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Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy] FINI ^^

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Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 60 mercredi 02 mai 2012, 14:46:08

Je jette à peine un regard à l'intérieur que je dois me retourner pour étouffer un rire. C'est qu'il a pas l'air fin avec les câbles qui pendent de ses oreilles, et à poils en plus. Je reviens à l'entrée de sa tanière de mâle célibataire pour découvrir que les câbles sont descendus à ses poignets, et qu'il a déjà enfilé un caleçon. Comme il vient de l'évoquer je cherche dans le couloir la blouse de l'hôpital, qui est effectivement dans un sale état... Ou plutôt en morceaux qui sont dans un sale état.

" Dommage, ça te mettait en valeur. "

C'est vrai que les hommes n'ont pas l'habitude qu'on les complimente sur leur joli petit cul. Par contre la suite rallonge la liste déjà longue des surprises de la journée. Qu'il ait cherché un autre appartement ne m'étonne pas, à vrai dire je l'ai un peu espéré ces derniers temps. Qu'il soit revenu sur sa décision me touche, même si je me demande un moment s'il va pas mettre le feu à l'appartement. Mais c'est ce qui sort de sa bouche qui me coupe les jambes. Des mots comme "parler" ou "désolé", même si le deuxième à l'air de lui coûter.

Plus que son numéro de Punisher ou la patience avec laquelle il a enduré mes pétages de plombs, son air gêné me touche. La tête basse, la petite voix pour s'excuser, ses mains dont il ne sait plus quoi faire. Un vrai gamin. Mais connaissant son niveau sentimental je préfère ne pas le traiter comme tel. Je le prend par le bras pour l'entraîner vers le salon.

" T'as pas à t'excuser. Je suis pas un cadeau quand je m'y mets. "

Ça compense les fois ou je reste la bonne pomme de l'histoire, même quand je sais que ça ne m'apportera que des problèmes. Avoir quelqu'un dans le nez et le lui montrer sans la moindre pitié n'est pas un signe de force. Je me suis encore laissée emportée. J'ai bien l'intention de recommencer ce soir, mais dans une toute autre direction. On en est pas encore là. Je pose le pack sur la table basse avant de m'asseoir dans le canapé. Et j'ai soudainement l'impression que quelqu'un essaie de me planter entre les coussins à coups de batte de base-ball en mousse derrière la tête. je soupire avant de me redresser.

" Je suis désolée pour le coup à l'épaule. "

Je pourrais enrober en disant que j'étais énervée, pas dans mon état normal. Ça n'excuserait rien et de toute façons j'ai la flemme de broder. par contre je suis encore largement en état de nous ouvrir une bière chacun et de sourire.

" Mais fait gaffe : t'as pas été le seul à casser des pifs aujourd'hui. "

Quand j'y repense j'ai encore du mal à y croire. J'ai trop envie de lui raconter, voir ce qu'un dur à cuire comme lui pensera de ma performance.

" Je sais que c'était pas malin mais ce matin j'ai essayé de m'enfuir. D'ailleurs je vois même pas pourquoi ils avaient plastiqué l'usine : elle tombait en ruine. Quand j'étais dans les conduit d'aération un des gars de Johnny a essayé de me suivre. Alors je lui ai envoyé mon pied en pleine face ! "

En plus c'était un des trois sous-fifres qui passaient leur temps à essayer de mater sous ma jupe. Il en a sans doute vu plus que ses copains, mais ça a pas été gratuit. Par contre la suite de l'aventure a été moins glorieuse. Je me laisse tomber tomber au fond du canapé avec un sourire, ma bière dans les mains. Et maintenant que j'y pense mon uniforme d'infirmière est toujours largement ouvert. Mais je ne compte pas le refermer pour encore m'écraser la poitrine, j'ai pas envie de me lever pour aller me changer. De toutes façons il a déjà tout vu et moi aussi, ça choque personne.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 61 jeudi 03 mai 2012, 01:37:30

Ils ne devaient pas avoir la même notion de mettre en valeur, mais grosso modo, il y avait un détail sur lequel il fallait s'accorder ! Il avait un physique de rêve ! Et se balader à poil n'était pas déplaisant pour les entourages ! Il manqua de lui dire qu'elle était très sexy en infirmière, en même temps, la tenue était hyper moulante,et le côté minijupe lui allait pas mal....si seulement il avait eu des profs comme ça au lycée,il aurait pas mis des serpents dans la salle des profs, pour une fois où il avait été particulièrement subtile et propre ! Il fallait le reconnaître, il avait fait énormément d'autres horreurs, et bien pire.....pauvres enseignants de son époque....quoiqu'il devait encore y avoir ce super pachyderme qui ressemblait à un croisement entre un singe et un rhinocéros, un prof de japonais classique.....un putain d'emmerdeur qui avait autant de charisme et de sex appeal qu'une langouste qui venait d'être lyophilisé !

Le fait qu'elle reconnaisse qu'elle était pas un cadeau non plus était doux à ses oreilles, elle avait pas été un cadeau, ça c'est sur, mais bon, c'était ce que l'on appelait une femme, donc c'était compris dans le putain de contrat de location qui allait avec le prix de sa part de l'appart' !  Pour ça que c'était pas trop cher ! Il sourit en voyant le pack de bière,ça le tentait furieusement, et pas que ça d'ailleurs !  Après tout, il  avait à côté de lui une jeune femme en mini jupe, au décolleté jusqu'à la taille, à la poitrine fort attirante, et très agréable à tâter d'ailleurs....il avait pas fait grand chose de plus au final avec elle, mais bref ! Pas le sujet !  Il se laissa tomber sur le canapé à côté d'elle.

Elle s'excusa d'ailleurs pour son épaule, il haussa les....bon, okay, l'autre épaule, pas celle là ! Il commençait à avoir l'habitude de se prendre des putains de coups, une balle, c'était du pipi de chat !  De la merde en barre !  Là, ça picotait un peu, mais pas grand chose si on y réfléchissait ! Puis, fière comme un paon, tellement fière qu'elle d'avoir mis un pain, elle lui raconta le coup de la ventilation.....pas mal quand même ! Elle s'était bien débrouillé !

« Bien joué, beau geste ! Mais dis moi....tu as des bases de self-defence ? Non, je me contente de demander hein !  Prends le pas mal ! »

Il ne se retint pas de sortir une ânerie.

« Faut que je fasse gaffe à ce que je dis maintenant car je pourrai me prendre un gnon dans le pif ou dans l'oeil ! »

Il éclata de rire, avant de se retourner vers la jeune femme, dans une grande gorgée de bière...le pire là dedans, c'était qu'elle en serait capable, il préféra de suite arrêter de rire, questiond e sécurité, e de diplomatie....

