Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

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Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 15 lundi 07 octobre 2013, 08:19:52

Quand elle jouissait, donc. Il réfléchit un instant à cet état de fait. Parviendrait-il à la faire craquer ? Peut-être, il espérait en tout cas. Elle n'avait pas l'air frigide, loin de là, alors ça devait être possible. Pendant qu'elle posait ses mains sur son torse, il savait déjà qu'il avait "gagné". Il allait pouvoir profiter d'elle ce soir, mais dorénavant il y avait autre chose qui l'intéressait : le pouvoir qu'elle avait ainsi que son corps pouvait valoir cher, mais pour ça, il fallait la capturer.

Vous serez gagnante aussi ...

Il lui répondit avec un sourire malicieux. Pinçant les lèvres, il écouta les réponses proposées par la jeune femme, tout en faisant non de la tête. Tout ceci était plausible, mais elle était loin du compte. Tant pis pour elle !

Non, non et non. Vous vous êtes trompée ...

Elle était en train d'ouvrir la porte de la chambre, et il avisa les lieux d'un simple coup d'oeil. Les chambres de ces auberges se ressemblaient toutes, à quelques variantes près. Son regard redescendit sur Anastasia alors qu'elle lui parlait et caressait son torse. Elle avait donné l'impression d'une fille timide et peu encline à la bagatelle, mais maintenant c'était tout le contraire.

Oh oui, tu vas tous les réaliser, et tu en auras jusqu'au matin pour ça.

Les mains puissantes de l'homme s'emparèrent de la jeune femme pour l'enlacer, et il l'embrassa avec fougue. En se collant ainsi à elle, elle pouvait sentir le chibre dur de l'esclavagiste contre son pubis et son ventre. Le baiser dura quelques secondes, puis il le rompit, repoussant la demoiselle vers le lit.

Fais toi un peu plus sexy !

La tenue de la jeune femme était pour le moins austère, c'est de ça qu'il parlait. Après avoir donné cet ordre, il se détournait pour revenir à la porte et la fermer, à clé. Simple précaution pour ne pas être dérangé, car il ne la voyait pas fuir d'ici. Il déposa sa besace au pied du lit tout en jetant des coups d'oeil appuyés à la demoiselle pendant qu'il ôtait lui meme sa cape pour la jeter sur la chaise.

Tu es donc prête à obéir au moindre de mes désirs ? Allonge toi ici, et met ta tête là.

De la main, il désigna le lit, pour qu'elle se retrouve avec la tête sur le bord, pendante dans le vide. Durant ce temps là, il défaisait la boucle de sa ceinture, ne laissant pas trop de doute quand à ce qui attendait Anastasia. Sous le pantalon, il portait un caleçon dont le tissu épousait la forme du membre qu'il cachait. Vu sa grosseur, elle allait le sentir passer. Avait-elle eu tort de s'offrir totalement à lui ?

Maelie

Humain(e)

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 16 lundi 07 octobre 2013, 10:54:34

Il posa ses grandes mains sur elle et attira son corps avec force avant de l'embrasser avec passion. Elle se laissa totalement aller, le menton levé vers sont conquérant, les lèvres offertes à ses assauts. Il la collait contre lui avec force, et le contact de leurs hanches laissait percevoir à Anastasia la traduction physiologique du désir qui habitait Cyscek : il bandait, largement, puissamment. La jeune femme quand à elle, laissait de temps à autre échapper un petit couinement de plaisir, à peine audible, du fond de sa gorge. Sa propre excitation la submergeait, et elle s'y abandonnait, suffocant de désir dans l'étreinte où elle était piégée. Ses mains, sous le vêtements, caressaient le dos du mâle, le provocant de temps à autre de leurs ongles, tandis que de sa cuisse légèrement remontée, la succube se frottait impudiquement à son homme.

Soudain, il rompit leur embrassade et la repoussa vers le lit :

"Fais toi un peu plus sexy !"

Elle faillit tomber, et rétablit son équilibre à grand peine ; elle était fin bourrée. Elle avait cru que la phase de jeu était terminée et s'attendait à être prise sauvagement... visiblement pas tout à fait. Le contact de son futur amant lui manquait déjà, et son corps l'appelait comme un affamé appelle la nourriture. Il lui lançait des regards en coin tandis qu'il se déshabillait, quelque peu intimant... ; c'était donc un strip tease qu'il voulait ? Il était vrai qu'elle ne ressemblait pas à grand chose à ce moment précis. Elle s'en voulu un peu : son armoire regorgeait de vêtements qui savaient la mettre en valeur...

Elle lui lança une moue joueuse et lui tira la langue, comme une enfant dans la cour de récrée. Pourquoi ? Euuuh... qu'importe. Elle laissa tomber son manteau sur le sol, puis d'un geste ample fit passer son pull au dessus de sa tête : son haut noir à manche longue épousait la forme de son corps et laissait apparaitre des formes scandaleusement féminine. Écrasant son talon gauche du bout du pied droit, elle se débarrassa d'une botte, puis fit de même avec la seconde, sans quitter son spectateur des yeux. Elle tentait de capter son attention, parce ses sourires aguicheurs et ses poses indécentes... elle se mit à rouler des hanches comme une allumeuse de bas étage, se présentant sous toutes les coutures, tandis qu'elle débouclait sa ceinture et faisait lentement glisser son pantalon, découvrant ses hanches arrondies, qui accentuaient la finesse de sa taille, puis ses cuisses à la peau douce et claire, qui semblaient réclamer d'être touchées, et enfin... ses longues chaussettes noires.

Elle se laissa tomber à genoux au sol et se pencha en arrière de manière obscène, les cuisses légèrement écartées avant de remonter son haut avec une lenteur calculée, offrant à la vue son ventre lisse à l'aspect tendre, puis ses deux seins rebondis aux extrémités gonflées, avant enfin de libérer ses bras et de se retrouver en sous-vêtement, le corps cambré en arrière, comme donné en offrande. Elle éprouvait un étrange bien-être à se donner ainsi en spectacle devant lui. Elle savait qu'il la voulait, mais elle aimait jouer ainsi avec le feu, lui montrer jusqu'où elle pouvait aller pour lui montrer qu'elle lui appartenait...

D'un geste "furtif" de la main droite dans son dos, elle ôta ses grandes et disgracieuses chaussettes.

"Tu es donc prête à obéir au moindre de mes désirs ? Allonge toi ici, et met ta tête là."

Elle le regarda se débarrasser de son pantalon, sans quitter sa position, hésitante. Lui défaisait sa ceinture, et lorsque son pantalon tomba au sol, elle put deviner un membre imposant... qui s'accordait bien avec le reste de son anatomie qui irradiait la masculinité. Elle en avait déjà eu un avant-goût à l'extérieur, et l'envie d'y reposer ses doigts la prit un instant. Mais ce qu'elle désirait le plus à vrai dire, c'était de sentir ces deux mains d'homme caresser son corps.

"Vous ne préférez pas... enlever ça vous même ?"

