Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

dimanche 29 avril 2012, 22:03:06

On m'a cambriolée.
Malheur!
Comment ça peut arriver à quelqu’un qui n'a quasiment rien?
En fait, c'est pas très compliqué, c'est pas moi,qu'on à cambriolé, c'est mamie...
Mamie est le nom que j'ai donné à la vielle femme qui m'héberge, parce qu'elle est très vielle, pas parce que c'est ma mamie.
Non,je n'ai pas de grand mère...enfin bref, passons, nous en étions ou déjà?
Ah, Oui! Le cambriolage.
Il devais être 1h00 , plus ou moins l'heure à laquelle je rentre du boulot. Un travail de serveuse que je fais dans un petit bar, après le Lycée.
Je le fais pour rapporter de l'argent à Mamie, elle est gentille, elle m'héberge, et puisqu'elle souffre financièrement, j'essaye de l'aider comme je peut.
Enfin bon,j'étais rentrée du boulot, j'avais glissé ma clef dans la porte d'entrée, j'avais monté quatre à quatre les marches jusqu'au 4 éme étage.
J'étais entrée dans l'appartement sombre, et comme d'hab,j'avais laissé la porte contre.
Je le fais toujours, parce qu'ici, nous avons 5 chats, et qu'ils aiment se promener dans l'immeuble la nuit.
Je n'avais pas allumé la lumière, pour ne pas réveiller ma bienfaitrice qui dors dans le salon.
Il faisait très sombre, mais je connais l'appartement par cœur, impossible donc que je trébuche sur quelque chose, si ce n'est un chat.
Crevée, je m'étirais , me dirigeant directement vers ma petite chambre et là....je trébuchai.
Ne rigolez pas, si je me suis vantée de connaitre cet endroit par cœur, c'est parce que je ne savais pas que des inconnus s'y étaient introduits juste avant que je rentre.
Je ne sais pas pourquoi ils ont fait ça. On est juste au dessus du seuil de la pauvreté. C'est vrais quoi, on à rien de précieux à la maison... enfin c'est ce que je croyais.
Bref, un des hommes m'a fait tomber, j'ai été assommée.
Heureusement j'ai mes bases en magie réparatrice, et je sais m’empêcher de tomber dans l'inconscience.
Ils m'ont ligotée avec de simples corde qui m'ont brulé les bras. Puis aussi silencieux  que des chats, ils avaient filé dans la chambre de Mamie. Je n'y suis jamais entrée, elle ne me l'a pas interdit,mais elle ne m'y a pas autorisé, je n'ai jamais osé entrer dans son sanctuaire, parce qu'elle n'y vas pas, elle non plus,elle m'a expliqué que ça lui rappelait son mari décédé.
Faisant toujours semblant d'être dans les vapes, je les ai vu revenir quelques minutes plus tard avec un sac, qui tintait. Comme s'il était remplis de bijoux.
Pas la peine de me leurrer.
Je me doutait bien depuis le début qu'elle cachait quelque chose dans cette pièce hermétiquement fermée.
Mais je m'était dite qu'avec ses problèmes d'argents, ce n'était surement pas quelque chose comme des bijoux ou quoi que ce soit de précieux.
Encore une fois je m'étais trompée. Et je m'en voulais.
A mort.
Si je l'avais su, si j'avais été voir, comme ma malsaine curiosité que je m'évertuais à combattre me l'avait dit, j'aurai vu ces bijoux, et j'aurais pris gardes à d'éventuels voleurs.
Je serais surement devenue parano, mais comme on dit, prudence est mère sureté.
Enfin bon, ils étaient partis comme ils étaient arrivés... par la porte d'entrée.
Dés l'instant ou ils avaient disparu de mon champ de vision, a ce moment habitué à l'obscurité, j'avais rongé mes liens. Quelle stupide idée de ligoter les bras de quelqu’un devant sa poitrine. Mais bon,je n'allais pas me plaindre.
Une fois délivrée ,j'avais immédiatement allumé la lumière, et j'avais réveillé Mamie, suis bien entendu, ne s'était doutée de rien.
Elle n'avait rien, elle se demandait juste  pourquoi je la réveillai à cette heure.
Quand je lui avais appris la disparition de ses précieux bijoux.. elle avait tout bonnement fait une attaque.
Morte d'angoisse ,j'avais appellé une ambulance pour l'amener à l’hôpital, et j'étais rentrée à 4heures du matin, et après mes 4 maigres heures de sommeil, quelqu’un avais osé sonner à ma porte....
Bon,il n'était pas forcément au courant de ma nuit agitée, mais j'étais crevée, et pas vraiment d'humeur à être agréable. Raison pour laquelle, un fois réveillée,j'avais trouvé le monde injuste, et que j'étais prête à fondre en larme à la moindre remarque désagréable, qu'elle soit constructive ou pas.
J'avais descendu les escaliers, prête à envoyer gentillement inopportun inconnu (ou connu) sur les roses.
Raison pour laquelle j'étais encore en nuisette dorée, que mes cheveux blanc tressés en arrière (coiffure que je me fais toujours pour dormir) n'avaient pas étés coiffées .
En baillant j'avais ouvert la porte et j'étais tombée face à un parfait inconnu. Ma première réaction fut de dire

-"quoi encore"

Ce n'était pas mon genre, mais j'avais vraiment eu une nuit pénible. Je m'était rattrapée de suite.

-Je veux dire: Vous venez pour quoi?



 
« Modifié: lundi 30 avril 2012, 18:22:32 par Melissandre Dolorès Seila »

~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pc Gabriel Valmy)

Réponse 1 dimanche 29 avril 2012, 23:33:12

« Valmy ! Nouveau dossier ! »
Gabriel planqua sa clope, interdiction de fumer dans le bureau alors qu’on approche, ou plutôt que ce gros lard de Ryuuto lui lance un dossier très mince, à peine constitué, à Gabriel, un dossier qui est en ait presque vierge, quelques petites choses sont présentes dedans, deux identités une adresse, et un numéro de chambre dans un hopital peu de choses, bien peu de choses. Première chose à faire, si l’on résume, aller là bas et prendre les dépositions, faire faire des examens médicaux si besoin est pour confirmer lesdits faits.

