Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ruines [Edean]

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Ruines [Edean]

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 45 mercredi 10 octobre 2012, 21:12:56

Quand Hélène monta sur le toit, elle entreprit d’abord d’examiner ce curieux dôme sur lequel j’étais nonchalamment adossé. Elle en fit le tour et actionna un vieux mécanisme dont les rouages, sans doute rouillé depuis le temps, émirent un vacarme de fin du monde. Comment les Micahualcans ont-ils pu bâtir une civilisation si avancé aux beaux milieux des landes dévastés ? En tout cette ville referme encore bien des mystères. En tout cas les nécromanciens n’avaient pas la réputation d’être sympathiques et plusieurs milliers d’années plus tard, cette réputation tenait encore. Le ciel était clair en ce début de fin d’après-midi, des rafales de vent chassait les nuages gris et laissais percé un soleil éclatant qui ne tarderait pas à aller se coucher. D’ailleurs moi aussi j’étais crevé, courir comme un dérater dans un nid d’araignées pour me pas finir dans un cocon était quelque peu éreintant.

Aussi je décidais de me reposer et de ne pas bouger d’ici, sauf cas de force majeur bien entendu. Parfois je voyais un dragon passer dans le ciel, il semblait bien loin, hors de la ville. J’avais bien sûre entendu parlé des liches et je redoutais qu'une d'elle puisse être ici, dans cette nécropole. Une lichification m’a même été proposer, que j’ai refusé bien sûre sinon je ne serais pas là en compagnie d’une Amazone. Une liche est un nécromancien, souvent se sont les plus riches ou les plus puissants qui, lors d’un rituel extrêmement complexe, se donne la mort et se réincarne sous l’apparence d’un mort-vivant. Ce rituel puissant quoique très dangereux, offre à ceux qui le réussissent, l’immortalité, un pouvoir immense et une omniscience, en échange de quoi ils peuvent plus sentir quoique ce soit, le plus raffiné des mets prend le gout du carton, même la plus ardent des liqueurs, le plus doux des parfums, la plus délicate des paroles les laisse indifférent. Sans parler d’une nuit en bonne compagnie, cela deviens presque un supplice pour eux. Déjà qui aurait envie de faire l’amour à un mort-vivant ? C’était sans doute ça qui m’avait finalement fait refuser, même si cela m’aurait sans doute évité de passer mon adolescence en tant qu’esclave, mais quand on regarde de plus près ça aurait été une sacrée perte…

Je fus surpris de voir la belle Hélène venir s’assoir à mon côté en soupirant, elle devait être lasse et devait avoir besoin de repos, après tous les Amazones aussi fortes soient-elles sont loin d’être indestructible. Elle rejeta sa tête en arrière pour la callée sur le dôme, elle avait transpiré dans cette bibliothèque ne pus-je m’empêcher de remarqué en voyant des gouttes de sueur perler le long de son abdomen… Je détournais le regard en rougissant pensant à ce qu’elle m’avait dit un peu plus tôt.

-   Honnêtement, je ne m’attendais pas à ce que la situation soit si compliquée dans cette ville... Elle est à la hauteur de sa réputation…

Me dit-elle de sa voix claire d’Amazone princière. Ne sachant pas trop si elle attendait une réponse ou non, je me contentais d’acquiescer d’un mouvement de tête. Après quelques longues secondes de silence je demandais à Hélène, de la manière la plus innocente possible :

-   Dites-moi, en attendant que vos sœurs reviennent du camp, nous avons du temps devant nous… Et la zone est déserte, vous pourriez me parler de vous… Comment êtes-vous devenue Amazone ?
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Les Amazones

Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 46 jeudi 11 octobre 2012, 11:29:50

S’adossant contre le rebord, Hélène soupira lentement, yeux fermés. Un peu de vent frais, de repos, ça faisait du bien, même pour une Amazone. D’autres épreuves l’attendaient, elle le savait, mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne pouvait pas relaxer un peu. Elle respira lourdement, reprenant son souffle. Le Nephalem sembla alors sortir de sa méditation, et elle le sentit poser son regard sur elle. Il choisit alors d’entamer la conversation, et elle rouvrit lentement les yeux, sentant quelques rayons ensoleillés éclairer son visage.

« Dites-moi, en attendant que vos sœurs reviennent du camp, nous avons du temps devant nous… Et la zone est déserte, vous pourriez me parler de vous… Comment êtes-vous devenue Amazone ? »

C’était une longue histoire, et elle fut brièvement perdue dans ses pensées, avant de faire la moue, et de répondre. Après tout, ça ne pourrait pas lui faire du mal, et ça l’aiderait à se détendre. Hélène devait conserver à l’esprit que, si elle était une guerrière, elle était aussi une machine. Andromaque et les plus vieilles guerrières ne cessaient de le rappeler aux jeunes Amazones : éviter les prouesses inutiles, et toujours se rappeler qu’une guerrière reposée et sereine en valait deux. La passion était une bonne chose dans un combat, car elle donnait du cœur à l’ouvrage, mais se laisser guider par elle était le meilleur moyen de mourir. Elle parla donc.

« On devient une Amazone soit en naissant, soit en étant recueillie par la Horde. »

Jusqu’ici, rien de bien étonnant ; Hélène ne faisait que confirmer que la Horde connaissait les deux modes classiques d’attribution de la nationalité : le droit du sol, que les Amazones appelaient sous sa dénomination latine ancienne, « jus solis », et le droit du sang, qu’elles appelaient « jus sanguinis ».

