Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kilian Piers

Pages: [1] 2
1
Le coin du chalant / Re : Deux pour le prix d'une !
« le: vendredi 04 août 2023, 23:49:35 »
Je vais partir en vacances, mais je serai intéressé pour ces deux jeunes femmes  ;D

2
Place publique / Re : Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: mardi 18 juillet 2023, 20:52:24 »
Pu....tain....que c'est bon, cela fait longtemps que ma queue ne s'était pas invité dans ce lieu interdit. Pris de frénésie, je remarque que le moment n'est pas agréable pour toi, pour le moment, mais je n'en ai cure et prends la place qui me revient dans ton fondement, tes chairs s'écartant sur mon passage, comme enfiler une bague trop petite pour le doigts qui va la porter, je sens une résistance de ton corps à mi chemin de mon exploration.

Tu es crispée, alors que je suis si dur en toi, je décide de te donner un coup de pattes en guidant mes doigts sur ton clitoris toujours gonflé de nos ébats, alors que commençant à transpirer, je reprends mes vas et viens en toi et plus je te stimule, plus ton corps se détends et les derniers centimètres restant viennent se loger en même temps que tu hurles ce qui ressemble à de la douleur, mélangé à du plaisir...Ce n'est qu'à ce moment là que je remarque, à la lueur d'une simple bougie, le miroir accroché au mur face à toi m'offrant une vue sur ton sourire aussi béa que ton regard est vide de toute expression dû à la fatigue. Il est temps d'en finir pour ce soir si je veux que tu sois encore en état de faire quoi que ce soit à l'avenir.

Agrippant fermement tes hanches, je repend mon pilonnage, chaque parcelle de ma fourrure est parcouru d'un frisson intense alors que je laisse échapper de profonds et puissants gémissements de plaisir, la douceur de ta peau, ta plastique parfaite, je te veux pour cette nuit et pour beaucoup d'autres. Bandant comme un taureau je finis par me lacher complètement dans ton cul, me cambrant instinctivement vers l'arrière, plantant mes griffes dans ta peau j’éjacule non stop pendant une dizaine de seconde te remplissant entièrement, tandis que je vois flou et sent que tu te crispes juste avant que tes jambes ne lâches sous la fatigue.

Transpirant, la langue sortie à haleter pour retrouver mon souffle, ne pouvant sur le moment rien faire d'autre que de te regarder t'effondrer. Au bout de quelques minutes, je te libère de tes entraves t'empéchant de tomber sur le sol, emportée par le poids de ton propre corps, je te soulève, t'allongeant dans mes bras, je prends la liberté de fouiller la boutique pour trouver ton logement. Vu ton état tu n'es pas en état de protester de toute manière. Par chance ton logement n'est pas bien grand et je peux te glisser sous la douche, faisant tomber l'eau pour te décrasser.

Une fois que tu es plus présentable, je te prends sous le bras et t'emmène dans ton lit avant d'aller moi même me laver tant bien que mal. Sans deconner si je reste quelques temps il va falloir redimensionner le logement qui est disproportionnée vu ma carrure. Bon, une fois sortie je prends un fauteuil à l'allure ancienne, en tissu. Typiquement medieval RPG, et m'affalant dessus je m'endors sans difficulté, demain on se mets au travail sérieusement et tu seras récompensée.

3
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 16 juin 2023, 09:46:26 »
Mentalist, je sais c'est pas une nouvelle série, mais je n'avais jamais regardé

Votre prochaine destination vacances ?

4
Place publique / Re : Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: mercredi 07 juin 2023, 22:11:55 »
Tes mouvements lancinant, passionnés me font monter en extase, mon souffle est saccadé, accélérant de plus en plus, ma prise se rafermit, et je me cambre en arrière pour te remplir pour la première fois de la soirée de mon sperme chaud, par jets successifs, si bien que ça déborde le long de tes cuisses. Je prends la peine de retrouver mon souffle, te laissant tomber au sol et me servant de ta bouche pour nettoyer mon chibre gluant et puant.

Toujours aussi dur, je me lève, observant autour ce qui pourrait être utile, mon regard se projette d'abord à gauche avant de lentement aller sur la dr...oh que vois je ? Une sorte de piloris, selon ce que j'ai vu dans des livres d'histoires. Voilà une invention passionnante. Ca entravera tout risque d'échappatoire pour ce qui va suivre. Après tout le titre de cette histoire, n'est pas là pour faire joli. Attrapant une poignée de cheveux, telle une laisse, je te guide dans ton laboratoire, tandis que tu te meus tant bien que mal à quatre pattes, complètement chienne actuellement.