« Pour en revenir à ce que tu disais sur ma tenue, la tienne est vachement bien aussi, c'est vrai quoi ! Elle te met sacrément en valeur ! »

Il se rapprocha d'elle, sur le canapé, ses yeux passant vite fait sur son physique à faire triquer n'importe quel mec, et dont la plastique faisait rêver !

« Tu vois, le truc c'est qu'étant donné mon état, avoir une infirmière à domicile, c'est le pied ! »

Il posa sa main sur sa cuisse avant de venir l'embrasser.

« J'adore les jolies infirmières..... »

Il se demandait si cette fois ci il ne faisait pas une nouvelle boulette mais en même temps, si on ne pouvait plus rien dire....et bon, si elle ne voulait pas en venir là en dévoilant un tel décolleté et en remontant la jupe à raz le terrain le jeu, bah elle savait pas encore assez bien qui il était !

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 62 jeudi 03 mai 2012, 15:31:41

" Je connais deux ou trois trucs. "

Quand on passe deux ans en colocation avec une championne universitaire d'arts martiaux on apprend forcément "deux ou trois trucs". Je n'ai fait que vivre sous le même toit, je l'ai aussi accompagnée plusieurs fois à la salle de sport. Ça elle m'en a appris des choses : elle passait la moitié de ses entraînements à retourner des gaillards sur le tatami, et la deuxième moitié à retourner ces mêmes gaillards dans les vestiaires. Inutile de préciser sur quel terrain j'étais largement à son niveau.

Sa petite réplique sur la prudence m'amuse, mais ce qui me fait rire c'est justement qu'il n'en rit pas tant que ça. Comme s'il avait déjà peur d'en prendre une. Est-ce que j'ai l'air si méchante que ça ? Apparemment pas vu qu'il n'hésite pas à s'approcher après un petit compliment sur ma tenue. Mais je n'ai pas de mérite : presque relevé jusqu'aux fesses et ouvert du col au nombril, cet uniforme me rapporterait vite une fortune sur le trottoir. J'ai beau être un femme pour le moins libre et libérée, l'idée ne me tente pas le moins du monde.

Et je vais déjà devoir payer de ma personne en tant qu'infirmière particulière. Un vrai calvaire en perspective mais je vais prendre sur moi... Ou en-dessous ? Sa main me fait frissonner en se posant sur ma cuisse alors qu'il se penche pour m'embrasser.

" J'adore les jolies infirmières... "

Une jolie infirmière à l'uniforme déjà bien ouvert, laissant voir son soutien-gorge, et assez relevé sur ses cuisses pour laisser voir le porte-jartelle assorti qui tient ses bas. Il faudrait être gay pour ne pas m'adorer, ou plutôt pour ne pas vouloir coucher avec moi. D'ailleurs je suis plutôt fière d'avoir sauvé ma lingerie. J'ai quand même sacrifié un tailleur dans l'histoire... Mais je crois que je n'y perds pas au change. Et je vais devoir me montrer à la hauteur de sa chère bécane.

" T'avais une drôle de façon de leur montrer à l'hôpital. "

Cela dit je n'ai pas croisé que des canons dans les couloirs. Je me redresse pour poser ma cannette de bière sur la table, et tant qu'à y être je roule sur le côté pour arriver assise sur ses cuisses, face à lui. On jurerait que ses yeux veulent sauter de leurs orbites pour plonger dans mon soutien-gorge. Moi je ne me gêne pas pour caresser son torse à travers son T-shirt, prenant bien soin de ne pas trop m'approcher de sa blessure.

" Tu vas devoir suivre gentiment ton traitement... "

Une de mes mains monte pour se glisser derrière sa nuque alors que je me penche avec un sourire aguicheur.

" D'abord un peu d'Hitomi par voie orale... "

Nous lèvres se rencontrent pour un long baiser. Pas une foire sauvage à finir attachés par la langue. Un baiser langoureux pour démarrer en douceur. Il doit déjà regretté de s'être rhabiller, en tous cas moi je le déplore. Mais ce problème sera très vite réglé, je ne m'en fait pas pour ça. Ma langue joue encore un peu avec la sienne. Mes lèvres partent dériver sur sa joue, puis dans son cou.

" ... et en application cutanée, beaucoup. "

Je compte bien m'appliquer, et continuer à descendre. La dernière fois je lui ai quand même fait un sale coup en le laissant sur sa faim. Cette fois c'est son tour de profiter, question de justice. Et je ne pense pas qu'il y trouvera à redire.


Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 63 vendredi 04 mai 2012, 15:53:04

Quoi ? Comment çail avait une drôle de manière de le montrer à l'hôpital ? Là bas c'étakt différent !  Entre les grosses, les thons et les mecs, y avait pas de jeune et jolie infirmière....pis y en avait pas d'aussi sexy non plus....enfin bref !  Elle allait pas se plaindre qu'il lui accorde un peu d'attention en plus, non ? Et on s'étonnait qu'il ne cherchât pas une relation stable, mais des coups intenses, brefs et incroyablement variés...la psychologie féminine, ça le dépassait de loin. Et il ne cherchait pas à comprendre, ce serait une trop grosse prise de tête, et sa cervelle en ferait des pop corns si il essayait !

Elle lui proposait un traitement....quand c'est une aussi jolie femme qui en parle, ça prend un certain charme.....un traitement, mais il faudrait qu'elle soit aussi capable d'endurer un traitement spécial préventif....incluant la col...enfin bref...si c'était elle qui dispensait le traitement alors là, aucun souci ! Il avait hâte de savoir ce qu'elle allait lui prescrire....il n'avait même pas l'envie de mener le débat, pour le moment ! Qu'ele dirige si elle y tenait, il ne garantissait pas de laisser durer cette manière de faire jusqu'au bout, mais pour le moment, ça lui conviendrait !

Elle annonçait à l'avance chaque chose qu'elle faisait, et si cela le « rassurait », lui qui aimait tant tout contrôler à ce niveau là, cette annonce était en même temps assez bien tourné pour qu'il ne s&ache pas à quoi s'attendre exactement touten se faisant une petite idée qui se confirmait ou pas par la suite.

La première prescription était assez évidente, un bon et long baiser. Sans vouloir trop la flatter, on sentait rien qu'à ce baiser, ce long baiser langoureux baiser, elle savait exactement quoi faire et quand, on sentait un peu beaucoup la femme d'expérience dans ce domaine, et ça, c'était intéressant !  Non pas qu'il ne l'ait pas déjà sentit avant leur interruption, mais là c'était différent !  Très différent !  Ce baiser fut doux, calme, posé, rien de fiévreux, de fort, de sauvage, non, juste de la langueur, et de la lascivité.

