Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kilian Piers

Pages: [1] 2 3 4
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Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« le: dimanche 14 juillet 2024, 17:33:36 »
De la tendresse ? Elle prends les précaution que j'ai mis en place pour de la tendresse ? Elle est bien naïve, mais le message est bien passé et elle ne s'en plaindra pas, en tout cas je ne lui en laisserai pas l'occasion. Puisque de force, je plaque son visage contre le mur froid, par force j'écarte plus ses cuisses pour qu'elle ai moins d'équilibre, la forçant à ne compter que sur moi pour rester en équilibre et la pilonner sans tendresse comme elle dit, la faisant décoller du sol à chaque coup de butoir.

- PU...TAIN....t'es vraiment une salope délicieuse. C'est assez brut pour toi là ?

Abattant ma main sur son cul comme un couperet, enchaînant les coups faisant monter le rouge vif sur son postérieur. Et les voilà qui s'enchainent au rythme de mes coups de chibre dans son cul. Ma main elle même commençant à chauffer à force de frapper sans pitié, des bleues commençant même à apparaître...

Bon aller l’apéritif est terminé, sans la libérer, je la choppe par les cuisses que j'écartes sur chacun de mes bras. Vu la souplesse dont elle a fait preuve à la salle, je ne doute pas qu'elle puisse tenir comme ça, dos contre mon torse, sa chatte exposée à quiconque viendrait, et la gravité faisant son office dans son orifice anal, me faisant atteindre les entrailles de son être dont je pense qu'aucun mâle n'a pu aller aussi profond... je la dirige comme ça face à la vitre de mon penthouse, dominant la ville.

- Alors ? Ça fait quoi d'être baisé sur le toit du monde ?

La plaquant contre la vitre, je lève les bras, lui soulever d'autant plus les cuisses, mettant à l'épreuve sa souplesse pour me permettre de presser sa petite poitrine, la malaxant, jouant avec ses tétons, en même temps que ma queue continue d'aller et venir en elle qui se retrouve à hurler, tandis que je prends mon pieds à la baiser comme je ne l'ai jamais fait à personne. C'est vrai, je me laisse porter par l'instant, et au gré de mon imagination. Elle n'aime pas toujours la tendresse ? Elle est servie. Et son corps a l'air d'apprécier cette fantaisie, la pression sur ma queue qui semble sur le point d'exploser est suffisamment parlant. Je suis sur le point de jouir et pour éviter de gicler trop vite je m'arrête d'un coup.

- Dis moi donc, tu crois que tu peux vivre sans ma queue ? Maintenant que tu y a goûté ? Je te conseille d'être sincère...

2
La danse exotique à mes yeux continue de plus belle, en communiant, Rubis et moi profitons de l'instant, et je vois le rouge qui lui monte aux joues à mon compliment...

- Rien, juste soit toi même....

Me jetant sur ses lèvres je nous allonge, l'installant sur moi, mes mains posées sur ses fesses, je la guide dans un déhanché, lui laissant les commandes pour se déplacer comme elle veut, je ressens juste ma queue tapant toujours plus profond en elle, il arrive un moment où je la sens se serrer un peu plus et je vois ses yeux s'écarquiller et un surplus de cyprine envahir soudainement ma queue. Visiblement j'ai tapé un point particulièrement sensible...et bien je ne vais pas me gêner. Mon coté toxique reprend le dessus et j'ai envie de la faire mienne, qu'elle ne puisse pas vivre ni sans moi, ni sans ma queue. Imprimer mon empreinte tant mental que physique au plus profond de son être...pour ce faire je vais de plus en plus vite, m'assurant de rester sur cette zone particulièrement sensible...

- Est ce que....tu...as déjà...été aussi...bien...Aaahhhhh....vec quelqu'un ?

C'était trop pour moi et me retirant rapidement un jet de sperme vient finir sur sa poitrine généreuse et son ventre, même une goutte atterrit sur son menton...