Elle désigna du regard les deux dernières pièces de tissu qui couvraient encore son corps. Son visage, sa gorge et le haut de sa poitrine étaient rouges d'excitation, et elle le fixait, presque suppliante, la bouche entrouverte. Elle ne riait plus à présent : son envie se changeait peu à peu en besoin pressant et son sens de l'humour venait de périr, noyé sous le flot de ses hormones.

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 17 lundi 07 octobre 2013, 12:36:39

Sans un mot, Cyscek observait le strip tease que lui offrait la jeune femme. Il ne lui avait rien imposé, mais ce choix lui paraissait le bon. Elle savait y faire, et voir ses courbes se dénuder petit à petit attisait son excitation. Il bandait d'ailleurs d'autant plus fort à chaque poses qu'elle prenait pour lui plaire. A la simple lueur du feu dans la cheminée, elle était magnifique.

Il se rapprocha un peu plus du lit alors qu'elle lui parlait. Lui ôter ses vêtements ? Il ne disait pas non, mais ... Il devait affirmer sa position, et lui montrer que lorsqu'il voulait quelque chose, il était prêt à tout pour ça. Saisissant le poignet de la jeune femme, il l'attira vers lui pour la déséquilibrer. Ses mains fortes manipulèrent la femme comme un pantin, la retournant sur le lit pour la mettre dans la position qu'il lui avait explicitement demandé.

Tu sais ce que je fais à celles qui désobéissent ?

En fait, il n'attendait pas vraiment de réponse de sa part. Son pouce se glissa sous son caleçon et il l'abaissa. De part sa position, Anastasia avait du coup une vision imprenable sur le membre dur de l'homme, tendu au dessus de son visage. Il portait alors ses mains aux joues de la demoiselle, l'obligeant à renverser la tête. Le gland venait contre les lèvres, pour la forcer à ouvrir la bouche. A peine eut-elle ouvert, il donna un coup de bassin brutal, sa queue fouillant la bouche et l'entrée de la gorge de la jeune femme. A la fin de son mouvement, ses couilles vinrent frapper le visage d'Anastasia, et il relâcha un soupir de plaisir.

Tu es à moi, et je fais ce que je veux quand bon me semble.

Ses mains remontaient sur le corps de sa captive, pour se refermer sur son soutien gorge. D'un geste rapide, il tira sur le tissu, déchirant le vêtement en son milieu pour libérer la poitrine de la jeune femme. Durant tout ce temps, son bassin bougeait d'avant en arrière. Il baisait littéralement la bouche d'Anastasia, et lui malaxait les seins à présent.

Pendant de longues secondes il continua à la prendre de la sorte, ne se gênant pas pour enfoncer son membre au plus profond de sa gorge. Puis, aussi vite qu'il était entré, il ressortit de là, la queue luisante de salive se reposant contre le visage tout sauf innocent de la jeune femme.

Vas tu obéir maintenant ?

Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 18 lundi 07 octobre 2013, 17:01:22

Il la saisit au poignet et la déséquilibra : il n'avait pas eu à déployer tant de force que ça, docile et ivre comme elle l'était. Et puis, qu'il la touche, c'était tout ce qu'elle voulait. Se faire manipuler par ses bras puissants, être mise sur le dos de force... tout ça la comblait, elle s'y pliait volontiers. Elle émit un petit gloussement alors qu'il la plaquait sur le matelas, la tête hors du lit... elle avait une petite idée de ce à quoi tout ça allait mener...

"Tu sais ce que je fais à celles qui désobéissent ?"

Elle eut soudain une légère appréhension ; est-ce qu'elle l'avait offensé ? Elle pensait pourtant bien faire, elle avait surtout cherché à lui plaire...

"D...Désolée..."

Le mâle venait de libérer son sexe, qui lui n'avait pas l'air contrarié et se dressait fièrement. D'en dessous, il paraissait énorme... le marchand colla son gland contre le lèvres de Maelie, qui ne se fit pas prier : elle ouvrit la bouche et tira légèrement la langue pour caresser ce bout de chair sensible, pressée de se faire pardonner son écart de conduite... quand la verge s'introduisit entièrement en elle, tapant le fond de sa gorge, lui arrachant un spasme nauséeux... elle essaya de se détendre, ajusta sa position, pour garder l'imposante verge dans sa bouche...

"Tu es à moi, et je fais ce que je veux quand bon me semble."


Et il se mit à ramoner brutalement sa cavité, s'enfonçant sans pitié dans sa gorge, lui tirant les larmes ; entre deux insertions brouillonnes, lorsqu'il se retirait pour replonger, elle toussait parfois, bavait abondamment, mais malgré tout s'appliquait comme elle pouvait pour ne pas le décevoir... Cyscek arracha littéralement son soutien gorge et se mit à presser délicieusement ses seins. Des qu'elle avait un peu d'air, elle gémissait de plaisir pour l'encourager dans ses palpations et lui signifier qu'elle était en son pouvoir : elle acceptait l'autorité du marchand, et la punition qu'il lui infligeait.

Au fur et à mesures que l'organe turgescent remuait en elle, elle s'habituait à son passage et parvenait à le garder fiché profondément dans sa bouche, sans ressentir l'envie de renvoyer son déjeuner. Elle éprouvait même un certain plaisir à être ainsi châtiée... elle se laissa bientôt totalement emporter par le plaisir qu'elle ressentait à satisfaire son nouveau maitre, tandis qu'il la récompensait en lui pétrissant la poitrine.

Lorsqu'il se retira, elle était heureuse. Heureuse d'avoir su accepter son sexe en elle tout le temps qu'il l'avait souhaité, et qu'il y ait pris autant de plaisir ( du moins si on en croyait sa respiration rauque ). Elle comprenait maintenant à qui elle avait à faire : un homme face auquel on obéit. Et une partie d'elle même rêvait de se soumettre entièrement à lui. Elle passa une main au dessus de sa tête et attrapa le pénis de son amant, qu'elle abaissa à la hauteur de son visage pour en lécher la verge par dessous avec une expression de dévotion, oubliant tout amour propre, comme pour le remercier de l'avoir traitée en objet.

"Vas tu obéir maintenant ?
- Oui... je ferais tout ce que vous voudrez... faites moi tout ce que vous voudrez..."

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 19 mardi 08 octobre 2013, 08:27:39

Le jeune homme souriait et appréciait la façon dont il la traitait. Ce qui le rendait encore plus excité, c'est qu'elle semblait adorer cela elle aussi. Lorsqu'il la laissa respirer, pour lui poser la question, il fut agréablement surpris de la voir prendre son membre afin de le lécher. Le sexe réagit par des afflux de sang, se tendant à son maximum sous ces coups de langue.

Il la laissa continuer un instant, lui palpant toujours les seins de la belle, avant de les délaisser. Son bras tendu désigna le mur à côté du lit.

Installe toi là ...

