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Le parc et son sous-bois / Re : Rencontre féerique [PV Alphen]

« le: dimanche 08 septembre 2024, 10:35:32 »

Cette femme n'était pas normale, ou plutôt le contraire elle cherchait trop à être "normale" et sa m'énervait fortement, j'étais très sensible aux sentiments profonds et j'arrivais à peine à entendre les siens.
Et alors que je me montrais agressif envers elle, elle commença par me saluer... Bien trop docile, c'est presque si je ne lui aurais pas mis une gifle pour voir si elle gardait son sourire et sa "bonne humeur".

Elle me donna alors son avis sur ce que je venais de la questionner et... je dus me mordre la langue pour ne pas m'insurger de son manque de liberté, je ne pense pas qu'elle sent rendait compte, mais la lueur dans ces yeux, celle qui pétillait à voir ce papillon, c'était envolé, éteinte en parlant de cela, et ce, même si elle gardait son sourire de façade. J'avais envie de le lui retirer, mais cela était impossible, par contre moi  sa me frappait de plus belle. J'en étais sûr, sans savoir quoi, elle avait vécu des choses traumatisantes et elle gardait son masque pour se protéger.

Et je n'aimais pas sa défense... Elle ne la protégeait nullement, peut-être ses émotions et encore, mais pas son physique, au contraire, son air douce et innocente, elle ne paraissait nullement dangereuse, vénéneuse ou même capable de se battre. Elle était sans défense jusqu'à ce qu'elle me prouve le contraire.
Et ici, dans un lieu isolé, je pourrais bien faire d'elle ce que je veux, ce qui n'était nullement mon intention, mais c'était la sensation que j'éprouvais auprès d'elle et qui me rendait fou de colère.

Je la fusillais du regard, mon torse inspirant de grande bouffé pour calmer cette boule de rage qui montait en moi à mesure qu'elle continuait d'être ce pantin "normale". Elle faisait même une tête "mignonne" qu'aurais dis les japonais.
Si elle cherchait volontairement à m'énerver, je lui donnerais un 9,5/10 pour un 10, il aurait fallut qu'elle agresse un innocent dans la rue juste par pur plaisir sadique.

Sans un mot je fis un pas en avant et... lui tira les joues. Pas de gifle finalement. Pour autant, je n'étais pas doux pour tirer ses joues, pas violent, mais pas mignon non plus.

- A quelle point tu peux t'attacher à observer ton environnement pour retenir un nom aussi compliqué dès la première fois ?! Moi il me l'a dit et je n'ai fait que répéter, je serais incapable de le redire au complet, je dirais Meyano. Tu arrives à t'oublier en te focusant sur ces airs niais et douceureux ? Que cherches tu avec cette fausse joie de vivre alors même que ton cœur saigne et que tu dois jouer la poupée délicate et fragile.

Je la relâchais, grimaçant de colère et me retourna avant de frapper de toute mes forces "humaines" sur un arbre. Je m'étais ralenti à la dernière seconde en me disant que cet arbre ne méritait pas ma colère, sinon je pense que je me serais brisé quelques phalanges.

- Pardon. Parlais-je à l'arbre avant de me retourné vers cette femme vide d'après moi.

- J'espère que tu caches des couteaux sous ta robe ou que tu es une maître en art martial, ou alors tu aimes juste jouer la brebis et te faire dévorer par les loups ?!

Si oui, je devrais arrêter d'avoir de la pitié pour elle, certaine personne aime être broyé, ou du moins le pense... N'ayant aucun espoir, ni envie de vivre autrement. Ce n'est pas possible d'aidé ce genre de cas, tant qu'eux-mêmes ne le désire pas.
Je devrais arrêter d'avoir pitié d'elle, de me sentir concerné par sa misérable vie, mais sa problématique me rappelait moi, bien que j'avais choisi d'agir pour survivre, là ou elle cachait son soi profond. Enfin, sa c'est ce que je croyais percevoir, peut-être me trompais je lourdement.

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Le parc et son sous-bois / Re : Rencontre féerique [PV Alphen]

« le: samedi 24 août 2024, 17:36:59 »

Elle était vraiment quelqu'un pour arriver à redire son nom sans sourciller, c'était une femme qui sait écouter. Je l'écoutais vaguement, elle semblait comprendre sa "peine" et en vue de son physique, j'imaginais vaguement sa problématique.
Elle se montrait compatissante et bienveillante... envers un papillon. Elle semblait être folle pour une humaine. Même si cela m'intriguait un peu aussi.

Ces propos devinrent plus précis, avec des exemples, elle avait du en voir des vertes et des pas mûr comme le dise les hommes. Elle cachait sa peine derrière un sourire, joue que je lui aurais bien tirer pour la ramener à la réalité. Elle finirait par se taper une malade à cacher toute la détresse qu'elle ressentait.

La femme se voulu encore une fois joie, ce que je ne compris pas bien. Être heureuse de rencontré un être à la vie si fragile et courte. J'étais un peu agacer par son comportement, alors je ne fis pas les prochaines "paroles" et le papillon s'envola vers moi, ce demandant pourquoi je ne transmettais plus.
Le regard de la jeune femme le suivit pour atterrir sur moi, je me tournais alors vers elle en me redressant au lieu de rester allongé.

- Tu es vraiment fascinante de parler avec un papillon et de montrer tant de douceur malgré ton état instable.

Je tandis la main, et le papillon se posa sur mon doigt.

