mit en position assise... le sperme qui s'écoulait de son intimité était légèrement rougi. Elle en fut inquiète, mais en réalité, Silence n'avait causé aucun dommage important à son nouveau jouet... c'était simplement la violence de sa prise qui l'avait légèrement irrité et l'avait faite saigner. Ce serait douloureux un moment, mais ça cicatriserait et elle n'aurait pas de séquelles... mais bon, elle ne pouvait pas encore le savoir, et donc elle était inquiète. Le sang battait également à ses oreilles et elle avait mal à la tête... elle s’efforça malgré-tout d'écouter avec attention tout ce que lui dit son maître, et articula d'une petite voie, continuant à chercher à le satisfaire de ses paroles :


-Je suis fière que mon corps soit le réservoir d'un maître tel que vous... doué, important, puissant... protecteur. Merci, maître.

Quand Silence sortit de la pièce pour aller chercher de-quoi la nettoyer, Pipa en profita pour poser les mains devant ses deux yeux brûlant, et elle se laissa aller à quelques sanglots... elle ne se plaignait jamais, ne suppliait jamais, ne pleurait jamais pendant les jeux de ses maîtres... mais lorsqu'elle était seule et qu'elle avait été violenté, elle n'hésitait alors pas à pleurer. Ça lui faisait toujours du bien, ça dégageait le trop-plein de sentiments qu'elle avait, et elle se sentait toujours mieux après. Elle s'arrêta cependant immédiatement, essuya ses yeux et son nez du revers de sa main et reprit sa position initial lorsqu'elle entendit des bruits de pas revenir dans le couloir... lorsque le maître entra dans la pièce, il la retrouva exactement comme il l'avait laissé, assise sur le sol, éméchée, pataugeant en-partie dans ce qui avait coulé de son vagin.

Ainsi donc, si elle avait bien compris, cette chambre était à elle... elle tourna la tête et l'observa... elle était vide, sauf un lit et une armoire, circulaire, aux murs de pierre vierge, légèrement froide... cependant, elle la trouvait accueillante, et le lit semblait confortable. Elle avait, au début, cru que c'était la chambre du maître, car on l'avait toujours faite dormir dans une cage et sur de la paille... si Silence était violent, au moins, il lui offrait une vraie chambre. Pour la première fois depuis son arrivée ici, elle se sentit un peu contente... certes, pas rassurée, mais contente de se dire qu'elle avait droit un vrai lit. Il y avait deux portes, sur le mur... l'une était la sortie, et elle imagina que l'autre devait mener à une salle de bain... l'hygiène, quand on était le jouet sexuel d'un homme, c'était important.


-Merci maître, cette chambre me plait beaucoup, dit-elle, sincèrement, cette fois.

Pipa ne s'attarda cependant pas d'avantage et se saisit de ce que lui avait apporté Silence... il ne fallait pas non-plus qu'il s'impatiente. Alors elle commença par attraper les mouchoirs et s'essuya le visage, séchant les larmes qui couvraient ses joues et ses yeux, froissant chaque mouchoir une fois qu'elle à avait finit et le posant à côté d'elle. Elle finit par se moucher un coup, puis s'attaqua au nettoyage de son vagin... avec l'éponge, elle frotta celui-ci, nettoyant le sperme souillé de sang qui coulait. L’irritation la démangeait, mais l'éponge chaude et humide apaisait la douleur. Se disant que cela plairait surement beaucoup à son maître... mais espérant aussi que cela ne le pousserait pas à la prendre une seconde fois... elle écarta bien les jambes et le fit devant lui. Elle avait si souvent vécu pour satisfaire des gents qu'elle avait maintenant ce souci du détail, elle faisait tout pour satisfaire, même si cela risquait de lui faire du mal. Elle continua en épongeant également le sol qu'elle avait souillée, jusqu'à ce que tout ait été aspiré par l'éponge. Et enfin, elle termina en saisissant une serviette chaude et en essuyant son corps couvert de sueur et autres saletés. Et elle réussit à faire tout-cela en restant assise aux pieds de son maître.

Depuis que l'homme avait éjaculé dans la gorge de Pipa, celle-ci était drôlement sèche... maintenant qu'elle y pensait, ça faisait des heures qu'elle n'avait rien bu. Et toutes ces émotions et ces exercices lui avaient vraiment donné soif. Silence lui avait dit qu'elle pouvait demander des choses, mais elle hésitait... cela n'allait pas entraîner une demande de sa part, n'allait-elle pas devoir mériter cela comme une récompense ? Bon, tant-pis, elle avait trop soif, et elle ne pouvait pas rester comme-ça. Alors, timidement, le regard et le visage baissé vers les pieds de son maître, elle demanda :


-Est-ce que je peux avoir un peu d'eau, s'il-vous-plais, maître ?
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le dimanche 14 juillet 2013, 17:04:03
Silence la regardait avec satisfaction. Oui, elle lui plaisait beaucoup. Il ne pouvait pas empêcher son regard de déviant de détailler lentement les courbes gracieuses et alléchantes de Pipa, moulées presque à la perfection par sa tenue de latex. Il remarqua qu'elle regardait tout autour d'elle, jugeant sa nouvelle maison de son regard encore rouge et mouillé des larmes qu'elle avait laissé s'échapper un peu plus tôt. Il remarqua aussi la véritable flaque de cyprine juste en-dessous d'elle. C'était assez excitant, et sa bête recommençait déjà à s'emballer. Elle ouvrit la bouche, attendit quelques instants puis parla, Silence l'écoutant attentivement :

- Merci maître, cette chambre me plait beaucoup.

