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Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

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Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 45 mercredi 20 novembre 2013, 17:31:14

Le mouvement de la néo-esclave n'avait pas échappé à Cyscek. Elle avait ouvert ses jambes naturellement, désireuse d'en recevoir plus encore. Elle pouvait afficher du refus, semblait effrayée ou abattue, elle n'avait pas tarder à quémander des caresses en plus de sa part. C'est donc tout à fait normalement qu'il la caressait, satisfait qu'elle réagisse de la sorte. Il la sentait même sincère quand elle disait qu'elle ferait tout ce qu'il lui demanderait. Bien sûr, il y avait toujours la possibilité que ce soit le plaisir qui la fasse parler ainsi, mais il osait espérer qu'elle changeait également petit à petit. Oui, bientôt elle serait une bonne petite esclave, il n'y avait pas de raison que ça ne se déroule pas ainsi.

A le sentir caresser et masturber la demoiselle, elle devait croire qu'il cherchait à la faire jouir. Pour la transporter à nouveau ? Non, il avait son idée. Il guettait la respiration et les réactions de la jeune femme, et s'arrêta avant qu'elle ne trouve l'orgasme. Elle ne devait pas se transformer en loque, en tout cas pas pour l'instant. Presque à regret il retira sa main de l'entrejambe humide d'Anastasia. Le corps de l'esclave réclamait plus, mais il n'était pas prêt à le lui donner. Peut-être plus tard, si elle se montrait sage. Il se décala pour reposer ses pieds sur le sol et se lever, en lui tendant une main pour l'inviter à se lever elle aussi.

Viens, suis moi.

La main d'Anastasia paraissait si frêle dans la sienne. Il la serrait à peine, comme un amoureux aurait tenu celle de sa dulcinée lors d'une promenade. La porte fut rapidement franchie et il avança dans le couloir. Il y avait de multiples portes, sans aucune indication sur aucune d'elle. Ce qui se cachait derrière ? Impossible à dire sans y jeter un oeil. En tout cas il semblait savoir où il voulait aller, car il finit par s'arrêter devant l'une d'elles. Pas besoin de clé, il poussa directement la porte qui donnait sur une chambre - oui bon, une cellule aménagée - du même genre que celle d'Anastasia. Une jeune femme brune aux cheveux longs étaient en train de brosser ses cheveux devant un miroir posé sur le petit bureau. On remarquait quelques changements par rapport à l'endroit ou la nouvelle esclave s'était changée : ici, la décoration était plus fournie. Un cadre, des produits de beauté, ce miroir ... Le lit était également plus grand, et il y avait également la tenue de l'occupante de la pièce. Une robe prune taillait parfaitement ses formes. On aurait pu la trouver simple, mais en la regardant en détail on voyait de la dentelle au niveau des manches. Le vêtement ne couvrait pas les épaules et laissait place à un décolleté plongeant, mis en valeur ici aussi par de la dentelle. A l'entrée des deux protagonistes, la jeune femme émis un petit "oh" d'étonnement et se leva prestement.

Elle avait abandonnée sa brosse et vint immédiatement s'agenouiller devant Cyscek, en murmurant un "maître". On ne lisait ni peur ni crainte dans le regard de la jeune femme. S'il la battait ou la maltraitait, elle n'en montrait rien. D'ailleurs, il déposa sa main sur la tête de la jeune femme, lui lissant un peu plus les cheveux si c'était possible.

Anastasia, je te présente Cora. Elle est ici depuis maintenant six mois.

Les présentations faites, Cyscek referma la porte. Cora ne s'était pas redressée, et elle n'avait pas esquissée un seul mouvement depuis qu'elle s'était mise ainsi. Pourtant un geste de la part de l'esclavagiste sembla la déverrouiller. Elle se releva, toujours avec le sourire. Le regard de l'inconnue passait de l'homme à la femme, sans aucune animosité.

Si je t'ai mené ici, c'est pour que tu puisses converser. Cora répondra aux questions que tu peux te poser, et elle t'expliquera également comment être ici. Elle m'aide à former les nouvelles recrues de ses mains douces. Pour les récalcitrantes, elles ont droit à Manfred, l'un de mes sous fifres.

Inutile de préciser que la formation devait être bien moins plaisante entre les mains de cet homme, c'était sous entendu. Il poussa légèrement Maelie pour qu'elle s'avance dans la pièce. Cora la jaugeait tout en restant désespérement immobile. Elle ne fit que prendre la parole, d'une voix cristaline.

Bienvenue ici Anastasia. Il ne faut pas avoir peur, notre maître peu se montrer un peu rustre parfois mais il a bon fond.

Elle accompagna ses paroles d'un sourire malicieux à l'intention de Cyscek. Pourtant ce dernier ne répliqua rien, si ce n'était un sourire. Elle était docile et bien dressée, joueuse avec cela, il lui passait bien quelques piques de ce genre.

Dès que tu as une question, tu peux venir me la poser. Je te formerai quand notre maître ne sera pas là.

Maelie

Humain(e)

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 46 vendredi 22 novembre 2013, 17:47:56

La respiration de la succube se faisait de plus en plus lourde à mesure que les attouchements de Cyscek faisaient leur effet. Bon sang, elle l'abhorrait, mais elle se sentait tellement bien entre ses mains... pourquoi lui ? Pourquoi sa volonté pliait-elle si vite ?... Petit à petit, elle éluda ces questions pour ne plus penser qu'à l'instant présent. Son sexe s'était humidifié et le plaisir, de plus en plus intense, lui venait par décharges. Sa fierté rendait peu à peu les armes, et bientôt il n'en resta rien, sinon la tentative d'étouffer ses gémissements en se mordant la lèvre inférieur.

Elle frétillait comme un poisson hors de l'eau lorsque son maitre décida qu'elle en avait eu assez. Elle poussa un geignement et braqua un regard suppliant sur lui ; il s'était relevé devant elle et lui tendait la main. Allait-il falloir qu'elle le suce maintenant ? Voulait-il la prendre, simplement ? Elle n'aurait pas du espérer ce genre de choses, mais s'il l'avait poussée à quoi que ce soit elle aurait obéit immédiatement. Dans son état, se jeter à genou ou ôter sa robe auraient autant été de l'ordre du reflex que de celui de la décision consciente...

Elle attrapa la main du marchand et se leva.

"Viens, suis moi."

Elle s'exécuta avec empressement, son bas ventre affamé criant toujours sa frustration. Où l'emmenait-il ? Pourquoi l'avoir torturée ainsi ?... était-ce pour lui faire miroiter une futur "récompense" ? Était-ce pour la préparer à un nouveau jeu plus sordide ? Elle tenta de se calmer tout en marchant. Elle devait garder l'esprit clair... bien qu'elle n'eut pas la moindre idée de ce à quoi cela pourrait bien lui servir. Mais ne serait-ce que par principe, elle n'avait pas le droit de baisser les bras et d'arrêter de réfléchir. Si une sortie de secours se présentait à un quelque instant que se soit, elle devait être en état de la saisir.

Cyscek ouvrit enfin une porte donnant sur la chambre d'une femme - une très belle femme - et entraina la rouquine à l'intérieur. La femme était visiblement occupée à arranger ses cheveux, activité qu'elle abandonna pour aller se prosterner devant le mâle. Elle avait peu ou prou l'attitude d'un chevalier face à son seigneur, plus que celle d'une esclave face à son maitre, bien que la relation qui l'unissait à Cyscek fut de toute évidence bien moins chaste...

"Anastasia, je te présente Cora. Elle est ici depuis maintenant six mois.
-Bon-bonjour."