« Je ne suis pas née au sein de la Horde, expliqua-t-elle, mais dans un petit royaume, que les Amazones ont alors entrepris d’attaquer. Ma destinée était d’épouser un noble du royaume, afin de consolider une alliance entre le domaine royal, et la maison de ce noble. Une vie peu attirante, me direz-vous... »

La venue de la Horde avait été perçue comme un fléau, et, à cette époque, Hélène les avait détesté. Elle était trop jeune pour réellement comprendre, et pensait que son mariage serait une bonne chose, qu’elle se marierait à un élégant prince charmant. Le Roi avait pris peur, car ses troupes n’arrivaient pas à repousser la Horde. Les Amazones avait fait tomber plusieurs châteaux frontaliers, et ce dernier avait envoyé des pourparlers.

« La Horde voulait des femmes pour se reproduire, revendiquant un ancien principe juridique et divin qui leur accordait le droit de réclamer des femmes pour les former et les endurcir. En échange de quoi, elles leur laisseraient une progéniture. Elles revendiquaient aussi de l’or et des armes comme tribut de guerre. Au début, le Roi refusa, trouvant ces conditions absurdes, et parvint à réunir un ost pour assiéger le château où les Amazones se tenaient. »

A cette évocation, Hélène eut un léger sourire. C’était bien la preuve que ce petit royaume ne connaissait rien à l’art de la guerre. Le château était un leurre. La Horde, Hélène le savait maintenant, n’aimait pas vivre entre quatre murs. On y avait simplement entreposé quelques fines archères, et les ouvrières amazones. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, cette occupation s’était bien passée pour les serfs. Ces derniers avaient initialement craint pour leur vie, mais, tant qu’ils aidaient les Amazones, il ne leur arrivait rien. Les capitaines et les nobles avaient de toute façon été enfermés dans des geôles dans les profondeurs de ce fort en bois.

Le gros de la troupe se trouvait dans la forêt, et les Amazones attaquèrent de nuit, en poussant des cris de guerre. L’attaque commença par une phase d’infiltration. Plusieurs Amazones avaient été capturées, et le Roi avait menacé la Reine de l’époque, qui était déjà Andromaque, de les pendre si la Reine ne se rendait pas. Cette dernière avait requis un temps de réflexion, et le Roi avait accepté. Ce que ce dernier ne pouvait pas savoir, c’est que les Amazones s’étaient laissées capturer, afin d’avoir plus d’hommes pour l’attaque du camp. Une sorte de variante du cheval de Troie. Les Amazones infiltrées libérèrent les prisonniers, et les guidèrent à la tente comprenant les armes et les armures. Ces Amazones entreprirent ensuite d’ouvrir le corps de garde, et les Amazones captives déferlèrent dans une partie du camp, tandis que le gros de la Horde pénétra en hurlant dans le camp.

Le Roi fut capturé, ses vassaux en fuite, et on le mena, enchaîné, devant Andromaque. Sa fille, qu’il avait emmené dans le camp, était avec lui.

« Andromaque m’a dit que ce couard s’était fait dessus, et implorait grâce. Moi, j’étais terrorisée, mais déjà plus brave que lui, d’après ce que les sœurs m’ont dit. C’est lui-même qui a suggéré qu’on prenne ma fille en échange de sa vie. Andromaque a accepté ce marché. Autant vous dire qu’à l’époque, j’étais terrorisée. On racontait tant de choses cruelles sur les Amazones... J’ai eu une enfance difficile, éprouvante, rude... C’est un fait, les Amazones sont dures et sévères. On voulait me faire oublier mes origines nobles, à dormir dans de grands lits à baldaquin, à manger des truites et des plats délicieux, à m’apprendre à vivre à la dure, comme une espèce de vagabonde... »

Hélène ne parlait pas avec rancœur. Elle était reconnaissante envers ses sœurs de l’avoir accepté. Elle haussa les épaules.

« J’ai aussi rencontré la chaleur, l’affection, et un amour commun, simple, décomplexé. Ceci a fait de moi la fière guerrière que je suis, dévouée envers sa famille, comme n’importe quelle Amazone se doit de l’être. »

Son pucelage, elle l’avait perdu dès ses treize ans, et avait connu son premier baiser (féminin) à l’âge de neuf ans. Elle ne se pensait pas attirée par les femmes, mais les Amazones lui avait montré le contraire. Elle y repensait avec un léger sourire sur les lèvres. Elle avait même eu l’occasion de coucher avec Andromaque. C’était l’un de ses meilleurs souvenirs.

« Et vous ? C’est quoi, votre histoire ? Qu’est-ce qui peut amener un Ange dans cette ville maudite et abandonnée ? On m’a dit que vous recherchiez également des artefacts religieux... Quelles sont les croyances d’un Ange ? Ou d’un Nephalem, plutôt ? »
DC d’Alice Korvander.

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 47 jeudi 11 octobre 2012, 14:01:13

Hélène racontait bien, j’écarquillai même les yeux quand je sus que c’était son propre père qui l’avait laissée aux Amazones. Pour le pauvre petit Naphïl que je suis, l’amour paternel est le plus grand des amours. Même si pour moi comme pour elle apparemment, cet amour a été perdu, mais comme l’a si bien dit un vieux sage « c’est ce qui manque qui donne la raison d’être ». Mais Hélène semblait être heureuse d’avoir réussie à être admise au sein de la horde et je pus ainsi plus aisément comprendre à quel point elle était susceptible. Car en plus d’être sans doute une des meilleurs guerrière de la horde, Hélène se maintenait elle-même à un niveau d’exigence tel qu’elle restait certaine d’être dans les bonnes grâces d’Andromaque.

-   Et vous ? C’est quoi, votre histoire ? Qu’est-ce qui peut amener un Ange dans cette ville maudite et abandonnée ? On m’a dit que vous recherchiez également des artefacts religieux... Quelles sont les croyances d’un Ange ? Ou d’un Nephalem, plutôt ?

