Baiser de la Nuit [PV Lucy Trend]

Le soleil tirait sa révérence, prêt à disparaître au-delà de l'horizon pour illuminer l'autre moitié du monde, un moment que les quelques aides oeuvrant sur le domaine Rancher's Hope voyaient arriver avec soulagement, leur corvées terminées. Clara trouvait elle-même satisfaction de voir la journée se terminer et elle salua les quelques travailleurs au passage alors que tout le monde quittait les champs et l'étable pour aller se reposer pour le lendemain. La besogne était rude, très exigeante physiquement et naturellement, c'était très sale, la sueur et la crasse collant à la peau de la terranide fourbue. Rien qu'un bon bain chaud ne saurait régler. Quel ne fût pas son bonheur lorsque enfin elle passa le pas de la porte et s'octroya l'incroyable soulagement de retirer ses bottes sales et ainsi donner un répit bien mérité à ses pieds! La corne avait remplacé les ampoules depuis longtemps mais il n'en restait pas moins un délice de se déchausser, sachant que la prochaine étape consisterait à détendre ses muscles endoloris dans la baignoire.

Clara jeta ses vêtements dans le panier à lessives, circulant nue jusqu'à la salle de bain. La soirée n'allait pas être très longue, car la fatigue était telle que la rancheuse n'avait aucunement envie de faire autre chose que prendre son bain, préparer un repas simple et ensuite aller au lit. Peut-être lire quelques pages d'un roman au préalable? Une décision qui allait attendre. La terranide pénétra dans la salle de bain, emplissant la baignoire avant d'y prendre place. La belle était musculeuse, tant par son héritage équin que par le rude travail qu'elle faisait jour après jour. L'eau chaude réconforta la belle, relaxant ses muscles. Elle passa un moment les yeux clos, savourant la tranquillité de la salle de bain et c'est au bout d'une dizaine de minutes que la terranide prît une éponge et une barre de savon pour se débarrasser de toute cette saleté qui couvrait sa peau bronzée par le soleil d'été. L'éponge glissa le long de ses bras, passant par sa poitrine pour passer à ses jambes épaisses et musculeuse. Le nettoyage se termina finalement par un soin particulier pour son entre-jambes, où le métissage équin se montrait le plus fort. Car Clara était pourvue d'un organe chevalin d'une belle longueur, mais surtout d'une épaisseur intimidante, prompte à  faire douter tout sauf les partenaires les plus expérimentées. Et sous cet armement de chair massif se trouvait
 la grosse réserve reproductive de la dame, une paire de généreux testicules gardés dans un sachet de cuirette reposant derrière le gros membre. La rancheuse nettoya bien son équipement, s'assurant de n'oublier aucun recoin. Elle soupira doucement alors qu'elle frottait ses parties génitales avec l'éponge. Elle réalisait qu'avec tout le travail, elle n'avait pas eu le temps ni l'occasion de socialiser et encore moins de goûter aux petits plaisirs de la vie. Elle contempla l'idée de s'offrir cette satisfaction par elle-même, de quoi la soulager un peu. Juste de quoi se vider ... cela lui faisait le même effet que croquer une pomme alors qu'elle avait plutôt envie d'un repas copieux. La masturbation était une solution acceptable mais ça ne venait pas avec la chaleur d'un autre corps, ni avec les caresses et le plaisir partagé d'un coït bien vigoureux. Peut-être allait-elle s'octroyer un petit congé pour aller boire un verre à la taverne et faire quelques rencontre, avec l'espoir que la présence d'une terranide n'aller pas causer d'incident.

Clara cessa de rêvasser enfin, terminant sa toilette. Elle avait hâte de retrouver son lit pour un petit rencard nocturne de huit heures, après un petit repas et un peu de lecture. Elle se contenta d'un morceau de pain et quelques bouts de fromage, avec une carotte et un verre d'eau, qu'elle mangea en lisant quelques pages de son livre du moment. Une fois son estomac calmé, la rancheuse monta les marches de bois menant à l'étage et passa bien vite la porte de sa chambre à coucher, où attendait son grand lit double. Clara retira sa jaquette et ouvrît la fenêtre pour laisser entrer l'air nocturne, se glissant nue sous la couverture. Le sommeil s'empara rapidement de la terranide, l'emportant au monde des rêves, loin des soucis de la vie. Mais hors de la chambre à coucher, une ombre s'apprêtait à profiter de ce moment de vulnérabilité, alors que le ranch était silencieux, sans le moindre garde ou la moindre personne pour surveiller les lieux ...

La ferme… un drôle d’endroit. Là-bas les gens passent leur temps à travailler en prenant soin de leurs bêtes et de leurs récoltes. Juste du travail, encore du travail et toujours du travail… d’un ennui… Pas de plaisir, ni de loisir. Au final, le véritable maitre était plutôt la bête car c’était elle qui était au petit soin… pas le fermier. Ah c’est sûr qu’on était loin de la vision romantisée que l’on peut voir dans des films, séries ou livre… Mais cela ne m’intéressait pas… j’apportais le romantisme… d’une certaine façon en tout cas.

Cela faisait plusieurs jours que j’explorais la région, je ne connaissais pas trop ce monde mais j’étais en tout cas très heureuse de pouvoir traversé la frontière entre la réalité... et ici. Ma curiosité envers ce monde n’était pas rassasiée… mais… ma soif avait besoin d’être étanché. Alors j’étais passé de tourisme, a traqueuse cherchant une proie bonne à boire.  Je n’aimais pas mordre n’importe qui, je voulais des personnes bien portante… mais surtout… avec certain désir. Peut importe d’ailleurs que le désir soit exotique ou normal, tant qu’ils étaient érotiques. Par ailleurs, si je pouvais mordre ailleurs que le cou, c’était tant mieux.

