Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Le Grand Blanc ( Validhéra ! )

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Great White

Le Grand Blanc ( Validhéra ! )

jeudi 14 juin 2012, 20:34:40

La vue sur la baie de Tokyo ce soir là était superbe, surtout contemplée depuis le quarantième étage de la Infinite Tower, tour de verre et d'acier à la conception audacieuse qui faisait l'orgueuil de son propriétaire, Richard Nakatomi. C'était depuis son bureau qu'on avait l'un des plus beaux panoramas de la ville et l'homme s'en vantait souvent  quand il n'avait pas contre la tempe un silencieux de revolver adapté sur un Walther P99 comme s'était le cas au moment même ou ses yeux cavalaient tranquillement sur les étoiles artificielles qui éclairaient capitale nippone, les découvrant se refléter mollement dans l'eau sombre de la baie. Richard ne put s'empêcher de trouver que ce tableau valait le coup d'oeil et que c'était bien malheureux de penser qu'il n'aurait plus jamais l'occassion de le voir une fois encore. A sa décharge, les lumières de son gigantesque bureau étaient éteintes et en temps normal, cela n'arrivait jamais. "Peut-être dois-je le remercier", songea t'il en décalant sa tête quand le canon supplémentaire du Walther le lui permit, ôté de sa prise pour que l'homme qui le tenait puisse s'allumer une cigare à l'aide du Zippo qu'il ne quittait jamais.
Le revolver fût déposé sur le sous-main tandis que le briquet s'ouvrit dans son déclic si particulier avant que ne s'active sa molette dont les étincelles puis la flamme dévoilèrent la face de celui qui, d'ici quelques minutes, allait faire office de bourreau. Les traits étaient fins, presque délicats. Dénuées de toute trace de barbe, les vagues aspérités de son visage mettaient en avant un nez fin qui remontait vers une paire d'yeux bridés d'un noir dérangeant qui évoquait le regard sans âme des requins mangeurs d'hommes, malgré les mèches qui balayaient son front. Nakatomi trouvait la comparaison tout à fait juste et frémit quand les pupilles se posèrent dans les siennes. Le tueur avait un visage d'ange mais un coup d'oeil qui dépeignait l'enfer. "Le Grand Blanc" était plus qu'un simple surnom donné à ce type : c'était une sorte de définition qui lui allait comme un gant. Son sourire -lorsqu'il s'en fendait d'un- rappelait les mâchoires tueuses des squales et ses méthodes achevaient le tableau.

Richard ne pensa même pas à se saisir de l'arme. Le Grand Blanc ne le lui permettrait sûrement pas et quitte à mourir, il préférait profiter du peu de temps qu'on lui accordait encore. Il toisa le tueur qui tirait tranquillement sur sa cigarette et apprécia malgré lui la sobriété élégante de son costume noir à la veste ouverte sur la chemise brune qu'il avait enfilée ce soir. La cravate qui coordonnait le tout était couleur de corbeau elle aussi, mais soulignée d'une épingle dorée ornée d'un requin stylisée. Richard ne pût s'éviter un petit sourire avant de se demander comment un homme finalement assez fin pouvait se montrer si séduisant. Les femmes devinaient elles son corps élancé et finement ciselé sous ses ensembles sur-mesure ? Aimaient elles ces allures de dandy, d'homme de goût qui dégageait une aura dangereuse ? Où s'arrêtaient elles simplement sur ces doigts fins et agiles ? Il détourna le regard et le fît glisser sur le Walther avant de revenir à la baie, le Grand Blanc expirant quant à lui tranquillement sa nicotine, posé contre le rebord du bureau.

- Pourquoi revenir après tout ce temps, Shin ? Cinq ans. Tu t'étais rangé, non ? La génération montante compte des pro plus compétents que toi, aujourd'hui. Tu veux faire un coup d'éclat pour revenir dans le circuit, quelque chose comme ça ?

Le Grand Blanc le regarda un instant après qu'il eut parlé, et accompagna finalement Richard dans sa contemplation de l'étendue lumineuse qui s'étendait sous eux avant de répondre entre deux bouffées tirées sur la Phillip Morris.

