Ah qu’elle aime quand il se comporte mal son Souta ! Maintenant qu’elle le connait bien, elle est capable de lire dans ses pensées et de deviner toutes ses envies. Bon, ça, à cet instant ce n’est pas un exploit psionique ni une caractéristique de ses compétences de médium, mais Chloé sait exactement ce qu’il veut : une petite salope qui ne dit pas non. Mais en fait c’est simple car c’est un peu la définition de Chloé au quotidien et ces qualificatifs correspondent exactement à la personnalité de la jeune femme. Elle ne le nie pas même si de temps en temps elle aime les embellir d’un vocabulaire plus mignon. Heureusement, ce n’est pas le cas maintenant qu’elle a son minois écrasé contre les couilles de Souta. Sournoisement, elle tire la langue pour en envelopper un testicule gonflé et le laper sans perdre de temps. Et ensuite, elle manque se décrocher la mâchoire en essayant de lécher du bout de la langue le petit carré de peau qui sépare les bourses de l’anus du garçon. Chloé se cambre, marmonne une insanité inintelligible et s’aide des mains pour écarter les cuisses du garçon. Le sexe de Souta lui barre le visage. Elle le sent lourd et prêt à l’emploi et se trémousse en hochant la tête plusieurs fois pour lui répondre.
Quelques hommes s’approchent d’eux. L’échange les passionne mais le garçon les impressionne. Il n’a pas l’air commode et monopolise la salope sur laquelle ils avaient des vues pour tout un tas de trucs dégueulasses.
"Mec, tu nous la prête après ?"
Chloé s’interrompt pour les regarder. Ses yeux brillent d’une perversité peu commune. Elle se lèche les lèvres en évaluant le potentiel de tous ces types. Bon, à part un bien foutu, les autres ne serviront qu’à la nourrir. Elle doute qu’ils tiennent plus de deux minutes en elle. Maintenant, ça peut aussi être sympa de servir de réceptacle à semence. C’est plus Noriko qui raffole des bukkake, Chloé, elle, préfère se faire sauter mais bon, c’est juste une question d’opportunité. Et puis, comme c’était Souta l’organisateur, elle n’allait pas faire sa vilaine fille et se montrer difficile.
"La dernière fois, je n’étais pas prête et tu voulais me détruire. Tu t’étais perdu dans ton délire et t’as failli m’envoyer à l’hôpital ! Là … je suis prête !"
Elle sourit de toutes ses dents et se jette sur la queue de Souta comme il l’ordonne, en mode extraction minière par aspiration vers le haut. Elle pompe bruyamment, usant massivement de salive pour lustrer et préparer l’objet de son plaisir. Elle le regarde en louchant, crache, le branle et réparti sa salive tout le long en s’appliquant comme il le faut. Au passage, elle s’amuse à exciter la collerette du gland de sa langue et applique des succions obscènes qui émerveillent le public.
Quand Souta est prêt, elle se retourne à quatre pattes en dandinant des fesses. Souta y est déjà à explorer l’accès restreint de ses doigts. En effet, elle est prête et il s’installe derrière elle, la verge fièrement dressée et prête à la défoncer.
"Tu … BLLLEEUUUHHH !!"
Un des spectateurs a craqué. Un pas très beau avec du bide mais qui montre un certain entrain. Il attrape Chloé par la tête et force ses lèvres pour plonger dans son gosier. Alors, une gorge profonde, pour qu’elle réussisse sans tourner au drame, y’a des règles à respecter. Le type s’en affranchit et le réflexe nauséeux de Chloé secoue le trio avant que l’homme ne lui attrape les bras pour les verrouiller dans son dos. Chloé bave abondamment. Elle gigote pour se libérer de l’emprise mais l’homme reçoit le soutien des autres qui viennent empêcher Chloé de bouger. L’un deux pousse même le vice à presser le dos du premier pour le soutenir. Tout cela bénéficie à Souta dont la queue s’introduit tout naturellement dans l’anus de la cochonne. Chloé crie, enfin … baragouine un truc étouffé, et son tourmenteur éjacule maladroitement dans sa bouche. Il est viré par un autre qui prend sa place et occupe une cavité buccale dégoulinante et souillée.
"Allez mec, montre-nous comment tu la démontes !"
Oh Chloé ! Ne dis pas que tu ne kiffes pas cet instant ? Non c’est vrai, les trucs pas propres, elle adore une fois la surprise passée. Bien qu’elle ne puisse par sa position être plus passive qu’active, elle fait des ravages et dévorent toute bite qui se présente dans sa bouche. Elle ne compte plus le nombre d’éjaculations qu’elle a avalé mais elle risque de péter un record en fin de journée. Et puis surtout, elle a Souta pour elle … en elle !
Et Noriko ne rate pas une seconde du spectacle. Elle est UN PEU plus préservée que Chloé car l’homme qui la besogne n’est pas monté comme Souta. Il l’encule bien oui, mais elle en a déjà pris des plus grosses. L’homme fait des efforts, encouragé par sa femme, et offre à la japonaise une prestation honorable qui mériterait un quatre sur dix. Hey ! Quatre c’est pas mal ! La moyenne ne compte pas là, c’est une échelle pas un barême. Un dix serait attribuer au dieu de la sodo et il se trouve qu’il n’est pas là aujourd’hui. Aussi Noriko reste aimable et l’encourage par des petits mots sympas comme : baise ta pute plus fort, traite moi de chienne … Ca pimente un peu l’ébat et l’homme se laisse emporter. Il bascule sur le dos en l’entrainant dans une roulade acrobatique et Noriko se retrouve assise sur lui les jambes en l’air et le cul rempli en essayant de se rétablir. Pour d’autres, c’est un signal, un appel pas subtil à une pratique classique mais opportune. Un homme, la quarantaine, du bide, et un air affamé se rue sur elle, lui écarte les cuisses et cherche frénétiquement à la pénétrer. Il se loupe d’un cran ! Elle braille !
"Hey ! Y’en a déjà un là !"
"M’en fous ! J’en peux plus !"
L’homme écartèle encore plus la petite rondelle de Noriko et s’introduit dans son cul qu’il partage avec le mari. L’épouse se mord les lèvres. Là, ça devient intéressant. Elle se caresse avant qu’un homme ne vienne lui poser sa queue sur le nez. Elle le chasse d’une pichenette.
"Je veux la voir se faire sauter !"
Et c’est le cas. Noriko subit une double anal monumentale et la dernière chose qu’elle voit avant de partir ahegao, c’est le beau Souta qui explose sa copine en rigolant.