Pas de photos, juste des lettres pour donner les deux noms, une adresse, et un numéro de chambre d’hosto, maigre, alors il fallait y aller. Il soupira, pris son casque, finit sa bouteille de bière et partit vers le parking, un poil exaspéré, comme si il n’avait pas assez de boulot comme ça !  Pffff, maintenant on l’envoyait dans un coin où viols, meurtre, vols, et cambriolages sont monnaie courante - il voulait bien bouffer son cache poussière si il résolvait le truc – chercher une déposition à une adresse à la con. Au passage, tant qu’à faire, autant aller chercher une licorne, plu simple que de résoudre l’enquête…

Bon enfin arrivé en bas de l’immeuble, il regard les noms pour savoir les étages, sonna et attendit. Il s’attendait à ce qu’on lui ouvre et qu’il monte, mais non, quelqu’un descendit lui ouvrir une jeune femme, pas mal de ce qu’il voyait, et encore en nuisette qui plus est, elle devait juste de sortir du lit, elle en bailla d’ailleurs avant e lui parler sur un ton des plus désagréable, avait-elle déjà été dérangée ce matin ? Par qui ? Bonne question dans tous les cs peut êetre avait elle remarqué sa plaque au  niveau de la poche pectorale car elle cessa bien vite sur ce ton pour enchainr, déjà plus poli. Souriant, Gabriel l’informa donc, tendant la crte de police :

« Bonjour mademoiselle, lieutenant Valmy, Gabriel Valmy, police judiciaire, enquêtes spéciales, j’ai cru comprendre qu’il y avait eu cambriolage dans votre appartement, et j’ai été mis en charge de l’enquête. Puis-je entrer ? J’aurai quelques questions à vous poser dans le cadre d’une déposition. »

Il sourit, charmeur un peu, elle n’était pas vilaine, alors cela donnait plus de sincérité avec ce genre de sourire. Mais recevir quelqu'un en nuistte...disons que c'étit osé, elle ne semblait pas bien chouée des faits...

« Bien évidemment, si vous le souhaitez, je peux patienter quelques minutes avant de le faire, le temps de vous mettre en condition, histoire de ne pas vous brusquer, bien évidemment, vous comprendrez que si nous ne le fisons pas ici, vous serez convonquée au commissariat central sous peu, dans les deux cas vous seriez interrogée, mais refuser ici ne mettrons pas dans de bonnes dispositions mes collègues là bas, au commissariat. »

Il souriait toujours avant de finir par ranger sa carte et de fourrer les mains dans son cache poussière (ou trench coat), attendant la réponse de la jeune femme.

« Verdict ? »

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 2 lundi 30 avril 2012, 19:08:19

C'était un grand homme blond, visiblement légérement plus grand que moi, et plus âgé aussi.
Il me sourit et me tendis un carte.
Légèrement exaspérée, (touut au fond de moi même) je me penchai pour la regarder.
J'ai les yeux sensibles à la lumière, et bien que je ne porte pas de lunettes, j'avais du mal à voir les trop petites choses dans une lumière trop forte. Quelques mèches de cheveux se détachèrent de ma natte pour suivre le mouvement.
L'homme prit la parole et je me redressai vivement, un air innocent peint sur mes traits fins. Il venait surement à propos du cambriolage...

« Bonjour mademoiselle, lieutenant Valmy, Gabriel Valmy, police judiciaire, enquêtes spéciales, j’ai cru comprendre qu’il y avait eu cambriolage dans votre appartement, et j’ai été mis en charge de l’enquête. Puis-je entrer ? J’aurai quelques questions à vous poser dans le cadre d’une déposition. »

Bingo,il venait bien pour le cambriolage. En me réveillant, j'avais espéré pendant une demie minute avoir rêvé...apparemment, ce n'était pas le cas.
Il me sourit, un sourire qui me parut agréable à voir, et je ne pus m’empêcher de lui en rendre un.
Pourquoi être désagréable au final, il  était bien forcé de venir, lui, je n'allais pas lui parler méchamment parce qu'a cause de son boulot, il était obligé de déranger des jeunes filles angoissées à 8 heures du matin.... Il n'y avais plus qu'a le faire rentrer.

« Bien évidemment, si vous le souhaitez, je peux patienter quelques minutes avant de le faire, le temps de vous mettre en condition, histoire de ne pas vous brusquer, bien évidemment, vous comprendrez que si nous ne le faisons pas ici, vous serez convoquée au commissariat central sous peu, dans les deux cas vous seriez interrogée, mais refuser ici ne mettrons pas dans de bonnes dispositions mes collègues là bas, au commissariat. »

D'un coup je rougis, j'avais oublié ma tenue inadéquate pour l'occasion,je comptais remonter dans mon lit, donc ,je n'avais pas pris la peine de m'habiller, bien évidemment, et là, je me retrouvais, la crinière toute ébouriffée, en tenue légère devant ce charmant inconnu. Bon, après c'était une façon de parler, hein.
Il me sourit encore un fois et cette fois ci ça m'irrita plus qu'autre chose. Pourquoi? Aucune idée.
C'est a dire que je m’étonnais moi même,être de mauvaise humeur ne me ressemblais pas.
Bon, je n'avais pas trop trop envie de le faire monter, l'appartement était en désordre et au niveau des vêtements éparpillés dans ma chambre, c'était pas top... Hein? Mais attendez, pas de raisons qu'il aille dans ma chambre, de toute manière! Je n'avais pas envie d'aller à la police, et puis, si c'était pour tomber sur des gens plus désagréables encore! Pas le choix de toute façon, puis si il continuais à me sourire comme ça. Je finirais par céder de toute façon.

-Euh ..pas la peine, je veux dire, vous pouvez rentrer, si vous vouliez juste patienter deux secondes dans le salon! Je répondrais à toutes  vos questions.

Je lui fis un sourire gêné, sincère, au moins!   
Puis lui faisant signe d'entrer, je fermai la porte derrière lui. Je n'étais pas habituée à être aussi proche d'un homme, et je rougis encore plus lorsque nous nous retrouvâmes à l'étroit dans le minuscule hall d'entrée. Rougissant de plus belle, je lui fis signe de me suivre, montant en vitesse la longue volée d'escalier,je tirai sur le bas de ma nuisette, je me fichais bien qu'on voie mes jambes et mes cuisses, et même ma culotte, mais cet homme là me gênais , surtout dans un aussi petit espace, bizarrement,je me sentais honteuse, et ça ne me plaisait pas qu'il puisse me juger sur ma tenue.
J'aurais du le laisser monter et le suivre, mais c'était mon appartement, pas le sien.
J'étais irritée au possible, et je sentais les larmes au bord de mes yeux. Quelle horrible situation! Mon comportement était plus que gênant, ma bienfaitrice était à l’hôpital,  on m'avais fait une prise de sang (chose dont ,aussi surprenant que cela puisse paraitre, j'avais strictement horreur) et voila maintenant qu'un drôle d'homme était plus bas que moi, dans la position parfaite pour reluquer mes fesses.
Les yeux fermés, tirant toujours sur l'arrière de ma nuisette, je montai les dernières marches. Une fois sur le palier, je me mis de profil, histoire qu'il n'ai plus de vue sur moi, et qu'il ne voie pas mon visage, qui devait avoir sacrément chamboulé.
J'ouvrai la porte d'entrée que je fermais à double tour depuis la veille (au diable ces foutus chats) j'entrai dans le salon, puis me tournant vers lui, je lui sourit malgré mon vertige soudain, surement un effet secondaire des médicament pour dormir qu'on m'avais fourni, et de mon large manque de sommeil.