Cyscek lui offrit un sourire complice alors qu'il l'observait pendant qu'elle allait se mettre en position, face au mur et le bassin légèrement penchée. Cela faisait ressortir sa croupe, elle avait visiblement bien deviné ce qu'il voulait. Il vint se coller à elle, son membre dur et luisant de salive se plaçant le long de sa raie. Repassant ses mains au devant du corps d'Anastasia, il se saisit de ses seins à nouveau avant de lui murmurer à l'oreille.

Dis moi tes fantasmes ...

Alors qu'il prononçait ces mots, il frottait son bassin contre celui de la jeune femme, son sexe turgescent mimant une pénétration contre ses fesses encore cachées. Lentement il s'accroupit, les mains suivirent le mouvement pour rejoindre les hanches de la demoiselle et attraper les bords du sous vêtement, pour l'entrainer vers le bas et la dénuder totalement. Remontant sa tête, il la fourra sans gêne entre les cuisses de la belle, sa langue venant goûter la vulve offerte : il léchait les lèvres sensibles, cherchant le clitoris afin de le titiller lui aussi. Dans le même temps, ses mains s'étaient mises à caresser les fesses rebondies. Il léchait de plus en plus vite, puis se redressa d'un coup, venant glisser sa queue entre les jambes à peine écartées pour caler son gland contre la fente de la jeune femme. Collé à elle, il ne manquait pas grand chose pour qu'il la pénètre.

Vas y, empale toi.

Il murmura ces mots à l'oreille d'Anastasia, sans douter l'ombre d'une seconde qu'elle puisse désobéir. Non, elle attendait probablement ça depuis le début.

Maelie

Humain(e)

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 20 mardi 08 octobre 2013, 16:15:41

Elle se positionna comme il lui avait ordonné, vibrant d'impatience. Par desus son épaule elle lui lançait des regards plein d'amour et de dévotion, jusqu'à ce qu'il vienne se coller à elle, son bassin et son sexe frottant contre son arrière-train à elle.

"Dis moi tes fantasmes ..."

Elle pouvait à nouveau sentir son souffle sur elle, derrière son oreille, sur sa nuque... elle laissa échapper un grognement extatique en se tortillant de plaisir. Elle aurait voulu qu'il reste là, tout près, doux comme l'était à l'instant... mais il s'éloigna à nouveau pour abaisser sa culotte. Elle fut presque honteuse lorsqu'elle sentit, alors qu'il quittait son entre-jambe, à quel point le tissu était moite. Tout comme elle restait à la fois un peu gênée et excitée d'exposer son intimité de manière aussi crue... Ces sentiment furent bien vite chassés.

La bouche de Cyscek vint dévorer son entrée, lui arrachant un cri de surprise : puis elle soupira sous ses coups de langue qui s'approchaient de plus en plus de sa zone sensible, finissant par en prendre possession, la faisant haleter de bonheur.

Entre temps, elle avait vaguement passé en revue ses fantasmes : elle en avait à la pelle, surtout depuis qu'elle avait débarqué sur Terra. Elle baignait dans un monde fantastique où elle devait sans cesse retenir ses pulsions et où tout stimulait l'imagination... elle écarta d'emblée les fantasmes qui ressemblaient à des rêves de jeune fille : "être sauvée d'un dragon par un chevalier ( qui lui faisait ensuite l'amour alors qu'elle était encore enchainée à son rocher comme offrande pour la bête )", ça n'était certainement pas le genre de récit qu'attendait le marchand, à cet instant. D'autant que, comparé à la situation actuelle, cette fantaisie semblait presque chaste. A vrai dire, une idée qui l'obsédait depuis plusieurs semaines s'était tout de suite imposée à elle, mais elle ignorait si elle oserait lui en faire la confidence...

C'était une énième réécriture de la même rêverie, qui l'obsédait depuis le début de sa puberté. Être mise, contre sa volonté, au service d'un homme puissant, qui se distrairait en lui faisant subir les pires sévices et la récompenserait lorsqu'elle se comporterait bien. Cet homme avait récemment pris le visage du Seigneur Kraftenpurmf, à l'allure et aux manières bien plus élégantes que son patronyme. Elle ne l'avait rencontré qu'une fois, à vrai dire, en lui portant un message pour le compte de son employeur, mais elle s'était tout de suite sentie subjuguée par son charisme.

"J'imagine, parfois..."

souvent, en réalité...

"Le seigneur Kraftenpurmf... me mettre à son service... je commet une énorme maladresse dans sa demeure, et pour me punir... il fait de moi sa propriété..."

Sa voix, hésitante, se faisait de plus en plus haut perchée et précipitée, alors que les coups de langues s'intensifiaient sur son sexe. Elle écarta de plus belle ses cuisses et se cambra un maximum, pour faciliter l'accès à ses chairs sensibles.

"Je dois le servir comme bon lui semble... il me passe un collier, me force à... à le sucer... il me récompense quand je suis obéissante... il me force à le supplier quand il me donne tu plaisir avec ses doigts..."

A mesure que son récit avançait, elle en éprouvait une sorte de plaisir coupable, semblable à celui qu'elle avait ressenti en se déshabillant devant lui. Sa respiration se fit de plus en plus saccadée, tout comme ses paroles qui semblaient quitter ses lèvres dans une urgence désespérée.

"Il me force à le regarder faire l'amour à son épouse, alors... alors je me caresse en regardant... ou bien... ou bien il me montre à ses amis... il me fait marcher à quatre pattes devant eux... nue... je dois leur tendre mes fesses, et leur montrer... tout ce qu'ils veulent voir... ils peuvent me toucher car je leur appartiens... je peux sucer ceux que je préfère... je... je ne veux que les contenter, je reçois leur sperme... sur le visage et je les remercie... et ils me caressent la tête pour me féliciter...  il me baise devant eux... ou il m'offre... et je dois tous... les satisfaire... ils me prennent à tout de rôle... ou par deux... je les supplie de continuer... oui mes seigneurs je suis à vous, je suis votre chose, j'aime vous sentir en moi soulagez vous dans ma chatte, je veux vous servir !"

Sa voix avait gagné en intensité, et elle finit son monologue en criant presque, submergée par l'excitation et l'ivresse. Cyscek continua à cajoler son intimité, faisant lentement enfler son plaisir, puis se retira pour se mettre en position de la pénétrer : elle laissait échapper un petit gémissement d'impatience, sentant le gland de son maitre glisser entre ses lèvre et s'arrêter juste avant d'être vraiment en elle.

"Vas y, empale toi.
- Oui..."


Encore et toujours ce murmure à son oreille qui la faisait frissonner... elle porta ses hanches en arrière, s'asseyant sur l'imposante verge qui glissa sans difficulté dans son antre, jusqu'à la combler totalement. La succube poussa un doux râle de satisfaction en remuant lentement du bassin en se contorsionnant pour chercher le regard de son amant. Elle lui saisit doucement le poignet et lui amena la main jusqu'à l'un de ses seins, le fixant d'un air presque timide, comme si elle demandait son autorisation pour effectuer ce geste. Elle continuait de bouger, à un rythme de plus en plus rapide, quitter son homme des yeux : la position était inconfortable, et elle ne pourrait pas la tenir éternellement, mais elle voulait un baiser... sensuel, fougueux, brutal, qu'importe, elle voulait sentir leurs bouches fusionner à nouveau, avoir le sentiment qu'il lui vouait une quelconque tendresse.

