Alors que le feu qu’elle avait allumé dansait dans son foyer, réchauffant la grotte d’une douce chaleur et d’une lumière orangée projetant l’ombre de la belle Kaala sur les murs de pierres, celle-ci enleva sa ceinture et fit sensuellement glisser son pantalon le long de ses délicieuses jambes galbées. Portant ses mains à sa poitrine, elle déboutonna consciencieusement les boutons de sa chemise tout en avançant vers moi en se déhanchant. Puis seulement vêtue de sa petite culotte elle s’assit sur moi et ses yeux rivés sur mon pénis encore tout durs et bien droit, un petit sourire éclaira son doux visage. Je passais mes mains sur son corps encore bouillant, j’avais envie de ses caresses, notre histoire ne survivrais probablement pas à ce soir, mais je me sentais attirer par elle irrésistiblement.
- Il me semble que... que tu me faisais l'amour !
Dit-elle en se penchant un peu sur moi pour embrasser mes lèvres, tendrement je répondis à ce baiser en envoyant ma langue danser avec la sienne en une langoureuse valse. Puis elle se défit de son dernier sous-vêtement, qu’elle envoya voler à l’autre bout de la grotte, et fit frotter sa vulve toute humide contre ma verge tendue. N’y tenant plus elle inséra mon sexe dans le sien et se laissant glisser, je fus tout entier en elle, mon gland heurta le fond de son vagin après avoir glissé sur ses parois humide de cyprine.
- J'aime te sentir en moi…
Je souris en essayant de m’imaginer le nombre d’homme à qui elle a dit ça… Kaala n’avait pas l’air d’une putain, loin de là en fait, mais sa beauté et son côté sauvage devait avoir fait d’elle une mangeuse d’homme. Elle se mit alors à bondir sur moi, s’empalant d’elle-même sur ma virilité avec des petits bonds d’abord lent puis de plus en plus rapide. Je me mis un peu à accompagner ses vas et viens sur mon barreau de chair en donnant des petits coups de bassin vers les haut, faisant travailler mes muscles abdominaux pour notre plaisir commun. Kaala fourra sa tête dans mon épaule qui portait la marque de ses dents et mordit sauvagement, m’arrachant un petit cri de douleur mêlé de plaisir.
- Désolé, bel ange, c'est plus fort que moi, me dit-elle en léchant ma blessure tout en continuant de bondir sur mon entrejambe.
- Ce n’est pas grave ma belle…
Dis-je doucement en prenant un téton entre mes dents pour le mordiller un peu et le sucer comme un enfant tète le sein maternel, alors que je défaisais la queue de cheval de Kaala, faisant cascader ses cheveux sur ses épaules.