-Si vous voulez bien attendre un seconde, histoire que je me change.


Je lui souris à nouveau  et puis me dirigeant  vers ma chambre j'entrepris de l'ouvrir. Je dus m'appuyer deux secondes sur la clinche pour reprendre mon équilibre.Un fois dans ma chambre,je me laissai tomber sur le lit, attendant que mon vertige se calme enfin.
Je m'habillai en vitesse avec une robe blanche légère, il faisait trop chaud pour porter plus lourd, surtout dans mon état Je défis ma large natte et coiffai mes cheveux, les laissant tomber jusqu'au bas de mes fesses. Je me débarbouillai, respirai un bon coup, puis je sortit de ma chambre en souriant. Le vertige n'avait pas disparu, mais je me sentait déjà mieux.
Je souris à l'homme nommé Gabriel.

-Voila, désolé de vous attendre. Oh, je ne vous ai pas dit mon nom, je m'appelle Melissandre , mais bon,vous le saviez sans doute déjà. Je fais du thé, vous en voulez?


Je me dirigeai vers la théière, versai l'eau bouillante que j'avais mis à chauffer en me levant dans le récipient, y mit du thé et servit  deux tasses, je les posai sur la table, ainsi qu'un pot de sucre.
Il en prenait, il n'en prenait pas,comme il voulait, ça m'était égal.
Je m'assis sur l'appui de fenêtre et croisai les jambes.

-Vous vouliez me poser des questions?




~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 3 mardi 01 mai 2012, 17:12:17

Elle avait enfin accepté de le laisser entrer si il acceptait de rester seul dans le salon quelques instants, bien évidemment, cela ne le gênait pas d'attendre,  souvent, observer l'état d'un appartement en disait beaucoup sur la manière de vivre du propriétaire. Bon, le lendemain d'un cambriolage, on ne pouvait vraiment juger, mais grosso modo on pouvait savoir si c'était tenu par des personnes consciencieuses ou bordélique, en général quand il entrait chez une fille, il préférait un appartement bordélique, il s'y sentait chez lui. En plus, il était prouvé statistiquement qu'une fille bordélique était un meilleur coup qu'une fille ordonnée!Mas ça, c'était subsidiaire...enfin presque...

Elle lui souri, mais il était facile de voir que c'était un sourire meuble, vous savez, ce genre de sourire gêné qui sert à meubler un vide intersidéral dans une conversation. Enfin peu importait elle le laissa entrer et ferma la porte. Si elle était vraiment  gênée d'une manière ou d'une autre, seul le sourire l'exprimait, c'est l'ennui de ces personnes au teint sombre, on avait du mal à savoir exactement ce qu'ils pensaient.

Elle passa devant pour monter les escaliers, et il ne put se retenir que de justesse de  siffler, superbe déhanché d'ailleurs, mais en même temps, en se penchant assez, il devait être possible d'avoir davantage de vue, mais même sans trop se pencher, il suffisait de lui faire gagner de la hauteur  de lui laisser davantage d'avance dans l'escalier....et merde !  Elle se mit à serrer sa nuisette contre elle, comme si elle avait aperçu son petit jeu et qu'elle n'en était pas ravi...allons, quand c'était Gabriel on était toujours ravi !  Sur une échelle de un à dix au niveau sex appeal, i valait au moins onze, et ça, c'était les mauvais jours. Il ne doutait de rien, en effet !

Bientôt il fut en haut et elle lui demanda de patienter, le temps qu'elle s'habille et se prépare. Pourquoi ? Les cheveux tressés et la nuisette ce n'était pas volontaire ? Dommage !  Il aimait beaucoup ! Il se retint de le dire parce qu'il ne fallait pas exagérer non plus. Il sourit et la laissa faire, observant un peu les alentours, rien de transcendant, mais rien de vilain non plus. C'était simple et efficace, il y avait de ci de là quelques choses renversées., mais rien de bien grave, conséquences du cambriolages sans doute. Enfin, elle revint vite, comme elle avait prévenu, cheveux libres de toutes entraves, et une robe qui mettait en valeur sa peau sombre autant que ses yeux ! Il sourit se relevant, il venait de poser son fessier pour tester la qualité du canapé.

« Bon, très bien, alors si je comprends bien, mademoiselle.... - puis-je vous appeler tout simplement Melissande ? - c'est ici qu'a eu lieu la cambriole ? Savez vous ce qui a été volé ? »

Il sourit avant de poser la main sur l'épaule de la jeune femme. Comme pour la mettre en confiance, face à elle, toujours un sourire aux coins des lèvres, comme toujours. L'anguille observa la pièce.

« Donc à quelle heure êtes vous rentrée ? Comment était l'appartement ? Plus encore, aviez vous remarqué le moindre signe d'effraction, le moindre signalement anormal ? »

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 4 mardi 01 mai 2012, 18:50:21

Il me sourit en se relevant du fauteuil sur le quel il était assis. Je lui rendit son sourire, j'étais plus à l'aise ainsi.

« Bon, très bien, alors si je comprends bien, mademoiselle.... - puis-je vous appeler tout simplement Melissandre ? - c'est ici qu'a eu lieu la cambriole ? Savez vous ce qui a été volé ? »

Je baissai la tête un instant mes cheveux immaculés glissant sur mes épaules comme une avalanche lisse et soyeuse. Pouvait il m’appeler Melissandre? Comme si j'allais l'en empêcher! Il me sourit à nouveau, pourquoi? Il n'arettait pas! Étai-ce pour me mettre en confiance?
Ce la m'irritait un peu, parce que ce sourire me plaisait...
J'allais lui répondre lorsqu'il posa sa main sur mon épaule , me déclenchant un frisson.
Je redressai ma tête, il était face à moi et notre regard se croisa un instant, prise au dépourvu, je devais avoir l'air effrayée. Mes longs cheveux accompagnaient tout me mouvements, et ils virent se ranger sur mes épaules ,juste sur sa main.
Ça ne parut mas le déranger,  mais il détourna tout de même la tête pour observer la pièce.