"Embrassez moi..."

Non, ça n'était pas suffisant. Il n'accepterait pas qu'elle lui donne des ordre.

"S'il vous plait... maitre !"

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 21 lundi 14 octobre 2013, 11:14:21

Alors qu'il léchait la jeune femme, et il l'écoutait en même temps raconter ce qui la faisait fantasmer. Et cela lui donnait le sourire, car elle allait peut-être se retrouver dans cette situation sans même le savoir. A la merci de plusieurs hommes, baffouée et utilisée comme un objet sexuel. Cela, il l'avait déjà plus ou moins senti à sa façon d'accepter qu'il la domine de la sorte. Se redressant et lui intimant de s'empaler, elle obéit directement, pour sa plus grande satisfaction. Elle était docile et avide, exactement le genre de femme qu'il appréciait. A ce rythme, il n'allait pas vouloir la vendre mais la garder pour lui.

Portant ses mains à la poitrine de la succube, il la malaxait avec envie alors qu'elle se déhanchait pour se baiser d'elle même sur son pieu de chair. Il fut même surpris qu'elle ajoute un "maître" lorsqu'elle lui demanda de l'embrasser alors qu'il n'avait rien dit vis à vis de sa servitude. Elle aimait être dominée, et pas qu'un peu. Il tendit le cou pour accéder à sa requête, et sa langue se mêla à celle d'Anastasia. Il fourrait sa langue dans la bouche de la jeune femme, jouant de celle-ci contre les lèvres charnues de la belle tout en donnant à présent des coups de rein afin de l'emplir un peu plus. Chaque coups obligeait la jeune femme à se rapprocher du mur tant il tapait fort pour diminuer la cambrure de ses reins. Il finit par rompre le baiser, et la pousser complètement contre le mur, la bloquant en restant derrière elle. Il la limait de plus en plus vite et de plus en plus violemment, les mains comprimées entre elle et le mur, il tenait toujours son opulente poitrine au sein de ses paumes.

Je suis sûr que tu ferais une parfaite petite servante ... Non, une parfaite petite esclave ...

Dans un coup un peu plus fort, il tendit les jambes, et elle se retrouva empalée, les pieds dans le vide, les orteils frolant à peine le sol. Le torse de l'homme épousait la forme de son dos, et elle pouvait sentir le membre palpiter en elle d'un désir malsain.

Je veux que tu jouisses, c'est un ordre !

A peine reculé, elle retrouva le plancher sous ses pieds. Mais déjà il revenait à la charge et la prenait avec un appétit insatiable : il limait sa vulve sans discontinuer et sans penser une seule seconde à l'économiser. Il sentait son propre plaisir monter, et à ce rythme, il ne pourrait le contenir longtemps. Ôtant ses mains de leur place, il vint saisir les poignets de la jeune femme afin de lui tenir de force les mains contre le mur, au dessus d'elle. Elle était à lui, et la position ne lui donnait pas à penser autre chose.

Je peux réaliser ton fantasme ... Te donner à ces hommes en bas, dans la salle commune ... Ils se feraient un plaisir de te baiser jusqu'à ce que tu demandes grâce !

Il se crispait un peu en lui murmurant ces mots, et ne put se retenir plus. Dans un grognement, il éclata en elle, le foutre brûlant se répandant en longues saccades dans son vagin. Il avait cessé de bouger et jouissait abondamment, la quantité importante de sperme la remplissait et coulait déjà hors de sa vulve, le long de ses cuisses. Dans un dernier soubresaut, il finit de se vider en elle puis se retira subitement, entrainant la chute du sperme qu'il venait de relâcher. La semence s'écoula contre les jambes de la jeune femme sous le regard ravis et pervers de l'esclavagiste.

Nettoie moi, je n'en ai pas fini avec toi.

En prononçant ces mots il se dirigeait vers le lit, mais s'arrêta devant ce dernier. Trois mètres les séparaient, et il se retourna vers elle en désignant le parquet juste devant ses pieds. Il était clair qu'il voulait la voir à genoux là. Il attendait, la fixant d'un regard décidé, alors que sa verge n'avait rien perdu de sa vigueur et luisait à la lueur de la cheminée du fait de la semence et de la cyprine qui l'enveloppait.

Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 22 mercredi 16 octobre 2013, 01:43:07

La jeune fille ouvrit les lèvres sous le baiser de son amant, dont elle laissa la langue entrer sans résistance, les paupières closes pour mieux savourer l'instant.

Cyscek avait lui même commencé à bouger, assénant de furieux coups de bassin, la forçant à se rapprocher du mur et à se redresser. Leurs bouches se séparèrent, et Maelie se retrouva entièrement plaquée contre le mur, son fessier amortissant la violence des assauts du marchand, pénétrée en rythme par son énorme sexe. Les paumes et la joue plaquées contre la paroi, elle gémissait son plaisir sans retenue, subjuguée par la force et la bestialité de son homme.

"Je suis sûr que tu ferais une parfaite petite servante ... Non, une parfaite petite esclave ...
- Oui, une petite esclave obéissante, prête à tout pour vous servir, pour être votre favorite !"


Soudain il la pénétra avec tant d'ardeur qu'elle se retrouva soulevée, littéralement assise sur la queue du mâle dont les hanches la maintenaient en l'air en écrasant la rondeur de ses fesses. Elle était prise en sandwich entre la cloison de la chambre et le torse musclé de Cyscek, pourfendue par son organe : celui-ci forçait douloureusement le fond de son intimité, mais la succube n'en avait cure. Elle était prise dans un étau merveilleux où elle jouissait de sa propre impuissance ; elle poussa un long râle, entre la souffrance et l'extase, laissant retomber sa tête en arrière, sur l'épaule de Cyscek et, profitant de la position, tourna son visage et mordilla tendrement la joue de son tortionnaire. Puis celui-ci la libéra enfin de son étreinte, reculant pour mieux la sauter à nouveau.

"Je veux que tu jouisses, c'est un ordre !"


Un ordre étrange s'il en était... Maelie n'avait pas l'intention de se faire prier ; s'il persévérait dans cette voie, elle n'allait pas tarder à sombrer. Il lui saisit les poignets et les releva de force au dessus de sa tête, prenant le contrôle de ses mouvement dans sa poigne viril. Elle se sentit soudain tellement vulnérable... un sentiment qui ne fit que renforcer sa volonté de se soumettre sans réserve.

"Je peux réaliser ton fantasme ... Te donner à ces hommes en bas, dans la salle commune ... Ils se feraient un plaisir de te baiser jusqu'à ce que tu demandes grâce !
- Oui ! Oui ! traitez moi comme bon vous semble, faites de moi votre chose ! Exhibez moi ! Donnez moi ! Salissez moi !"


