Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => L'auberge du Coucher de Lune => Discussion démarrée par: Kaala le lundi 29 octobre 2012, 20:24:34
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Kaala avançait dans ce nouveau village en compagnie de Pilgrim, son étalon, qui la suivait à la longe. Evidemment, un cheval de trait et une jeune femme solidement armée ne passe pas inaperçu. Tous les regards se tournait vers elle.
Elle attacha son fidèle compagnon au devant d'une auberge dont le nom lui fit esquissée un sourire " Le coucher de Lune" et monta les marche de celle-ci.
L'animal hennit de mécontentement mais elle lui adressa un franc sourire qui le calma instantanément.
Ses bottes résonnant sur le plancher de l’établissement annonçant son arrivée aux quelques personnes présentes dans l'auberge.
Elle choisit une table isolée des autre dans un recoin sombre et demanda à une serveuse qui passa par là le menu du jour. Elle lui glissa deux pièces d'or et attendit son repas. Elle posa son arc sur la table et commença à le lustrer avec un chiffon qui traînait dans une de ses poches.
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Le crépuscule était tombé depuis peu sur la ville de Nexus, mais l’air se rafraichissait déjà et mon estomac commençait à grogner doucement… Il fallait penser à se restaurer. Ce fut les raisons pour lesquelles je poussais la porte de cette auberge et aussitôt les vapeurs de divers alcools me sautassent aux narines. J’avais déjà fait des rencontres forts intéressantes dans cette auberge, mais là je cherchais juste un coin chaud avec au mieux un peu de nourriture histoire de calmer ma faim. Aussi je traversais cette grande salle bondé à cette heure du soir, je cherchai une table de libre et en trouva finalement une. Situé au fond de la salle je m’assis à ma table et attendis le passage de la serveuse pour lui commander un petit casse-croute. En attendant je fis promener mon regard sur toute la salle, des jeunes jouaient à un jeu de dés, les habitués cuvaient dans l’ombre leurs bière de trop, les excités s’isolaient dans un coin avec une ou deux jolies serveuses… et le reste des clients buvaient calmement leurs boissons alcoolisés.
Mais dans ce troupeau d’ivrogne, je remarquai une femme, une belle rousse habillé d’une chemise ample et d’un corset de cuir noir. J’attardais un instant mon regard sur cette femme avant d’être interrompu par la serveuse qui vint enfin prendre ma commande… La même serveuse me rapporta donc deux œufs sur le plat et de la purée de pomme de terre. Petit casse-croute que j’eu bien vite dévoré avant de dévorer du regard un autre plat tout aussi copieux. Sans doute voyait-elle mon regard l’envelopper toute entière, mais elle ne se montrait nullement offusquer ni même gêner. je me levais pour me rapprocher un peu un sourire malicieux aux lèvres…
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La serveuse m'apporta ce que j'avait commandée et je déposa mon arc sur mes genoux. Je commença donc à "'dévorée" mon dîner ( 2 jours sans manger, on peu dire que j'avais la dalle^^) et promena mon regard au alentour quand je remarqua cet homme. Et quel homme! Tout l’auberge en lui même était froid et noir. Il sentait le renfermé et les relents d'alcool qui l'accompagnais ainsi que l'odeur caractéristique du sang et de la mort. Mais parmi tant de noirceur, cet homme se détachait par une aura brillante. Il avait de plus beaucoup de charisme et il fallait être soit aveugle soit complètement stupide pour passer a cotée de cet inconnu sans y prêter attention. Mais ce sont ses yeux qui me déroutait le plus. Je ne sais pas si vous vous êtes déjà senti comme un bonbon ou une part de la meilleur viande mais ce fut mon cas sur le moment. Il me dévorait littéralement des yeux. J'abaissait de suite mon regard vers ma gamelle quand je senti son odeur. Il venait de se levé, et se dirigeai vers moi un étrange sourire aux lèvres. Je pris mon regard noir et quand il fut près de ma table, lui lança:
"Un problème?"
Il me regarda très attentivement et mis tranquillement son temps avant de me répondre.
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- Un problème ?
Me lança la femme d’un ton on ne peut plus neutre, elle semblait avoir Deux ou trois ans de plus que moi, mais généralement je ne m’arrêtais pas pour si peu. Je pus distinguer ses fines gambettes revêtues de cuissardes de cuir, qui se rejoignait pour former des hanches et des fesses magnifiques. Je fis ensuite glisser mon regard sur son ventre plat et bien lisse recouvert d’une mince chemise blanche, puis je m’attardai un moment à contempler sa poitrine qu’enserrais un corset de cuir. Je vins par la suite à observer son visage magnifique, des lèvres pulpeuses, un menton rond, des pommettes d’où partaient les lignes d’un visage ovale, des merveilleux yeux dans lesquelles je faillis me noyer, et enfin une longue chevelure de feu attaché en queue de cheval. Ainsi je dévorai du regard cette femme, mais je ne pouvais rester là à la regarder sans rien dire…
- Non aucun, mademoiselle… Mais je me demandai juste pourquoi une si jolie femme que vous trainait à cette heure-ci dans un tripot tel que celui-ci, il n’y a rien de telle pour faire des mauvaise rencontre…
Dis-je en m’approchant encore un peu plus, arborant toujours un petit sourire en coin, mais j’abandonnais mon expression malicieuse pour prendre un air qui se voulut sympathique. Ce qui me fit paraitre tout mignon, alors qu’enfaite mon âme était noire, pas maléfique non, mais juste machiavélique.
Cependant face au regard que me lança cette femme, je me sentis rougir. Jamais je ne me serais permit de l’aborder si depuis que j’arpentais ce monde de fous, je n’avais acquis une certaine assurance et confiance en moi. Or cette assurance vola en éclat en en simple regard de cette dame. J’envoyais mon esprit toucher le sien et fus très surpris de découvrir un esprit mi-animal mi-humain.
- Quel est votre nom ma chère ?
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Je sentais son regard me déshabillé!
- Non aucun, mademoiselle… Mais je me demandai juste pourquoi une si jolie femme que vous traînait à cette heure-ci dans un tripot tel que celui-ci, il n’y a rien de telle pour faire des mauvaise rencontre…
, me dit-il son sourire énigmatique toujours au coins de son délicieux visage. "Délicieux", hey ho ma vieille tu perd les pédales là aboya la louve en moi. Et qui pour une fois, je n’écoutait pas. Je fermât mon esprit à elle et me concentra sur l'homme devant moi.
En regardant mes yeux, je vis les siens défaillir et toute sa belle assurance vola en éclat. Il paraissait tellement fragile dans ce lieux si infâme!
Puis comme si de rien n’était il lança:
- Quel est votre nom ma chère ?
-Je me nomme Kaala et quel est le votre jeune homme?, repondit-je avec douceur,et ne reste pas debout tu va nous attirer le regard des autres. Assied toi, je ne vais pas te manger.fini-je par dire en rigolant. Non mais moi si, hurla la louve dans ma tête mais je barrais le lien avec elle afin de ne plus l'entendre.
-Et puis tu me parle de mauvaises rencontres, dois-je te considérée comme étant une de ses rencontre? Pourtant tu parait...si angélique!
Je le vis s’asseoir puis me regarder avec son étrange sourire. Il en était presque déroutant.
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- Je me nomme Kaala et quel est le vôtre jeune homme ? et ne reste pas debout tu vas nous attirer le regard des autres. Assied toi, je ne vais pas te manger.
Dit-elle un riant et dévoilant des belles dents blanche qui pour une humaine étaient sacrément pointues. Que pouvait-elle bien être ? En tout cas, elle avait raison je ne pouvais décemment rester planter là, je me trouvais même un peu ridicule…
- Je me nomme Edean, enchanté de faire votre connaissance belle Kaala.
Dis-je en tirant une chaise et en m’asseyant, tandis je ne là lâchai pas une seconde des yeux. Durant mes périples j’ai eu maintes occasion de rencontrer des femmes aussi belles si ce n’est plus, mais cette Kaala avait quelque chose d’attirant, je saurais dire quoi.
- Et puis tu me parle de mauvaises rencontres, dois-je te considérée comme étant une de ses rencontre? Pourtant tu parais...si angélique !
Sa remarque m’amusa, je devais reconnaitre que beaucoup de personne se trompait sur mon compte… Si je voulais je pourrais sans mal utiliser la force et mes pouvoirs angéliques pour arriver à mes fins, mais je préférais amplement laisser la situation évoluer d’elle-même.
- Je ne crains riens sauf vos beaux yeux très chers… Ne me sous-estimer pas, car je pourrais très bien le devenir… Une mauvaise rencontre.
Dis-je une petite lueur inquiétante dans le regard qui ne resta qu’un instant avant de se muer à nouveau en un regard admiratif.
- Et que faite vous ici ? je ne vous avais jamais vus auparavant…
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- Je me nomme Edean, enchanté de faire votre connaissance belle Kaala. Quel magnifique prénom, pensais-je. N'importe quoi, fit la coyote, exaspérée.
Mais quand il répondit a la question si, oui ou non , devrai-je le classifier dans les mauvaise rencontre, son regard se mit a briller d'amusement de plus son petit sourire s’étira.
- Je ne crains riens sauf vos beaux yeux très chers… Ne me sous-estimer pas, car je pourrais très bien le devenir… Une mauvaise rencontre.
Son compliment fit colorer mes joues légèrement. Et en plus il était charmant. Pourtant, à la suite de cette phrase, une aura différente s'initia dans ses yeux, et, avant que je n'eut le temps de distinguer de quoi il s'agissait, il reprirent leurs magnifiques éclats de l’océan.
- Et que faite vous ici ? je ne vous avais jamais vus auparavant…
-Cher Edean, je suis une jeune coyote a la recherche d'aventure et je sillonne les contrées avec mon fidèle Pilgrim. Cela fait deux jours que je n'ai n'y manger, n'y dormi, une petite pause ne fait de mal à personne, entre nous. répondit-je en croisant les bras devant ma poitrine, qui reposait sur la table.Mais depuis que je vous ai vu, j'avoue être intriguée. Je ne tournerai pas autour du pot: de quel espèce êtes vous? Je vous vois comme étant un ange, non sans vous rabaisser, nullement est mon intention. Et vous m'affirmer que je ne doit en aucun cas vous sous estimer. Cela me... comment dire... me chiffonne.
Je croisait les jambes, frôlant au passage celles de mon voisin et inclina légèrement la tête sur le coté, faisant bouger mes cheveux qui cascadait a présent sur mon épaule gauche.
Mon regard quitta un instant le sien pour vérifier que nul oreille nous écoutait, mais a part le barman, ivre mort sur son plan de travail, quelques personnes qui cuvaient sur leurs chaises, personne ne semblait potentiellement dangereux. Je tendis l'oreille pour écouter dehors mais le souffle calme de Pilgrim me remis en confiance.