L'un dans l'autre, il fallait reconnaître que la jeune femme savait comment faire frissonner n'importe qui rien qu'avec ses lèvres et sans parler d'aller là où vous pensez. Car après ce long baiser, elle commença, après l'avoir précisé dans le traitement, à oindre la peau du jeune homme de baisers, il se laisse faire, avachi dans le canapé, l'invitant juste de ses mains posées sur son corps à rapprocher son corps du sien, et si elle caressait sa peau par des baisers, lui il caressait doucement sa partenaire avec les mains, passant dans son dos, griffant légèrement le dos de celle ci au travers de la tenue qu'elle portait de manière tout à fait charmante.

Doucement, ses mains  vinrent glisser sur les hanches de la jeune femme pour remonter lentement juqu'à ses aisselles, puis redesndre à nouveau jusqu'à sa croupe, appuyant légèrement pour l'inviter à se placer face à lui, pour qu'elle se place plus ou moins sur ses genoux pour continuer. Hors de question de rester à rien faire quand même !

"Je commence à me demander si je n'aurai pas besoin de soins semblables tous les jours..."

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 64 dimanche 06 mai 2012, 20:54:03

Hors de question de m'éloigner de lui avant demain matin. Son corps est tellement chaud, même à travers ses vêtements. Je n'en ai jamais assez de balader mes lèvres sur le peau de peau découverte. Celle de son cou est fine, douce. Je sens par endroit les veines qui palpitent en dessous, et par moment les poils de sa barbe de trois jours qui chatouillent ma joue. Un peu plus bas il y a son épaule, ou en dessous l'orée de son torse. Il y a du muscle sous la peau, encore plus de chaleur. Je le sens sous mes doigts à travers son T-shirt que je gratte doucement. Si ça pouvait suffire à me débarrasser de cet obstacle...

Gabriel ne reste pas les bras ballants, et je n'en espérais pas moins de sa part. Il me presse, il me pousse, me calant un peu mieux sur ses cuisses. Ses mains courent sur mon corps, grattent et griffent elle aussi. Mais cet uniforme me colle tellement à la peau que le moindre pli hachure ses attouchements. Heureusement mes fesses sont assez découverte pour le laisser sentir sa peau contre la mienne. Ses caresses me font frissonner.

" Je commence à me demander si je n'aurai pas besoin de soins semblables tous les jours... "

Moi je commence à être certaine que ce sera le cas. Et on ne fait que commencer. D'ailleurs le moment me semble bien choisi pour monter d'un cran, ou plutôt descendre. Je me redresse, laissant mes mains glisser sur son torse. La droite continue de descendre pour venir tâter son entrejambe. Ce que je sens là est en pleine forme. Je fais une moue douloureuse.

" Hou... Laisse-moi deviner : raideurs chroniques ? "

J'en viens presque à le plaindre d'avoir cette belle grosse queue coincée dans ses vêtements. Nous, les filles, quand on s'émoustille on peut très bien le cacher. Mais pour les hommes ça doit être aussi gênant qu'inconfortable. Plus je le sens enfler et durcir sous mes doigts, plus je le sens palpiter malgré le tissu qui l'étouffe, plus je me demande comment il se retient d'arracher son propre pantalon. Il faut dire que j'ai de l'avance d'une certaine façon : hormis ma lingerie je ne porte qu'un vêtement, et il n'est vraiment plus là que pour faire joli.

Je me penche un peu en arrière pour lui donner l'occasion de jouer aussi avec mon corps. Ma main presse toujours tendrement entre ses cuisses.

" Je crois qu'il falloir des soins très particuliers pour te soulager à ce niveau... "

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 65 dimanche 06 mai 2012, 23:43:27

La tenue la moule décidément trop pour son propre bien, mais il adorait ça !  Sentir sous ses mains les muscles et la chair au travers du tissu devait être agréable pour l'un comme pour l'autre, la nuit allait être longue, très longue, enfin, si elle résistait !  Ce qui n'était pas encore dit, cela débutait juste...et il ne doutait pas un seul instant de ses capacités dans une danse horizontale qui serait, sans nul doute possible, endiablée,surtout qu'il n'avait aucune envie de se limiter à une petite partie du reste de la journée, non ! Il comptait bien à passer une soirée mémorable !

Il profitait de tout le galbe de son fessier, le pétrissant, le malaxant doucement, plantant parfois ses ongles dans ses miches, mais jamais en cherchant vraiment à faire mal. A picoter un peu, tout au plus. C'est vrai quoi !  Il n'allait pas abîmer son corps, il ne manquerait plus que cela !  Quelques marques sur sa peau seraient un gâchis plus que certain. Elle se redressa, lui offrant une vue magnifique sur l'écart entre de ses magnifiques seins, et au premier plan sur la bande de son soutif. Et tandis quel'une des mains de la jeune femme descendait devant lui, l'une de ses propres mains remontait depuis son postérieur jusque dans son dos. L'objectif principal étant, après, de la rapprocher de lui pour qu'il puisse goûter aussi à sa peau, mais il s'abstint en sentant la main d'Hitomi descendre bien bas...ouep !  Là où vous pensez, exactement ! Mais elle tira une drôle de tronche....ce qui eut un peu le mérite de faire passer dans les yeux de gabiriel une très brêve, puisqu'elle s'estompa quand elle prit la parole, pour parler d'une raideur courante....il sourit, amusé....

Elle se cambra et il l'attira à lui, c'était comme une invitation, une invitation à laquelle il ne convenait pas de répondre non, rassurez vous il n'avait pas eu envie de répondre ainsi depuis le début. Il l'avait au contraire même, presque collée à lui, pour commencer par un baiser, avant de descendre par mordillements successifs, d'abord le longe de sa mâchoire, le long de son cou, on remontait légèrement sur la gorge.

Il ne répondit pas immédiatement quand elle parla de le soulager, et pour cause il était occupé à mordiller sa peau, mêlant cela à une légère succion, c'était dans un endroit toiut à fait adapté, la gorge, mais lui, il s'en fichait !  Pis un suçon, c'était mignon il trouvait ! Enfin, il prit le telmps de répondre.

« Je crois que la raiseur est même pas chronique vu que c'est un os.....mais c'est l'enflement qui me gêne, madame l'infirmière, j'crois que je vais finir par avoir un problème de circulation si vous ne faites rien.... »

Puis il se tut, plongeant son visage dans le décolleté de la jeune femme pour mordiller la naissance de sa poitrine, la main qui caressait son fessier cessant pour se glisser devant et finir de détacher le haut de l'infirmière, mais pas comme il le ferait normalement, non, il préféra glisser sa main le long de la fesse, rejoignant la cuisse, remontant sur le ventre, détrachant ce qui restait de bas en haut. Mais il ne le lui ôta pas, non, il se contenta de  le détacher,n elle voulakit l'enlever, elle le ferait....