Aujourd’hui, alors que ma soif devenait vraiment difficile à supporter, j’avais enfin trouvé ma proie… une demi équine apparemment… je ne savais pas trop, toujours est il qu’elle était belle a se damné, une peau bronzé et des forme magnifique… associé a une musculature impressionnante. Je l’avais suivi discrètement, toujours proche. Je l’avais observée rentrer chez elle et lorsque toutes les lumières furent enfin éteintes, je vins m’infiltrer dans sa chambre. Par chance, la fenêtre avait été laissé grande ouverte, pour laisser rentrer l’air… et les surprises.

Escalader fut extrêmement facile et je vins m’infiltrer dans le lieu de repos de ma belle au bois dormant. Toute vulnérable dans son sommeil… cependant, alors que je m’approchais du lit… je vint remarquer… qu’elle faisait bien deux fois ma taille… et qu’avec une telle musculature, elle serait surement capable de me mettre en pièces très facilement. Je ne voulais pas que ma chasse se termine avec une inversion des rôles alors… je vint prendre des cordes dans la chambre, et je retirai le drap pour révéler la nudité de ma proie… mais j’eu une sacrée surprise.

-Bordel de… oooooh… je crois que je ne vais pas boire tout de suite…

En effet, a l’image de sa musculature et de sa taille, la demi équine était doté d’un pénis d’une taille et largeur tout aussi impressionnante. J’avais certes soif mais… c’était trop tentant, je voulais m’amuser. J’allais torturer cette bite…

Je vins alors attacher les poignet et cheville solidement au lit de la demi équine, avant de venir m’asseoir sur le ventre de cette dernière, contemplant son membre, approchant mes mains ayant presque peur de le toucher mais finalement… je vint faire une première caresse, je sentis un début de réaction… ça allait être facile de la faire bander… mais j’allais lui faire profiter.

Toujours assise sur son ventre, je vins alors me retourner pour faire face a ma petite proie et je vins alors lui coller une grande gifle.

-Debout ma belle !!

Le silence régnait dans la chambre, la douceur de la nuit ayant tôt fait de bercer Clara, qui dormait d'un sommeil paisible. La fatigue accumulée durant la journée l'avait transformé en grosse brique, quelque chose qui ne se réveillerais pas au moindre bruit suspect. L'intrusion dans la chambre de la terranide fût des plus aisée en l'absence de toute sécurité, la fenêtre ouverte comme une invitation à jouer les intrus dans la demeure de la fermière. Ses possessions n'offraient aucun intérêt aux potentiels cambrioleurs, mais cette nuit-là, ce n'était pas un vol qui avait lieu, mais quelque chose de plus dépravé, de plus ... lubrique. L'ombre furtive se glissa par la fenêtre sans le moindre obstacle ni le moindre témoin et Clara fût complètement à sa merci. Sa vie n'aurait pu tenir qu'à un fil, et peut-être était-ce le cas, mais personne n'était en mesure de le savoir. Elle reposait paisiblement sur son matelas, sa respiration à mi-chemin entre le souffle calme du repos et le ronflement d'un sommeil profond.

La vision du corps dénudé de Clara eût tôt fait d'impressionner la créature nocturne infiltrée dans la chambre à coucher. Le corps de la fermière suscitaient en général deux réactions: la crainte de la taille de la dame et surtout, celui de son engin, ou bien l'enthousiasme émerveillé qui se manifestait chez les personnes les plus perverses, qui voyaient parfois une façon d'assouvir un certain désir de bestialité sans être surpris dans l'écurie avec un étalon pur-sang. Outre la taille du membre, sa forme inhabituelle pour un humanoïde jouait certainement un rôle dans les réactions provoquées. Dans le cas présent, l'intruse fût fort bien impressionnée et Clara, dans son sommeil, ne pouvait malheureusement pas goûter à une caresse à son égo face à l'intérêt porté envers son outillage.

La dame ne se réveilla pas lorsque ses membres fûrent bien attachés à son lit, même le poids de la vampire sur sa personne ne suffît pas à la tirer de son sommeil. Clara était encore plus vulnérable car, même si elle venait à se réveiller, ses chevilles et ses poignets étaient maintenant liés aux quatre coins de son lit, assurant que l'intruse aurait la liberté de faire ce qu'elle voulait sans la moindre résistance. La terranide se réveilla lorsque la main de la créature heurta son visage, la tirant du sommeil en sursaut. Elle grommela, ouvrant ses yeux emplis de sommeil, la silhouette devant elle était floue. Elle voulu se lever mais s'en trouva incapable, réalisant qu'elle était attachée à son propre lit. Finalement, un halètement de surprise s'échappa de ses poumons lorsqu'elle réalisa dans quelle situation elle se trouvait, et quel genre d'individu se trouvait sur elle.

-Qu'est-ce que .. ?

Elle tira sur ses liens par coups, les noeuds étaient bien serrés. Son regard bleuté revînt devant elle, sur la silhouette qui se faisait légèrement plus claire, hormis pour l'obscurité de la chambre. C'était visiblement une femme, pourvue de courbe et à la peau d'une couleur inhabituelle. Elle crût voir des sortes de spirales rouge sur son corps et des ... coutures? Mais elle était incertaine, la lune n'offrait que juste assez de lumière pour distinguer une silhouette. Clara fronça les sourcils, son regard dardé sur l'intruse. L'équine était nue dans son lit, membres liés et à la merci d'une créature nocturne qui ne pouvait qu'être là pour lui causer des ennuis, sinon d'attenter à sa vie.

-Qui es-tu? Et détaches-moi tout de suite!