Je replongeais mes yeux dans l’océan des siens.
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Je vis les joues de Kaala rosir un peu, mon compliment de tout à l’heure avait eu l’effet escompté, un tel compliment était un pari risqué. Et cela m’amusa un peu de voir qu’elle n’était pas insensible à moi, même si j’étais normalement horriblement timide. Le rose de ses joues fit ressortir une myriade de petite étoiles vert émeraude au fin fond de l’océan de ses yeux brun, cette femme était incroyablement captivante, surprenante même, le genre de femme qui m’attire comme un aimant.
- Cher Edean, je suis une jeune coyote à la recherche d'aventure et je sillonne les contrées avec mon fidèle Pilgrim. Cela fait deux jours que je n'ai n'y manger, n'y dormi, une petite pause ne fait de mal à personne, entre nous. Mais depuis que je vous ai vu, j'avoue être intriguée. Je ne tournerai pas autour du pot: de quelle espèce êtes-vous? Je vous vois comme étant un ange, non sans vous rabaisser, nullement est mon intention. Et vous m'affirmer que je ne dois en aucun cas vous sous-estimer. Cela me... comment dire... me chiffonne.
Dit-elle en croisant ses jambes qui effleurèrent mes tibias, me faisant sursauté et je m’empourprai de suite. Une coyote ? Mais elle avait pourtant bien l’air tout ce qu’il y a de plus humaine cette Kaala… Si ce n’était son esprit bizarre à moitié animal mais comment arrivait-t-elle à faire cohabiter en elle les penser d’une mi-coyote et d’une mi-humaine ? En tout cas elle avait le don de m’embarrasser plus que la moyenne. Elle se mit à regarder autour d’elle en tournant vivement la tête et mon regard alla s’accrocher à son décolleter que laissait entrevoir son corset. Je me raclai la gorge afin de répondre le plus clairement possible…
- Et bien je ne suis qu’un pauvre petit Nephilim, le bâtard d’un ange, mais plus d’un a eu des mauvaises surprises en me sous-estimant. Mais vous, vous êtes une hybride c’est cela ? et une aventurière de plus… Décidément Kaala, vous êtes pleine de ressources.
Dis-je le plus innocemment possible en observant attentivement la réaction de la belle…
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- Et bien je ne suis qu’un pauvre petit Nephilim, le bâtard d’un ange, mais plus d’un a eu des mauvaises surprises en me sous-estimant. Mais vous, vous êtes une hybride c’est cela ? et une aventurière de plus… Décidément Kaala, vous êtes pleine de ressources.
Je me surpris à sourire puis a doucement rire.
-Oh non mon cher, je suis loin d’être une hybride. Je suis une metamorphe coyote et il est vrai que j'adore l'aventure. Quand a votre personne, vous qui vous dites "bâtard" je le trouve trop salissant vis a vis de votre beauté, si je puis me permettre. Toute fois je suis très contente que vous me trouviez pleines de ressources.
Je vis ses joues se colorer légèrement plus et m'amusa a décroiser mes jambes pour les croiser de l'autre sens et ainsi le frôlé une autre fois. Arrête de jouer Kaala. Tu ne sais pas si il est bon ou mauvais. Tu ne sais pas s'il peut te faire du mal. Il a voulu nous "sonder" tout a l'heure j'ai senti son esprit toucher le mien. Ne fait pas l'idiote et reste sur tes gardes.
J’écoutais se dernier conseil de ma chère soeur, mais ne put m’empêcher de lancer un sourire pleins de charme a se Nephilim. J'avait envie de jouer ce soir, peut être le fait de la solitude trop pesante mais ce jeune homme me plaisait...beaucoup!
Grrrr tu m’énerve, tu m’écoute jamais, s'indigna la coyote avant de me fermer son esprit. Si toi tu ne t'amuse pas, moi si....
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Punaise, mes chevilles vont gonfler me dis-je avec un sourire gêner en écoutant son compliment à demi camoufler dans sa phrase. Elle m’adressait un magnifique sourire plein de charme en faisant frotter plusieurs fois ses jambes contre les miennes, j’aimais ce contact et je sentis avec une petite pointe de gêne mon sexe commencer à former une petite bosse au travers le tissu de mon pantalon. Je détournai alors le regard quittant presque à regret la profondeur brune des yeux de Kaala pour m’accouder à la table et appuyer ma tête sur mon poing.
- Et pourtant Kaala du haut de mes dix-huit printemps, je mérite bien le nom de bâtard. Je me suis fait insulter de tous les noms, j’ai même passé mon adolescence en tant qu’esclave à servir des maîtres tous plus cruels les uns que les autre. Et maintenant bon but et de les écraser, tous, je veux les voir souffrir, ricaner devant leurs lentes agonies, rependre leurs tripes sur le sol et les noyer dans leurs propre sang… Alors je mérite bien le nom de bâtard.
Alors que je parlai mon regard se mit à briller d’une colère refoulé et mon sourire s’étira à la simple pensé de ma vengeance à venir. Ce que je n’avais pas dit à la métamorphe c’est que la plupart des nobles de Nexus ou d’Ashnard sont esclavagiste que ma vengeance mènerait à une ou plusieurs rébellions Anarchistes dans les deux principaux royaume de Terra. Je savais que c’était un projet herculéen, mais pas impossible, les habitant de Nexus s’étant déjà soulever contre leurs gouvernant il suffirait de réveillé leurs mécontentement.
- Mais vous, je ne vous ferais aucun mal belle Kaala…
Dis-je en replongeant mes yeux dans les siens… Quel con, m’insultais-je, j’espérai ne pas avoir tous gâcher.
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-Mais je ne vous ferait aucun mal...
J'adorai la façon dont il prononçais cette phrase, il m'envoya des frissons qui parcouru mon dos avec plaisir.
-Mais pourquoi ne voudra tu pas me faire du mal?demandai-je en avançant ma poitrine sur la table, laissant son regard dérivé dans mon élégant décolté, un sourire taquin naissant sur mes lèvres. Décidément je l'adorais cet homme. Il était a la fois dangereux et animal, angélique et timide.
Décidant de jouer plus loin, je passait ma langue sur mes lèvres et caressait sa jambe avec mon pied. Sursottant à mon contact, je décidait de caresser plus haut ses cuisses. Qu’allait t-il arriver a mon petit Néphilim?
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- Mais pourquoi ne voudras-tu pas me faire du mal ?
Dit-elle avec un petit sourire taquin, tout en avançant sa poitrine sur le bois de la table, m’offrant une superbe vue plongeante sur un magnifique décolleté qui n’en finissait pas. Je sursautais un peu en sentant sa jambe se collé à la mienne et bientôt je sentis sa botte remonter mes cuisse se rapprochant de mon sexe de plus en plus tendu. C’était… Indécent voilà ce que c’était, il fallait être aveugle pour ne pas voir son petit manège, elle avait là jambe tendue sous la table et me rinçais les yeux avec ses seins. Mes doigts se mirent à trembler d’envie et je me mis à remettre frénétiquement mes mèches de cheveux argenté en place, dévoilant par là même la cicatrice qui me traversa l’œil gauche et le pentacle tatoué sur mon front. Je voulus parler mais j’étais submerger de sensation et ne savait de toute façon pas trop quoi dire…
- Que… Que fais-tu? Mmh…
Je finis ma phrase par un soupir d’aise en sentant la pointe de sa botte toucher mon entrejambe en érection. Rapidement j’entrepris de déchaussé ce pied qui était emballé dans une sorte de chaussette en laine grossière, mais toute douce et je dû m’agripper à la table pour ne pas tomber de ma chaise quand Kaala reprit ses caresses sur mon sexe qui se remarquait très bien au travers du tissu. Je pris la main de la femme et sans quitter sa poitrine du regard, lui fit un petit baise main comme à une grande dame.
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Je vis ses doigts se mettre a trembler, puis sa mains remettre les meches de cheveux qui tombaient devant son front et son oeil dévoilant une étrange cicatrice ainsi qu'un tatouage tout aussi intriguant.Mais cela n'enlevait rien a son charme. Au contraire, il lui donnait l'air beaucoup plus "mâle".
- Que… Que fais-tu? Mmh…
Il voulu dire quelque chose mais mon pied lui faisait perdre ses paroles. Il glissa une des ses mains sous la table et délassa ma botte ne me laissant quand chaussette. Je fit monter mon pied plus haut et caressa se qui ressemblait à une érection. Contente de mon effet, je fit éclore sur mes lèvres un sourire pleins de sensualité.
Et se soupir, j'adorait quand les hommes était à ma merci, je me sentait forte, dominante. Doucement, il pris ma main, les yeux plongés dans mon décolté et déposa ses lèvres si douces sur ma peau.
Surpris par se geste, je ne put retenir un petit rire et lui lança:
-Sa va? Tu semble avoir un peu chaud! Tout en gardant mon petit sourire et en appuyant un peu plus fortement mes caresses sur son membre.
-Je pense que tu a besoin d'air non?? Je le fixait toujours, ou du moins essayait car son regard était toujours plonger sur ma poitrine. Je ne put reprime un sourire.
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- Ça va? Tu sembles avoir un peu chaud ! Je pense que tu as besoin d'air non ?
Dit-elle avec un petit sourire plein d’un charme bestial dévoilant une fois de plus sa magnifique dentition impeccable et elle tenta de repêcher mon regard toujours blottis au fin fond de son décolleter. Pourquoi me parlait-elle d’air ? J’avais besoin d’elle, me dis-je en sentant son pied frotter mon entrejambe avec toujours plus d’ardeur. Je mis un petit moment avant de comprend le véritable sens de sa phrase. Mon regard se décolla alors de sa poitrine et replongea dans le brun de ses beaux yeux, alors que je tentais un sourire malgré ma gêne et la chaleur de son pied entre mes jambes. Il n’y avait pas que moi qui avais besoin d’air apparemment. Je tendis une main par-dessus la table et alla caresser une de ses fines joues et frôlant sa poitrine du bout des doigts je me levai, m’approchais de sa chaise et déposa délicatement mes lèvres sur les siennes en un tendre petit baiser.
- Tu me donne chaud ma douce.
Dis-je en décollant mes lèvres des siennes en un petit « smack » avant de retourner m’assoir tranquillement.
- Je crois que nous avons tous deux besoin d’air…
Dis-je avec mon sourire angélique un peu malicieux et joueur, j’attendais sa réaction avec une envie telle que j’avais du mal à ne pas lui sauter dessus devant tous le monde…
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Quand il releva les yeux, ses deux océans m'hypnotisaient. Et quand il sourit je sentit en moi une barrière cédée. Il tendit une main vers moi et caressa ma joue, fugace contact que je savourait et frôla ma poitrine ce qui me colla un énième frissons. Il se leva, toujours les yeux dans les yeux et me donna un baiser. Pas quelque chose de brutal. Non! Quelque chose de doux, qui fit fondre en moi les dernières barrières de résistance. Je sentit même la coyote se détendre et apprécié ce geste.