-   Eh bien moi… comment dire ? je suis le fils d’un ange et d’un simple humain, ou plutôt d’une humaine. Ma mère était affiliée à un culte nécromancien qui vénérait l’ange de la mort comme un second dieu. D’après les descriptions qu’on me fit plus tard, c’était une belle femme. Aussi ce fut lors d’un rituel dans lequel ils invoquèrent mon père, l’incarnation de leur pseudo-dieu, que je fus conçu.

Enfin c’était ce qu’on m’a raconté après coup, je m’étais sûre de rien et cela me semblai un peu emmêler. Je pris une longue inspiration avant de continuer.

-   Après ma naissance, ma mère craignant ne pas être capable d’élever seule son fils né dans le pêché me plaça son la protection d’une déesse bien au-delà des lois divines… Je fus donc recueillis et élever par les prêtresses d’Aphrodite pendant un temps avant de me faire enlever par une bande de marchand d’esclave, j’avais quinze ans.

J’aurais préféré oublié cette période de ma vie, mais c’est ce souvenir qui entretenait le feu de la vengeance en moi…

-   Les marchands m’exploitèrent d’abord comme travailleur dans les champs, mineur dans les mines de fer, maçons… Je changeais assez vite de mains, tombant le plus souvent sur des maîtres cruels et tous plus sadique les uns que les autres. Puis un jour, je parvins à m’évader de justesse… J’avais dix-sept ans.

Dis-je un sourire aux lèvres en repensant que nous étions plus d’une centaine à s’être révolté et qu’au final je n’étais probablement que le seul survivant. Comme pour appuyer mes propos, je rabattais une mèche de cheveux, laissant à l’air libre la cicatrice qui me barrait tout le côté gauche du visage. Je soupirais avant de continuer…

-   Je me suis enfui dans le seul endroit où je ne risquais rien, la Terre. J’y restais un an dans une sorte d’école qu’ils appellent Lycée et dans ce refuge, je me mis à élaborer une vengeance. Mon but ? Massacrer les esclavagistes. Tous, je les tuerais lentement, me repaissant de leurs agonie… ce seras sublime.

Lâchais-je une pointe de folie dans la voix, mais je me repris bien vite pour dire :

-   Aussi une telle opération demande de l’argent, je ne pourrais pas faire ça tous seul, étant donné que les plus riches esclavagistes ont leurs propres milices privés il me faudra au plus une armée, au moins une bande de mercenaires à mes ordres…

Je fermai les yeux et les rouvris.

-   Nous étions quatre à chercher cette statuette, un sage Terranide nous a offert de l’or si nous lui ramenions cette effigie. Je ne fais pas cela pour un but religieux…
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Les Amazones

Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 48 vendredi 12 octobre 2012, 11:24:32

Ce fut au tour d’Edean de parler et de raconter sa vie. Hélène l’écouta silencieusement, sans dire un mot. Sa mère avait invoqué son père, et il s’était retrouvé esclave. Elle fut assez surprise de l’entendre dire qu’il avait servi de garçon de ferme, ou de mineur. Un Nephalem avait une valeur précieuse sur els marchés esclavagistes... Il avait du tomber sur des idiots, des individus qui n’avaient pas su voir sa vraie valeur... C’était toujours possible sur Terra, on rencontrait de tout. Elle fronça légèrement les sourcils en voyant sa cicatrice, et ne dit mot devant son projet, complètement insensé, de tuer tous les esclavagistes. C’était un peu comme vouloir détruire les puissants États terrans. Tekhos, Ashnard, Nexus, étaient tous des États esclavagistes, et la Horde aussi, dans une certaine mesure. Après tout, quand les Amazones prenaient des femmes, elles ne demandaient pas leur avis, et les enlevaient, s’en servant pour se reproduire. C’était une forme d’esclavage, mais qui, dans l’écrasante majorité des cas, conduisait les captives à apprécier leur situation. Il était très rare qu’une femme désire d’elle-même quitter la Horde, même si des scénarios de ce genre se produisaient parfois.

Son objectif était de fonder une milice pour lutter contre les esclavagistes. Hélène ne dit toujours rien, se faisant à l’idée que cet homme était une espèce de doux rêveur. Il était venu à Micahualca pour trouver des artefacts, afin de les vendre à un riche collectionneur, espérant y trouver de quoi financer sa guerre personnelle.

« Je vois... » finit par lâcher Hélène.

Que dire d’autre ? Cet homme était engagé dans une cause perdue, mais elle ne tenait pas à le déprimer Edean était fort, certes, mais Hélène savait très bien qu’on ne luttait pas contre le système avec ses poings. Il fallait que les mentalités évoluent pour qu’un phénomène aussi développé que l’esclavage disparaisse. Et, vu l’état actuel des sociétés, l’esclavage était communément admis pour la majorité des individus. Il faudrait des siècles pour que les choses évoluent... Mais, après tout, ça lui donnait une raison de vivre. Hélène, elle, avait choisi de couper tout lien avec son passé. Si on l’appelait Amazone princière, c’était plus pour l’amusement qu’autre chose. Hélène n’était jamais retournée dans son royaume natal. Elle était une Amazone, maintenant.

Elle ferma à nouveau les yeux, et se releva, s’étirant un peu. Son dos craqua délicieusement, et elle regarda autour d’elle. Les Amazones n’étaient pas encore revenues, et elle s’avança vers une fissure dans le toit, regardant à l’intérieur de la grande pièce de la bibliothèque. Personne, fort heureusement. Elle regarda brièvement le quartier autour d’elle, s’attardant sur la contemplation de la pyramide du quartier, puis sur les rayons de soleil. Hélène se retourna ensuite, et décida de dévoiler plusieurs choses au Nephalem.