Ladite main retourna bien voite d'où elle était venue...

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 66 mardi 08 mai 2012, 20:20:18

Gabriel me met vraiment dans tous mes états. À force de mordiller et suçoter mon cou il pourrait y laisser une marque, mais c'est le cadet de mes soucis. Chaque caresse de ses mains ou ses lèvres est un frisson de plus qui me donne le vertige. Ce qu'il dit me fait sourire. Je ne cherche même pas à comprendre son histoire d'os, le seul point commun que je vois c'est tout simplement que c'est dur. Et il en appelle aux bons soins de madame l'infirmière pour régler au mieux cet encombrant problème. Alors que je pense seulement à dévoiler tous mes atouts, il s'en charge à ma place. Les boutons de mon uniforme volé cèdent les uns après les autres, de bas en haut.

Mes cuisses se découvrent enfin, et leurs bas blancs. Puis les fines bretelles qui remontent jusqu'au porte-jartelles autour de mon nombril. La même dentelle fine que mon soutien-gorge, qui masque par ses motifs entremêlés ce que le reste laisse deviner. J'écarte ma main de son entrejambe pour le laisser voir ma culotte, dernière pièce de l'ensemble. Je la porte par-dessus le porte-jartelles, ce qui ne m'obligera pas à enlever ce dernier. Sa main repart sous l'uniforme grand ouvert pour caresser ma hanche puis glisser à nouveau sur mes fesses.

Je passe une main dans ses cheveux, l'accompagnant alors que ses lèvres sont descendues sur ma poitrine. Puis je me redresse pour mettre ma gorge hors de portée. Je baisse les yeux vers lui avec un mine autoritaire.

" Monsieur Valmy, vous n'allez quand même prendre vos médicaments avec leur emballage ? "

Je dégrafe mon soutien-gorge avec autant d'aisance que si je claquais des doigts. Car il s'ouvre par devant, c'est tellement plus pratique. Et dans notre situation tellement plus excitant. Si j'avais du tomber l'uniforme pour libérer ma poitrine, sans parler de la perte de temps, je n'aurais plus été qu'une coquine en lingerie. Mais temps que je garde cet uniforme, même complètement débraillé, je reste madame l'infirmière. Si notre fiasco monumental m'a appris quelque chose, c'est que Gabriel tient à la mise en scène. Et je dois dire que le jeu m'amuse beaucoup.

Je me penche à nouveau sur lui pour lui offrir ma poitrine enfin libre, et me cambre comme si mes fesses voulaient tripoter ses mains et non l'inverse. Ma main libre replonge entre nos deux corps pour venir masser son "os" à travers son pantalon. Il faut vraiment que je fasse quelque chose à ce sujet, mais je me laisse un peu de temps pour hésiter. J'ai une recette toute trouvée pour soigner ce mâle, mais je ne veux pas le priver trop tôt du reste. D'un autre côté ce que je sens sous mes doigts a l'air aussi pressée que moi que le pantalon de Gabriel lui tombe aux chevilles.

En fait je ne vois même pas pourquoi j'attends. Le sexe ou la médecine c'est du pareil au même, surtout dans notre cas. Je penche la tête pour soupirer à son oreille.

" Laissez-vous faire, monsieur Valmy. Il faut que je vous examine. "

Puis je repose les pieds au sol, entre ses jambes, et me laisse glisser le long de son corps pour arriver à genoux. Je tire son pantalon, qui révèle un caleçon dressé comme un chapiteau de cirque. Je le tire lui aussi pour enfin me pencher sur le "problème" que je prend délicatement d'une main en le détaillant du regard.

" En effet, ça a l'air grave... Vous sentez une amélioration si je fais ça ? "

"Ça", consiste à faire aller et venir pas main le long de son membre. De haut en bas, puis de bas en haut, lentement, sans trop serrer les doigts. Je lève les yeux vers son visage, attendant sa réponse.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 67 jeudi 10 mai 2012, 10:44:52

Alors qu'il commençait à doucement goûter à ses magnifiques oranges fermes, elle les retira de sa portée, se redressant !  Non mais ho !  Y a des choses qui se font ^pas !  Comme proposer un dessert sans passer par la case fromage, ou un apéro sans pure malt, il ne fallait pas retirer le pain de la bouche à Gabriel, surtout quand on le faisait saliver avant ! C'était pas réglo ! Et surtout pas juste!Il leva la tête, les yeux, vers les sien, comme si il allait protester,mais il s'abstint e,n voyant son regard, non pas qu'il aime qu'on le commande, mais plutôt qu'avec les paroles, il comprit que cela faisait partie de ce jeu qui lui plaisait énormément et qui était en train de se mettre en place entre eux. Un superbe jeu de rôle tout à fait plaisant ! Il sourit et se contenta d'opiner du chef. En effet, les médocs, mieux valait les prendre sans l'emballage, mais il aurait bien aimé défaire lui même cet emballage, avec les dents.....ouais, il l'avait déjà fait, il pouvait très facilement recommencer !  Ce n'était pas extrêmement dur, loin de là même !Enfin, si elle tenait à lui offrir le médoc sur un plateau d'argent, soit, c'était rare, mais il acceptait plus ou moins de se laisser mener à la baguette de temps à autres, mais jamais indéfiniment, il reprendrait la main, tôt ou tard.

Enfin, elle lui offrit un médicament, un délicieux médicament, qu'il saisit à pleine bouche, comme si il s'agissait d'une quelconque nourriture. Voracement, il avait saisi un de ses bouton de chair et commençait à le malmener légèrement, le mordillant plus ou moins fort, tirant dessus, avant de changer, saisissant l'autre bouton de chair pour le soumettre à un traitement similaire. Traitement auquel elle s'échappait alors que doucement, lentement mais sûrement , ses mains s'insinuaient vers les parties plus charnues de son anatomie, ses doigts habiles tentaient de trouver les bonnes zones, détaillant chaque millimètre carré, à la recherche de ce qui, hors intimité, la ferait gémir, non, mieux, la ferait crier...dommage qu'elle se dérobe trop tôt, trop vite!Pas juste....