- Tu ne comprendras jamais rien à ce milieu, Richard. Etre le meilleur tueur, ça ne rime à rien. A part se mettre en avant, et c'est le genre de choses que nous sommes sensés éviter. Rester au coeur du classement, c'est là qu'est la clé. Personne ne te remarque trop, mais personne ne t'ignore non plus. Le juste milieu. Enfin, de toute façon, je suis retiré et je le reste. Tu n'as donc vraiment pas idée de la raison de ma venue de ce soir ?
- Je pensais qu'on t'avais engagé.
- Non. Pas dans le sens où tu l'entends, du moins. Il expulsa un peu de fumée d'entre ses lèvres et lui jeta un coup d'oeil.
- Pas dans le sens... Qu'est ce que ça veut dire, Shin ? Tu pourrais au moins me faire cette fleur et m'expliquer. En souvenir du bon vieux temps.
- En souvenir du bon vieux temps.

Le tueur marqua un arrêt et se tût quelques instants tandis qu'il observait la nuit tokyoïte sous eux. Le passage des voitures se réduisait agréablement au déplacements de leurs phares et dans ce ciel bas constellé par les néons et l'éclairage publique, les allées et venues à moteur semblaient s'apparenter à des étoiles filantes. Il chassa un peu de cendre en tapotant sa cigarette au bord de l'aquarium qui traînait là, cadeau de la fille de Richard afin qu'il se sente moins seul. Le propriétaire du couple de poissons rouges qui y résidait tiqua mais ne pipa pas mot, attendant que le Grand Blanc daigne lui apporter quelques réponses. Ce qu'îl fît en ajustant lassement ses boutons de manchette.

- J'avais monté ma propre affaire après m'être retiré. L'argent de mes contrats m'avait permit de m'offrir une petite maison dans un patelin tranquille et ce qui restait, je l'avais injecté dans une petite boutique de lingerie fine que j'avais rachetée. Pas de quoi concurrencer Victoria's Secret, mais ça avait au moins l'air honnête malgré la provenance des fonds. Il tira une nouvelle bouffée et l'extrémité incandescente qui éclaira un bref moment son regard en dévoila toute la noirceur. Richard ne pût s'empêcher de frémir. Dans la foulée, j'avais rencontré Keiko. Une fille adorable, Richard. Ni trop curieuse ni trop bavarde, comme toute femme devrait l'être. En plus d'être une bonne gestionnaire, elle jouait superbement du Shamisen. Bref, ça allait bien.

Le temps que Richard s'en rende compte, Shin avait déjà reposé ses yeux dans les siens et le regard lui fît l'impression d'être jeté en pâture à un requin gigantesque qui remontait depuis le fond des eaux en ouvrant progressivement la gueule. Et Richard l'avait bien compris : il ne nagerait jamais assez vite pour s'échapper. La bête arrivait, inexorablement. Il déglutit tandis que la voix monocorde du Grand Blanc reprenait sans qu'il ne cesse plus de le fixer.

- Il y a deux ans, on a traversé une mauvaise passe. Les affaires sont les affaires, pas vrai ? Mais les problèmes qui s'accumulaient nous fîrent fermer boutique et perdre énormément d'argent. Tout ce que nous avions, Richard. Absolument tout, puisque Keiko avait fait hypothéquer la maison pour que nous ayons une chance supplémentaire de nous en sortir. Elle s'est mise à chercher un boulot, consciencieusement. Et malgré ses diplômes et ses qualifications, toutes les réponses étaient négatives. D'accord, je n'y connais pas grand'chose. Mais j'ai connu assez de véreux au cours de ma carrière pour avoir la puce à l'oreille. Alors j'ai fais marcher quelques contacts pour mener ma petite enquête en me disant que le milieu m'avait possiblement rendu parano. Tu vois ? J'étais assez con pour me dire que c'était de ma faute, en plus.

Ses lèvres s'étirèrent en coin pour une parodie de sourire glacial tandis que la cigarette finissait sa vie dans l'eau des poissons rouges. Lentement, Shin attrapa le Walther tout en parlant.

- Quand ton nom est venu sur le tapis, ça ne m'a pas étonné. Tu étais bien assez vicieux pour me retrouver et t'appliquer à me couler. Lentement, pour que je le sente passer. Et je dois dire que c'était du bon boulot, Richard. Tu as tellement soigné le travail que Keiko s'est sentie coupable et s'est étranglée avec les cordes de son shamisen un soir où j'étais absent. Le plus amusant, c'est que j'ai jugé ça d'abord avec l'oeil du professionel et que je me suis senti désolé qu'elle soit aussi peu soigneuses avec son instrument. J'ai pris mon temps. Mes derniers sous vaillants, je les ai dépensé pour lui offrir des funérailles décentes. Puis je me suis décidé à me mettre en chasse après toi. Mais là, je dois dire que j'ai été surpris. Tu avais détruit tout mes contacts de l'époque, piétiné ma réputation et privé de tout les appuis dont j'avais besoin pour pénétrer dans ta tour en étant sûr de t'y trouver. C'était bien calculé, Richard. J'ai apprécié ton côté méticuleux, je dois te rendre ça.

