Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

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Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 30 vendredi 09 mars 2012, 14:58:39

Alors qu’elle retournait auprès de Liam pour discuter, c’est lui qui vint à elle. Il lui annonça qu’il voulait lui offrit quelque chose. C’était un peu soudain et il avait visiblement grand-hâte qu’elle le découvre.

- Un présent mais…ne deviez-vous pas attendre demain pour me l’offrir ?

A dire vrai, le présent promis par Liam pendant le diner lorsqu’elle avait parlé de Konoe, elle avait mis une croix dessus au vu des évènements qu’elle avait elle-même précipités. Elle n’eut pas le temps d’y réfléchir, que le vampire l’attirait à lui tout en lui offrant un baiser si doux qu’elle en ferma les yeux. Elle senti alors quelque chose être déposé dans le creux de sa main. Elle voulut regarder mais Liam tenait dès lors ses mains pour occulter sa vue. Elle dû reconnaître l’objet à tâtons, se laissant guider sans protester. L’idée lui traversa l’esprit qu’elle pouvait bien aller dans un cachot où Liam tenterait de commencer un dressage sur sa personne mais, lorsqu’elle se coupa le bout du doigt avec la lame elle trouva fort ridicule sa pensée. A moins qu’il soit joueur et très sûr de lui, ce dont elle ne doutait pas, il était passablement dangereux de la laisser avec un tel objet si le but était de la contrarier.

Quand sa main toucha un objet moelleux et humide elle sursauta. Pas de peur, mais bien de surprise. Il ne lui fallut que quelques secondes pour comprendre. L’odeur du sang venait allécher ses narines et elle s’en mordit la lèvre faisant perler un peu de sang. Elle enfonça ses doigts plus profondément dans la plaie, ne sachant pas dans quel parti de l’anatomie de cette victime ils se fichaient. Elle n’avait pas fait enlever la main de Liam lui cachant la vue, préférant l’expérience comme ça. Elle ressentait que plus intensément la chair céder sous la pression de sa main. Elle perçu rapidement quelque chose de plus dur, un os probablement, et elle força le passage. Un craquement se fit entendre. L’homme émit un cri, signe de sa douleur. Elle reconnut enfin qui elle allait torturer. Un sourire sadique se posa sur son visage.

Elle retira sa main de l’antre chaude que lui offrait le serviteur. Sa main remonta jusqu’à sa bouche et elle lécha le sang qui lui recouvrait les doigts. Elle se délecta du gout, un peu salé et amer. De sa main armé du scalpel, en faisant très attention à tourner la lame vers le serviteur, elle fit glisser la main de Liam sur sa joue, pour enfin découvrir sa surprise, voir le visage empli d’horreur et d’une légère souffrance. Elle n’en avait pas fini avec lui mais Lana lui planta avec violence le scalpel dans la cuisse. L’endroit n’était pas hémorragique ni mortel, l’homme ne servait que de table de délestage. Lana souhaitait avoir les mains libres un moment se servant de lui comme d’un fourreau.

La jeune femme se retourna sur elle-même pour faire face à son hôte. Elle se glissa doucement dans ses bras, tout en se hissant sur la pointe des pieds et que ses bras s’enroulaient autour du cou du vampire. Elle lui offrit  un nouveau baiser mais un baiser différent de ce qu’elle avait pu lui donner dans l’étude. Plus fiévreux, plus passionné, plus ensanglanté aussi. La cannibale avait encore sur les lèvres le sang du serviteur qui se mélangeait au sien. Arriverait-il à distinguer les deux ? Ce n’était qu’un avant-goût de ce qu’elle lui offrirait plus tard, quand elle le laissera mordre son cou…Pour le moment, elle profitait pleinement de l’instant. Elle était bien, emplie de lui, de sa présence, de son odeur, de sa force virile, de sa protection. Elle se sentait complète et n'aspirait à rien d'autre qu'à cette merveilleuse sensation d'apaisement.

Le baiser échangé dura plus longtemps que les deux précédents, Lana y distillai toute la passion qu’elle avait tenté de refouler en cette soirée. Elle laissa sa langue envahir sa bouche. Il avait exactement le goût dont elle avait rêvé, le goût fort et épicé du péché, ce péché contre lequel on l'avait si souvent mise en garde et dans lequel elle s'était immergée. Ses craintes s’effaçaient. En lui offrant cet homme, il avait répondu à de ses questions et apaisé son cœur et son esprit. Elle finit par rompre ce baiser, sans hâte, laissant son visage à quelques centimètres du sien. Elle dévia sa tête, ses lèvres laissant un sillon de baiser chaud sur la joue glacial de Liam. Elle remonta jusqu’au creux de son oreille qu’elle mordit gentiment prouvant qu’il avait allumé un certain désir en elle. Bien que le désir charnel soit présent, elle était animée d’un autre désir, un désir d’une douce et lente vengeance.

- Je vous remercie pour ce présent…vous avez su toucher là où il fallait. Maintenant, je dois vous avouer…je ne suis pas habituée à faire ce genre de chose, je risque d’être malhabile…Laissez-moi commencer seule mais n’hésitez pas à me guider…à m’apprendre.

En entendant ça, le serviteur paniqua. Jusque-là il avait compris que Lana allait le torturer et que cela était inévitable, il ne savait pas de quoi elle était capable et l’ignorance rassure parfois. Il n’avait pas envisagé que Liam mettrait son grain de sel et il savait que trop bien comment le vampire s’y prenait et de quelle genre de souffrance il allait faire naitre chez lui. Il se débattit entre ses liens, s’excusant mille fois, suppliant son Maître de le laisser, expliquant qu’il ne recommencerait plus. Lana se retourna sur sa surprise les yeux brillant d’excitation. Par où commencer ? Par là où tout avait commencé, ses yeux. Elle avait en mémoire son regard que trop lascif sur sa poitrine, elle allait lui rendre la monnaie de sa piece. Elle reprit le couteau en main le tirant en tournant la lame dans la chair pour approfondir la plaie et la souffrance.

Elle attrapa la nuque du pendu pour l’immobiliser et la lame pointa vers le globe du prisonnier. Elle voulait simplement faire sortir l’œil de l’orbite mais lorsque la lame toucha le point sensible, elle perça l’iris qui se dégonfla comme un ballon laissant un trou béant. Mécontente, elle voulut essayer avec l’autre œil. Elle obtint le même résultat, montrant qu’elle n’avait vraiment pas l’habitude. Elle fronça les sourcils défaite pas son incompétence. Quand elle chassait pour se nourrir, Lana ne prenait pas le temps de trop torturer ses proies ayant peur de se faire repérer par quelqu’un. L’utilisation d’autre chose que ses dents était aussi une nouveauté, et c’était bien plus délicat que de croquer  à même la chair. Elle se mordit une nouvelle fois sa lèvre  inférieur et lorsque le sang fut mélangé à sa salive  elle cracha sur les orbites vidées. Presque immédiatement, les yeux se reformèrent.

- Voilà, tant que je n’y arriverais pas…on recommencera !

Dans l’idée, elle voulait faire sortir l’œil sans pour autant lui couper la vue. Elle avait vu que cela était possible en regardant un documentaire à la télévision…Pourquoi ne pas essayer puisqu’elle avait un cobaye sous la main ?  Il serait dans l’incapacité de fermer les yeux et serait obligé de tout observer…sans rien pouvoir y faire, avec bien entendu, la douleur de l’acte en cadeau.

Liam Eckart

Créature

Elle sembla surprise du fait qu'il lui fasse un présent, mais ce cadeau lui faisait plaisir, il le sentait, et ça, ça lui suffisait doucement il la guider, son corps contre le sien, alors qu'elle enfonçait les doigts et donc la lame dans la plaie du cadeau qu'elle n'avait pas encore vu de ses yeux, continuant de creuser les chairs jusqu'à briser l'os qu'elle croisait, doucement, il sentait son souffle, et doucement, il lui souflaitdans le cou quelle situation délectable, le sang qui se mêlait à son parfum délicieusement odorant, ilavait envie d'embrasser ce cou qui s'offrait à lui, aussi simplement que cela, l'embrasser, et le mordre, déguster son sang qui devait être enivrant, non, il ,e devait pas l'être, il l'était, rien qu'à l'odeur quand elle se mordit la lèvre, il le devina. Il sentait le plaisir qu'elle allait éprouver à en faire plus, et lui, il l'encourageauit pleinement, elle voulait lui faire  du mal, et ce serait un vrai plaisir, et bien soit, qu'elle se fasse plaisir ainsi, lui même, fut tout émoustiller de cette sensation quand il entendit le premier cri, tout comme le second quand elle planta la lame dns ses chairs, au niveau de la cuisse.

Elle porta sa main à ses lèvres et lécha le sang de ses doigts...bon dieu ce qu'il adorait ce simple geste ! Il en eut un frisson de délice... Puis elle se tourna vers lui, et son regard passionné mit fin à la seule question qu'il allait lui poser, ce qu'il pensait de cette situation....elle était ennivrante, elle était excitante, elle était parfaite, et son regard, brulant d'une flamme qu'il n'avait que trop rarement vu....

Doucement, il la laissa se glisser dans ses bras, il la laissa conquérir ses lèvres alors qu'elle l'enlaçait, ce baiser, contrairmeent au premier était plus fougueux, plus passionné, plus enflammé, là ou le premier était oint de pudeur, celui ci se montrait clair, affiché, fougueux, et ses lèvres couertes de sang....hmmmmmmh un tel délice, il lui en léchait les lèvres au passage vant de sentir l'appendice lingual de la jeune femme se frayer un chemin entre ses lèvres alors qu'il la serrait contre lui, corps contre corps, lèvres contre lèvres, langues contre lague, alors qu'il savourait les deux sangs si différents, tellement différents que mariés ensemble il avait l'impression d'avoir le jour et la nuit en même temps....

Cela lui donnait une nevie folle de la mordre, d'enfoncer ses crocs dans sa gorge chaude pour gouter le sang qui s'en écoulerait, qu'il avalerait gouluement avec une envie non dissimulée. Il voulait que ce corps à corps continue

Le baiser prit fin bien plus vite qu'il ne l'aurait voulu, par, une caresse de ses lèvres sur sa joue et d'un mordillement de l'oreille avanr qu'elle n'esprime une parole de gratitude pour le présent, mais aussi pour avouer son inexpérience, et cela avait du bon en un sens, Liam savait peut être où frapper pour faire crier, mais dans son ignorance elle pouvait faire bien pire, vraiment pire, et ça, ça le mettait dans tous ses états....