- Dé...solé...pour le menton... je vais tacher...de me faire pardonner...

Me redressant, je l'attrape par la nuque pour la mettre à quatre pattes. Ma queue toujours aussi dure malgré que je viens de jouir, retrouve vite sa place en elle, mais cette fois en levrette, et je monte en intensité pour lui montrer ce que cela peut donner du sexe un peu plus bestial et intense...elle m'a attiré dans son monde, je veux lui montrer maintenant un peu du mien. Ma queue plantée au fond d'elle, je la tire pour la redresser, ma main posée sur son cou, et nos langues venant se retrouver avec passion. Je donne des coups de bassins autant ample qu'intense, sortant presque entièrement pour taper au fond encore, et encore, et encore...d'instinct ma prise se serre doucement autour de ton cou...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« le: mercredi 10 juillet 2024, 21:00:41 »

Argggg pourquoi elle m'arrête alors que ça devenait aussi intéressant ? Oh oh pour quelque chose de bien plus intéressant visiblement. Et pour ça je n'ai qu'à donner mon nom ? Normalement je prendrais bien ce que je veux, en lui faisant comprendre qu'elle n'a pas voix au chapitre, si ce n'est les hurlements de plaisir et les supplications. Mais bon, pour celle là je vais faire une exception.

- Tu es sûre de pouvoir résister à ça ? Je te préviens que tu seras coincé quelques jours ici le temps que tu puisse remarcher...à ma merci....

Empoignant ses hanches, visiblement rien ne la fera changer d'avis, bien que je sente dans son regard une légère appréhension. Et bien au moins elle n'est pas idiote, ni folle, il faudrait être l'un des deux pour rester confiant face à ce qui l'attend.

- Écartes moi ces fesses. Tout de suite.

Et comme une bonne chienne la voilà qui s'exécute et croyant avoir besoin de rappeler la condition. Une fessée terrible s'abat alors, pour lui faire payer de me prendre pour un idiot, suivi du contact entre mon gland et l'entrée de ses fesses, la faisant trembler entre mes mains. Utilisant ma main pour maintenir ma queue en position....

- Mon nom, c'est Kilian.

En un instant, je commence à forcer l'entrée de son cul qui fait de la résistance, soit, j'aimerai finir la journée sans devoir l'emmener à l'hopital, donc j'attrape un tube de lubrifiant pour aider à faire passer la pilule, mettant la dose le long de ma queue et tant bien que mal j'y vais progressivement, faisant des allers retour en elle, avec délicatesse, me concentrant pour entrer de plus en plus, mais ça ne va pas vite...je l'aide un peu à se détendre en allant jouer avec son clitoris que je torture de mes doigts.

- Tu es courageuse, elles sont rares les femmes qui me réclame à cet endroit...je t'apprécie de plus en plus je crois...

Enfin on avance, je sens que ma queue est de plus en plus accepté et malgré les gémissements de douleur, il me semble commencer à distinguer du plaisir, et ce qui finit de me convaincre est qu'il m'est de plus en plus facile d'écarter ses chairs pour remplir tout l'espace. Elle est tellement serrée que je pourrais jouir à cet instant, mais je me réserve, on a même pas vraiment commencer, ça serait dommage d'envoyer le bouquet final dès maintenant. Non à la place je cesse de bouger pour me concentrer, et une fois que je sens que l'orgasme s'est éloigné, je ressers ma prise sur elle, et commence à accélérer les vas et viens...

- Dis moi si c'est trop dur...sans mauvais...jeu...de mot....Claire...