Nakatomi ne cilla pas à l'énoncé des faits, puisque tout était pure vérité. Il avait orchestré conscienscieusement la ruine de la petite affaire de façon à ce que ce soit définitif mais pas trop rapide et avait sapé tout le travail qu'avait accompli Shin lorsqu'il était encore dans le circuit. Il avait dépensé des sommes folles et fait abattre qui devait rejoindre la tombe pour lui assurer cette sécurité, privant le prédateur de ses dents. Mais les requins savent vite les remplacer quand les rasoirs meurtriers sont tombés... Il ne comprenait pas encore comme c'était possible, mais le regard de Shin lui annonça d'emblée qu'il apprendrait tout. Le Grand Blanc ôtait d'ailleurs la sécurité de son arme pour finir par faire jouer le chien qu'il repoussa en arrière.

- Personne n'aurait dû pouvoir t'aider en ville. Personne, Shin.
- Et personne ne l'a fait. Cependant, j'avais gardé un atout dans ma manche. Les prédateurs parfois s'associent pour le sang, Richard. Celui là plus encore que les autres. Je n'ai jamais aimé devoir quémander un peu d'aide, mais pour avoir ta tête j'étais prêt à ravaler ma fierté. Il m'a suffit d'un coup de fil et d'une bouteille d'un magnifique vin français pour que je puisse être de nouveau dans la course, à Tokyo comme ailleurs. J'ai pû venir à toi en vendant mon âme à une autre. Ce qui m'ennuie, c'est que je vais devoir le rembourser sur le long terme, tu comprends ? Cet enfant de putain s'est assuré mes services et j'ai de l'honneur, aussi aucun chèque ne me fera changer d'avis.

La sentence était explicite, mais la future victime n'en avait cure. Il voulait abattre le Grand Blanc, pas le mettre dans son aquarium. Pour garder de sa superbe, Richard se contenta de se caler davantage dans son fauteuil en fronçant les sourcils. Shin lui fouillait dans l'une de sa poche, en tirant son portable. Un vieux modèle à clapet qui avait son charme. Pianotant rapidement, le tueur enchaîna ses explications.

- Je me suis donc lié exclusivement à un diable en col blanc. Pour toi,  Richard. Mais à la condition de pouvoir avant toute chose te rendre la monnaie de ta pièce à ma façon. Et entre nous, mon nouvel employeur s'est montré plutôt généreux sur les moyens d'arriver jusqu'à toi. Mais je n'avais pas envie de me presser, tu comprends ? J'ai étudié tes habitudes, j'ai pris mon temps. Je me suis même débarassé de quelques gêneurs qui avaient les mêmes projets que moi. Et puis finalement, j'ai été faire la connaissance de ta petite famille. Pas plus tard que ce matin.

Richard ouvrit plus grand les yeux et ses traits qu'il avait durçi pour ne pas laisser paraître sa peur s'étaient détendus. Aoki, Mamoru et Hitomi -respectivement sa fille, son fils et sa femme- n'étaient pas en soi un secret jalousement gardé mais étaient pourtant très protégés. Les Nakatomi avaient énormément d'ennemis, puisque papa trempait dans des affaires illégales et souvent mafieuses, et ils avaient toujours dû veiller à leur sécurité. En temps normal, il ne se serait pas inquiété. Mais les méthodes du Grand Blanc ne lui étaient pas inconnues, puisqu'il y avait très souvent fait appel. Dans son imposant fauteuil, l'homme se raidit alors que le tueur lui tendait lentement son portable, arrêté sur un élément bien précis de sa mémoire. Aoki était exhibée en lingerie indécente pour ses quatorze ans, tenue en laisse par sa propre mère qui pleurait à chaudes larmes.

- N-non ! NON !
- Si. Me faire passer pour un de tes associés les plus proches ne fût pas bien compliqué, Richard. Quel fabuleux sésame pour pénétrer chez toi ! Tes gardes du corps n'ont pas été d'un grand secours quand la chasse a commencé, tu t'en doute. Comme à Berlin. J'ai fais une fleur à ton fils, toutefois. Abattre un si petit bonhomme n'est pas bien glorieux, mais il fallait que je domestique sa mère et sa soeur, pas vrai ? Une balle derrière la tête de Mamoru a suffit à calmer les proies. Il a été très courageux, Richard. Il n'a pas pleuré.
- FILS DE PUTE !