Il se contenta d'opiner du chef, reprenant un corps à corps tout autrej se plaçant dans le dos de Lana, l'enlaçant alors qu'elle crevait une prmière fois les yeux de la victime qui tentait de se débattre comme un beau diable, mais il était bien attaché, et il ne s'en irait pas, mais quel dommage au'elle lui ait si vite crevé les yeux, il y aurait eu tant de choses à faire avec ceux ci....

Toutefois sa mine semblaut plus ou moins déconfite, comme si elle n'avait jamais eu cette intention....et cela il le comprenait, la maladresse du débutant, et cela, hélas était trop tard, ou pas, il allait faire en sorte que les yeux se reforment, dans la douleur la plus insupportable,  mais la jeune femme le prit de vitesse, faisant à nouveau couler son ichor vermeil sur son doigt, ichor qu'il rêvait d'avaler, alors que sa gorge semblait tellement offerte, il se retenait juste de la mordre, mais vraiment tout juste ! Et en crachant son sang à la figure de ce mort en sursis, ses yeux se reformèrent, pour qu'elle réessaye....pratique,, même si il préférait sa méthode....

Souriant à ses paroles, il choisit ce moment pour lui rendre la monnaie de sa pièce, il allait lui expliquer la méthode qui conviendrait à son acte, il n'avait pasbesoin d'un quelconque film pour comprendre qu'elle voulait juste l'énucler, alors, souriant, il laissa remonter  l'une de ses mains qui étaient posées sur son ventre alors qu'il souffalit doucement dans son cou, vers sa main qu'il sait pour lui indiquer les bons mouvements.L

« Il te suffit te trancher la paupière  et ensuite d'utiliser le manche comme un levier, ça sortira sans dommage, ni difficulté... »

Et tout sourire, il lui mordilla l'oreille avant de lui embrasser le cou, c'était quelque chose de si bon, cette proxumité, ce désir qu'il éprouvait pour elle, ce désir qui venait de la situation actuelle, il avait envie que cela continue, aussi,  la laissa-t-il faire alors qu'il se remettait à caresser son ventre doucement, l'observant faire couler le sang....en cet instant, il la voyait se baignant dans le sang et en ressortir, et cette image lui donna des  frissons d'excitation, de désir, alors qe dans une nouvele caresse, il venait lui saisir les mains pour qu'elle noue les nerfs optiaque entre eux....

« Amuse toi donc un peu avec avant de commencer à jouer, vraiment. Et imagine le...écorché vif....et toujours vivant alors qu'il n'a plus un seul centimètre de peau, qu'il n'a plus que de la chair à vif ou planter une lame ou plein d'outils qui se trouvent dans la pièce à côté, ous les outils de torture dont tu pourrais rêver, ma petite chérie.... »

Changement de ton, changement de formulation, tout cela était loin d'être fait exprès, et il s'en foutait ! 

Lana Dubravka

Créature

Il prit les choses en mains pour lui montrer comment énucléer l’homme. D’une main habile il lui fit  ouvrir la paupière avant de faire sortir l’œil de l’orbite. Bonne élève, elle fit la même chose, seule, sur l’autre œil. L’ouvrage était parfait, à croire qu’elle avait ça dans le sang. Peut-être que  oui en vérité, simplement inexpérimenté. Elle émit un « Oh » de stupéfaction en le laissant  une nouvelle fois guider ses gestes. Il venait de lui faire  nouer les yeux entre eux. Elle ne s’y attendait pas ne sachant pas que cela était possible, imaginant la chair trop fragile pour ça. Le corps  humain recèle de certains secrets qu’elle devra percer !

Elle écouta les dires de Liam qui sonnèrent comme une douce mélopée à ses oreilles. C’est à ce moment qu’elle se rendit compte de deux choses. La première était qu’il avait cessé de la vouvoyer et la seconde, qui fit mouche dans son esprit, était le petit nom dont  il l’avait affublée. Elle ne put réprimer un sourire conquis. Avait-elle dépassé le simple stade d’invité ? Elle l’espérait. Profitant de ses caresses et de ses baisers qui la font fondre, elle relâcha la tension qui exacerbait ses nerfs. Elle se laissa gagner par l’alanguissement, sa tête se renversa pour aller se poser sur l’épaule de Liam. Un  instant, ses yeux se ferment. Elle repense à ce que vient de lui dire l’homme qui l’encercle de ses bras. La vision de l’homme totalement ensanglanté aiguise ses envies. Des idées germent et ne demandent qu’à être exprimées !

Elle se tint sans bouger, les yeux clos, tentant de calmer les battements désordonnés de son cœur qui résonnaient dans ses oreilles, de retrouver une respiration calme et mesurée, mimant celle du dormeur. Sa main libre vient se poser sur la joue de Liam qu’elle caresse avec douceur. Elle remonte un peu plus la tête contorsionnant son cou de manière à pouvoir cueillir sa bouche dans un baiser voluptueux et passionné. Elle se rend compte qu’elle a du mal à se détacher d’elle. Tout son être palpitait, aiguillonné par les baisers avides, par les morsures dans sa nuque, par l'intense chaleur qui, envahissait sa colonne vertébrale, la faisant frémir, se répandant dans tout son ventre. Elle aurait voulu continuer sa lente descente dans les feux de  l’Enfer mais une voix interrompit la scène, rompant le charme.

- Ne voyez-vous pas ce qu’il fait ? Il vous laisse me faire toutes ces choses et ensuite il vous mettra à ma place, vous serez suppliciée de la même façon…

Et il continuait de parler, seul, encore et toujours. Mais Lana n’écoutait qu’à moitié, préférant de loin le son qu’émettait le souffle du vampire dans le creux de son cou. Cependant, ça l’agaça suffisamment pour que la main armée vienne gifler la joue du parleur. Gifle qui n’en fut pas  une, la lame transperça la peau, ouvrant  une continuité a la commissure des lèvres du pendu. Certain appelle ça un sourire arabe…du moins là, c’était juste la moitié. Il en poussa un cri. Cela réveilla les ardeurs de la jeune femme. C’était ce qu’elle voulait entendre, des cris de douleurs, de souffrances…pas ce babillement qui l’avait précédemment fait douter d’elle-même.

Liam avait parlé d’une pièce adjacente  où étaient réuni tant d’objets qui pourraient faire gonfler son imagination…et bien soit, elle se décida  à aller voir là-bas. Vraiment à contrecœur, elle dut sortir de l’étau qu’avait forgé Liam autour d’elle pour se déplacer. Elle garda naturellement une main dans la sienne, l’attirant à sa suite. Elle découvrit à l’intérieur de la pièce un grand nombre d’objets. Elle n’en reconnu qu’un quart. Elle devint alors comme une petite fille chez un marchand de glace, incapable de choisir un parfum. Elle fit le tour en embrassant du regard l’ensemble de la pièce. Elle devra se contenter de prendre des choses qu’elle connaît.

- Oh Liam, il va falloir me montrer toutes ces choses et  la façon de les utiliser !

Lana partait du principe que, malgré le fait qu’un homme voulait se débarrasser des non morts, ils le tueraient et ensuite, ils seraient libre de faire ce que bon leur semble. Cette soirée n’était qu’un moment de détente, ou un avant-gout, une façon de faire naitre les envies enfouies profondément en Lana…Elle attrapa plusieurs ustensiles, des pinces, des lames, des aiguilles…et elle ramena ses petits trésors vers son cadeau. Elle allait lui faire perdre la parole sans pour autant faire cesser les cris. Elle déposa son fatras sur une table juste à côté et sélectionna un tisonnier, une pince et un couteau mal aiguisé qu’elle déposa dans le feu du brasero qui éclairait la geôle. Pendant que celles-ci rougeoyaient joyeusement, Lana attrapa un autre objet qu’elle enfonça au niveau de  la mâchoire pour l’empêcher de fermer la bouche le temps qu’elle opère. Elle le laissa comme ça, le temps que la pince et la lame ne soient prêtes. Elle vit sa bouche s’assécher un peu par manque de déglutition. Pour patienter elle s’amusa à enfoncer les aiguilles sous les ongles du pauvre bougre. C’était pas simple vu sa position mais  l’entendre crier pour de si petit objet ne pouvait être que de bon augure pour la suite. Bien sûr, ce n’était pas là que pour décorer ! Voyant ses ustensiles prêts à être utilisé, la jeune femme s’empressa de les saisir.

Elle commença par attraper la langue de vipère et la maintint tirée au maximum à l’aide de la pince incandescente. L’homme cria comme un fou ce qui instilla en Lana un frisson qui remonta doucement le long de son échine. A l’aide de son autre main, elle passa la lame légèrement émoussée sur la base de la langue et elle commença  la découpe. Une découpe sans vraie finesse, une découpe peu droite qu’elle du reprendre plusieurs fois…Lana avait volontairement prit la lame mal aiguisée  pour rendre la chose plus difficile, plus douloureuse. Le fait que la  lame soit chauffée à blanc fit pousser des hurlements de damné. Elle trancha avec une lenteur exaspérante pour le pendu qui malgré l’absence de ses yeux dans leurs orbites laissa perler des larmes. N’était-ce pas mignon comme tout ? Arrivant à la fin de la découpe, elle termina en arrachant le dernier lambeau de chair qui retenait l’appendice.

Un grand flot de sang était en train de s’écouler de la plaie. Pour éviter que l’homme ne se noie à cause de son propre sang, elle décida de refermer la plaie. Elle appliqua le tisonnier brûlant sur la plaie pour la cautériser alors que l’homme partait dans un nouvel hurlement…mais peut-être que Liam allait commencer à s’ennuyer ?

Liam Eckart

Créature

La sentant se laisser aller dans ses bras n'arrangeait pas son état, bien au contraire !  Si elle se laissait aller, il avait envie, sérieusement, de ne pas la laisser reprendre, de continuer à l'embrasser ainsi, sans fin, mais voilà, il y avait une victime sur le feu....il n fallait non plus trop le faire attendre, ce serait dommage, non ? Surtout quand il parlait à tort et à travers, se voyant octroyer une nouvelle blessure, poussant un nouveau hurlement qui fit frissonner Liam contre la jeune femme, frissoner, certes, mis pas de peur, ho non !

En plus, elle désirait tâter un peu des différents jouets que Liam avait accumulé ! Elle avait totalement accès à ceux ci, et ce, autant qu'elle le désirait, elle pouvait déjà presque se comporter comme si elle était chez elle sans le moindre souci ! Elle alla donc se servir dans la réserve. Qu'avait-elle pris ? Épingles, tenailles, couteau émoussé – une des armes favories de Liam – et tisonnier, et elle fit chauffer le tout dans un brasero, sauf les épingles, qu'elle s'amusa, non sans difficulté mais pas de gloire à triompher sans mal, à piquer sous les ongles !  Ça c'était vraiment bien, ces parties là étant particulièrement sensibles ! Brave petite !  Elle se débrouillait très bien sur le coup !