Te soulevant sans difficulté, je pose ta tête dans l'espace du milieu et tes bras de chaque côtés, laissant s'abattre pour se refermer la seconde partie, destinée à te maintenir en place. En voilà une vision qui me fait frémir, durcir, et lécher mes babines. Juste deux trous à remplir pendant que tu couines. Te griffant le dos, laissant des marques sur ton corps, en veillant à ne pas non plus te lacérer, je m'abaisse face à ton cul, offert gracieusement, ma langue vient chatouiller ton orifice encore vierge de toute intrusion, jaugeant tes réactions, aucune ne laisse penser que tu détestes. Génée, honteuse, peut être, sans doute, mais désireuse. Étonnement aucune odeur, ni goût désagréable, comme si inconsciemment, chaque jour tu te préparais à ce genre de traitement. Ca ou bien je suis chanceux, mais je ne crois pas en la chance.

Peu importe, car voilà ma langue qui se faufile toujours plus loin, ouvrant tes chairs peu à peu, chatouillant ton fondement, mes mains occupées quant à elles avec ta poitrine, pas suffisament gatée à mon goût. Malaxant à pleine main, sans retenue ni douceur, je m'amuse avec et prend mon pieds à profiter de leur opulence.

- Aller, tu es suffisament prête à mon goût. Respire un grand coup.

Pendant que je te parle, me voilà me redressant, guidant ma queue avec ma main à l'entrée de ton cul...tu trembles, tu as peur ? Tes chairs commencent à s'écarter avec résistance à l'invasion de ma protubérance mais délicieuse tentation. Tes hurlements ne m'empêche nullement d'aller jusqu'au bout de mon envie, au contraire, et je commence à aller et venir, pour t'empaler toujours plus loin. Tant que ton cul n'aura pas tout aspiré, ton « supplice » ne sera pas terminé

5
Place publique / Re : Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: vendredi 26 mai 2023, 21:32:10 »
-...Haaa..... haaa.... en...co...re....

Bonne réponse, cependant au vue de ton visage marquant un sourire béa, et un regard vide, je ne suis pas sur que tu ai bien compris dans quoi tu t'embarquais. Peu importe, tu vas devoir assumer maintenant, prenant ta main, jouant à jongler entre la brutalité déchainée, et la douceur galante en un instant, je te relève, te prenant sur mon épaule avant de m’asseoir et t'installer allongée sur mes genoux et faire s'abattre un coup puissant et sans équivoque sur ton fessier, laissant dès le premier coup une marque rouge et chaude qui se dessine à la lueur des quelques bougies qui éclairent la pièce.

- Je vois que tu manques d'éducation, on supplie lorsque l'on veut quelque chose à tout prix.

Les coups froids et violent fusent dans la pièce, au milieu de tes gémissements mêlant plaisir et frustration, au milieu des débris de ton esprit brisé qui se reconstruit peu à peu sur la base de la luxure et du stupre le plus bestial.
Alors que tu finis par me supplier de te baiser, je tire tes cheveux qui se détachent dans la foulée, les laissant décoiffés, tombant anarchiquement devant ton visage, alors que je te fais asseoir sur moi, ma verge écartant à nouveau tes parois et retrouvant place dans tes chairs dans un rale mutuel de plaisir. Ma patte épaisse et moite de sueur aggripe ta nuque laissant poindre une lueur que je ne saurai décrire mais qui me plait.

- Chevauches moi.

L'ordre est donné, tombant comme un couperet et vif comme une lame aiguisé, je te sens te mouvoir avec souplesse et lenteur, sans doute pour retrouver ton souffle, profitant du répits qui t'ai gracieusement donné, admettant au fond de moi que tu sais y faire, voilà que je gémis moi même, me retenant de jouir trop vite alors que tu ne fais que commencer. L'ombre que l'on projette sur le mur donne l'impression que nous ne sommes qu'une créature sortis tous droits du second cercle des enfers, créer pour baiser jusqu'à l'éternité, l'odeur de sex qui flotte dans l'air, chatouillant les narines, nos pupilles dilatées, ne font qu’attiser cet atmosphère si singulier mais que je prend mon pieds à vivre.

Une nouvelle expérience pour moi, et cette nuit es loin d'être arrivé à son terme

6
Putain....je n'ai pu entrer que la moitié de ma queue entre tes cuisses, et tu es malgré tout si serrée et accueillante que c'est comme si tu m'avais attendu toute ta vie. Je reste un instant immobile à profité des palpitations de tes parois épousant parfaitement le barreau qui vient de te transpercer te faisant presque jouir instantanément. Une chatte tout ce qu'il y a de plus humaine, lisse, et chaude, ça m'avait manqué. Me mordant la lèvre et sentant un long frisson parcourir mon corps, surtout mon ventre que je sens se contracter d'excitation, c'en est presque douloureux.

Aller la pause est finie, lorsque je te sens instinctivement avancer tant bien que mal dans ta position pour pouvoir mieux dévorer cette barre inflexible et dévastatrice qui te dévore aussi bien l'esprit que le corps. J'empoigne fermement tes fesses, les écartant en laissant apparaître aisément le second orifice qui nous servira plus tard.