Ne sachant trop quelle posture adopter, Maelie effectua un salut raide du tronc en direction de l'inconnue. Son essoufflement transparaissait encore dans sa voix et, vu la sensation de chaleur qui irradiait encore de son visage, ses joues devaient avoir conservé une couleur proche de celle du poivron. Toujours était-il que la présence d'une tierce personne l'aidait à chasser ses mauvaises pensées, et que sa respiration reprenait peu à peu un rythme normal. Son cœur, lui, battait toujours aussi vite. La petite dévisagea la femme qui serait son enseignante ; une enseignante d'un type assez particulier. Celle-ci, au moins, ne provoquait aucune trouble chez la succube, que ce soit de la haine ou de l'attirance. En revanche, elle piquait quelque peu sa curiosité, car le lien qui semblait l'unir à Cyscek était des plus singuliers. Était-elle en train de singer l'obéissance et l'admiration, ou était-elle vraiment heureuse d'être ainsi enfermée ? Elle se permettait même se tourner la brute en dérision, ce qui attestait d'une certaine complicité.

Dans tous les cas, Anastasia ignorait ce qu'elle était censée dire, plus précisément ce que son ravisseur aurait aimé l'entendre dire. Son regard passait rapidement de l'un à l'autre des interlocuteurs, et finalement elle inclina à nouveau le buste ;

"Merci... je... je ferais de mon mieux."

Ses yeux ne cessaient de bondir entre l'homme et la femme, guettant leur réaction. Elle craignait que son comportement ne soit pas satisfaisant... et elle ne savait toujours pas si on allait la laisser se reposer dans sa nouvelle cage douillette, ou si les activités de la journées ne faisaient que commencer.

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 47 mardi 26 novembre 2013, 22:41:47

C'était presque attendrissant de voir comment Anastasia paraissait timide face à cette femme. Avait-elle peur de finir comme elle ? Ou au contraire l'enviait-elle ? Cyscek ne parvenait pas à savoir, juste en regardant la jeune esclave. Elle écoutait, elle était sage, mais elle ne laissait rien voir sur son visage. Il pinça légèrement les lèvres alors que Cora tentait de l'amadouer un peu. La demoiselle était prête à se refermer comme une huitre si la situation ne lui plaisait pas. Pourtant il ne semblait pas manquer grand chose pour qu'elle se détende complètement. Les attouchements de l'esclavagiste y étaient probablement pour quelque chose.

Elle a du mal à s'assumer, ainsi que ses pulsions.

Cyscek s'était rapproché de Cora et murmura quelque chose à l'oreille de cette dernière. Elle se mit à sourire, toisant Maelie avant de prendre la parole.

Si tu veux mon avis, profite. On ne sait jamais de quoi demain sera fait.

La main de l'esclavagiste effleura la hanche de Cora. Comme un signal, cette dernière se colla à l'homme, se lovant carrément contre le torse de ce dernier. Elle descendit une main pour masser l'entrejambe de Cyscek, faisant bien évidemment exprès que la jeune esclave ne puisse rien louper du spectacle. On devinait clairement la forme du membre dur qui se cachait sous le pantalon. Elle continua ce petit manège pendant de longues secondes. Mais à l'instant ou Cyscek recula, elle cessa immédiatemment, ne cherchant pas à le retenir ou à aller plus loin. Sage, elle ramena son regard sur Maelie.

Tu dois savoir être sage. C'est comme ça que tu seras récompensée.

On lisait dans le regard de la femme de l'envie. Elle mourrait d'envie de prendre du plaisir, que l'homme lui en donne. Pourtant, elle se retenait. Cyscek ne lui offrait rien, et elle resterait probablement frustrée, pourtant Cora semblait prête à endurer cela. Peut-être parce qu'elle savait qu'elle aurait sa récompense tôt ou tard. L'homme se détourna de Cora, afin de reporter son attention sur Maelie. Il aurait pu parier qu'elle était toujours humide après la façon dont il l'avait tripoté auparavant. Etait-elle seulement prête à s'abandonner ?

Prenant son temps, il porta sa main à la hanche de Maelie. Il avait effectué exactement le même mouvement que sur Cora, mais exagérément plus lentement. La main trouva son chemin et s'immobilisa contre elle. Les deux regards étaient braqués sur Maelie. Si Cyscek ne laissait rien transparaître si ce n'était un léger sourire, Cora étirait ses paupières comme si ses yeux allaient sortir de sa tête. Elle enjoignait la néo esclave à ne pas rester stoïque et à agir.

Maelie

Humain(e)

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 48 mercredi 27 novembre 2013, 21:48:08

"Elle a du mal à s'assumer, ainsi que ses pulsions."

C'était vrai, quelque part. Elle n'avait jamais entièrement accepté d'obéir à ses désirs, et pourtant elle y cédait sans cesse, jusqu'à se mettre dans des situations... comme celle-ci. Ou bien comme celle qui l'avait poussée à fuguer et à quitter la Russie, un an plus tôt. Aussi la jeune fille ne contesta pas cette affirmation, chose qui était de toute façon dans son intérêt...

L'esclavagiste s'était rapproché de la brune jusqu'à murmurer à son oreille. Celle-ci se mit soudain à être provocante envers la rousse,la narguant d'un sourire... Le mâle posa sa main sur la hanche de sa servante et celle-ci vint se coller à lui, comme si elle n'attendait que ça, depuis le début. C'était certaienmetn le cas, Anastasia pouvait le comprendre aisément... son regard se porta sur la main qui caressait la protubérance du pantalon de Cyscek. Celui-ci bandait carrément, ostensiblement. Son membre était-il déjà durci par la simple présence de Cora, ou était-il resté rigide après s'être dressé pour la jeune succube ? Cette dernière ressentit soudain le besoin d'agir, de participer... elle voulait que l'homme reporte son attention sur elle. Finalement il se sépara de sa soumise et celle-ci resta docilement à sa place.

"Tu dois savoir être sage. C'est comme ça que tu seras récompensée."

Quelle drôle d'idée... n'était-il pas plus valorisant pour le maitre de voir son esclave tenter d'attirer son attention ? Elle n'eut pas le temps de pousser la réflexion plus loin car Cyscek vint à sa rencontre, posant la main sur elle de la même manière qu'il l'avait fait avec l'autre femme. Elle le fixa un instant, les joues rouges et la bouche entre-ouverte, figée dans une expression ahurie que donne parfois le désir sexuel. Elle était habituée à ce qu'il prenne les devants : il n'en fit rien. Bien sûr. Il attendait d'elle qu'elle imite les gestes de l'ancienne... Le cœur de la petite tambourinait dans sa poitrine et ses mains tremblaient lorsqu'elle les posa sur le torse du marchand. Celui-ci la préférait-il elle ou bien l'autre ? C'était sûrement être un question futile, et de toute façon Cora avait forcement une longueur d'avance...

Les seins de la demoiselle se comprimèrent contre le buste de Cyscek ; reproduisant le geste effectué par son enseignante, Maelie glissa une main jusqu'à la verge qu'elle caressa à travers le tissu. Mais peut-être n'était-ce pas assez ? Comment le dresseur d'esclaves pourrait-il être impressionné par un geste si commun, une simple obéissance mimétique ? Elle devait en faire plus pour lui plaire. Monter dans son estime, gagner sa confiance, pour mieux le trahir... c'était là la meilleur excuse que la belle s'était trouvée. Tout en cajolant le sexe de sa main gauche elle hésitait, toujours un peu craintive, à prendre une quelconque initiative que Cyscek aurait pu prendre pour de l'insubordination...