Elle n'avait jamais ressenti une telle excitation, une telle communion, avec aucun homme ! Son maitre avait compris ses fantaisies, il les appréciait, il en jouait... elle, perdait la tête et se déhanchait comme si sa vie en dépendait, accueillant le sexe de son souverain en elle en se tordant de plaisir. Il était tellement fort, tellement beau... l'humidité de son antre à elle se répandait le long de son sexe à lui, jusqu'à goutter sur le sol. Il savait exactement comment la prendre, comme s'il avait anticipé tous ses désirs, comme s'il savait à quel moment il devait imposer sa volonté, à quel moment il devait se montrer généreux... il la guidait et la dominait par chacun de ses gestes, et elle succombait sans opposer la moindre résistance. Elle perdait pied peu à peu, incapable de percevoir autre chose que leurs deux corps qui s'entrechoquaient dans un bruit moite, incapable de cesser ses propres va-et-vient. Elle se jetait sur lui chaque fois qu'il fondait sur elle, ouvrant grand son armure pour qu'il lui porte le coup fatal... jusqu'à ce qu'enfin un orgasme délirant s'empare d'elle, secouant tout son corps, comme si ce dernier n'était fait que d'un seul muscle traversé d'un courant électrique ; elle avait crié : un bref cri éraillé, avant que sa respiration ne soit verrouillée par les spasmes qui l'agitaient toute entière. Alors qu'elle se tordait d'extase : il se relâcha lui aussi en elle, remplissant son intimité de sa semence, avant de se retirer et de répandre le liquide visqueux sous eux.

Les soubresauts de la belle commencèrent à se calmer tandis qu'elle reprenait bruyamment de longues bouffées d'oxygènes, et son amant s'éloigna pour exhiber son pénis qui pointait encore fièrement vers le ciel ( enfin, le plafond ). Mais déjà elle sentait ses forces l'abandonner, comme à chaque fois. Ses muscles se vidèrent peu à peu de toute énergie, et elle se laissa tomber, lentement et mollement, dans une vague position fœtale, face à Cyscek qui se tenait encore debout.

"Nettoie moi, je n'en ai pas fini avec toi."

Elle le regardait encore, entre ses paupières mis closes, mais elle ne put effectuer le moindre mouvement pour s'exécuter. Ses côtes se soulevaient lentement au rythme de sa respiration profonde et une douce torpeur s'emparait d'elle. Elle voulu faire un effort pour parler, utilisant les derniers débris d’énergie encore présents en elle, mais ne put absolument rien articuler, la mâchoire lourde comme du plomb.

"Uuh..."

Elle avait déjà été abandonnée sur place dans des situations similaires, mais elle ne craignait pas vraiment que cela arrive cette fois. Lui n'allait pas partir comme un voleur, elle le sentait. Il l'avait promis, et puis ils avaient fait l'amour avec une telle passion... elle ne pouvait croire qu'il l'abandonnerait là. Elle osait même espérer qu'il la couverait jusqu'à son "réveil".

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 23 mercredi 16 octobre 2013, 16:56:40

Le jeune homme sentait une légère lassitude envahir son corps, ce qui était tout à fait normal avec le contrecoup de l'orgasme. Elle lui plaisait terriblement, et il ne s'était pas retenu. Chaque geste d'Anastasia semblait être une invitation à la dominer et à faire d'elle une chose, un pantin, ce à quoi Cyscek avait cédé avec plaisir. Elle ne se doutait de rien, et n'avait aucune raison de le faire, mais il souhaitait toujours autant la capturer. Pour son plaisir personnel ou pour la revendre, il n'avait pas décidé, cela viendrait.

Debout, le membre saillant toujours à la vue de la jeune femme dardait à mesure que le plaisir revenait en lui. Il allait s'amuser d'elle, abuser d'elle, et cela durant toute la nuit, comme elle le lui avait demandé. Puis au moment propice, il la capturerait. C'était ainsi qu'il voyait les choses, et ce programme lui allait parfaitement, d'autant qu'elle se soumettait d'elle même et augmentait son désir à mesure qu'elle se livrait à lui comme étant son seul et unique maître. Elle voulait devenir son esclave ? Elle n'allait pas tarder à savoir ce que ça faisait. Si pour l'heure elle voyait cela comme un jeu, la situation allait changer, et peut-être le sentiment de la jeune femme pour lui avec.

Elle venait de s'effondrer au pied du mur, et il attendait - presque patiemment - qu'elle vienne vers lui. Il avait senti à la façon dont son vagin s'était contracté qu'elle avait joui, et si elle n'avait pas menti, son don de téléportation n'était plus disponible avant le lendemain. Pendant quelques secondes il la fixa, mais elle ne semblait pas décider à bouger. Elle avait le regard vitreux, et il ne comprit pas tout de suite ce qui se passait.

Dois-je te punir pour que tu obéisses ?

Sauf que la demoiselle ne répondit rien, et s'affala un peu plus au sol. Il allait s'énerver, pensant qu'elle se jouait de lui, mais il réalisa qu'il en allait tout autrement : elle tombait de fatigue, et s'endormait sous ses yeux. L'effet de l'orgasme était bien plus conséquent que prévu ! En trois pas il eut franchi la distance qui les séparais. Il se saisit des bras de la jeune femme et tenta de la relever, mais il était déjà trop tard, elle dormait et ne tenait pas sur ses jambes. Il poussa un léger grommellement. Il avait encore envie d'elle, et elle venait de sombrer comme si de rien n'était. En un sens, cela l'arrangeait pour l'attacher, mais un tel défaut allait faire d'elle une esclave peu facile à vendre. Si elle devait s'endormir au milieu d'un coït, elle n'allait pas intéresser grand monde.

Tenant toujours l'endormie par les bras, il finit de la soulever afin d'aller la déposer sur le lit. La délaissant par la suite, il fouilla son sac, afin d'en sortir une paire de menottes, à l'aide de laquelle il n'eut aucun mal à attacher les mains d'Anastasia à la tête de lit. L'idée lui était passée par la tête de la transporter chez lui dès ce soir, mais il aurait été bien en peine d'expliquer pourquoi il partait avec une femme endormie sur l'épaule. Il avait le temps de réfléchir à un plan, alors autant ne pas se précipiter. Il profita du sommeil de la jeune femme afin de mieux la passer en revue, vérifiant ses formes et son corps. Elle avait des courbes à damner un saint, mais toujours ce problème d'orgasme. Mais comment l'empêcher d'en avoir ? Elle avait eu l'air d'être une sacrée perverse pour ce qu'il avait pu voir, et elle devait pouvoir jouir assez facilement.

Cyscek s'éloigna à peine du lit afin de tirer la chaise du bureau, et s'assis dessus après avoir remis son caleçon. Tourné vers elle, il la veillait : il n'avait plus que ça à faire, en espérant qu'elle n'allait pas dormir toute la nuit.


Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 24 mercredi 16 octobre 2013, 18:14:30

Il revenait vers elle : quel bonheur ! Certes il ne semblait pas avoir compris, pour le moment, et il lui secouait le bras comme s'il cherchait à la réveiller, ce qui était bien inutile... mais finalement il la souleva pour la déposer sur le lit... puis se détourna. Quelle frustration... elle ne pouvait même pas remuer les lèvres pour l'appeler, et ses propres yeux refusaient de se poser exactement où elle voulait. Elle ne voyait le monde qu'à travers la fente fixe de ses paupières, et celles-ci étaient braquées sur le plafond, lequel ne lui fournissait aucune information intéressante... Peu à peu elles retombèrent, couvrant le monde d'un voile noir. Elle pouvait encore l'entendre marcher, sentir l'air qu'il déplaçait glisser sur sa peau de jeune fille. Elle était comme devenue mille fois plus tactile, et le moindre courant d'air la chatouillait. Pourvu qu'il revienne... Elle voulait sentir son corps chaud contre elle, se sentir protégée par ses bras d'homme... Elle l'entendait fouiller dans son sac, et des cliquetis métalliques lui parvenaient... le plancher grinça légèrement lorsqu'il revint et elle sentit soudain ses deux mains sur ses poignets à elle. Il entraina les deux bras de la petite au dessus de la tête de leur propriétaire.

*CHKLICK*

Est-ce qu'elle venait d'être menottée ? Attachée au lit ?

Étant donné l'état second dans lequel elle se trouvait, elle ne paniqua pas le moins du monde. Mais c'était un peu étrange tout de même... elle ne s'attendait pas à ce qu'il poursuive leur jeu aussi loin... mais bon sang allait-il se décider à l'enlacer ?! Il venait de s'éloigner, à nouveau. Elle en aurait geint de frustration, si elle avait pu. Un léger bruissement de tissu, suivi du grincement d'une chaise : il s'était assis. Il la regardait, certainement. Elle l'espérait. C'était toujours mieux que rien. C'était même une idée réconfortante, même si cela ne remplaçait aucunement son besoin de chaleur. Il veillait sur elle. Elle laissa son esprit dériver.

Généralement, dans l'impuissance physique qui suivait chacun de ses orgasmes, lorsque rien ne venait la troubler, elle finissait par s'endormir pour de bon. Détendue comme elle l'était à chaque fois, si elle souhaitait résister, cela lui était très difficile. L'heure aidant, elle chavira au bout d'une dizaine de minutes, sereine. Mais pourquoi ce marchand pouvait-il bien transporter des menottes dans ses affaires ?...

...

Elle fit un rêve étrange ; elle se promenait dans une pleine recouvertes d'herbes folles portant un sac sur son épaule. Un homme immense en cosplay de batman surgissait de nulle part et lui touchait les seins, sans qu'elle réussisse à se dégager. Elle avait beau se tortiller dans tous les sens pour leur échapper, les gros doigts du géants trouvaient toujours sa poitrine et lui pinçaient douloureusement les mamelons à travers sa robe. Finalement il sortait une paire de pelles, et tous deux se mettaient à creuser un trou dans le sol. La terre était instable sur le bord du puis immense qu'ils avaient percé au milieu de la pleine et le gouffre menaçait maintenant de l'avaler tandis que le sol sous ses pieds s’effritait et qu'elle luttait pour rejoindre un endroit plus ferme, entrainée malgré elle par une avalanche de terre, lâchée dans le vide sans aucune prise, sans rien à quoi se raccrocher...

Elle se réveilla en sursaut sur son lit. Elle voulut ramener les bras le long du corps : impossible. Les menottes. L'auberge. Terra. Cyscek.

Elle tourna la tête vers son kidnappeur, ne sachant réellement quoi penser de cette situation. Elle le regarda, clignant des yeux pour éclaircir sa vision, et tira sur ses entraves de métal avec un petit gémissement interrogatif. Elle avait froid. Surtout aux pieds... elle remonta ces derniers jusque sous ses fesses et les frotta vigoureusement à la couverture pour les réchauffer. Elle avait joint les cuisses et se tenait quelque peu repliée sur elle même ; sa folie libidineuse apaisée, elle trouvait quelque peu intimidant d'être ainsi exposée à cet homme qu'elle ne connaissait pour ainsi dire pas du tout. Combien de temps avait-elle dormi ? Il faisait encore nuit noire, mais son repos avait duré plus d'une heure, c'était certain, sinon elle n'aurait pas pu bouger comme elle le faisait. Encore engourdie par sa sieste, elle roula su le flanc et, utilisant la tête du lit comme appui pour ses mains, réussit à se mettre gauchement à genoux, les fesses reposant sur les talons et le dos vouté. Elle le fixa à nouveau, la mine interrogative, un peu inquiète même.

"Cyscek... c'est pas drôle..."

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 25 mercredi 16 octobre 2013, 18:48:37

Il sursauta. Un bruit l'avait révéillé. Réveillé ? Oui, il s'était assoupi sur la chaise, et la position n'était pas très agréable. Ses muscles s'étaient engourdis, et le réveil fit crier au supplice ses bras et ses jambes quand il les étendit. Il aurait mieux fait de se mettre sur le lit probablement, mais il ne pensait pas non plus s'abandonner de la sorte sur cette chaise. Le regard se reporta immédiatement sur la jeune femme, alors qu'il finissait de s'étirer pour se redresser. Elle se ratatinait sur elle même, visiblement peu rassurée. La jeune femme insouciante de leurs ébats semblait avoir disparue au profit d'une fille craintive. Pourtant, à part les menottes, presque rien n'avait changé, et il avait même pris soin d'elle.

Il n'y a rien d'amusant, effectivement.

S'avançant vers le lit, il se tint à côté de ce dernier, face à elle. Elle pouvait tenter de se cacher, mais il voyait forcément une partie de sa nudité. Par exemple sa paire de seins, qu'elle ne risquait pas de voiler avec les bras attachés ainsi. Elle devait se sentir vulnérable, il le savait, et en jouait.

J'utilise ces menottes pour capturer mes proies. Car même si tu t'es trompée tout à l'heure, je tiens à te donner la bonne réponse. Je vend des esclaves.

Laissant le silence s'installer, il lui donnait le temps de digérer l'information. Contournant le coin du lit, il s'approcha, jusqu'à s'asseoir sur le bord, à côté d'elle. Elle pouvait bien tenter de lui mettre un coup de pied, ça ne la mènerait pas bien loin. Sans gêne, il posa sa main sur l'une des cuisses de la demoiselle, la sentant frémir sous ses doigts.

Maintenant que je sais que tu ne vas pas t'enfuir en te téléportant, je te laisse le choix. Tu peux te rebeller, crier, tenter de me frapper. Pour chaque marque de rebellion, je te baillonnerai, et tu gouteras de ma ceinture, ou pire. Ou alors tu peux te plier à ta nouvelle condition. Et n'imagine pas me fausser compagnie, je me débrouillerai pour te faire jouir chaque jour pour t'empêcher de fuir.

Une nouvelle fois, il lui laissait le temps d'appréhender les informations. Qu'allait-elle faire ? Tenter de s'en sortir ? Ou se résigner ? Il se rapprocha encore un peu d'elle. Son caleçon était tendu, trahissant l'excitation et l'érection qu'il avait. Oui, elle lui plaisait.