« Donc à quelle heure êtes vous rentrée ? Comment était l'appartement ? Plus encore, aviez vous remarqué le moindre signe d'effraction, le moindre signalement anormal ? »


Je passai ma main dans mes cheveux, les rangeant  dans mon dos pour dégager sa main.
Nous étions bien trop proches à mon gout, le pire, c'est que ça ne me déplaisait pas, je levais mes yeux et cette fois, les plongeais , déterminée, dans les siens.
Ma bouche s'ouvrit toute seule pour lâcher ces mots:

-Oui, vous pouvez m’appeler Melissandre ,  C'est bien ici qu'a eu lieu le cambriolage, a vrais dire, je suis rentrée de mon...travail vers à peu près une heure du matin, La porte était ouverte, tout simplement parce que nos chats aiment se promener dans l'immeuble la nuit, et que nous faisons confiance aux voisins. Quand je suis entrés, j'ai laissé la lumière éteinte pour ne pas réveiller..mh, enfin bref, ils avaient l'air de m'attendre, ils m'ont...

* je ne peut tout de même pas lui dire qu'ils m'ont assommée et que grâce à la magie blanche j'ai résisté.*


Je continuai mon récit après quelques secondes d'hésitation.
Ils m'ont ligotée et  comme ils avaient des armes,j'ai fait semblant d'être dans les vapes.
Ils ont disparu et sont revenus quelques secondes plus tard de la chambre de mon hôtesse avec ce qui ressemblais pleinement à des bijoux,ils ont fichu les camp par la porte d'entrée. je regardai le vase brisé à terre avec le quel les hommes m'avaient assommée.

-A mon avis ,brodais-je, ils ont du fouiller quelques objets, comme ce vase pour voir si il n'y avais rien d'autre qui pourrait les intéresser.

Soudainement, la réalité de la situation me prit d'assaut. Il n'y avais pas que le vase de brisé, les hommes avaient ils trouvé tout ce qu'ils voulaient? Et si ils revenaient?
Un éclair de terreur passa dans mes yeux en pensant à la pauvre Mamie, que lui arriverait il la prochaine fois?  Puis elle m'avait tu la présence des bijoux,y avait-il autre chose?
Je me mis à douter d'elle,et pendant un bref instant de l'homme qui se tenait face à moi, une violente boule d'angoisse se forma à la hauteur de mon cœur lorsque je me rendis  compte que nous nous regardions toujours dans les yeux, il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Prise d'horreur et de honte je reculai vivement, me dégageant de sa main bienveillante. Je baissai les yeux pour rompre le contact de nos regards, et je fus prise d'un violent vertige. Fichus médicaments! Voulant prendre appui à quelque chose, je posai mes mains sur la table en équilibre qui se renversa, répandant  le thé a présent légèrement chaud sur moi, sur ma belle robe blanche a présent transparente, ma peau étant de couleur foncée, elle traversait d'autant plus le tissus. Je dus tendre les bras vers lui et me retenir à sa poitrine . Posant le bout de mon front contre lui je retint un hoquet , le transformant en un sanglot silencieux.

-Je...je suis désolée,j'ai,j'ai le vertige.


Mon cœur battait très très vite, cet homme me faisait un effet qui m'était encore inconnu jusqu'ici. Les larmes coulaient sur mes joues. Le thé avait eu le temps de refroidir légérement, mais il était toujours chaud lorsqu'il était entré en contact avec ma peau. Mais ce n'était pas pour cela que je pleurais silencieusement(javais usé de magie blanche pour apaiser ma douleur et soigner ma peau qui était redevenue parfaite.) Non, ce qui m'ennuyait, c'était que j'étais à présent dans la position que je voulais évitée. Accrochée à cet homme ,ce Gabriel qui m'était pourtant inconnu. Et mon vertige s'était calmé, menaçant de revenir si j'osais relever la tête. En bref, j'étais collée à lui et cela créait dans mon ventre un sentiment tumultueux qui m'était inconnu.
Je poussai un soupir, espèrent que le malaise disparaitrai...espérant qu'il ne se fâcherait pas sur moi, surtout que ma robe était à présent transparente...












~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 5 mardi 01 mai 2012, 21:49:14

Elle plongea sesyeux dans ceux du flic, des yeux azurs sur une peau sombre, quelle originalité, quel contraste !  Un peintre de génie aurait fait ressortir ça, Gabriel, lui, nota juste ça dans la tête côté bizarrerie.....ouais, pour lui, un mec qui manipule la foudre est normale, mais quelqu'un avec un patrimoine génétique pareil ne l'est pas....allez chercher l'erreur dans cette logique tordu de mec tordu....il était le premier mec à dire qu'il fallait arrêter de tortiller du cul pour chier droit. De belles paroles, mais de fait, dans ça tête c'était exactement ce qui se passait généralement. C'était peut-être la raison de ses bons résultats en tant que flic, toujours chercher le coup le plus vicieux possible et on avait le pire....

Il ne détourna pas son regard, continuant de la regarder droit dans les yeux, regard bleu électrique contre regard azuré. Il n'avait aucune raison de ne pas soutenir ce regard et la volonté de s'imposer, il n'aimait pas qu'on le force à se détourner, et il ferait en sorte de ne pas avoir à le faire. Un point c'était tout. Un homme caractériel avec beaucoup de détermination, voila ce qu'il était. Elle en profita pour virer le geste qu'il voulait rassurant de son épaule, okay, ça, c'était clair !

Elle se mit à tout lui raconter, plus ou moins de manière monocorde, mais au moins, c'était clair. Elle lui déballa tous les faits, et il n'intervint à aucun moment, se contentant d'écouter, sans la lâcher du regard. Mauvaise menteuse, elle planquait quelque chose, c'était clair comme de l'eau de roche, restait tout de même à prouver qu'elle mentait,en tout cas, un instant, une lueur terrifiée passa dans le regard de la jeune femme, seul un abruti ne l'aurait pas remarquer, et quelques secondes plus tard, elle se laissa glisser tout contre lui, prétextant des vertiges.....ben voyons, on marchande son entrecuisse contre le fait de ne pas chercher la vérité plus loin....ben voyons, ce n'était pas malheureux à son âge !  Il soupira, d'autant que dans ses gestes, elle avait renversé son thé, comme pour mettre en valeur son propre corps, il fallait vite arrêter ce petit jeu, où cela pourrait devenir dangereux...pas pour lui....mais pour elle....