Finalement elle plia les jambes pour descendre lentement, les yeux timidement levés sur le visage de son maitre, cherchant des ses expressions le signe de son contentement ou de sa désapprobation. Elle respirait lourdement, à nouveau, et c'était avec fascination que ses doigts jaugeaient la raideur de cet appendice dans lequel le sang pulsait en partie pour elle.Quand elle fut à genoux devant lui elle frotta son visage sur son entrejambe, telle une chatte affectueuse. Étrangement, elle se sentait moins gênée maintenant que la minute qui avait précédée. Elle leva le menton et le posa sur la colline que formait l'organe de l'homme.

"Mon maitre... qu'attendez vous de votre esclave ?"

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 49 lundi 02 décembre 2013, 11:06:43

De l'obéissance aveugle, ou presque. Cyscek n'était pas dupe, tout comme Cora. On ne se résignait pas aussi vite, surtout après avoir lutter au départ. Il y avait surement une part de Maelie qui voulait se soumettre, mais Cyscek aurait toujours le doute. Elle pouvait feindre la soumission pour améliorer sa condition, tout en gardant le secret espoir de filer de là à la première occasion. En tout cas, si elle jouait la comédie, elle le faisait bien. Accroupie devant lui, elle donnait l'image d'une esclave sincère et dévouée. Le membre de l'esclavagiste avait gardé sa vigueur après les caresses des deux demoiselles. Maelie faisait ça avec un tel entrain ... Non, il n'y avait décidément pas que du calcul dans ses mouvements. Elle appréciait ce qu'elle faisait même si elle avait beau le nier.

Derrière la nouvelle esclave, Cora dardait un oeil impuissant sur son maître et Maelie. Cette petite pimbêche croyait-elle pouvoir tout se permettre ? Elle était la préférée et elle comptait le rester. Oui, elle partageait l'esclavagiste avec les autres esclaves, et il arrivait à Cyscek de montrer de l'intérêt pour l'une ou l'autre de ses recrues. Mais cette dernière avait toujours réussi à se faire préférer, et à avoir un statut particulier. Il était hors de question de perdre ça et même si elle ne l'avouerait jamais, cela s'apparentait clairement à de la jalousie mal placée. Bouillante, elle restait à sa place sans esquisser le moindre mouvement. La docilité et la retenue serait ses meilleures armes si elle souhaitait parvenir à ses fins.

La main de Cyscek descendait sur la tête de Maelie, la pressant un peu plus contre son entrejambe. Ses cheveux glissaient entre ses doigts, quoiqu'un peu rêches. Elle aurait mérité de les laver, de se laver même. Elle avait été suffisamment sage pour qu'il lui "offre" ce droit.

C'est le genre d'initiative que les maîtres aiment bien, tant que tu ne te montres pas trop entreprenante.

Si elle avait été plus loin, à savoir sortir sa queue et le sucer, il l'aurait réprimander. Entendons nous bien, ça aurait plu à l'esclavagiste, mais ce qui lui plaisait ne devait pas interférer avec ce que ses acheteurs voulaient. S'ils souhaitaient une femme docile et facile à dominer, ce n'était pas pour qu'elle prenne ce genre d'initiative. Heureusement elle s'était arrêtée avant, suggestive plutôt que d'imposer. Il ramena son autre main devant lui et saisit le lacet qui retenait son pantalon. Le noeud fut rapidement défait et il tira sur le lacet pour donner un peu de mou à son vêtement. Ce dernier en se desserrant descendit sur les cuisses de l'esclavagiste, suivi par le caleçon de ce dernier. La chute du sous vêtement eut pour effet de mettre à nu l'entrejambe entière de Cyscek : Son membre se dressait près du visage de la jeune esclave et il bougea à peine afin de coller la hampe chaude contre la joue de Maelie. Il ramenait sa main sur la tête de la demoiselle dans un geste doux, presque protecteur. Par de légères pressions des doigts il la faisait bouger et frôler son membre qui se rengorgeait un peu plus de désir à chaque frottements.

Je veux que tu te touches en même temps.

Toujours la même douceur, celle qui apparaissait dans ses mouvements. Avec lenteur il lui fit tourner la tête afin que la bouche de Maelie frôle la queue dure. Petit à petit la bouche se trouvait à monter et descendre le long de la hampe et il s'arrêtait à chaque fois qu'elle frôlait le gland. Il usa de ce manège deux fois avant de positionner le visage de Maelie face à lui et cette fois donc le gland contre les lèvres charnues. Poussant à peine, il pénétrait la bouche, imposant son gland en elle, et juste ça. C'était assez surprenant car jusqu'ici il s'était toujours montrer plutôt brusque et même parfois violent, preuve qu'il pouvait arborer des visages très différents selon la situation. Le gland épais emplissait la bouche de la jeune esclave mais il ne faisait aucun geste. Pas de vas et viens, et sa main tenait toujours légèrement la tête de Maelie pour lui faire comprendre qu'elle devait juste se tenir docile.
Il eut un léger mouvement de tête et elle put sentir que Cora s'agenouillait derrière elle. La poitrine de cette dernière frolait le dos de Maelie, puis sa tête apparut sur le côté, comme si elle jaugeait ce que la demoiselle était en train de faire. Le visage semblait impassible, pourtant une sourde colère montait en elle. C'était différent de savoir que son maître s'occuper des autres esclaves et de le voir directement. Ce n'était pas la première fois, mais ce n'était jamais agréable. Elle porta sa main à la chevelure de Maelie, glissant ses doigts sur ceux de Cyscek.

C'est bien, mais notre maître préfère ainsi.

Lorsque Cora eut fini sa phrase, elle poussa de toutes ses forces sur la tête de Maelie. Ou comment cacher sa colère sous l'alibi de l'apprentissage. Cyscek n'avait pas bougé d'un pouce et le seul élément mobile dans tout ceci, c'était bien la tête de l'esclave qui se retrouva projetée en avant. Le membre large se ficha subitement dans la gorge de Maelie dans un bruit humide de salive. Elle ne la relachait pas bien que la nouvelle esclave ait le nez contre le pubis de Cyscek, la queue au fond de la gorge palpitante de désir.

Profites en bien ...

Ces quelques mots murmurés à l'oreille de Maelie n'auguraient rien de bon. On sentait le ressentiment et la jalousie dans le ton employé par Cora. Faisait-elle ça à toutes les nouvelles arrivantes ? Elle entendait marquer son territoire et ne pas en laisser un seul pouce à cette nouvelle. Au dessus d'elles, Cyscek ne semblait pas avoir entendu le murmure et grognait de plaisir. Il relâchait lentement son étreinte sur la tête de Maelie, et Cora dut faire de même pour que cela ne s'apparente pas à de l'insubordination.


Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 50 vendredi 06 décembre 2013, 12:10:48

De toute évidence, son initiative avait fait mouche ; une prise de risque récompensée, en quelque sorte. La réflexion de son maitre lui avait bien fait comprendre qu'elle était arrivé à la limite de ce qui était acceptable pour une esclave, c'est pourquoi elle stoppa ses mouvements. Elle le regardait simplement, ou plutôt elle regardait son pénis qui se dévoilait sous ses yeux. Celui-ci mis à nu, Cyscek posa une main directrice sur le crane de la jeune fille et lui caressa la joue par des vas et vient de son sexe ; c'était chaud, c'était doux... ça avait une odeur de mâle et d'accouplement bestial. Elle ferma les yeux, concentrée sur ces perceptions. Il était bien plus agréable d'oublier le lieu où elle se trouvait et de laisser ses sens s'exprimer que de penser qu'elle était en train d'être "instruite" devant une autre esclave qui jugerait ses performances...

