Palatine Yumi
Age : 32 ans, [Age de sa mort]
Sexe : Female.
Race :Ange
Orientation sexuelle: PI, et puis les Anges n’ont pas de sexe, c’est bien connu.
Description physique :
En réalité, Yumi est une femme mesurant un mètre soixante dix pour une soixantaine de kilos. Bien proportionnée donc, elle n'a a envié aucune femme ou presque. Elle possède des lunettes discrètes aux montures d'argent qui cachent derrière leur verre fin de belles prunelles d'un bleu lagon. Sa peau est est blanche comme la neige, contrastant avec une longue chevelure raide et noire comme la nuit. Les traits de son visage sont souvent sévères, signes des nombreuses épreuves qu'elle a du traverser au cours de sa vie. Ses lèvres sont fines et colorées, elle les gloss parfait par pure coquetteries. Son nez bien droit, est tout aussi sévère que sa bouche qui ne sourit presque jamais. Sa garde robe ne varie presque jamais, ou pour ainsi dire que très peu. Elle porte son uniforme de cadre ingénieur comme un homme et se fait respecter ainsi. Un uniforme qui ne laisse plus aucun loisir aux autres pour admirer ses formes. Bien que la plupart du temps, elle opte pour des habits de mère au foyer très simple : une robe et une tablier.
Caractère :
Absolution et Dévotion. Voilà sur quoi le caractère de Yumi est fondée. Son esprit est aussi blanc et pur que de la neige, jamais elle n’éprouve le besoin de faire le moindre mal. Yumi est compréhensive et possède énormément de compassion envers son prochain. De nature miséricordieuse, elle est à l’image d’un dieu de lumière bienveillant. Motivité, sensibilité, intuition, réceptivité, charme et sensualité, voilà l'éternel féminin dans toute sa splendeur ! En outre, Yumi n’est pas dépourvue de charme et de séduction... Bien que pouvant apparaître superficielle et légère, elle est idéaliste, parfois même utopiste, et cherche à trouver un sens à sa vie pour se sentir exister pleinement. C'est pourquoi elle s’oriente, de son vivant, vers différentes voies, au travers de groupes sociaux à vision humaniste, politique, artistique, spiritualiste ou idéologique. Si elle ne trouve pas son chemin ainsi, elle peut être tentée de vivre son idéal au travers d'une riche vie fantasmatique, de chimères ou se tournera vers des paradis artificiels. Il est vrai qu'elle a un intense besoin d'émotions et d'expériences nouvelles et ne se satisfait guère d'une existence routinière. Fantaisiste et bohème, la vie doit être une représentation théâtrale pour être digne d'être vécue. Voilà pourquoi elle est souvent déçue, à la merci de déséquilibres intérieurs. Elle est beaucoup plus faite pour le bonheur, la vie facile, que pour les difficulté. Elle a une intelligence vive, un esprit d'à-propos souvent teinté d'humour et apprécie les joutes oratoires dans lesquelles elle excelle.
Enfants, elle était fragile émotionnellement et fortement influencée par son entourage familial auquel elle veut plaire, même si elle doit se sacrifier. Curieuse de tout, elle pouvait facilement être instable. De plus, faire éclore, chez ces fillettes douées, un violon d'Ingres artistique (le chant, la musique, la danse) ou le goût des langues serait judicieux.
Histoire :
Yumi Asakura est la fille d’une grande pianiste de renommée mondiale et d’un riche producteur Japonais qui a fait fortune dans l’industrie du cinéma et de la publicité. Fillette unique, elle fut l’objet de toutes les attentions, malgré la frustration du père de ne pas avoir d’héritier, née à Nagasaki, elle ne connut que très peu cette ville. En effet, à l’âge de ses deux ans, ses parents démangèrent à Seikusu pour plus de tranquillité. Sa blondeur effective et la couleur de ses yeux, créèrent longtemps des conflits dans le couples, le père doutant fortement de la paternité qu’il avait sur cette enfant. Et il y eut raison de douter, car Yumi était bien le fruit d’une liaison extraconjugale que la belle Mikoto .