Reculant mes hanches te retirant par la même ta friandise, je laisse le bout du gland juste à l'entrée, stimulant ton point G je prends mon pieds à t'arracher des gémissements de plaisir, observant tes poings se fermer jusqu'au sang, à défaut de pouvoir agripper autre chose. Je ne te fais pas attendre plus longtemps et te transperce encore plus fort que la première fois, forçant l'entrée pour me glisser un peu plus en toi. Pour être une bonne amante, tu vas devoir m'accueillir toute entière avant la fin de cette séance.

Je recommence sans discontinué ma baise de ta personne y ajouter un rythme effréné en plus de la force, ton buste  étant projeté à chaque coup de rein, la résistance des pieds de la table est mise à rude épreuve. C'est un véritable pilonnage hors norme que tu te prends et encaisse admirablement bien. Si bien que lorsque la table finie par céder et s'écrouler sur elle même,  tu es tellement empalé que tu ne tombe pas, retenue aux seules forces de ma queue et ton gainage.

- Très bien, je crois qu'on va passer à un autre niveau, tu vas adorer ça !

En un instant, je passe mes bras sous tes cuisses écartées et te soulève du sol, la gravité dans cette position finit le travail commencé et ma bite disparaît totalement dans un hurlement venant du plus profond de tes tripes. J'en profite pour glisser ma langue bestiale dans ta bouche et te donner un baiser aussi sauvage que ce qui se passe à l'abri des regards dans cette boutique à l'apparence respectable.

Incapable de te soulever par toi même au vue de ta position, je me charge de te faire sauter comme une certaine lapine que je connais, le long de mon chibre, éclaboussant le sol de ta mouille à chaque mouvement, causant en peu de temps une véritable flaque. Je t'entend hurler dans mes oreilles, alors que j'observe ton visage vide de toute expression, comme si ton cerveau était éteint.

Je connais cette expression, tu es prête...

Sentant ton corps trembler de manière presque épileptique, et ta respiration devenant d'un coup haletante, et montant en intensité, je choisis cet instant précis où l'orgasme libérateur allait arriver pour te soulever afin de me retirer, te libérant les poignets et t'observant de ma hauteur.

- Je te laisse deux choix, soumets toi à vie à ma queue et à la luxure que je te donne, ou je me rhabille, on en reste là et tu me donnes ce que je suis venu chercher de base, ensuite tu ne me reverras plus.

J'aime tellement ce jeu d'illusion de choix...

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Prélude / Re : Fée royale grâce au destin [Meowlidée]
« le: jeudi 27 avril 2023, 23:04:14 »
Re bienvenue jolie fée  :D

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-Haaa.... mais....

Le couperet tombe, une fessée brutale résonne dans l'arrière-boutique avant même que tu n'aies l'occasion de protester plus longtemps, te retenant de tomber en avant pour ne pas que tu t'échappes, je viens dévorer ta fente bien plus intensément...laissant ma langue vaquer le long de tes cuisses pour remonter de manière tentatrice dévorer ton clitoris,  en tournant autour, aggripant tes hanches fermement pour me rapprocher le plus possible, finissant par te soulever, plaçant tes jambes sur mes épaules pour avoir une meilleure prise. Le goût légèrement salé de ta cyprine me fait perdre toujours plus la tête.

- T'as bon goût putain...

Ma longue et pointue langue se faufile généreusement dans ton vagin, faisant de langoureux va et vient à l'intérieur, chatouillant tes parois, tes gémissements incontrolées trahissant le silence religieux du reste de la boutique. Tandis que mes mains finissent de te déshabiller en déchirant cette chemise trop encombrante et laissant pendre ta voluptueuse poitrine qui me fais de l'oeil depuis que je t'ai vu.

Je finis par te libérer, attrapant ton bras pour te mettre debout devant moi, prenant le second bras pour l'emprisonner dans ton dos également, ramassant une lanière de cuir qui pend au plafond pour te ligoter les poignets l'un avec l'autre, tout en faisant le tour de ta poitrine, t’empêchant totalement de bouger, en plus de mettre ton buste encore plus en valeur en te collant à moi, ma queue passant le long de ton entrejambe à nue.

- J'aime ton odeur...

Ma patte venant se placer sur ton ventre, je sors une griffe qui sans transpercer la peau, appuie dessus pour remonter lentement vers ta hanche

- ...J'aime te dominer...te voir t'abandonner à la servitude....

Cette même griffe arrive au niveau de ta poitrine, jouant avec, l'explorant en passant sur tes tétons dressées fièrement comme un appel à les pincer, ce dont je ne me fais pas prier, tirant sans retenue comme si je voulais les arracher, les faisant pivoter d'un coté, puis d'un autre...

A l'extérieur, là où le soleil inondait les quelques fenêtres de l'arrière-boutique il y a quelques minutes, on y trouve l'obscurité d'un orage qui menace de frapper aussi soudainement que la situation a dérapé.