"Je veux que tu te touches en même temps."


La demoiselle rouvrit les yeux de surprise. Elle ne s'attendait pas à ça, à vrai dire... elle porta une main hésitante à son entrejambe, soulevant de ce fait sa jupe et découvrant ses cuisses, et commença à faire glisser ses doigts entre ses lèvres humide. Elle manquait de conviction, et le geste était réalisé de manière presque mécanique. Elle se sentait étrangement gênée. Pourquoi était-elle si réticente à l'idée de se caresser ? Elle brulait intérieurement, son sexe criait famine, et pourtant elle rechignait à se donner du plaisir elle-même. Quelque chose la retenait... l'amour propre ? Au point où elle en était... Dans tous les cas, il était bien plus facile de s'abandonner quand son amant la guidait et ne lui laissait pas le choix. Elle voulut se détendre, prendre un regard aguicheur, soupirer de plaisir, masser son clitoris sans retenue... c'est ainsi, elle en était sûre, qu'elle plairait le plus à cet homme. Elle restait toujours aussi raide, pourtant. C'était peut être la présence de l'autre qui l'empêchait d'aller jusqu'au bout. Avec elle à côté, même sans la regarder, elle avait l'impression constante d'être jugée. Le stress fit battre son cœur encore plus vite ; elle fronça légèrement les sourcils, tâchant de ne penser qu'à Cyscek, sa posture dominante, son sexe tendu par le désir. Elle allait donner du plaisir à cet homme, rien d'autre ne devait compter.

Elle ouvrit docilement les lèvres pour laisser glisser la verge entre elles, pointant parfois la langue hors de sa bouche pour déposer une petite trainée chaude et humide le long de la hampe. Puis elle accueillit sans résistance le gland que son maitre insérait lentement ; elle pouvait sentir sa légère palpitation... elle aventura le bout de la langue sous cette friandise de chair pour la caresser ; puisque c'est tout ce que le marchand avait choisi de lui donner, elle ferait du mieux qu'elle pourrait avec... elle y mettrait toute son application. Tantôt elle titillait en léchant, suçotait, aspirait, ou bien ouvrait la bouche pour laisser, l'espace de deux petites secondes, l'air caresser le bout de chair rose foncé qu'elle étreignait de nouveau dans la moiteur brulante de sa bouche.

Soudain elle put sentir Cora frôler son dos et passer sa tête par dessus son épaule ; sa langue se figea en pleine besogne et ses doigts se raidirent à l'entrée de son intimité. Elle l'avait presque oubliée, celle là...

"C'est bien, mais notre maître préfère ainsi."

La mégère écrasa soudain sa tête contre le bas-ventre du mâle, forçant sa gorge à accueillir l'imposante virilité toute entière. La rousse avait tenté de résister, adoucissant cette pénétration forcée et plus que désagréable. Heureusement elle l'avait déjà subie, de la part de Cyscek, et commençait à trouver ses marques. Elle suffoquait et sentait qu'au moindre faux mouvement elle renverrait son maigre repas... c'était bien la pire chose qu'elle aurait pu faire à cet instant... Ses petites mains s'étaient posées, comme par réflexe, sur les cuisses de l'esclavagiste et ses doigts se crispaient à chaque fois que son estomac menaçait de la trahir.

"Profites en bien ..."

Un frisson parcourut toute l'échine de la rousse. Cette esclave était-elle vraiment "amoureuse" de son tortionnaire ? Au point se s'en prendre à ses concurrente, par jalousie ?... Mais Anastasia n'avait pas vraiment le temps de se préoccuper des états d'âmes de son ainée, elle avait un objectif en tête... elle ramena la main, qui avait précédemment quitté son poste, jusqu'à son sexe et entreprit à nouveau de se donner du plaisir, malgré la présence envahissante de son adversaire. Lorsque la pression sur son crâne diminua, la jeune fille se retira lentement, prenant une longue bouffée d'air, profitant que sa gorge soit libre pendant plusieurs secondes. Ça n'était pas fini, bien sûr. Elle pourrait considérer avoir gagné lorsqu'elle aurait récolté la semence du marchand. "Ne t'inquiète pas Cora... tu peux faire tout ce que tu veux... Pour l'instant c'est moi qui le tiens.".

Elle posa à nouveau ses lèvres sur l'organe de son maitre et avança lentement, le laissant glisser avec lenteur vers le fond de sa bouche. Tout doucement, elle l'engloutissait à nouveau, le regard levé vers son instructeur, comme si elle demandait la permission d'aller plus loin à chaque centimètre. Lorsqu'elle guidait elle même le mouvement, elle avait bien plus de facilité à supporter la présence de l'épais barreau de chair dans sa gorge... Elle ferma les yeux et resta quelques secondes le visage empalé sur la lance du mâle, pour enfin se reculer calmement et se permettre de respirer à nouveau... et revenir encore à la verge qui lui était offerte. Elle recommença son manège... une fois, deux fois, trois fois... encore et encore. Elle elle répéterait l'opération jusqu'à ce que son maitre cède, ou bien qu'il lui ordonne d'arrêter.

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 51 lundi 09 décembre 2013, 16:22:50

Le grondement qui sortit de la bouche de l'esclavagiste ne pouvait tromper personne : il avait apprécié la façon dont Cora avait poussé la tête de Maelie. D'ailleurs, la verge s'était tendue, luttant contre la courbure de la gorge qui la forçait à s'orienter vers le bas alors qu'elle s'évertuait à forcer pour pointer vers le haut. La réaction de l'esclave lui faisait penser qu'elle ne s'attendait pas à se faire violenter de la sorte. Pourtant elle reprit ses esprits pour seulement reprendre sa pipe, avec plus de profondeur qu'auparavant. Chaque passage au fond de la gorge de Maelie était un délice et Cyscek était aux anges. En fait, la seule qui ne trouvait pas son compte là dedans était l'autre esclave, fulminante de rage et de jalousie. Son souffle chaud courrait sur la nuque de Maelie, qu'elle couvait de son regard inquisiteur.

Au dessus de tout ça, l'esclavagiste semblait ne rien voir de ce qui se tramait à ses pieds. Pourtant un mouvement de part de Cora l'alerta. Elle glissa sur le côté afin de se retrouver à côté de Maelie. Alors que cette dernière continuait ses vas et viens, la bouche de Cora vint s'en mêler. Une main ferme s'était emparée de la base de la queue, et Cora amenait ainsi le membre dans sa bouche, l'enfournant d'un mouvement rapide et disons le, vulgaire. Elle jetait un regard suppliant à Cyscek comme pour qu'il lui fasse subir le même sort qu'à l'autre esclave. La réaction de l'esclavagiste fut tout autre : haussant un sourcil, il donna une tappe sur la main de Cora pour la faire lâcher et recula, le membre luisant de salive sortant de sa bouche.

On dirait que le dressage n'est pas fini comme je le pensais ...

Elle allait répondre, rétorquer que si, elle voulait simplement son plaisir mais un index inquisiteur se leva. Le geste de Cyscek était équivoque : si elle parlait, elle le regretterait. Abandonnant son pantalon là où il était, Cyscek prit la main de Maelie pour l'obliger à se relever. Le mouvement ajouté lui intimait de se diriger vers le lit, alors qu'il toisait Cora d'un regard dur. Mais c'est à sa nouvelle esclave qu'il s'adressa.

Tu vois il faut savoir attendre. Je suis toujours bon avec les femmes qui se montrent sages et dociles. Mais pas avec les autres.

