Rester passif était difficile, surtout pour lui, quelque soit le domaine, il était un homme d'action, un homme pour qui l'inaction était presque douloureuse!Il savait tolérer cette incapacité à agir pendant un petit moment, mais ça finissait toujours par exploser, et quand ça explosait.......essayez d'imaginer une bombe qui se charge en explosif au fur et à mesure du compte à rebours, bah là c'est le même principe ! Inutile donc de préciser que se tenir loin, dans ce genre de moment, était de loin préférable, sauf si un hyperactif sous dose massive de café et de redbull vous attirait, bien évidemment !
Il souriait, indéniablement, les longs aller et retour sur la hampe de notre chère anguille était agréables ! Elle avait du doigté....ou plutôt, vu la position, de la poignée, mais ne jouons pas sur les mots ! Elle était cruellement douée ! Pourquoi cruellement ? Parce que la lenteur du mouvement d'abord ascendant puis descendant qu'elle imprimait doucement ne faisait que garder chaud le morceau de viande, ça ne l'échaufferait davantage que trop lentement, cela ne lui convenait pas vraiment, d'autant plus que, hormis ses caresses du gros orteil, elle s'était placée hors de portée, comme pour volontairement le faire languir d'avantage, ce n'était pas humain !
Ah quelle douce vengeance elle exerçait là pour la manière dont il l'avait traitée dans le bain ! Il avouait qu'il ne s'y attendait qu'à moitié, mais bon, c'était de bonne guerre et il en aurait rit plus qu'autre chose, enfin bref ! Inutile de revenir dessus ! Match nul et basta ! Elle prit kla parole. Il ne s'attendait pas à une vacherie, peut être à un et toc bien mérité, mais non, elle continua ce jeu de rôle. Un traitement de choc qui nécessite de s'allonger ? Voila qui devenait plus intéressant, et la suite était assez prévisible ! Mais pourquoi le signaler , Il ferma sa grande gueule, et pas de soucis, hop, reglé !
Il obtempéra sans difficulté en espérant qu'elle n'allait pas prendre cette mauvaise habitude qu'était celle de diriger les ébats, lui il l'avait déjà prise, donc autant qu'il continue, mais inutile que quelqu'un tombe encore dans ce vice et qu'on le laisse faire ! Noble idéal pourrait-on croire, mais si on connaît Gabriel, on sait qu'il ne s'agit là que d'une pure hypocrisie qui lui sert de fausse bonne excuse pour garder la maîtrise des choses. Ah oui, aurai-je omis de dire que Gabriel n'était pas du genre à accepter le non-maîtrisable, Il partait du principe qu'il y avait le maîtrisable d'un côté, et rien de l'autre, tout étant une question de moyen, d'ingéniosité, et de volonté, tout était résumé là dedans !
Quand il eut fini de s'installer, il vit que la jeune femme se plaçait au dessus de lui, dans l'autre sens, lui offrant une vue imprenable sur son puits d'amour, et le reste aussi d'ailleurs, enfin, à) travers le tissu de sa lingerie bien évidemment ! Doucement, il fit glisser ses mains le long des jambes, partant des chevilles, remontant le long des mollets, dans le creux du genou, le long des cuisses, passant sur ses bas qu'il ne lui ôterait sans doute pas de la soirée, à quoi bon d'ailleurs, pis les jarretelles, c'était sexy ! Surtout quand on les portait bien, ce qui était le cas de la jeune femme ! Il remonta donc les mains jusque sur le fessier de la jeune femme avant de redescendre, hors de question, de même, de lui ôter sa culotte de suite, non, il avait bien l'intention de la lui laisser, à dessein bien sur !
Il leva la tête pour aller doucement mordiller sa chair, juste en dessous de la dentelle de la culotte, sur sa chair à nue juste au dessus de la jarretelle. Puis,doucement, il descendit le long de celle ci, mordillant doucement à travers le bas de la jeune femme jusqu'à mi cuisse pour recommencer de l'autre côté, enfin, il commença à réellement s'intéresser à son entrecuisse ! Ses doigts se mirent à caresser doucement la limite de la culotte alors qu'il soufflait doucement sur cette zone ;
« Si vous le permettez, madame l'infirmière, je dois d'abord préparer le médicament avant de le prendre ! »