- Tu me donne chaud ma douce.
Cette simple phrase suffit à me faire reprendre mon sérieux et lui fit un tendre sourire.
- Je crois que nous avons tous deux besoin d’air…
Et ce fût a son tour de me lancer un sourire malicieux, lui aussi se montrait joueur.
Bien alors on va voir jusqu’où il va vouloir jouer.
Je me levai, laissa deux pièces d'or, prit mon arc et mon carquois et l'invita en lui tendant la main de me suivre.
-Allons prendre l'air!
Et alors que sa main s'emparait de la mienne, je l'emmenais doucement a l’extérieur, ondulant des hanches. A l’extérieur, la Lune dominait le ciel de toute sa splendeur. Pilgrim, qui s’était assoupi, ouvrit les yeux et hennit gentiment quand je m'approchais de lui.
-Edean, voici Pilgrim. Surtout pas de geste brusque, il est aussi asocial que moi. lui demandai-je tout en attachant mon arc et mon carquois a la selle de mon cheval. Je ne risquai pas de me faire voler, pas avec Pilgrim.
J'invitai ensuite mon cher demi-ange a venir me rejoindre dans un coin sombre près de l'auberge, une petite ruelle apparament.
Puis je me collais contre le mur en bois et attira mon cher ami à mes lèvres afin de lui rendre son baiser en beaucoup plus passionné.
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Elle se leva et déposa deux pièce d’or sur la table, se serait sans doute suffisant, mais j’aurais bien aimé me chargé de payer pour elle. Puis elle me tendis la main comme pour m’inviter à la suivre toujours avec son petit sourire plein de charme qui me laissait pantois.
- Allons prendre l'air !
Ma main encore tremblotante pris la sienne et je me relevai pour la suivre. Devant moi, elle se mit à se déhanché magnifiquement me colla le regard sur son derrière bien rond. J’avais quelque peu de mal à concevoir quelle était à demi coyote, mais quand je faisais glisser mes yeux sur ce corps de jeune femme si délicieux, j’oubliai aussitôt mes questionnements bien futile. Après tout n’étais-je pas moi-même rien d’autre qu’un semi-ange ? Quand elle poussa la porte pour sortir, l’air frais de la nuit m’envahit et une douce brise nocturne vint me donner un peu de chair de poule, mais c’était bon de s’oxygéner un peu. Kaala m’entraina près d’un grand cheval sellé.
- Edean, voici Pilgrim. Surtout pas de geste brusque, il est aussi asocial que moi.
Cette remarque me fit sourire, alors comme ça notre coyote était asocial ? En tout cas elle avait un beau cheval, certes c’était loin d’être un cheval de course, mais en tout cas il semblait puissant. Le genre de bestiole qu’il vaut mieux ne pas embêter.
- Salut Pilgrim.
Dis-je tout simplement avant de suivre la belle métamorphe dans une ruelle sombre. Puis elle se plaqua contre un mur est m’attira contre elle m’embrasant passionnément. Ma langue roulait contre la sienne en une valse fougueuse, je fis glisser mes doigts fins sur sa succulente chute de rein et finalement mes mains se posèrent sur les hanches de Kaala. Et maintenant ?
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Sa manière d'embrasser était ...wha angélique! Et ses caresses sur mes flancs puis sur mes hanches. Je crois que même la coyote aurait bien voulu se faire caresser ainsi!
Son corps chaud contre le mien, son odeur enivrante, l'une de mes mains jouant avec ses doux cheveux tandis que l'autre caressait son dos... c’était bien la première fois que je me comportait ainsi, mais comment ne pas résister à ce charme tentateur.
Doucement, je laissait mon bassin se coller a lui et entamé une danse lente et sensuelle, tout en ondulant des hanches.
Je me détachait a contre coeur de ses lèvres et lui murmura:
-L'air frais te convient-il, cher Edean? Ou tu souhaites autres choses? le tout en ramenant une de mes mains sur son torse, la faisant glisser sur la partie de chair nu qu'il dévoilait.
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Serrer contre moi, Kaala fit remuer tendrement son bassin sur la bosse entre mes jambes tout en caressant mes cheveux argentés tandis-que son autre petit main passais délicatement dans mon dos entre mes magnifiques ailes très sensibles. Notre langoureux baiser dura un moment avant qu’elle se détache une ardeur toute nouvelle brillait des miles feux dans ses yeux et elle fit glisser sa main tout douce dans l’entrebâillement de ma chemise pour glisser sur mon torse imberbe.
- L'air frais te convient-il, cher Edean ? Ou tu souhaites autres choses ?
Dit-elle doucement et sa question me fit sourire à nouveau, je la voulais elle, toute entière, elle devait le savoir à présent…
- L’air me va à ravir ma belle tant que ton corps éclair ma nuit…
J’entrepris alors de de délacer le corset de cuir de la belle et je déposai un baiser sur un sein encore envelopper dans la chemise de l’aventurière. Je n’osai pas aller trop loin, la laissant s’ouvrir comme une belle fleur, mais j’allais cependant promener mes doigts le long de son ventre plat. Mon sexe durcissais enserrer dans sa prison de tissu, impatient d’en être libérer...
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- L’air me va à ravir ma belle tant que ton corps éclair ma nuit…
Quand il prononça cette phrase, mon corps brûla de désirs. Et quand il délaça mon corset afin d'embrasser un de mes seins à travers ma fine chemise, il eut comme un déclic en moi: Je voulais cet homme et je le voulais maintenant!
Il se fit pourtant doux, ne voulant allez trop loin tout de suite. Quel ange! Ses doigts fins vinrent se promener sur mon ventre. Son regard était si intense qu'il me fut difficile de ne pas rougir. Et cette "bosse", si chaude tentatrice. Je n'avais qu'une envie, plonger mes mains dans ce pantalon afin de révéler cette merveille à mes yeux de mortelle. Je voulais lui procurer du plaisir, lui donner mon savoir...
Mais mieux valais rester sage pour l'instant et je déboutonnait gentiment sa chemise laissant apparaître un corps finement musclé que mes lèvres vinrent rejoindre assez rapidement. Je déposait de tendre baiser sur son torse, léchant ses mamelons, faisant a son corps une mirade de frissons. Sa respiration saccadée m'apprenait que le traitement auquel il avait droit ne le laissait pas si indifférent que cela.
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Kaala se mit alors à déboutonné ma chemise dévoilant mon torse imberbe qu’elle s’empressa de couvrir de baiser me donnant de délicieux petits frissons de plaisir. Elle me fit soupiré de plaisir tandis que je la regardais faire avec un petit sourire à son intention, elle était douce, bien loin de la sauvageonne à demi coyote qu’elle était censé être, mais je me dis que cela viendrait en temps voulu. Pour le moment je me laissais faire et elle put même passer sa langue sur mes mamelons avant moi sur les siens. Je fis glisser ma main sur son dos et entrepris de défaire sa queue de cheval pour laisser cascader a magnifique chevelure de feu. Je fis passé mes doigts dans ces cheveux roux et finit bien bas au niveau de la belle croupe de la belle semi-coyote, ma passion me fit glisser ma main dans ses cuissarde pour venir masser des fesses fermes et en même temps bien tendres. Ma deuxième main rejoignit la première et je passais un long moment ainsi à malaxer ses fesses sans rien dire tandis qu’elle baisait mon torse. Puis ne pouvant me retenir encore longtemps je fis descendre mes doigts fins entre ses cuisse et je caressai doucement la petite vulve de la jeune femme.
Apparemment je lui plaisais me dis-je avec un petit sourire en la regardant amoureusement couvrir mon corps de tendre baiser. Moi j’avais envie d’elle, cela ne faisait maintenant plus aucun doutes, mais voulais-je la douce Kaala ou la Kaala sauvage et aventurière ? Je voulais les deux, la douceur et l’ardeur, la tendresse et la passion, cette délicieuse sensation enflammée quand on aimait de toute son âme… J’en avais assez, je voulais plus, mais mes ardeurs étaient entravées par le sentiment de froisser cette belle fleur si je n’attendais pas qu’elle s’ouvre d’elle-même. En plus de cela, j’étais un peu perdu, il fallait qu’elle me guide dans cette quête qu’était celle de son corps…
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-Cette fois si je vais corsée les choses, dit-elle la voix rauque. Désolé mon demi-ange, mais on va a présent se passé de la tendresse!.
Et tout en disant cela elle se redressa, et inversa leurs place en plaquant le jeune homme contre la parois.
-On réservera sa quand je t’emmènerait!
Elle se remis a l’embrasser tout en se débarrassant de sa propre chemise. Après quoi, elle entreprit de défaire le pantalon de son partenaire.
Pourquoi un tel changement de comportement?
Elle venait de se rappeler qu'il était dans une ruelle, aux regards de tous. Et puis la douce avait besoin d’adrénaline. Faire l'amour comme sa... avait quelque chose d’excitant.
Le pantalon d'Edean descendu aux chevilles, le laissant dans une sorte de boxer moulant laissant entrevoir une bosse de taille conséquente, Kaala sentit son entre jambes s'humidifier. Décider a se faire prendre là, tout de suite, elle défit sa ceinture, qui tomba a terre avec un fracas de métaux. Mais toujours pour jouer, elle musela son envie et aguicha le jeune homme et faisant descendre sa main entre ses cuisses, où elle commença à se caresser, puis rentra dans son pantalon et entreprit de se donner du plaisir sous le nez de son amant. Curieuse de sa rection, elle commença même a gémir dans le cou de celui-ci...
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- Désolé mon demi-ange, mais on va à présent se passé de la tendresse !
Dit-elle la voix étrangement devenue rauque et tout se redressant elle me plaqua contre le mur en bois. Se recollant à moi l’aventurière prit mes lèvres contre les siennes et m’embrassa avec passion tout en se débarrassant de sa chemise, dévoilant des seins magnifiques dont les tétons bien rose commençaient déjà à se dresser. Puis ses petites mains descendirent sensuellement le long de mon abdomen, me faisant frémir de plaisir au passage, jusqu’à arriver au niveau de mon entrejambe où elles commencèrent à défaire mon pantalon. Kaala ni allait plus de main morte on aurait même put la croire presser quand elle fit tomber mon pantalon à mes et qu’elle ôta sa ceinture. Me laissant en sous-vêtement, mon pénis durcissait toujours tandis-que je pouvais sentir les seins de Kaala se ficher contre mon torse alors que nos langues roulaient l’une sur l’autre explorant tour à tour nos bouches. Rompant soudain le baiser, l’aventurière posa sa tête au creux de mon cou et son souffle chaud vint s’engouffrer dans mon oreille quand elle gémit, ce qui m’apporta encore plus de plaisir.