Je sens les mouvements désespérés que tu donnes pour te frotter contre ma bite, comme un appel à l'aide, ta respiration saccadée, tes gémissements d'impatience mélée à la douleur qui se confond avec le plaisir. Je  ne tiens moi même plus, te tirant vers ta table de travail, renversant tout ce qui est dessus pour t'allonger sur le dos, tes jambes pendant dans le vide, je guide ma queue à l'entrée de ta chatte grande ouverte pour m'accueillir en elle. Et sans plus de cérémonie ou d'hésitation d'un grand coup je te transperce avec, à l'instant où la foudre retentit...

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Place publique / Re : Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: mercredi 26 avril 2023, 21:27:47 »
Bonne fille qui a su instinctivement où était sa place. On pourrait même dire que tu sait y faire, du moins si tu étais vierge et que c'était ta première f...attend, ça se pourrait ? Non, tu n'as pas hésité plus que ça, ni fait ta mijorée, mais tu ne dois pas avoir beaucoup d'expérience.

C'est parfait dis donc, un diamant brut, prêt à être sculptée au nom de la débauche. Mais la première étape d'une sculpture c'est de taillé dans le gras le plus large possible. C'est douloureux, radical, mais il n'y a pas de retour possible. Dans le cas présent, ça se traduit par ma main qui attrape ta gorge et empale le plus possible ta jolie ptite gueule, sans te demander ton avis. La privation d'oxygène, la sensation de régurgitation imminente, et d'étouffement peut être terrifiant au début.

Tes gestes affolés pour te débattre et te libérer sont inutiles, jusqu'à ce que moi même je te libère pour te laisser prendre une putain de bouffée d'oxygène, la bave coulant encore au sol, et le manque d'oxygène te donne un air totalement sonnée et choquée.

Est ce que j'en ai quelque chose à foutre ? Non.

Après t'avoir suffisamment laissée respirer, je t'empale à nouveau, et je me sens durcir encore plus alors que je sens ta langue, instictivement faire son travail, malgré la vue de tes yeux révulsés, tes bruits de déglutitions, et tes gestes désespérés cherchant à me faire comprendre que tu as besoin de respirer.

- Et bien ma sorcière, ça fait quoi découvrir ce qu'est une véritable baise ?

Trop occupée à tousser pour répondre, je t'attrape par la nuque et te soulève du sol afin de glisser ma main plus facilement entre tes cuisses qui bavent autant que ta bouche.

Une vraie salope soumise qui s'ignore. J'ai l'intention de t'éduquer, et ton laboratoire recèle d'outils très intéressant. Sans doute pour mener tes expériences sur des créatures dangereuses, pour assurer ta sécurité. Mais d'ici que l'on ai terminé, tu te retrouveras à leur place, subissant mes expériences...personnelles.

Mais pour l'heure tu te retrouves de nouveau au sol. Le buste plaquée contre celui ci, le cul relevé, lorsque d'un coup de griffe je déchire ta jupe et ton sous vêtement, dévoilant ta fente dégoulinante, ouverte à m'en lécher les babines, tandis que j'approche mon museau de ta croupe. J'ai constaté depuis quelques mois que je suis transformé combien la langue des loups est plus longue, rugueuse qu'une langue humaine. Un atout de premier ordre pour venir flatter les fentes féminine d'une femme.

C'est pour cela que, tenant ma queue d'une main pour la branler intensément tout en évitant qu'elle ne frappe le sol, je sors ma langue pour la frôler contre ton intimité provoquant un sursaut...je recommence, toujours frôlant, jouant à tourner autour, sans pour autant te donner la satisfaction de me lancer vraiment dessus. Et je sens que l'impatience que je m'y mette réellement monte. Tant mieux, je vais jouer avec, tandis que je passe ma langue sur toute la longueur de ta chatte avant de t'en priver, encore...

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Ouhhhh je ressens des frissons le long de mon corps au contact de tes mains et de ta poitrine, la douceur de ta peau qui parcourt assidûment chaque partie de mon anatomie me renvoi des images exquises. Bon revenons à nos moutons, ou plutôt au petit agneau qui non content de m'aider, va finir dévorer. Étant un homme pour qui l'égalité homme femme est important, selon les situations;généralement à mon avantage ; il n'est pas juste que tu puisses palper mon corps, sans que je découvre le tiens. Et si tu crois que je ne t'ai pas vu détourner le regard à plusieurs reprise sur mon mat de chair c'est que tu es moins discrète que tu ne le crois.

- J’imagine que je ne suis pas le seul à qui tu fais cet effet

Petite remarque subtil pour te faire savoir que j'ai remarqué tes regards perdues, tandis que je te rapproche de moi, t'entourant de ma main suffisamment grande pour te couvrir le dos, j'en profite pour te palper les fesses comme il faut, et l'humidité que je sens sur tes cuisses est suffisamment évocateur sur ton état que tu tentes désespérément de cacher.