Elle s'était laissée glissée sur le sol, à genoux, il se contentait de l'observer, faute de mieux, ses atouts étaient hors de portée, et elle semblait prendre un malin plaisir à l'empêcher de faire autre chose que d'être passif ! Bon sang, mais c'était pas bon pour ses nerfs, enfin, si madame l'infirmière estimait qu'il fallait agir de la sorte, et bien soit ! Alors qu'elle fasse ce qu'elle disait !  Qu'elle examine ! Et qu'elle examine tactilement tant qu'à faire !  Enfin, ce n'était qu'une suggestion mentale, mais hors de question de rester làà rien foutre il devait trouver une activité....

La main de la jeune femme se posa sur l'épée de chair du jeune homme, tout en délicatesse, alors qu'elle demandait si ce genre de traitement lui convenait, il était bien forcé d'admettre que c'était pas mal ! Mais attention !  Il ne se contenterait pas de cela. Avec un plaisir évident, il sourit et  lui dit :

« Je crois que oui......mais ça risque pas de faire empirer la raideur, madame l'infirmière ? »

Doucement, il alla caresser d'une main la joue de la jeune femme, il ne voulait pas se plier en deux, mais il avait encore des pieds... Alors il avait une idée. Il glissa sa jambe entre les genoux de la jeune femme et le laissa remonter le long de l'intérieur de ses cuisses jusqu'à un emplacement ô combien sensible et il commença à le frotter, du gros orteil.

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 68 vendredi 11 mai 2012, 01:22:22

Il joue le jeu, mais je sens qu'il n'est pas loin de péter un câble. Pour un peu j'éclaterai de rire. Il me caresse la joue comme pour faire diversion alors que son pied remonte entre mes cuisses. Je prends des risques à jouer ce petit jeu avec un partenaire si difficile à déchiffrer. Le dernière fois je me suis jetée toute chaude dans son bec et il m'a boudée. Cette fois il veut son infirmière sexy mais le jeu n'a pas l'air tout à fait à son goût.D'un côté je me venge un peu. C'est qu'après le fiasco de la baignoire il n'est pas le seul à être resté sur sa faim. je suis même tentée une seconde de serrer les cuisses, voir s'il va me refaire le même coup.

Mais ce serait nous laisser tout seuls chacun dans notre coin avec nos mains pour... pleurer. Je me mordille la lèvre une seconde alors que son orteil arrive enfin pour gratter ma culotte déjà humide. J'allais lui dire que ça risquait d'empirer encore avant de lui montrer de quoi je suis capable quand je ne dois pas retenir ma respiration. Mais j'ai une autre idée. Toujours aussi cruellement douce et lente dans mes caresses, je relève les yeux vers lui.

" Il va falloir un traitement de choc pour vous soigner... Je vais avoir besoin de votre aide. Allongez-vous ! "

Après tout, s'il veut participer. Je sais de quoi il est capable, et puis c'est pour son bien. Peut-être que c'est justement de jouer tour à tour qui nous a plombés la dernière fois. Mais ce soir on est plus dans la baignoire : on est sur le grand canapé. Il y a largement assez de place pour jouer ensemble.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 69 dimanche 13 mai 2012, 21:38:03

Rester passif était difficile, surtout pour lui, quelque soit le domaine, il était un homme d'action, un homme pour qui l'inaction était presque douloureuse!Il savait tolérer cette incapacité à agir pendant un petit moment, mais ça finissait toujours par exploser, et quand ça explosait.......essayez d'imaginer une bombe qui se charge en explosif au fur et à mesure du compte à rebours, bah là c'est le même principe ! Inutile donc de préciser que se tenir loin, dans ce genre de moment, était de loin préférable, sauf si un hyperactif sous dose massive de café et de redbull vous attirait, bien évidemment !

Il souriait, indéniablement, les longs aller et retour sur la hampe de notre chère anguille était agréables !  Elle avait du doigté....ou plutôt, vu la position, de la poignée, mais ne jouons pas sur les mots !  Elle était cruellement douée !  Pourquoi cruellement ? Parce que la lenteur du mouvement d'abord ascendant puis descendant qu'elle imprimait doucement ne faisait que garder chaud le morceau de viande, ça ne l'échaufferait davantage que trop lentement, cela ne lui convenait pas vraiment, d'autant plus que, hormis ses caresses du gros orteil, elle s'était placée hors de portée, comme pour volontairement le faire languir d'avantage, ce n'était pas humain !

Ah quelle douce vengeance elle exerçait là pour la manière dont il l'avait traitée dans le bain !  Il avouait qu'il ne s'y attendait qu'à moitié, mais bon, c'était de bonne guerre et il en aurait rit plus qu'autre chose, enfin bref !  Inutile de revenir dessus ! Match nul et basta ! Elle prit kla parole. Il ne s'attendait pas à une vacherie, peut être à un et toc bien mérité, mais non, elle continua ce jeu de rôle. Un traitement de choc qui nécessite de s'allonger ? Voila qui devenait plus intéressant, et la suite était assez prévisible !  Mais pourquoi le signaler , Il ferma sa grande gueule, et pas de soucis, hop, reglé !

Il obtempéra sans difficulté en espérant qu'elle n'allait pas prendre cette mauvaise habitude qu'était celle de diriger les ébats, lui il l'avait déjà prise, donc  autant qu'il continue, mais inutile que quelqu'un tombe encore dans ce vice et qu'on le laisse faire !  Noble idéal pourrait-on croire, mais si on connaît Gabriel, on sait qu'il ne s'agit là que d'une pure hypocrisie qui lui sert de fausse bonne excuse pour garder la maîtrise des choses. Ah oui, aurai-je omis de dire que Gabriel n'était pas du genre à accepter le non-maîtrisable, Il partait du principe qu'il y avait le maîtrisable d'un côté, et rien de l'autre, tout étant une question de moyen, d'ingéniosité, et de volonté, tout était résumé là dedans !

Quand il eut fini de s'installer, il vit que la jeune femme se plaçait au dessus de lui, dans l'autre sens, lui offrant une vue imprenable sur son puits d'amour, et le reste aussi d'ailleurs, enfin, à) travers le tissu de sa lingerie bien évidemment !  Doucement, il fit glisser ses mains le long des jambes, partant des chevilles, remontant le long des mollets, dans le creux du genou, le long des cuisses, passant sur ses bas qu'il ne lui ôterait sans doute pas de la soirée, à quoi bon d'ailleurs, pis les jarretelles, c'était sexy ! Surtout quand on les portait bien, ce qui était le cas de la jeune femme ! Il remonta donc les mains jusque sur le fessier de la jeune femme avant de redescendre, hors de question, de même, de lui ôter sa culotte de suite, non, il avait bien l'intention de la lui laisser, à dessein bien sur !