Un nouveau poignet aggripé, celui de Cora cette fois. Il l'entrainait également sur le lit et l'y jeta. Elle étouffa un cri bien qu'il ne se soit pas montré violent. Il prenait son temps pour la faire s'allonger sous le regard interdit de Maelie. Lorsque Cora fut sur le dos, au milieu du lit, il s'adressa à nouveau à la néophyte.

Installe toi au dessus d'elle.

Il avait une idée très précise de ce qu'il voulait et la fit mettre tête bêche. Ainsi positionnées, on aurait cru que les deux femmes allaient s'adonner à un 69, mis à part leurs robes encore présente. Passant derrière Maelie, il releva sa robe, dévoilant la fente lisse et humide suspendue au dessus du visage de Cora. Cette dernière ne pouvait rien louper de ce qui se tramait au dessus : le gland qui venait frotter contre la vulve, puis s'y enfonça lentement. La longueur complète du membre qui fouillait l'orifice de Maelie et la frustration de ne pouvoir bouger, et de ne pas être à sa place. Cyscek accélérait le rythme, baisant Maelie avec une force et une vigueur retrouvée. Il voulait la faire crier, qu'elle prenne du plaisir et que son autre esclave se sente frustrée mais surtout déçue d'avoir été inconvenante.

Regarde Cora, bientôt ce sera elle qui te donnera la leçon !

La main de l'esclavagiste s'abattit sur la fesse de Maelie pendant que le pal de chair fouillait en profondeur sa chatte humide et ruisselante. Pendant plusieurs minutes il la "maltraita" de la sorte, s'amusant à ressortir entièrement pour donner l'impression de vouloir gouter à la bouche de Cora, mais c'était dans la fente d'Anastasia qu'il revenait inlassablement. Ses mains puissantes enserraient la taille de cette dernière et se resserrèrent un peu plus quand le plaisir fondit sur lui. Il tenait le bassin de la belle pour l'empêcher de se sortir lorsque le foutre brûlant emplit sa fente. Un long gémissement trahit le plaisir qu'il avait et presque immédiatement il s'extirpa du fourreau pour arroser le postérieur rougi de Maelie. Sa chatte dégoulinait de la semence qu'il y avait déversé et des gouttes échouaient sur le visage impassible de Cora. Elle était tiraillée par ses sentiments mais ne souhaitait rien montrer. Les jets finissaient de se répandre sur le cul de la jeune esclave et Cyscek lui souleva la jambe afin d'obliger Cora à sortir de là dessous. D'une main, il désignait Maelie, toujours à quatre pattes et la croupe offerte.

Nettoie la maintenant.


Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 52 samedi 14 décembre 2013, 01:56:11

Anastasia ne s'attendait pas à ça ; elle pensait l'autre esclave bien plus calme et obéissante : or celle-ci sembla soudain perdre complètement son sang froid et arracha la verge aux attentions de sa jeune concurrente. Celle-ci lui jeta un regard interrogateur ; Cyscek, lui, ne semblait pas avoir apprécié l'initiative. Il indiqua sèchement à sa soumise de lâcher prise, ce qu'elle fit immédiatement. La jeune recrue ressentit un étrange malaise en se relevant. Elle ne regardait ni son maitre ni la brune, préférant fixer un pied du lit. Elle avait un peu honte, comme une enfant qui aurait tenté de faire du mal à sa camarade pour ensuite se sentir submergée par la honte lorsque, enfin, celle-ci aurait fondu en larmes. La jeune succube ne voulait blesser personne, au fond, elle voulait juste... Cyscek. Elle voulait qu'il la préfère entre toutes. Elle hocha la tête pour signifier à son maitre qu'elle avait bien compris la leçon qu'il entendait lui enseigner. Leçon qui, de toute manière, avait tendance à se répéter. Théoriquement parlant, il y avait bien peu à assimiler...

Cora fut jetée sur le lit et, pendant un instant, Anastasia crut que l'esclavagiste allait la battre. Son pouls s'emballa ; elle voulait s'interposer, mais elle n'osait rien dire, subjuguée par la violence et l'autorité de Cyscek. Non pas qu'elle eut simplement peur d'être frappée, mais toutes les paroles de désaccord qui pouvaint lui traverser l'esprit restaient naturellement bloquées au fond de sa gorge. Elle ne s'imaginait pas lui opposer le moindre refus, à quelque sujet que ce soit, aussi elle ne fit rien d'autre que lever un regard effrayé sur lui.

"Installe toi au dessus d'elle.
- Uh !"


Elle avait à nouveau hoché la tête, produisant une simple et discrète onomatopée d'approbation, comme une enfant empressée d'obéir à son professeur. Elle se mit à quatre pattes au dessus de sa compagne d'infortune, sur le buste de laquelle sa jupe noir et son tablier retombaient doucement. Le stress faisait battre son cœur, et elle regardait le marchand avec inquiétude tandis que celui-ci les contournait, les menaçant de son sexe dressé et nu. Et déglutit, et ses bras tremblaient un peu lorsque le mâle se plaça derrière elle, mais son bas ventre se délectait déjà, par anticipation, de ce qui allait suivre. Elle n'avait sûrement pas de raison d'avoir peur, après tout. Elle avait donné à l'esclavagiste ce qu'il attendait, et ce n'était certainement pas d'elle qu'il pourrait vouloir se venger...

L'épais membre écarta ses lèvres se fit un passage dans son intimité. La petite soupira de plaisir et cambra légèrement le dos pour ajuster sa position : c'était comme ça que le marchand voulait la voir, supposait-elle, mais elle n'avait pas vraiment à se forcer. Elle avait simplement à se laisser aller. Cela lui aurait presque paru naturel...  si seulement ses cuisses n'avaient pas été pas écartées au dessus du visage de sa rivale.

Cette dernière ne pouvait rien voir d'autre que les pénétrations sauvages que son maitre infligeait à la rousse... et comment détacher son regard d'un spectacle si désolant ? Le sexe de son maitre disparaissait et réapparaissait avec régularité dans les chairs d'Anastasia, et ses hanches se collaient et se décollaient du postérieur rebondi en claquant de manière obscène... ce claquement mis à part, Cora ne pouvait entendre que les halètement de la jeune fille et les grognements de son maitre. Ces deux là copulaient comme des animaux, sans la moindre retenue. La femelle surtout, était d'une indécence rare. Elle gémissait comme si elle n'aimait rien de mieux que sentir ses fesses frappées par les grandes mains du maitre. Ça n'était même plus des gémissement ; qu'était-ce ? Des râles agonisants ? Son entre-jambes ruisselait de son miel qui donnait à ses grosses lèvres un aspect luisant, comme pour démontrer la sincérité de ses vocalises.

L'humiliation et la jalousie étaient proches de tirer des larmes d'impuissance à Cora qui sentait pourtant sa respiration s'emballer... Le pénis de son maitre se retirait parfois pour approcher son visage, faisait briller d’espoir les yeux de la soumise... mais c'était toujours pour s'éloigner immédiatement, pour replonger dans la chatte béante de cette petite pute. Chaque bruit de claque était suivi d'un hurlement d'extase ; était-elle vraiment nouvelle ? Cora avait rarement vu des esclaves se soumettre avec autant d'enthousiasme à un tel traitement. Et son maitre semblait prendre tellement de plaisir, lui aussi... l'esclave délaissée se mordit la joue pour refouler ses émotions.

Cyscek respirait de plus en plus puissamment à mesure qu'il s'enfonçait à répétition dans les entrailles de la belle ; plus son excitation montait, plus il se montrait rustre, et plus sa victime semblait comblée... finalement, dans un râle, le mâle se déversa sur le pubis de son amante qui continuait à geindre de bonheur...