« Chez les Amazones, il existe une tradition, qui veut que celui qui sauve une Amazone dispose d’une créance sur elle. »

C’était la dette de vie d’une Amazone. Hélène se rapprocha du Nephalem, et croisa les bras au-dessus de sa poitrine. Elle savait que l’homme avait couché avec Cymé, et qu’il avait lorgné sur elle. Elle était Amazone, mais aussi une femme, et posa sa jambe entre celles du Nephalem, près de son bassin. Il était toujours assis, et elle debout, le soleil l’éclairant dans le dos. L’Amazone sourit légèrement, et avança très lentement le bout de sa botte, la faisant glisser sur son bassin.

« Nous avons bien une ou deux heures avant que mes sœurs ne reviennent... Avez-vous une idée pour me permettre d’honorer ma dette ? »
DC d’Alice Korvander.

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 49 vendredi 12 octobre 2012, 15:13:00


-   Je vois…

Elle ne me comprenait pas, tant pis. C’était pourtant pas si compliquer, toutes les révolutions se sont fait par des massacres, toutes. Je savais bien que je ne verrais pas la fin de ma quête, mais comme un sage l’a un jour si bien dit « Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui commence à enlever les petites pierres ». J’avais perdu l’espoir d’être compris, mais ma vengeance pourrait bien déboucher sur la formation d’un nouveau monde… mon rêve était bien utopique, mais la volonté d’un seul homme peut suffire à édifier un empire. Enfin je ne devais pas me perdre moi-même et rester dans l’instant présent.

L’Amazone s’étira, se releva et alla patrouiller vers une sorte de brèche qui menait certainement à la pièce centrale de la bibliothèque, Hélène y jeta un rapide coup d’œil puis se mit à sonder les alentours. J’allai la suivre dans sa ronde quand je la vis revenir vers moi, une lueur nouvelle dans ses yeux d’ambre.

-   Chez les Amazones, il existe une tradition, qui veut que celui qui sauve une Amazone dispose d’une créance sur elle.

Je voulais bien la croire, ainsi ce serait pour cela qu’elle se mortifiait elle-même depuis tout à l’heure. A ma grande stupéfaction, je vis Hélène frotter son pied contre mon entrejambe, provoquant une érection qui vint gonfler dans mes jambières de cuirs. Ces farouches guerrières nomades sont bien complexe je trouve, me dis-je alors qu’Hélène poussait son pied un peu plus loin sur mon bassin, il n’y a pas cinq minutes qu’elle menaçait de me décapiter et maintenant elle m’enflammait, et c’est moi qui suis fou…

-   Nous avons bien une ou deux heures avant que mes sœurs ne reviennent... Avez-vous une idée pour me permettre d’honorer ma dette ?

Je ne savais pas trop quoi dire… J’avais envie d’elle et ça se voyait aisément, mais d’un autre côté je me demandais si vraiment je la méritais. Je pris entre mes doigts une belle boucle blonde qui dégringolait entre les seins de l’Amazone tandis que de mon autre main je me mis à caresser sa cuisse musclée et magnifiquement bronzé…

-   Je crois que tu as trouvé le moyen de te défaire de ta dette, j’ai rêvé de cet instant depuis que je t’ai vue, néanmoins je ne saurais te forcer dans une relation que tu ne désire pas.
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Les Amazones

Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 50 dimanche 14 octobre 2012, 18:57:22

Sa proposition, naturellement, ne laissa pas le Nephalem insensible. Homme, nain, vampire, démon, ou même Ange, un mâle restait, après tout, un mâle. Hélène eut un léger sourire en sentant son sexe se durcir sous sa pointe. Il était rapidement excité... C’était le signe qu’il avait déjà eu sur Hélène des pensées peu avouables. Rien de bien surprenant, les Amazones étaient déjà au courant de l’effet qu’elles produisaient sur les hommes. Il se redressa rapidement, et l’Amazone ressentit un léger frisson de plaisir. C’était un Nephalem, après tout, un individu qui tenait plus de l’Ange que de l’humain. Il se rapprocha d’elle, et elle le sentit poser ses mains sur son corps. Elle tendit également les siennes, ses mains dénudées aux doigts se posant sur les épaules de l’homme. Il caressa avec un doigt l’un des longs cheveux de l’Amazone princière, et glissa l’autre sur ses cuisses, la faisant soupirer de plaisir et d’impatience.

« Je crois que tu as trouvé le moyen de te défaire de ta dette, j’ai rêvé de cet instant depuis que je t’ai vue, néanmoins je ne saurais te forcer dans une relation que tu ne désire pas. »

L’intéressée sourit légèrement, et se blottit contre l’homme, enroulant désormais ses bras autour de son cou, une position que les hommes, d’après son expérience, appréciaient. Ses seins allèrent se poser contre le torse du Nephalem, et elle coupa court à ses interrogations en l’embrassant. Hélène avait un baiser franc, intense, et remonta sa main, caressant les cheveux de l’homme. Elle rompit alors le baiser, après plusieurs secondes, et passa sa langue sur ses lèvres. Il avait bon goût. Hélène comprenait mieux pourquoi Cymé avait craqué sur lui, et lui avait l’amour à l’arrière de son atelier. Elle avait du adorer l’embrasser... L’Amazone, en tout cas, se régalait déjà de cet avant-goût.

« On ne force jamais une Amazone, Nephalem, répliqua-t-elle sur un ton calme et doux. Sache-le bien. »

Elle l’embrassa à nouveau, se collant contre lui, et tendit ensuite une main sur son torse, tirant lentement dessus, caressant sa tunique.