- Tu l'as déjà fait avec une bête ? Cette transformation, a je ne vais pas le nier, quelques avantages...

A partir de là, je commence à jouer avec toi, m'asseyant je te fais grimper sur mon genoux, jambes écartées et ta chatte au contact de mes poils qui viennent te chatouiller

- ….une bien meilleure endurance...

J'hume ton parfum un grand coup,te rappochant de mon visage, ton intimité glissant sur ma cuisse

- ….un sexe encore plus imposant qu'avant....imagine seulement ce que ça donnerai, si je te baisais...là maintenant...

Maintenant ton menton dans ma patte, je te force à ne pas quitter mon regard jaune, transperçant.

L'atmosphère avait drastiquement changée d'ambiance. Et il faut admettre que si au départ j'étais entré dans ta boutique dans le seul but de rectifier la situation, j'avais trouvé une activité annexe des plus passionnants, et comme tu n'es pas sûre de réussir, ça peut devenir des jours de luxure en attendant que les choses évoluent.

Un énième mordillement de lèvres que tu m'envoies, avec ton regard empli d'hésitation et d'envie de céder, achève ma patience et te soulevant tu finis à genoux devant ma bite. Ta queue de cheval, de rigueur pour l'occasion tombe particulièrement bien. Je l'aggripe et approche ton visage au plus près de ma queue qui frétille d'impatience.

- Lèches.

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Place publique / Re : Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: dimanche 23 avril 2023, 13:36:37 »
Non content d'être charmante, tu es également serviable et commerçante, pour ne pas dire naïve, enfin je suis la preuve qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Si tu es suffisamment compétente pour être connue dans les villages alentours, c'est que tu dois être coriace dans ton domaine. D'ailleurs je constate que tu n'as aucune réactions de méfiance ou de désabusement en écoutant mon récit. C'est alors que je constate, une fois mon monologue terminé que je n'ai pas pris la peine de me présenter, trop occupé à me retenir de te briser en deux avec ma verge bestiale.

Je rattrape cet oubli tandis que je te singe en me levant quand tu vas fermer ta boutique.

- Avec tout ça, je me rend compte que je manque à tout mes devoirs, je me nomme Kilian, merci à vous de m'aider.

Pendant mon séjour, j'ai eu l'occasion de remarquer au fil des rencontres que mon langage charretier du quotidien causait plus de problèmes que de solution. J'ai appris à prendre sur moi pour apprendre un phrasé plus soutenu afin de mieux me mêler à la communauté...mais putain de bordel de merde, ça me manque de jurer et dire ce que je pense sans retenue !

Le clin d'oeil que tu m'envoies enflamme mon entrejambe, tu ne t'en rends pas compte mais tu es un appel à la débauche. Curieux malgré tout, je t'observe récupérer à droite à gauche différente mixtures dont je ne sais rien, mais l'assurance dont tu fais preuve parle de lui même. Tu as l'air de savoir parfaitement ce que tu fais.

- Lors de votre apparition dans ce monde avez vous entendu des mots? Ou bien perçu quelque chose de peu familier? Ressentez-vous des choses... en particulier.

- Ressentir des choses ? Rien de particulier, du moins pas d'inhabituel j'imagine quand on est un loup, une faim bien plus conséquente, un odorat sur-développé. Pour des mots, ça ne me dit rien, juste la douleur la plus atroce et intense que je n'ai jamais ressenti en me métamorphosant. J'ai perdu connaissance pendant le processus. Ah si, j'ai aussi ressenti un vertiges et un frisson glacial me traverser. En relevant les yeux j'étais sur Terra.

Tandis que je te raconte tout ça, je te vois sortir un parchemin avant de m'indiquer de te suivre dans l'arrière-boutique...intéressant

- Venez. Nous allons essayer de vous redonnez votre apparence humaine.
- Ah carrément, j'aurai retrouvé mon apparence dans l'heure ?

Là je suis scotché, vraiment. Enfin ne nous emballons pas, ce que les films de fantasy que j'ai vu m'ont appris, c'est que la magie est instable et complexe. Ça serait surprenant que cette métamorphose disparaisse du premier coup. Tandis que tu me tournes le dos, préparant ta mixture, je ne perds pas une miette du spectacle de ton fessier qui semble à première vue bien ferme et rebondi, un appel à une fessée bien placée, voir une série pendant que tu gémis...

-Dernière question avant de commencer. Avez-vous une marque ou un sceau qui serait apparu sur votre corps? Cela pourrait fortement aider à trouver le sort d'invocation qui a servit à vous amener ici.

Encore une fois tu me sors de mes pensées exquises. Tout ça pour une marque ou un sceau ? Je n'ai rien remarqué, même en baisant Winnifred comme une brute. Cela dit, mon pelage est tellement fourni que l'on a jamais exploré en profondeur. Tiens, tiens, est ce que je ne pourrais pas tourner cette question à mon avantage ?