Ensuite vinrent les sanglots...une bonne actrice ou une personne réellement effondrée ? Il ne savait pas, il savait juste que cette robe désormais en grande partie transparente ne le laissait pas indifférent quand à ce qu'il y avait en dessous...soit rien, ou alors, quelque chose qui n'était pas visible à l'oeil nu ! Et tant mieux, mais dans la position actuyelle, dure de dire exactement ce qu'il voyait, car proche comme elle était de lui, elle lui bouchait pour ainsi dire la vue...

Il finit, doucement, par la serrer dans ses bras, comme un signe de réconfort, lui murmurant doucement sur ce qui pouvait être des mots apaisants.

« Là....là....allez, calmez vous melissande, ça ne sert à rien de vous mettre dans des états pareils, asseyez vous, allongez vous, peu importe, mettez vous en position de bien être, vous en avez besoin. Ne vous inquiétez pas. »

Ouais, qu'elle ne s'inquiète pas....bah c'était pas ça qui allait lui permettre de savoir si c'était une comédienne ou une vraie victime....bref. Il sourit et la fit s'asseoir avant de s'asseoir à côté d'elle, l'enlaçant doucement, dans un geste réconfortant, lui caressant doucement les cheveux et les épaules...il aurait du avoir honte sans doute, mais non, pas de honte, il avait, la bizarre impression de profiter de la situation...mais bon, il n'avait pas de sens moral assez développé pour en être oiffusqué !

« Allons, dites moi ce qui vous mets dans cet état, ce n'est pasque le vertige ? De quoi avez vous peur ? Dites le moi, je suis là pour vous protéger, non ? »

Il lui souriait encore et toujours, tirer la tronche parce que l'autre pleure est la dernière connerie à faire. Il se mit à lui frotter doucement les épaules, prenant doucement sa main dans la sienne, pour la serrer, pour lui offrir une présence rassurante.

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 6 mercredi 02 mai 2012, 12:40:29

Il me serra doucement dans ses bras, je tressaillit légèrement et il se mit à me parler d'une voix calme et apaisante.

« Là....là....allez, calmez vous melissandre, ça ne sert à rien de vous mettre dans des états pareils, asseyez vous, allongez vous, peu importe, mettez vous en position de bien être, vous en avez besoin. Ne vous inquiétez pas. »


Il me fit m'asseoir, et prenant place à coté de moi,il  m'enlaça doucement et se mit à caresser mes cheveux et mes épaules. Les larmes continuèrent à couler silencieusement. Je les essuyai d'un geste de la main. Mon cœur battait trop rapidement, ce n'était pas normal. Avais-je attrapé une maladie? Un virus, mon corp avait-il une défaillance?
Je respirai calmement, pour tenter de calmer les battements de mon cœur, mais cela n'y faisait rien.

« Allons, dites moi ce qui vous mets dans cet état, ce n'est pas que le vertige ? De quoi avez vous peur ? Dites le moi, je suis là pour vous protéger, non ? »


Lui dire? Non, je ne pouvais pas dire  n'importe qui n'importe quoi. J'étais visiblement en plein délire. Mon cœur battait trop vite, et j'étais sans doute victime de paranoïa.
Il prit ma main dans la sienne, caressant doucement mes épaules.
ça me plaisait et je finis par me calmer.
Je levai les yeux vers lui. Un regard plein de doutes et de peur, d'interrogation...

"Je ,je me demandais si les voleurs allaient revenir...,je m'excuse, j'ai,j'ai paniqué. Je n'ai pas assez dormi, et on m'a donné des médicaments pour le sommeil."

Je me sentais bien dans ses bras, ma tête posée contre son épaule,ma respiration s'était stabilisée ,mes longs cheveux lisses et doux se répandaient comme un ruisseau blanc sur nos bras et sur mes épaules. Je relevai entièrement ma tête vers lui. Je n'était jamais entrée en contact a ce point avec un homme. Je me rappelai de mon ancien maitre, un homme qui s'était un jour jeté sur moi pour m'embrasser. J'eus un frisson au souvenir de ce jour épouvantable. Souvenir qui me poussa à me blottir plus encore contre lui.
Mes lèvres s'entrouvrirent, comme pour dire quelque chose, puis tendant le coup mon visage se rapprochant du sien, elles entrèrent en contact avec les siennes.
Mon Dieu! Qu'avais-je fait? De quel droit je me permettais?
C'étaient là les phrases que m' hurlait ma conscience....en arrière plan.
Le contact de ses lèvres était bien trop agréable, le geste m'était venu naturellement,au rappel de mon dernier baiser,j'avais du inconsciemment reproduire le geste.
En tout cas, a ce moment la, je n'y pensais pas, mon regard était à nouveau plongé dans le sien. Mes yeux étaient emplis de la sincérité qui accompagnait l'innocence de mon geste. Je n'avais aucune idée de ce que cela signifiait. Seulement que mon corp en demandait plus. C'était de là que venait mon curieux malaise? J'avais envie des lèvres de cet homme?
Je le ré-embrassai à nouveau, complètement perdue dans mes pensées, n'ayant pas conscience de l'importance et de la signification de mon geste...

-J'ai l'impression que je fais une bêtise... dis-je sans les quitter des yeux, mon visage se rapprochant à nouveau du sien...


~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 7 mercredi 02 mai 2012, 15:47:02

Elle finit par se calmer un peu, mais se clamer ne  semblait pas vraiment la rassurer, son regard exprimant ce qui restait une certaine forme de détresse à n'en pas douter, une détresse tout à fait palpable, elle avait peur. Mais de quoi ? De quoi avait-elle peur ? Cela avait-il un quelconque lien avec la cambriole ? Où était-ce juste une manière encore de le détourner de cette omission, volontaire dans ce cas là, car il était sur qu'elle ne voulait pas admettre quelque chose.

La première hypothèse sembla se confirmer quand elle lui dévoila la raison de ses craintes, elle avait peur que les personnes mal intentionnées reviennent. N'avaient-ils donc pas pris ce qui avait de la valeur ? Bon...entre ça et le fait qu'elle ait peu dormi....disons que son craquage de nerf se comprenait tout à fait. Il sourit, ne cessant jamais ses gestes de réconforts. Il ne pouvait rien faire de plus de toute manière ! Enfin si, il avait bien une envie, mais il doutait qu'elle soit au goût de la personne qui, en état de faiblesse, tentait tant bien que mal de se contrôler.