Je fis promener mes doigts sur un sein, je pris le téton entre le pouce et l’index et malaxais le globe de chaire avec les trois autres tandis qu’elle se caressait elle-même devant moi. Alors je pris son autre main et la glissa sous mon sous-vêtement en la suppliant du regard avant de faire tomber mon caleçon dévoilant mon membre, pointé vers le ciel… Je guidais la main de Kaala sur ma verge en feu tandis-que je pinçai le mamelon que j’avais entre les doigts.
- Kaala… Ma tendre et ardente Kaala… Je te veux corps et âme…
-
Quand il prit ma main afin de l'installer sur son membre chaud, désireux d'autres caresses, je ne put que de descendre le dernier vêtement qui entravait son plaisir. Et devant mes yeux se dressait, fier comme il était, son sexe tendu.
- Kaala… Ma tendre et ardente Kaala… Je te veux corps et âme…
La première envie qui passa dans mon esprit et bien ...elle ne passa pas puisque je la mis en oeuvre:
Je m'agenouillait devant lui et entreprit de léché son membre. Je le maintenait d'une main l'autre jouant toujours en moi, et léchait à présent son gland. Je le suçotait, l'embrassait, puis le suçait franchement (monter de plaisir oblige-^^-)
J'aimais son gout et son odeur enivrante.
Je me relevais retirai mes doigts de mon antre du plaisir et léchait mes doigts avec plaisir.
Avec un subtile mouvement du bassin, j'approchait mon sexe chaud, humide de désirs du siens si droit. Mais je le laissait glisser aux portes de mon plaisir. C’était exquis mais allait-il prendre les devant??
-
La belle rousse s’agenouilla devant moi, mon sexe lui braquait le visage et elle donna des petits coups de langue sur mon gland avant de déposer ses lèvres pulpeuse sur le petit bout. Je soupirais de plus belle alors qu’elle se mettait à sucer mon membre de la base à la pointe, me procurant un plaisir intense. Je sentais peu à peu mon pénis prendre de plus en plus de place de la bouche de Kaala. Mais elle se retira bien vite et se releva pour lécher goulûment ses propres doigts englués de cyprine. Elle se mit alors à balancer son bassin en avant frottant doucement mon sexe contre le sien m’excitant encore d’avantage, mon pénis ne tarda pas à prendre sa taille maximale…
Il faisait bien une petite vingtaine de centimètre, une taille conséquente pour mon jeune âge et déjà une petite goutte de liquide pré éjaculatoire apparut au sommet de mon gland. Je pris alors une cuisse généreuse de l’aventurière et la leva pour déposer sa jambe sur mon épaule et j’introduisis mon pénis dans le vagin ainsi ouvert. D’abord je pénétrai un peu et m’enfonçais petit à petit, coulissant délicieusement sur les parois vaginales irriguées de cyprine. Puis sentant que j’arrivais au fond, j’amorçai des mouvements de va et viens doux, presque énamourer. Tandis-que, me penchant un peu, je pris un mamelon entre mes lèvres et me mis à téter avec de léger mouvement de tête…
- Oh Kaala… C’est si bon…
-
Ce n’était pas exactement ce qu’on appelle le lieu parfait, mais tous en ce moment n’était que jouissance plaisirs et luxure. Edean saisit une de mes cuisses et la déposa sur son épaule, heureusement qu'il était légèrement plus petit que moi. Mais étonnamment pour son age il était très bien membré. Il s’inséra doucement en moi, son membre chaud remplissant peu à peu l'espace qu'il lui était réservé. Quand il fut entièrement en moi, je lâchait un petit soupir de plaisir et il entreprit de léger va et viens. La friction entre nos deux sexes était délicieuse.
Je le vis se penché et prendre entre ses lèvres la pointe de cher qui ornais mon sein. Il se mit a le tété et la décharge qui parcourut mon corps a ce contact me fit trembler toute entière. Il était si doux mais semblait tant savoir se qu'il voulait.
-Oh Kaala...C'est si bon ...
Ce n’était pas seulement bon, c’était géant, grandiose!Je sentait mon doux nectar s’écouler sur mes cuisses. Il m'avait mis dans un tel état...
-Huummm...oui Edean continu....ouiii
Autrefois j’aurai tuer l'homme pour m'avoir fait cela. Mais sa c’était il y a bien longtemps. Désormais entre ses caresses expertes je ne pouvais que m'abandonner a lui.
Il me pénétra plus vite et plus profond ce qui me fit mordre de plaisir son épaule. Le pauvre risquait de garder la trace pendant au moins une semaine. Je léchait la marque tendrement espérant me faire pardonner pendant qu'il continuait ses vas et viens en moi. Je laissait allez mes mains dans son dos le griffant légèrement puis les ramenant à sa nuque, où je laissait mes doigts caresser la naissance de son cuir chevelu. Jetait complètement ivre de lui, de son odeur, et je dû me faire violence pour ne pas le coucher tout de suite dans cette ruelle infecte pour venir le chevauchée violemment. Non sa se sera pour plus tard, s'il décide de me suivre...
-
- Huummm...oui Edean continu....ouiii
Elle semblait aimer ça ma petite coyote, l’entendant crier sa jouissance et me supplier de continuer, je me mis à accélérer mes coups de reins enfonçant mon membre jusqu’à cogner mon gland contre l’utérus de la jeune femme. Le jus d’amour de la Kaala coula à terre abondamment prouvant son état d’excitation, je l’avais vu dans son regard la première qu’il eut croisé le mien qu’elle avait un appétit sexuelle immense n’attendant que l’homme idéal pour assouvir ses pulsions primaires. Et j’étais cet homme, malgré mon jeune âge. J’avais pu observer tout au long de notre discussion son désir grandissant, je lui plaisais cela ne faisait plus aucun doutes. Tout excité qu’elle était, la sauvageonne me mordit l’épaule, enfonçant ses dents blanches et pointues dans ma chair. Ce me fit mal, mais heureusement pour elle n’était pas allé bien profond et elle ce mis même à passer sa petite langue toute rose sur la marque de ses dents, atténuant un peu la douleur et la dissimulant derrière une sensation de plaisir charnel pendant que je continuai d’emplir son vagin avec des allers retours de plus en plus rapide et intense. Sa botte claquait contre le mur en bois « Toc, Toc, Toc, Toc… » au rythmes de nos ébats, tandis qu’elle me griffait le dos légèrement avec ses ongles taillé comme des petites griffes…
Soudain, je la fis changer de position repositionnant sa jambe au sol, je ressortis mon sexe l’espace d’un instant et la prenant par les hanches je la retournais pour la faire pencher en avant en appuyant une main au creux de son dos. Pour éviter qu’elle ne tombe par terre dans cette ruelle insalubre, je la retenais par les bras. Les fesses de la jeune femme ainsi mise en valeur, je passais mon sexe entre avant de le replonger dans le vagin de la femme lâchant cette fois de violents coups de reins. Le corps de Kaala ondulait à chaque coup, tandis-que j’étais emplis de plaisir… Je n’allais pas tarder à juter moi.
-
Il me dominait ! Moi la si fière coyote eh bien je n'en menait pas large. Il nous fit changer de position, me prenant par les hanches et viens violamment en moi. Malgré moi, je ne put retenir un cri de plaisir qui vint mourir sur mes lèvres afin de se faire remplacé par de plus courts gémissements.
-Oh oui Edean, prend moi... prend moi comme sa !!!
Nos corps étaient en symbioses mêlée à une danse que eux seul connaissaient. C’était délicieux, grisant même.
J'accelerait son mouvement de va et viens en jouant des hanches. Son dos frappait le bois de l'auberge avec plus de vigueur. Mon demi-ange venait de se transformer en démon. Quel ironie !
Je me sentie proche de la jouissance et me mordit la lèvre afin de m’empêchée de hurler son nom. Un flot de sang envahit alors ma bouche.
Autour de nous je sentait l'odeur exotique du sexe, celle de mon partenaire, la mienne ainsi que celle de la ruelle. Tant mieux pas de présence gênante. Je gémis plus fort le sentent bien au fond de moi, le corps en sueur.
- En, je vais....jouiiirree !!! et en lâchant c'est mot l'orgasme monta en moi avec plaisir. Oh combien j'aimais cette sensation. Mon vagin se resserra autour de membre d'Edean sous la décharge. J'avais l'impression d’être une donzelle, je ris de moi-même !
-
- En, je vais....jouiiirree !!!
A ces mots son sexe se contracta autour de mon pénis continuant ses allers retours en elle et je pus sentir la cyprine couler à flot et engluer ma verge. Je souris, apparemment elle aimait ça. Je me mis à lancé des vas-et-viens de plus en plus rapide, faisant trembler les fesses généreuses de Kaala au rythme de mes pénétration de plus en plus intense. Puis une chaleur bienfaisante envahis tout mon corps, je rejetais la tête en arrière et serrant les dents je sentis mon membre se raidir dans ce vagin, prêt à éjaculer tandis qu’elle remuait son bassin facilitant mes mouvements de pénétrations. Soudain ma vue se voilà et un orgasme assez violent dois-je reconnaitre, j’emplis l’intimité de la jeune femme et continuant presque convulsivement mes coups de reins entre les fesses de la belle. Ça c’était bon, un orgasme comme je les aimais. Puis alors que je continuais à juter en elle faisant déborder mon liquide séminal, une penser me vint à l’esprit.
- Kaalaah ma belle Kaala… je suis désoler de t’avoir souillé…
Dis-je en me penchant en avant pour déposer un doux baiser sur sa nuque gracile. Je fis glisser mes mains délicatement sur poitrine bien ronde et ferme alors même qu’elle se cambrait pour coller son corps encore bouillant contre le mien. Je ne la ménageais pas, mais ne pouvais m’empêcher de la caresser avec douceur et délicatesse, comme si elle était fragile, une petite fleur égarée dans un champ d’orties. Pourtant nous ne connaissions presque pas, mais je me croyais capable de gagner son cœur au-delà d’une aventure d’un soir.
- Vas-y… Qu’attends-tu ? mord moi ma belle… Dévore-moi de tes baisers ardents…
Soufflais-je à son oreille, mon sexe toujours enfouis en elle…
-
Quand il vint en moi, une nouvelle décharge me fit frissonner. C’était doux et chaud en moi. C'est tendre va et viens devinrent animales. Soudain il se mit à me dire cette phrase:"Kaala ma belle Kaala... je suis désoler de t'avoir souillée..." en embrassant ma nuque.
-Tu ne ma point souillée mon ange..., réussi-je à répondre en deux gémissement.
Puis de mouvement violent, il se fit aussi doux qu'au départ me laissant reprendre un peu de souffle. Mon Dieu, jamais auparavant un homme ne m'avait donner tant de plaisir. La coyote rit en moi quand je lui fit parvenir cette pensée et m'envoya l'image mental d'un de mes amants qui ne donnait pas grand chose et était plutôt du genre chaud lapin. Cette pensée me fit rire.