- Hmm, je n'ai rien remarqué, cependant avec le long museau que j'arbore, il est compliqué pour moi de faire une inspection. Si c'est si important, je pense que vous aller devoir chercher vous même...

Je n'ai pas terminé ma phrase que j'ai déjà commencé à me déshabiller, me retrouvant actuellement torse nu, je finis par retirer la totalité de mes vêtements. Il serait dommage de passer à coté d'un symbole bien caché, et de cette queue bestiale aussi longue que rude. Sans doute surprise par mon manque de pudeur manifeste, la rougeur que je lis sur tes joues est suffisamment équivoque.

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Place publique / Re : Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: vendredi 21 avril 2023, 10:47:35 »
S'il y a un point sur lequel toutes les personnes qui m'ont un jour côtoyé s'accordent à dire, c'est que je n'ai aucune patience et qu'un jour ou l'autre ça va me « porter préjudice » et putain dès que je posai les yeux sur toi je me suis dis qu'ils n'avaient pas forcément tort. Des filles avec une plastique avantageuse j'en ai fréquenter un certains nombre, mais dès que j'ai posé les yeux sur toi tu as immédiatement été placé plusieurs crans au dessus d'elles, et ta tenue ne fais rien pour calmer le feu qui vient de s'éveiller dans mon pantalon.

Tout de suite, je décide de changer de stratégie, prenant une profonde inspiration, faisant gonfler mon torse aussi poilu que musclé et une fois mon esprit apaisé, je m'approche de toi avec assurance et charisme.

- Enchanté Maxine, vraiment, permettez moi de vous saluer comme vous mériter. Prenant ta main avec grâce j'y dépose un baiser chaste.

Évidemment je ne me suis pas transformer en gentleman par pur bonté, mon objectif, au delà de trouver un moyen de rentrer, c'est de t'empaler sur ma queue jusqu'à mon départ. Cela étant, je fus surpris de croiser un être humain qui ne semble pas écœuré par mon apparence, ce qui est suffisamment agréable pour le souligner. Je cherche du regard une chaise pour m'installer, la discussion risque d'être longue. Attrapant la première sous la main, une en bois, un peu plus grande que les autres, je m'y installe.

- Alors, par où commencer ? Je ne viens pas de Terra, j'ai atterri ici par un portail sorti de nul part depuis un endroit que l'on appelle la Terre, et pour une raison inconnue, une fois que ce maudit portail s'est refermé, je me suis métamorphosé en...ça.

Je me désigne de mes mains, les laissant aller de haut en bas pour appuyer mon apparence.

A la base je suis un être humain tout ce qu'il y a de plus banal, si ce n'est mon charme surnaturel. Et comme j'ai entendu dire que vous vous y connaissiez en invocation, il m'a semblé logique que vous pourriez m'apporter des réponses, voir une solution pour repartir. Et si vous êtes aussi puissante sorcière que séduisante, j'ai toute confiance en vous.

Mon regard pendant que l'on discute, ne peut s’empêcher de passer de ton regard, à tes lèvres, mon flair sur-développé profite de la douce odeur de ton parfum, je me retrouve à lutter pour ne pas te sauter dessus sur le champ, il est plus amusant de séduire.

13
Place publique / Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière
« le: mercredi 19 avril 2023, 18:14:11 »
Six mois que je suis sur Terra, et toujours aucune piste pour rentrer, ni aucune explication sur mon arrivée ici et ma transformation. C'en est rageant, mais j'ai appris à me débrouiller pour survivre dans ce monde tiré d'un mauvais isekai. Mon intellect a voulu que j'en regarde quelques uns en soulevant de la fonte à la maison quand je ne suis pas à la salle. Grâce à ça et aux infos que m'a donné Winnifred, je suis maintenant un mercenaire, ça représente pas mal d'avantage. Je peux défouler toute ma frustration sur quiconque m'emmerde, et je voyage beaucoup, augmentant j'imagine mes chances de trouver des réponses.

- On...on est bientôt arriver messire. Dit la voix qui me sors de ma sieste.

Putain dormir dans une charrette c'est rude, j'ai le dos tout engourdi. Lançant un regard noir au paysan que j'ai croisé il y a trois jours, il avait tenté de m'asservir pour me vendre au prochain marché. Crétin, il a fini par me servir de chauffeur au prix de sa vie, et maintenant il se pisse dessus dès qu'il m'adresse la parole.

- Fermes la et avance.

Prenant mes aises je profite du calme de la forêt dense qui nous entoure et de la chaleur du soleil zénithal, cachant mon visage sous une capuche malgré tout, même si je suis suffisamment fort pour ne pas finir esclave, il n'empêche que ce monde est discriminatoire envers les terranides, même chez les guildes de mercenaires.