Soudain, il la vit s'approcher dans ce que l'on aurait pu appelr une zone de non retour, Gabriel avait ses limites....et chose étrange, ce ne fut pas lui qui initia le baiser, non, c'était elle, elle lui offrit un premier contact entre leurs lippes avant de replonger son regard dans le sien. Amusant !  Une étincelle de malice brilla dans les yeux de notre jeune ami. Elle embrassa à nouveau le beau blond – qu'est-ce qu'il disait déjà au sujet du fait que sur une échelle de  à 10 il valait au moins 11 ? - bon et bien si il espérait se retenir, c'était foutu....

Pensait-elle sincèrement faire une bétise ? Nul doute que oui, mais il pouvait le lui affirmer haut et fort il n'y avait aucune bêtise qui soit meilleure pour elle en cet instant précis, et alors qu'elle approchait son visage du sien, il combla la distance qui les séparait, l'embrassant plus passionnément, le serrant contre lui....mais le fait qu'elle soit en partie mouillée par le thé ne le tentait qu'à moitié.

« Vous devriez peut être faire quelque chose pour ta tenue.... »

Il pensa : « comme l'enlever ! » mais il ne dit rien, il se contenta de reprendre possession de ses lèvres avec douceur, ses mains commençant à lentement caresser son dos. Puis, après un bon et long baiser, il lui dit :

« Vous avez l'air d'aller déjà mieux ! »

Une main se posa sur ses reins, caressant cette zone avec douceur et délicatesse, l'autrre main glissait lentement sa main sur sa joue, essuyant les derniers reliquats de larme.

« Je resterai si vous voulez, pour vous protéger ! Mais allez vite retirer cette tenue qui va finir par attraper la mort ! Ce serait dommage que vous tombiez malade ! »

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 8 mercredi 02 mai 2012, 20:37:28

« Vous devriez peut être faire quelque chose pour ta tenue.... »
Je rigolais intérieurement, mon caractère changeait du tout au tout. Mon subconscient essayait de me prévenir mais mes pensées et mon instinct prenaient trop de place pour que j'y prenne garde. Il m'embrassa, passa ses mains dans mon dos, déclenchant une série de frissons sur mes bras et...ma poitrine.... je souris nous nous embrassâmes longuement  puis il continua.

« Vous avez l'air d'aller déjà mieux ! »

Ah ça oui,j'allais bizarrement beaucoup mieux, a vrais dire, je n'était plus moi même. Enfin si, mais mon comportement était totalement inhabituel.

Il posa sa main sur mes reins, essuyant mes larmes de l'autre.

« Je resterai si vous voulez, pour vous protéger ! Mais allez vite retirer cette tenue qui va finir par attraper la mort ! Ce serait dommage que vous tombiez malade ! »

là je ris... Il persistait, ça l'ennuyait vraiment hein?

Je l'embrassai à nouveau, je me redressai, quittant ses bras, et debout, dos à lui,je retirai ma robe.

"Je n'ai pas l'habitude de porter des vêtements quand je suis chez moi...je ne les met qu'avec les gens que je n'embrasse pas..."


Je retournai me blottir contre lui, posant à nouveau mes lèvres sur les siennes, passant ma main dans ses cheveux, l'autre dans son cou.
Je n'avais absolument aucune idée de ce que je faisais , mais ça me plaisait, assez pour que je continue en tout cas...

"Comme ça,je ne risque pas de tomber malade."

Ma peau était déjà sèche,et je me penchai suffisamment vers lui pour que mes cheveux forment un rideau,séparant nos visages du reste de la pièce...

~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 9 mercredi 02 mai 2012, 23:36:41

Elle rit apparemment de sa sollicitude. Comme quoi, l'insistance ça finissait par payer ! La preuve en état qu'elle se leva pour retirer ses vêtements, se retrouvant nue devant lui,chouette spectacle, il en espérait tant, mais n'osait pas trop y croire, ne serait-ce que par principe....bon, certes, elle était de dos, mais le spectacle de son fessier était délectable, une de ces vues !  Et vous voyez, le plus drôle là-dedans c'était qu'elle ne comprenne pas le genre de sous-entendu qui sautait aux yeux du flic, lui passait complètement au dessus, vu la situation, il sentait juste qu'il allait tirer un coup !Et pas qu'un petit ! Non, son corps d'ébène, fin et svelte de dos, était attractif, il suffisait qu'elle se retourne, et il aurait la confirmation du premier abord ;

Pas pudique pour un sou quand même, cette jeune femme, pas longtemps avant qu'elle soit à poil contre lui, non ? Enfin bon,elle revint l'embrasser, il allait falloir qu'il se méfie de ne pas se faire embrouiller dans l'histoire, et alors qu'elle se blottissait contre le policier, il sourit et commença lentement à glisser ses mains sur son corps, dans son dos, depuis sa nuque, et ce, jusqu'à ses reins, et lentement, sur sa belle paire de fesses, mais pas trop, pour ne pas non plus lui donner l'impression qu'il n'attendait que ça.

C'était  sur que de cette manière elle n'allait pas attraper froid, mais tant qu'à faire, autant en rajouter un peu, il l'embrassa avant de se débarrasser de ses vêtements lui aussi, commençant simplement par virer son cache poussière et son haut, pour se retrouver torse nu, laissant disponible au toucher son torse musclé, ses tablettes, elle était le chocolat lui les tablettes....bref.....il toujours cette  lueur malicieuse dans l'oeil alors qu'il disait sur un ton un peu amusé.

« Pour ça, le meilleur moyen, c'est la chaleur humaine.... »

 Il dit ça en retournant l'embrasser. La serrant contre lui, glissant lentement mais sûrement la main vers la poitrine, l'autre venant doucement lui masser le fessier au galbe parfait.

« Tu sais que tu as vraiment un corps superbe, une beauté d'ébène ! »

Il sourit en venant l'embrasser, lui murmurant son prénom, prénom qu'il ne lui avait jusqu'alors pas donné,  et durant se baiser, il laissa doucement glisser sa langue à la rencontre de celle de la jeune femme alors que ses mains exploraient son corps....

« Tu es vraiment très belle ! »

 Il descendit dans son cou pour l'embrasser avec douceur, pour le temps  qu'il arriverait à rester doux, ce qui n'était pas son caractère le plus dominant. Ses baisers étaient quelque peu fiévreux....il la mordillait très doucement par instant, descendant lentement le long de son corps, descendant sur sa gorge, descendant lentement vers le double détail de son buste .