Il leva la tête pour aller doucement mordiller sa chair, juste en dessous de la dentelle de la culotte, sur sa chair à nue juste au dessus de la jarretelle. Puis,doucement, il descendit le long de celle ci, mordillant doucement à travers le bas de la jeune femme jusqu'à mi cuisse pour recommencer de l'autre côté, enfin, il commença à réellement  s'intéresser à son entrecuisse !  Ses doigts se mirent à caresser doucement la limite de la culotte alors qu'il soufflait doucement sur cette zone ;

« Si vous le permettez, madame l'infirmière, je dois d'abord préparer le médicament avant de le prendre ! »

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 70 mardi 15 mai 2012, 14:27:35

J'espère que ça va lui plaire. En tous cas ça a l'air. J'ai à peine posé les genoux de part et d'autre de sa tête qu'il s'est mis à caresser mes jambes. Je commence à me demander si son surnom "l'Anguille" vient bien d'un gang. La façon dont ses doigts glissent sur ma peau vaut bien la comparaison. Penchée sur son corps, je me contente de profiter au début. Ses caresses me chatouillent un peu, et épicent les vagues frissonnantes qui se diffusent en moi. Je fait rouler ma tête entre mes épaule le temps d'un soupire presque rieur.

Puis je sens son souffle approcher de ma peau qu'il commence à mordiller. Il reste encore à l'écart de ma lingerie, mais s'en approche. Je baisse les yeux vers son membre, bien dressé juste devant mon visage. Ma main vient se poser sur le ventre de Gabriel pour descendre lentement. Tout en caressant je passe sous son pantalon pour le faire descendre encore un peu, de même avec son caleçon. Je m'aventure du bout des doigts entre ses cuisses musclées. Puis je reviens, frôlant au passage ses bourses avant de prendre à nouveau sa chaude lance en main.

" Si vous le permettez, madame l'infirmière, je dois d'abord préparer le médicament avant de le prendre ! "

Comme si j'avais pensé à autre chose en lui collant ma petite culotte sous le nez. Remarque c'est bon signe : si la chute de ses fonctions cérébrales est proportionnelle à son érection ça veut dire que je lui fait de l'effet. Je baisse la tête pour essayer de voir son visage entre nos deux corps. Avec ma poitrine sur le chemin, j'aperçois à peine son menton. Maintenant que j'y pense mes cheveux doivent être en train de le caresser juste sous le nombril.

" J'imagine que vous savez quoi faire ? "

Dans tous les cas tu vas vite piger, mon joli. D'abord je dois pousser un peu plus loin mon examen. Je relève le visage vers son membre et commence à en dessiner les contours du bout de la langue. En effet la raideur a empiré. Les tissus sont enflés et brûlants. C'est inquiétant. Heureusement pour lui la gentille infirmière est sur le coup, toujours prête à donner de sa personne ! Et même si c'est toujours pas remboursé par la sécu, un petit bisou pour chasser la méchante douleur ça fait toujours plaisir.

En tous cas j'aime bien, juste pour l'échauffer encore un petit peu. Quand on en viendra à la rééducation de sa ceinture abdominale, je sens que j'aurais pas besoin de m'accrocher aux rideaux pour sauter jusqu'au plafond. Mais ça se prépare. Du bout des lèvres, à grand renfort de salive et de jeux de langue. Cela dit ne suis pas certaine de rester aussi tendre et douce tout du long. Je n'ai rien d'une frigide et il est loin d'être un amateur. À force de s'effleurer et de se torturer par frustration on va tous les deux péter un câble.

C'est peut-être moi qui vais finir par lui rentrer dedans, au figuré bien sûr.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 71 mardi 22 mai 2012, 15:23:03

Se retenir de rire, se retenir de rire....il était persuadé qu'elle le prendrait mal si jamais il se mettait à rire. Mais en même temps, ses cheveux venaient chatouiller son ventre, comment ne pas avoir envie de rire dans pareilles conditions ? Bah c'est simple, c'est comme quand tu envies de pisser en pleine réunion, tu te contiens et tu la fermes ! Enfin, ça, c'est la théorie, la pratique c'est plutôt du genre à tu te retiens tant bien que mal ou tu limites les dégâts ! Il profitait clairement du fait que sa langue commençait à  venir toucher son cerveau primaire pour étouffer son rire dans un soupire de contentement, bon, maintenant, agir pour éviter que cela ne recommence !

Doucement, laissa aller des mains dans une série de frôlements le long de l'extérieur des cuisses de la jeune femme, les laissant continuer leur trajet, passant lentement sur son fessier, redescendant sur son ventre plat, continuant ainsi un magnifique voyage en terre pas si inconnue que cela au finalement. Il passe au large des deux magnifiques stalactites -  à moins que ce ne soit stalagmites,  oh et puis on s'en foutait ! Et enfin, doucement, revenant vers leur point de départ, il en profita pour  écarter sa magnifique chevelure de feu qui cascadait de part et d'autre de son corps de rêve !

Oui, un corps de rêve, surtout depuis la vue qu'il en avait !  Beaucoup de filles pouvaient être considérées comme les crevettes que l'on vous sert à table, on laisse tomber la tête pour leur bouffer le cul !  Mais chez Hitomi, il n'y avait rien à enlever, rien du tout ! C'était  franchement loin d'être vilain à regarder, quelque soit la couture que l'on observe ! Et surtout celle qu'il observait en ce moment même ! Quoiqu'au final, il ne voyait rien de vraiment intéressant, elle avait encore sa culotte, quoiqu'il espérait bien qu'elle en devienne translucide au bout d'un moment, si il ne la virait pas d'ici là pour entrer dans le vif du sujet....au sens propre bien évidemment !

Une chose est sûre, elle sait se faire désirer en en faisant le minimum ! Et pas qu'un peu en plus !  Juste ce qu'il faut, pas plus ! Douée, expérimentée, elle avait tout pour elle !  Mais si elle croyait que cela suffirait, elle se plantait lourdement !  Tlui aussi, même si iln'était pas du genre à tailler dans la subtilité, savait y faire ; Il hésitait juste un peu sur la manière.....sur un avec ou sans... pic, dic,douille, c'est toi l'andouille, ce sera sans !

Doucement, ses doigts se glissèrent sur son fessier, il s'agissait plus de frôlements là, non, mais de caresses marquées, appuyées même, une main sur chaque fesse, il en tâtait le galbe, la texture, la fermeté. Mais aller croire que cela serait tout....non, pas du tout ! Elle avait bien d'autres points sensibles ! Celui ci par exemple....

La main gauche quitta sa position pour venir doucement saisir à bout de bras, pas confortable pour lui de faire ça, mais qu'importe, l'un de ses deux monts qui ornaient son buste pour le masser, pinçant doucement le bouton de chair, jouant avec, massant le reste de cette partie de son corps avec une douceur qui n'était pas coutumière et qui, il fallait s'en douter un minimum, ne durerait sans doute pas !