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« Je… je… Je… Je te veux toi… Complètement… »

Et bien, il n'aura pas fallu longtemps, moins de 48h pour qu'elle reconnaisse son inclination et son désir profond...étonnement cet aveux me fait monter le rouge aux joues, fort heureusement, l'effort physique fait que ça ne se voit que peu. Mais cela fait longtemps que je n'avais pas rougi de la sorte et que mon cœur ne s'était pas emballé comme ça. Ayant l'impression que mon esprit et mon corps se dissocies, je l'approche tendrement, et avec la même tendresse, je recommence à la prendre, sans sauvagerie, sans brutalité, avec une douceur inconnue...Une fois en elle, j'enroule mon bras dans son dos et la redresse, la faisant s’asseoir sur mes genoux, ma queue enfoncée jusqu'à la garde, et mon regard plein de confusion se plongeant dans celui de Rubis...

- Je...toi, c'est toi que je veux, corps et âme...alors donnes toi à moi, comme tu ne l'as jamais fait avec un autre...je t'en prie...

Mes lèvres se posant délicatement sur les siennes, nous voilà entrainés dans une danse langoureuse, érotique, et les seuls bruits résonnant dans la pièces sont ceux de notre baiser, de nos gémissements, de nos respirations à l'unisson. Mes mains pressant sa peau, ses hanches, la soulevant à la seule force de mes bras...C'est un plaisir nouveau que je ressens et je sens que je pourrais jouir en elle à tout moment. Ma longue expérience par chance fait que je me retiens et que je peux faire durer ce moment tant que j'en ai envie...et qu'elle en aura envie également...

- Tu es incroyable Rubis...

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 07 juillet 2024, 11:04:32 »
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Le contact de ma queue sur son intimité me fait frissonner, et je prends un plaisir certains à me frotter contre elle, avec la promesse que je la prenne, sans y aller pour le moment...je veux faire durer le plaisir, jusqu'à ce que je vois son regard suppliant, qui me donne envie de lui donner ce qu'elle désire. Par contre, on vas y aller par étape, bien qu'elle soit trempée, un engin comme le mien déchire tout sur son passage si je ne prends pas de précaution. En général ce genre de détails ne me traverse pas l'esprit, mais cette nuit est différente....

- Ca risque de faire mal...

Embrassant son ventre, je prends ma queue en main, pour la guider à l'entrée de ce que je désire profondément...et la réaction de Rubis ne se fait pas attendre, sentant un sursaut avant même que je n'ai commencé, me faisant lacher un sourire en imaginant la suite si elle réagit comme ça...attrapant ses hanches dans mes mains, je me retrouve au dessus d'elle, à la défier du regard, mon bassin commençant lentement à avancer, et ma queue remplissant peu à peu tout l'espace à sa disposition...je n'ai rentré que le gland pour le moment, mais il est déjà imposant, donc je commence déjà à faire des vas et viens en elle, mon ventre se déhanchant en rythme avec mes hanches. Une vraie danse du ventre, sans lacher Rubis du regard. Ma respiration étant saccadée, j'accélère de plus en plus, sans aller plus loin que je ne l'ai fait jusqu'à présent....

Les ongles dans mon dos et la cambrure de mon amante sont de bons indicateurs pour m'indiquer qu'elle en veut plus, donc je lui donne quelques centimètres supplémentaires...et je reprends le même schéma, inlassablement, pas seulement pour ne pas lui faire mal, mais parce que je prends un plaisir sadique à vouloir la corrompre, et lui donner soif de moi, pas juste par romantisme, mais par une bestialité enfouis au fond de chacune...et encore quelques centimètres...j'en suis à la moitié, et je peux aller plus loin encore...faut il qu'elle se comporte comme je veux....

- Dis moi...ce...que...tu....veux...

Je sors d'elle, venant embrasser sa poitrine sauvagement...bien que j'ai prévu de faire attention à elle, mes désirs sont toujours les mêmes, je ne me donne pas si facilement...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« le: jeudi 04 juillet 2024, 19:39:02 »
On peut dire que par rapport à une grande partie de la journée, l'ambiance à cet instant est bien différent. On rigole, on apprends à se connaître, et je me dis qu'en plus d'être une sacrée salope particulièrement douée, ce n'est pas désagréable de discuter avec elle et échanger un repas. Et je ne suis pas aveugle, je vois bien dans nombreux de ses regards que je ne la rend pas indifférente, au délà du plan purement physique, parce que ça on sait déjà l'un comme l'autre que l'on a une bonne compatibilité.