On commence à entendre au loin des échos abstrait de voix humaines, indiquant que nous sommes presque arrivé. La première véritable ville que je croise depuis mon arrivée, et le moins qu'on puisse dire c'est qu'on se croirait au cinéma à regarder un film médiéval, entre les murs en pierres de tailles qui encerclent ce patelin, les tenues hautes en couleurs, les toits en chaume des habitations. On sent que l'ambiance est différente de ce que j'ai connu.

- Alors elle habite où la femme dont tu m'as parlé ?
- D...dans....dans le quartier mar...marchand de la v..ville, cherchez Maxine...laissez moi maintenant, pitié...
- Te laisser ? J'ai besoin d'un chauffeur, alors tu ne quittes pas la ville sans mon autorisation, n'oublies pas que j'ai un bon flair, ose bouger d'un pouce, et on ne retrouvera pas ton cadavre.


Dépité, le paysan n'ose rien dire, et se résigne pour sauver sa peau. Tandis que je descends de la charrette, provoquant des réactions de dégoûts dans l'assemblée qui m'entoure. Ne m'en occupant pas, je cherche une pancarte indiquant une boutique de magie ou d'ésotérisme. Une rumeur courrait dans les villages alentours qu'une sorcière adepte des invocations vivait dans cette ville, et y commerçait. Je vais pas faire un dessin, c'est un portail d'invocation qui m'a conduit ici, elle peut peut être m'aider à rentrer.

Après avoir « interroger » un ou deux passant, je trouve enfin une boutique avec des sigles ou des runes sur la pancarte. J'entre dans la boutique, relativement sombre, avec des talismans pendant du plafond, une sorte de fumée, et un paquet d'étagères, remplis de fioles dans lesquels trempent des ingrédients absolument immondes conservés dans du formol.

- T'es là Maxine ?

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Royaume Terranide / Re : Un nouveau monde
« le: dimanche 19 mars 2023, 15:54:50 »
Ma langue se met à lécher mes babines tandis que je me lève pour m'étirer un coup, sentant une bonne odeur de nourriture dans les environs, me rappelant que je n'ai pas mangé depuis un moment. Attend, si tout les habitants ici sont des animaux, est ce qu'ils mangent de la viande ? Ta question me fit sortir de mon interrogation

- Je suis un être humain. On est sur Terra, c'est ce que tu as dis ? Ca ressemble à la terre, c'est le nom d'où je viens, enfin la planète. Bref, j'allais à la salle de sport, et j'ai traversé une sorte de portail sorti de nulle part, et pour je ne sais quelle foutue raison, je me retrouve avec cette gueule d'amour.

La nuit commence à tomber quand tu t'en vas fermer ton échoppe pour finir par me proposer le gîte et le couvert. N'ayant pas d'autre option dans l'immédiat j'accepte sans surprise, tes appartements se trouvant au dessus du bar. Les escaliers en bois grincent sous mon poids, en plus de ne pas être bien récent. Durant l'escalade, je crains que certaines ne cèdent, alors que je t'observe déhancher ton fessier insidieusement. Tu me montre ma chambre et me donne un repas chaud. Visiblement il est l'heure d'aller se coucher. Putain, je sens que je vais être réveillé aux aurores

Je tremble intérieurement à cette idée. Ca fait des années que je fais des grasses mat' après m'être vidé les couilles toute la soirée. Si la situation n'était pas si précaire je me serai lâché sur toi, mais pour le moment je n'ai pas intérêt à te brusquer. On verra ça plus tard. Je m'installe donc dans un lit trop petit pour ma carrure et m'endors tant bien que mal.

TOC, TOC, TOC

Réveillé en sursaut je souffle un grand coup de dépit, me levant tant bien que mal, je te rejoins à l'entrée de ton échoppe, t'aide à tout installer, restant dans l'ombre lançant un regard noir à tous les clients, en faisant fuir plus d'un.

Au bout d'une heure de service un groupe de trois bêtes assez costaud se rapproche, visiblement pas pour faire des emplettes

- Tiens tiens tiens, Winni' tu t'es payé un service de sécurité ? Tu sais bien qu'on est là pour ça... Le taureau, visiblement chef du groupe commence à prendre une pomme et la croquer. D'ailleurs, tu n'as toujours pas payé ce que tu dois au boss. Tu sais qu'il n'est pas patient pourtant...

Observant la scène, je te vois crispée, qui essai de tenir tête tant bien que mal, mais je les connais les gars comme ça. La situation risque de dégénéré, me forçant à agir. M'approchant de lui, je met mon bras sur son épaule

- Doucement mon grand, je vois bien que tu es une armoire à glace, et que tu fais visiblement bien ton travail. Mais ça serai pas mal de se servir une fois de temps en temps de ta tête. Alors avec tes deux groupies, vous dégagez parce que ça fait des jours que je n'ai pas mangé de viande, et t'as pas idée de combien ça me manque.