Et pendant qu'elle prenait le couteau et la tenailles tous deux chauffés à blanc, il comprit ce qu'elle avait l'intention de faire et tendrement  - incroyable non ? - il  recommença ses baisers et ses caresses, regardant avec attention chacun des gestes qu'elle faisait pour découper à renforts de délectables hurlemens la langue du supplicié ! Et ces hurlements étaient si......il 'y avait pas de mots !  Sur le corps de la jeune femme, les caresses, lentement, se faisaient plus osées et plus lascives, décidément, il avait trouvé quelqu'un à sa hauteur !

Qund le sang gicla, quelques gouttes du flots atteignirent le joli poignet de la jeune femme alors qu'elle finissait dans un hurlement du serviteur de cajutériser la plaie au tisonnier, il prit avec douceur le poignet de la jeune femme pour le porter à ses lèvres et il embrassa la zone recouverte d'ichor avant de la lécher très lentement. Puis il lâcha le poignet pour embrasser avec passion la jeune femme, lui rendant ainsi un baiser qu'elle lui avait offert il y a peu.

« Tu te débrouilles si bien, on croirait que tu es loin d'être d'une débutante en la matière !  Et cette manie de toujours rechercher les cris....j'adore ça..... »

Il avait murmuré ces derniers mots, comme un secret, une confidence, une fiévruse confidence avant un nouveau baiser ses mains dvalant dans une cascade de caresse la chute de ses reins.

« Je crois que je sais où ranger le tisonnier pendant qu'on ne l'utilise pas ! »

Il sourit avant de doucement poser sa main sur la sienne, celle qui tenait le tisonnier, et avec douceur, d'une pression de son corps contre le sien, il l'invita à tourner autour du prisonnier, laissant  courir le tisonnier sur sa cuisse avant de se stabiliser au niveau de l'oeillet au milieu de la raie des fesses pour d'un d'un coup sec, l'y enfoncer violemment dans un nouveau hurlement à s'en faire péter les cordes vocales. Nouveau hurlement qui, comme chacun d'eux chez lui avait toujours cette vertu émoustillante.

« Ses cris sont délectables, ne trouves-tu pas, ma petite chérie ? »

Il se remit à lui mordiller l'oreille, lui carerrser l'abdomen des deux mains, voir lui caresser plus par moment, que ce soit en montant ou en descendant, il perdait la tête avec elle....première foi d'ailleurs qu'il n'avait pas assez de sang froid pour faire quelque chose ? Qu'était-ce donc ? Il ne le savait pas, et il s'en foutait royalement !

Lana Dubravka

Créature

Quand Lana avait vu Liam se saisir de son poignet pour en lécher le sang, elle eut  un léger soupir de bienêtre. Un instant, elle senti les dents du vampire venir frôler sa peau et cela lui fit l’effet d’un arc électrique qui remonta dans son bras pour aller soulever sa poitrine dans un gémissement plaintif. Elle désirait qu’il la morde, elle désirait cette morsure, presque inconsciemment. Elle se laissa entrainer par Liam, elle se laissait bercer par ses gestes, elle se laissait aller à la douceur des caresses, à l'enivrante suavité de cette peau blanche et parfumée qu'elle effleurait avec délectation, en se disant qu'il n'y avait qu'en rêve, dans les plus merveilleux rêves, que les sensations étaient aussi pleines et aussi subtiles à la fois. Et elle se sentait bien décidée à goûter ce rêve jusqu'au bout ! Aussi sa bouche accueillie la bouche jumelle qu'animait un désir si pareil au sien. Et elle lui répondit avec ardeur, fiévreusement, les yeux clos sur la magie de l'instant, fortement, comme si elle craignait que son vampire ne disparaisse si elle ouvrait trop vite les paupières. Ce baiser au gout cuivré par le sang, la faisant fondre comme neige au soleil…

Oui, elle aimait les cris de douleurs de cet homme, tout comme elle aimait entendre les cris de ceux qu’elle dévorait avec lenteur. Elle vit le geste comme s’il était fait au ralentit, vivant chaque centimètre qui l’amenait inexorablement vers cette effusion dans tout son être. L’homme se raidit sous l’intensité de la douleur, valsa dans de nombreux soubresauts. Chacun d’entre eux étaient autant de raison pour Lana de se presser contre Liam, vibrant avec lui, comme un écho à son plaisir.
- Oh oui, j’aime entendre sa souffrance, je l’aime intensément…mais bien moins que tes baisers !

Elle l’embrassa encore une fois, profondément, intensément…Elle le sentait plus présent, plus aventureux et ce n’était pas pour lui déplaire. Elle sentait la sensualité dominer ses gestes, il était en train de lui faire perdre peu à peu le fil du moment, elle ne souhaitait qu’une chose, qu’il continue. Son corps s’arc boutait pour presque fusionner avec celui de Liam. Elle le désirait c’était certain. Et puis elle vit son présent se calmer, ses spasme s’atténuer. Son corps semblait se pétrifier et surtout, il ne sortait que de faibles gémissements de sa bouche. Elle attrapa alors un couteau. Elle fit passer le long de sa peau, au niveau des clavicules, la lame cette fois ci bien tranchante.

- N’aie pas d’inquiétude mon beau cadeau, je vais juste t’arracher la peau…

A ces mots, l’homme se rua dans ses liens en suffocant presque, criant de tout son saoul. La peur le rendait incontrôlable. Bien lui en prit de bouger ainsi, le tisonnier dans son fondement se ficha plus profondément, lui arrachant l’intérieur de son être. Un nouveau cri s’extirpa de sa gorge. Lana en ria. La lame qu’elle faisait glisser fini par s’enfoncer, tout juste sous l’épiderme. Elle entame une lente descente de celle-ci. Elle se frayait un chemin sur sa peau, elle le tailladait de haut en bas, de bas en haut. Au fur à mesure de ses pérégrinations, la lame traçait une jolie mosaïque sur le torse du condamné. Des fin sillons rouges ornaient l’entièreté de son buste découvrant un tracé de bandes, plus ou moins longues, plus ou moins larges. Quand elle fut satisfaite de son dessin, Lana cessa de jouer avec son couteau. L’homme respira un peu, espérant qu’elle se lassait de  lui, qu’elle avait fini son œuvre…

La jeune femme reprit une pince dont les pointes doraient tranquillement dans le brasero. Elle passa la tenaille sous les yeux di pendu, qu’il voit bien ce qu’elle avait en main. Il cilla et des plaintes incompréhensibles sortirent de sa gorge. Elle posa l’extrémité de la pince à l’encoche d’une des bandes de peau qu’elle attrapa. La chair brûla dégageant cette odeur si caractéristique. Et puis, d’un coup sec, Lana arracha la bande de peau. Nouvel hurlement torride…Lana recommença, s’y reprenant parfois à plusieurs reprises ayant mal prédécoupé son œuvre. Peu à peu, un damier se découvrait. Du rouge se mélangeant au beige. Un beige au ton tirant sur le rosé du au sang qui coulait sur ce qui restait de peau. Le sang emplissait les narines de Lana, emplissait ses poumons. Elle  finit par ses laisser complètement aller dans les bras de Liam savourant ce délicieux mélange de sang et de chair cuite. De sa main, l’outil lui échappa et tomba, dans le tintement spécifique au métal, au sol.

Elle n’en eut cure et se retourna vers son vampire croisant son regard enfiévré. Depuis tout ce temps qu’il parcourait son corps lascivement, elle s’en retrouvait vaincue. Son sang bouillonnait. Son ventre se réchauffait. Ses nerfs s’électrisaient. Son corps tout entier réclamait justice. Elle posa ses doigts sur le col de la chemise de celui qui avait fait chavirer son cœur. Sans précipitation, les doigts défirent le premier bouton du vêtement blanc. Sa bouche vint gouter la peau mise à nue. Ses doigts continuèrent leurs descentes ouvrant  lentement le chemisier. Quand elle arriva au dernier bouton, elle souleva les pans de la chemise pour les écarter, découvrant ce torse sur lequel ses mains s’empressèrent d’aller. Elles glissèrent à l’unisson, ses doigts dessinant avec douceur les marques de ses muscles. Elle fit glisser une de ses mains sur son dos, caressant la courbure de ses reins, effleurant du bout des doigts la naissance des monts jumeaux de ses fesses. Foutu ceinture ! Son autre main se glissa plus loin sur le cou, le long de la veine où aurait dû pulser un sang enfiévré, s'égarant sur son épaule avant d'aller se fixer sur ses pectoraux pour reprendre sa savante caresse. Ses lèvres s’enjoignirent à suivre la main pour déposer quelques baisers sur la peau si fraiche…

- Dis-moi mon amour…me prêterais tu une de tes esclaves après ? Une qui soit douée de sa langue ou de ses mains…ou une à punir gentiment ?

Elle n’en dit pas plus, comptant un peu sur la confiance qu’il allait lui accorder. Cependant, avait-il noté le « après » ? Avait il comprit en sentant les bras de Lana venir s’enrouler autour de son cou, son corps se coller au sien et sa bouche venir cueillir un nouveau baiser empli de désir que la jeune femme n’avait nullement l’intention de le laisser partir ?
« Modifié: samedi 24 mars 2012, 18:48:17 par Lana Dubravka »

Liam Eckart

Créature

C'est amusant comme parfois, les sentiments vous rappelaient violemment, lui qui n'avait plus rien éprouvé d'autre que colère, rage et dégout, et le voilà qui aimait ! C'était amusant, non ? Unêtre froid, réputé pour ne rien éprouver de positif qui semblait aimer. Enfin bon, il falait de tout pour faire un mond eet bien verrouiller cette sensation au fond de lui, la pire chose qu'il pouvait apprécier était à venir et quand elle viendrait, il faudrait la rejeter violemment quitte à en subir les conséquences : la pitié, la compassion, des mots bien gênants et bien encombrant, il ne devait pas les éprouver, sous peine de se voir ruiné en un rien de temps, un marchand d'esclave qui fait dans le sentimentalisme, on aurait tout vu ! Non mais ho !  Il allait bientôt finir par croire que la simple présence de Lana faisait toute la différence et le rendait complètement dingue.