"J'ai eu un mec richissime. Un peu comme un Prince du désert. Tu sais, le genre de type qui va chasser au faucon le weekend en tenue traditionnelle et qui endosse un costume Gucci le lundi pour aller brasser des pétro-dollars."

Elle est sérieuse là ? Bon visiblement mon regard dubitatif n'a pas été très discret puisqu'elle se sent le besoin de se justifier, du moins au départ puisqu'elle s'arrête d'un coup, avant qu'un silence règne suivi d'un fou rire sorti de nulle part....

Ca y est les nerfs ont lâché, je me serai attendu à ce que ce soit contre la table du bar, pas pendant qu'on mange un bon curry. Je finis tranquillement mon assiette au même moment que je me fait complimenter sur ma cuisine. Ce qui fait toujours plaisir...mais visiblement la pause est finie, et elle m'a l'air affamée.

"Tu viens prendre ton dessert?"

- Faut pas me le dire deux fois.

A peine levé de table que j'ai déjà arraché ma chemise et l'ai laissé au sol derrière moi en me dirigeant vers Claire qui s'amuse à reculer en me faisant signe du doigt tout en jouant avec la chemise qu'elle m'a piquée. Mais bien vite la voilà coincé avec un mur dans son dos, et moi face à elle qui sans plus de cérémonie la soulève comme une feuille l’assaillent sur mes épaules, ma bouche contre sa chatte trempée, que je commence à dévorer sans un mot avec passion. La pression que je ressens sur mes épaules et mes cheveux m'indiquent l'effet que je lui fait, tandis que ma main droite vient caresser l'entrée de service, et à moins qu'elle ne proteste, ça ne sera qu'un avant goût.

Ma langue quand à elle a trouvé sa place à l'intérieur de sa chatte qui m'hydrate comme une fontaine, je n'en laisse pas une goutte, me laissant porter par ses gémissements.

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Les aphrodisiaques, l'atmosphère, la présence de Rubis, tant d'éléments qui ensemble donne un cocktail explosif me donnant des frissons dans tous le corps, et le passage de la langue et des lèvres de mon amante ne font rien pour arranger la situation. M'étant attendu à plus d'hésitation de sa part, je suis agréablement surpris qu'elle semble s'amuser à me chauffer, d'abords avec ses mains et un baiser fiévreux, mais bien vite elle s'attaque à chaque centimètre de peau à sa disposition...le passage de sa langue au niveau de mes pectoraux en particulier m'envoie une décharge me poussant à me cambrer en laissant filer un gémissement incontrôlable, et rien ne s'arrange en sentant ses doigts sur ma queue, suivi de ses lèvres, ça me donne des étoiles pleins les yeux....

D'instinct ma main attrape les cheveux de Rubis pour en faire une queue de cheval, la laissant découvrir l'animal qui en a effrayé plus d'une. La différence c'est que d'habitude je ne laisse pas le temps d'analyser et je glisse au fond de la gorge. Mais pas cette fois, me doutant qu'elle n'a pas du en voir comme ça tous les jours :

- Laisses moi te guider au début, ensuite je te laisserai faire. Commence par sortir ta langue...et enroule la autour

Bien à l'écoute, je guide son visage pour qu'elle parte de la base et remonte doucement vers le sommet du gland, elle s'applique, et la guider comme ça me fait un effet dingue me forçant à me retenir pour ne pas déjà éjaculer une première fois. Tirant sur ses cheveux pour l'éloigner un moment le temps de reprendre mon souffle et hoche la tête une fois que c'est fait :

- Tu...tu peux continuer...c'est trop bon...