« Est-ce que tu aimes ? Me sentir contre toi, le goût de mes lèvres, la pression de mes seins ? Tu apprécies ça, beau Nephalem ? »

Oui, il devait forcément apprécier ça... Comment aurait-il pu en être autrement ?
DC d’Alice Korvander.

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 51 lundi 15 octobre 2012, 22:20:58

Hélène sourit, se colla à moi, elle enroula ses bras autour de mes épaules et m’embrassa. C’était une réponse qui me suffisait bien plus que des mots. Ma langue vint se faufiler dans la bouche de l’amazone, s’enroulant et se déroulant autour de la sienne. Tandis-que le baiser se poursuivait passionnément, Hélène passa une main dans mes cheveux argentés faisant parcourir sur tout mon corps un frisson d’envie impatiente. Ma main sur la cuisse de l’amazone se mit à explorer plus haut, remontant sur ses douces fesses pratiquement à l’air libre. Hélène rompit le baiser en un « smack » sonore et en se pourléchant les babines elle me dit qu’une Amazone ne se laissait jamais faire puis m’embrassa de nouveau avec fougue collant un peu plus son corps au mien. Elle fit passer une main sur mon torse, caressant ma tunique de cuir avec passion.

-   Est-ce que tu aimes ? Me sentir contre toi, le goût de mes lèvres, la pression de mes seins ? Tu apprécies ça, beau Nephalem ?
-   Oui, j’aime ça…


Dis-je d’un ton plein d’ardeur, alors que ma main entre ses seins vint caresser le dos d’Hélène, la pressant encore d’avantage contre moi.

-   Fait moi l’amour… comme la tigresse que tu es…

Je fis glisser doucement sa culotte et ma main dans le dos de l’amazone fit glisser la pointe de mes doigts fins le long de sa colonne vertébrale et alla descendre sa magnifique chute de reins avant de malaxer copieusement le postérieur d’Hélène. Je soupirai d’envie en me penchant quelque peu afin d’embrasser la peau douce de la guerrière, je nichais ma tête au creux de son cou et baisais sa peau avec enivrement.
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Les Amazones

Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 52 mercredi 17 octobre 2012, 11:22:02

« Fait moi l’amour… comme la tigresse que tu es… »

Il savait parler aux Amazones, et Hélène eut un léger sourire amusé, en sentant les mains du Nephalem se faire un peu plus baladeuses. Elle comprenait mieux pourquoi Cymé avait si facilement cédé aux charmes et aux promesses de cet homme. Il était beau, mais également assez pervers. Un mâle bien comme il fallait. Hélène n’en demandait pas plus, et frémit en le sentant tirer un peu sur sa lourde culotte. Hélène était en effet très légèrement vêtue, ses vêtements faisant aussi office de sous-vêtements, mais c’était un style commun aux Amazones. La Horde privilégiait de porter des armures très légères, afin de pouvoir plus facilement se déplacer, mais aussi porter des armes lourdes et tranchantes. Au sein des guerrières, Hélène faisait partie de l’école des offensives, celles qui préféraient miser sur l’attaque. Acté, par exemple, fonctionnait sur un mode différent, privilégiant la défense. Hélène y songeait en sentant l’homme tirer sur sa culotte, et elle frémit en le sentant l’embrasser dans le cou.

L’Amazone princière agit alors. Elle tira sur les vêtements de l’homme, lui ôtant sa chemise rapidement, manquant arracher les boutons, et caressa avec ses ongles son torse, avant de toucher ses longues ailes, et de l’embrasser rageusement. Une main ferme se plaqua contre sa nuque et ses cheveux, et elle l’embrassa avec ardeur, enfonçant sa langue dans sa bouche, en prédatrice, remuant la bouche en mordillant délicatement ses lèvres. C’était un baiser assez sauvage, où elle se plaquait contre son corps, gémissant et soupirant. Hélène finit par rompre le baiser, un sourire provoquant sur les lèvres.

« Une tigresse, hum ? Alors, tu dois commencer par savoir qu’on ne demande pas à une tigresse de faire l’amour... »

Elle parlait sur un ton calme, cajoleur, trompeur, en promenant doucement ses mains sur le torse du Nephalem... Et, sans prévenir, le poussa. Il tomba sur le toit, allongé sur le dos, et Hélène bondit à califourchon sur lui, poussant un soupir de plaisir. Elle attrapa l’une des mains d’Edean, et mordilla son doigt. Un savoureux mélange entre douleur et plaisir. Bien des Amazones étaient portées sur le sadomasochisme, et Hélène, manifestement, semblait avoir un certain penchant là-dedans. Elle lui fit un nouveau sourire, en remuant son bassin sur son estomac, et se retourna alors, se couchant à moitié sur le corps de l’homme, ses fesses se rapprochant du visage du Nephalem, et elle caressa, à travers le pantalon de l’homme, sa virilité.

« ...On demande à ce qu’elle nous baise » enchaîna-t-elle alors.

Hélène n’avait pas le même style que Cymé. Elle était plus sauvage, plus dominante, à la manière des guerrières de la Horde. Des femmes fortes et dominantes, le fantasme de n’importe quel mâle.
DC d’Alice Korvander.

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 53 mercredi 17 octobre 2012, 14:50:18

Elle avait vraiment un baiser ardent, faisant joyeusement danser nos deux langues en une valse des plus fougueuses, elle m’avait arraché mon plastron. Manquant de le déchirer au passage, elle me caressa fiévreusement le torse, les ailes, me pressa la nuque pour pouvoir dévorer un peu plus mes lèvres. J’aimais ça, oh que je la désirais la belle Hélène, aussi sauvage en amour qu’au combat. Tout en m’embrassant la guerrière se collait à moi, je pouvais sentir ses seins fermes contre mon torse nu. Je l’entourais de mes bras, croisant les mains entre les omoplates de l’amazone princière. J’aurais bien pu l’embrasser comme cela encore et toujours plus, mais ce fus Hélène qui rompit le baiser la première et pris un magnifique sourire en me poussant contre le dôme, contre lequel je m’étalai.