L'homme poussa un hurlement et tenta de bondir hors de son siège, mais le doigt qui se crispa sur la détente délivra la première détonation, étouffée par le silencieux. L'éclair illumina la pièce et la douille roula à terre dans un petit tintement alors que Richard retomba lourdement sur son assise, hurlant à la mort en se tenant l'entrejambe qui expulsait d'épais filets de sang. Tranquillement, Shin attendit qu'il se calme un peu avant de reprendre.

- J'ai brisé les genoux de ta femme juste après la photo, à grand coups de batte de base-ball. Celle que tu avais offerte à ton fils, il me semble. Je ne voulais pas qu'elle puisse me gêner pendant que je privais ta fille de sa virginité. Oh, ne t'en fais pas, tu ne sera pas grand-père, Richard. Elle s'est amusée avec le silencieux que tu vois là, au bout du même revolver. C'est une fille très douée de sa langue, tu sais ? Appliquée malgré les supplications de sa mère pour que je cesse mes petits jeux. Elle ne manquait pas trop de pratique, par contre. Tu devrais surveiller ses fréquentations. Enfin, tu aurais dû. Le Grand Blanc haussa les épaules. Elle n'a rien, je l'ai promise à un réseau japonais et je ne l'ai pas abîmée. Peut-être que je la garderais pour moi, si mon patron m'accorde ce petit bonus. Par contre, sa mère... Ah, sa mère ! Un cordon bleu, rien qu'à goûter ses cookies à l'américaine, Richard. Pour lui rendre hommage une fois que je l'ai eu battue à mort de mes mains, je l'ai donnée à un restaurant de ramen. Tu savais que parfois la pègre se débarassait comme ça des corps gênants ? Personellement, je ne mange plus que des ramens instantanés, depuis.

Le sourire du tueur au costume deux-pièces s'élargit plus franchement et l'espace d'un instant bref, il sembla parfaitement dénué de toute humanité. Un requin à face d'homme, qui lardait tranquillement sa proie à coups de dents afin d'en éprouver tout le goût. Richard sanglotait en refusant de voir les photos pixellisées que son tortionnaire faisait défiler. Une belle galerie des horreurs tâchée de sang et de corps brisés. Calmement, Shin fît jouer le clapet du portable pour le refermer dans un bruit mat avant de le ranger et de se redresser sur ses deux jambes tout en ajustant sa veste impeccablement taillée.

- Tu m'en a voulu pour avoir abattu ta jolie maîtresse à Berlin, Richard. Tu pensais que nous étions amis et ça t'as mis en rogne, pas vrai ? Mais je n'ai jamais apprécié chez toi que ton argent. Et ton Scotch, aussi. Tu as voulu jouer avec moi en espérant me plier, mais tu aurais dû m'abattre en premier lieu. Je suis vivace, même agonisant. Et surtout, je suis légèrement rancunier.
- Tu-t...tue...m-moi...
- J'y compte bien. Mais pas au Walther, Richard. Je vais prendre tout mon temps. Je t'avais raconté qu'une de mes petites amies de jeunesse était étudiante en médecine ? La mignonne m'a apprit quelques intéressantes techniques de chirurgie.

Le bouton qui maintenait la veste couleur de nuit fermée s'ouvrit et l'homme s'en défît avec soin, la posant sur le dossier d'un siège de bureau prévu pour les invités, situé à quelques pas. Tranquillement, il revint vers Nakatomi et posa devant lui une petite boite rectangulaire en plastique qu'il ouvrit, dévoilant à la faveur de la lune dont les rayons balayait la pièce une paire de scalpels qui brillèrent sinistrement. Richard ne pût réprimer une petite exclamation d'horreur qui se noya dans ses sanglots. Shin se contenta de sourire tranquillement, affreusement, remontant ses manches sans empressement avant de finalement saisir le premier instrument qui passa à portée de ses doigts graciles.

- Tu peux hurler tout ton soûl, Richard. Crois moi, tu vas en avoir besoin.

Le scalpel glissa doucement sur la peau du ventre tendu de l'homme, qui cria à en faire trembler les vitres.
Mais personne ne viendrait à son aide. Pour son petit démon de requin, le Diable s'était arrangé pour faire vider la tour.