En même temps, qui ne renverrait pas sa raison au vestiaire avec une telle compagnie ? Il n'était sans doute pas le premier à se laisser aller avec elle, mais elle était la première qui perçait ses défenses en tant d'années de froid polaire, elle était celle qui réchauffait son cœur. Il s'en rendait lentement compte depuis le début de cette soirée. Chaque geste qu'elle faisait montrait à la ois son envie de faire souffrir, son envie d'entendre des cris, et en même temps son envie de lui plaire, ou du moins, c'était ainsi qu'il sentait, qu'il voyait les choses. Il la regardeait faire, voyant très bien la panique de la victime, elle savait y faire pour la faire germer dans le cœur de celle ci, tout simplement, il suffisait d'annoncer un supplicie inévitable pour sentir un vent de panique, amusant, non ? Et la voir inciser la chair, juste assez pour commencer à l'écorcher vif, sous de doux hurlement. Rien qu'au cri, il pouvait sentir un tracé imparfait, mais c'était encore meilleur....quoique....non, en fait, c'était parce que c'était elle qui le faisait qye c'était bien meilleur !

Mais elle ne finit pas son œuvre, ayant trouvé une cible de bien meilleur choix....et ce n'était pas l'objet de son attention qui allait s'en plaindre. Non, en effet, Liam nne s'en plaindrait pas le moins du monde ! Elle était là, sienne autant qu'il était sien ! Il adorait son regard, il adorait sa peau, il adorait ses lèvres, il adorait son petit côté sadique, il avait l'impression que de ce point de vu, elle lui faisait écho.

Sentir ses lèvres sur sa eau, ses caresses qui allaient avec alors qu'elle ôtait sa chemise. Mais le plus curieux fut cette question qu'elle lui posa, une questionj qui pouvait sembler incongrue mais qui ne l'était pas le mons du monde, il s'agissait en fait, il ne fut pas dur à le deviner, une question de limite. Mais voilà, il était tout à elle, il était sien, si elle le voulait et bien soit. Et ce fut après un autre baiser passionné qu'il lui répondit :

« Je capturerai et dresserai une esclave sur mesure pour toi si tu le désire. »

Il sourit et déposa un petit baiser sur ses lèvres, puis sur son cou, cou qu'il avait envie de mordre à pleine dent, envie de gouter, mais sans qu'elle le lui propose, au mieux, il mordilla,  ses baisers descendant telles des caresses sur ses épaules alors que l'une de ses mains, posées au niveau de ses reins la serrait contre lui, collant son corps au sien, l'autre partant en vadrouille, pour détacher la robe. Elle pouvait tomber dans la poussière, cela ne changeait pas grand chose, il l'enverrai au pressing et ce serait réglé, il en avait bien d'autres à lui offrir !

« Je t'offrirai tout ce que tu désire, trésor. »

Il laissa la robe choir alors que lui même faisait tomber  la chemise avant de se remettre à caresser et à embrasser sa peau avec tendresse, et avidité. Bon dieu qu'elle lui dise de mordre, et il le ferait, il n'attendait que cela ! Et en attendant, il explorait son corps on long, en large et en travers, que ce soit du bout des lèvres ou du bout des doigts.

Lana Dubravka

Créature

C’était une certitude, Lana agissait depuis le début de la soirée pour plaire à Liam. La chance voulait que lui plaire correspondait à se faire plaisir. Peut-il y avoir coïncidence plus sympathique ? La jeune femme ne pouvait rêver mieux en cet instant. Elle était dans les bras de l’homme qu’elle aimait, homme qui se montrait doux et tendre alors qu’elle l’avait vu bien plus farouche dans la ruelle. Oh elle appréciait de le voir ainsi, juste pour elle. Et cela devait rester ainsi. Avec elle, il pouvait tout se permette, être comme bon lui semblait mais Lana n’aimerait pas qu’en dehors de ces moments privilégiés, il devienne doux comme du miel, qu’il s’affadisse au profit d’un homme bon et généreux. Après tout…n’avait-il pas tous les deux éveillé leur désir grâce aux larmes et au sang ? Que viendrait faire la compassion dans ce délicieux mélange…

A sa question, il lui fit  une réponse surprenante, du moins pour elle. Une esclave, pour elle, rien que pour elle ? Elle s’imagina  un instant avec Konoe à ses pieds, prête à faire ses quatre volontés, soumise jusqu’au bout de ses ongles vernis…Lana devait avouer que cela était fortement tentant…bien que pour le moment, elle n’en soit pas à ce stade.

- L’idée me plait…mais pour ce soir je voyais plus petit, quelqu’un qui ferait juste ce que moi je me refuse  à faire avec lui…m’agenouiller entre ses cuisses pour la suite. - Et Lana doutait que Liam apprécierait un tel spectacle. - Par contre…je serai ravie de te voir à l’œuvre sur une future esclave ! Enfin si cela est possible…

Tout simplement pour partager ce moment avec lui, pour découvrir l’univers qui composait celui de Liam. Elle voulait tout connaître de lui, être présente dans sa vie. Malgré tout, elle ne voulait pas devenir un poids, elle ne voulait pas non plus s’immiscer trop vite dans son intimité…rien ne disait qu’il voyait en elle plus que la compagne de quelques soirs. Et puis avait-il envie de lui montrer ses petits secrets de fabrication ? Rare était les esclavagistes qui vantaient leurs méthodes toutes très différentes à tout va. Le petit détail qui fait que l’être humain devient objet et se conforme à la volonté du Maître.

Doucement les mains de Liam virent se glisser dans son dos, l’une en bas, sur la cambrure de ses reins et l’autre remontant dans son cou pour lentement ouvrir la fermeture de  la robe de satin. Elle dû se détacher  un instant de son vampire, laissant la robe s’écouler le long de ses courbes  pour finir au sol, révélant son corps fin, sa peau diaphane et douce. Dans un même prolongement du geste, elle se défit de ses chaussures, qui commençaient à se montrer inconfortable, les faisant glisser sur le côté. Elle réajusta sa taille en se hissant sur la pointe des pieds pour en pas perdre les baisers de Liam. Elle se ressouda immédiatement à lui, comme si elle voulait se protéger du froid, alors que ce simple mouvement lui réchauffait le corps comme jamais. Elle écrasa presque sa poitrine contre le torse du vampire. Elle sentait poindre en eux des milliers de petites flammes.

Qu’il lui dise qu’il était prêt à lui offrir tout ce dont elle désirait lui fit autant plaisir que cela  la troubla. Elle fut  investie d’un malaise qu’elle ne s’expliquait pas. Et son esprit effaça la pensé aussi vite qu'elle était venue. Doucement sa main effleura sa joue et ses lèvres se posèrent sur les siennes. Leur baiser d'abord chaste devient petit à petit plus enflammé, plus vif. Leurs langues jouant à se poursuivre, à se chercher, à se trouver, à se rattraper. Quand il quitte la douceur de ses lèvres, c’est pour mieux la titiller sur son cou, ses épaules…Pourtant…pourtant il ne mord toujours pas. Quelque chose le retenait il ? Pas elle quand même ? Elle lui offrait son cœur et son corps, il pouvait donc agir sans craindre qu’elle se dérobe. Alors quoi…peut-être que…

- Mon sang a-t-il si mauvais goût pour que tu n’oses pas planter tes délicieuses canines en moi ?


Lana était visiblement attristée par cette possibilité, elle voulait lui faire plaisir plus tôt lorsqu’elle lui avait fait déguster son sang, pas le dégouter.

Il l'avait mise à la torture, la caressant, frôlant ses chairs, effleurant ou pétrissant, dans un jeu qui semblait devoir durer sans trêve. Au comble de l'excitation, elle s'était laissée allée contre lui, appuyant son visage entre ses bras, cédant sous les attouchements. Son souffle devenant plus suave, enflammé  par un désir qu’elle ne contrôlait plus et surtout qu’elle elle n’avait pas envie de contrôler. Il exacerbait ses sens tant et si bien que ses mains jusque-là cantonnées à caresser fiévreusement le dos de Liam descendirent pour se saisir de la boucle de sa ceinture. Elle allait rompre ce terrain inégal…A moins qu’elle n’en soit plus capable bientôt ?
« Modifié: mardi 27 mars 2012, 20:07:31 par Lana Dubravka »

Liam Eckart

Créature

Les deux parties semblaint letement se laisser aller au plaisir de cette rencontre, ou, au plaisir, étrange comme mot dans la bouche d'un être comme Liam, mais c'était cela. Elle lui plaisait, et à n'en pas doutu, il lui plaisait aussi ! Voila ce qui arrivait quand on se plaisait, mais la grande question, c'était surtout  de savoir si elle supporterait physiquement ce dont il était capable en amour. IL était certain que oui, et il se retiendrait de toute manière un minimum.

Quand à sa question, elle était stupide, elle précisait ce qu'elle voulait, mais ne le lui avait-il pas déjà accordé tout ce qu'elle voulait quitte à lui dresser une esclave personnelle ! Elle n'avait qu'à demander, il lui offrirait. Il le lui avait dit, non ? Enfin bref, il n'hésita pas un seul instant et siffla, modulant un son bien plus aigu et bien plus proche de l'ultrason qu'un humain normal aurait été d'entendre et encore moins de produire !

Suite à ce bruit on entendit des pas, une jeune femme arriva en courant, son oreille droite saignait, mais cela, peu importait ! Ce n'était qu'une esclave. Elle regarda la scène et s'assit dans le coin le plus proche de la porte, baissa les yeux vers le sol et se tut, attedant un ordre quelconque venant du maitre ou, apparemment, de sa compagne. Le sang coulant de son oreille érait sans équivoque. Elle avait voulu écouter ce qui se passait, et l'ultrason lui avait percé le tympan. Elle avait été punie, et donc, elle avait rappliqué pour s'excuser. La porte n'étant pas fermée, elle était entrée, et voyant ce qui se passait, avait adopté le comportement adéquat. Liam ne lyui apporta pas la moindre attention, ayant déjà deviné qu'elle était là !

Souriant  il murmura  au creux de son oreille :

« Et pourquoi ne pas faire les deux en même temps, ma belle..... »

Il laissa glisser ses mains froides comme la mort le long de son corps avec lenteur, arrivant à sa taille où il retira le dernier rempart de vêtement qu'il lui restait. Le plus drôle là dedans, c'était le désir charnel, un désir qu'il appréciait, c'était la première fois qu'il ne faissait cela ni pour humilier, ni pour causer de la douleur ! Ui, il était en mesure de causer beaucoup de douleur au travers d'un acte charnel, imaginez un peu cet acte mêlé à un soupçon de métamorphose ! Terrible n'est-ce pas ?

Faisant glisser avec lenteur  la culoette de la jeune femme, il déposa encore des baisers dans son cou, mais voilà, à force d'attendre, il ne pouvait plus patienter et au diable l'envie de la jeune femme, au diable sa volontée d'être mordue ou pas !  Souriant, il enfonça les crocs dans la gorge de Lana, les enfonçant dans ses chairs avant de boire quelques gorgées, puis il cessa de boire, se contentant de prendre les gouttes qui dégoulinaient, en manquant certaines qui dévalaient sur son corps, ce serait pour après....