- Tu crois que t'as une chance, à trois contre un mon ptit loup ?

- Trois t'as dit ?

A peine j'ai dit ça que je me jette sur l'espèce de gorille derrière lui et lui fait une prise le maintenant au sol, assommer sur le coup, ma gueule grande ouverte, prêt à prendre un ptit dej bourré de protéines.

- Du calme, on a fini de passer le message de toute manière. Mais vous deux, croyez moi qu'on va se revoir. Django, prend ce crétin, on rentre.

Les voilà qui partes après avoir emporter leur pote. Ils sont fort quand même ces bestiaux, porté un gorille sous le bras c'est pas donné à tout le monde. Enfin dans mes standards du moins. Retournant à ma place derrière toi, je tache de retrouver mon calme.

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Royaume Terranide / Re : Un nouveau monde
« le: jeudi 26 janvier 2023, 18:08:03 »
- Salut mon mignon. Il avait effectivement l'air perdu. Tu te trouves… au beau milieu d'un rêve. Si t'essaies de m'entourlouper, passe ton chemin. J'ai eu ma dose de charlatans aujourd'hui si tu veux savoir.

Tu se fout de ma gueule en plus ? La douleur que j'ai ressenti en me transformant aurai révéillé un putain de mort. Je sens ma colère monter encore plus vite que d'habitude, mes muscles se contracter, prêt à te sauter dessus. Je me retiens tant bien que mal, sans te quitter des yeux, luttant entre te dévorer ou te baiser comme la bête que je suis devenue...

- Tu crois que j'ai une tête à rigoler ? Le ton est plus menaçant que je ne le prévoyait, ça serai con que ma source d'info s'enfuit directement.

Tu te met à me toiser surprise que je n'ai pas encore bouger, ce qui n'est pas ton cas, te mettant à t'approcher à petits pas comme si tu sentais la menace. Tu es peut être moins stupide que tu en as l'air, ou bien juste ton instinct de proie qui s'éveille. On s'en fout, tu finis par me conseiller de te suivre dans un bar sombre et peut être miteux. Je suis cependant surpris lorsque je constate voir aussi bien qu'en plein jour malgré la pénombre. Plus le temps passe, plus cette transformation est intéressante, mais pas au point de supporter à nouveau cette douleur atroce.

Je m'installe où tu me l'indiques et ramasse la chope que tu me donnes sans la moindre élégance. Si je dérange tu me le dis hein, ça me donnera l'occasion de m'en foutre. Je bois une gorgée et recrache presque instantanément.

- C'est quoi cette merde ? Y a pas de bière ici ?

Tu ne t'attendais certainement pas à cette soudaine agression vu le bond que tu as fais. En même temps ça doit faire des années que je n'ai pas bu d'eau en dehors du sport, et ça ne m'a pas manqué. Tu finis par revenir avec ce que je t'ai demandée, l'absence de délicatesse encore plus présente qu'au début.

- Ben voilà, c'était pas dur. Bon par où commencer....

Je te conte mon récit, le trajet à la salle de sport, le portail, la transformation, le massacre des marchands d'esclave, jusqu'à mon arrivée ici.

Tu ne caches pas visiblement une certaine incrédulité, mais tu finis par admettre que c'est bien trop perché pour être faux. Putain, en gros ça veut dire que tu n'en sais pas plus que moi sur ce phénomène. Enfin, au moins je suis tombé dans un monde qui parle la même langue, ce qui est un miracle en soit. Il doit bien y avoir quelqu'un qui puisse être au courant de quelque chose, ces portails viennent bien de quelques part, et parler une langue commune va me faciliter une tâche qui s'annonce compliquée. Un peu décontenancé malgré tout, je vide ma chope d'un trait.

- Bon tu pourrais au moins me donner les bases de ce que je dois savoir ? Tout ce que j'ai compris, c'est qu'il y a des furies, enfin des animaux qui se comporte comme des humains on va dire, et qu'ils servent d'esclaves à certains endroits, sauf ici visiblement...

Alors que tu m'explique, je me lève et me sers moi même une autre bière. Écoutant attentivement ce que tu me dis, jusqu'à ce tu finisses par te plaindre que je vais vider tout le stock alors que je n'ai pas un sou en poche. Là dessus c'est pas faux, mais je m'en branle, et te sers une pinte à ton tour, en venant m’asseoir à coté de toi, te reluquant, l'alcool commençant à faire baisser mes inhibitions.

- Allons, tu me dois bien ça, en attendant que je retourne la situation t'as gagné un garde du corps pour ton échope, de ce que tu m'as dit ça ne te ferait pas de mal.

Vidant cul sec, ma jenesaispluscombientième pinte, je la pose brutalement sur le comptoir en me rapprochant de toi.

- Et puis, je pourrai trouver d'autres moyens de te... satisfaire pour payer ma dette...

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