Un ordre certainement futile, car l'expression sur le visage de la créature ne laissait aucune impression qu'elle allait libérer sa proie de sitôt ... lui ordonner de le faire fût simplement le réflexe naturel d'une proie consciente, maintenue prisonnière dans son propre lit. Clara avait beau se débattre, elle était coincée, à la merci de la vampire.

Pourquoi fallait-il toujours qu’il demande à être détaché ? Décidément il fallait croire que c’était un reflexe obligatoire lors de la surprise nocturne, reflexe obligatoire qui ne mènerait bien évidement a rien. Je me contentai de rire alors que ma victime sortait lentement de son sommeil, pour finir finalement choquer en comprenant ce qu’il se passait autour d’elle. Cependant, la gifle ne l’avait pas fait bouger, tel un rocher… heureusement le rocher ne pouvait pas bouger. Mais j’avais bien fait de l’attacher sinon cela aurait été plutôt compliqué à gérer.

Je vins alors me lever, sortant du lit pour aller chercher quelque part une bougie et des allumettes, ignorant les insultes de ma proie finalement, je vins trouver ce que je cherchais… non sans avoir mis le bazar dans la chambre mais peu importe, ce n’était pas à moi de ranger. J’alluma la bougie et retourna alors proche de ma victime posant la bougie sur la table basse à côté du lit. Je revins a califourchon sur elle, assise sur son ventre.

-Salut salut ma belle… Je me présente, je m’appelle Lucy et c’est moi qui vais te faire passer une nuit que tu n’oublieras pas.

Je vins faire parcourir mes doigts sur sa poitrine et sur son ventre finement sculpté par ses muscles.

-Tu vois, j’ai beaucoup apprécié te regarder travailler aujourd’hui… je pouvais sentir ton sang pulser à travers tes veines… un sang fort et cela m’a donné très soif… c’est donc surtout de ta faute si je suis là.

Je me mis à rire tout en continuant de parcourir le haut de son corps, jouant avec ses seins, chatouillant son cou et rapprochant mon visage du siens. Je pouvais boire tout de suite et comme ça prendre mon temps pour jouer par la suite… après tout j’avais soif, mais j’avais peur qu’une fois rassasier elle trouve un moyen de se libérer et que je ne puisse pas m’amuser avec son membre énorme… une occasion comme ça ne se reproduirait pas. Tant pis donc, je préférais jouer et après boire.

-Mais qu’elle ne fut pas ma surprise en retirant le drap !!

Je vins alors me reculer, attrapant sa bite a pleine main pour la dresser et comme la présenter à ma victime.

-Tadaaa !! Envoila un bien gros jouet !! Tu ne trouves pas ? Oh tu n’as pas idée a qu’elle point je vais m’amuser avec !!

Je gloussai tout en commençant à caresser lentement son engin avant de le lâcher et de croiser les jambes sur son ventre. Prenant quelque seconde pour apprécier la situation et je vins.

-Alors… heureuse de cette belle surprise ?

Les liens étaient solides, de la corde de qualité procurée chez le très capable cordier de Nexus. Bien utile pour les travaux, une malédiction lorsque l'on se retrouvait ligoté par celle-ci. L'étrange créature tenait donc Clara à sa merci, assise sur le ventre de la terranide. La rancheuse avait beau tirer et se débattre, les cordes refusaient de céder, elles ne cassaient pas facilement. Tirer plus fort et de façon constante pourrait peut-être défaire les noeuds mais nul doute qu'ils étaient doubles, et donc deux fois plus difficile à défaire, surtout allongée sur un lit, sans l'aide de ses propres membres. La créature répondant au nom de Lucy semblait beaucoup trop se plaire à avoir le dessus sur Clara, une atteinte à la fierté de la terranide équine. La fatigue exacerbait la frustration de cette position inhabituelle et la blonde se montrait moins calme et patiente face à la prédatrice. Elle fixa la femme d'un regard dur alors que cette dernière semblait joueuse mais calme, farfouillant dans la chambre pour trouver une chandelle, qu'elle alluma et posa sur la table de chevet. Une fois rassise sur sa proie, Lucy laissait ses doigts errer le long de son torse, de la poitrine jusqu'à ses abdos d'acier.

-C'est ma faute si une bête sauvage décide de s'en prendre à moi? répondît Clara avec les sourcils froncés. Elle n'avait guère de goût pour ce genre de blague, elle acceptait seulement la faute d'avoir laissé sa fenêtre ouverte ... mais comment aurait-t-elle pu savoir qu'une vampire rôdait dans les alentours? Clara fixa la vampire, qui roucoulait et se mettait à la tripotter, prise d'une soif autre que celle du sang. La rancheuse serait donc violée en plus de se faire vider de son sang? Comme si les doutes n'étaient pas assez forts, Clara vît Lucy agripper son membre équin, l'exposant comme si sa propriétaire avait réellement besoin de la voir plus que d'habitude. L'intruse en était fort impressionnée, sans surprise pour  la rancheuse, dont le sang équin lui avait donné la moitié de ses meilleurs attributs physique, notamment son engin épais, théoriquement conçu pour engrosser une jument. Il fallait bien du courage pour se laisser pénétrer par un tel engin, du moins sans avoir soi-même le sang fort d'une lignée terranide plus costaude. Clara aurait bien préféré avoir une intruse plus couarde, si agréablement roulée soit-t-elle.

-J'aime pas les surprises, répondît Clara, Pas quand on parle de mon sang comme si c'était du vin. Allez, détaches-moi, maintenant!