Il ne manquerait plus que ça. Les esclaves n'étaient pas habitués à être logés, et d'habitude toutes logeaient dans la chambre de Silence, avec lui. Mais en ce moment, il était à cours d'esclaves. Il y en avait bien une dans sa chambre en ce moment, mais à part son énorme paire de seins, elle était plutôt moche. Alors, autant continuer de s'amuser avec la petite Pipa, qui avait quelque chose en plus, par rapport à toutes les esclaves sur lesquelles il était passé depuis qu'il avait eu l'idée de collectionner les jouets sexuels vivants. Perdu dans ses pensées, il regardait d'un air légèrement distrait la jeune hybride frotter ses yeux, puis prendre l'éponge humide qu'il avait apportée et s'en servir pour nettoyer son intimité souillée, qui dégoulinait encore d'un étrange liquide, mélange plutôt bizarre de cyprine, de semence et de sang. Tout en faisant cela, elle grimaça. Il avait dû lui faire réellement mal. Mais qu'importe, un objet ne ressent pas la douleur !

Tout à coup, alors qu'elle frottait doucement sa fente endolorie, elle prit le risque d'écarter complètement les jambes, conférant à son nouveau maître une vue imprenable sur son vagin encore humide. Silence ne comptait pas la prendre à nouveau, mais il fallait avouer que c'était plutôt tentant de la baiser dans cette position. Mais il parvint à se maîtriser, bien que son érection ne soit plus invisible du tout, et détourna le regard, s'intéressant soudainement au mur de la pièce. Une fois qu'elle eut lavé et essuyé son corps, ainsi que le sol de la chambre, il recommença à la regarder, pour remarquer qu'elle semblait réfléchir à quelque chose. Il ne prit pas la peine d'attendre et déclara :

- Parle.

Un ordre simple et précis. Doucement, tout en fixant les pieds du mercenaire, elle répondit à Silence :

- Est-ce que je peux avoir un peu d'eau, s'il-vous-plaît, Maître ?

Elle avait soif, hein ? En temps normal, il lui aurait déjà fourré son membre dans la bouche e lui disant "Et bien vas-y, bois !", mais il y avait de fortes chances pour que ce soit précisément cela qui lui ait donné soif. Sans lui répondre, il ouvrit la seconde porte de la chambre, celle donnant sur une salle de bain, contenant une cabine de douche, un robinet et des W.C. Pour une petite bâtisse aux environs de Nexus, c'était la pointe de la technologie. En réalité, ils avaient été volés par les Griffes sur le territoire de Tekhos. Il saisit donc un petit gobelet, ouvrit le robinet jusqu'à remplir le verre et le rapporta à Pipa. Il lui donna avec un sourire en coin, et elle s'empressa de le vider, presque d'un trait. Il avait une forte envie de l'embêter encore, mais que lui faire... Où que lui faire faire ?

Il cherchait quelque chose de bien... Mais d'un autre côté, pendant qu'il réfléchissait, Pipa s'en sortait plutôt bien, et ce n'était pas plus mal de la laisser mariner un peu... Et pourquoi pas la rassurer un peu, pour mieux l'enfoncer par après ? Avec un sourire se voulant bienveillant, il lui caressa la tête et dit :

- Ça t'a plu ? Si tu as besoin d'autre chose, n'hésites pas !
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le lundi 15 juillet 2013, 20:03:30
Pipa se demanda si demander de l'eau à son maître n'était pas là un excellent moyen de se faire encore plus humilier. Elle était presque certaine que son maître serait du genre à lui dire d'ouvrir la bouche et à uriner dedans... elle aurait alors était contrainte de boire, qu'elle le veuille ou non. Elle voyait bien, au regard qu'il lui lança... elle avait appris à surveiller du coin de l’œil les personnes qui se tenaient au-dessus d'elle, tout en ayant l'air de ne regarder que ses pieds... qu'il cherchait un moyen de la torturer d'avantage, mentalement ou physiquement. Et pourtant, contre toute attente, il fit ce qu'elle lui avait demandé : il alla à la salle de bain. Elle entendit un bruit d'eau qui coule, et revint avec un verre remplit d'eau... mais de quel genre d'eau ? Elle se demanda si il ne lui faisait pas boire l'eau des toilettes... au fond, ce serait meilleur que ce qui sortirait du pénis de son maître.

Mais peu importe : elle avait trop soif, et son maître avait la "gentillesse" de lui apporter ce qu'elle avait demandé. Elle saisit le verre et le but à grosses gorgées, heureuse de pouvoir s'hydrater. L'eau était clair, transparente, et elle n'avait pas de drôle de goût... il n'avait rien mi dedans, c'était vraiment de l'eau. Elle s'en sentit rassurée, et profita de ce bon verre d'eau... boire était un plaisir simple, mais ce que ça pouvait faire du bien ! Et tout le monde pouvait en profiter, qu'on soit libre ou qu'on soit esclave... pour le plaisir de boir, tout-le-monde était égo. Lorsqu'elle eut fini, plusieurs goûtes coulaient le long de son menton, renversés dans sa précipitation... elle les essuya du revers de sa serre avant qu'elles ne tombent par-terre et les lécha. Elle avait bu avec tant d'empressement qu'elle se sentait toute essoufflée, et elle respirait fort par le nez.