Mais la petite n'avait visiblement pas eu le temps de jouir : elle attendait en tremblant, cul tendu, poussant des demi-gémissements comme si elle suppliait qu'on l'achève. Cette petite salope avait complètement perdu son sang froid. Elle ne pensait plus qu'à une chose : l'extase qui guettait son corps. La brune connaissait elle même assez bien l'ivresse que pouvait ressentir son adversaire. Cyscek la lui avait faite sentir mainte et mainte fois... elle savait qu'il n'existait pas d'émotion plus étourdissante que celle qu'on pouvait ressentir en courbant l'échine devant un homme tel que leur maitre...

Sur l'ordre de celui-ci, Cora remonta son corps pour que son visage se trouve face au sexe souillé de la demoiselle. Elle posa les deux mains sur la croupe rendue rouge et brulante par les coups, son cœur frappant follement ses côtes. Elle pouvait sentir l'apprentie esclave vibrer entre ses doigts alors qu'elle approchait son visage pour superposer leurs lèvres. Anastasia eut comme un sursaut à ce contact, et Cora se sentit grisée par la sensation de pouvoir que lui donnait ce cunnilingus forcé. Elle passa plusieurs fois sa langue dans la fente de sa victime, récoltant avec soin ce que son maitre avait laissé ; ça n'était pas la première fois qu'elle goutait à sa semence, bien sûr, mais c'était la première fois que la saveur d'une femme s'y mêlait. La jeune femme frémissait sous ses coups de langue en couinant misérablement. Si elle le souhaitait, Cora aurait pu la faire jouir en quelques secondes... allait-elle s'y décider, d'ailleurs ? Son maitre n'avait rien précisé à ce sujet. Elle s'attarda sur les contours du sexe, s'assurant que ceux-ci soient impeccablement nettoyés... puis, n'y tenant plus, colla ses lèvres au clitoris turgescent et aspira ce dernier dans sa bouche. Anastasia réagit immédiatement : elle se tordait comme un vers en gémissant son plaisir. Cora résista à l'envie soudaine de planter les ongles dans sa chair et de la mordre jusqu'à l'excision... elle la faisait hurler, cette garce, mais ça n'était pas assez. Une partie d'elle voulait l'entendre pleurer, la rabaisser plus bas encore. Elle se retenait, à grand peine, car son maitre ne pardonnerait pas une nouvelle insubordination, et se contentait de sucer toujours plus fort le bout de chair par lequel elle dominait.

Elle quelques secondes, la succube explosa ; s'en était trop, elle en avait presque mal, cette succion était bien trop intense pour être supportable. Le plaisir lui venait par décharge et elle se convulsait, resserrant les doigts et les cuisses dans un sursaut incontrôlé ; il fallait que son plaisir se calme, qu'il retire son aiguille... Son orgasme l'avait jetée sur le flan, ses deux mains agrippant la robe de de Cora. Ses côtes se soulevaient à un rythme effréné mais décroissant tandis qu'elle retrouvait ses esprits.

Elle rouvrit les yeux et regarda autour d'elle. Quelque chose clochait... la douce torpeur qui la prenait de manière irrésistible après chaque orgasme ne venait pas ; au contraire, à mesure qu'elle se calmait, elle reprenait conscience d'elle même et de son environnement. Comme si elle venait de se réveiller dans un endroit inconnu, elle pivota la tête de droite à gauche pour regarder autour d'elle en battant des cils. Elle ne perdait pas conscience, vraiment.

"Qu'est-ce que... pourquoi ?..."

Bonne question. Et pendant qu'elle se la posait, une langue suave parcourait ses fesses, terminant de nettoyer les projections de sperme que Cyscek avait laissées.

Cyscek

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 53 lundi 16 décembre 2013, 15:01:00

La sensation était toujours aussi plaisante. Forcément, on parle là d'un orgasme, et Cyscek l'avait vécu avec une intensité rare. Etait-ce la présence des deux femmes qui l'avait rendu si sensible ? En tout cas, il avait bien arrosé les formes de Maelie, comme un objet que l'on marque de sa possession. Cora, bien loin de pouvoir s'opposer à lui, opina du chef pour accomplir la tâche donnée par le maître. Elle s'y appliquait avec une verve qui ne trompait pas : elle souhaitait regagner les faveurs de l'homme et ne pas tomber de son piedestal. Elle était prête à tout pour ne pas en arriver là. La main de Cyscek vint caresser la tête de Cora alors qu'elle nettoyait les fesses de Maelie. Chaque coup de langue était agrémenté d'un regard salace à l'encontre du maître. Elle avait peut-être fauté, mais elle pouvait se racheter, voilà tout ce qu'elle laissait transparaître dans ses gestes.

La nouvelle esclave gémissait à mesure que la langue glissait sur elle, titillant avec un peu trop d'ardeur la fente d'où s'écoulait cyprine et sperme mêlés. Pendant un cours instant, Cyscek songea à stopper Cora dans son mouvement. Faire jouir Maelie allait la plonger dans la torpeur, et il voulait la garder éveiller pour l'instant. Seulement l'entrain de Cora était communicatif, et il restait muet alors que les lèvres pulpeuses de l'esclave suscotaient le clitoris si sensible. A ce rythme, elle ne tarderait pas à exploser.
Bien plus rapide qu'escompté, l'orgasme emporta Maelie. C'était peut-être un bien, il allait pouvoir châtier Cora pendant que Maelie se reposerait, et il reprendrait la formation de cette dernière une fois qu'elle se réveillerait. Pourtant elle ne voulait pas s'affaisser comme auparavant. Les soubresauts et les gémissements ne pouvaient pas être faux, elle avait bien joui, et elle était encore consciente. Il ne fallut pas plus de trois secondes à Cyscek pour comprendre d'où venait ce résultat : le collier. S'il avait des doutes sur l'efficacité de ce dernier, ils étaient à présents effacés.

Cora se redressait, son oeuvre terminée. Du sperme luisait sur ses lèvres, et elle arborait un sourire satisfait. Cette petite pimbêche pouvait bien plaire à Cyscek, elle n'en restait pas moins devant. Avec une expression soumise, elle lorgnait le membre de l'homme dans une requête silencieuse. Ce dernier y accéda d'un léger hochement de tête et Cora se pencha afin de nettoyer également le membre poisseux. Dans des bruits de suscion obscènes, elle suçait le dard avec une ferveur qui laissait penser qu'elle voulait le faire jouir à nouveau, pas simplement ôter la semence déjà éparpillée. Dans la bouche gourmande, la queue palpitait, désireuse de rester pleine de vigueur autant qu'il le pourrait.

Tu n'apprécies pas mon cadeau ?

Si Maelie n'avait pas saisi l'allusion, Cyscek l'y aida en avançant une main pour effleurer le collier qui ceignait son cou. Elle devait être loin de se douter des capacités de l'objet. On trouvait de tout, quand on savait où chercher et y mettre le prix. Des potions changeant les formes d'une femme, un bracelet la rendant plus sensible, ou bien encore totalement obnubilée par le plaisir et l'envie d'en donner ... Ces objets étaient rares et chers, et Cyscek en possédait très peu, mais ce collier rendait un fier service quand on voyait le résultat.
D'une main, il fit stopper Cora qui s'enhardissait le long de sa tige. La faisant reculer, il la redressa, la gratifiant d'un baiser langoureux avant de la délaisser à nouveau et de s'installer devant Maelie.