- Pourquoi te sens-tu si proche d'un être si différent ? Sa vie prendra fin d'ici quelque jours. Il est certes, pourchassa, rejeter, personne ne se moque de lui ou l'humilie. Ne le juge vraiment, les animaux et encore moins les insectes n'ont pas cette notion de malveillance qu'on les humains. Ils mangent ou sont mangés, c'est tout. Il est né dans un endroit qui ne lui convient pas et y est rester ne connaissant rien d'autre. C'est ce que tu fais ?

Lui lancais-je à peine curieux avant de sauter de ma branche pour attérir à ses côtés, la fixant l'air dur. Non, je n'étais pas des plus agréables.

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Le parc et son sous-bois / Re : Rencontre féerique [PV Alphen]

« le: samedi 20 juillet 2024, 14:56:12 »

La réaction de l'humaine... Me déconcerta, elle était vraiment humaine pour rester aussi calme ? Autant dans le bon sens, que dans le mauvais. Pourquoi le "bon", parce qu'on aurait pu croire à une folle ou une personne ayant un peu trop bu, voir ... "sniffer" je crois que les humains disent.
Et le mauvais alors ? Son manque de réaction, au delà de la surprise, tout semblait contrôler chez elle, il y a une seconde de surprise et aussitôt le calme, pas d'excitation, de petit brin de folie. Une vraie japonaise...

C'est ce que j'aimais le moins dans cette culture, le contrôle des émotions, la retenue. Il ne faut pas déranger, il faut rester stoïque, neutre, en retrait, ne pas faire de vague. Ce n'est pas vraiment ce que j'appel "vivre", plutôt feindre celle-ci. Les étranger, surtout les américains, sont les plus expressif, mais aussi plus violents...
Une vraie petite fille bien sage, studieuse, qui a même réussi à retenir du premier coup le nom du papillon, moi, je n'y serais pas arrivé. J'ai déjà dû dire 3 fois le nom dans ma tête pour arriver à l'articuler correctement ! Alors même que lui me le disait tout haut.

Elle s'excusa d'avoir été surprise... A moins d'avoir été une sorcière, tu t'excuse pour quoi ? De ne pas connaître la magie ? Je soupirais mentalement à cet échange des plus absurdes, observant la situation.

- "Oui, mes couleurs sont trop chatoyantes, elles attirent l'attention et avec elles, des prédateurs. Je n'aurais pas dû vivre ici."

Si être différent à parfois du bon, il faut aussi avoir la force de se protéger des danger, un mental d'acier contre les jaloux et les envieux. Je me demandais si elle aussi avait eu des problèmes. Les autres papillons le repoussait, car du coup, les prédateurs rodaient autours de lui et même s'ils se cachaient mieux. Qui a envie d'être toujours sur le qui-vive ? Est-ce que ce fut le vie de l'humaine ?

Tiens... Si moi je fus différents, on ne m'a pas jalouser. Toutefois, on a décidé de ma vie, on m'a donner un rôle de force. Alors... Qu'elle est son histoire a cette humaine ?

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Le parc et son sous-bois / Re : Rencontre féerique [PV Alphen]

« le: mardi 02 juillet 2024, 07:17:15 »

Je commençais à me faire à cette vie chez les humains, ce n'était pas facile, je me sentais très souvent seul et la mentalité humaine m'échappait très souvent. Mais je devais regagné assez d'énergie pour repartir chez moi, ou assez d'argent pour me faire ouvrir un portail. Les deux n'étaient pas simple. Les humains avaient coloniser, polluer le monde et la végétation avait pris un coup dur. Tant de forêt détruite et celle qui restait était dans d'immense serre ou servait de parc. Il existait encore des forêts heureusement, mais malgré tout, la terre y avait polluer et beaucoup d'espèces y avait perdu la vie.

Quant à gagner de l'argent ? N'étant pas originaire de cette planète, il m'a déjà été difficile de m'y faire une identité, ensuite le crime ne m'intéressait pas et ce qui m'aurait rapporté le plus, dans les technologies... je ne m'y connaissais pas. J'avais donc pris la voie des plantes et devenue botaniste.
Aujourd'hui était mon jour de repos, et cela m'avait permis d'allez plus loin que d'habitude. Se déplacer sans voiture, sans train rendait les trajets plus long. Je n'acceptais que les bus et encore... s'ils n'étaient pas bondés !
Ainsi, la plupart du temps je marchais, autrement dis, mon rayon d'action était plutôt court... Enfin bref, j'étais au sous-bois du parc, moins de gens y venait et donc la nature y était moins entaché.

Je m'y reposais, sur une branche à trois mètres de haut, quand je vis une créature étrange, ma première pensée fut que ce fut une vampire... mais en plein soleil ? Une pure sang ? Non, elle me semblait trop fragile et puis elle n'avait pas l'odeur du sang. Je mis une bonne minute à comprendre que c'était une simple humaine, albinos, mais une humaine. Et elle semblait si fragile, que même un papillon vint se poser sur le visage de la femme que je ne voyais pas en étant trop haut.

Cette femme si délicate, que le papillon ne fut pas inquiet et se posa sur elle, comme si elle était une plante. C'était... intriguant. Portait elle un parfum qui lui était familier ? Je vins à parler avec lui par télépathie, tandis qu'elle, se mit à lui causer. Le papillon avait de magnifique ailes bleus et verts aux traits étrangement carrés qui, s'il se sentait en danger, repliait pour donner une forme cubique et métalliser. Il avait changer sa faiblesse d'être lui-même "albinos" comparé à son espèce, en force, en se faisant passer pour un objet dur et immangeable pour ses prédateurs.
A la question de la femme, je répondis les paroles de l'insecte.