Lorsque ce fut terminé, elle leva légèrement la tête vers Silence, mais pas trop, ne faisant pas mine d'avoir l'insolence de vouloir le regarder dans les yeux, gardant ainsi un air d'animal soumis, et lui rendit le gobelet. Elle se sentait bien plus calme... mais craignait toujours ce que son maître lui préparé. Et pourtant, toujours en bonne esclave, elle lui dit :


-Merci beaucoup, maître... je me sens mieux. Je n'ai besoin de rien d'autre. Puis-je encore faire quelque-chose pour vous être agréable ?
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le mardi 16 juillet 2013, 12:52:01
- Merci beaucoup, Maître... je me sens mieux. Je n'ai besoin de rien d'autre. Puis-je encore faire quelque-chose pour vous être agréable ?

Oui, Pipa. Tu peux te plier à la volonté de Silence et devenir sa chose. Et c'est ce que tu feras, que ça te plaise ou non. Car il te domine en tout, et tu n'es plus rien si ce n'est sa chose. Tu es à lui, et tu n'es rien d'autre. Bien sûr, le mercenaire a d'autres idée, beaucoup même. Et il ne tarde pas, gravant sur son visage un énigmatique sourire, à ressortir de la pièce, allant faire le plein d'accessoires divers pour s'amuser encore avec la petite Terranide. Ascenseur émotionnel, tu connais ? En un instant, tu es très contente puis très déçue. C'est exactement ce qui va se produire. Silence lui offre une chambre de qualité, il lui donne à boire sans rien demander en échange, sans même lui jouer le moindre mauvais tour. Ça ne pouvait pas durer. Autrement, ça n'aurait pas été Silence.

Lorsqu'il revint dans la pièce, il avait un grand sac sur l'épaule. Inutile de tout prendre en main, cela aurait gâché la surprise, et Pipa aurait tout repéré dès son entrée. Faire durer le plaisir et le suspense était beaucoup plus amusant, surtout pour Silence, d'ailleurs. Toujours cet étrange sourire sur la face, il fouilla quelques secondes dans le sac et en ressortit en foulard noir totalement opaque. Il s'avança ensuite vers l'hybride, brandissant l'objet.

- Pour l'épreuve suivante, je vais t'ôter temporairement la vue. Savais-tu que la vue régis 80% des sensations de l'être humain ? Même si tu n'es pas humaine, je ne dois pas être loin de la vérité. La peur est beaucoup plus présente lorsqu'on ne voit pas. Mais tu vas le comprendre très vite par la pratique.

Il ne lui laissa pas le temps de répondre, et lui noua le foulard autour du visage avec force, lui serrant évidemment trop fort, jusqu'à être sûr et certain qu'elle ne pouvait rien voir du tout. Lorsque cela fut fait, il lui demanda de se déplacer jusqu'au mur. Assise dos à celui-ci, elle ne risquait pas de tomber en arrière à cause de la surprise, où autre péripétie du même genre. Même si en vérité, cette position excitait juste le mercenaire. Dans sa petite tenue moulante, elle était si mignonne. Et avec les yeux bandés, un sentiment de totale supériorité gonflait les chevilles de Silence. Il se retourna, presque à regret, et alla piocher un objet supplémentaire dans son sac. C'était un magnifique oeuf vibrant, qu'il avait acheté pour une de ses esclaves raffolant des jouets. Maudissant déjà le bruit que cela allait faire, il se rapprocha de Pipa et s'agenouilla en face d'elle, puis rouvrit lentement la fermeture éclair qui dissimulait à nouveau son intimité.

Il ne s'en lassait pas, et ne s'en lasserait sans doute jamais : lorsque sa sublime petite fente chaude et encore humide apparut devant ses yeux, son érection ne se fit pas attendre pour revenir à l'assaut, mais elle allait devoir patienter. D'abord, le jeu. Une fois qu'elle fut entièrement dévoilée devant lui, il caressa sa vulve d'un doigt tendre, résistant à l'envie d'y plonger sa hampe de chair. Puis il appuya sur le bouton servant à activer la fonction vibrante de l'objet et l'inséra doucement dans son petit antre chaud, écartant lentement et précautionneusement ses petites lèvres intimes. Une fois que le jouet fut bien installé, il entreprit de venir lécher la poitrine rebondie de la semi-harpie avec envie. Comment allait-elle réagir devant son nouveau "jeu" ?
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le mardi 16 juillet 2013, 19:12:56
En voyant le sourire quelque-peu inquiétant que se mit à arborer son maître, tendis qu'il sortait et revenait, la "Chose" s'était recroquevillée sur elle-même, visiblement inquiète... elle était certaine que ce sourire n'annonçait rien de bon pour elle, et que ce ne sera que du plaisir pour Silence.

Oh oui, Pipa savait que lorsqu'on ne voyait pas, le peu de plaisir qu'elle pouvait ressentir lors des prises forcés des hommes étaient remplacé par de la peur... Silence n'était pas la seule personne à prendre son pied en lui bandant les yeux, ou alors en couchant avec elle dans une pièce totalement noire. Il y en avait même qui préféraient carrément lorsqu'elle était aveuglée, entravée des bras et des jambes, et baillonée... le bondage faisaient monter le plaisir de beaucoup d'homme et de beaucoup de femmes dominatrices au détriment de la pauvre esclave-harpie qui ne pouvait qu'attendre, effrayée, espérant que ce qu'on allait lui faire subir ne serait pas trop dure... et elle ne savait toujours ce qu'on lui réservait que lorsque ça lui arrivait.