Je vais même te faire une confidence, il est rare que je tombe sur une femme qui me plaise autant. Si tu te montres docile, je consentirai peut-être à te garder pour moi... Sauf si tu préfères finir dans la couche d'un ivrogne, ou d'un amateur de sévices corporelles.

Dans un geste souple, il passa une jambe sur le lit, afin d'y grimper à genoux, puis sur ses pieds. Dominant la jeune femme de toute sa hauteur, il passa ses pouces à son caleçon, afin de le baisser et de libérer son membre devant elle. Le membre dur palpitait d'une envie malsaine, pointant vers le plafond de la pièce, et elle pouvait en voir chaque veine courir le long de la hampe.

Allez, ne te fais pas prier, je t'ai donné un ordre avant que tu ne t'endormes.



Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 26 vendredi 18 octobre 2013, 18:00:04

Elle sa tassa sur elle même tandis qu'il s'approchait : il commençait à lui faire vraiment peur. Il était devenu si froid soudain... elle se décomposait à mesure qu'il lui lui donnait des indices sur ce qui l'attendait. A vrai dire, si elle avait voulu, elle aurait compris plus vite. Mais elle ne voulait pas, elle rejetait l'idée. Vendeur d'esclave ? Ça voulait dire qu'il avait l'intention de la vendre, elle ? Qu'est-ce que c'était que ce délire ? Elle tremblait de tous ses membres en l'écoutant : elle essaya de se forcer à rire, formant sur son visage un rictus ressemblant vaguement à un sourire. Il devait se moquer d'elle ? Ça n'était pas drôle du tout, c'était affreusement effrayant et gênant... mais ça ne pouvait pas être sérieux ! Le marchand passa la main sur la cuisse de sa prisonnière, dans un geste d'une douceur qui contrastait avec la dureté de ses mots, achevant de semer le trouble dans l'esprit de la demi-succube qui tressaillit et se recroquevilla de plus belle. Elle se mit à crier d'une voix aiguë et vacillante :

"Cyscek !... Arrête ! Tu me fais peur !"

Elle tirait sur ses entraves de métal et les tripotait maladroitement, essayant de s'en libérer : ça n'était pas des jouets et elles étaient bel et bien verrouillées. Ses bras étaient captifs deux deux bracelets à la mine beaucoup très sérieuse, lourds, froid, usés.

"A...allez vous en ... je... vous n'avez pas le droit ! Laissez moi tranquille !"

Sa voix chevrotait comme si elle était sur le point de pleurer, ce qui était le cas. Elle se replia contre la tête du lit, cherchant vainement à s'éloigner de cet individu menaçant qui lui expliquait, sur un ton calme et inflexible le sort qu'il lui réservait. A travers le plancher, elle entendant le brouhaha d'une chanson paillarde entonnée par les clients de la taverne. Cyscek monta debout sur le lit, et s'approcha, brandissant son sexe à nouveau dressé. Elle agita la tête de droite à gauche en signe de refus, une expression de détresse sur le visage.

"Non ! Non !..."

Il fallait qu'elle lui échappe. Elle jeta un regard paniqué autour d'elle, comme si les cloisons de la chambre portaient la réponse en elles. Puis elle se décida à faire la seule chose qu'elle pouvait faire pour s'en sortir : crier. Elle l'aurait fait bien plus tôt s'il n'avait pas été si impressionnant... il allait la frapper, elle en était presque sûre, et elle ne pourrait rien faire pour se protéger, à part rentrer la tête dans les épaules ( ce qu'elle fit, avant même de commencer à s'époumoner ).

"A L'AIIIIIDE !!"

Avec un peu de chance, quelqu'un l'entendrait et viendrait. Quelqu'un allait forcement venir !

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 27 vendredi 18 octobre 2013, 18:49:46

En un sens, il s'attendait à ce genre de réaction. La crainte, la peur, et finalement, le cri. Elle refusait catégoriquement, pourtant, qu'est-ce qui avait changé ? Tout à l'heure, elle voulait être son pantin, sa chose, et maintenant qu'elle l'était, elle avait changé d'avis. Ce n'est pas ce qui allait arrêter notre homme, habitué qu'il était à traiter avec des récalcitrantes de son espèce. Le cri venait de traverser la gorge de la jeune femme, et la main de l'homme se plaqua violemment sur sa bouche, pour l'empêcher de réitérer cet acte de rebellion. On pouvait lire dans son regard la désapprobation et un peu de déception. Elle se voulait docile, et déjà elle ruait ? Il ne lui laissa pas le temps de tenter de lui mordre la main, car il prit son maillot de corps, et le passa sans ménagement autour de la tête de la jeune femme, lui baillonnant la bouche. Une fois cela fait, il se redressa pour descendre du lit.

Tu me déçois, je croyais que tu voulais m'appartenir, tu aurais changé d'avis ? J'ai tous les droits sur toi.

Il venait de ramasser au sol sa ceinture, et remontait déjà sur le lit, pour revenir face à elle. Il fit claquer le cuir contre sa main une seule fois, en la regardant dans les yeux. En bas, on entendait encore la chanson, et quelques rires.

Tu entends ? Personne ne te viendra en aide. Mais tu as été une vilaine fille, et je dois te punir pour ça.

Elle avait beau crier ou parler, le baillon empêchait les sons de sortir. D'un bras  puissant, il vint entourer ses jambes pour les capturer entre son flanc et son bras, afin de la soulever du lit. Cela révéla les fesses d'Anastasia, qui avait beau gigoter, il la tenait bien trop fermement pour la lâcher. Dépliant la ceinture, il fit un mouvement de bras, et schlac, la lanière s'abattit sur les fesses douces, y laissant une marque rouge. Deux secondes après, même sentence, et une troisième fois. Trois stries courraient le long des fesses là où la ceinture avait touché. Il relâcha alors la jeune femme qui rebondit mollement sur le lit.

Première leçon. Tu te rebelles, je punis. A chaque fois plus fort. Et si tu vas trop loin, je peux couper ta gorge fine quand bon me semble. Réfléchis bien car tu n'y échapperas pas. Es-tu prête à obéir ?

Il se remit comme auparavant, debout sur le lit, face à elle. En se penchant, il attrapa les bords du baillon afin de le remonter. Cela libéra la bouche de la captive pour qu'elle donne sa réponse, mais dans le même temps, il laissa le baillon sur ses yeux, la rendant aveugle pour un moment. Une seconde après, elle aura l'occasion de sentir le membre de l'homme frôler sa joue. Oui, il la tenait, et il ne semblait pas prêt de la relâcher.


Maelie

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Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 28 vendredi 18 octobre 2013, 23:58:37

Son nouveau maitre la fit taire en lui obstruant la bouche de la main : elle lutta comme une diablesse, secouant la tête, essayant d'échapper à la paume qui étouffait ses cris, mais il la maintenait avec trop de force. Elle se débattit avec tant d'énergie qu'il fut obliger de lui plaquer le crâne en arrière contre la tête du lit, pour enfin lui passer le bâillon. Il lui avait douloureusement tordu le cou : lorsqu'il la lâcha, elle laissa son visage retomber en avant, reprenant à grand peine sa respiration, les yeux rivés vers le drap.