- "Bonjour belle fleur, je suis Meyanodeloricquim. Vous êtes comme moi, différent des autres et pourtant humaine, non ?"

Les insectes, ayant une courte vie, n'y vont pas par quatre chemin, d'autant parce qu'ils rencontrent peu de monde que chaque mensonge et tromperie risque leur propre vie. Il leur faut savoir qui est un ennemi de qui avoir confiance en un temps court, sous peine de perdre leur ailes.
J'essayais de prendre un ton plus clair et délicat pour faire la voix de Meya, sans m'occuper de l'incompréhension de la femme qui ne devait pas savoir d'où sa venait, mais pas de son esprit en tout cas, je parlais à voix haute. Allait elle fuir ? Lui arracher les ailes ? Penser que c'est un papillon rare et qui vaut chère ? Je restais allonger sur la branche en la regardant de haut, curieux de voir ce qu'elle ferait.

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Les terres sauvages / Re : Briser les fers - ft Anos

« le: dimanche 21 janvier 2024, 10:12:56 »

Je n'arrivais pas à bien cerner l'entièreté de la situation, ce qui se passait, et où j'étais. Attrapé par des marchands d'esclaves, en plein déserts oui, mais... pourquoi une partie de ma mémoire était flou et comment me libérer de tout ça. Des pirates descendirent et enchainèrent quatre personnes avec moi, par une chaine reliant chaque cou... étant plus petit, je finissais le tout.

En sortant, la luminosité m'éblouissait et je pu mieux voir ce qui nous entourait. ... un Désert à perte de vue ! Bien loin de mes compétences, cela ne m'aidait franchement pas ! On nous força à descendre du bâteau, pendant un instant je crains une exécution puis tomba face aux marchands et un... acheteur ? Celui-ci n'avait rien de normale, mes sens aigues me le faisait comprendre. Sans compter le sentiment étrange qui émanaient de l'air. Il allait se passer quelque chose... j'en étais sûr ! Mais serait-ce bon pour nous ou non ? La était la question dangereuse...

L'homme discutait avec le marchand, quand soudain le vent explosa en une sorte de tornade, c'était une force mythique, pas un mage des plus banales ! Cela perturba tout le monde, avant qu'un coup d'éclair ne brise le mât. Oui, tout était bien trop surnaturelle, et leur mage pâlit face à celui-ci.

Le capitaine du navire, jusqu'à la en retrait, donnait des ordres pour éteindre le feu et se préparer à l'assaut. Soit ils n'avaient pas compris contre qui ils allaient se battre, soit il s'en moquait et protégeait ce qui lui comptait.
L'homme du désert parla ainsi au marchand, comme si son père était le propriétaire... de ces terres ? Un être du sable ? Avec ma magie sceller, je n'arrivais pas à bien ressentir les flux magiques, seulement mon instinct, qui me criait que c'était dangereux.

Le marchand n'était pas stupide et mêmes ses gardes, qui le protégeait, ne semblait pas vouloir l'affronter. C'est alors qu'il se décida à nous délivrer... Un acte bien charitable, tout autant qu'irréfléchis ! Ils allaient nous prendre en charge ? Si j'avais bien suivis le nombre d'esclave, nous étions une quarantaine. Il était seul... Dans un désert, avec une force écrasante, qui faisait peur et soumettait les animaux, ceuxi-ci ayant poser tête à terre pour éviter tout représailles.

"L'homme" voulait bien faire, mais je crains qu'il n'ai pas prit en compte l'entièreté de la situation. On ne sauve pas un esclave en lui donnant une liberté absolue, mais en lui proposant des solutions. Si certains étaient assez fort pour survivre et savoir ce qu'ils voulaient, d'autres n'étaient plus que de simple marionnette à qui il fallait redonner du sens. Et redonner du sens dans un désert sans fin... c'était les conduire à la mort par déshydratation ou bien manger/tuer par des prédateurs.

D'ailleurs, sil s'attendait à des cris de joies, il eut plutôt un silence inquiet, incrédule de notre part. Seul un homme prit la parole, posant un genoux à terre... ce qui nous embêta, vue le colosse, les chaînes qui nous liait à ce "gladiateur" nous firent baisser de force la tête.

- Oh Seigneur du désert, nous te remercions de ta libération, mais elle ne sera pas complète, tant que nous aurons ces sceaux d'esclaves.

Le second homme tané, en profita pour réagir lui aussi.

- Oui Seigneur, ceux-ci nous traquerons encore et nous obliges à leur obéir !

Le marchand fut de plus en plus inquiet, alors que moi j'en apprenais des bonnes, je me doutais des effets de ce sceau sur nous, mais n'en n'était pas sûr jusqu'à la. Ainsi, nous retiré les chaînes n'étaient que de surface... Il fallait le contrat d'esclavage, sans quoi, ce n'était que parti remise.
Les deux femmes posèrent à leur tour un genoux à terre et...

- Oh Seigneur, prenez nous avec vous, nous vous promettons qu'avec nous, vos nuits seront des plus douces, nos corps seront vôtres.

Je m'en étais vaguement doutés, mais celles-ci étaient des vendeuses de charmes. Je crois qu'on appelle ça comme ça.
Personne n'avait chercher à gagner du temps, mais celui-ci permit aux pirates de s'organiser, le marchand profita de l'attention que nous avions attirés pour s'éloigner, courant pour monter sur le bateau, alors que les pirates descendirent de celui-ci, armés jusqu'au dent, sabre en main, arc poster et prêt tirer, avec des flèches imbues d'une magie perforatrice. Portant des armures de cuir anti-magie (enfin réductrice de magie lorsque celle-ci est trop puissante). Ils étaient plutôt bien équiper ! Je comprenais mieux comment ils pouvaient survivre dans ces conditions difficiles et avec ce "travail" risquer !