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 10 jeudi 03 mai 2012, 18:32:15

Ce que c'était agréable! Ces lèvres contre les siennes, cette attraction qui jusqu'ici m'avait été inconnue... Gabriel me caressait avec douceur, passant ses main dans mon dos ,sur mes fesses... j'aurai aimé qu'il continue sans jamais s' arrêter, m'imaginant qu'il n'y avais sans doute rien de meilleur, je me trompais, évidemment, mais je n'en avait pas la moindre idée. Mon corp se faisait de velours sous ses doigts doux comme des plumes.
Ile se mit torse nus, et je me mis "à cheval" sur ses genoux. Posant les mains sur son torse, explorant chaque parcelle de son buste avec mes doigts, caressant ses muscles, il en avais, et des beau, pas trop, juste assez, enfin à mon gout...

Je posai une seconde mes lèvres sur son torse, avant qu'il ne me ré embrasse.

« Pour ça, le meilleur moyen, c'est la chaleur humaine.... »

Je levai mes yeux pour chercher son regard. Un beau regard...un regard plein de malice.
Il me serra contre lui,et j'en profitai pour embrasser son cou du bout des lèvres, avec douceur. Il amena lentement sa main à mon sein, zone sensible qui comme les hanches n'avait pas à entrer en contact avec autre chose que mes vêtements et l'eau de ma douche... le contact de ses doigts me déclencha une série de frissons d’excitation, de son autre main,il massa mes fesses.  Mon cœur qui s'était plus ou moins calé recommença à battre la chamade à un rythme incontrôlé.   Moi à mon tour je passai mes mains dans son dos, frottant légèrement mon corp au sien, qui comme il l'avait dit quelques secondes plus tot, était d'une chaleur agréable.

"Mieux vaut prévenir que guérir"
, avais-je dit d'un souffle dans son coup alors que nous recommencions à nous embrasser.

« Tu sais que tu as vraiment un corps superbe, une beauté d'ébène ! »

J'eus un frisson de plaisir à ces mots, mondieux que lui répondre, qu'il était grand musclé et beau? Sur ce point la,j'étais bien trop timide, nous y viendrions plus tard....
Il me sourit, sourire que je lui rendit  et il m'embrassa a nouveau en chuchotant , nos langues se rencontrant, la boule d'énergie au bas de mon ventre grandissant un peu plus de secondes en secondes.

« Tu es vraiment très belle ! »


Nouvelle décharge de frissons, elle ne se doutait pas que les mots avaient un tel effet sur elle.
Il m'embrassa dans le cou ,des baisers chauds et doux, ah, cette curieuse boule d'énergie s'était agrandie, touchant mon cour, qui accéléra plus encore, son visage embrassant mon corp, le plaisir était grand et ma respiration se faisait de plus en plus rapide.
Mon corp avais envie de se rebeller et de faire des geste que je ne connaissait pas, surtout, ce qui entre mes jambes me titillait exagérément.
Mes mains quand a elles se baladaient elles aussi sur son corps, lui caressant le coup et passant dans ses cheveux. Mais mon instinct  me poussait à en demander plus...
J'avais glissé mes mains dans son dos, se dirigeant de plus en plus vers le bas, pénétrant la limite de son pantalon, le poussant,remontant dans son dos, les jambes se courbant, comme si elles voulaient le capturer, je voulais le contact de son corp contre le mien.
Maintenant je haletait légérement, et je décidai d'explorer son corp, moi  aussi, que cachaient les hommes sous ces pantalons trop larges?
Mes mains glissant sur ses cuisses, sous son pantalon, j'embrassai à mon tour son torse, lui mordillant légèrement la peau, mes mains glissant jusqu’à ses fesses, mon cœur battait trop vite. Je voulais quelque chose, mais quoi? J'aurais aimé lui voler tout ses vêtement ,à l'instant, et c'est en me disant  que je n'oserai jamais lui retirer tout ça, que mes doigts défirent son pantalon et le firent glisser à ses pieds, mes lèvres remontèrent pour chercher les siennes, mon corp qui ne tenait plus se collant au sien, c'est au contact entier de son corp que la boule d'énergie mystérieuse se répendit entièrement dans mon corp.je devenais folle, je voulais quelque chose, quelque chose qui calmerait cet état de folie.
"Je vais devenir folle" lui dis-je l'embrassant à nouveau, nos langues se touchant explorant nos bouches.


 







~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 11 vendredi 04 mai 2012, 15:55:28

Il aimait beaucoup la texture de la peau de la jeune femme. Il avait rarement sauté une femme qui avait la peau sombre, mais ça ne le dérangeait pas outre mesure. Une jolie jeune femme sexy, peau sombre ou pas était une jolie jeune femme sexy, pas besoin d'en demander plus ! Il sourit et continua ses baisers dans son cou, ses caresses sur son corps, il explorait les moindres recoins de son corps, évitant juste son intimité.

Elle prit le relais dans son déshabillage, lui ôtant  le jean, il retira aussi le caleçon qui allait avec, ils étaient désormais nus l'un contre l'autre, entre baisers et caresses. Il  n'avait aucune intention de s'arrêter là !  Ses lèvres descendirent lentement, toujours plus bas. Il sourit et  attrapa enfin son sein. Entre les dents, ou plutôt, son téton, pour être précis, et il commença à doucement le mordiller, le têter, jouer avec la langue dessus, alors qu'il  utilisait ses deux mains pour pétrir ses fesses fermes.

Elle disait qu'il la rendait folle, ça il voulait bien le croire. Surtout qu'elle se laissait largement faire !  C'était presque trop facile....comme si il s'en prenait à une fille qui avait pas encore eu droit à la moindre chose entre les jambes.....dans ce cas là plus que dans les autres !!  Il avait envie qu'elle en perde la raison, mais forcément, quand on était avec lui, ça arrivait.

Avec délicatesse, comme il avait sur le montrer jusque là, notre jeune ami  cessa de caresser l'une des magnifiques courbes arrières de la jeune femme pour se glisser sur sa cuisse, il carressait doucement celle ci. Il lâcha son bouton de chair pour lui murmurer dans l'oreille, non sans en avoir légèrement mordillé le lobe :

« Alors laisse moi te montrer à quelle point tu as envie d'être folle ! A quel point je veux te rendre folle ! »

Il sourit en disant cela, d'autant qu'il avait déjà une idée derrière la tête....doucement, sa main sur son fessier changea, comme si il allait vers des recoins non explorés, et son médius vint effleurer l'espace d'un très léger instant la rosette de chair de la jeune femme. Il retourna à ses anciennes caresser en l'embrassant à nouveau, glissant sa langue contre la sienne dans un ballet lingual de tous les instants, mordillant de temps à autre sa lippe inférieure, et doucement, il la fit basculer.