"Tu me déçois, je croyais que tu voulais m'appartenir, tu aurais changé d'avis ? J'ai tous les droits sur toi."

Elle leva sur son kidnappeur un regard triste ; bien sûr qu'elle ne voulait pas ça... dire qu'elle s'était senti tellement communion avec lui, quelques heures auparavant... Cyscek se défit de sa ceinture : elle compris immédiatement ce qu'il avait l'intention de faire. Elle écarquilla les paupière en secouant la tête, gémissant à travers son bâillon.

"Tu entends ? Personne ne te viendra en aide. Mais tu as été une vilaine fille, et je dois te punir pour ça."

Inflexible, il la ceintura d'un bras et la mit en position, malgré tous les efforts de la belle pour lui échapper. Ses gémissement se muaient en sanglots : elle aurait voulu le supplier, le raisonner, lui parler ! Le morceau de tissu dans sa bouche l'entravait, et elle ne parvenait à sortir aucune phrase articulée convenablement...

Un premier coup s'abattit sur elle, faisant jaillir un cri étouffé au beau milieu de ses pleurs, suivi de deux autres, provoquant le même résultat. La lanière laissait des brulures qui la lançaient terriblement après chaque coup... mais c'était bien peu par rapport à ce qu'elle l'imaginait capable de faire. Il aurait pu la frapper mille fois plus fort, jusqu'à briser chaque os de son corps... maintenant qu'elle le savait capable d'une telle cruauté, tout lui paraissait envisageable. Comment pouvait-il ?... ne voyait-il pas à quel point il lui faisait mal ? Elle était morte de peur. L'homme dominateur et bienveillant de la soirée passée s'était transformé en bourreau insensible. Il la relâcha, et elle retomba sans douceur sur la matelas, des larmes coulant sur son visage de jeune fille en détresse, les épaules secoués de spasmes malheureux.

"Première leçon. Tu te rebelles, je punis. A chaque fois plus fort. Et si tu vas trop loin, je peux couper ta gorge fine quand bon me semble. Réfléchis bien car tu n'y échapperas pas. Es-tu prête à obéir ?"

Il libéra sa bouche, entravant ses yeux : elle avait bavé abondamment sur le vêtement et un filet de salive resta suspendu un instant au morceau de tissu, dont le contact sur les yeux clos de la jeune femme était des plus désagréable... elle commençait à peine à ravaler ses larmes, reniflant bruyamment, que l'organe turgescent de la brute vint se poser contre son visage. Elle avait bien compris... elle n'avait pas le choix. Elle ne pouvait rien faire maintenant : il était bien trop fort. Elle avait été bien trop naïve. Elle avait cédé à ses bas instincts, comme à chaque fois... mais cette fois elle le payait. Elle ouvrit les lèvres sans enthousiasme et chercha le l’extrémité de la verge à l'aveugle. Elle devait avoir l'air à la fois ridicule et indécente ainsi, la bouche béante, la langue à demi sortie, un bâillon baveux sur les yeux... elle posa finalement ses lèvres sur le gland et le fit glisser sur sa langue, engloutissant la première moitié du sexe en érection. Elle commença à effectuer des petits va et vient de la tête... l'opération se révélait des plus délicates, les yeux bandés et sans les mains. pourtant elle s'appliquait autant que possible ; elle ne tenait pas à recevoir de nouveaux coups de ceinture... Et puis il y avait autre chose. Elle n'aurait pas su l'expliquer, mais elle ressentait le besoin de faire de son mieux.

Cyscek

Humain(e)

Re : Le bâton du plus fort est toujours le meilleur [Cyscek]

Réponse 29 lundi 21 octobre 2013, 11:34:28

Les secondes suivantes furent cruciales : si elle hurlait, il allait devoir de nouveau sévir. Il doutait que quinconque l'entende, et quand bien même cela arriverait, les clients de l'auberge entendraient un cri étouffé, et penserait qu'elle gémit de plaisir. Ils avaient surement en tête le passage des deux "tourtereaux", et les pensaient donc plutôt en train de copuler que de se disputer. Heureusement, il n'aurait pas à considérer ces options car elle ouvrait la bouche, proposant ses lèvres bien ouvertes en signe de capitulation. Son pouce et son index enserraient la base de son membre pour le tenir à l'horizontal et présentaient le gland à la bouche de la demoiselle. Il la laissa refermer ses lèvres dessus. Elle capiulait, pour son plus grand plaisir. Il avança à peine, sentant la langue jouer sous son gland, et lui donner une vague de plaisir.

Tu sais où se situe ton propre bien ...

Il posa ses mains sur la tête de la captive, guidant délicatement sa nouvelle esclave pour aller d'avant en arrière, lentement. Le membre avait le goût de la cyprine de la jeune femme ainsi que du sperme qu'il avait répandu auparavant en elle. Il gémit un instant, et enhardit par la docilité d'Anastasia, il bougea de lui même son bassin, la queue venant fouiller la bouche de la belle. Plusieurs fois il tapa au fond de sa bouche, menaçant de s'en prendre à sa gorge, mais il n'en fit rien. Après avoir limer sa bouche durant deux bonnes minutes, il ressortit, un filet de salive reliant son gland aux lèvres de la jeune femme. Il la fixait, mais elle devait être perdue, avec ce bandeau sur les yeux et sans savoir ce qui allait lui arriver.

Seconde leçon : si tu es bien obéissante, je te récompense. Que veux-tu ?

Il était prêt à parier qu'elle allait demander à être libérer, ce qu'il ne pouvait pas lui accorder, bien évidemment. Se mettant à genoux devant elle, il glissait déjà sa main entre les jambes de la belle, afin de la masturber. De quoi la déconcentrer pendant qu'elle réfléchissait, et une autre manière de lui montrer qu'elle lui appartenait : il faisait ce qu'il voulait d'elle, quand il voulait. Les doigts jouaient sur la vulve, s'enfonçant parfois dans l'orifice humide, pour ensuite ressortir et étaler sa mouille sur son bouton de plaisir en jouant avec.

Fais attention à ce que tu demandes, si ça ne me plait pas, je sévirai.

Il était important d'imposer les limites d'entrée à la jeune femme. Elle n'avait probablement jamais vécu ça, pourtant il sentait chez elle que ça ne lui déplaisait pas tant que ça. Une fois formée, elle ferait une parfaite petite esclave, avec juste ce qu'il fallait d'initiative pour plaire à son maître. En attendant il en profitait, décidé à profiter d'elle autant qu'il le pourrait. Il pouvait également choisir de la garder à son service. Elle avait l'air dégourdie, et son pouvoir de téléportation pouvait être utile, tant qu'il pouvait la tenir à l'oeil et l'empêcher de fuir n'importe où. Oui, cela méritait réflexion.



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