Le capitaine à la bar se rapprocha, avec un long sabre aux pierres magiques incrustés, portant des bracelets eux aussi magiques.

- Notre vie vaudrais si peux ? Tu ne sais pas les risques que nous prenons pour ce travail. La vie d'un pirate n'est pas des plus faciles et je n'ai jamais entendue parler d'un maître sur ce désert ! C'est nous les Rois par ici ! Tuer ce faux prince !

A ses ordres, une nuée de flèches lui furent tirés dessus et les pirates descendirent lui tomber dessus.
L'autre surprise, les bateaux voisins étaient en trains de revenir, le souffle du vent les empêchaient de trop s'approcher, mais grâce à des sorts, et pierres magiques du vent, ils réduisaient celui-ci. L'étranger devait ainsi faire face à ses assaillants de front et protéger son dôme en même temps, sous risque d'être submergés par plus de deux cents pirates !

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One Shot / Re : [Ouvert] Fêtes de fin d’année au Nyora’s Club

« le: mercredi 17 janvier 2024, 14:30:55 »

Poser tout au bout du bar, j'avais ainsi une belle vue sur la pièce complète, de nouvelle personnes continuait de rentrer, habiller dans des tenues plus ou moins varié. Certaines semblait jolies, d'autres plus chaude avec de la fourrure, tandis que certaines étaient... très similaire avec ce "match" de rouge et fourrure blanche.
D'ailleurs, c'était plutôt côté femmes, qu'hommes qu'il y avait ce genre de tenue.

Curieux, je regardais la carte des boissons et fit un signe à une des serveuses passant par là. D'ailleurs, l'une des serveuses ne me paraissait pas inconnue, ou plutôt, son essence ne m'était pas étrangère, pourtant, celle que j'avais connus était blonde. Des soeurs ?
Laissant cette question de côté, j'attendis que l'on vienne prendre ma commande.

- Je vais vous prendre un "Hot Choco Klaus" s'il vous plaît. Il s'agissait d'un chocolat chaud, avec de la mousse et une petite assiette de biscuit. J'en profitais. Dîtes, je ne suis pas très familier avec Noël, j'ai un peu de mal à comprendre ce que l'on fête. Si vous avez un peu de temps, vous pourriez me l'expliquer ?

J'imaginais bien qu'avec ce tumulte, une serveuse n'en n'aurait pas le loisir, mais j'aurais apprécier me mettre dans la même ambiance qu'autrui. Où que quelqu'un d'autre, entendant ma requête, vienne me saluer pour ça.

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Les terres sauvages / Re : Briser les fers - ft Anos

« le: mardi 09 janvier 2024, 12:26:42 »

Le marchand comprenait bien qu'il y avait anguille sous roche. Mais il n'arrivait pas à savoir quoi précisement... S'arrêter pour un homme leur coûterait du retard, si seulement cela s'arrêtait à sa. L'homme qu'il achète où non, devrait tout de même payer pour le service.
Ces propos arrogants l'agacèrent aussi, la concurrence, c'est ce qui leur permet de faire gonfler les prix ! Si chacun s'amusaient à les payer de leur côté, leur marge chuterait. Pour le coût, voilà qu'il venait de gagner 10-20% sur n'importe quel produit.

Certes, il vient à eux, mais du coup, il ne leur laisse que peux de choix et d'opportunités, cela, le marchand n'appréciait pas, mais alors pas du tout.
Toutefois, il avait l'air de vouloir acheter, donc pour l'instant et aux moins pour les richesses qu'il exhibait, le marchand acceptait de se montrer courtois. Mais l'homme abusait de plus en plus, il se croyait tout permis, dans un lieu inhospitalier, il se rendait compte de sa demande ou son arrogance lui en faisait perdre toute intelligence ? C'était là, la pensée du marchand qui ne voyait pas les choses du même oeil que l'acheteur.

- Nos services se font dans des lieux sécurisés et propice à cela. Nos pièces uniques pourraient être abimée par le sable où un incident est si vite arrivé. Si au moins vous accepteriez de monté sur le bateau, vous auriez une situation plus confortable. En plein désert, sous le soleil tapant, avec un sol non meuble, vous nous rendez la tâche compliqué. Je peux faire descendre à vos côtés des bêtes ou de la main d'oeuvre, mais pour ce qui est de pièce unique, je suis navré, mais je vais devoir refuser de les sortir du bateau. C'est au mieux de ce que je peux faire dans la situation trouble que vous nous mettez.

Sa patience allait atteindre ses limites et les pirates aussi, ils n'attendaient qu'un signal pour tenter de le détrousser. Mais un mage à leur côté était là pour s'assurer de ne pas être pris au dépourvus. Problème... celui-ci était anxieux et comme le marchand, il tentait de déchiffrer la situation. Ne voulant pas faire de faux pas. Les monstres à formes humaines restaient rares, moins les mages, mais trouver un mage qui se prétend acheteur, seul au milieu du désert... Sa restait louche !

Claquant des mains, il fit amener quelques bêtes et "main d'oeuvre" qui pensait égale à la valeur des bijoux qu'ils voyaient de loin. Qui allait faire des concessions entre Anos et le marchand ?