Hélène soupira de plaisir en sautant sur moi les jambes m’enserrant l’abdomen, puis elle me prit la main et mordit mon majeur, je poussai un petit glapissement entre douleur et plaisir intense. Elle frotta un peu son bassin contre moi avec quelque soupir bien sentis qui firent croitre mon érection déjà bien tendue. Hélène pivota sur moi et fit promener ses doigts puissants sur mon membre dressé à travers le tissu de mes jambières.

-   ...On demande à ce qu’elle nous baise…
-   Baise-moi Hélène !

Criai-je le nez entre les fesses de l’amazone, ça y est j’étais fous de désir, plein d’une passion ardente je me saisis de son postérieur bien rond et déposai un baiser sur ses lèvres intimes, faufilant ma langue dans ce vagin chaud et humide. Venant recueillir le nectar de la femme à sa source je me mis à butiner la petite fleur du clitoris donnant des coups de langue de plus en plus intenses sur toute la vulve.

-   Baise-moi ! Baise-moi !

Je ne savais plus ce que je disais tellement j’étais obnubilé par la jeune femme allongée sur moi…
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Les Amazones

Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 54 mercredi 17 octobre 2012, 15:26:05

La belle culotte noire d’Hélène ne protégeait plus grand-chose, et, d’une main rapide, l’Amazone défit la ceinture qui la retenait, la faisant tomber sur le cou du Nephalem, où elle rejoignit ensuite le toit. Depuis cette position, elle pouvait voir une confortable bosse, et pressentait, sous le pantalon de l’homme, que son membre devait se sentir impatient, et poussait pour sortir. L’image la fit légèrement sourire, et elle tendit ses mains vers les lacets nouant le pantalon de l’homme, afin de le déshabiller, tout en le sentant trembler de plaisir, se mettant à pousser des hurlements.

« Baise-moi ! Baise-moi ! »

Ce n’était pas spécialement discret, mais ça avait le mérite d’être très explicite. Edean avait succombé. Les Amazones, soit vous tuaient, soit vous rendaient fou. C’était généralement ainsi qu’on parlait d’elles, mais cette blague n’était pas si éloignée que ça de la vérité. Une rencontre avec une Amazone était généralement inoubliable. Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait avoir l’occasion de croiser une représentante de la Horde, et ces femmes étaient tellement particulières, tellement atypiques, qu’elles ne pouvaient que marquer les esprits et les légendes.

Avec un sourire, Hélène défit donc les lacets, et tira sur le pantalon, jusqu’à voir le sous-vêtement du Nephalem. Elle était rapide, forte dominante, tout en sentant le plaisir monter. Il avait posé ses mains sur ses fesses, s’en servant comme appui, les pressant de la plus délectable des manières, tout en enfonçant sa langue entre ses cuisses. Elle se mit à soupirer, lentement, puis pressa entre ses doigts le sexe de l’homme, le masturbant lentement. Il avait une belle queue.

*Petite garce de Cymé, tu as du bien te faire plaisir...* songea Hélène, avec un léger sourire.

L’Amazone princière se pencha vers le membre de l’homme, et commença à le prendre en bouche, le suçant goulûment. Les Amazones avaient des mœurs sexuelles très libérales, comme Edean avait déjà du le remarquer. Quand on s’habillait de manière aussi légère, et qu’on vivait dans une communauté aussi serrée, il fallait bien s’attendre à ce que les liens se tissent très facilement. Elle entreprit de faire une fellation, fermant lentement les yeux. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas goûté à la queue d’un homme, et le contact était d’autant plus agréable que ce membre appartenait à un quasi-Ange. Elle y goûtait avec plaisir, glissant l’une de ses mains pour caresser et jouer avec ses testicules, gémissant et soupirant, en sentant sa queue se contorsionner dans sa bouche. Amazone après tout, elle glissa ses dents sur son membre , le mordillant très légèrement, voulant le sentir se tortiller sur elle.
DC d’Alice Korvander.

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 55 mercredi 17 octobre 2012, 17:44:01

Alors que je léchai la vulve d’Hélène, recueillant la douce cyprine qui coulait délicatement entre ses cuisses, je la sentis libérer mon pénis déjà tout dur et ramener ses doigts dessus le masturbant sauvagement avant de le prendre en bouche. Une de mes mains alla caresser la tête blonde de l’amazone tout en appuyant légèrement ses mouvements de sucions. Tandis qu’elle suçait mon sexe tendu avec force, elle se mit également à tripoter mes testicules. Hélène se mit à gémir en me prenant toujours plus profondément jusqu’à glisser toute ma hampe dans sa gorge.

C’était bon… Puis elle relâcha un peu la prise et j’écarquillai les yeux, je sentais les dents tranchantes d’Hélène sur mon gland, elle me mordillait le petit bout. D’abord je me mis à gigoter un peu, ayant du mal à supporter se traitement mon membre se contracta. Je serrais les dents, la fellation était si bonne, les soupirs d’Hélène si quémandeur… L’amazone se mit à sucer de plus belle mon sexe tout contrit, apparemment elle aimait ça me sucer…

Mon autre main se mit alors à glisser à contresens de la magnifique chute de rein de la guerrière et frottant son dos comme je l’avais fait plus tôt dans la nécropole, je sentis un immense bonheur m’’envahir, elle s’occupait si bien de mon sexe… Je voulais lui faire sinon plus du moins autant plaisir qu’elle ne m’en avait donné. Entrouvrant la bouche je glissais ma petite langue entre les fesses d’Hélène léchant le pourtour de son anus…
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Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 56 jeudi 18 octobre 2012, 16:42:44