L'esclave de Silence se retrouva donc plongée entièrement dans le noir, les yeux couvert, et le sang de sa tête circulant mal... il l'avait serré tellement fort qu'elle avait failli porter ses mains au morceau de tissus pour le retirer et le jeter au loin... ça aurait été là l'une des plus grosses erreurs de sa vie, elle s'en rendait bien compte, et elle s'était alors contenté de serrer les dents et de se retenir, de supporter la douleur. Son maître était soudainement devenu si gentil avec elle... elle avait eue pendant un instant le fol espoir qu'il en avait fini pour ce soir et qu'elle ne subirait plus de sévices... elle s'était visiblement faite des idées, et, adossée contre le mur dans sa tenu sexy et dans le noir complet, elle ne pouvait qu'attendre... a chaque bruit qu'elle entendait, elle sursautait, et lorsque le maître lui ouvrit la fermeture éclair et mit son intimité à l'air libre, elle frissonna... elle s'imaginait déjà tout ce qui pourrait être enfoncé douloureusement à l'intérieur, et sa crainte pris le dessus tendis qu'elle voyait derrière ses paupières fermés des choses longues et énormes.

Un bzzzz la mit alors sur le chemin de ce qui allait lui être mis... un simple œuf vibrant, et elle en eut confirmation lorsqu'elle sentit que son maître se plaçait face à elle, et qu'il le lui enfonçait doucement dans le vagin, après avoir préparé celui-ci avec des caresses. Elle se mit à trembler et à gémir de sa façon si particulière, qui avait justement tendance à exciter la libido de ceux qui l'entendaient. En fait, un œuf vibrant, ce n'était pas si horrible que ça... généralement, elle aimait bien ce genre de jouet, bien que tout dépendait de sa taille et de la façon dont il était placé. Mais ce n'était pas pour-autant qu'elle se sentait rassurée... le sac avec lequel Silence était revenu dans la pièce était très gros, et il devait renfermer bien plus qu'un simple œuf vibrant. Elle sentait qu'il commençait doucement seulement pour avoir le plaisir de bien la faire souffrir après, comme lorsqu'il l'avait mise en confiance avec son verre d'eau, puis qu'il lui avait bandé les yeux. Les mains croisée devant son menton, mais les coudes écartés pour ne pas le gêner pendant qu'il malaxait douloureusement sa poitrine, Pipa laissait à la fois exprimer sa jouissance... et sa peur.
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le mercredi 17 juillet 2013, 10:23:23
Lorsque Silence lui avait introduit l'oeuf vibrant, elle avait presque immédiatement commencé à trembler et à pousser de petits gémissements, certes excitants, mais qui sonnaient terriblement faux. Il ne pouvait pas vraiment lui en vouloir, elle n'avait rien demandé et en plus, elle ne voyait rien. Deux paramètres qui ne motivaient pas vraiment à donner de sa personne. Elle avait peur, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. D'ailleurs, il n'était même pas certain qu'elle essayait de faire passer ses gémissements plaintifs pour une étrange forme de jouissance. Comment pouvait-elle avoir encore peur de quoi que ce soit, avec tout ce qu'elle avait déjà vécu ? Notez qu'avec Silence, elle allait peut-être découvrir pire encore, quelque chose qu'elle n'avait jamais expérimenté et qui lui permettra d'explore encore plus profondément les méandres de la souffrance psychologique – et peut-être même physique. Le mercenaire était loin d'être un tendre. La pauvre allait pouvoir s'en apercevoir, si ce n'était déjà le cas. Mais il avait aussi ses bons côtés. Il voulait que ses esclaves vivent dans le confort maximal, qu'ils ne manquent de rien, et surtout, que personne ne les touche ou ne leur adresse la parole sans son autorisation exceptionnelle. Avec lui, Pipa serait bien protégée des autres... Mais pas de son maître.

Il continuait à lui tripoter la poitrine, léchant ses tétons avec gourmandise, les sentant légèrement pointer sous ses coups de langue joueurs. De même, sous les assauts du jouet vibrant, et même si cela ne lui plaisait pas, elle ne pouvait pas s'empêcher de mouiller. Silence jeta un oeil en direction du sac qu'il avait apporté. Inutile de se précipiter, il pouvait se servir de tout cela sur le long terme, et il fallait dire qu'il avait tout son temps. Autant profiter à fond de chaque jeu qu'il imposait à la petite Terranide. Qui elle, profiterait surement des moments d'accalmie où il la laisserait tranquille. Comme la nuit, par exemple. Enfin, certaines nuits seulement. Car il sentait bien qu'il aurait du mal à se séparer de l'hybride, dorénavant. Par exemple, il pouvait très bien passer la nuit avec elle. Les seules personnes qui s'en plaindraient seraient Pipa, qui ne dirait rien, et ne se plaindrait que dans sa tête, et l'esclave nymphomane et masochiste qui logeait dans sa chambre et qui ne pourrait pas assouvir les désirs de son maître.