Un léopard noir feula, tentant de se libérer de son emprise, tandis qu'un lion, une lionne et un tigre suivirent. Deux dromadaires arrivèrent avant que ne sorte quelques esclaves, des humains non amochés et portant des tuniques propres, deux belles femmes, un homme à l'allure costaud avec des cicatrices, certainement un ancien gladiateur, un jeune homme à la peau tanné aux physiques charmeur et enfin un... adulte, enfant ? Alphen, la fae de part ses origines avait une petite taille d'un mètre soixante, une taille d'enfant mais des traits d'adultes. Ceux-ci descendirent avec les bêtes, entourés l'acheteur. Une vingtaine de personnes étaient maintenant sur le sable, dont le marchand, gardant toujours ses distances.

- Voilà ce que je peux vous proposez pour l'instant et dans ces conditions.

Anos auraient pu attiré bien plus, mais personne ne connaissant qui il ai, sa parole n'aurait pour eux, que peu d'impacte s'il se disait insatisfait de se traitement. Faut dire qu'il paraissait être un homme à l'ancienne richesse, sans titre, ni terre, en plein désert.

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One Shot / Re : [Ouvert] Fêtes de fin d’année au Nyora’s Club

« le: mercredi 27 décembre 2023, 12:49:23 »

Les humains ont des fêtes étranges, oui, on fête aussi la naissance de certains des nôtres, mais pas d'une personne dont son histoire n'est plus qu'un mythe, et que tous ne sont pas d'accord sur son existence. D'après certains, il existe, et d'après d'autre, ce ne sont que des foutaises. Plus bizarre encore, le concept de pub de ce monde, je n'arrive pas à bien le comprendre et sérieusement, ça fait mal à la tête...

Pourquoi je pense à sa ? Bah parce que j'ai entendu dire que Saint Nicolas apporte des cadeaux, mais pourtant, à la télé, c'est le Père Noël Coca-Cola, du coup... c'est qui ? Et cela en même temps que la naissance de JC, franchement j'y comprends plus rien. Tout le monde veut avoir son évènement perso du 24 décembre ?

Laissant de côté le manque de compréhension que j'avais dans ce mélimélo, j'avais appris qu'une fête sur ce sujet était ouverte dans un club dont je ne savais rien. Tentant de comprendre cette culture humaine, je m'y étais rendu et... J'avoue, l'ambiance chaleureuse, et les odeurs m'étaient agréable. Bien que je fus confus sur les propos de l'homme qui voulait couper un arbre... déjà couper et non dans une forêt. Je me demandais franchement ce que c'était que se bordel !

Et là un autre homme... Santa Klaus ? Saint Nicolas ? Coca-cola ? non il est pas vêtu de rouge... Vint plutôt le stopper, ce qui amenà plutôt l'autre à vouloir se battre en le traîtant de traître au Sapin ? ... Les sapins ici aussi sont vivant ?
Une serveuse tenta alors de l'éloigner, de le calmer.
N'y comprenant rien, ni ne désirant me mêler des affaires humaines, je me posais dans un coin et observa la scène, jetant un coup d'oeil à ce... je crois qu'on appel ça un DJ qui semblait dans son petit monde et qui nous offrait une musique d'ambiance, style "Noël" ... même si j'y suis toujours perdus. Noël, c'est quoi au juste ? une personne ? Où un évènement ?! Faudrait peut-être que je demande plus d'explication...

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Les terres sauvages / Re : Briser les fers - ft Anos

« le: mercredi 27 décembre 2023, 11:28:26 »

Croisé des marcheurs du désert était déjà rares, mais seul en plus... C'était suspicieux ! Pour autant, un bon marchand/pirate doit toujours vérifier s'il n'y a pas quelques piécettes à gagner !
C'est pourquoi les bateaux virèrent de bord, tout en restant sur leur garde. Rien ne disait qu'il était absolument seul et qu'aucune tentative d'attaque surprise n'était à prévoir !

Toutefois l'inconnu faisait preuve de confiance et de hardiesse dans ce désert. Son comportement fut aussitôt rapporté au capitaine, et décida d'envoyer un de ces pirates de bas étage au cas où celui-ci serait pris en otage.
Un seul bateau s'arrêta, alors que les deux autres firent des tours, pour vérifier les alentours et repartir aux moindres soucis.

Un simple pirate descendis voir ce que l'homme voulait et s'il était facilement détroussable, pendant que d'autre le regardait de haut et observait le moindre de ses mouvements. Tandis que des mages scrutaient les alentours. L'homme était richement vêtu, le pirate l'aurait bien attaquer, mais les ordres étaient claire, une première approche pour savoir ce qu'il voulait. Faire des achats... Il l'invita donc à monter, mais celui-ci refusa poliment, mettant tout le monde sur ses gardes. Il remonta donc sur le bateau et bientôt un marchand approcha des rembardes, sans pour autant descendre.

Celui-ci était le plus avisé et le plus fûté, il sentit aussitôt que cet homme n'était pas un quidam lambda.

- Bonjour Messire, quel marchandise souhaiteriez-vous ? Nous avons beaucoup d'articles en vente. Des grimoires, des pièces de collection et d'autres objets en tout genre ainsi que des pierres précieuses. Venant d'ici ou d'ailleurs, ainsi que de la "main d'oeuvre".

En tant que vendeur, il fallait bien tenter de vendre le plus possible. Il y avait toutefois une question qui lui trottait dans la tête.

- Mais si vous me permettez, comment comptez-vous transporter vos affaires ? Auriez-vous besoin que l'on vous dépose ? Une magie spatiale ?