Doucement, ses lèvres vienrent se poser entre ses cuisses, contre sa culotte, pour y déposer un baiser avant de  faire glisser l’arête de son nez au même endroit, puis, doucement, il se mit à souffler sur sa peau aux bordures du sous-vêtement, jouant avec celles ci du bout de la langue, comme un pied de nez, comme si il disait :  c'est ça que tu veux, hein ? Hé bah tu attendras ! » Mais il n'avait aucune ment l'intention de la faire attendre très longtemps puisqu'il  finit par revenir caresser la culotte du bout des lèvres. Oui, il savait pertinemment quoi faire !

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 72 mercredi 23 mai 2012, 21:31:40

Je n'ai peut-être pas de diplôme d'infirmière mais je suis sûre que mon patient m'adore. En tous cas il ne manque pas d'apprécier ce que je lui met sous... sur ?... enfin devant le nez. Et même le reste, qu'il explore de ses mains qui n'ont rien de tâtonnantes. Il connaît déjà tout, j'imagine que c'est pour ça que la balade ne dure pas trop. Ou je fais monter la pression un peu trop vite ? Non, je ne pense pas. Je retiens justement d'en faire plus donc ça ne peut pas être trop. Mais je suis rassurée de le sentir palper mes fesses à pleines mains. J'ai encore un peu peur que les préliminaires nous fauchent en plein élan, comme la dernière fois.

Mais tout semble bien parti, comme une de ses mains qui revient s'occuper de ma poitrine. J'ai de plus en plus de mal à me tenir tranquille. Quand je pense qu'il est en tête à tête avec ma culotte qui s'imbibe de plus en plus. Comment il fait pour résister ? À sa place je l'aurais déjà écartée pour me faire un festin de ce qu'elle cache. Et je ne dis pas ça pour vanter mes attraits : j'ai déjà été à sa place. Et...

" Ahin ! "

Je commençais à désespérer, mais soudain je regrette presque de sentir ses lèvres à travers le tissu fin et trempé de ma petite lingerie. D'autant qu'il me caresse avec... Un doigts ? Non, autre chose. Mais il ne va pas plus loin. Je ne peux pas m'empêcher de tortiller des chevilles et des orteils. J'en veux encore, j'en veux plus ! Et j'ai du mal à ne pas réclamer. Ses mains, son corps juste en-dessous du mien, le goût de son sexe, sa chaleur sur ma langue et entre les doigts, son odeur qui m'est montée à la tête. Au milieu de tout ça je n'arrive plus à jouer l'infirmière. Si j'ouvre la bouche ce petit fantasme va voler en éclats et il va...

Minute, ma grande... Évidemment que je n'ai qu'à ouvrir la bouche pour en demander plus. Ordonner, même ! Il suffit de me lâcher la bride, ce que je fais immédiatement. Je passe une dernière fois la langue sur son membre tendu, de la base au sommet, puis arrivée là... Arrivée là c'est lui qui devient le docteur parce que j'ouvre grand pour enfourner son gros thermomètres, à l'américaine vu que là-bas ils prennent la température par la bouche. Et vu qu'il a des origines françaises j'espère qu'on va traverser l'Atlantique avant de finir notre longue examen.

En attendant je me laisse aller. Beaucoup moins tendre mais tout aussi appliquée, je prends ma revanche sur la baignoire. Plus rien ne m'empêche de dévorer le membre de Gabriel, de jouer avec comme je brûle de le faire depuis le premier jour. Parce qu'il ne faut non plus oublié qu'il me plaît, de plus en plus alors que ses lèvres reviennent s'occuper de ma culotte. Je pense qu'il ne va plus tarder à monter d'un cran, en tous cas j'ai lâché prise. Je me gave comme une affamée, je me force presque à engloutir autant de chair ferme et brûlante que ma bouche peut en contenir.

Mais je ne suis pas non plus une sauvage. De temps en temps je le libère, comme pour le laisser respirer. D'autres fois je presse son gland entre mes lèvres et ma langue, je l'étouffe pour mieux lui plaire. Et ma main continue d'aller et venir à la base de sa hampe, montant prendre le relais et étaler la salive que je laisse en relevant la tête. Je pense qu'il sera bientôt guéri de sa raideur tenace, mais je ne lui en voudrais pas qu'il craque un peu trop vite. Chacun son jeu au final : s'il ne m'en donne pas assez, alors moi j'en donne trop...

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 73 jeudi 24 mai 2012, 15:59:30

Elle en voulait plus ? Lui aussi ! Et il n'avait aucune intention de cesser de jouer, il était impatient de nature, certes, mais il savait très bien jouer le temps, le jouer de manière à ce que plus que du désir, cela devienne une obsession, il allait prendre son temps pour la faire devenir folle, complètement folle. Chassez le naturel, il revient au galop ! Il souriait alors qu'il jouait à caresser la culotte trempée du bout du nez, l'embrassant aussi régulièrement ! Parfois, des réflexions bizarres viennent nous assaillir aux moments les plus incongrus. Bah voilà, il se disait que si jamais il s'amusait à frotter du bout du nez les lèvres intimes de sa partenaire en cet instant, il risquait un encombrement des voies nasales puis une lente noyade....idée saugrenue et complètement idiote, mais peu importait !

Tout le corpzs de la jeune femme montait qu'elle en voulait plus, et il comptait bien en avoir plus aussi ! Que chacun fasse son boulot on pourrait dire, mais là, c'était plutôt que chacun fasse son travail avec l'autre ! Il sentit sa lame entrer dans un délicieux fourreau, un fourreau de chair gardé par une rangée d'ivoire tout autour. Un fourreau diablement agréable, bien chaud, humide, parfait !  Mais attention, le fourreau seul ne suffirait, il fallait encore que celui aiguise la mae pour après la transpercer de part en part !  Mais chaque chose en son temps ! Soupirant de délice, comment ne pas aimer cela, après tout, surtout quand on sentait qu'elle savait y faire, il se dit qu'à travers cette gâterie fort plaisante qu'on lui offrait, il s'agissait d'une invitation à en faire plus !  Vraiment ? Et bien soit ! Quittant sa poitrine, sa main glissa sur son ventre plat, doucement, lentement, se dirigeant vers la culotte doucement, alors qu'il se mettait à donner des coups de langue au travers de celle ci, doucement.