Lentement, la sécrétion des crocs se répandirent dans le sang de la jeune femme. Il était d'ailleurs assez peu ragoutant, comme si il y avait un rapport entre celui de la jeune femme et le sien, mais peut importait,  le goût, meême si il n'était pas spcialement bon, avait un léger arrière goût qu'il adorait, comment en aurait-il pu être autrement après tout ?

L'ennui fut juste après, quand il sentit l'aigreur d'estomac caractéristique du sang qu'il ne digérait pas le moins du monde, le genre de sang qui le rendait malade. Mais il prit sur lui et finit sa ponction proprement avant d'un baiser, refermer la plaie, se remettant l'embrasser passionnément, histoire d'avoir le temps que cela passe, et pour éviter d'avoir à sentir qu'elle s'inquiétait ou autre. Doucement, ses mains vinrent palper le gabe de son postérieur, le massant avec douceur et fermeté combinée.

Lana Dubravka

Créature

Alors qu’elle allait commencer à déboucler la ceinture de son amant, voilà que ce dernier lui siffla dans les oreilles. Le son n’avait rien d’agressif pour elle, il ne fit que raisonner comme le sifflement qu’il avait émis en la voyant dans sa bibliothèque, mais elle en fut surprise ne s’attendant pas vraiment à ça en cet  instant. Elle comprit bien vite l’objet de celui-ci en voyant arriver l’esclave qui s’installa à l’entrée sans bouger un sourcil, silencieuse comme une plume. Liam confirma bien vite qu’il s’agissait là de celle qu’elle avait demandée. Lana ferma les yeux et darda son souffle au creux de l’épaule de Liam avant de doucement l’embrasser par petites pressions, des dizaines de picorement qui s’appuyèrent de plus en plus pour finir en baiser brûlants. Un remerciement dans un souffle mais bien plus l’envie de sa peau, plutôt égoïste et sans fin.

Pendant ses embrassades, elle senti sa culotte, déjà perlée d’un liquide translucide, être tirée puis abaissée. Elle descendit le long de ses cuisses et de ses mollets pour finir sa course à ses chevilles. Lana eut tôt fait de s’en débarrasser en la laissant rejoindre le reste de ses affaires. Elle n’eut pas le temps de repenser à sa boucle de ceinture qui attendait qu’elle sentit une bouche venir se poser sur son épaule à la naissance de son cou et sa chair être percée. Elle tressaillit sous la surprise s‘agrippant un peu plus à lui, à cette homme qui commençait à la boire. Avec une rapidité insensée, le plaisir vint s’offrir à elle. Ses chairs sous l’effet de la morsure ne lui faisaient pas mal pourtant c’était comme si elle était arrachée. Le plaisir venait oindre son intimité d'une humidité significative. Elle ondulait ses hanches en cherchant le contact du corps de Liam trop inaccessible pour elle à cause du tissu.

Lana se sentait écorché vive, ses chairs la brûlaient et peu à peu dans son sang, elle sentait un délicieux venin se rependre. Elle soupira d’aise avant de gémir emporté par des vagues d’un plaisir étrange et  inconnu. Ce fut une flambée dans ses entrailles. Le désir la possédait totalement. Mais ce plaisir fulgurant était aussi une torture. C’était comme si elle était poussée dans ses retranchements laissant présager l’explosion de ce feu infernal, explosion qui ne vint jamais. Une boucle insidieuse et délicieuse dont Lana réclamait la fin. Elle se laissa entrainer par son esprit qui semblait flotter hors d’elle. Ses doigts glissèrent de haut en bas du dos du vampire appuyant plus fortement et ses même doigts, en remontant griffèrent cette peau, laissant des sillons légèrement rouge que lui ne verrait pas mais qu’il devait sentir. La puissance du plaisir la faisait trembler sur ses jambes. Son cœur battait violement dans ses tempes alors que son sang pulsait. Elle senti des gouttes d’un liquide chaud venir glisser le long de son plexus pour fini écrasées sur la pointe de ses seins.

Et puis, lentement, sa respiration reprit sa régularité, la chaleur s’évapora quelque peu sans vraiment la quitter, à présent seul lui pourrait la lui faire disparaitre. Elle senti les crocs libérer sa peau et d’un baiser la plaie se refermer. Lorsqu’il l’embrassa, elle répondit avec fougue. Elle ressenti les mains rouler sur ses fesses, les malaxer, les pétrir. Elle se lova contre lui en lui murmurant de  les lui griffer. En relevant la tête, elle aperçue la jeune femme qui n’avait pas bougé, comme figée. Ne connaissant pas son nom, elle du claquer des doigts pour attirer son attention. De façon immédiate, l’esclave trottina jusqu’à l’emplacement indiqué par Lana.

- Je veux que tu me rendes un service…trouve donc une petite lanière et attache-la à la base du pénis de notre ami pendu. Ensuite tu lui donneras du plaisir, à mon signal…et tant que tu y es, réchauffe donc le tisonnier, il ne faudrait pas qu’il attrape froid…

Sans attendre, l’esclave s’exécuta et commença par retirer le tisonnier du fondement du pendu qui hurla. La peau avait fini par se coller au fer refroidissant très lentement et lorsque l’esclave le retira, elle lui arracha l’intérieur. Si Lana eut un réel frisson de plaisir qui lui donna la chair de poule, elle constata que l’esclave n’eut aucune réaction, qu’elle soit positive  ou négative. Lana se désintéressa  un peu d’elle pour revenir sur l’objet de tout son désir. Ses mains retournèrent là où elles avaient dû être enlevées pour enfin virer la ceinture retenant le pantalon, pantalon qui ne résista pas longtemps à l’attaque de Lana qui souhaitait enfin sentir leurs deux corps communier. Elle se débarrassa aussi assez rapidement du dernier rempart de tissus qui le protégeait. Liam avait allumé un feu en elle et  il devait à présent, soit l’éteindre, soit le faire se consumer un peu plus longtemps.

Pourtant, Lana n’alla pas titiller l’ardeur de son amant et préféra le gout de ses lèvres sur les siennes, une nouvelle fois mais une fois plus intense, plus longue et fougueuse,  une fois qui avait un gout d’adieu…et c’était à peu près ce que c’était. En rompant son baiser, elle mima de ses lèvres un « Je t’aime » très certainement surprenant. Un peu trop tôt penseront certain mais quand on sait que d’ici quelque heures leur vie va peut-être prendre fin…Lana finit par se désolidariser de lui avec un sourire un brin sadique sur le visage. Elle se retourna pour avancer vers  un endroit précis de la salle. Au-dessus d’elle, des chaines très certainement en fer qui n’ont d’autre utilité que d’entraver les poignets. Et Lana refait face à son Liam et lève les bras et enfile l’un des liens autour de son poignet droit qu’elle bloque dans les chaines. Prisonnière consentante.

S’il a compris, il viendra fermer lui-même la seconde chaine. S’il a compris, il sait qu’elle met sa confiance en lui. S’il a compris, il sait qu’elle s’offre en cadeau pour un jeu qui lui plaira certainement…un jeu dangereux pour Lana mais elle n'a pas peur et c'est avec une certaine impatience qu'elle l'attend...

Liam Eckart

Créature

Cette ravivait dans son corps des souvenirs et des envies qu’il n’avait jamais eu, l’envie de plaisir sans même l’envie de blesser à tout prix sa partenaire, non, pas sa partenaire, son amour, ui, étrangement, depuis peu, il se mettait à croire que c’était quelque chose de possible. Et cela était loin de le désespérer, bien au contraire, il l’espérait de plus en plus, et ce, sans oser trop y croire non plus.

A son injonction, il enfonça ses ongles dans la tendre chair de cette chère âme qu’il avit plus ou moins déjà dans la peau, Tentant de lui « rendre la pareille » si l’on peut dire, pour les griffures dans son dos, contrairement à elle, il allait devoir les faire disparaître, elles ne disparaîtraient pas toutes seule, il faudrait donner un brin de coup de pouce magique. Il lui griffait le postérieur avec plaisir, un peu fort sans doute, mais se retenir de jouer comme à son habitude, dans la douleur et le sang, n’était pas toujours ce qu’il avait de plus facile.

Ce qu’elle décidait de faire avec l’esclave il cherchât pas à le savoir, trop occupé avec son corps pour y prêter la moindre attention, mais il ne fut ps dur de comprendre ce que Lana attendait d’elle, de toute manière, peu importait, il vit qu’elle se débrouillerait très bien. Il eut d’ailleurs droit à un ci de douleur qui le fit frissonner tout comme il fit frissonner Lana et et il redoubla d’ardeur, tant dans ses baisers que dans ses griffures qui lentement, pour une main se rapprochait d’un point sensible, pou l’autre, remontait dans son dos en sillons de chair entaillée.

Pendant qu’il continuait ses « caresses » il sentit qu’elle lui ôtait les dernières barrières à la nudité complète. Il se colla davantage contre elle une fois nu, phallus contre bassin, corps contre corps. Il cessa de griffer pour, lors de ce baiser à la saveur assez particulière, lui maintenir le visage contre le sien, comme pour lui montrer qu’il refuait toute fin à ce baiser, mais elle se déroba dans un murmure sile,cieux dont le sens était palpable dans tout l’être de la jeune femme.

Elle s’éloignait e lui, le torturant en un sens, avant de glisser une main dans des fers, enfin, des fers, il s’agissait de sa dernière installation, assez révolutionnaire d’ailleurs, où tout le fer avait été remplacé par des fibres de carbone et du titane, pour un résultat plus léger, plus souple, mais bien plus solide, il avait eu l’intention de l’utiliser pour tester leur résistance, mais cet autre usage, cela lui plaisait bien de le tester ainsi !

Il s’approcha et ferma sur son poignet le reste des liens, puis, posant les min sur les liens, il les resserra jusqu’à ce qu’il n’y ait aucun jeu de vide entre eux et les poignets de Lana avant de s’écarter pour appuyer sur un bouton et la faire légèrement s’élever, il s’arrêta bien vite, à une hauteur telle que la tête de Lana était un peu plus haut que la sienne, n’empêchant hélas de s’offrir un baiser, mais permettant de trvailler l’intégralité de son corps sans avoir besoin de trop se baisser.

« Quel magnifique cadeau tu me fais là, mon amour…. »

Il déposa un baiser sur son nombril avant de s’en aller, la laissant là, pour revenir avec du matériel, oui, du matériel, qu’il étala sur la table à proximité, table prévue à cet effet, puisqu’elle se proposait ainsi, il avait l’intention de se faire plaisir autant que le plaisir était palpable entre ses cuisses par du liquide séminale, il se glissa d’ailleurs entre pour en prendre une gorgée à l’intérieur de chaque cuisse avant de se relever et de prendre une série de pinces, pas des pines classiques et lisse, mais es pinces crocodiles en métal, dentelées, quoique pour une fois sns transformateur et sans câbles électriques, mai vec des poids.