Néanmoins, le père était rompu par l’âge, il avait cinquante ans au moment où Yumi fêtait ses deux années, et sa mère en avait une trentaine. Il accepta ainsi sa fille, trop amoureux de la mère et lui inculqua toutes les nobles valeurs qu’une fillette de son rang devait avoir. Éduquée dans une grande école privée, Yumi était une fille sage et sans problème. Son enfance était remarquable, et sans anicroches aucune. C’était une fillette remplie de joie de vivre, toujours soucieuse de faire le bien et de découvrir autour de soi. Elle admirait ses parents par-dessus tout et prenant en exemple sa mère, bienveillante.
L’adolescence ne fut pas une période de révolution intense. Yumi joua au conservatoire à l’âge de quinze ans, aussi douée que sa mère. Son père engagea même dans ses spots publicitaires pour vendre des bonbons. Elle était une véritable égérie de douceur et de candeur. A la botte de ses parents, elle ne buvait jamais d’alcool ou ne fumait. Ses études se présentaient bien, et elle avait de l’avenir dans les sciences où elle semblait exceller. Son baccalauréat en main, elle put se diriger vers une école d’ingénieur renommée au Japon, où elle se classa première de sa promotion. Discrète, bonne et intelligente, elle était presque parfaite. Modèle de fragilité, beaucoup de jeunes hommes s’éprirent d’elle pour sa grâce, et sa beauté lumineuse, mais elle refusait avec tact leurs avances.
Jusqu’au jour où l’homme de sa vie se présenta aux portes de la grande et traditionnelle maison des Asakura. C’était un milliardaire américain qui faisait fortune dans la technologie de pointe et la technologie militaire. Or, Yumi étudiait en génie militaire. Bien que pacifiste, elle avait choisi cette branche, espérant pouvoir faire changer le monde de l’armement. Maxwell Palatine avait un sourire ravissant, bien que faux, des yeux bleus et des cheveux blonds magnifiques trahissant des origines nordiques lointaines. Il était là pour négocier d’un grand contrat avec le père de Yumi. Max succomba bien vite au charisme angélique de la belle et cette dernière n’eut rien à redire devant l’aura imposante de l’américain.
L’union fut décidé un an plus tard, alors que Yumi fêtait ses dix-neuf ans. Elle alla continuer ses études aux Etats-Unis avec son nouveau mari et reçut son diplôme dans la Silicone Valley, en Californie, domaine de haute technologie, en même temps qu’elle fêta ses vingt-trois ans, donc ses quatre années de mariage avec Maxwell. D’ailleurs, elle découvrit quelques jours plus tard qu’elle était enceinte de deux mois environ. Pour le couples ce fut là un heureux évènement, la famille prospérait et les affaires de la société Palatine explosaient les records de bénéfices. Yumi, fidèle à elle-même ne manquait de rien et fit tout ce qui était en son possible pour prépare la venue de l’enfant.
Il vint d’ailleurs au monde, comme prévu. Bien évidemment, pour le corps fragile de Yumi se fut une véritable épreuve mais après deux heures de souffrance, son fils vit le jour, robuste et en bonne santé. Elle fut félicitée par le médecin pour avoir mis au monde un aussi beau bébé. Aussitôt, Yumi sut qu’elle était elle-même née pour rencontrer cet enfant, et qu’elle lui dévouerait sa vie. Arrêtant de travailler pour le gouvernement américain, elle prit congé et s’engageait dans une associant caritative pour les enfants tout en élevant son joli Sandji.
Maxwell aussi fut fier de cet héritier, mais l’homme qu’elle avait connu au début de son mariage n’était plus. Il allait souvent voir d’autres femmes, et la trompait ouvertement, tous les médias en parlait. Se défendant, elle restait cops et âme plonger dans ses associations sociales et humanitaires et passait énormément de temps avec son fils, l’élevant avec amour. Elle le cherchait à l’école, le ramenait riait avec lui sans être une mère poule étouffante et protectrice à souhait.