Il y avait bien des possibilités, et avec cette info, les ventes pourraient être différente, sauf s'il était fou de prendre des bricoles et rentrer à pied.
Il s'informait donc de ce qu'il souhaitait pour apporter le nécessaire et alors il descendrait, par contre, il allait payé un supplément, pour avoir fait stopper un navire et ralenti le voyage. Serait-il assez riche pour se le permettre ?

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Les terres sauvages / Briser les fers - ft Anos

« le: vendredi 08 décembre 2023, 12:47:57 »

Je repris lentement connaissance, ma tête me faisait atrocement mal. Un coup de marteau m'aurait été plus agréable à ce niveau là. Elle résonnait et mon corps me brûlait. Mon champ de vision se fit lentement moins flou, mais j'étais balloté sur un bois souple qui frottait mes plaies.

BANG, ma tête heurta du métal à glisser, je me recroquevilla sous la douleur, apercevant vaguement des barreaux du coin de l'oeil. Bientôt quelques pleurs me firent réaliser que je n'étais pas seul. Puis le bruit métallique claqua à mes poignets, d'où je découvrais des menottes.
Je me tirais vers un recoin pour éviter de glisser plus et me redressa, observant enfin mon environnement. Une fois posée, une douleur encore plus vive me pris, mon dos... un tesson de fer ardent me fit pleurer de douleur, ce n'est qu'en touchant mon dos que je compris d'où elle venait. Mes ailes... mes ailes avaient étés arrachés !

Certainement pour m'empêcher de voler. De vrai barbare ! Il ne restait que deux brisures à peine plus grand qu'un petit doigt. Ma respiration saccadé, je tentais de reprendre le contrôle de mon coeur afin de diminuer la douleur.
Ce fut dix longues, interminable minute, les yeux clos à ne me focus que sur moi et non les pleurs, le métal claquant et les coups de fouet que j'entendais plus loin.

Enfin je pus rouvrir les yeux, en ne faisant que grimacer de douleur. J'avais été kidnapper, mais je ne me rappelais pas de grand chose, même pas de mon nom et un sceau apposé sur mon ventre m'empêchait d'utiliser toute magie. Toutefois j'avais au moins une forme humaine... enfin plutôt d'adolescent vue mon mètre cinquante-cinq.
J'étais enchaîné avec d'autre créature, humain dans une câle de... bateau ? Pourtant je n'entendais, ni ne sentait la mer.
En regardant entre les planche, je vis... du sable !?

Une mer de sable à perte de vue, sur lequel se déplaçait, non pas un, ni deux, mais trois bateaux des sables, naviguant à bonnes allures et vue les bruits au-dessus, les... pirates devaient être nombreux. Comment pouvais-je m'enfuir ? Par quel moyen et quand ? je ne connaissais pas les lieux, si je partais trop tôt, je mourirais dans le désert. Merde... Pourquoi étais-je ici ?!

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Place publique / Re : L'hydromel de notre enfance - ft Thessalia Fenris

« le: dimanche 02 juillet 2023, 09:50:12 »

Voilà les loubards parti grâce à mes graines grimpantes, laissant Thess plus tranquille qu'avec des hommes à garder. Elle apprécia la démonstration, même si j'espérais discrètement qu'on ne leur pose aucune question sur la route, en effet, la plante faisait bouger le corps, mais pas répondre ou agir en conséquence d'une rencontre imprévue... Ainsi ce serait plutôt comme s'ils ignoraient la personne... Après tout, c'est déjà leur faute pour se mettre aussi minable, donc tant qu'on ne les agresse pas, ça ira !

Je donnais les règles à ma camarade elfe, qui étaient les plus forts et les plus faibles, le jeu était simple, mais donnait à bluffer. Et pendant ce jeu, nous pourrions échanger, converser normalement.
Ainsi fait, je sortais mon repas purement végétarien et de très grande qualité, tout était frais et coupé, récolté par moi-même après tout ! Je récupérais juste une assiette, des couverts et y ajoutait un peu de sauce, tandis que Thess avait aussi son plat !

Je ne fus toutefois pas bien sur de savoir ce qu'elle voulut dire, le jeu l'excitait ou le jeun ? Genre le fait qu'elle ai peu le temps de manger durant la journée ? Je me contentais d'un sourire et mangeais avec elle, appréciait mes légumes frais.
Les elfes pouvaient manger de la viande, les fées n'y sont pas contre, mais c'est plutôt rare et en petite quantité. On dit qu'une fée mangeant trop de viande pourrai devenir un vampire en y étant accro. Mythe ou réalité... je ne sais pas, c'est un peu des racontards.

Le repas terminé, nous pouvions commencer le jeu !
Les cartes distribué, les premiers tours furent amusant et un peu du n'importe quoi. Thess voulait tenter des plus grande pair et moi je gagnais avec de petite pair comme elle n'arrivait pas à tout aligné. Elle fini par devenir un peu plus sérieuse après ces rounds là et je dû viser plus haut.
Nous nous fixions du coin de l'oeil en buvant l'hydromel, tentant de savoir ce à quoi pensait l'autre et quelle carte il/elle avait.

C'est alors que Thess, qui avait l'habitude de voir, et entendre des défis, dans sa taverne voulu aussi en rajouter. Je fus surpris, mais trouvait que cela était une bonne idée.

- D'accord, mais tu propose quoi ? Je n'ai pas vraiment d'argent et ce que j'ai de valeur ne pourrai être mis là-dedans. Que proposes-tu ? Des gages ? Autre chose ?

Je n'étais pas un adepte de ce genre de pratique, c'était à Thess de m'informer des "moeurs" des lieux.