Si les paroles de Clara reflétaient bien son état d'esprit vis-à-vis l'intrusion, les réactions naturelles de son corps durant le toucher de Lucy sur son chibre étaient tout autre, le membre eût un bref élancement alors que le cerveau de la terranide recevait le message du contact de la main de la vampire, message qui tirait doucement vers la préparation d'un afflux sanguin stratégique. Clara essayait de garder son calme, et surtout de garder la tête froide. À un moment ou un autre, elle trouverait le moyen de se libérer et de jeter cette vampire par la fenêtre par laquelle elle était entrée. Probablement pas avant le viol, à son grand dam.

-Et bien oui c’est de ta faute. Moi je ne suis qu’un pauvre animal qui est juste guidée par son instinct de prédatrice, a la recherche d’une proie pour régaler sa faim.

Je me remis à rire en réajustant ma position, me plaçant allonger a moitié sur elle, sur le côté, le visage au même niveau que sa bite mais regardant ses yeux pendant que ma main s’amusait de caresse sur son membre qui commençait à réagir. Certes sont cerveaux étaient grandement insulté et outré par cette intrusion, tout comme son cœur… tout deux faisaient comprendre aux corps la situation de danger dans laquelle ils étaient. Mais sa bite, elle, prenait clairement son pied.

-Oserais tu dire à un loup qu’il est un criminel car il ne fait que se nourrir en mangeant un mouton ? C’est sa nature après tout. Toi qui es une fermière tu devrais mieux le comprendre. Et bien ma nature a moi c’est de m’amuser.

Je commençais alors à ramper sur le large corps musclé de la demi équine, comme escaladant un mur, telle une araignée sur sa toile, affichant un large sourire. Pour quelqu’un qui demandait à être détaché, elle ne mettait pas beaucoup d’entrain à être se libérer. Alors certes je l’avais bien attachée pour justement pouvoir bien profiter d’elle… mais je m’attendais a bien plus de violence de sa part. Des hurlements, des insultes, des menaces, des tentatives pour m’attraper malgré les liens, tenter de me frapper avec le crane… ou même me mordre. Rien de tout ça. Malgré ses demandes à être relâchée, elle restait plutôt docile, ne se débâtant pas vraiment. Est-ce que secrètement elle aimait ça ? ou préparait-elle juste quelque chose en attendant l’occasion de frapper ? Vue les réactions de son engin, je penchais plus pour la première option.

Arrivé a deux doigts de son visage, je vins m’allonger sur le ventre sur elle, relevant les jambes en l’air, comme une adolescente dans sa chambre. Aimait-elle ce qui allait arriver à sa bite ? avait-elle aimée mes caresses ? vu le léger rougissement au niveau de ses joux, je dirais oui. Depuis combien de temps n’avait elle pas enfoncer son engin dans un corps ? Ou même mieux, depuis combien de temps n’avait elle pas pu vider ses couilles ? Longtemps surement… et bien qu’elle se réjouisse car quand j’en aurais fini avec elle, elle se mettra à genoux d’elle-même pour me supplier que je la fasse jouir.

-Alors ? Bien installée ma belle ? Car tu vois pour la suite des évènements je vais bien m’éclater avec ton membre donc j’aimerais que tu sois bien confortable pour ce qui va suivre. Si les cordes sont trop serrées par contre je peux rien faire, tu comprend pourquoi… mais si t’as peur de pas pouvoir te contrôler je peux en mettre plus.

Je marquai une petite pose pour me relever, m’asseyant en tailleur sur sa poitrine, constatant une nouvelle fois sa taille impressionnante et a qu’elle point j’étais petite est fragile a coté d’elle… dommage que c’était moi qui allais la dominée sur le coup.

-Une dernière demande avant que je ne mette ton gros soldat au garde a vous ? Demande ce que tu veux je suis une visiteuse très arrangeante.

Clara ne pouvait que rouler les yeux face à la défense de la prédatrice. Les animaux, elle savait gérer mais jamais son bétail ou les animaux sauvages peuplant les bois n'avaient eu dans l'idée de s'infiltrer dans sa chambre et de la restreindre à son lit afin de tirer leur botte avec la terranide membrée. La créature avait une drôle de façon de se déculpabiliser de ses actes, qui n'étaient clairement pas issus d'instincts sauvages incontrôlés mais bien d'une lucidité perverse.

-Les animaux ne parlent pas, répondît-t-elle, Et ils ne savent pas faire des noeuds.

Un argument qui n'allait certainement pas faire changer d'avis la prédatrice aux idées lubriques, c'était plutôt une façon pour Clara d'invalider les actes de Lucy et s'offrir une petite satisfaction personnelle. Car c'était bien tout ce qu'elle pouvait faire pour contrer l'attitude narquoise de l'intruse, qui ne cessait d'aller et venir le long du corps de la terranide, comme si le corps musclé de Clara était son terrain de jeu personnel. Clara tira encore sur ses liens, mais sans succès. Impossible de défaire ces liens, ni d'atteindre un quelconque objet potentiellement utile. Et pendant que Clara réfléchissait, Lucy continuait à jouer avec elle, démontrant une attitude de contrôle qui n'aurait pas déplu à la rancheuse, dans d'autres circonstances.

-J'ai rien à demander, juste une question. T'as l'habitude de prendre tes partenaires de forces au lieu de draguer comme une fille normale?

Une petite pique non-dénuée de logique, non pas que Clara s'attende à voir la vampire remettre ses méthodes en question. Sans doute avait-elle eu ce qu'elle voulait de cette façon par le passé, avec une réception un peu plus positive de ses victimes, fussent-elles toutes aussi perverses. Le fait que les liens soient aussi serrés portait la rancheuse à croire que ce n'était pas toujours le cas et que la vampire ne pouvait pas facilement tenir une victime sous contrôle, surtout si elle était plus grande et plus forte. Clara n'aurait pas hésité à plaquer la vampire au sol et la ligoter elle-même comme un veau en fuite, si elle en
 avait eu l'occasion. Elle attendît patiemment, gardant son calme malgré la colère qui brûlait en elle. Lucy allait certainement abaisser sa garde à un moment ou un autre.