Il continuait de jouer de la sorte alors qu'elle astiquait, aiguisait, préparait sa lance pour la joute, quoique le terme de lance, soit bien excessif pour cette dague, il ne fallait pas exagérer hein !  Certes, il était bien foutu, mais il n'était qu'un homme !  Il n'avait pas plus que certains, et bien moins que d'autres, mais mieux valait une moyenne qui marche qu'une grosse qui déconne et qui fait tout foirer !  Pis peu importe le calibre, il suffisait de savoir d'en servir à bon escient !  Il connaissait des personnes qui, mal foutues au niveau de cet organe arrivaient à combler de manière incroyablement efficace leur manque de taille par lez doigts et la langue ! Et leur partenaire criait bien plus que la sienne lors de ces parties de jambes en l'air assez org....bref ! Et ce toute manière il s' était toujours cru capable de très bien se débrouiller, il était fier d'être un bon coup !.

Il continuait donc de jouer au travers de la culotte jusqu'à ce que a main, celle sur son fessier, se glisse dans la culotte pour continuer son massage du postérieur à même la peau, mais la langue continuerait encore un peu ses perfides manigances ! Perfides, oui, étant donné qu'il n'avait aucunement l'intention de virer la culotte de suite ! Je le rabâche, je sais, mais bon, comprenez, le narrateur se fait vieux ! (et s'éclate à faiore du remplissage grâce à des débilités, alors stop!)

Les doigts de son autre main jouaient eux aussi, entre deux coups de langue, pinçant doucement, il ne savait pas si elle aimait un brin de douleur, donc il n'avait aucune intention de tenter le coup, il ne voulait pas tout foutre en l'air, encore.Il eut un râle, léger, mais un râle quand même, avant de dire.

« Je ne sais pas si votre traitement est efficace, mais une chose est sure, ça fait beaucoup de bien, madame l'infirmière ! »

En parlant en termes médicaux, il comptait bien vérifier son état de santé à elle aussi, il avait déjà la laryngoscopie en cours, l'utéroscopie et la rectoscopie seraient à prévoir pour un bilan correct ! Mais bon, il n'était pas médecin....et il ferait avec les outils du bord !

Il finit par écarter la culotte, le temps de donner deux ou trois coup de langue sur son puits d'amour, puis il  la remit en place pour continuer par dessus la culotte, il se mit à alterner ainsi, deux coups sans pour cinq avec ! Et il tentait de rester contant dans le rythme. Mais plus il faisait cela, plus il avait envie de faire péter la culotte une bonne fois pour toute !

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 74 dimanche 27 mai 2012, 15:46:57

Mais quel sadique, ce type ! Je lui parle de traitement de choc et il ne me donne que de l'homéopathie. Il a fini par sortir sa langue, mais un coup sans la culotte, deux coups avec. Ça avance pas vite, cette histoire ! J'espère qu'il tiendra la longueur une fois lancé dans les choses sérieuses, parce qu'il faudra plus compter que je me retienne. D'ailleurs j'ai bien envie de démarrer sans lui demander son avis, et à moins de débander à la vitesse de l'éclair ou de me repousser il n'y échapperait pas. Mais il serait encore foutu de jouer son blasé et de me prendre comme si ça l'emmerdait. S'il fait tomber ainsi toutes ses conquêtes en dépression nerveuse il n'a vraiment pas de quoi se la péter. Je dirais même qu'il gâche un gros potentiel, et je m'y connais dans ce genre de gros potentiel.

Qu'est-ce que je peux faire ? Maintenant que je suis lancée, si je ralentis il risque d'en faire autant. Si j'accélère je pense pas obtenir mieux qu'un troisième sans la culotte par série. Je suis bloquée. J'ai l'impression de faire du sur place et ça nuit méchamment au plaisir qu'il me donne. Mais je vois pas comment traduire "pitié met-moi un doigt" en termes médicaux. Et je vais pas le lui sortir comme ça. Je suis prof de langue, au niveau du vocabulaire je me dois de respecter un certain standing. Je suis sûr qu'il sent dans quel état je suis et que ça lui plaît. Si la domination y est, la méthode désacralise bien le mythe bourrin du mâle alpha.

Entre le plaisir et les nerfs j'arrive pas à me concentrer pour trouver une formule. De toutes façons il faudrait que je me calme pour la dire sur le bon ton. Pourtant c'est le but : il veut que je le supplie... Ou que je m'endorme. Aurais-je loupé une réplique de notre mise en scène où il se présente comme anesthésiste ? Heureusement que je pense tout ça au lieu de le dire, il le prendrait sans doute mal et sortirait se trouver un "bon coup". Mais qu'il la ramène à l'appartement pour voir ! Je la fait fuir ou je la lui pique sous le nez !... Intéressant, faut que je garde cette idée en tête.

C'est bien la première fois que je me disperse autant pendant les préliminaires, avec un mec normal je veux dire. Parce que pour un gars qui marche à l'électricité, je le trouve pas très survolté. J'aurais peut-être dû voler un défibrillateur à l'hôpital ? C'est pas bon, trop de réflexions complexes qui se forment alors que j'ai encore les lèvres autre de son membre. Je commence à me dire que je pourrais corriger mes copies en même temps pour faire d'une pierre deux coups. Il est en train de me passer l'envie de prendre un congé, ce qui serait normal après ma mésaventure d'aujourd'hui. Forcément je peux pas chasser de ma tête la calamiteuse expérience de la baignoire. La dernière fois que j'ai pris les devants il m'a gentiment rembarrée. Et aujourd'hui y'a que ma culotte qui s'amuse !

Le comble c'est quand même que malgré tout ce que je lui fais, il a pas franchement l'air de chauffer. C'est démoralisant. S'il fait tomber ainsi toutes ses conquêtes en dépression nerveuse il n'a vraiment pas de quoi se la péter. Je dirais même qu'il gâche un gros potentiel, et je m'y connais dans ce genre de gros potentiel. Y'en a marre, je craque ! Tant pis si ça lui suffit, cette fois il pourra pas la ramener. Fini les demi-mesure, j'enfourne une énième fois son membre et cette fois je ne relâcherais pas avant de le faire jouir, ou qu'il me supplie d'arrêter.

Juste sous mes lèvres ma main continue de le masturber, un peu plus vite. Je serre les lèvres autour de son sexe, et quand j'en ai le souffle j'aspire. Je le comprime entre ma langue et l'intérieur de mes joue. Je force le rythme quitte à le sentir taper au fond de ma gorge un coup sur deux. C'est sans doute l'une des fellations les plus rageuses que j'ai données dans ma vie, en tous cas elle est bien dans le top dix. Ma tête monte et descend tellement vite que j'en ai le tournis, et bizarrement ça fait de la place pour les autres sensations. Ses petits coups de langue retrouvent un effet plus intense, mais pas encore assez.





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