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Ville-Etat de Nexus / Re : Au Voleur...? Non.. ♥♥Alphen♥♥

« le: lundi 26 juin 2023, 16:41:55 »

J'étais content de pouvoir voir la futur Reine dans un moment un peu plus tranquille. Sans compter les pâtisseries qui avait l'air excellente. La fée était magnifique, avec sa robe et ses cheveux émeraude, certainement une des plus belle fée que j'eus vue.
Sans penser que je l'intimidais, je vins la saluer et prendre directement de ses nouvelles.

Hors sa réaction... J'aurais dû réfléchir à deux fois à me poser avec elle, j'aurais peut-être dû attendre sa réponse avant de me poser. Elle fit une révérence et se reposa aussitôt... Sans avoir répondu à ma question, pensant qu'elle le ferait ensuite, je m'étais poser. Et... Elle n'osait pas me regardé. Je devais la gêner bien plus que je ne l'aurais crus. J'eus même l'impression qu'elle se forcer à dire qu'elle était contente de me voir.

C'était un silence... Malaisant, plombant.

Sirotant ma boisson, je me demandais si je devais rester ou non. Je n'étais pas la personne qui avait le plus de discussion, alors j'espérais que la Princesse soit plus à l'aise, mais visiblement... non.

- Les préparatifs se passe bien ? Vous avez pu avoir toute les réponses aux questions que vous vous posiez ? Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésiter pas si je peux être d'une quelconque utilité. Tentais-je de rattraper le navire qui coule.

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One Shot / Re : Rent a girlfriend - ft Aoi [Nyoras Club]

« le: vendredi 16 juin 2023, 15:07:23 »

Ma "copine" approuve mes idées, semblant chercher dans sa mémoire où allez et ce qu'elle connaît. Les restaurants seront en effet compliqué à trouver, peut-être que je réduirais les possibilités en choisissant uniquement ceux végétarien directement.
En tout cas, je la coupe en venant l'embrasser, baiser qu'elle ne refuse pas et semble même plutôt ravie. Elle a un grand sourire en retour, sa doit donc allez !

- Je ferais de mon mieux Aoï. Lui répondis-je alors qu'elle se colle à moi, posant une main sur sa hanche.

Cette proximité est plutôt agréable. Elle reprend ensuite le fils de ses pensées que j'écoute attentivement. Son regard pétille lorsqu'elle parle du café à chat, elle aime ça ? Tant mieux si elle apprécie et déjà elle n'est pas allergique, parfait !
En parlant, on arrive au vendeur et commande, heureusement que j'avais réfléchit un peu avant, car sinon j'hésiterais vue les nombreux produits disponibles ! Le fait qu'elle demande toutefois de mettre une dose de sucre me surprend. Pour moi qui vit dans un "lointain pays" le sucre y est peu présent, rare. C'est pourquoi je n'y suis pas habitué ici. Et bien que curieux...

Je sirote d'abord mon bubble tea pour me faire un avis et... Je manque presque de m'étouffer. La dose de sucre... mon dieu ! C'est effarent, mon cerveau à l'air d'exploser, de pétiller sous l'effet de celui-ci, c'est tellement fort que je n'arrive pas à savoir si j'apprécie la boisson ou si cela m'écoeur. Et je n'ai pas demandé de sucre en plus... Mon visage passe de grimace à un oeil qui se ferme et ouvre rapidement pendant quelque seconde.

- C'est... pfiou...si sucré.

Le sirop l'est déjà bien, mais les "bubbles" le sont tout autant, je laisserai les billes au font. Sinon je vais vraiment en être écoeurer ! Il y a une réaction toutefois que je n'ai même pas pris garde tant ma tête pensait ailleurs... Ce sucre à stimuler mon organisme et j'avais un début d'érection.

- Je te remercie... mais non.

Je crois qu'a partir de maintenant, je vais faire attention à toute les nourritures sucrés, si elles me font le même effet, j'ai presque l'impression que je pourrais finir comme drogué.
A l'inverse, je lui propose mes billes une fois fini ma boisson, tandis que nous reprenons la marche pour tomber sur un Game Center, dans un immense building commerciale a plusieurs étage, sur qu'on devrait y trouver des restaurants voir un cinéma j'ai cru lire.

Etant un jour de semaine, il y a un peu de monde, mais cela va. L'ambiance, la lumière, la musique donne une sacré touche, nous changeant complètement d'univers. Toutes ces bornes d'arcades... Jeux de voiture, moto, d'arme, de rythme, etc... Avec les fameux gatcha, pince à cadeau et photomontage.

- Cela te dirait un jeux de musique ? Lui demandais-je sans savoir lequel elle voudrait.

Comme il y avait ceux à instrument et la danse. Qu'est-ce qu'elle préférait ?

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One Shot / Re : Rent a girlfriend - ft Aoi [Nyoras Club]

« le: mercredi 17 mai 2023, 22:49:10 »

Mon "escorte" me valide, elle se nomme Aoï, j'en profite pour me présenter. Et comme elle l'avait mentionner peut avant, j'accepte qu'elle me guide. Il y aurait pas mal à faire ! Donc bien que nous commencions notre pérégrination matinale pour terminer l'après-midi, jusqu'à... j'ai donné une heure ? Mince, je ne me rappel pas. Bon, elle finira bien par me dire "il ne vous reste plus que une heure en ma présence." Si du moins il y avait une heure limite, la précision d'une journée complète pouvant être assez vague. A quand se termine-t-elle ?

- Très bien, je te suis alors.