-Oh bordel mais qu’est ce que t’es ennuyeuse toi… je ne t’ai pas posé la question mais clairement je connais déjà bien la réponse vu ton coté rabat joie… ça fait longtemps que t’as pas baisée toi…

Heureusement que je ne comptais pas sur elle pour m’amuser car sinon nous y étions encore pour… le mois prochain très certainement. Heureusement que j’étais là pour apporter un peu de piment a sa vie plus qu’ennuyeuse. Je me redressai pour venir me positionner sur ses genoux, étendant mes jambes et posant mes pieds sur sa poitrine. Je vins attraper l’énorme bite dans mes mains pour la redresser. Elle me dépassait presque en taille alors que j’étais assises, mes mains faisaient minuscule à côté.

-J’espère que tu es bien chiante que ta maitresse toi… on va bien s’amuser ensemble.

Je léchai alors, du bas de la bite jusqu’en haut, lentement toute la longueur de son engin… je sentis entre mes mains une réaction immédiate et un début de rigueur. Le travail commençait… Je continuais de lécher doucement, petit à petit pour transformer cette chose en un roc. Entre mes petites mains, je sentais que la chaleur montait petit à petit.

-Je vais adorer ça… et toi mon amie ennuyeuse ? Tu t’amuses ?

Continuant mon œuvre, je vins alors poser mes lèvres sur le haut de sa bite dans un baiser presque romantique. Puis je vins laisser mes doigts agir, parcourant son pénis de long en large, chatouillant et caressant. Inutile de chercher bien loin pour voir que notre chère amie équine prenait un sacré pied et en toute honnêteté, moi aussi. A chaque pulsation de plaisir, au mur et a mesure que son engin devenait de plus en plus dur et de plus en plus chaut cela me faisait tourner la tête de plaisir. Mes orteils vinrent se refermer sur le bout de ses seins, les agrippants alors que je savourais tout ce moment.

Finalement, lorsque la bite fut dressée dans toute sa hauteur je me stoppai pour admirer, c’était vraiment incroyable, elle avait presque doublé en hauteur et en largeur. Je me mis à rire tout en tenant ses choses énormes. Pas étonnant qu’elle ne pouvait pas baiser… elle devait déchirer l’intérieur de toute celle avant été ses amantes. Je vins alors me relever et sortir du lit, a la recherche de la corde et surtout de scotch.

-Comme un animal sauvage, il va falloir dresser cette bite tu ne penses pas ?

De sa position très restreinte, Clara ne pouvait faire mieux que de supporter la créature, qui trouvait le moyen d'irriter un peu plus la rancheuse avec chaque parole qui s'échappait des lèvres vampiriques. Malgré tout, Clara pouvait difficilement argumenter contre la vérité d'un manque de baise certain, tant le travail avait absorbé de son temps. Difficile de trouver le temps de draguer en taverne quand un aide-fermier était malade et qu'il fallait reprendre sa charge de travail. Mais Clara allait-elle accepter docilement de servir de jouet à cette intruse? Certes pas de plein-gré. Comme pour ajouter l'insulte à l'injure, la vampiresse s'adressait à ses parties génitales comme si c'était quelqu'un à part, avec une audace qui ne manquait pas de faire bouillir intérieurement la terranide équine. Clara essayait de voir ce que faisait la prédatrice, mais sa position l'empêchait de bien voir ce qui se tramait. Le corps de Lucy faisait office de voile, ses fesses et ses pieds étant les seules parties que la rancheuse voyait clairement. Mais elle sentît bien vite les caresses de la langue de la vampirette le long de la hampe gonflée. Clara jeta une oeillade vers les pieds de la créature. Même une torture par les chatouillis seraient une plus grande satisfaction que d'être prise de force ainsi. Elle prît un fixe, qui ne se dissipa que lorsque l'intruse s'adressa à elle, s'enquérant de son plaisir.


-Comme une folle, répondît Clara avec une petite dose de sarcasme ... sans admettre que les caresses de la langue sur son engin faisaient leur effet, la terranide un brin plus sensible qu'à son habitude; le fruit de longues périodes chastes. Elle dût réprimer un petit gémissement lorsqu'elle sentît les lèvres douces de Lucy déposer un baiser sur son bout gonflé, suivi de caresses plaisantes. L'équine laissa un doux soupir quitter ses lèvres, essayant de garder la tête froide. Son érection se compléta grâce aux contacts sensuels, un épais tronc dressé devant Lucy, dont les pieds agiles s'en prenaient aux seins de Clara, comme s'ils n'étaient qu'une autre paire de mains désireuse d'agripper la moindre rondeur. Le coeur de la terranide battît un peu plus fort durant l'afflux sanguin, elle se sentait irritée par la situation mais excitée par les contacts, l'érection ajoutant de l'huile sur les flammes du désir. Elle aurait certainement préféré rencontrer cette vicieuse dans la taverne du coin plutôt que dans sa chambre à la nuit tombée, après une intrusion. La vampire se leva du lit, à la confusion de Clara.

-Dresser? De quoi tu parles? Qu'est-ce que tu cherches?

Elle tourna la tête et les yeux afin de suivre Lucy et déterminer ce qu'elle faisait. Dans la chambre il y avait, hormis le lit, une commode empli de vêtements plutôt rustiques ornée d'un miroir qui n'avait vu que très peu de séances de maquillage considérant la nature modeste de la blonde. Au pied du lit, une malle contenant des objets sans intérêts, tels que des livres et autres effets dénués de toute particularité. Et la table de chevet avaient deux tiroirs: l'un plus petit au-dessus qui contenait quelques pièces de la monnaie locale et une brosse à cheveux ... mais le tiroir inférieur, beaucoup plus profond, contenait une bouteille à moitié vide de whisky, trahissant l'un des quelques vices de la rancheuse. Sa bouteille personnelle, qu'elle gardait pour se détendre, seule dans sa chambre.

