« Communier avec la nature »... Oui, l’expression n’était pas mauvaise, et fit sourire Ivy, alors qu’elle enfonça son membre végétal en elle. Ce pénis était un subtil mélange entre des composantes très humaines, comme des veines, de la peau, et des composantes végétales, comme une texture évoquant celle des feuilles. Ce tentacule sortait de l’intimité d’Ivy, ce qui était assez étonnant, mais pas spécialement douloureux, du moins pour elle, contrairement à ce qu’on pouvait peut-être penser. Attrapant avec ses mains le bassin de Warda, elle se glissa en elle, enfonçant son membre.
Le tentacule se faufila sans problème, dans la mesure où l’intimité de la belle soldate était déjà trempée, facilitant dès lors les glissements. Le pénis végétal étant une excroissance du corps d’Ivy, cette dernière ressentit le désir exploser en elle, et des tentacules vinrent également satisfaire la femme-plante. Un tentacule s’enroula ainsi tendrement autour de son cou, sans chercher à l’étrangler, et descendit le long de son dos, caressant sa sensible peau, pour se glisser entre ses fesses. Le tentacule avait l’épaisseur d’un doigt, et se glissa dans l’anus de Poison Ivy, qui en soupira longuement. Les mains de la femme allèrent, quant à elles, se poser sur le cul de Warda, palpant ses fesses, les écartant en tirant dessus, enfonçant ses doigts.
« Tu le sens, Warda... La Nature ne se fatigue pas, ne s’épuise pas, ne connaît pas la panne... Elle est intransigeante, inépuisable, et elle te comblera jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, et elle se nourrira de ton jus intime, de ton plaisir, de ton désir ! Voilà ce qu’est l’osmose entre l’Homme et la Nature, ma belle ! »
Par rapport à des partenaires masculins, Warda allait sentir les différences. La verge dans sa bouche, même quand elle cracherait son sperme, à savoir une espèce de jus qui était tout simplement délicieux, ne dégrossirait pas. Un arbre n’avait pas besoin de dormir, de se reposer ; il était constamment dans un état de semi-veille, et ne dormait que pendant l’hiver. Ivy commença à donner de solides coups de reins contre le corps de Warda. C’était une soldate ; il fallait donc y aller franco. Des tentacules supplémentaires s’enroulaient autour des jambes de la femme, la serrant. Quand on faisait l’amour avec des tentacules, il fallait aimer la pratique du bandage.
Sentant le désir de la Maîtresse des lieux grimper, l’arbre fit pointer d’autres tentacules, plus fins, qui se mirent à tendrement fouetter le dos d’Ivy et ses fesses, faisant hurler cette dernière. Un autre tentacule alla s’enrouler entre les deux bassins des femmes, afin de s’assurer que le pénis végétal d’Ivy s’enfonce aussi loin que possible. Le pénis dans la bouche de Warda jouit alors, crachant son sperme, qui n’avait pas le goût visqueux d’un sperme d’humain. Il jouit assez longuement, pendant de longues secondes, et se retira, pour caresser ensuite le visage de Warda, répandant sur ses joues sa propre salive, qu’Ivy lécha ensuite avec sa langue, avant de l’embrasser ensuite.
« Comment te sens-tu, ma belle ? lui lança alors Ivy. Hum... Aaaaah ! soupira-t-elle en enfonçant son sensible pénis verdâtre. Comment trouves-tu ma récompense ? C’est le pied, non ?! »