De toutes les parties du corps d’Alice, Gauvain fit assez rapidement son choix, optant pour le morceau le plus utilisé, celui qui procurait souvent le plus grand plaisir : la petite fente filant entre les jambes d’Alice, ce délicat trou, pas très épais, mais qui pouvait devenir, dans certaines circonstances, comme en ce moment, une partie éminemment centrale. Alice s’étala au milieu du lit, écartant ses jambes, offrant au Chevalier, sans aucune once d’hésitation, son corps. Il l’avait mérité, et, en tant que Korvander, Alice était très attachée à ces notions-là, et était d’autant plus encline que Gauvain, non content d’être bien bâti, lui plaisait beaucoup.
Il l’encouragea à se laisser aller, et elle se contenta de sourire. Inutile de le lui répéter ; elle avait déjà remarqué avec Cirillia tous les effets que le sexe provoquait sur elle, et Gauvain ne tarderait pas lui-même à les remarquer. Il alla entre ses cuisses, comme elle avait pu le faire avec Ciri’, et commença à la lécher de l’intérieur. Sentir cette langue se glisser entre ses cuisses, se promener sur son petit trou, titiller sa rosette, provoqua en elle des frissons intenses de plaisir, et elle appuya avec sa main sur les cheveux courts de Gauvain, les serrant, veillant à bien plaquer sa tête contre son intimité assoiffée, se mettant à mouiller.
« Huuuummmm… soupirait-elle. Oh oui, oui, oui, oh, continuez ainsi, M’sire Gauvain ! »
Elle l’encourageait, le caressait, grattait ses cheveux, le laissait se faufiler en elle, et continua ses soupirs et ses cris de plaisir en sentant ses doigts se faufiler en elle. Simple ébauche avant le gros morceau, estimait-elle, mais c’était une ébauche très attirante, à tel point qu’elle vint à se demander de plus en plus quel effet cela ferait, de sentir un sexe masculin en elle. Était-ce plus douloureux ? Plus excitant ? Pareil ? Elle tremblait de plaisir, remuant son corps, s’enfonçant au milieu de ses soyeux draps.
« Oui, oui, ouiiiii, c’est bon, oh ouiiii !!! s’égosillait-elle. Encore, encore, ENCORE ! Vite, plus vite, plus vite, là, oui, là, comme ça, oh… »
Elle hurla certains mots. Son corps réagissait de manière très sensible à ce genre de câlins, car elle n’y avait pas été habituée énormément dans sa vie. Aucune mère pour lui faire des câlins le matin, et, si certaines servantes s’y étaient essayées parfois, cela restait rare. Quant à son père, quand elle pleurait devant lui parce qu’elle s’était fait mal au pouce, il lui cognait le dos si violemment qu’elle ne ressentait plus aucune douleur au pouce, mais plutôt dans le dos, forme comme une autre, dans le fond, de lutter contre le mal.
Un tourbillon de pensées, de désirs, faisait tourner son esprit, alors qu’elle continuait à placer ses mains sur Gauvain, lui envoyant sa mouille sur la figure. Elle plaça l’une de ses mains pour caresser l’un de ses seins, continuant à se laisser faire, sur le point d’atteindre son premier orgasme, ce qu’elle ne tarda pas à faire sous ce traitement, crachant de nouveaux jets de sa liqueur intime, sentant des élancements et de délicieux frissons de plaisir remonter le long de son corps rougi par l’effort, bouillonnant de chaleur.