Alors que Pipa avait le minou bien occupé par l'objet, il décida qu'il était temps de découvrir une nouvelle facette de son jeune et joli corps. Lentement, il ouvrit la seconde fermeture éclair, celle qui dissimulait son petit trou secret. Heureusement, grâce au son produit par la vibration de l'oeuf, et aux jérémiades de Pipa, elle n'entendit pas le bruit de l'ouverture. Silence en profita pour la soulever de terre, lui arrachant un cri de surprise et de terreur. La position assise était peu pratique pour cela. Sans lui expliquer quoi que ce soit, la maintenant contre le mur à la seule force de ses bras, il posa son gland tout rose contre son fondement, et ne prit pas la peine de la préparer.

- Et maintenant, tout ton corps m'appartient...

Et il s'enfonça d'un coup sec dans le postérieur de la Terranide, lâchant un puissant râle d'extase, son membre complètement comprimé par les parois de son anus, lequel état encore resserré par la présence dans l'oeuf dans le vagin de Pipa. Même dans les pires moments, il fallait toujours voir un côté positif. Pour l'esclave, le côté positif... C'était que Silence avait arrêté de maltraiter sa poitrine.
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le jeudi 18 juillet 2013, 15:28:33
Oui, Pipa avait vaicu bien des choses dans sa vie d'esclave sexuelle. Ce n'était pas pour rien que les vendeurs à qui elle avait appartenu l'avaient prêté à un harem : ils voulaient qu'elle vive le plus d'expériences possible et qu'elle devienne plus docile, et plus résistante à la douleur et à l'humiliation qu'elle devait quotidiennement subir. On l'avait elle ne savait combien de fois violée, violentée, malmenée, on lui avait fait subir toutes les sortes possibles et imaginables de sévices sexuelles... c'était surprenant de voir le nombre de fantasmes qu'il pouvait exister dans le monde. Elle avait été contrainte à des choses telles que le bondage, la sodomie, la scatophilie,... certaines personnes avaient même emmenés avec eux d'adorables petites bêtes pour s'amuser à la voir se faire prendre par un chien, une chèvre, ou encore un cheval... la zoophilie excitait ces personnes qui n'en étaient par la suite devenu que plus violentes avec leur "petit oiseau de paradis". En réalité, il serait très difficile pour Silence de lui faire ressentir quelque-chose qu'elle n'avait jamais ressentie, de la surprendre.

Mais ce n'était pas parce qu'elle connaissait toutes ces choses, parce qu'elle les avait déjà vécu plus souvent qu'elle ne pouvait les compter, que Pipa s'était mise à aimer la douleur ou l'humiliation... ce genre de choses excitaient certaines personnes, mais pas elle, elle trouvait cela juste douloureux et humiliant, cela rendait ses nuits agités, lui faisait faire des cauchemars et la faisait pleurer quand elle était seule... même lorsqu'elle dormait, en réalité, elle n'était jamais trenquille, car elle revivait souvent ce qu'on lui avait fait subir durant la journée. La douleur et l'humiliation, on pouvait ressentir cela tout au long de sa vie, si on n'aimait pas, il était impossible de s'y habituer complètement. Pipa avait seulement pu apprendre à prendre sur elle, à accepter ce qu'on lui faisait, et à simuler des cris d'orgasmes pour les choses les plus horribles afin de faire plaisir à ses maîtres.

Elle sentit d'un coups de puissants bras qui ne pouvaient être que ceux de Silence la saisir par les cuisses et la soulever... surprise, elle poussa un cri appeuré entre ses gémissements de jouissance. C'est alors qu'elle sentit un courant frais passer sur ses fesses... son maître avait ouvert la dernière fermeture éclair, et la perspective de ce qu'il allait lui arriver fit frissonner Pipa... elle n'aimait pas qu'on la prenne par là. Son anatomie était naturellement étroite et petite, et son anus avait toujours était un endroit particulièrement douloureux pour elle, elle n'avait jamais réussi à prendre de véritable plaisir à la sodomie... surtout maintenant, alors que l'oeuf vribrant dont la commande pendait et se balançait par le fil qui sortait de son intimité la faisait se crisper. Mais elle était impuissante, et elle le savait... elle ne pouvait rien faire, rien dire. Elle ne pouvait qu'imaginer le visage de son maître en laissant suspendre ses bras vers le sol, et attendre l'innéluctable. Lorsqu'il la pénétra de force, les griffes de ses pieds et de ses mains se serrèrent de façon incontrolable, et elles se desserraient et se reserraient à chaque sortie et pénétration.


-Je... suis... heureuse... qu'il soit... à vous... maître... réussit-elle à articuler en réponse à ce qu'il avait dit entre chaque coup... elle ne le pensait pas, mais ça plairait peut-être à Silence, et c'était peut-être tout ce qu'elle avait pour ne pas se faire trop maltraiter... elle devait le satisfaire pour moins souffrir.

Deux tâches claires apparurent de chaque côté du foulard que l'homme lui avait attaché devant les yeux... la sensation de la sodomie lui avait fait monter d'incontrôlables larmes aux yeux.
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le samedi 27 juillet 2013, 15:40:10
- Je... suis... heureuse... qu'il soit... à vous... Maître...

C'était si mignon. Même dans cette situation terriblement désagréable pour la jeune hybride, elle arrivait tout de même à essayer de flatter le mercenaire, de l'amadouer, de faire en sorte d'adoucir un peu son calvaire, par des paroles gentilles et de petits cris de jouissance, quand bien même elle souffrait plus qu'elle n'appréciait ce que son nouveau maître lui faisait subir. Avec un sourire, Silence remarqua les petites taches humides qui transperçaient son foulard, prouvant à son maître qu'elle était bien loin d'aimer ça, contrairement à ce qu'elle essayait de lui faire croire. Elle pleurait, tout en faisant tout son possible pour ne rien laisser paraître.