Il n'en faut pas plus, et je sens que cette fois ma queue a disparu dans sa gorge, du moins le gland, je me doute qu'elle ne va pas tout enfiler d'un coup. Sans un bon entrainement ça serait un exploit. Mais elle se débrouille mieux que je ne l'imaginais à ma surprise. Sans doute qu'elle a plus d'expérience que je ne le pensais, mais qu'elle a eu un traumatisme...je n'ai pas l'occasion de réfléchir plus que ses soins me ramènent à l'instant présent, et je commence à guider sa tête en faisant des vas et viens grâce à ma prise.

- Putain...j'adore....

J'ai du mal à me controler et je fais aller et venir sa bouche de plus en plus vite et de plus en plus profond, entendant des bruits guturaux je lache la prise pour qu'elle puisse reprendre son souffle. Et le mien en passant, parce que je lutte contre moi même pour ne pas me jeter dessus, en serrant les draps avec mes poings, tandis que ma queue est prise de spasmes.

- Ca...ca va ?....Re...remets toi sur le dos...quand tu seras prête

Ma respiration sacadée fait que mes paroles sont pleines de désirs et de chaleur, rapidement elle se retrouve à coté de moi, je prends sa main et la serre en embrassant sa paume, puis je viens au dessus d'elle, mon entrejambe venant tapé contre le sien...

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« Je te veux… »

Elle va devoir le prouver, tu ne peux pas me dire ça a moi en me laissant faire tout le travail. Je lui lèche les lèvres avant d’agripper la lèvre inférieur entre mes dents et tirer délicatement dessus, finissant par me redresser, assis sur elle à califourchon je l'aide à s'assoir, empoignant ses cheveux je colle son visage sur mon torse, et pendant qu'elle est occupé, je me contorsionne pour retirer le boxer et l'envoyer au loin,  laissant enfin ma queue à l'air libre, dressée et veineuse, assez longue pour venir se perdre dans sa poitrine.

Sentant sa langue sur ma peau je me mords la lèvre, et fatalement, ma main vient se perdre entre ses cuisses, caressant son intimité, faisant de lents cercles sur sa vulve et son clitoris, me focalisant sur ce dernier de temps à autre pour faire monter sa température encore plus. Par ses réactions je sens que mes soins font leur effet, mais ce n'est pas assez. Elle est trop timide, hésitante, malgré l'excitation que nous ressentons l'un et l'autre, elle ne lache pas totalement prise. En ressors au fond de moi une frustration car je veux qu'elle se donne à moi avec la même sincérité que je me donne à elle.

C'est sans doute pour cette raison, qu'inconsciemment mes doigts deviennent bien plus actifs, si mon pouce continue de tourner autour de son clitoris, mes doigts eux commencent à prendre possession des lieux, en elle, dans un vas et viens au départ doux pour l'habituer, mais ne tardant pas à devenir plus vigoureux et généreux. Tandis que ma main libre agrippe une nouvelle fois ses cheveux, de façon moins douce, la respiration saccadée, nos regards se répondant, me permettant de voir la dilatation de ses pupilles. Un ange passe pendant quelques secondes, sans que mes doigts ne s'arrêtent et je me jette sur ses lèvres, pour un baiser différents des précédents. Si les premiers étaient pleins de douceurs pour l'entrée en matière, celui là transpire par tout les pores du désir que je ressens pour elle et la chaleur qu'elle provoque dans tous mon corps. Je récupère mes doigts alors entre ses cuisses et chaque main presse sa poitrine avec conviction, l'allongeant à nouveau avant de prendre un élan et nous retourner pour inverser la position.

- Tu me veux, montres moi...

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- Ce n'est que le début...

Je réponds à son baiser, m'attelant à libérer son opulente poitrine de sa prison de tissu avant de l'aggriper par les fesses pour la soulever et la retourner sur le lit, l'observant presque nue face à moi, prête à se donner. Je déboutonne mon pantalon, le laissant glisser au sol, dévoilant mon boxer noir, et la bosse imposante qui se moule dedans. Il me semble lire dans son regard à ce moment un mélange entre choc et désir lorsque son regard se pose dessus.