Ce collier a quelques vertus, comme celle de bloquer la magie émanant d'une femme. Je n'étais pas sûr de son fonctionnement, mais il semblerait qu'il soit valide.

Il laissait à la jeune femme le temps de digérer l'information et de se l'approprier. Cora était venue s'installer à côté de Maelie, dardant sur la nouvelle esclave un sourire satisfait. L'annonce de ce collier, c'était une aubaine ! Il n'avait aucune confiance envers la petite, et il ne risquait pas de l'avoir avant un petit moment, Cora s'en assurerait. Il serait assez simple de manipuler Maelie afin de la garder sous la méfiance de l'esclavagiste. Mais pour l'heure, Cyscek fit un signe de main à l'intention de Cora, afin de la congédier.

Va préparer un bain, ainsi qu'une tenue propre.

Il allait de soi que tout ceci était pour Maelie. De bonne grâce, Cora se redressa afin de sortir de la pièce, en profitant pour dandiner et ainsi donner envie à l'esclavagiste. Elle ne se retourna qu'une fois à la porte, pour répondre d'un ton suave.

Il en sera fait selon votre désir maître, je viendrai vous chercher lorsque tout sera prêt.

Dans l'intervalle, Maelie essuya un regard condescendant de la part de l'esclave avisée. Puis la porte se referma sur elle, laissant seuls l'esclave et son nouveau maître. Cela devait lui faire bizarre d'être encore alerte et éveillée malgré l'orgasme passé juste auparavant. Tapottant sa jambe, Cyscek l'invitait à approcher de lui, bien moins autoritaire qu'avant, et surtout avec moins de sexualité dans ses mouvements.

Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 54 mercredi 18 décembre 2013, 22:31:28

"Tu n'apprécies pas mon cadeau ?"

Les doigts de l'esclavagiste vinrent caresser le collier en fer de la captive. Celle-ci resta bouche bée... elle avait un peu de mal à croire que ce collier ait pu influer sur la manière dont son corps fonctionnait depuis toujours. Ce qui arrivait n'était juste pas naturel. Aussi peu naturel que de s'enfoncer une aiguille sous l'ongle sans ressentir aucune douleur. Comment ce bout de métal aurait pu ? ... ça n'était pas possible...

"Ce collier a quelques vertus, comme celle de bloquer la magie émanant d'une femme. Je n'étais pas sûr de son fonctionnement, mais il semblerait qu'il soit valide."


Un frisson glacé parcourut la nuque de la jeune femme. Elle essaya de rester stoïque, comme si l'information était bénigne. Elle n'était pas censée avoir encore l'intention de fuir de toute manière. Elle devait faire semblant. Faire comme si cela ne changeait en rien ses plans.

"Ah..."


Le ton se voulait neutre et désinvolte, mais la gorge de la jeune fille était nouée par un désespoir grandissant, ce qui était clairement perceptible dans son timbre. Sa seul chance partie en fumée... elle ne pourrait jamais se téléporter au loin. Elle ne pourrait jamais s'enfuir... elle était soudain prise de vertige, si bien qu'elle entendait à peine ce qui se disait à propos du bain. Elle porta ses doigts au collier pour le tripoter, comme si elle cherchait à s'assurer de sa réalité. Bloquée ici... elle allait devenir une esclave. Elle entendit la porte s'ouvrir puis se fermer : elle était maintenant seule avec Cyscek. Celui-ci lui faisait signe d'approcher. Elle obéit avec lenteur, tête baissée. Elle sentait les larmes lui monter aux yeux, déjà. Mais elle ne devait pas pleurer, pas maintenant. Si il restait un quelconque espoir de berner le marchand, elle devait tenir... elle ne devait pas céder à ses larmes.

Elle s'assit à côté de l'esclavagiste, regardant ses pieds, une boule dans la gorge : elle s'était assise tout près de lui, comme il le lui avait indiqué... elle déglutit en battant des paupières pour chasser l'humidité de ses yeux. Son obstination à garder le silence et le nez vers le sol étaient de toute façon des aveux en eux même. Un idiot aurait pu s'apercevoir que l'annonce de la nature du collier l'avait heurtée. Et Cyscek n'était pas stupide... et comment aurait-il pu penser qu'elle avait déjà abandonné l'idée de lui échapper ? Personne ne pouvait se résigner aussi vite. Surtout avec une chance de s'éclipser aussi tangible qu'un pouvoir de téléportation. Il se doutait certainement de la supercherie depuis le début.

Résignée, elle renifla pour empêcher son nez de couler. Une larme venait de tracer un ruisseau sur sa joue gauche quand elle releva le visage vers son maitre pour lui parler d'un voix chevrotante ;

"Je suis désolée... je n'ai jamais voulu être votre exclave."

Elle laissa à nouveau tomber sa tête devant elle ; elle se serait volontiers reposée sur l'épaule de l'esclavagiste si elle avait osé. Après tout, ils étaient seuls et il semblait s'être adouci... et quelle autre source de réconfort aurait-elle bien pu trouver ici ? Elle n'avait plus assez de fierté pour le considérer comme son ennemi juré, et les aveux qu'elle venait de lui faire étaient dénués de toute arrière-pensée. Elle rendait les armes... il n'y avait plus rien à faire.

Cyscek

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 55 mercredi 08 janvier 2014, 15:24:13

Fidèle à elle même ... C'est ce que pensait l'esclavagiste alors que Maelie sanglotait. Ce n'était pas la première fois qu'elle pleurait et prenait un air implorante, et probablement pas la dernière non plus. Tentait-elle de le ramollir ? Si elle croyait qu'il allait s'apitoyer sur son sort, elle se fourvoyait lourdement. La main calleuse de Cyscek se saisit de la tête de la jeune esclave, pour la forcer à poser la joue contre sa cuisse. D'un geste simple, il effaca la larme et le sillon humide qu'elle avait laissé sur la joue à l'aide de son pouce. Puis il caressa la joue lentement, gardant sous sa main la tête de Maelie.

Tu peux penser ce que tu veux. Le destin t'a mené ici. Comptes-tu t'apitoyer sur toi même longtemps ? La seule que tu affectes c'est toi même. Acceptes ta condition et vis heureuse, tu te sentiras bien mieux.

Le pouce continuait à dessiner des arabesques au hasard sur la peau douce de Maelie. Il aurait pu passer un long moment ainsi à la caliner, si cela avait une quelconque chance de la faire céder. Seulement, les évènements n'allaient pas dans ce sens. En même temps, il en était la cause puisque ce fut Cora qui rompit ce moment en revenant après avoir toquer, pour annoncer que le bain était prêt. Se levant, Cyscek passa sa main sous le bras de Maelie afin de lui intimer de se relever elle aussi. Il la tenait, mélange de fermeté et de douceur, pour la faire avancer dans la chambre. A la porte, l'autre esclave attendait, l'air fière et sûre d'elle. Elle provoquait clairement Maelie pour montrer qu'elle était forte et de ce fait plus à même d'être appréciée. Pourtant à la porte, Cyscek fit un signe à l'intention de Cora.

Tu peux rester dans ta chambre, je viendrai te chercher lorsque j'aurai besoin de toi, merci.