Silence, de son côté, ne se gênait pas pour continuer à la pénétrer avec violence, son membre turgescent complètement dressé planté profondément dans le petit trou chaleureux et accueillant de la Terranide-harpie. Dans le même temps, il pouvait voir, en se délectant du pouvoir absolu qu'il avait sur elle,  son intimité secouée de spasmes, palpitant à cause de l'oeuf vibrant qui gigotait en elle, se souciant peu qu'elle apprécie ou non les multiples sensations qu'elle devait ressentir, à l'instant même. De là où il était, et vu la façon dont il soutenait son esclave, il pouvait remarquer chaque geste, chaque mimique même involontaire que faisait Pipa.

Il savourait chaque coup de bassin, appréciant à sa juste valeur la chaleur et l'étroitesse de son fondement, son membre tendu s'enfonçant chaque fois plus loin dans l'anus de l'hybride, étant à chaque fois plus comprimé. Silence commençait à fatiguer à mesure qu'il accélérait le rythme et la profondeur de ses pénétrations. Sa respiration se faisait plus forte, alors qu'il cherchait désespérément à reprendre son souffle, ses mains, en plus de l'aider à maintenir Pipa en suspension, malaxait ses fesses avec énergie.

Histoire de l'embêter encore un peu, et avant que la fin de son jeu et la nuit noire ne finissent par libérer l'hybride des griffes de son maître, il enfonça lentement un doigt dans son anus, en plus de son pénis, l'écartant sans la moindre forme de pitié.

- Si tu veux être à moi, tu dois pouvoir résister à tout. À tout. Et si tu es bien sage, tu pourras même devenir la plus heureuse de toutes les Terranides. Mais pour l'instant, tu dois faire tes preuves...

Sur ces entrefaites, un doigt de son autre main alla rejoindre le jouet vibrant dans son intimité dégoulinante de cyprine, l'écartant de la même façon. La pauvre hybride allait devoir être courageuse encore un moment avant de pouvoir se reposer...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le dimanche 28 juillet 2013, 17:01:18
Pipa en avait reçu, des tortures, dans sa vie, elle s'était si souvent faite maltraitée, humiliée, pénétrée par des membres et des godes de tailles et de longueurs multiples... elle avait si souvent été déchirée, elle avait souvent saignée, et elle n'avait reçu que bien-peu de pitié... elle était devenue résistante à ce genre de douleur, elle était même devenu plutôt endurante. Mais pourtant, comme tout-le-monde, elle avait elle-aussi des limites, et Silence était si imaginatif dans ses prises, dans ses tortures, dans ses humiliations, qu'elle ne savait pas si elle serait capable de résister très longtemps. Silence était doué, elle se demandait sur combien d'autres esclaves il avait pu exercer son art avant elle. Il savait allait de façon progressive, lentement, puis accélérant d'un coup, s'enfonçant de plus en plus profondément à chaque mouvement... particulièrement agréable pour lui, mais horriblement douloureux pour elle.

Lorsque vint le moment où il ajouta ses doigts à son calvaire dans son vagin et dans son anus, Pipa leva la tête et poussa un cri qu'elle tenta d'étouffer en serrant les dents... elle avait de la salive blanche sur le bord des lèvres. La pauvre petite esclave était épuisée, elle avait mal, et elle n'était pas certaine que l'élasticité de ses orifices tiendraient encore longtemps... mais elle ne pouvait rien faire, et après-tout, le fait qu'elle soit fatiguée ne changeait rien : c'était l'homme qui faisait tout le travail, elle, elle ne faisait que le recevoir. Les oreilles sifflante, une migraine horrible lui transperçant la tête, elle réussit malgré-tout à entendre ce que son maître avait à lui dire... et elle répondit, comme toujours, avec la plus grande soumission :


-Je serais... sage, maître... promis... faite... de moi... ce que vous... voulez. Je... je...

Elle n'avait plus la force de finir sa phrase, et elle posa son menton sur sa poitrine. Elle n'avait plus non-plus la force de crier, elle n'arrivait plus qu'à gémir... elle ne s'était pas endormie, et elle le prouva en mettant ses bras autour des épaules musclées de l'homme. Elle n'avait tout-simplement plus la force de résister à la douleur, ou de parler... elle se contenta donc de s'abandonner à la douleur, et de recevoir, silencieuse, tout ce que voudrait lui faire subir son maître. Elle souffrait, en silence, pour Silence... elle espérait qu'il lui donnerait vite l'autorisation de dormir un peu, même si elle ne le demanderait pas... elle continuerait à recevoir tout ce qu'il lui donnerait aussi longtemps que l'homme le désirerait.
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le lundi 29 juillet 2013, 08:33:00
- Je serais... sage, maître... promis... faite... de moi... ce que vous... voulez. Je... je...

- Si c'est le cas, tu n'auras plus à me craindre...

Elle était tout simplement épuisée. Elle n'avait plus la force de crier, plus la force de parler, plus la force de jouir. Elle ne pouvait que faire de son mieux pour que Silence croit qu'elle aime ce qu'il lui fait subir. Mais l'homme n'est pas dupe. Tout ceci n'est qu'un test, en aucun cas il ne désire faire plaisir à l'esclave. Si son propre plaisir peut en procurer aussi à Pipa, tant mieux. Mais si les deux ne coïncident pas, et que la Terranide n'apprécie pas ce que Silence lui fait, tant pis pour elle. Du moment qu'elle ne meurt pas, ou ne subit de blessures ou mutilations trop importantes, elle reste son jouet personnel. Et pour l'instant, elle est en passe de devenir son jouet préféré. Exténuée, elle posa sa tête sur le torse du mercenaire, qui n'y prêta pas vraiment attention, concentré sur sa pénétration et sur l'orgasme qui ne tarderait plus.