Une fellation était un acte sexuel qu’Hélène appréciait. Il donnait a priori l’impression que la femme se trouvant devant la queue de l’homme était la soumise, mais une Amazone savait pleinement que c’était un contrôle théorique. Quand un homme tentait de violer une Amazone, cette dernière priait pour avoir droit à devoir avoir sa queue entre les lèvres. Les Amazones savaient qu’elles étaient belles, attirantes, et elles savaient que les hommes qu’elles côtoyaient avaient bien du mal à contrôler leurs pulsions. En cas de viol, les aînées enseignaient aux plus jeunes de ne pas céder à la panique, et d’attendre que le mâle tente une fellation. Hélène mordait ce sexe, mais elle aurait pu mordre bien plus fort, mordre au point d’arracher la peau, et même de découper cette queue. Elle avait appris à faire ça devant des mannequins, en mastiquant des sexes artificiels, et en devant mordre, mordre jusqu’à trancher. Le sexe n’était pas tabou chez ces femmes fortes, et on les entraînait aussi bien à se battre qu’à savoir faire l’amour. Le sexe n’était qu’une autre forme de bataille, un duel entre deux corps, un duel épuisant où l’objectif n’était pas de blesser son adversaire, mais de lui procurer du plaisir. Hélène envisageait ainsi un rapport sexuel, et le prouvait en faisant une fellation aussi douce que sauvage.

Le Nephalem, naturellement, n’y était pas insensible. C’était autre chose que coucher avec Cymé, qui était une Amazone plutôt douce. Elle le sentait s’exciter sur elle, glisser ses mains le long de son corps, et le sentit lécher son anus, ses belles fesses. Elle poussa un léger gémissement, et se concentra ensuite sur ce morceau de chair. Elle l’avait bien en bouche, et respirait par le nez, de manière à ne pas rompre le rythme. Ce faisant, Hélène passait lentement aux choses sérieuses, enfonçant le membre en elle, avançant la tête de bas en haut. Elle aspirait parfois sa salive pendant plusieurs secondes, sentant le sexe de l’homme se contorsionner entre ses joues. Elle évitait d’utiliser les mains, ayant appris sur les mannequins à ne pas s’en servir, afin de les utiliser pour d’autres fonctions. Griffer les fesses de l’homme, par exemple, ou broyer ses testicules... Quand on n’avait pas les mains liées, mais le sexe rendait les hommes complètement stupides. La perspective d’un viol les rendait bien moins prudents, car ils étaient pris par leurs fantasmes, et convaincus de dominer la femme sans difficulté. Quiconque connaissait un peu une Amazone savait qu’il ne fallait la violer qu’en l’ayant solidement attachée.

Elle suçait cette queue avec talent et passion, multipliant les gorges profondes, faisant glisser ses dents. C’était agréable, délicieux, et elle se plaisait beaucoup à le faire, à continuer à jouer avec lui. Elle gémissait toujours, le sentant de plus en plus excité. Son membre était de plus en plus dur, et elle glissait la langue le long des veines qui le jugulaient, pouvant presque les sentir. De petits serpents qu’elle imaginait bleuâtres. Son membre était perdu entre ses lèvres, et c’était elle qui donnait le tempo. Elle l’excitait, afin qu’il sorte de ses gonds, faisant durer la fellation. Elle remuait parfois rapidement sa tête, mais, de temps en temps, elle s’arrêtait presque, afin de le sentir frustré, de l’exciter un peu plus, avant de poursuivre. Elle jouait avec lui, le titillant, voulant qu’il lui fasse un bel orgasme, qu’elle sente sa gorge se remplir de sperme. Une gorge profonde n’était pas très difficile pour elle. On l’avait entraîné à faire des fellations, toujours auprès de ce mannequin, en attachant sa tête avec un collier, et en la forçant à enfoncer ce membre factice contre sa lèvre, afin d’en apprécier le contact.

C’était très bon.
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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 57 jeudi 18 octobre 2012, 18:17:07

Hélène se complaisait dans sa fellation, imposant un rythme effréné à mon membre tendu tel une lance de chair. J’avais cessé mes coups de langue en entre ses fesses et rejetais la tête en arrière, le bassin de l’amazone mouvait sous mes yeux en cadence avec ses succulents mouvement de sucions. La belle Hélène avait mon sexe bien en bouche, elle le faisait descendre dans sa gorge et ses mouvement de va et vient se firent plus rapides, encore plus intenses, presque brutaux… Je sentis ses doigts puissants me griffer la peau fine de mon fessier, et curieusement, se mélange bien dosé entre douleur, passion et amour fous, me donna un orgasme. Mon membre tendu et tout exciter était prêt à éjaculer dans la bouche chaude et humide de l’amazone qui faisant fi de mon état d’excitation continuait sa délicieuse fellation. Puis soudain le temps d’une seconde une lumière blanche me voilà la vue et pendant ce court instant d’absence j’ouvrai la bouche et mon sperme gicla furieusement dans la bouche de l’amazone et l’emplit en plusieurs violentes décharges.

Je clignai des yeux tentant de récupérer un peu mes esprits, mon membre continua de sursauter dans la douce cavité buccale d’Hélène, continuant d’y déverser le reste de mon liquide séminal, mais le gros était passé.