Edean, son corps chaud contre moi vint me souffler en un murmure délicieux:
-Vas-y... Qu'attend- tu? Mord moi ma belle... Dévore moi de tes baisers ardents...
Une lueur perverse traversa mes yeux tandis un sourire s'esquissait doucement sur mes lèvres.
- Sait tu que, qui joue avec le feu finit par se brûler?
Toujours en moi, dos contre son torse bouillant, je me mouvait de sorte que je me retrouve face a lui. Et pour ne pas perdre le contact de sa peau, je me plantais de moi même sur son membre toujours fièrement dressé. La sensation était onctueuse. J'adorais sa!! Et toujours de mon propre chef, je me mit a faire de tendres va et viens profonds.
-Morsure tu demande, morsure tu as, lui lançai-je avant de planter mes dents dans son épaules, assez fort malgré moi pour sentir une perle de sang s’étendre sur ma langue. Quel gout divin! Je léchais sa blessure de manière érotique puis embrassait sa peau respirant son odeur divine.
Kaala soumise a un homme....c'est bien la première fois que je fois sa petite soeur... soupira la coyote
M'en fiche, il me fait perdre la tête et j'aime sa.
-
- Sait tu que, qui joue avec le feu finit par se brûler ?
Dit-elle avec une petite lueur perverse dans la voix, et un petit sourire sadique au coin de la bouche alors que je me maintenais toujours en elle. Puis elle contorsionna un peu son corps nue pour se retourner face à moi sans se décoller de moi. Ses seins étaient pressés contre mon torse glabre et d’un mouvement des hanches, elle vint s’empaler d’elle-même sur mon sexe encore tendu malgré mon éjaculation d’il y a peu et, alors qu’elle semblait aimait ça, elle fit des petit va et viens sur mon pénis. Je n’avais pas de coups de reins à donner, elle se balançait sur moi comme la sauvageonne qu’elle était censé être et moi je n’avais qu’à me régaler tandis-que mes mains allèrent se balader le long de la courbe sensuelle de son dos.
- Morsure tu demandes, morsure tu as…
Dit-elle avant de planter ses crocs dans mon épaule, et un petit filet de sang s’écoula de la morsure qu’elle se mit à laper goulûment. C’était une étrange sensation, un délicieux mélange entre douleur et ardeur, elle se mit à embrasser tout mon corps tout en continuant à bondir elle-même sur ma lance de chaire. Je pris le temps alors de regarder aux alentours tandis qu’elle me baisait, plutôt bien d’ailleurs, mais je me rendis compte que la ruelle dans laquelle nous étions était sale et ne sentais pas très bon. Elle irait peut être à une pute, mais c’était pas un lieu pour un Nephilim et une charmante semi-coyote… Je posai mes mains sur ces fesses pour accompagner ses mouvement de bassins en même temps que mon membre tout dur ne se contentant de rester bien droit pour qu’elle puisse se transpercer dessus, je donnais alors des petits coups de reins avant de me retirer complétement…
- Ça me gêne un peu de faire ça ici, d’autant plus que nous ne sommes pas seul appariement…
Enfin, je dis ça, mais ça ne m’a pas empêché d’avoir un premier orgasme en elle…
-
-Ça me gêne un peu de faire sa ici, d'autant que nous ne sommes pas seuls apparament...
Il avait raison! Une prostituée venait d’apparaître de l'autre coté de la ruelle. Et elle n’était pas seule!
-Tu as raison! Allons chez moi si sa ne te dérange pas!
Je n'aimait guère dormir dans une auberge. Trop de bruits, d'odeurs....
Je me retira a contre-coeur de mon amant, et me rhabilla.
Tout en faisant ma queue de cheval, je luis souris et lança:
-J’espère que tu sais monter, et lui vola un baiser en rigolant.
Je récupéra mes armes aux sols et sortis de la ruelle. Je me dirigeât lentement vers Pilgrim qui renâcla en me voyant. Comme a mon habitude, je luis flattait l'encolure et vérifia les sangles de son harnachement.
-On va avoir un passager se soir, soit doux s'il te plait! lui soufflai-je a l'oreille.
Il frappa le sol de son sabot et je me mit a rire. Edean nous rejoint quelque minutes plus tard et s'approcha de mon étalon. Celui-ci mordit son mors et frappa de nouveau le sol plusieurs fois. Je passait mes mains sur ses naseaux pour le calmer.
-Tout doux mon beau, tout doux. Puis me tourna vers Edean, Désole, il a du mal avec les gens et en particulier les hommes...
Je détachai les rennes et les fit passer par dessus les oreilles de Pilgrim. DE nuit sa couleur de pelage passait encore moins inaperçu.
Je mis mon pied dans l’étrier et sauta sur son dos, il bougeât légèrement afin de s’habituer a mon poids, pus je tendis la main à Edean.
-Tu monte? Pilgrim hennit doucement. Ne t’inquiète pas si tu reste derrière moi, il ne cherchera pas a te mordre. A et tiens toi bien, petit conseille, lui lançai-je avec un sourire amusé.
-
- Tu as raison ! Allons chez moi si ça ne te dérange pas !
- Ça ne me dérange pas du tout ma belle…
Dis-je en glissant mes doigts sur sa chute de reins tandis qu’elle se rhabillait, j’avais vraiment envie d’elle, de son merveilleux corps chaud… Et elle aussi avait envie de moi apparemment, me dis-je en remontant mon pantalon qui m’était descendu aux chevilles.
- J’espère que tu sais Monter…
- A cheval ? un peu…
Répondis-je avant qu’elle ne dépose ses lèvres pulpeuses sur les mienne pour un petit baiser tendre qui me fit fondre et je me remis à rougir de plus belle. Puis quand elle eut remis en place ses vêtements, Kaala sortit de la ruelle pour se diriger vers sa monture avec un déhancher magnifique et moi je la suivais comme un petit chien bien dresser sans quitter des yeux se délicieux postérieur. Kaala adressa quelques mots à l’oreille de Pilgrim puis elle se tourna vers moi, souriante...
- Désole, il a du mal avec les gens et en particulier les hommes...
Puis elle monta habilement sur la selle en mettant un pied dans l’étrier et me tendit la main.
- Tu montes ? Ne t’inquiète pas si tu restes derrière moi, il ne cherchera pas a te mordre. A et tiens toi bien, petit conseille…
Je lui pris la main et montai sur Pilgrim qui se mit à renâcler un peu et suivant son conseille, j’enroulais mes bras autour de la belle métamorphe, l’étreignant peut-être un peu fort. Et nous partîmes tranquillement au pas, nous n’allions pas vite, mais nous étions très stable… Un peu rassuré, je desserrai un peu mon étreinte autour de la taille de la cavalière, mal m’en pris car se fut à ce moment-là que Pilgrim passa du pas au petit trot. Ses pas me tassaient et je me mis à glisser du cheval, je tombais ! Je tentais de me rattraper à Kaala en agitant les bras, mais il était trop tard, j’allai m’éclater la tête sur le sol !
Mais mes instincts d’Ange reprirent le dessus et ma chemise se déchirant je pus déployer mes ailes et avant que je n’atteigne le sol, je m’envolai. Je me mis alors à les suivre par la voie des airs…
- C’est encore loin ?
-
A sacrée Pilgrim. Edean à eu le malheur de faire confiance a mon cheval. Résultat il a faillit se rompre le cou en tombant. Hihi … Heureusement, c’était un ange et il vola a nos cotés.
Mon étalon céda une parti du chemin pour qu'il puisse être cote a cote.
-C'est encore loin, me lance t-il
-Non plus tres, lui sourit-je. Allez Ya Pilgrim, plus vite ma feignasse.
Celui-ci rua et se mit à galoper semant de moitier Edean qui revint à sa hauteur. Je fit tournée l’étalon dans un chemin en pleine foret, puis ralentit l'allure passant de galop a grand trot.
On déboucha dans une clairière et attegnimes un petit cours d'eau. Je stoppait Pilgrim, le laissant boire et regarda mon compagnon.
-Je vis la bas, lui dit-je en montrant du doigts un assemblage d'arbre. C'est une grotte mais rassure toi j'y ai le confort nécessaire ^^. C'est pas non plus un quatre étoile mais sa fait deux semaines que je vit ici
Je remis en marche Pilgrim qui hennit de mécontentement. Il traversa le cours d'eau et se dirigeât à l’entrée de la grotte. Je descendit de cheval, bougeât un des troncs et tira une couverture de fourrure qui cachait l’entrée. J'attrapait la longue de mon étalon, et le mena a l’intérieure ma petite « maison ».
-Tu peut rentrée, tu sais,lancai-je à Edean en souriant
C’était assez grand avec une double sortie si jamais je me faisait attaquer et le cours d'eau passait dans un des coins de la grotte.
J'installais Pilgrim dans le recoins adapter pour lui tout au fond de la grotte pres de la deuxième sortie. Je lui mit un seau d'avoine et me dirigeât vers Edean.
-Et bien voilà mon petit chez moi. Je t'en prie met toi a l'aise, je vais allumer un feu.
J’attrapais deux trois bûches et utilisaient un silex et mon couteau pour allumer un feu qui bientôt réchauffa l'ensemble de la grotte. Il faisait vraiment bon et je me débarrassait de ma veste ainsi que de mes bottes et tira le rideau de facon a fermer la grotte pour garder la chaleur.
Bon se mettre a l'aise était vite dit je n'avait qu'un lit et un grand tapi de fourrure sur le sol.
( voilà en gros a quoi sa ressemble pour que tu fasse une idée -^^- c'est un peu fait a l'arrache gomen =s) (https://fbcdn-sphotos-b-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash4/602455_387367944672075_1922475652_n.jpg)
-
La coyote fit tourner son étalon dans un chemin de forêt, faisant ralentir un peu l’allure de Pilgrim pour revenir au trot, pour finalement déboucher sur une petite clairière traversé par un petit ruisseau d’eau claire, Kaala emmena Pilgrim boire alors que je me posais souplement près d’elle…
- Je vis la bas, c'est une grotte mais rassure toi j'y ai le confort nécessaire. Ce n’est pas non plus un quatre étoile mais ça fait deux semaines que je vis ici.
Me dit-elle en me montrant un entrelacs d’arbre devant une petite grotte. Kaala, une fois qu’elle eut passé le cour d’eau, descendit de cheval et poussa un tronc d’arbre, dévoilant l’entrée de son petit abri. Elle tira un petit pan de fourrure qui masquait l’intérieur de la grotte et servait à isoler l’habitation pour garder la chaleur en dedans. kaala pris la longe de son étalon et le mena à l’intérieur tandis-que je restai à observer ce terrier, un peu sceptique sur ce j’allais y trouver et je me demandai comment une si belle femme pouvait vivre dans une grotte préhistorique comme une femme des cavernes.
- Tu peux rentrer, tu sais ?