Mais où les placer ? Là où la peau tirait déjà un peu beaucoup à  cause de sa suspension, c’est à dire au niveau des aisselles, il en mit deux de chaque côté avant d’en mettre régulièrement, tous les centimètres, prenant le maximum de peau avec le minimum de chair à chaque fois. Puis il en mis à tous les points érogènes tels que le nombril, l’intérieur des cuisses, la poitrine, alla jusqu’à comprimer  les mamelons et les boutons de chair assortis sous le nombre de pinces.

L’étape suivante approchait !  Il arma son bras et commença à donner des coups de martinet partout où il pouvait atteindre la chair, le visage ne faisant pas exception, mais il voulait limiter quand même les dégâts sur celui ci. Il frappait parout, que ce soit sur la peau du ventre, du dos, du coup, su les jambes, entre les cuisses, partout ! Et surtout, il frappait de plus en plus fort, perdant lentement le contrôle.

Lana Dubravka

Créature

Il avait très vite comprit, très vite accepté. Il allait pouvoir utiliser son présent comme bon lui semblait. A croire que finalement, le serviteur avait eu raison en lui disant qu’elle allait prendre sa place. Cependant, l’initiateur n’était pas la même personne, c’était elle seule qui avait décidé de le faire, Liam n’avait même pas suggéré quoi que ce soit. Lana senti les mains implacables de Liam venir fermer les liens pour relier ses poignets. Elle n’avait pas vu le mécanisme qui permettait de la soulever dans les airs et c’est donc dans un cri de surprise qu’elle senti ses pieds quitter le sol.

Après un effleurement de ses lèvres sur son nombril, elle le vit disparaître dans la pièce adjacente, la laissant seule. Enfin seule, façon de parler, il y avait toujours le pendu et l’esclave qui attendait docilement un ordre de Liam ou de Lana. C’était le bon moment finalement, plutôt que d’attendre un peu bêtement et avec une certaine impatience le retour du Maître des lieux.

- Jeune fille, tu vas passer  à la suite des évènements pour notre ami. Tout d’abord, je veux que tu replace le tisonnier quand il sera bien chaud, maintenant, commence donc  à lui donner du plaisir et quand son pénis sera au garde  à vous insère donc une petite tige dans l’urètre et tu continueras à lui donner du plaisir…mais fais attention à ne pas nous le tuer, il peut encore servir.

Lana vit la jeune femme blêmir en entendant ces dernières paroles. Elle ne savait pas trop si elle était inquiète de pouvoir le tuer en procédant de la sorte ou si elle redoutait les conséquences si la mort devait emporter le pauvre bougre. Il ne faut pas en douter, l’homme est déjà dans un sale état et doit commencer à tirer sur la corde pour se maintenir conscient. La masturbation faite sur un phallus ainsi ligoté n’est pas mortelle sauf si on prolonge trop la non irrigation du pénis. Lana espère pour l’esclave qu’elle a  un minimum d’expérience car cela risque d’être  une catastrophe…La jeune esclave s’exécute et quand Liam sort de l’autre pièce pour rapporter ses objets, elle file le remplacer pour trouver sa tige.

Lana regarda le vampire disposer ses ustensiles sur la table. Quand il vint à la rencontre de son entre jambe pour la gouter, elle se cambra et un soupir s’échappa de ses lèvres qui tremblèrent de plaisir. Elle aurait voulu le retenir, lui demander de continuer, de s’aventurer plus haut, plus loin, plus profondément. Elle retint ce désir en elle ne voulant pas laisser son plaisir venir gâcher celui qui était en train de naitre chez Liam. Lana n’était pas dupe, si elle avait bien constaté que lors du premier échange de son sang il avait dévoré ses lèvres pour ne pas perdre une goute du liquide carmin, lors de sa morsure, il n’y avait pas eu cet entrain, il s’était contenté de faire. Elle n’avait pas osé lui dire pour ne pas casser ce qu’ils vivaient mais elle lui en parlera, plus tard, après leur expédition. De toute façon, il ne va pas lui cacher éternellement qu’il ne supporte pas son sang…

Elle entendit un cliquetis et sentit le contact du métal froid sur son épiderme, suivie par une morsure alors que la pince se refermait sur sa chair.  Il commença à disposer certaines pinces sous ses bras. Cela lui tiraillait un peu la peau, si fine à cet endroit mais elle ne pouvait pas dire qu’elle avait vraiment mal. A chaque fois que Liam relâchai les pinces fraichement installé, les poids de celles-ci venaient peser sur la peau d’ivoire, l’étirant un peu. La sensation était déjà surprenante, brûlure froide du métal, élancement chaud du sang qui lutte pour affluer sur des chairs qu'il ne peut guère atteindre. Elle soupira et sa respiration s'accéléra un peu. Jusqu'à ce que ses chairs s'accoutument. Lorsqu'elle parvint à retrouver un peu de calme, une nouvelle morsure vint la faire chavirer. Elle se tortilla maladroitement quelques secondes, respiration chaotique, joues rosies par les sensations. Et le calme revint. Son corps acceptait, assimilait la douleur, goûtait le baiser froid et cruel du métal. Son derme tressaillait, couvert de chair de poule.

Pendant que Liam œuvrait à la recouvrir de ces pinces pesantes, elle s’activa à remonter sa jambe pour aller poser son pied et venir caresser ce qui était à sa portée. Doucement, le dos de son pied glissait sur les cuisses du vampire remontant lentement alors que lui descendait de plus en plus bas pour poser ses pinces. Elle atteint l’objet de son désir grandissant, son phallus. Elle le titilla à l’aide de ses orteils, effleurant celui-ci, le caressant tel une légère brise, jouant à essayer de le faire prendre en ardeur. Dans sa position, elle ne pouvait malheureusement pas faire grand-chose de plus et lorsque Liam arriva à son entre jambe pour poser d’autres pinces, elle dut stopper net son investigation n’ayant peut-être même pas eu le temps de faire partager le plaisir qu’elle sentait couler entre ses cuisses. Elle se cambra un peu, ondula sous les dernières morsures réservées à sa poitrine. Là était l’un des points sensibles de la jeune femme et ce fut un véritable gémissement qui accueillit la pression sur ses mamelons.

Elle entendit un frottement léger dans son dos et les lanières du martinet se mirent à tomber sur ses épaules, courir sur ses reins et ses fesses. Les brins de cuir épais volaient dans les airs, retombaient avec un bruit d'averse sur son corps. Il tournait autour d’elle, n’omettant aucune partie de son corps, s’engouffrant à l’intérieur de ses cuisses, sifflant sur son ventre, sur la pointe de ses seins déjà tendu. Seul son visage échappait un peu à la douce torture ce qui ne déplaisait pas à Lana qui n’avait pas envie qu’il fasse devenir son visage comme celui du pauvre bougre non loin d’elle. Elle voulait rester belle, ne pas qu’il la voit avec cette laideur…mais qui sait, peut-être que lui apprécierais de la voir édentée…

Les coups de martinet se mirent à pleuvoir. Appliqués avec énergie, ils cinglaient sa peau, tombant en rafales sur son corps qui pourtant ne cessait de s'offrir. A chaque coup de martinet, les poids se balançaient mollement au bout de leur chaîne, tirant sur sa chair. Lana serrait les dents et grimaçait un peu de douleur ; la pointe de ses seins commençait à la brûler. Enfin son visage se détendit et elle entrouvrit la bouche sur un râle alors que Liam la cinglait avec une force nouvelle, faisant résonner chaque coup comme un coup de canon. Ces râles ne furent pas longtemps les seuls, le serviteur recrachait des cris de douleurs exponentiels. L’homme découvrait que du plaisir pouvait découler une douleur atroce. Lana n’entendait pas les cris de l’autre, elle s’en moquait royalement bien trop plongée dans son propre cocon. A Liam de voir s’il aimait l’écho ou s’il préférait le faire taire…

Liam Eckart

Créature

Comment ne pas aimer Lana ? Elle était exactement celle qu'il cherchait, celle dont, il se rendait compte de cela désormais, il avait besoin dans ce simulacre de vie, oh il avait le luxe, la richesse, la fortune, les relations, l'influence, la force physique, et bien d'autres, mais en plus de cela, il avait désormais devant lui une compagne idéale, une personne pouvant supporter toute la force et la douleur de l'amour que Liam lui portait. Combien étaient mortes sous ses coups du à une légère perte de contrôle ? Trop sans doute, mais là, c'était différent ! Elle savait donner [de la douleur] autant que recevoir !  Et pour recevoir, ça elle recevait, et parce qu'elle aimait cette souffrance qu'il lui offrait, il aimait cela bien plus que toutes les tortures du monde !

Outre la douleur qu'il savait infligé, pendant qu'il posait les pinces, le vampire n'avait pas été en reste, puisque le pied agile et habile de la jeune femme avait trouvé une partie sensible de son anatomie à titiller. Son cerveau primaire y était d'ailleurs très atteint, il était exceptionnellement rare que cette partie là soit autant stimulée ! Il avait été presque déçu quand il s'était retrouvé hors de portée d'ailleurs, mais bon, il avait accepté, se disant qu'à un moment ou à un autre, les choses iraient davantage dans ce sens....si elle tenait le choc, bien évidemmment. Mais étant donné sa remarquable constitution, il ne faisait aucun doute qu'elle le tiendrait physiquement !  Moralement....il sentait juste qu'il devait faire attention à sa partenaire !

Le meilleur restait ce qui se passait alors qu'il cinglait la peau ivoirine de sa compagne à l'aide du martinet. En effet, pendant que le corps de la jeune femme se soumettait à la douleur qu'il infligeait, le serviteur enchaîné était soumis à une toute autre torture, il n'avait pas fait attention à la teneur de la torture, si ce n'est qu'une esclave était snesé lui pratiquer un languissement qu'il lui avait appris avant de malheureusement la rendre invendable. Au départ il lui avait enseigné cela car le client avait pratiqué le tarif sur mesure, un prix exorbitant avec une suite de compétences, physiques ou pas, que l'objet devait avoir, généralement ce genre de compétence était basique, les gens cherchaient généralement des esclaves sexuels, la chose la plus courante !  C'était facile à faire mais sans grand intérêt selon Liam, enfin, pour le sur mesure, le client était roi ! Il avait donc pris la peine de lui apprendre comment exciter et satisfaire un homme ou une femme, c'était un couple de clients qui voulaient ça....depuis, ils étaient décédés et les héritiers n'en voulaient pas, chose réglée, elle était resté à son service, et il avait abandonné le dressage. Faute de dressage efficace et continue, elle s'était relâchée, et il hésitait à la jeter aux chiens....