Il accéléra le rythme de ses coups de bassin, pilonnant le corps déjà meurtri de Pipa sur deux fronts. Après plusieurs minutes de pur extase pour lui, et de pure souffrance pour sa petite hybride, il se déchargea en elle avec un cri de jouissance, remplissant de semence son petit cul serré. Se reculant légèrement, il la déposa délicatement sur le sol, retira d'un coup sec le jouet vibrant, puis enleva le bandeau qui lui cachait la vue. Avec un sourire qui, pour la première fois, se voulait rassurant, il déclara :

- Tu as gagné le droit de voir, Pipa. Tu as bien fait ton travail et tu m'as déjà fait jouir deux fois. Continue comme ça, tu es sur la bonne voie.

Il s'amusa quelques instants à regarder son petit trou dégouliner de son sperme, puis il se releva et se dirigea vers la salle de bain d'un bon pas. Il s'arrêta devant la porte fermée et jeta un coup d'oeil agacé en direction de son esclave, bien qu'il sache pertinemment qu'elle était encore sous le choc, et qu'elle aurait eu bien de la peine à le précéder. Reprenant son air sévère, il aboya :

- Et alors, qu'est-ce que tu attends ? Ouvres-moi cette porte et lave-moi. Tu te laveras en même temps, en veillant bien à être la plus excitante possible. Une fois que nous serons propres tous les deux, tu me masturberas une fois encore en te servant uniquement de tes mains, et de tes seins si tu le désires, et tu t'arrangeras pour recevoir mon sperme à un endroit de ton choix mais qui permettra de ne pas en renverser une goutte. Si tu réussis à faire tout ça correctement... Je te laisserais la paix pour aujourd'hui, et tu pourras prendre du repos. À présent, fais ton travail.

Lentement, encore flageolante, elle se redressa, passa doucement devant lui et ouvrit la porte de la salle de bain. Dans un accès de brutalité gratuite et inutile, il la bouscula pour entrer à sa suite, et la jeune Terranide-harpie manqua de se trébucher, se retint in extremis, puis glissa sur une flaque qu'avait formé l'eau lorsque Silence avait rempli son verre et renversé un peu d'eau, elle tomba sur le sol, se rattrapant comme elle pouvait en se protégeant avec ses bras. Comme on pouvait s'y attendre, Silence ne fit rien pour l'aider à se relever, il contempla plutôt avec satisfaction les orifices encore à l'air libre de Pipa, qui étaient décidément magnifiques, même encore pleins de cyprine séchée, de cyprine moins séchée, et de sperme collant. Il attendit donc qu'elle se relève et se mette au travail pour contenter une nouvelle fois son insatiable maître...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Pipa le mercredi 31 juillet 2013, 19:46:48
Pipa était épuisée, elle avait mal partout, et maintenant, elle avait surtout mal à son pauvre derrière qu'elle sentait dégouliner de l'humide semence de son maître, bien que son orifice en lui-même, elle ne le sentait plus... et elle eut mal aux yeux lorsqu'il lui retira le bandeau, d'abord à cause de la vive lumière qui éclairait la pièce, et ensuite parce que son sang, qui avait eu du mal à passer à cause du tissus serré très fort, se remit à circuler normalement dans son cerveau. Elle craignait encore ce que pouvait lui faire subir Silence... mais cette fois-ci, elle eut la certitude que son sourire était sérieux, qu'il était satisfait, et non qu'il cherchait encore à lui faire croire qu'elle pouvait se sentir rassurer, juste pour le plaisir de lui faire encore plus de mal après, tout en prenant, lui, du plaisir. Elle se sentit rassurée, même si elle sentait qu'elle n'était pas encore sortie d'affaire... après-tout, cela faisait maintenant un moment qu'il profitait d'elle, mais la soirée, elle, ne faisait que commencer, et elle doutait que cet homme puissant ait déjà tout donné.

Elle profita donc du moment où il s'éloigna d'elle pour se reposer un peu... mais sursauta lorsqu'il se mit à lui crier après. Il s'était attendu à ce qu'elle devine ce qu'il voulait qu'elle fasse, et elle, elle était restée affalée contre le mur... voilà qui risquait de lui faire perdre des points. Elle se releva donc brusquement, la tête bien basse, et, malgré ses membres tremblants et son apparente fatigue, elle réussit à marcher vers son maître en bredouillant :


-Pardon, maître...