Me dit-elle un petit sourire éclairant son magnifique visage, j’entrai donc dans son chez-elle. Elle mena Pilgrim dans une petite alcôve prévue pour lui proche d’une deuxième sortie et lui offrant de l’avoine et se dirigea vers moi toujours souriante…
- Et bien voilà mon petit chez moi. Je t'en prie met toi à l'aise, je vais allumer un feu.
Ni une ni deux, l’aventurière sortit un couteau et un silex et se mit à faire du feu tandis-que je m’assoyais sur le lit. Il n’était ni trop moelleux ni pas assez et enlevant mon pantelon, je m’allongeai sur le matelas en soupirant un peu.
- Ou en étions-nous déjà ?
Demandais-je lorsqu’une petite flamme s’éleva, réchauffant toute la pièce.
-
- Ou en étions nous déjà?
Je vis de nouveaux cette lueur érotique dans son regard. J'entreprit de doucement enlevée mon pantalon, lequel glissa le long de mes chevilles. Je fit un pas dans sa direction, laissant le vêtement gisé sur le sol ainsi que me chemise. N’étant plus vêtu que de ma petite culotte, je m'assis sur lui. Mon cher Edean avait encore envie de moi. Son regard le trahissait, sa respiration accéléré ainsi que son membre de nouveau en action. Tous cela me fit rire a moiter. En générale, lorsque les hommes me faisait l'amour, il me prenait pour leurs chienne. Guère d'amour, de passion et de douceur. Avec eux brustesse, violence et autres. Il eut même une fois ou on a voulu me passer un collier... il me semble que le gars gît quelque part dans un marrais avec la gorge déchiquetée.
Mais pour en revenir a Edean, je commençais à appréciez ce garçon de plus en plus.
Celui-ci passait ses mains chaudes sur mon corps désireux de ses caresses.
-Il me semble que...repondi-je en embrassant ses lèvres, que tu me faisait l'amour!
J'enlevais ce bout de tissu qu'y me gênait et viens frotter ma fente contre son membre dur, chaud et gorgé de plaisir. Je l'inserrait doucement en moi, puis m’enfonçais jusqu’à ce que nos pubis se touche. Il était complètement en moi.
-J'aime te sentir en moi, murmurai-je en un souffle.
Doucement puis allant de plus en plus vite je fit des va et viens rapide. Ses hanches accompagnant le mouvement. Je mordit encore son épaule qui avait déjà ma marque. Moins fort tout de fois, mais assez pour avoir une petite marque.
-Désolé, bel ange, c'est plus fort que moi, lui lançait-je en gémissant un peu.
Je lui léchait la morsure une nouvelle fois, puis son tendre cou avant de l'embrasser doucement au dessous de l'oreille.
-
Alors que le feu qu’elle avait allumé dansait dans son foyer, réchauffant la grotte d’une douce chaleur et d’une lumière orangée projetant l’ombre de la belle Kaala sur les murs de pierres, celle-ci enleva sa ceinture et fit sensuellement glisser son pantalon le long de ses délicieuses jambes galbées. Portant ses mains à sa poitrine, elle déboutonna consciencieusement les boutons de sa chemise tout en avançant vers moi en se déhanchant. Puis seulement vêtue de sa petite culotte elle s’assit sur moi et ses yeux rivés sur mon pénis encore tout durs et bien droit, un petit sourire éclaira son doux visage. Je passais mes mains sur son corps encore bouillant, j’avais envie de ses caresses, notre histoire ne survivrais probablement pas à ce soir, mais je me sentais attirer par elle irrésistiblement.
- Il me semble que... que tu me faisais l'amour !
Dit-elle en se penchant un peu sur moi pour embrasser mes lèvres, tendrement je répondis à ce baiser en envoyant ma langue danser avec la sienne en une langoureuse valse. Puis elle se défit de son dernier sous-vêtement, qu’elle envoya voler à l’autre bout de la grotte, et fit frotter sa vulve toute humide contre ma verge tendue. N’y tenant plus elle inséra mon sexe dans le sien et se laissant glisser, je fus tout entier en elle, mon gland heurta le fond de son vagin après avoir glissé sur ses parois humide de cyprine.
- J'aime te sentir en moi…
Je souris en essayant de m’imaginer le nombre d’homme à qui elle a dit ça… Kaala n’avait pas l’air d’une putain, loin de là en fait, mais sa beauté et son côté sauvage devait avoir fait d’elle une mangeuse d’homme. Elle se mit alors à bondir sur moi, s’empalant d’elle-même sur ma virilité avec des petits bonds d’abord lent puis de plus en plus rapide. Je me mis un peu à accompagner ses vas et viens sur mon barreau de chair en donnant des petits coups de bassin vers les haut, faisant travailler mes muscles abdominaux pour notre plaisir commun. Kaala fourra sa tête dans mon épaule qui portait la marque de ses dents et mordit sauvagement, m’arrachant un petit cri de douleur mêlé de plaisir.
- Désolé, bel ange, c'est plus fort que moi, me dit-elle en léchant ma blessure tout en continuant de bondir sur mon entrejambe.
- Ce n’est pas grave ma belle…
Dis-je doucement en prenant un téton entre mes dents pour le mordiller un peu et le sucer comme un enfant tète le sein maternel, alors que je défaisais la queue de cheval de Kaala, faisant cascader ses cheveux sur ses épaules.
-
Toujours sur une cadence rythmée, je gémissais de plaisir contre lui. Alors qu’’il me tétait le sein, je sentais sa main défaire l’élastique qui retenait ma flamboyante chevelure. Des boucles rousses vinrent alors chatouiller mes épaules, le creux de mes reins et cascader le long de mon cou pour venir se poser sur le visage de Edean.
L’atmosphère se réchauffait à vitesse grand V comme l’orgasme qui commençait à me faire trembler de part en part et qui me faisait frissonner de plaisirs. La sueur qui couvrait ma peau et celle d’Edean laissait luire la lueur du feu sur nous. Un brasier qui était également présent avec nous deux, sur mon lit de fortune.
Puis, alors que le rythme s’accéléra encore un peu, l'orgasme me prit. Violamment de toutes les veines de mon corps. Mon dieu, il me semble que se soit la première fois de ma vie que mon plaisir se déclenche aussi violament.
Doucement, je reposait mon corps sur le torse de mon compagnon, mon imposante poitrine brûlante contre sa peau.
Il me semblait avoir hurler son nom mais je n'en était pas sur !
Mon souffle saccader faisait voler quelques mèches de mes cheveux roux dont la pointe etait humide de sueur. Rajouté a cela la chaleur du feu, l'air de la grotte en était devenu presque étouffant.
-
Kalaa me chevauchait toujours et même plutôt bien, tandis-que je mordillai un téton bien dur, elle faisait accéléré le rythme de nos ébats en gémissant de plus en plus fort. Son corps bouillant ondulait sous mes coups de butoir et à chaque fois que mon pénis cognait le fond de son vagin, elle lâchait des petits soupirs langoureux. Elle ferma les yeux et se mit à crier son plaisir alors que ma verge continuait à accélérer ses mouvement de va et viens en elle.
- Edeaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Hurla-t-elle en proie à un orgasme intense, elle c’était redressé sur mon sexe et libéra un flot impressionnante de cyprine avant de se rallonger sur moi, sa lourde poitrine délicieusement poser contre les muscle fins de mon thorax. Mon sexe sortit du vagin de l’aventurière et pointa vers le plafond, frottant entre le douce fesses de celle-ci, et je sentais pouvais sentir le sperme circuler en moi, j’étais prêt et la première éjaculation ne se fit pas prier. J’embrassais Kalaa à pleine bouche tandis-que ma semence de demi-ange jaillissait de mon gland et volais dans le vide avant de retomber mollement sur le dos et dans les cheveux de la belle.
Pendant un moment nous restâmes ainsi l’un sur l’autre, à savourer cette sensation de calme après la tempête que nous venions de traverser, reprenant nos souffles tout en échangeant de temps en temps de langoureux baiser. Nous étions en nage l’un et l’autre, nous nous sommes aimés comme des fous… et j’avais encore envie d’elle, passant une main sur un sein, je souris en tirant un peu la couverture sur nos corps en sueur.
- Il ne faut pas attraper un rhume… Kalaa, je brule de désir… tu as une si magnifique poitrine…
-
Ce fut un immense plaisir que j'accueilli sa douce caresse. Une lueur de plaisir brillait encore dans ses yeux.... Il avait encore faim! Je me surpris à trouver cela mignon et à sourire. Mon dieu, que m'arrivait-t-il?? Avais-je employer le mot "mignon"??
Oui jeune fille et ma fois tu me fait peur a moi aussi, riait silencieusement la coyote.
Je déplaçait une de ses mèches tombées sur ses magnifiques yeux et lui dit avait un murmure:
- Je vois que tu as faim.... me ferait tu le plaisir de m'accepter comme plat mon cher Edean?
Lentement une de mes mains caressait des ongles sa peau encore brûlante. J'entendit les doux ronflements de Pilgrim de l'autre coté de la grotte. L'eau qui s’écoulait de la cascade ainsi que les animaux nocturne parti en chasse. Un filet de lumière lunaire pénétrait dans mon entre. Le feu à présent n’était quasiment plus qu'une petite braise. De temps en temps une flamme jaillissait suite au courant d'air..... Tout cela me faisait penser à un rêve... Je revait les yeux ouverts!!
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- Je vois que tu as faim... me ferait tu le plaisir de m'accepter comme plat mon cher Edean ?
Me dit-elle en écartant une mèche de ses longs cheveux roux, elle avait diablement raison, j’étais empli de désir comme un ballon si plein qu’il est prêt à exploser. C’était bon de sentir le corps nu et tout chaud de la belle Kalaa reposer ainsi sur moi, mais j’avais encore envie d’elle, comme si j’avais faim… Elle se mit alors à caresser mon torse du bout des doigts ne se privant pas de les enfoncer quelquefois sous mon épiderme, pas assez profondément pour que je saigne mais cela m’arracha un petit grognement surpris. Un sourire étira mes lèvres alors que j’embrassai la métamorphe, encore une fois j’envoyais ma langue à l’assaut dans sa merveilleuse bouche. Durant ce baiser plus que langoureux, je saisis la douce par la taille et je la fis basculer sur le côté, nous réalisâmes plusieurs tonneaux sur ce lit de fortune, enlacé comme nous étions. Quand nous nous stabilisâmes, nos positions étaient inversées, j’étais allongé sur la semi-coyote dans la position dite du missionnaire.
- Si tu m’autorise à t’accepter ma belle…
Dis-je en rompant le baiser, c’était bon de se sentir en parfaite entente avec quelqu’un. Et ce quelqu’un était spécial, elle renfermait en elle deux personnalités, l’une animale et l’autre Humaine et quel humaine… Mais alors que j’étais allongé sur cette beauté qui me fixait de ses yeux bruns parsemé d’éclats vert émeraude, tout simplement hypnotisant, je me posais des tas de questions sur elle, et je me rendais compte que je ne connaissais rien d’elle, j’avais été aveuglé par ma passion.