Dégoulinante d'obéissance, Cora opina de la tête en lachant un "oui Maître" des plus soumis. Sur ces mots, Cyscek referma la porte pour laisser l'esclave dans sa chambre, entrainant Maelie dans le couloir. Il savait où il voulait aller, pas besoin d'avoir Cora dans les pattes tout le temps. Il n'était pas dupe et avait vu le petit jeu des deux esclaves. Même si Maelie ne l'avouerait jamais, elles se sentaient en concurrence. Il ne souhaitait pas les voir se crêper le chignon sans arrêt : cela formerait la nouvelle esclave certes, mais il n'avait pas besoin d'assister à ça. A trois portes de là, un peu de vapeur s'échappait de la porte entrouverte. En la poussant, Cyscek dévoilait une pièce assez sobre, où tronait en son centre un baquet assez grand rempli d'eau chaude fumante. Un savon sur le bord, des serviettes, et sur un petit plan de travail une tenue qui devait être surement courte vu le peu de tissu présent. Cora n'avait pas choisi au hasard, et avait dû capter la gêne de Maelie quand à sa tenue. Il lâcha l'esclave, refermant la porte derrière lui pour ne pas laisser s'échapper la vapeur. Il faisait chaud dans la pièce, et la buée envahissait partiellement l'air.

Délaissant pour le moment Maelie, il entreprit de se défaire de ses vêtements. Ce fut vite fait, les pièces de vêtement tombant une par une au sol jusqu'à ce que l'esclavagiste se retrouve nu à côté du baquet. Il ne se cachait pas. Après tout, ça aurait été un comble que d'être gêné par sa nudité après ce qu'ils avaient déjà partagé. Enjambant le bord de la baignoire, il y entrait avant de s'y allonger, épousant le fond du baquet. Un soupir de bien être transperça ses lippes, et il s'autorisa même à fermer les yeux pendant un instant. Enfin il tourna sa tête vers Maelie, avec un sourire avenant.

Déshabille toi et rejoins moi, tu dois te laver. Et puis tu vas me montrer que tu veux rester à mon service.

L'eau s'agitait un peu. Le bras de Cyscek bougeait, ne laissant que l'imaginaire pour deviner ce qu'il faisait sous l'eau. Pourtant après quelques secondes, le gland du membre imposant apparaissait à la surface de l'eau. Il bandait et pas qu'un peu, lorgnant toujours la demoiselle. Il était patiente, car il savait qu'elle viendrait. Dans la situation, elle pouvait toujours courir, tenter de fuir. Dans le bain, il mettrait surement de longues secondes à se lancer à sa poursuite. Mais pour aller où ? Elle n'avait probablement aucune idée d'où elle était dans la demeure. C'était quitte ou double, mais la menace d'une punition si elle se faisait attraper au lieu de s'enfuir devait lui donner de quoi réfléchir.

Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 56 mardi 14 janvier 2014, 13:21:39

Comme vidée de toute volonté, Anastasia laissa son visage s'écraser sur la cuisse de Cyscek. La chaleur de la paume de se dernier recouvrait la tête de la petite ; elle se laissa un peu bercer par l'illusoire sentiment de sécurité qu'il lui prodiguait soudainement. C'était un peu grotesque, mais elle aurait voulu qu'il la prenne carrément dans ses bras. Elle avait envie de ... pleurer. Pleurer encore plus. Et à peine avait-il passé son pouce sur sa joue qu'elle se mettait à sangloter de plus belle, faisant ruisseler ses larmes en travers de son visage oblique, inondant ses paupière à demi closes, son nez, sa joue, sa tempe, et enfin la cuisse de son bienfaiteur. Elle pleurait, sans s'arrêter, même si elle n'était plus sûre de la raison pour laquelle elle ne pouvait s'en empêcher : il fallut une bonne minute pour que les spasmes qui agitaient ses épaules ne disparaissent, et qu'elle se calme.

A peine ses sanglots étaient-ils taris que Cora faisait à nouveau irruption, interrompant ce moment d'intimité plus qu'étrange. La poigne de l'esclavagiste fit se relever la geignarde - qui ne résista point - et l'entraina hors de la pièce, dont elle sortit la tête baissée, dans un vain espoir de cacher son visage larmoyant à sa rivale. Celle-ci devait être ravie de la voir dans cet état... mais tant pis. Une fois le seuil de la porte franchi, Anastasia ne s'en souciait déjà plus.

Entrant dans la salle d'eau, elle scruta les alentours sans grand enthousiasme. Son énergie s'était envolée, essorée avec ses larmes. Son nouveau vêtement serait plus court que le précédent ? Soit. Une chose l'agaça cependant : voir que Cyscek ne quittait pas l'endroit, et se déshabillait même pour se laver lui aussi. Elle avait espéré un moment de répit : pour elle un bain était synonyme de calme, d'isolement du monde extérieur... mais non, pas cette fois. Elle hésita à se déshabiller, du coup, jusqu'à ce qu'il lui en donne l'ordre... après quoi elle n'en eut plus vraiment le choix. De profil, à quelques mètres de Cyscek, elle se dévêtit sans empressement, puis s'approcha du bac, résistant à la tentation de cacher ses parties intimes avec les bras. Être ainsi observée à distance, dans un contexte dépouillé de la moindre mise en scène érotisante, était tout simplement... gênant.

Elle enjamba le rebord du bac dans lequel elle s'accroupit ; l'eau lui arrivait jusqu'au nombril, et réchauffait délicieusement le bas de son corps : ses pieds, surtout, qui étaient nus depuis qu'elle avait quitté sa chambre. Elle se serait bien prélassée, elle aussi, mais elle avait un maitre à servir. Et il attendait, la queue pointant telle un gyroscope de chair. Déjà ? releva-t-elle. Il a jouit il y a cinq minutes à peine.... Elle songea à s'attaquer directement aux sexe du marchand, puis se ravisa : il n'avait rien précisé explicitement sur ses envies, et elle répugnait à se jeter directement dans le vif du sujet. Et la sensualité, dans tout ça ? Ça n'était pas en se conduisant ainsi qu'elle deviendrait sa favorite... mais pourquoi devenir sa favorite, au fait ? Est-ce que cela avait encore une chance de servir ses intérêt ? Bah. Elle n'en savait rien. Elle n'arrivait plus  à calculer, à anticiper. Une sorte de brume avait enveloppé ses pensées... le monde extérieur, la passé, le futur... tout ça semblait bien flou. Elle ne distinguait plus grand chose d'autre que le moment présent, étrange et absurde.

Lui laver le torse. Oui, ça c'était une bonne idée : elle attrapa le savon et le fit mousser abondamment en entre ses mains, puis s'approcha du mâle en pleine saillie : seuls ses épaules dépassaient de l'eau, c'était donc là sa cible. A genoux, elle enjamba une cuisse de Cyscek, au dessus de laquelle elle finit à califourchon. La dureté de celle-ci entrait en contact avec la douceur des siennes. Elle sentait son cœur accélérer à mesure qu'elle se rapprochait, sans avoir si la peur ou l'envie en étaient la cause. Finalement elle posa ses doigts savonneux sur les trapèzes du mâle et commença à les faire glisser jusqu'au épaules, puis effectua des va et vient de plus en plus appuyés, massant toute la surface disponible avec application. Ses yeux, jusqu'à présent tournés vers l'objet de la tâche, remontèrent vers ceux de Cyscek, timidement. Quelle que soit l'expression qu'elle put y trouver, elle se détourna presque aussitôt, les paupière battantes, pour revenir, puis repartir encore. Son visage, qui avait repris une teinte normal, rougissait à nouveau ( certainement à cause de la température de l'eau ). Elle voulait lui sourire, elle se dégonfla. Elle tenta de rester neutre, elle ne pouvait pas. Elle pinça les lèvres, de toutes ses forces, et déglutit.

Elle persévérera dans son œuvre, s'occupant de tout ce que Cyscek décidera de faire émerger, reprenant du savon à foison si nécessaire, à moins qu'il ne l'arrête explicitement.


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