Je ne répondit pas tout de suite a la question de ma victime, je commençait a chercher des cordes. Mais il semblait que j'avais tout utilisé, du moins toute celle que j'avais trouvé plus bas. Hors de question de redescendre pour en chercher, je ne voulais pas laisser la demi équine seule et du coup, lui donner une bonne occasion de pouvoir fuir. Oh que non... j'allais chercher autre chose pour faire ce que je voulais et je put trouver ce qui m’intéressait dans la commode.

Certes surtout des vêtements et du tissus... mais aussi une ceinture et je fut bien heureuse de la trouver. Je vint alors la prendre avant de retourner vers le lit, un sourire carnassier en plein visage, j'avais trouvé bien mieux que de simple cordage. Allait elle aimer ? Pas sur. Allait elle devenir folle... oh sûrement. Je vins donc m'asseoir a ses coté, posant la ceinture sur son ventre. Avant d'ouvrir les tiroirs de la table basse... au cas ou et j’eus un petit sourire amusé en voyant la brosse... nous allions nous amusé. Pour l'alcool... je m'en servirais plus tard.

-Un membre aussi fort... je doute de pouvoir le controler... alors...

Je vint le caresser une dernière fois avant de prendre la ceinture et de serrer avec le plus for possible la bite juste après les couilles. Serrer pas assez fort pour que le sang puisse tout de meme continuer a circuler... bien qu'avec difficulté... mais suffisamment fort pour qu'aucun sperme ne puisse sortir.

-Maintenant on va commencer a être méchante ma belle pouline !!

Je revins m'asseoir sur elle, mes pieds toujours sur la poitrine, et je m’empressai d'attraper la brosse pour commencer doucement a caresser l'engin avec les poils rudes de la brosse. Lentement, de haut en bas, pendant que ma main gauche prenait un malin plaisir a chatouillé le bout du pénis de ma victime. Je gloussait alors que je sentais les pulsations de plaisir parcourir cette bite, léchant mes crocs que je ne cachais plus vraiment... une bite bien gorgé de sang ? Ça pouvait être très nourrissant ?

Je n'avais pas prévu de boire tout de suite, ma soif de plaisir était devenu plus forte, j'étais excité comme une puce a tourmenté cette pauvre fermière et torturer son épaisse bite. Et cela commençait même a me rendre assez chaude... Continuant de brosser lentement, je vins changer de position, m'asseyant sur les cuisses de la terranide pour continuer mon œuvre, tourmentant cette bite, brossant la chaire a nue, léchant le bout de cette bite pendant que mon doigt jouait avec un bien belle orifice au sommet de cette tour bouillante.

-Oh bordel c'est le pied !!

Je caressait son ventre avec mes pieds, mais gênée de ne pas pouvoir m’enrouler autour de cette bite sans devoir laisser mes pieds sur la touche, je vins attraper de ma main libre, la couture de mon pied droit pour le détacher de ma jambe, puis je fit de même a mon pied gauche. Plaçant mes pieds sur ses seins, pour que mes orteils continu agripper ses mamelons de plaisir. Je vins alors enrouler mes jambe autour de sa tete, telle un serpent, continuant mon œuvre.

-Prend soin de mes pieds comme je prend soin de ton engin ma belle.

J’explosai de rire tout en continuant mon travail sadique.

La vampire continuait de fouiller un peu partout dans la chambre de Clara, sans jamais lui donner de réponse, il n'y avait rien de particulièrement dispendieux dans la chambre. Clara avait beau se triturer le cerveau, elle n'arrivait pas à imaginer ce que pouvait chercher cette créature perverse. Et les liens tenant la terranide clouée au lit ne se faisaient pas moins solides. Elle profita d'un instant pour tirer sur les cordes, dans l'espoir de se libérer, quitte à endommager le lit. Ses efforts furent vite interrompus par Lucy, qui revenait s'asseoir sur le lit avec en main une ceinture de cuir usée et la brosse à cheveux de Clara. Elle haussa un sourcil, se demandant bien ce que l'intruse allait ficher avec ça.

-Contrôller? Mais qu'est-ce que ...

La ceinture se resserra autour de sa hampe, juste à la base de son manche, Clara grogna  en sentant le cuir faire étau sur son membre. Elle le voyait déjà gonfler un peu plus, la pression faisant ressortir ses veines, il y avait juste assez de pression pour éviter de couper complètement la circulation sanguine, mais cette dernière était tout de même limitée. Lucy cherchait-elle à la forcer à rester au garde-à-vous? C'était un brin inconfortable, mais pas autant que les sensations qui s'emparèrent de son chibre. La vampire était encore allongée sur Clara et ses pieds étaient encore sur les seins de la rancheuse, comme si jouer avec la large trique ne suffisait pas. Mais ce n'était rien à côté de la brosse qui glissait le long de son membre, une brosse aux poils suffisamment fermes pour dompter la chevelure blonde de Clara. Chaque passage de ces crins rudes faisait grimacer la victime, couplé avec la sensation plus plaisantes des doigts qui caressait le bout de son phallus chevalin. Clara pouvait difficilement apprécier les caresses quand le plaisir était contré par une brosse frottant le long de sa hampe.