- Dis-moi Kalaa, ton pouvoirs du métamorphe, d’où le tien tu ?
Demandais-je d’un ton doux tout caressant sa joue encore rougit par nos ébats précedents.
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Jamais passion ne s'etait faites tant desirée. L'amour car oui on devait bien appeler sa comme sa avec Edean etait si ...puissant!
-D'ou tiens tu ton pouvoir de metamorphe? me demanda t-il
-Mon pouvoir? En voila une bonne question! Mon père ma toujours raconté qu'il etait monté une fois dans ma chambre et au lieu de découvrir une petite fille sagement endormi, il trouvat un coyote fesant ses dent sur le montant en bois. J'aimais beaucoup qu'il me raconte mes métamorphoses, en générale elle survenait sans que je m'y attende.
Au souvenir de mon passé j'eu un sourire mélancolique. Je regardai Edean toujours en souriant. Cela était vraiment folklorique.
Et voila, cet homme me mettait tellement en confiance que je lui racontais mon passée . De ce faites et pour me venger, j’écartai les cuisses pour mieux l'installer en moi. Je me sentait toujours autant humide et toujours prête a l'accueillir en moi.
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Quand elle me répondit, ce fut avec un petit air nostalgique à l’évocation de son passer, sans doute elle avait dû quitter quelque chose ou quelqu’un qui lui tenait à cœur. En tout dans sa bouche cela paraissait loin, un passé définitivement et irrémédiablement révolu et me regardant à nouveau dans les yeux, elle me fit tacitement comprendre que le sujet était clos. Moi j’avais été ému quand elle avait évoqué son enfance, ému et amusé en même temps, j’avais été élevé dans un temple d’Aphrodite parmi bien d’autre orphelins et je ne pouvais savoir ce que c’était le véritable amour d’un père et d’une mère.
Avec une petite lueur coquine dans les yeux, Kaala écarta les cuisses pour ouvrit le chemin vers son intimité toujours aussi gorgée de cyprine. Je réponds à son divin sourire et pris un sein que je me mis à malaxer avec amour tandis-que mon pénis frottait l’entrée de se vagin je voulais profiter de chaque instant, je n’étais pas près d’oublier cette nuit avec la belle semi-coyote. Délicatement je faisais rentrer mon sexe avide dans ce vagin réclamant toujours plus de passion et de désir. Laissant ma verge aller et venir glisser délicieusement en elle, je lançais plusieurs brefs mouvements de va et viens qui faisaient contraste avec l’ardeur de nos ébat précédents. Tout en poursuivant mon petit manège de manière presque laconique, je me penchai sur la belle pour déposer mes lèvres sur un téton bien dur de Kaala. Tandis-que je pétrissais toujours l’autre sein de mes doigts habiles et que ma langue toute rose décrivais une fougueuse valse sur la poitrine ronde et ferme de la jeune femme, ma main inoccupée dévala la courbe de ses hanches jusqu’à venir se poser sur une de ses cuisses pour la masser tendrement en suivant du bout du doigt les paquets de nerfs qui serpentaient dans la jambe.
- Tu aimes ce que je te fais ?
Demandais-je d’un ton soucieux en levant la tête vers elle, ma petite langue pendouillait protestant contre l’éloignement d’avec le sein qu’elle léchait. Je voulais le retour de la douce Kaala…
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- Tu aime ce que je te fais?
Question idiote de la part de mon cher Edean! Si j'adorais, ce mot n’était pas encore assez suffisant pour moi... Il était devenu une drogue à mes yeux. Un drogue douce, puissante et excitante. Ses caresses sur moi faisait ressortir mon coté animal, celui qui avait faim de plaisir.Je me mis a repensé aux paroles d'un démon qui avait croiser ma route: " Pauvre coyote, tu ne pense qu'a te baignée de luxure dans les bras d'amants impuissants a ton charme!!!" Je crois, non j'en suis sur que je lui avait coupé la tête!!! Oui j'aimait la luxure, mais avec Edean celle-ci était sucrée et à la fois d'un piment que je n'eu connu nul part ailleurs.
- Oui continu Edean c'est si bon, lui répondit-je, la voix rauque de plaisir.
Il est vrai que j'aimais qu'on s'occupe de moi mais sous chacune de ses caresses, baisers et coups de langue, je me languissait plus que de raison. Je ne voulais que jamais se finissent cette nuit de folie.
J'offrit ma pointrine en me cambrant, suivit des doux va et viens de mon cher demi-ange. Quel situation: un demi-ange pour une semi-coyote!
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- Oui continu Edean c'est si bon…
Me répondit la belle en se cambrant somptueusement sur le lit, visiblement éprise d’une passion qui la consumait de l’intérieur et qui la rendait comme folle de désir. Je continuais donc inlassablement à m’occuper de la poitrine bien volumineuse de Kaala, je lâchais le mamelon que j’avais pris en bouche pour aller goulûment téter et mordiller son voisin. Je continuais de donner des petits coups de reins réguliers qui faisaient sensuellement onduler le corps en feu de la jeune femme, me contentant de faire glisser délicieusement mon pénis tout dur en elle. Je n’avais pas depuis longtemps ressentit une telle chose, nos deux corps allongés l’un sur l’autre, nos passions et notre désir l’un de l’autre étaient une grande source d’émotion, c’était magique. Ma main inoccupée alla caresser doucement les longs cheveux roux de Kaala tandis qu’elle rejetait la tête en arrière, emplie d’une ardeur dévorante.
La nuit devais être bien avancée maintenant, le feu n’était à présent plus que quelques braises rougeoyante dans leurs foyer de pierre et l’air nocturne rentrait glisser sur nos corps bouillant et trempé de sueur. Faisant fi de nos ébats pour le moins bruyant, Pilgrim lui s’était endormi depuis longtemps dans sa petite alcôve et il serait très certainement plus en forme que nous deux demain matin. En effet, alors que j’étais toujours penché sur la poitrine ronde de mon cher semi-coyote, je pouvais sentir qu’elle en voulait encore plus, elle devenait accroc et je dois bien reconnaitre que moi aussi…
Epris d’une sorte de fièvre enivrante et bienvenue, je me mis à accélérer un peu la cadence de mes va et viens dans l’intimité toujours humide de la jeune femme en lâchant quelques petits soupirs incontrôlé. Je me mis aussi à appuyer un peu plus mes baisers sur les somptueux monts de chairs et à suçoter avec une ardeur renouvelé le téton tout dur que je tenais entre mes lèvres, quand soudain un filet de liquide chaud sortit du mamelon tout rose. Liquide que je me mis à aspirer goulument, le lait de Kaala avait un goût étrange, mais je ne pouvais m’arrêter de téter ce sein dégoulinant. C’était bon, nous étions au nirvana et je goûtais à l’ambroisie des dieux.
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Le plaisir que me faisait prendre Edean était si intense qu'il declancha en moi une montée de lait.
Habituellement réservé aux chiots, renardeaux et autres petits du monde canins, je vis mon bel amant tété mon sein avec une ardeur redoublé et boire mon riche nectar par grosses gorgées. Et plus il me tétait, plus il me faisait monter au septième ciel... Que dis-je ce cap nous l'avions passer depuis longtemps. Il me faisait vibrer. Et je me surpris a le supplier!
-Oui ....Edean, continu... c'es tellement bon....
Ma respiration saccader, mes gémissements, sa bouche qui suçotait mon téton durci et qui le nourissait, son membre toujours aussi dur faisant de merveilleux va et viens à un rythme effréné: c’était tout simplement le Paradis!
Je sentit mon vagin se contracter une nouvelle fois contre son sexe brûlant et me faire une nouvelle fois frissonné d'un orgasme. Cela augmenta les quantité de lait que je pouvait fournir. J'adorait que me petite tête blonde joue ainsi avec mes seins, qu'il met à ébullition mon corps déjà chauffé a blanc!
Je ne voulais plus qu'il me lâche, qu'il reste en moi et me fasse l'amour ainsi pour l’éternité.
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Elle était superbe et je sentis avec plaisir son sexe se contracter autour du mien en un orgasme incontrôlé, tandis-que de ses seins gorgés de plaisir dégoulinait toujours ce lait merveilleux que je lapais avec toujours plus d’envie. Elle jouissait engluant encore plus mon pénis de cyprine chaude, mes coups de bassin dans son antre de plaisir ne s’en firent que plus violents, envoyant mon gland tout rouge d’excitation heurté en un rythme de plus en plus passionné le fond du vagin de Kaala. Je la sentais vibrer sous chacune de mes pénétrations, de mes caresses, de mes coups de langue tandis qu’une de mes mains naviguait impétueusement sur la peau brulante de ma partenaire. Je caressais son ventre plat, passai dans son dos et remontais doucement pour aller caresser sa douce joue de bébé. Ce fut comme une décharge électrique qui me parcouru de la tête aux pieds, me faisant gémir et mon sexe tout heureux délivra sa semence dans l’intimité de la belle. Alors- que je me vidais abondamment en elle, je continuais presque convulsivement à donner quelques derniers coups de bassin.
Je lâchais le téton que je suçais et me retirais lentement avant de m’effondrer littéralement à côté de ma belle Kaala avec un soupir de plaisir, je planais au septième ciel et je n’avais pas envie de redescendre. Mon sexe reposait mollement sur ma cuisse gauche, j’étais vider pour l’instant, nous faisions l’amour depuis un petit moment déjà et c’était magique, je n’oublierais cette nuit pas de sitôt. J’attirais Kaala dans mes bras, la cyprine continuait de couler entre ses cuisses tandis-que mon sperme blanc débordait de son vagin et pourtant son corps était toujours chaud. Je l’enlaçais tendrement et fermais lentement les yeux avec un sourire malicieux en tirant la couverture sur nos corps nus.
- C’était sublime… Kaala je… Je crois que… Embrasse-moi avant que je dise une bêtise…
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J’étais sur un petit nuage! Jamais on ne m'avait fait montée si haut! Il eut un élan si tendre ensuite quand il ramena la couverture en fourrure sur nos deux corps en sueur et las des ébats de la nuit. Et j’appréciai cet élan: le feu finissait de mourir dans l’âtre et le froid nocturne s'imicait dans ma petite grotte et vint engourdir nos peaux humides. Cela declancha des frissons. Alors quand Edean me serra contre lui, j'acceuillit sa chaleur réconfortante avec bonheur.
- C’était sublime… Kaala je… Je crois que… Embrasse-moi avant que je dise une bêtise…
J'arcais un sourcil, confuse. L'embrassée, oui sa sa ne me poserai pas de problème et c'est même ce que je fit. Je posa un doux et tendre baiser sur ses lèvres.