Elle était épuisée, mais elle était habituée à la fatigue, et au moins, elle n'avait plus un œuf vibrant ou un pénis enfoncé en elle pour gêner ses mouvements. Elle était confortée dans l'idée qu'au moins, après, si l'homme tenait sa promesse, elle pourrait réellement se laver, puis dormir un peu. Jusque-là, il avait toujours tenu ses promesses. Mais elle réfléchit aussi à ce qu'il lui avait ordonné de faire ensuite... elle ne voyait pas vraiment sur quel endroit de son corps elle pourrait faire jaillir son sperme sans risquer d'en mettre partout lorsqu'elle se relèverait... sur son ventre, sur son dos, entre ses seins, même dans ses mains... c'était impossible, elle allait forcément en renverser... même dans son vagin ou dans son anus, il en tomberait forcément un peu lorsqu'elle se mettrait debout. En fait, elle n'eut pas à réfléchir longtemps avant de savoir où elle devrait le mettre pour ne pas en mettre par-terre... elle se demanda si son maître l'avait compris lui-aussi, et si il avait fait mine de lui laisser le choix seulement pour le plaisir de l'humilier encore d'avantage. Elle ne réfléchit pas longtemps à ça, cependant, ça n'avait pas d'importance, surtout que lorsque Silence la poussa violemment, elle se releva en se disant qu'il valait mieux qu'elle se dépêche de faire ce qu'il voulait.

Pipa se dirigea d'abord vers la douche et ouvrit le robinet, faisant bien attention à la température... cette fois-ci, pour le réglage, elle ne prit pas son temps, comme lorsqu'elle préparait son maître, car il n'y avait rien d’excitant à régler une douche... sauf pour le fait qu'elle s'était baissée en faisant bien en sorte de garder les fesses en l'air. Lorsque ce fut bien tiède, elle s'écarta, comme pour inviter Silence à entrer, et lorsque ce fut fait, elle le rejoignit. Elle ne retira pas sa combinaison, car elle savait que son maître l'aimait beaucoup, hors, elle, tout ce qu'elle avait à laver, c'était ses parties intimes, déjà à l'air libre. L'eau clapota en touchant la matière en cuir. Elle commença, comme il le lui avait demandé, par le laver à lui. D'abord, elle fit bien couler l'eau sur chaque partie de son corps, en frottant doucement avec ses serres ses épaules, ton torse, puis son pénis, son anus, entre ses jambes... elle descendait petit-à-petit et termina par les pieds. Ses mouvements étaient lents et ressemblaient à des caresses.

Puis elle se releva, attrapa du savon... mais au lieu de le vider sur ses mains ou sur un gant, elle eut l'idée de le vider sur ses ailes, puis sur sa poitrine. Elle commença alors à savonner le corps de son maître en le caressant avec ses douces et délicates ailes, se servant de ses plumes comme d'une multitude de petites éponges. Quand elle s'attaque à savonner ses parties génitales, cependant, elle le fit en y frottant bien ses seins...
Titre: Re : Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
Posté par: Silence le jeudi 01 août 2013, 13:26:41
Pipa ouvrit donc le robinet de la douche. Plus aucune volupté dans ses mouvements, elle agissait uniquement pour s'épargner une punition supplémentaire. Comme Silence s'y attendait, c'est la peur qui la motivait, et l'on ne pouvait que la comprendre. Il l'avait découverte depuis quelques heures seulement, mais il lui avait déjà fait subir toutes sortes de sévices. C'est dans ce genre de moments qu'il était heureux d'être à sa place, et pas à une autre. Il remarqua cependant que malgré son chagrin, malgré sa douleur, elle prenait tout de même son temps pour faire de son mieux pour lui plaire... Alors qu'elle réglait la température, elle avait relevé ses jolies fesses moulées dans le latex, envoûtant le regard du mercenaire qui regardait avec insistance son intimité et son anus souillés, alors que son membre recommençait déjà à bande ferme. Peu après, elle se redressa, s'écarta de la douche et fit signe à son maître d'y pénétrer. Il ne se fit pas prier, et entra dans la cabine. Elle le suivit ensuite, découvrant alors que la cabine était en principe conçue pour une personne à la fois. L'étroitesse du lieu était plutôt excitante, et il ne l'invita donc pas à sortir. Il sentait contre son torse les seins de Pipa qui se pressaient contre lui. Quelle agréable sensation...

Elle commença par faire couler l'eau sur la totalité du corps de Silence. Évidemment, cette proximité et la beauté de son esclave contribuèrent à lui donner une érection impressionnante, ce qui était plutôt handicapant dans cette petite cabine. En effet, pour ne pas être complètement coincée contre le mur si elle se mettait devant lui, elle était obligée d'éviter le membre de Silence, car si elle s'était postée devant lui, il n'y aurait pas eu assez de place. Ensuite, elle se releva, et se mit à le savonner... Après l'avoir renversé sur ses ailes, et surtout, sur sa poitrine. Qu'elle lui donnait envie de la prendre comme ça, sans prévenir, avec ses jolis seins rebondis par sa tenue, et dégoulinant d'une substance blanche... Bon Dieu, qu'elle l'excitait. Elle savonna donc tout son corps à l'aide de ses grandes ailes, qui devaient se sentir un peu à l'étroit. Ensuite, elle eut la bonne idée de se servir de ses seins pour lui nettoyer la hampe, manoeuvre qu'il apprécia beaucoup. Un bon point pour elle, encore une fois. Il lui caressa les cheveux, ravi.

- Hummm... C'est trop bon !

Il rejeta sa longue chevelure en arrière, pour ne pas qu'elle soit gênée dans son "nettoyage". Étant donné que sa lance de chair était complètement tendue, lorsqu'elle dut nettoyer son gland, il ne put retenir un grognement de plaisir, et un spasme le fit trembler comme une feuille. Il agrippa sa tête avec plus de force.

- Allez... Maintenant branles-moi comme t'as jamais branlé aucun de tes maîtres... Avec tes nichons. Fais-le !