Quelle magnifique petite poupée de stupre. Les yeux rieurs, ma grosse queue enfoncée jusqu’aux couilles entre les lèvres de la jeune femme, je la besogne avec nonchalance, mes doigts glissés dans ses longs cheveux châtains. Mais brusquement, la poupée se rebelle et de ses petites mains blanches, elle appuie sur mes cuisses pour me repousser vers l’arrière. Surpris, je recule d’un pas, sourcil froncé. Est-ce que c’est déjà trop, pour elle ? Je comprends bien vite qu’il n’en est rien. Pantelante, la chatte ruisselante de pisse, Astrid fait glisser son soutien-gorge sur ses épaules d’albâtre, dévoilant son opulente poitrine, compressée dans un élégant soutien-gorge. Putain, j’avais oublié qu’elle avait d’aussi grosses loches. La fausse ingénue se redresse, non sans difficulté, avant de me rejoindre pour empoigner ma grosse bite. Elle sait y faire, et je grogne d’aise, les lèvres serrées.
“Putain ouais.” Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle se montre aussi entreprenante et bordel, ça me plaît. Un grand sourire s’épanouit sur mon visage, lorsqu’elle le rapproche du sien avec autorité. Elle pue la pisse. “J’aime donner ce qu’elles méritent aux sales petites putes comme t… Mhhhh…” Impossible de terminer ma phrase; se redressant sur la pointe des pieds, Astrid a écrasé sa petite bouche entrouverte contre la mienne. Dégueulasse. Le goût de mon foutre, je le connais. Ma pisse, ça m'était jamais venu à l’idée de la goûter, et je grimace de dégoût, incapable pourtant, de décoller mes lèvres des siennes. C’est âcre, acide et odorant. Mais une fois encore, je me rends compte que ça m’excite. Les yeux mi-clos, j’accueille sa petite langue fureteuse entre mes lèvres, y presse fiévreusement la mienne, alors qu’elle m’attire, puis me pousse vers le capot. “T’es vraiment, sale Astrid…” Ma voix a faibli. Sensation vertigineuse. Je sens que le contrôle m’échappe en partie. Astrid me tient à sa merci, fourrant sa langue entre mes lèvres, branlant fermement ma grosse bite. Presque sans m’en rendre compte, je me retrouve adossé, puis assis sur le capot de mon véhicule les yeux écarquillés. Mon cœur bat la chamade. Mais lorsque nos lèvres se séparent, encore reliées par un long filet de salive souillée, je fronce les sourcils. Ma main empoigne ses cheveux, pour tirer sa jolie petite gueule vers l’arrière, et je lui crache au visage.
“C’est pas toi qui décide quand je te baise, sale pute.” Une gifle sonore accompagne mes propos. Mon autre main glisse dans son dos et mes gros doigts s’insinuent dans son sillon fessier, jusqu’à glisser sur le renflement de l’orifice poisseux et dilaté d’Astrid. Sans hésiter, j’y glisse majeur, index et annulaire, pour la fouiller sans ménagement. Le trou est tiède, bien distendu. Shlick shlick. Toshio a bien travaillé. A mon tour, je rapproche mes lèvres de son oreille. “Tu n’as pas bien poussé, il reste du foutre dans ton cul, sale chienne. Peut-être qu'on devrait directement pisser dans ton cul, la prochaine fois.” Je l’embrasse de nouveau, plus délicatement, cette fois-ci. Agité par des sentiments contradictoires, j’ai envie de lui faire autant de mal que de bien. “Viens-là, ma puce.” Le ton est doux, mais impérieux. Je la repousse doucement, pour me redresser et intervertir nos positions, l’incitant à s’asseoir sur le capot, face à moi “Retire ça”, je lui souffle, en désignant son soutien-gorge, alors que j’abaisse sèchement mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles.
Enfin, je m’avance entre ses jambes, le souffle court, venant percuter sa petite chatte souillée de mon gros gland, l'y frotter sournoisement pendant de longues secondes. “Je veux te voir quand je t’encule, petite pisseuse.”, je lui précise, avant de fourrer mes gros doigts souillés du foutre de Toshio dans sa petite bouche entrouverte. “Nettoie, connasse.” De la paume de mon autre main, j’appuie fermement sur son abdomen pour la maintenir en place, avant de présenter mon chibre devant sa petite corolle défoncée et suintante et de pousser, en grognant comme un vulgaire animal, mon front heurtant le sien dans l’opération. “Hmmm…. Ha… Astrid, putain, ton trou…” Mes doigts quittent sa bouche pour empoigner sa hanche gauche et me donner une meilleure prise. Malgré le travail de Toshio, la petite chienne est encore trop serrée pour mon énorme chibre, et je dois forcer pendant de longues secondes. “Pousse chienne, pousse bien pour la grosse queue. Là…. Hmm... !” Lorsqu’enfin elle se détend, je glisse brusquement en elle jusqu’à la garde, écrasant mes bourses pleines contre sa vulve détrempée, manquant de gicler dans l’opération. Le coeur battant, le front collé à celui d’Astrid, mes yeux plongés dans les siens, je reste immobile l’espace de quelques secondes, avant d’imprimer un mouvement lent, mais profond à son bassin, fouillant ses entrailles avec délectation, les doigts enfoncés dans la chair de ses hanches pâles, me délectant de l'infâme bruit mouillé de ma pénétrations.