-Une bêtise? Pourquoi dirai-tu une bêtise alors que tes paroles sont divines?
Toujours dans ses bras, je laissai mes doigts tracé de petits cercles sur son torse finement musclé, les laissant se baladé au hasard, sans but précis. Ma tête sur son épaule, j'humais son délicieux parfum riche et sucré. Je pensait intérieurement que j'etait heureuse de l'avoir emmené chez moi: mes draps, mes oreillers ainsi que ma tanière embaumerai sa délicieuse odeur....
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Elle déposa tendrement ses douces lèvres sur les miennes comme je lui avais demandé tandis qu’elle se blottissait contre moi, la couverture en peau remonté sur nos corps en sueur. J’adorais le gout de ses lèvres pulpeuses contre les miennes encore barbouillé de lait et alors-que je profitais de ce doux baiser les yeux clos, je fis promener ma main sur la jolie poitrine de la femme coyote en recueillant un peu de lait entre mes doigts fins et, prenant ses tétons tout durs, je les serraient délicatement.
- Une bêtise ? Pourquoi dirais-tu une bêtise alors que tes paroles sont divines ? Me demanda-t-elle en caressant mon torse avec ses longs doigts fins.
- Mes paroles sont divines ? Non ce n’est rien… Tu sais je suis très bête moi de temps en temps, ça doit être mon côté humain.
Dis-je en faisant glisser ma main sur ses hanches et caresser ses cuisses humides de nos longs et passionnés ébats, j'allais dire que je l'aimais, mais ça faisait longtemps que je ne croyais plus en l'amour fidèle et sincère comme on pouvait le voir dans les contes de fées. Je ne pouvais pas dire que je l'aimais, ça aurait été un euphémisme car même si en cet instant elle me semblait être merveilleuse, je ne pouvais pas dire que je l'aimais. Sous la couverture il faisait bon chaud et après avoir juté trois fois, je commençais à sentir la fatigue s’installer. Ma respiration devint plus régulière et plus profonde à mesure que le marchand de sable m’emportait aux pays des rêves.
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Je le vis songeur, puis lentement s'endormir contre moi et je ne tardais pas longtemps à l'imitée. Ce fut une nuit sans rêve, paisible...
C'est Pilgrim qui vint nous réveillés le lendemain matin, en plaçant son doux museau entre moi et Edean et en nous soufflant doucement dessus. Je caressait ses tendres naseaux et m’étira de tout mon long dans le lit. Edean à moitier endormi se retourna. Je descendit de mon petit "nid" et enfila une chemise longue. Je déposait un tendre baiser sur la joue du semi-ange et sans un bruit, je ravivais le feu en y plaçant deux bûches et prit Pilgrim par les reines et le tira dehors pour un bain matinal.
Il faisait bon dehors et vu la position du soleil, il devait être onze heures. J'amenais mon étalon au cours d'eau et entra dans celui-ci. L'eau était tiède, et mon cher ami renâcla doucement. Quand il entra dans le petit lac, vers la cascade, je le desharnachais et commença à le nettoyer. Chaque recoin de son être fut entièrement lavés et dépoussiérés. Le crinière et sa longue queue furent également bien lavées et démêlées.
-Mon Dieu, Pilgrim, comment à tu pu accumulé autant de crasses? lui lançai-je en souriant.
Celui-ci hennit de joie et alla se séché au soleil du matin, sur la berge pendant que je me dirigeai vers la petite cascade, non loin de là. Je me debarassa de ma chemise et me mit sous l'eau. Ce que j'aimais que celle-ci courrait sur ma peau halée et me faisait un bien fou! Elle eut le don de détendre mes muscles endolories et me redonna une pêche d'enfer. Je prit ensuite soin de m'occuper de ma chevelure. Bien démêlée, elle n’était plus ondulée mais lisse comme les chinoises. Avec amusement je décidait de me changée en coyote et de jouer comme un chiot dans le courant d'eau. Pilgrim m'accompagna et nous jouons a nous courir après. Je jappait de plaisir et lui hennit de rire....
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Ce fut une nuit plutôt calme, comme je les aime et après m’être si amoureusement ébattu avec ma semi-coyote, c’était un sommeil bienvenu qui s’empara de moi. Un sentiment de béatitude m’accompagna dans mes rêves et comme si souvent quand j’étais sur Terra, je rêvais que j’étais dans un grand lit, un lit somptueux en compagnie de la belle déesse Aphrodite. Je ne l’avais jamais vraiment rencontré, et elle changeait bien souvent d’apparence entre deux rêves, mais je savais que c’était Aphrodite, ne me demander pas comment j’en étais sûr ce ne sont que des rêves. Je ne me souvenais jamais avec précision de mes rêves, mais je sais que je dormis bien cette nuit-là, Kaala collé à moi sous la couverture de peaux…
Le lendemain matin, Pilgrim glissa son museau tout frai entre le corps de sa maitresse et le mien, puis il nous souffla dessus délicatement. Sans doute pensait-il que je l’avais suffisamment retenu auprès de moi et qu’il réclamait un peu d’attention. Kaala se leva et alla ramasser sa chemise qui trainait par terre, avant de revenir m’embrasser tendrement la joue… Quand elle sortit dehors avec Pilgrim, je sommeillais encore un peu, elle avait ravivé le feu et la lumière du soleil passait par la petite fente de l’entré mal refermé, mais j’aimais les grasses matinées, surtout après avoir fait l’amour comme un petit fou avec une belle femme. Finalement, ce fut la soif qui me fit levé, je m’assis d’abord sur le lit avant d’aller ramasser mes vêtements et de sortir.
Il faisait beau ce matin malgré le nuage tout gris à l’horizon qui menaçait de vite pourrir cette belle journée ensoleillé qui commençait pourtant plutôt bien. Je sortais à peu près au moment où Kaala transformée en coyote jouait à se poursuivre avec Pilgrim, un sourire enchanté éclaira mon visage à la vue de cette scène pittoresque et je compris alors qu’il n’était pas qu’une monture ou un animal de compagnie, mais c’était un véritable ami, son seul ami. Je restais un moment, là, à les observer gambader joyeusement avant d’observer un peu mieux l’endroit. En général, j’aimais entretenir mon hygiène corporelle à un niveau proche de la perfection et la moiteur qui restait sur mon corps après cette belle nuit d'amour, me gênait un peu. Aussi, apercevant une petite cascade qui passait non loin je décidais de prendre une petite douche revigorante. J’enlevais donc mes vêtements pour me glisser doucement sous l’eau tiède qui vint tomber en cascade sur mon corps imberbe, me débarrassant de cette sueur fort déplaisante. Je ne regrettais qu'une chose, c'était l'absence de savon ou autre mousse pour me laver comme il fallait, tant pis me dis-je, je me laverais mieux de retour à l'auberge, ou une fois chez moi, sur terre.
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J'etait épuisée, a bout de souffle, ettalée a terre tel une loque! Et Pilgrim n'etait guere mieux. Dans notre jeu, j'avait appercut Eadean se dirigeant vers la cascade pour se laver à son tour. J'operai en moi la transformation et me retrouva sur le dos, dans l'herbe tendre de la petite prairie! J'enfilait ma chemise apres avoir reussit a me lever. Je fit marché au pas Pilgrim pour lui évité des colique et puis finit de le penser avant de tresser sa langue crinière. Il etait beau et moi rayonnante.
"Je te ramene à l'auberge? Comme je doit allez en ville pour deux trois courses....
Je lui laissait le temps de la reflexion et d'intimité avant de rentrer dans la grotte. J'enfilait alors un pantalon de cuir noir avec une ceinture tressée de maniere indienne et quelques perles bleues, et sur ma chemise un corset de cuir brun foncée rehaussé d'un collier en fourrure de lapin et horné de quelques chaines. J'enfilait ensuite de hautes cuissardes et ajouta mon ensemble d'armes. Je preparai un plateau dejeuné pour mon amant et y deposa une cuisse de lapin, un verre de lait de vache et une tranche de pain encore tendre. Je prit de mon hautre main la couverture de Pilgrim et son épée. Quand je resorti de mon petit logi je deposait l'harnachement au sol et posa le plateau repas pres de la cascade avec un sourire et en criant ''Petit Dejeuné'' !
J'harnachai ensuite mon cheval: la couverture sur son dos surmontée de la selle bien ceintue. Je pris soin de placé son épée dans le fourreau prevu a l'effet. Je le regardait et me dit qu'il serrai parfait en temps que cheval de guerre!!!!
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Je ressortis de sous la cascade et ne trouvant rien pour me sécher, je remis « au moins » mon pantalon de tissu noir par-dessus mes jambes tout mouillé. De toute façon, même pour un frileux comme moi, il faisait une agréable température entre ces arbre, mais nous étions déjà au moment le plus chaud de la journée c’est-à-dire midi. Après avoir joué un moment avec Pilgrim, la coyote s’affala à terre exténuer et reprit sa forme humaine qui, après avoir se reprit son souffle, se releva et se dirigeant vers la cascade, elle remit sa chemise ample et la reboutonna consciencieusement.
- Je te ramène à l'auberge? Comme je dois allez en ville pour deux trois courses...
Me dit-elle avant de rentrer dans sa grotte, sans doute pour se rhabillé convenablement et pour reprendre armes et matériels. En l’attendant je partis me soulager la vessie sur une souche baigné dans un petit rayon du soleil de midi, étant resté torse nu je laissais mes ailes ivoirines se déplier et se dégourdir. J’avais vraiment passé un nuit très agréable avec ma semi-coyote, elle n’était peut-être pas la plus belle femme que j’avais croisé, mais elle pouvait amplement se vanter par rapport à d’autre de faire battre mon cœur comme un fous dès qu’elle me touchait. Je me mis même à rire en imaginant Kalaa se rendre sur terre et par sa seule présence provoquer une émeute en pleine rue, la terre était vraiment un monde bizarre ou la beauté d’une femme devait répondre à des canons bien précis et où le corps de la femme était devenue le seul critère pour qualifier une femme de belle.
- Petit-déjeuner !
Cria Kalaa une fois ressortie de la grotte et habillé, elle était encore plus belle dans ses vêtements et elle partit harnachée Pilgrim en vue de son départ prochain. J’aperçu alors le petit plateau plein de nourriture que Kalaa avait posée non-loin de là. En plus d’être jolie, cette fille était gentille comme tout, pensai-je en me jetant presque sur le verre de lait que je bu à grande gorgées pour apaiser ma soif qui me tiraillait depuis mon réveille.
- Non Kalaa, je crois que nos chemins vont devoir se séparer, mais avant…
Dis-je en la prenant dans mes bras et en déposant une dernière fois un tendre baiser sur les lèvres de la belle.
- J’espère que tu te souviendras de moi… adieu Kalaa, dis-je avant de reculer lentement et de décollé pour disparaitre derrière la cime des arbres.