Il la fit basculer en effet sur le canapé, qu'elle soit confortablement installée, ou du moins, aussi confortablement  que possible sur ce genre de support.....un lit aurait été préférable, mais faire une pause pour aller dans la chambre de la jeune femme aurait sans doute été le meilleur moyen de tout foutre en l'air. Non pas qu'il veuille profiter d'un moment de vulnérabilité...bon, d'accord, un peu quand même, mais à l'insu de son plein gré, comme le signalait si bien Virenque quand on l'accusait de dopage pour le tour de France, mais c'était juste qu'elle ne semblait pas forcément se rendre compte de ce qu'elle faisait, et briser cette instant spécial. Il n'allait pas dire magique, celan'avait rien de magique...

Positionné au dessus d'elle, il continuait à déposer des baiser sur sa peau, à la mordiller doucement toujours en allant davantage vers le puit de sa féminité, très lentement.

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 12 jeudi 28 juin 2012, 15:58:23

« Alors laisse moi te montrer à quelle point tu as envie d'être folle ! A quel point je veux te rendre folle ! »

Me dit il après m'avoir mordillé le lobe de l'oreille, ses caresses faisaient se courber  mon corp.
Un instant, l'un de ses doigts vint chatouiller mes parties intimes, geste qui déclencha comme un minuscule choque électrique dans mon corp. C'est à cet instant que je compris Que mon excitation venait de là et mon corp se tendit un peu plus alors qu'il me faisait basculer sur le canapé, je n'avais pas la moindre idée du "jeu" au quel nous jouions, mais il me plaisait, et pas qu'un peu...
Il était au dessus de moi et je me sentait  soudainement légérement dominée ,une position qui ne m'aurait pas plu a la base, je n'appréciais pas qu'on me soumette, puis ,là, ce n'était qu'une impression, pas une réalité  , même si c'était une impression vachement excitante. Je me surpris soudain a vouloir passer à la vitesse supérieure, de m'abandonner entièrement à lui, qu'il continue ses jeux divins jusqu'à ce que j'en meure de plaisir.
Alors qu'il embrassait ma peau, descendant peu a peu vers mon intimité, je lui passai ma main sur la joue, continuant vers ce qui faisait de moi une femme, j'avais l'impression que mon cœur y battait et j'attendais avec patience qu'il y arrive, ma jambe frolant son sexe, me rappelant que je n'étais pas très active, mais dans la position dans la quelle j'étais, je ne pouvais pas faire grand chose.....

~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 13 lundi 02 juillet 2012, 16:06:06

Certes, elle n'était pas  très active dans cet partie du jeu, mais comment s'en étonner !  Après tout, elle semblait tellement hésitante que le fait qu'elle soit vierge ne le troublerait même pas, ce serait presque logique, mais bon, la logique ne fait pas tout, surtout dans ce genre de cas ! Doucement il sentit la main de la jeune femme sur sa joue, comme un encouragement alors qu'il descendait sur son ventre à grands renfort de langue, de dents et de lèvres – doucement les dents, hein ! - sur son corps, sur sa peau parfaite.

Arrivant un niveau du nombril, il se mit doucement à jouer à cet endroit, réputé zone érogène chez certaines femmes, alors qu'il caressait doucement ses hanches. Continuant  ses baisers, il vint poser ses lèvres sur son pubis dont il attrapa un tout petit bout de peau pour commencer une succion alors qu'une de ses mains glissa sur son fessier pour le masser doucement, mais fermement.

 Enfin, sa tête glissa entre les cuisses de la jeune femme pour déposer un baiser sur ses grandes lèvres. Il lui donna un coup de langue, juste pour tester sa réaction. Et à ce moment là, petit choc. Il envoya un léger choc électrique très doux au travers du corps de la jeune femme, cela avait pour but de la sensibiliser davantage, même les zones non érogènes en devenaient grâce à cela !

Enfin, il déposa un nouveau baiser sur son intimité avant de commencer à jouer de part et d 'autres sans plus y porter la moindre attention.

« J'aime beaucoup ton goût, Mel. »

Ce faisant, il remonta l'embrasser tendrement alors qu'il  venait frotter son phallus déjà bien durci contre la jambe de la jeune femme, le faisant glisser jusqu'au pied sur lequel il le laissa repose, faisant de légers mouvements de bassin, comme pour l'inviter à comprendre ce qu'il attendait d'elle alors qu'il se remettait à jour avec ses cuisses, continuant la diffusion dans tout son corps de cette petite dose de jus qui augmentait imperceptiblement en intensité pour la sensibiliser le plus possible.

Melissandre Dolorès Seila

Humain(e)

Re : On m'a cambriolée... (pv Gabriel Valmy)

Réponse 14 mercredi 04 juillet 2012, 21:22:27

Il embrassa mon nombril, puis descendant de plus en plus bas, mon pubis, et puis merci, enfin, dieux tout puissant, il passa sa tête entre mes jambes,,il y donna un coup de langue, mon dieux, que m'avait il fait?
Une décharge d’excitation retentit dans tout mon corp,mes jambes, se tendant, mon buste se cabrant, je ne pus retenir un petit cris de surprise et de plaisir, ce fut cette petite décharge qui me fit perdre le contrôle de ma réserve et de ma naïveté, me poussant à prendre les choses en main, mais pas encore, je voulais en profiter un peu tout de même.

J'avais bon gout? Eh bien merci, je prenais ça pour un compliment, il remonta pour m'embrasser avec tendresse tandis que son sexe dur frottait contre ma jambe, il continua à jouer avec mes cuisses, ces petits jeux qui m’excitèrent de plus en plus, d'un geste fluide je me laissai glisser ,m’échappant de ses mains puissantes pour arriver à la hauteur de sa verge, sans une once d'hésitation, j'y posai mes mains pour jouer avec, la sentant se durcir un peu plus entre mes mains.
Après avoir fait quelques aller-retour, j’apposai mes lèvres contre son extrémité rose et me mit à la sucer avec douceur, laissant ma langue trainer sur sa verge qui m'attirait de plus en plus, faisant protection de mes dents avec mes lèvres, je me mis à reproduire les mouvements que m'incitait mon excitation, frottant l’intérieur douce et chaude de mes joues contre son engin, au bout d'un moment, je me redressai ,face à lui l'embrassant à mon tour, me collant à lui et l'enlaçant, lui faisant comprendre que j'avais compris, qu'a présent, je le désirais, ce fut donc mon pubis et mes partie intimes qui se mirent a frotter contre son phallus, par gestes instinctifs, presque incontrôlables, mêmes s'ils étaient lents et doux, même si je ne m'en rendais pas encore compte, tout ce que j'attendais, c'est que nous ne fassions plus qu'un.

~Donne Moi l'Innocence de ton âme ♥


Répondre
Tags :