Clara tira à nouveau sur les liens en espérant que ses tympans seraient alertés par le bruit d'une corde qui claque ou bien de la tête de lit qui craque. Malheureusement, le lit s'entêtait à résister, faute d'une fabrication de qualité qui était une bénédiction pour sa longévité, mais une malédiction lorsqu'il fallait se libérer des griffes d'une vampire dominatrice. Et cette dernière avait bien plus de plaisir que sa victime alors qu'elle ne s'était toujours pas pénétrée avec le membre. Elle se contentait de jouer avec sa proie plutôt que de se satisfaire vite-fait, comme si elle cherchait à torturer la rancheuse au nom d'un sadisme certain.

-Allez, ça suffit! Gnn ... arrêtes ça tout de suite!lançait la terranide de plus en plus énervée. Ce fût un choc pour elle de voir la vampire détacher ses pieds après avoir changé de position, la paire de petons reposait sur les seins de Clara et les orteils continuaient de tripoteur alors qu'il n'y avait pas la moindre veine, le moindre ligament pour relier le tout aux jambes de la créature. Quel sorte de monstre était-ce là? Clara eût un frisson en voyant les jambes mutilées de la vampire s'enrouler autour de sa tête pour la tirer vers les deux pieds. La terranide grogna sous l'ordre donné par la créature. Clara n'était pas de nature sauvage mais Lucy la poussait à bout et aussitôt que l'ombre d'un orteil se trouvait à portée, Clara referma ses dents dessus, histoire de donner une leçon à la vampire.

-M’arrêter ? oh ça non !!

Hors de question que je m’arrête alors que j’appréciait autant l’expérience ! Je devais bien admettre que j’avais tendance à préférer les vagins au verge mais la… toute préférence était mise de coté juste pour s’éclater le plus possible. Je vins alors chatouiller avec mes crocs, chaque veine apparente… mordillant le sommet de la bite avant de venir lécher le tour de l’urètre. Mes mains venaient alors masser les couilles de l’équine, attendant enfin l’heure ou une première éjaculation sera bloqué par la ceinture.

Cela semblait il n’allait d’ailleurs plus tarder alors que mes doigts venaient chatouiller l’intérieur de l’urètre, je sentais des pulsations de plaisir traverser tout ce corps. Elle tentait de se retenir mais pourquoi faire, de toute manière rien ne passerait… elle ne pourrait jouir tant que je serais la, je la rendrais folle… puis enfin, il y eu un large tremblement la parcourir et puis… rien… j’avais réussi mon coup, son corps a exigé de jouir mais n’as pas pu.

Je vins éclater de rire et je vins me redresser, écartant avec mes mains son urètre pour voir l’intérieur de sa bite… pas une seule goute de sperme. Je crachai alors dans sa bite avant de me retourner vers elle. Un large sourire sur le visage alors qu’elle commençait à suer.

-Un peu chaud ma belle ?

En tout cas sa bite était brulante, a deux doigts d’exploser… dommage que je n’en avais pas finis avec elle. Je posai la brosse avant de ramasser mon pied droit, une idée horrible en tête. Je fis alors un petit espace dans l’orifice avec ma main libre avant de commencer a enfoncer mon pied par le talon dans le pénis de la demi équine. J’enfonçais mon pied, lentement mes surement tout en chatouillant les parois interne avec mes orteils. Puis finalement, arriva un moment ou je ne pouvais que effleurer le bout de mes orteils… le seul moyen de le récupérer… c’est de jouir maintenant.

Reprenant la brosse, je vins chatouiller bien plus fort le bout de la bite alors que mon pied a l’intérieur chouillait avec mes orteils.

-Oups… je crois que j’ai perdu un truc en toi… rend le moi s’il te plait !!

Et la "torture" se poursuivait pour la terranide équine complètement à la merci de la vampire, dont la fascination pour la verge de Clara n'avait d'égale que sa soif de luxure. Le gros tube veiné se faisait malmener par les mains et les crocs de la vampire, alors que les sensations se tiraillaient dans l'esprit de Clara. Elle était bien dure et peu à peu, le plaisir montait comme si la rancheuse avait une sorte de désir masochiste inavoué. La prédatrice léchair le bout du phallus totu en massant les gros testicules équins, poussant Clara graduellement plus près de la jouissance. Les petits doigts fins de la créature écartèrent ensuite les rebords de l'urètre, comme si Lucy espérait voir le fond du petit tunnel sombre. Rien ne semblait prêt à en sortir, si ce n'était d'un peu de pré-sperme clair, loin d'être épais et emplis de petits nageurs comme une véritable éjaculation. Clara croyait avoir un moment de répit alors que Lucy posait la brosse.

-Est-ce que ça va finir ... lâcha-t-elle avec un halètement. La réponse n'eût même pas besoin de se garnir de mots prononcés verbalement car la créatures prît un de ses petits pieds pour tenter de l'insérer dans l'entrée étroite du phallus équin, sous les grognements de Clara. Le gros orteil pouvait tout juste y entrer de façon inconfortable, mais la moindre plainte ou protestation de la terranide n'allait pas empêcher Lucy de forcer le passage. Clara sentait l'orteil gigoter à l'intérieur, ça lui chauffait et la stimulait du même coup.

-Gaah! C'est de la folie!

Clara serra les dents, tirant de plus belle sur ses liens. Elle y mettait toute la force de ses bras de fermière et un léger craquement se faisait entendre. La rancheuse était trop concentrée sur sa tentative d'échappatoire pour déterminer si c'était la corde qui cédait ou bien les petits poteaux de bois du lit.

Je m’amusais comme une folle, certes j’avais réussi à ne placer qu’un orteil mais c’était suffisant pour rendre l’équine complètement folle… comme moi mais autrement. Je m’amusais de voir sa bite pulser avec force, comme un volcan rêvant d’une éruption mais bloqué par quelque chose. Surement que pas juste sa bite rêvait d’une éruption mais l’équine aussi. Et j’allais la tenter encore plus, je vins alors retirer mon pied pour le reposer sur sa poitrine avec l’autre avant de relever un peu ma jupe pour commencer, lentement mais surement à frotter sa bite avec mon entre jambe.