Ainsi, Sandji atteignit sa dixième année sans encombre, petit garçon parfait à l’image de sa mère. Il était intelligent, perspicace et courageux. Elle l’aimait plus que tout. Maxwell quant à lui, devenait plus sombre et renfermé, les affaires allaient mal et son seul salut se trouvait dans un projet fou orchestré par une société de recherche sans scrupule. N’ayant guère trouvé de cobaye pour une expérience assez risquée, mais sûrement prometteuse, Maxwell n’eut aucun mal à livrer son fils. Ce fut sans doute la première fois que Yumi hurla, et se mit en colère. Elle lui avait hurlé, le jour où il avait pris son fils, qu’elle n’avait jamais rien dit pour toutes ces maîtresses, et elle lui avait même ordonné de lui rendre son fils et de prendre à la place un des nombreux bâtards qui devait courir les rues à l’heure qu’il était. Pour défendre son fils et le retrouver, elle était devenue une tigresse. Ce fut d’ailleurs la première fois que son mari leva la main sur elle. Pour la calmer, il la battit et lui ordonna de rester à la maison, de ne rien tenter. Elle resta une journée et une nuit à terre, blessée, pleurant la disparition de son fils.
Le lendemain, Maxwell s’excusa, l’embrasse et lui promit que tout irait qu’ils reverraient leur fils encore meilleur qu’avant qu’il fallait juste patienter. Il la caressa et elle le repoussa, il tenta avec insistance mais elle se refusa à lui. Excédé, il abusa d’elle avant de lui ordonner à nouveau, de rester dans la maison. Combien de fois tenta-t-elle de prévenir la Police, de sortir mais garde du corps la freinaient au portail et la police lui riait à la figure. Le monde entier était contre elle. Elle passa exactement trois année et demi loin de son fils, à sombrer dans la dépression. Son mari passait en coup de vent, la violait et repartait comme si de rien était. A la télé on ne parlait plus que de la société Palatine qui reprenait de la vigueur.
Jusqu’au jour où enfin son fils lui fut rendu, et quand elle vit l’état de son garçon, elle pleura toutes les larmes de son corps, horrifiée et furieuse contre son mari qui avait « tuer » son beau Sandji. Sachant que son salut était possible, elle avait réconforter son fils, malgré ce qu’il était devenu, elle l’avait pris dans ses bras, l’avait embrassé et serré fort avant de commander un billet d’avion par internes et de fuir vers l’aéroport le plus proche : direction le Japon.
Sa mère l’accueillit, et l’hébergea avec peine, pleurant avec elle. L’espoir de retrouver Sandji comme il était perdu, les nombreux médecins étaient catégoriques mais umi espérait et s’occupait de lui chaque jour, elle lui préparait ses plats préféré, lui achetait des vêtements et le faisait regarder ses dessins animés préférés. Elle n’avait plus pleurer devant lui, préférant être forte et persévérer. Néanmoins, un seul mois de répit au Japon fut nécessaire car maxwell les retrouver tous les deux, fou de rage. Sa vie était détruite, sans Yumi, sa possession, son objet. La mère de Yumi ralentit le père pendant que Yumi, désespérait. Elle voulut mettre fin aux souffrances de son fils et le fit grimper dans la voiture avant de se mettre au volant. Plus loin sur la nationale, elle prit une plaquette de médicament et s’évanouit au volant. La voiture tomba dans un ravin proche. Yumi mourut sur le coup mais son corps protégea Sandji de la tôle. Maxwell avait réussi à se dégager de sa belle-mère et était directement partie à la suite de sa femme. Il la suivait en voiture et voyant la voiture bifurquer, il descendit rapidement, cherchant une pelle dans son coffre. Descendant dans le ravin avec précaution. Il se rapprocha de la voiture pour y dégager le corps de sa femme et son fils, et de les enterrer. Ce fut sans compter Sandji, qui était toujours vivant.
Neuf ans plus tard, Yumi fut rappelée sur Terre grâce à l’amour qu’elle portait pour son fils. Dans un ultime acte de pardon, les dieux avaient permis à la jeune femme de revenir en tant qu’Ange Gardien sur Terre et de mener à terme sa mission. Yumi est donc à présent un Ange qui erre sur Terre, à la recherche de son fils, et à la recherche d’actes bienveillants à accomplir.
Autres : Voler, avec ses grandes ailes *o*