Le spectacle face à moi éveil mes sens, mes envies et sans plus de cérémonie j'attrape de mes doigts les pans de sa culotte, et sortant ma langue venant se coller à son intimité par dessus le tissu, je peux sentir son excitation et commence à dévorer son entrejambe, ma langue venant flatté son clitoris, et faire des vas et viens le long de sa vulve, me laissant guider par les gémissements de Rubis pour juger si elle apprécie ce que je fais, et je me laisse porter par ses cris, me rendant toujours plus dur.

Bon lécher par dessus le tissu c'est bien, mais très vite celui ci s'envole, laissant mon amante nue et à ma merci, je monte alors sur le lit, ma queue venant se coller entre ses cuisses, dépassant du boxer, je viens dévorer sa poitrine cette fois, libérer de tout obstacle, je flatte ses deux monts de chair avec passion, ne laissant pas de jaloux, j'aggripe les poignets de rubis par dessus sa tête, me laissant l'amplitude pour bien m'occuper d'elle et lui donner un avant goût de ce qui l'attend. Ma prise n'est pas suffisament serrée pour faire mal, mais suffisament pour lui faire comprendre de ne pas bouger pour le moment.

En même temps, le bas de mon corps n'est pas en reste et je frotte ma queue contre sa chatte trempée, comme si une armée attaquait de tous les cotés pour ne laisser aucune volonté de riposter face à l'assaut. Enfin, je finis mon invasion de son corps en règle par un baiser passionné en libérant ses poignets, et laissant nos langues se retrouver dans une danse endiablée.

- J'ai...envie...de toi....

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Le baiser passionnée et tendre dura de longues minutes, et à ma grande surprise, je ne lui avait pas encore arraché sa robe. Décidément cette soirée est bien étrange. Celui ci prend fin, ayant chacun besoin de reprendre notre souffle et elle lache :

« Je… Killian… Je… Je… Je… Je ne veux pas te faire de mal… Je ne veux pas te faire souffrir à cause de tout ça… Pourtant j’ai très envie de rester dans tes bras là… Mais… Ce serait égoïste de ma part de me laisser réconforter…  Au risque de te faire du mal… Et je ne veux pas te faire plus de mal quand tu en as déjà…»

- Tu parles trop des fois...


Et sans plus de cérémonie, je replonge mes lèvres dans les siennes, mais cette fois en l'attirant à l'intérieur, déboutonnant ma chemise et la laissant tomber au sol quitte à la piétiner en passant. Je ne mets fin au baiser que pour soulever Rubis et l'allonger dans mes bras, reprenant de plus belle en l'emmenant dans la chambre, avec pour seuls lumière, les lampes de chevet. Notre état en commun a visiblement mis un terme à toute résistance et en l'asseyant sur le lit, je me jette sur son cou, que je dévore avec appétit, tandis que je fais tomber les pans de sa robe par les épaules, mettant presque à nue mon amante de la soirée.

- Tu ne me feras pas de mal, alors laisses toi aller...

L'attrapant pour la mettre à califourchon sur mes genoux, les paumes de mes mains viennent se plaquer dans son dos pour sentir chaque centimètres de peau, tandis que mes baisers font le tour de son cou, de ses épaules, avant de descendre et de flatter sa poitrine, tandis que dans cette position, elle peut parfaitement sentir ce qui l'attend sous ce pantalon qui commence à me faire mal au vue de mon état.

A cet instant, je me laisse porter par la soirée, ne me posant plus de questions sur le pourquoi du comment je me mets à agir comme un amant exemplaire, j'ai juste envie de la prendre dans mes bras et de lui montrer le nirvana.  Je relache alors mon emprise, prenant le temps de l'observer, mes mains posées sur ses fesses, les serrant indiquant qu'elle est mienne pour ce soir, et en me plongeant dans son regard, je commence à la guider pour que malgré les tissus qui les sépares, nos intimités respectives se frottent, tandis que je force le contact de nos yeux pour apprécier chaque réaction et que nos âmes fusionnent à cet instant, sans besoin de dire un mot.

