Il la vit se diriger vrs les documentations pour enlever la carte...attendz une minute....pourquoi enlever la carte ? Sans elle, plus de triangulationn de la prochaine zone d'action du tueur ! Mais quel était son but ? Il ne comprit qu'en voyant qu'elle plaçait en lieu et place de la carte qu'il avait placé, une autre, plus précise, ou bien plus de croix, noirs et rouges apparaissaient. Il pensait lui demander ce que cela signifiait, mais ele enchaîna directement sur quelques mots.
« Non, Monsieur Eckart, vous n'avez pas à vous excuser. C'est moi qui est agit comme une sauvageonne, c'est donc à moi de présenter des excuses. Je me suis arrangé avec votre serviteur pour que vous ne soyez pas ennuyé. Je payerai. Oublions cela vous voulez bien ? Concentrons nous sur notre objectif commun. Oh et s'il vous plait, je suis loin d'être une Lady...alors Lana c'est suffisant. »
Oh ? Vraiment, mais les êtres qui se nourrissent de chair et ou de sang méritaience tire de manière presque nécessaire, comme les différencier du commun des mortels si on ne les élevait pas par un titre ? Être considéré comme l'un de ces pitoiyables humains e dégoutait, mais peut être qu'il devait considérer Lana comme quelqu'un d'humain....non, en fait elle était plus que cela, mais moins qu'un vampire, hélas, mais si proche en même telmps des deux....c'était vraiment troublant...
Il observa la carte quelques instants, pendant que la demoiselle devait s'installer, comme il le lui avait proposé. Cette carte mettait en valeur cinq meurtres, quatre meurtres qui étaient étrangement axés autour d'un bâtiment, et cela, à trois reprise, soit une douzaine de meurtres bien organisés autour d'un seul et même bâtiment, à l'exception d'une zone. Pourquoi ce schémas lui rappelait quelque chose en particulier ?
Bon, il y reviendrait plus tard. Il reporta son attention sur son hôte qui venait de s'installer dans un excellemnt fauteuil, de l'autre côté du bureau. Il ne prit pas place immédiatement, attendant qu'elle se soit bien mise à l'aise. Pour discuter, c'était mieux, en effet, être bien installé et un peu d'alcool déliait les langues de manière très prononcée....
« Je n'ai pas autant d'informations que vous, il faut que je vous avoue que j'ai compris seulement ce matin qu'un autre que moi s'agitait dans l'ombre. Sur la carte que je viens de poser, vous y verrez tout les crimes que la police attribut à l'Hannibal de ces lieux et ce pour la dernière année. Moi donc. Les noires m'appartiennent effectivement, les rouges, elles, sont celles de notre inconnu. Il y en a six ou sept. Vous verrez, il est simple de voir qu'elles sont plutôt regroupées. Notre homme travaille dans un territoire restreint, autour d'un lieu, un bar mal famé où les Yakuzas côtoient des femmes mariées en quête de sensations fortes. J'avais pensé me faire passer pour une de ces femmes pour attirer notre homme. Je pense être suffisamment...attrayante. C'est aussi pour ça que vous m'avez trouvé dans cette ruelle, je voulais m'imprégner de son odeur, pour ne pas me tromper. Voilà, c'est tout. C'est maigre, j'en conviens. »
Intéressant, ainsi, elle cmptait aller en infiltration chez ces mafieux pour trouver le coupable. Mais la question que se posait le vampire était de plus en plus marquée dans son esprit :est-ce qu'ils cherchaient dans la bonne direction ? Il aurait mis sa main au feu que non. Et ce n'était pas des meurtre non prémédités, tout était trop parfait....il en eu un frisson dans le dos.
Il se servit un verre de poire et fit de même pour la jeune femme, et après avoir posé le verre de celui ci sur un dessous de verre à ses côtés il s'assit pour prendre la parole à son tour, il parla lentement, comme si il réfléchissait en même temps, et c'était cela, ses méninges tournaient à plein régime.
« Ce qui est intéressant de remarquer, c'est que tout les crimes qui sont votre sont désorganisés, sont au hasard, enfin, ce que je veux dire par là, c'est qu'il n'y a pas de raison à ce qu'ils soient autrement disposés, ils ont été retrouvés là où ils ont été tués, je dirai un peu au gré de votre faim. ALors que les meurtres rouges, eux, sont plus organisés, on les dirait presque organisés sur trois cercles prévus à l'avance pour cela. C'était comme s'il y avait autre chose derrière...regardez.... »
Il prit une feuille de papier calque pour ne pas écrire sur la carte, et après superposition, il traça des cercles, trois, qui tournaient autour d'un pâté de maison.
« Mais là où vous faites erreurs, c'est au sujet du bar, je ne dis pas qu'il n'y est pas allé, c'est juste que le véritable centre est dans l'immeuble juste à côt.... »
Il ne finit pas sa phrase, il avait compris l'horrible vérité de prévue derrière. Il se leva d'un bond et se dirigea vers les ouvrafes du fond de la pièce. Il déposa sa main sur une plaque métallique, l'air grésilla et il passa pour aller toucher de vieilles couvertures de livres, en cuir. Si la jeune femme tenta d'en placer une, il l'interrompit de la amin, il cherchait un ouvrage très particulier, non, deux en fait, deux ouvrages très dangereux dont il n'avait que des copies imparfaites, des copies qui restaient toutefois très dansgereuses dans le sens où elles contenaient une grande majorité de vérité, à sa connaissance il était le seul à avoir les ersatz, ce qui voulait dire que le tueur avait les orriginaux...
Enfin, il les trouva, ils étaient couverts de poussière, les pages étaient jaunies. Il les posa sur le bureau et entreprit de feuilleter le premier avant de le tendre à la jeune femme. Sur la gravure à côté du tesxte, un cercle magique à trois niveaux était dessiné et ensuite remplis de symboles dont les points d'intersections coincidaient avec les emplacements des meurtres...Il savait désormais où il avait déjà vu cela, c'était de la nécromancie...
Pour le reste, il déposa l'autre lire, plus livide que jamais.
« Si jamais on intervient pas, nous ne serons plus de ce monde à l'éclipse, nous avons deux jours, et je sais pourquoi, et d'où le tueur agit. »
Il pointa du doigt l'immeuble attenant au bar
« Est-il habité ? »
Il semblait presque affolé...l'ultime éclispe allait avoir lieu à cause des délires thaumaturgiques d'un malade mental ! Il devait intervenir !