-Alors ? ça te tente ?

Était-ce possible pour elle de briser la ceinture avec juste une éjaculation ? Peut-être oui mais clairement la n’était pas le but, juste de la provoquer encore plus. Peut-être qu’elle allait perdre la tête avant que je termine. Toujours est il que ma chatte mouillait se faisait un malin plaisir de chatouiller sa bite sur sa longueur. Je me caressais les seins alors que j’allais de lu haut vers le bas, appuyant mon clitoris plus fort sur la verge de la demi équine laissant un peu mes pieds tombés un court instant qui se contentèrent d’agiter lentement leurs orteils par le plaisir. L’ambiance plus calme, je commençais à gémir lentement, ne faisant plus attention a ma proie, profitant juste de sa bite et de ma chatte.

Finalement c’était moi qui commençais a être tentée, observant son membre avec envie alors que je m’excitait de plus en plus… alors que ma chatte s’approchait de plus en plus du sommet, je voulais de plus en plus… tenter de m’enfoncer ce membre en moi. J’avais de grande chance de me déchirer la chatte et de me faire exploser l’utérus sans aucun doute mais… j’avais survécu à des désintégrations alors. Je me redressai sur mes genoux, cherchant alors comment bien me positionner pour tenter de faire rentrer mais d’abord j’utiliser le haut de la bite de l’équine pour me caresser encore un peu et m’envoyer toujours plus dans un autre monde.

-Ah ah… juste magique d’etre doté comme ça…

J’eu une hésitation… devais je le faire ? C’était risqué… surtout que j’avais cru entendre un craquement… le lit ? Les cordes ? Ou alors est ce que je devenais juste un peu trop paranoïaque ? Je n’eu pas le temps de pleinement répondre à cette question que le lit craqua pour de vrai cette fois et je fus renversé sur le côté, roulant vers la fenêtre prête à m’enfuir. L’équine, était libre, ou en tout cas le serait bientôt.

C’était le moment de prendre la poudre d’escampette avant de prendre une rouste. Sans plus attendre je fis apparaitre mes ailes et vint m’asseoir sur le bord de la fenêtre avant de prendre mon envole.

Cependant, a peine partie… je me rendis compte que j’avais oublié quelque chose… le plus important… qui me fit faire demi-tour immédiatement en espérant que l’équine soit toujours attachée.

-MES PIEDS !!

La vampire ne cessait d'échauder la fermière alors que cette dernière tentait de briser ses liens, ses biceps gonflés sous l'effort. Clara était d'un naturel calme mais sa captivité plus le "teasing" de la vampire commençait à la faire bouillir, son sang équin brûlant sous la pression. Elle commençait à tenir de l'étalon en rut, qui ferait n'importe quoi pour se soulager, au point d'en devenir fou de rage. Et pendant ce temps, la créature continuait de la provoquer et commençait à s'auto-satisfaire, se frottant de long en large contre le phallus équin, sans jamais le laisser faire son chemin en elle. Clara s'arrêta un instant pour souffler un peu, fermant les yeux un instant. La vampirette continuait de caresser le membre avec sa chatte dégoulinante, elle-même semblait avoir du mal à supporter les envies provoquées par ce petit jeu et brûlait sans doute de se laisser tomber sur le gros membre afin de goûter à un peu de satisfaction.

Le pied était de retour sur la poitrine de Clara, qui avait presque oublié la présence de ces deux membres détachés du corps de l'intruse. La fermière commençait à fantasmer à l'idée de les clouer sur une table et de les fracasser à coups de marteau, histoire de faire regretter la vampire de l'avoir ainsi traitée. Mais pour le moment, la terranide ne pouvait que recommencer à tirer sur ses liens, les craquements eûrent tôt fait d'alerter l'intruse, coupant net sa séance d'auto-satisfaction. Le fait que Clara n'eût pas le loisir de cracher sa semence ne faisait que la rendre plus sauvage et elle allait tirer sur ses liens pour se libérer, et ce même si elle devait se disloquer les poignets.

-Suffitgrogna-t-elle, ayant presque l'écume à la bouche,Suffit!

Lucy avait visiblement l'habitude de sentir le danger et de savoir quand s'échapper, elle était déjà à la fenêtre lorsque dans un ultime effort, Clara arracha les cordes retenant ses poignets. Fixant la vampire avec un air décidé, elle agrippa l'un des pieds de la créature et referma ses dents dessus avec force, gardant ainsi ses mains libres pour délier ses pieds tout en s'assurant que la créature ne pourrait pas simplement venir récupérer son peton sans devoir lutter. Une fois ses propres pieds libres, Clara se redressa du lit avec les muscles tendus comme un étalon enragé. Elle retira la ceinture qui étouffait son engin, gros, large et veiné, prêt à servir. Clara reprît le pied dans sa main, le serra fermement.

-Tu m'a poussé à bout, p'tite,dit-elle, soufflant comme un animal,J'espère que t'aime le rodéo!

Et au ton employé, elle laissait visiblement entendre que ce n'est pas l'étalon qui se ferait chevaucher mais bien l'inverse. Elle serra sa poigne plus fortement sur le pied de la vampire, espérant la paralyser par la douleur sans même être certaine si un pied séparé du corps pouvait toujours transmettre ce genre de sensation. La première étape de la punition de Lucy serait d'être tirée de la fenêtre et de s'étouffer sur un gros membre logé dans le fond de sa gorge. Clara ne comptait pas être douce avec sa partenaire, pour une fois.