Mais bon, c'était grâce à son enseignement qu'elle tirait de tels cris de ce cadavre en devenir ! Et cela lui faisait tout autant monter le chapiteau que le reste, il adorait les cris de douleur !  Lire celle ci dans leurs yeux, les sentir paniquer, le rythme cardiaque qui s'affole....que du bonheur ! Il n'allait certainement pas le nier, mais ce plaisir aurait été moindre sans Lana à proximité ! Il sourit et envoya un nouveau coup de martinet  entre les cuisses de Lana, avec violence et sauvagerie, puis il le laissa pendre à la dragonne autour de son poignet pour doucement saisir  Lana, les mains sur son postérieur parfait, l'enlaçant, alors qu'il tirant doucement dans une direction, de manière à faire monter ses cuisses sans que le reste soit détendu un seul instant pour déposer un baiser à cet endroit, puis, en faisant redescendre le corps de la jeune femme de la même manière jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau à la verticale, il embrassa chacune des marques rouges qui commençaient sans doute déj)à à s'estomper, il avait beau voir dans la nuit comme en plein jour, les reflets des lumières ne laissaient pas voir les choses correctement. Il carressait ses marques du bout des doigts, les griffait parfois sur toute la longueur, collant son corps au sien pendant qu'il suivait celles du dos, cherchant le frémissement, l'envie, le désir et le plaisir qu'il sentait tactilement entre ses cuisses, d'ailleurs, cette partie là n'allait pas être en restes au niveau plaisante torture.... Il déposa un baiser dans son cou, la mordant sans autre objectif de marquer sa chair, même si il savait que ce serait temporaire, et se recula pour regarder  ses ustensiles. Ou plutôt, il s'éloigna de quelques pas pour pousser la table des ustensiles vers Lana, qu'elle les voit bien, d'une part, et qu'il n'ait pas besoin  de se décoller d'elle pour les saisir. Il en profita pour lui imprimer un mouvement de balancier pendant qu'il choisissait, lui donnant des gifles sur les fesses à  chaque passage.

Que pouvait-il utiliser pour continuer ?  Il ne savait pas trop, ou du moins, il hésitait,peut être rajouter des poids aux pinces ? Non, le poids semblait idéal. Une scarification ? Non, pas une bonne idée, un marquage au fer rouge ? Non, quand même pas, elle n'était pas une bête et de toute manière le tisonnier était déjà utilisé ! Dur de choisir ! Il y avait de quoi hésiter ! Une cravache ? Mais n'était-ce pas trop proche du précédent objet ? Le martinet ? Oh certes la douleur n'était pas la même, car les coups n'étaient pas les mêmes, mais quand même ! Oh ! Il avait une idée ! Il écarta le fatras et prit un objet simple, il ne s'agissait que d'une cravache basique à une exception près, la boucle de cuir au bout était renforcée de petites pointes d'acier, plutôt des micros pointes, pas de quoi  braiment blesser, mais de quoi causer de nombreuses irritations, inflammations et douleurs de  ce genre qu'il pouvait cumuler jusqu'au point de rupture de la chair bien évidemment !

Il la prit, fit un mouvement dans le vide avant de la reposer facticement, pour ne la saisir et frapper une première fois que dès que son dos était exposé, de sorte, elle ne pouvait prévoir ce coup, rendant cette douleur subite bien plus intéressante selon Liam. Puis, restant dans son dos, il stoppa brutalement le mouvement de Lana pour faire tirer un peu les poids avant de l'enlacer, restant dans son dos, faisant glisser la cravache spéciale sans frapper le long de son corps, sur les zones déjà meurtries il avait peu par l'autre instrument, elle devait avoir un contact froid et particulièrement rugueux on aurait pu croire sans l'examiner de près. Doucement, le bout de la cravache passa son ventre plat, suivi par une main qui caressait les zones « sinistrées » enfin, doucement, alors que l'ustensile battait les cuisses de la jeune femme, il fit entrer un doigt dans l'intimité de Lana....

Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 42 mercredi 13 juin 2012, 13:32:12

La jeune femme se mit à gémir plus fort, en rythme, sous la pluie des lanières, comme si sa voix pouvait soulager son corps échauffé par les coups, martyrisé par la contrainte, éreinté par les sensations multiples. Elle ondulait lentement, comme une liane sous la tempête, sans s'en rendre compte, et son mouvement ne faisait que démultiplier les balancements des poids, augmentant encore les perturbations de ses nerfs et de son sang. Douleur et plaisir se disputaient à ses sens. Tout son corps se consumait ; sa peau rougeoyait, son sang était lave, ses muscles acier incandescent, ses seins deux tisons ardents. Un vertige la saisit. Elle n’aurait su tenir debout sur ses jambes tremblantes. Entre ses cuisses crispées, son intimité pulsait douloureusement sous cet orage. Sous la flagellation, son corps chancelait, se relevait, ployait plus fort, prêt à s'effondrer, bousculé par les sensations.

Et, Liam s’immobilisa enfin, la laissant reprendre son souffle, laissant ses nerfs et son esprit se  calmer. Il l’empoigne de ses mains fermes. Elle l’aide, en se cambrant, à relever ses cuisses vers lui qu’elle écarte presqu’imperceptiblement. Sa bouche vient se coller à sa peau, laissant un baiser froid comme la glace sur sa peau chaude comme un volcan. Ses baisers ne cessèrent pas, remontant le long de ses courbes, traçant les sillons rouges comme pour en raviver le feu. Lana redevint gémissante et tremblante. Il la dévore. Ses ongles viennent la griffer un peu plus, glissant sur chaque marque qu’il a lui-même apposés. Il a augmenté la dose de feu pour venir l’apaiser de ses lèvres. Il remonte jusque dans son cou. Ses dents mordent l'épaule offerte enfonçant lentement leur trace dans la peau fine, assouvissant ses fantasmes de vampire qu’il est. Elle ne dure qu’un temps, il ne prend pas de sang, il la marque. S’il a peur que la marque disparaisse, qu’il se rassure, Lana contrôle son pouvoir de régénération. Il lui suffit  de l’occulter en partie et sa peau restera striée de rouge, le sang continuera de couler, la douleur restera collé à elle.

Le mouvement de balancier qu’il lui imprima lui fit esquisser un demi-sourire amusé. Chaque claque lui faisait comme un écho qui se rependait dans l’ensemble de son corps, utilisant toute ses terminaisons nerveuses pour éclater. Son corps se mit à tournoyer, encore et encore, seule la main de Liam agissait comme un métronome, marquant le temps de ses rotations. Elle avait l’impression d’être un bateau qui chavire sous la tempête, Tout devient chaotique, son esprit quitte son corps pour s’élancer dans une course endiablée, elle s’abandonne. Elle ferme les yeux pour éviter de voir les lumières danser, ce qui risquerait de la rendre folle. Ainsi, même si elle a vu la table se rapprocher, du moins, crois-elle avoir vu, dans cet état, elle n’est plus sûre, elle ne voit pas Liam se saisir de sa cravache, elle ne le voit pas se jouer d’elle. Elle entend pourtant, elle entend l’air être tranché. Mais lorsque le coup fuse, la surprise en est d’autant plus intense. Elle se cabre sous l’effet, pas vraiment douloureux, ce qui compte c'est la surprise, l'effet de surprise qu'il produit.

Il l’immobilise. Son être continue d’être chamboulé par le mouvement mais peu à peu, son esprit lui revient. Elle sent sa présence dans son dos, cette présence qui la rassure, la berce, la  calme. Quand il se saisi des pinces, il tira vivement sur les poids. Sous l’action, certaines pinces cédèrent notamment celle de son sein, lui arrachant  presque le téton. Lana hurla de douleur lorsque le feu se répandit dans sa poitrine, irradiant son corps d'une brûlure inconnue à ce jour. C'était comme si soudain une mâchoire d'acier s'était refermée sur elle au lieu de la libérer. Son souffle peina à lui revenir dans les poumons. Puis la tempête de ses sens se calma, elle dû subir l’étrange caresse sur son corps meurtrie et douloureux. Les pointes de métal glissaient lentement sur elle, alors qu’elle sentait dans son dos, sur son cou, le souffle régulier de Liam. Ce moment de calme fut propice pour reprendre son jeu à elle, là où elle l’avait laissé. Elle releva son genou de façon à plier sa jambe et poser son pied sur celle de Liam.

A tâtons, son pied remonta. Elle caressa la peau des cuisses du bout des doigts, laissant courir ses extrémités sur son pubis, contournant le membre pour toucher l’intérieur de ses cuisses et revenir sur ses testicules. Ses orteils glissaient à présent sur la verge. Du bout des doigts, elle la caressa longuement, doucement, ne précipitant pas les choses, cherchant inconsciemment à faire languir son vampire. Un coup de cravache plus violent vint faire stopper son jeu, comme une remise en place. Et puis, un doit se glissa dans son intimité. Il s’enfonça  un peu, venant toucher sa fleur déjà bien ouverte, bien offerte. L’onde de plaisir qui la parcourut à cet instant sembla l’ouvrir encore plus. Lana frémit. Son corps, pourtant alangui l'instant d'avant, se réveille brusquement et le désir mord à nouveau son ventre, irradiant dans ses veines, incendiant son plexus, accélérant son cœur  et envoyant dans sa tête un flot d'images toutes plus folles les unes que les autres. Sous cette houle qui l’assaille, elle répond au doigt de Liam, roulant des hanches, se cambrant, poussant ses reins vers sa main, appelant, quémandant…

Sa tête se reverse sous le plaisir, elle sent sa nuque venir se caler sur l’épaule de son aimé. Ses liens tirent de plus en plus à mesure que sa tête vient s’appuyer sur lui. Ses poignets s’ouvrent, laissant s’évader un peu de sang qui vient rouler sur les attaches. Un grognement sourd s’échappe de ses lèvres à cause de la douleur de cette coupure qu’elle provoque elle-même.
Elle approche sa bouche de son oreille, hululant son plaisir à celle-ci, comme une confidence. Elle se calme, son souffle rauque redevient apaisé et elle vient lui mordiller la lèvre inférieure pour qu’il rapproche son visage du sien. Elle l’embrasse, avec une passion qui est en train de la consumer. Ses lippes lui manquaient trop. Elle essaye de faire durer ce baiser au maximum. Sa langue vient jouer avec celle de Liam, elle se l’approprie, la possède. Son pied lui se saisit du membre en utilisant ses orteils et commence un lent va et vient…

A côté d’eux, l’esclave est toujours occupée. Elle sait qu’elle doit rester concentré sur son travail mes ses yeux dérivent. Elle regarde la scène qui se trame et finit par oublier ce pourquoi elle est là. Elle est obnubilée par ce qu’elle voit de façon hypnotique. Elle oublie qu’elle doit faire attention, elle oublie de laisser un temps de répit au supplicié. Ce dernier hurle de plus en plus fort, au point de même raviver sa présence à Lana. D’un coup, un spasme violent le prend et son cœur s’arrête net, pendant une fraction de seconde, le corps ne bouge plus et puis retombe, inerte. C’en est fini pour lui. L’esclave se rend compte de son erreur et retourne, penaude dans son coin, recroquevillée sur elle-même.