Aoï me prend le bras en me donnant des indications sur les commerces environnant, des restaurants et un cinéma... Y aura-t-il un film qu'elle aimerai voir ? Je n'y connais rien en goût humain. Mais cela peut être intéressant !
On passe devant un restaurant, dont je me note rapidement le menu, avant une boutique de vêtement, là aussi, je note le style. Enfin un café et une boutique de jeux, je me demande si cela l'intéresse, n'ayant aucune console, ni ayant joué... cela ne me dit guère. Je serais plus curieux des Gaming Center, si je ne me trompe pas, ou appeler aussi Arcade ?

A son indication, je tente de percevoir le fond de la rue et... Oui, il y a du monde et la profondeur semble s'étaler sur des kilomètres, c'est fou !

- Impressionnant. Soufflais-je en me laissant tirer.

Elle me montre une autre rue, m'intriguant. Qu'appelle-t-elle osé ? Ne connaissant pas les moeurs des lieux ou plutôt les pensant libérer en vue de tout ce qui se passe sur internet... J'étais loin de me douter ce dont il s'agissait.

- Oh ? Lancais-je marquant ma curiosité.

Mais on changeait de sujet pour choisir à boire et voir les magasins. Cela me semblait une bonne idée, si le café était un met rare et précieux dans mon monde, ici ce n'était pas le cas. Mais les bubble tea m'intriguait plus fortement, je commençais à avoir quelques idées et demande à faire.

- Va pour un Bubble Tea, ensuite, dans notre journée, j'aimerais bien allez au cinéma, découvrir le Gaming Center des lieux, manger une crêpe fourré... Hum... Voir pour des vêtements ? Celui-ci était moins obliger. Oh, un café chat ! Quoi d'autre ? Un restaurant pour ce midi. Un Karaoké ? Voilà quelques trucs que j'aimerais faire. Si tu as un conseil dans l'ordre des choses, n'hésite pas. Tu es ma guide et... ma copine du jour. Lui souriais-je charmeur. Un Date. Soufflais-je fier de moi.

Je me rappelais alors d'un truc qu'on fait avec sa copine et approchais mon visage de celui d'Aoï pour l'embrasser avec douceur. Je ne m'y connaissais pas franchement, mais je n'étais pas timide et n'avait pas honte d'oser des choses. Si on devait se comporter comme cela, ce n'était pas dérangeant, voir même plutôt agréable.

Il y avait pas loin, un vendeur de bubble tea et je savais déjà quoi prendre. Thé noir melon avec bille de framboise. Mélanger tout ça... Je me demande si j'allais apprécier. Et l'idée de jouer avec des billes à croquer en bouche était plutôt amusant ! Que prendrai-t-elle ?

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Ville-Etat de Nexus / Re : Au Voleur...? Non.. ♥♥Alphen♥♥

« le: jeudi 11 mai 2023, 13:37:14 »

Notre discussion à côté de la Princesse Leilani la mettait mal à l'aise, à vrai dire, seul la Reine Titania s'en amusait... Nos propos étaient unilatéral, elle savait ce qu'elle voulait, j'en étais sûr. Finallement, elle lâcha des propos peu réjouissant sur notre relation, très... pro. J'en étais un brin offusqué, aucun de nous n'avions tenter de rapprochement, alors pourquoi me lancer ça ? Je n'étais pas d'accord, mais il me fallait laisser une porte de sortie. Je me tournais ainsi vers la Princesse pour lui dire qu'a son désir, je dormirais avec elle.

Elle eut l'air... choquée ?
Mais Titania repris le flambeau, me faisant hausser un sourcil. Pourquoi elle donnait ce genre de conseil, alors qu'elle-même n'avait pas respecté ceux-ci ? J'avoue que cela m'agaçais. Apprendre à nous connaître, oui, mais il n'y avait pas besoin de dormir dans le même lit pour ça !
Mais ceci eut pour effet de faire réagir la princesse, qui intimidé par cette histoire feinta la joie. Je voyais bien qu'elle se forçait...

Néanmoins, si je disais ça ici, on allait repartir de plus belle. Je m'inclinais alors respectueusement de sa "requête" (forcé par Titania !). D'ailleurs, la voilà prête à partir.

- Mais non reste Leilani, n'es-tu pas venue pour me voir ? Pour me demander conseil ? Elle souriait chaleureusement et...

J'en profitais.

- Bien, je vous laisse entre fée. Bonne soirée, ma Reine, Princesse. M'inclinais-je et sans leur laisser le temps de m'en empêcher, je m'enfonçais dans mon ombre.

- Non Alphen tu...!

Trop tard, j'étais parti. Titania fulmina avant de soupirer.

- Princesse Leilani, je te prie d'excuser le comportement un peu brute d'Alphen, il n'est pas très doué pour le social. Je compte sur toi pour l'empêcher de dire des bêtises. Souriai-t-elle amuser et un peu boudeuse. Elle lui proposa ensuite à boire pour discuter.

Moi, je n'étais plus la pour savoir ce qui s'y dirait !

- - -

Quelques jours passèrent avant que je ne recroise la Princesse. Je tombais sur elle, dans le jardin royal attabler. Terminant mon tour de garde, je vins donc la saluer, dans un environnement plus calme. Le Palais bougeait beaucoup avec le rite de passage qui se ferait d'ici trois jours. Certainement que la Princesse appréciait ce moment plus détendue.

- Bonjour Princesse Leilani. Comment vous portez-vous ? La saluais-je en m'approchant. D'un petit signe de la main, je demandais son autorisation pour m'asseoir à ses côtés.

Une fois fait, une fée vint me servir une tasse de thé noir pour apprécier à mon tour, un temps de pose et pouvoir discuter tranquillement avec cette fée émeraude des plus ravissantes.