-   C’était… Indescriptible… ne t’arrête pas… je t’en prie, baise-moi encore…

J’en demandais plus, elle devait le savoir, mais elle avait un corps envoûtant et je la désirais toute entière. Mes mains se baladèrent sur ce corps objet de mes convoitises, allèrent défaire le lourd soutien-gorge d’Hélène laissant ses seins fermes et bien gonflés à l’air libre et je pus y promener mes doigts fins tremblotant sous le coup du désir intense qui me rongeais. L’amazone princière savait comment faire plaisir aux hommes et j’en profitai, je lui avais sauvé la vie après tout, ce ne pouvais s’effacer en une éjaculation…
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Légion

Re : Ruines [Edean]

Réponse 58 vendredi 19 octobre 2012, 15:11:14

Elle le sentit jouir, succombant au traitement de la belle Amazone. Difficile de résister à Hélène, de la repousser, ou de ne pas céder à ses talents. Elle sentait le membre du Nephalem se tendre lentement, et il finit par éjaculer... Et, comme elle le souhaitait, il éjacula en elle. Elle sursauta lentement en sentant le sperme se perdre dans sa bouche, éclabousser sa gorge, et le suça lentement, avalant ce dernier, avant de glisser sa langue sur son sexe. Après son érection, son membre diminua de volume. C’était un sexe de mâle, après tout ; il n’était pas comme les verges dont on greffait les Amazones guerrières avec des plantes. Quoiqu’il en soit, elle apprécia beaucoup ce contact, et se redressa lentement, sentant Edean la déshabiller pour de bon. Son soutien-gorge énorme tomba à côté d’elle, et elle était désormais entièrement nue, à l’exception de ses bottes. Elle entreprit également de les ôter, les retirant afin de ne pas être gênée. Le sol était froid, mais il en fallait plus pour la réfréner.

Le Nephalem lui avait demandé de continuer, et elle eut un sourire, avant de se retourner. Elle s’était remise debout pour ôter ses bottes, et vit le sexe de l’homme. Il allait falloir le durcir, et c’est ce qu’elle entreprit de faire en continuant à déshabiller le quasi-Ange, ses mains se baladant sur le reste de son corps pour qu’il soit également nu. Elle put alors observer la beauté de son corps, et en eut un léger frisson de plaisir. Cymé avait su saisir l’occasion. La métallurgiste était douée pour flairer les occasions. Hélène resta ensuite au-dessus du Nephalem, ses jambes de part et d’autre de son corps. Elle savait qu’il voulait qu’elle continue à s’occuper de son corps, mais elle-même avait des besoins à satisfaire, et, tout en se tenant de bout, elle alla glisser deux de ses doigts dans son intimité, les remuant lentement à l’intérieur, glissant un doigt après l’autre, sentant sa mouille dégouliner de ces derniers pour tomber le long de sa peau, glissant sur ses jambes.

« Rassure-toi, je vais m’occuper de toi, brave Nephalem... Mais je veux sentir ta langue sur moi. »

Elle l’invitait tout simplement à se redresser pour s’occuper de son corps. Être nue sur un toit ne dérangeait nullement Hélène. Les Amazones avaient des mœurs sexuelles extrêmement libres, et avaient coutume de faire l’amour en public. Chaque soir, les Amazones dormaient en commun, et, sous les lourdes couvertures qu’on utilisait pour dormir, il arrivait fréquemment que deux Amazones s’éteignent mutuellement. L’exhibitionnisme était difficile à concevoir pour une Amazone, et Hélène le pouvait en faisant l’amour sans gêne sur un toit où n’importe qui pouvait le voir. Elle aurait aussi bien pu le faire au cœur de Nexus que dans cette ville abandonnée.
DC d’Alice Korvander.

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Edean

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Re : Ruines [Edean]

Réponse 59 vendredi 19 octobre 2012, 22:23:54

Après mon orgasme, Hélène aspira mon sperme chaud et lécha une dernière fois mon sexe pas si mou que ça trouvait-je. bien-sûr après avoir tant éjaculé, j’aurais bien besoin d’une nouvelle petite stimulation avant de repartir sur les chapeaux de roues, mais ce n’étais pas l’envi qui m’en manquais. J’aurais bien pu rester là à subir sa fellation ardente, mais elle en décida autrement et alors que je délaçais soutien-gorge, Hélène se redressait sur moi ramenant son bassin au niveau de mon ventre faisant glisser son intimité sur mon torse. Je cru qu’elle allait enfoncer mon sexe dans le sien malgré tout, je m’attendais donc aucunement que la belle blonde se lève pour défaire ses bottes. Puis, Hélène entreprit de m’enlever mes derniers vêtements, j’appréciais les contacts de ces doigts musclés sur tout mon corps, je prenais gout aux caresses emportées de l’amazone. Puis lorsque je fus nu, Hélène se replaça au-dessus de moi les jambes de part et d’autre de mon visage, elle enfonça deux de ses doigts dans son vagin faisant dégouliner la cyprine le long de ses cuisses superbement galbé.

-   Rassure-toi, je vais m’occuper de toi, brave Nephalem... Mais je veux sentir ta langue sur moi.
-   Avec plaisir ma belle, mais je vais avoir du mal si tu restes debout.

Dis-je en avalant les gouttes de cyprine qui coulaient jusqu’à mon visage. Je posai une main sur le bas-ventre de l’amazone et la poussait légèrement afin qu’elle recule de quelque pas… avant de s’étaler sur le dôme en parabole. En moins d’une seconde je fus debout et, écartant les jambes de l’amazone, je me jetais littéralement sur le sexe d’Hélène.

Je déposai quelques baisers enflammés sur ses lèvres intimes irrigué par l’épais liquide de la femme. Mes deux mains sur les cuisses musclées de l’amazone, j’enfonçais ma petite langue entre ses parois vaginales chaudes et humides. Je remuai mon appendice lingual, décrivant des petites spirales aux endroits les plus sensibles. Je remuai ma bouche, faisant glisser mes lèvres sur la petite vulve d’Hélène…
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