- Dis moi si quelque chose te déplait.

12
Mon regard se pose sur elle,la bise du vent nocturne faisant remuer mes cheveux, je m'avance doucement, attiré comme un aimant vers elle, mon cœur bat vite, et je me rapproche à nouveau d'elle, sans la quitter des yeux. Je ne saurai dire ce qui m'arrive, mais cette nuit, à cet instant, je ne ressens pas le besoin irrépressible de la détruire, au contraire, la voir si fragile, c'est comme me regarder devant un miroir qui enlèverai toute illusion. Et sans y réfléchir, ma main vient au contact de sa joue, mon pouce caressant sa pommette, et mes lèvres s'approchant des siennes.

- Arrêtes moi si tu ne veux pas.

Lançais je dans un souffle chaud

Le contact de mes lèvres sur les siennes m'envoie une décharge dans tous le corps, éveillant une soif insatiable de mettre plus de passion, mais pour une fois je ne force pas, j'attends de voir sa réaction, elle ne semble pas me repousser pour le moment, donc je mets plus de cœur à l'ouvrage dans ce baiser, ma main atterissant dans le bas de son dos. Les courants électriques me traversant sont de plus en plus violent et avec ma soif d'elle, mais très différents de d'habitude. Je crois que pour une fois, je veux tenter quelque chose de plus doux, cadré, et respectueux.

Dès que je sens la possibilité, je laisse ma langue aller à la rencontre de la sienne, partant dans une danse fougueuse, en partie à cause des aphrodisiaques et de l'alcool, mais le désir est présent entre les deux, et je la colle plus contre moi, ma main agrippant ses cheveux pour ne pas rompre le baiser, je me laisse porter pour voir où vont mener les évenements.

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Qu'est ce que....des larmes ? Ok celle là j'admets que je ne m'y attendais pas, ni au cœur que je sens se serrer dans ma poitrine comme si je culpabilisais...c'est impossible, pas vrai ? Pour une raison que j'ignore me voilà qui revient doucement vers le balcon, sentant des tremblements dans mon corps. N'arrivant pas à penser à cet instant, je me retrouve dans l’entrebâillement de la terrasse, m'étant approché le plus silencieusement que possible pour ne pas la perturber et m'assurer de ce que j'entends.

Elle est vraiment bouleversée...et sans savoir pourquoi ça me touche particulièrement, comme...comme si on était lié, ou plutôt que je me voyais à sa place il y a longtemps, avant que j'ai fait une croix sur la morale, du moins c'est ce que je croyais et je dois faire avec les effets aphrodisiaques en parallèle qui me répète en boucle que j'ai envie d'elle, de sa peau, et maintenant je ressens aussi l'envie de la réconforter.

M'avançant doucement derrière elle, je me met à l'enrouler de mes bras, le contact est électrisant, mais je prends sur moi pour rester raisonnable et me contenter de la réconforter. Plongeant ma tête dans son cou, je hume son odeur...

- Qu'est...ce que tu m'as fait...

Je chuchotte ça sans trop m'en rendre compte, pour une raison que j'ignore je me sens bien comme ça, et lache...

- Il y a longtemps, j'ai aimé une femme, je lui aurai donné ma vie, et elle m'a détruit, avec un type qui s'est assuré que je les vois me trahir...et que je n'en rate pas une miette, ça m'a rendu fou...

Je n'ai parlé de cette histoire à personne, jamais et je me suis dévoilé sur ça le plus naturellement du monde...je les retiens ces foutus aphrodisiaques...je suis pris d'une absence et lorsque je reprends conscience, mes yeux sont fermés, je ne peux pas parler, mes lèvres sont contre quelque chose d'humide et je sens quelque chose de doux dans la paume de ma main...en les ouvrant je ne vois que les yeux surpris de Rubis, mes lèvres sur les siennes avec un goût de framboise à damner... Le temps de réaliser, je lache mon étreinte et m'éloigne.