Liam Eckart

Créature

Ses cris, ses gémissements de douleurs, il ne connaissait rien de plus excitant ! C'était sans doute rébarbatif de le répéter,mais que voulez vous, regardons la vérité en face autant que faire se peut ! Il commençait à être accro àelle comme il était déjà depuis de nombreuses années accro à la souffrance des autres, comme au sang d'ailleurs...

A peine avait-elle cessé tout mouvement qu'il sentait à nouveau son pied se balader sur sa cuisse pour rejoindre son membre viril. Il en frissonna, étant donné ce qu'elle pouvait faire rien qu'avec ses orteils, il imaginait déjà le reste dans son intégralité, il imaginait tout avec elle et commençait à ne plus rien voir sans elle. Pas bon signe sans doute, et celui qui dirait cela aurait sans doute raison., mis que voulez vous.... c'était ainsi qu'il en allait, et que pouvait-il bien y faire ? Absolument rien, rien de rien, ne croyez pas qu'il soit davantage qu'un homme en cette instant. Il avait beau se croire mieux qu'un humain, en cet instant, émotionnellement, il y était réduit, rien de plus. Ses douces caresses avaient de quoi faire frémir n'importe qui, à commencer par lui !  Non, en fait, surtout lui, parce que c'était elle sans doute.

Et ce doigt en elle, il semblait qu'elle n'attendait que cela, qu'elle attendait même bien plus puisque dès que le doigt vint titiller sa fleur de l'intérieur, elle se mit à onduler, à rouler des hanches, chacun des gestes qu'elle faisait était un appel à en demander davantage et il comptait bien lui offrir ce qu'elle désirait en cet instant ! Oui, elle obtiendrait plus, bien plus, tellement plus ! Il se colla contre elle, corps contre corps, sa peau glaciale contre son corps brûlant., elle était si bouillante, et rien que le fait de l'entendre murmurer à son oreille tout le plaisir qu'elle éprouvait entre ses bras, que ce soit vrai ou faux, ça il s'en foutait sur l'instant...quoique, non, il espérait que c'était la vérité.

Alors commença un sulfureux baiser, il avait commencé par un mordillement de lèvres et avait continué jusqu'à ce que ses lippes puisse atteindre les siennes et que leurs langues s'entremêlent à nouveau alors qu'il sentait du sang couler davantage, juste un regard suffit pour lui permettre de reconnaître un détail bête: c'étaient ses poignets qui, s'étant mis à saigner avaient été rompus par la tension et et la pression  au points que le frottement des chaînes avaient fini par ronger sa chair jusqu'au sang. M^me dis son sang ne lui plaisait pas énormément, il devait reconnaître une chose, elle était particulièrement attirante quand elle était tâchée ainsi de sang....et ce n'était pas la mort d'un être, la fin d'un rythme cardiaque, qui allait le perturber dans sa tâche, loin de là !

Doucement et à contrecœur, il  se désolidarisa d'elle pour s'éloigner alors et faire redescendre la jeune femme jusqu'à pouvoir la détacher. Il avait d'autres idées, mais le lieu n'y était pas propice, ou du moins la position elle même. Il la soutient et la porte même pour la poser avec délicatesse sur la table dont il envoya valser les instruments afin qu'elle reprenne le contrôle de ses émotions...qu'elle se soigne même si elle le désirait alors qu'il l'embrassait avec fougue et passion, ses doigts repassant sur son intimité avant de remonter caresser marques et blessures avec douceur alors qu'il descendait l'embrasser dans le cou avec douceur et délicatesse complètement feinte, alors que brusquement, ses baisers se transformèrent en douces morsures, pas de quoi blesser ni marquer son cou, sa gorge. Et comme si il pouvait,comme le faisaient les animaux, soigner ses meurtrissures et autres blessures, il les ponctua de baiser etde léger coup de langues.

Il vint même doucement saisir entre ses  lippes le bouton de chair abîmé pour le secouer dans tous les sens, le mordillant, aspirant l'ichor sui pouvait bien s'écouler de la plaie, quitte à avoir mal au ventre plus tard, peu importait.

« Et si on passait dans un endroit plus douillet... »

Il sourit et lui mordit doucement les lèvres alors que ses autres lèvres, plus basses, subissaient les assauts de deux doigts curieux, avides de fouiller l'intérieur de son corps. Autre chose aussi était curieux de cela, mais chaque chose en son temps....

Lana Dubravka

Créature

Re : Dis-moi ce que tu manges et je te dirai...qui tu es. [PV Liam]

Réponse 44 samedi 22 septembre 2012, 00:34:28

Il se sépara d’elle, laissant une fois de plus qu’un vide froid autour d’elle. Elle dû se plaindre, miauler pour montrer son mécontentement d’être ainsi abandonnée. Elle fut rassurée de le voir la faire descendre et fut ravi d’être prise dans ses bras. Simplement elle fut un peu frustrée, car, bien qu’il ait retiré quelques pinces en tirant trop fort dessus, il en restait pas mal. Ces dernières s’enfonçaient avec une certaine violence lorsque sa peau se collait à celle de son amant. La jeune femme en eut des gémissements sourds, plaintif, se muscles se contractant sous la douleur. Etait-elle voulue par Liam ? Elle n’en avait aucune idée mais ses yeux se perlèrent par l’agression de ses nerfs chauffés auparavant et tiraillés de nouveau.

Elle fut posée avec délicatesse sur la table. Les yeux clos, elle laissa la caresse râpeuse du bois faire rougir ses fesses nues. Elle se laissait aller, se noyant, oubliant, sous les brûlures des caresses l’endroit où elle était. Si elle laissa sa peau éreintée et rougie par endroit, elle referma ses plaies aux poignets ne trouvant pas esthétique ses chairs ouvertes. Un gémissement sonore troubla l’ensemble de la cave quand il s’acharna sur sa peau meurtrie, un gémissement de plaisir qui électrisa la jeune femme. Jsute après, la douceur de ses lèvres vint appaiser le feu. Elle souffla d’aise.

Il reprit ses lèvres, dans un baiser plein de fougue, tout en reprenant ses va et vient, enfonçant volontairement ses doigts dans ses chairs, goûtant les spasmes de son intimité. Bouche entrouverte, Lana, dont les larmes avaient séché, gémissait doucement. Elle ployait et tendait ses jambes sous la montée du plaisir, se rendant et s'offrant tour à tour davantage. Elle avait cessé de penser, se livrant entièrement au trouble de ses chairs, au flux de lave qui gagnait son sang, au feu qui grondait dans son ventre. Et moins elle se contrôlait et plus forte croissait en elle une faim insatiable, plus grand s'ouvrait l'abîme de son désir et l'envie d'être possédée, emplie, anéantie dans le plaisir, rendue à une pure animalité. Elle grogna sans s'en rendre compte.

Son corps répondait sans cesser à ses attentions. Et pendant qu’une de ses mains était occupée à fouiller son intimité, elle attrapa son autre main, tout en douceur, la convient à suivre ses gestes. Toujours en douceur, elle déposa la main de son vampire près d’une des pinces.

- Te suivre dans un endroit plus douillet oui…mais sans artifice, juste toi et moi.


Et lentement, elle fit glisser sa main sur la sienne, l’exhortant à tirer sur la pince pour la lui enlever. La première fois, la morsure soudaine lui donna envie de se défendre, de crisper son corps, rétracter ses chairs. Mais elle s'obligea à une parfaite immobilité et respira profondément, longuement, cherchant à chasser la douleur, à la laisser se diffuser. La douleur s'atténua, doucement, de froide et cruelle elle devint chaude, enveloppante, se coulant dans ses nerfs. Une nouvelle morsure identique perturba une nouvelle fois ses sens quand il retira une autre pince. Mais elle réagit cette fois avec moins d'intensité. L'effet de surprise était passé. Son corps apprenait vite à accepter une douleur pour en retirer la quintessence, le plaisir. Elle ferma les yeux. Ses seins irradiaient et la chaleur semblait se répandre dans ses veines. Respirant profondément, elle gonfla sa poitrine, tendant sa peau pour mieux percevoir la pression de crocs métalliques sur ses chairs. Enivrante sensation qui la happait et à laquelle elle se livrait en se balançant très doucement faisant jouer un peu plus les doigts vrillant dans son intimité.

Elle lui offrait entièrement le delta de ses jambes jusqu’à ce qu’elle sente la dernière pince s’envoler libérant sa peau de toute tension. Lana comprit qu’il était temps pour elle, temps d’arrêter le vampire dans l’exploration des profondeurs de son être. D’un geste doux et ferme  à la fois, elle stoppa le va et vient de ses doigts et remonta sa main vers sa bouche. Suavement, elle fit entrer le bout des doigts couverts de son nectar dans sa bouche. Elle goûta  à la saveur de son propre pécher. De ses yeux, elle rassura Liam, non, elle ne refusait pas le plaisir qu’il lui donnait, bien au contraire. Simplement le lieu ne lui semblait plus approprié, la présence même de l’esclave devenait une nuisance. Lana le voulait pour elle seule et ne voulait offrir ses cris de plaisir qu’à son vampire. Quand elle eut terminé de nettoyer les doigts avec une application particulière, elle vint se lover dans ses bras, collant sa peau contre la sienne. Elle senti la verge venir se caler conte son intimité suintante et dut se faire violence pour ne pas lui demander de la prendre ainsi. Ce n’était pas encore le temps pour ça, mais  il viendra. Sa bouche se ficha près de son oreille lui murmurant de l’emmener ailleurs, dans ce cocon dont il venait de parler.

Elle enfonça ses ongles dans la chair de son dos. Elle avait envie de le mordre, de lutter contre le désir qui embrasait son ventre, contre le plaisir qui balayait sa raison, contre lui qui la dominait de sa force et faisait naître en elle une telle ivresse. Elle s'arque bouta et, relevant la tête, le mordit tendrement à l'épaule. Elle le regarda ensuite, un sourire amusé et gourmand sur les lèvres…


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