---

(Si d'aventure il fallait résumer les parties comme le mental et le physique, je m'y prêterais. J'espère que ce format de présentation ne rebutera pas trop à la lecture. Merci !)
« Modifié: vendredi 15 juin 2012, 23:57:28 par Hera »

Vael Aurea

Humain(e)

Re : Le Grand Blanc

Réponse 1 jeudi 14 juin 2012, 20:41:39

Fiche vraiment intéressante qui m'a tenu en haleine durant toute la lecture !

Sois le bienvenu.

Mieux vaut régner en Enfer que servir au Paradis.



Ursula Ranger

Avatar

Re : Le Grand Blanc

Réponse 2 jeudi 14 juin 2012, 20:43:19

Adorable !
Enfin, méchant et meurtrier, mais j'adore cette présentation.
Ça me rappelle un peu un film par certains côtés. Sin City. x)

Bienvenue !

Nigel Barclay

Humain(e)

Re : Le Grand Blanc

Réponse 3 jeudi 14 juin 2012, 21:03:30

Moi, ça me rappelle que je connais un sith qui se fait appeler Shin :p

Snow Burton

Humain(e)

Re : Le Grand Blanc

Réponse 4 jeudi 14 juin 2012, 21:39:29

Oooh un méchant oui oui oui !!!  8)

Bienvenue à toi !


Mieux me connaitre ? C'est par ici => http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8727.0

Great White

Re : Le Grand Blanc

Réponse 5 jeudi 14 juin 2012, 21:58:22

<Se contente d'incliner tranquillement la tête, jetant un oeil entendu à Vael>

Nigel Barclay

Humain(e)

Re : Le Grand Blanc

Réponse 6 jeudi 14 juin 2012, 22:12:06

Ils sont toujours plus nombreux é_è

Avalon Mukuro

Dieu

Re : Le Grand Blanc

Réponse 7 jeudi 14 juin 2012, 22:12:13

Tu permets, je t'emprunte ton arme...

J'ai faim.

(Bienvenue !)
Theme - Battle Theme

Fiche - Demandes de rp



As-tu vécu ? As-tu vécu assez longtemps pour savoir ce que vaut la vie ? Sais-tu quels sacrifices doit-on faire afin de continuer à vivre ? Je suis l'une des seules personnes à avoir vécu assez longtemps pour te donner un conseil : Fuis, avant que j'oublie que je t'ai épargné.

Mukuro, le vrai, c'est ca. Ou encore ca. Le deuxième "ça" est plus représentatif tout de même.

Luana

Créature

Re : Le Grand Blanc

Réponse 8 jeudi 14 juin 2012, 23:47:20

Bienvenue...

Je crois que je vais devoir faire un gros nettoyage ! Tous en taule !

Kyle Macross

Valinichonneur

  • -
  • Messages: 7740


  • FicheChalant

    Description
    ◄ Sentinel Prime ►
    (En plus d'avoir des plus grosses couilles que ton père, il porte mieux les collants que ta mère.)

Re : Le Grand Blanc

Réponse 9 jeudi 14 juin 2012, 23:48:14

En parlant de gros... *regarde le buste de Luana*

Superbienv'nue !  ;D

Kaëris

Terranide

Re : Le Grand Blanc

Réponse 10 vendredi 15 juin 2012, 19:23:41

Bienvenu

Hera

Dieu

Re : Le Grand Blanc

Réponse 11 vendredi 15 juin 2012, 23:57:09

Paaaarfait ! Validé !  :)


( Je connais une de mes doublettes qui va t'adorer )
"Il y a deux sortes de passions : les passions que nous avons et les passions qui nous ont. On triomphe quelquefois des premières." - Alphonse Karr

Depuis que cela a commencé, j'ai été béni d'une malédiction.

Great White

Re : Le Grand Blanc ( Validhéra ! )

Réponse 12 vendredi 15 juin 2012, 23:59:35

Reste à savoir si moi, je vais l'aimer. Enfin, merci pour la validation et les messages de bienvenue.

<Fait jouer son zippo pour s'allumer une cigarette avant de tourner les talons.>

Hera

Dieu

Re : Le Grand Blanc ( Validhéra ! )

Réponse 13 samedi 16 juin 2012, 00:00:19

... Tu auras sans doute toutes les raisons de la détester.
"Il y a deux sortes de passions : les passions que nous avons et les passions qui nous ont. On triomphe quelquefois des premières." - Alphonse Karr

Depuis que cela a commencé, j'ai été béni d'une malédiction.

Great White

Re : Le Grand Blanc ( Validhéra ! )

Réponse 14 samedi 16 juin 2012, 00:00:43

Alors je l'abattrais.


Répondre
Tags :