- Qu'est....qu'est ce que j'ai fait...

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Les minutes passent et toujours rien, je commence à être fébrile et ma fierté s’apprête à en prendre un coup, si ça ne se passe pas comme prévu, l'un de mes plans cul mangera pour deux avec ma frustration en prime. Elle sera bonne pour poser quelques jours de congés après que je l'aurai épuisé à l’extrême. Ma cigarette arrive à sa fin et je m'apprête à rentrer et tout ranger, mais enfin le bruit de la vitre coulissante me laisse dessiner un sourire de victoire, caché par la pénombre et qui a disparut lorsque je me tourne vers Rubis qui me dit qu'elle veut parler franchement.

Si ça permet d'avancer ce soir, et bien je suis tout ouïe, et elle ne fait que confirmer ce qu'il me semblait, elle a bien reconnu la présence d'aphrodisiaque tout au long du repas. Ca m'indique juste que je devrais encore bosser pour les rendre indétectable la prochaine fois, cela n'empêche qu'à cet instant elle n'a pas fuit, et est sur ce balcon avec moi. Mon regard empli de désir se pose alors sur elle et l'effet ne se fait pas attendre, alors qu'elle n'a pas finit sa tirade, la voilà qu'elle trébuche et que je la rattrape pour l'empêcher de tomber et ma queue s'éveille instantanément à ce contact.

- Et bien, il faut faire attention, on est sur une terrasse après tout. Pour les aphrodisiaques, j'admets en avoir mis, mais plus parce que tu me sembles crisper en permanence et que j'espérais t'aider à te désinhiber et profiter d'une soirée tranquille, je ne pensais pas à mal et je comprend que tu ai pu avoir peur...En plus je n'ai pas l'habitude d'utiliser ce genre d'épices donc j'ai clairement surdosé sans m'en rendre compte....

Je parle, je parle, mais ce contact physique, la chaleur de sa peau, sa proximité met ma résistance à rude épreuve. Je fais de mon mieux pour rester neutre, mais les images défilent ou plaquée contre le mur et soulevé, je la baise sans ménagement et en fait mon jouet pour la nuit, voir la journée qui suit sans lui laisser l'occasion d'échapper à mes soins. Mais je me retiens parce qu'elle n'est pas de ce genre là, et que je dois être plus subtil, je veux que ce soit elle qui réclame, fasse le premier pas, me supplie de lui faire oublier ses angoisses...

Un silence règne sur la terrasse, le temps semble ralenti et mon flots de pensée fonctionne de façon frénétique, toute cette réflexion ne prend que quelques secondes, mais j'ai l'impression que cela fait des heures...Putain c'est trop compliqué de se retenir, comment ils font les autres ? Je suis sur le point de craquer, approchant mes lèvres des siennes, mais je me donne un coup de pied au cul et la relache pour retourner à l'intérieur.

- Tu...tu devrais rentrer, vraiment, je ne veux pas profiter de la situation, si comme tu dis certains ont profité de toi par le passé, je ne veux pas que tu...tu ais cette image de moi. Tu es ban....belle comme tout et avec tous ces aphrodisiaques tu ne me laisses pas indifférent, donc tu ferais mieux de rentrer...

Aller, maintenant on met je place ma dame pour la mettre en échec dans cette partie. Si contact charnel et passionné il y a ce soir, ça doit venir de Rubis pour être sûr d'être irréprochable si elle se mets à regretter...Je laisse ouvert la baie vitrée et m'apprêtes à tout débarrasser, la laissant dans sa réflexion et sa lutte interne...

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 30 juin 2024, 22:36:14 »
Et le numéro complémentaire, le Dix !

Pour qui veut ;)

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