Vie, mort, deux concepts inconnus et insignifiants pour lui ! Ni l’un ni l’autre ne voulaient dire quoi que ce soit. L’un étant défini par l’autre, il ne servait à rien de chercher à comprendre. Ne pouvant pas mourir, il ne comprenait pas la mort, en ne comprenant pas la mort, il ne comprenait pas la vie.
Aussi, pour lui, tout être mortel était donc inférieur puisque soumis à ces concepts. Il était donc normal qu’ils soient au service des immortels. Et ceux qui osaient se rebeller faisaient l’expérience cette merveilleuse chose, puisqu’on la garde pour la fin, c’est forcément la meilleure, qu’était la mort. Et pas sans soufrance ! Il allait le faire comprendre à la fugitive d’aujourd’hui, qu’il avait attachée par les poignets à la branche de l’arbre au creux duquel elle croyait avoir trouvé refuge. Et non seulement, des cordez lui liaient les poignets, mais en plus, ilavait enfoncé des pieux dans ses poignets, dans ses coudes et dans ses genoux, pour commencer à la punir.
Ces pieux taillés dans les morceaux de bois qui trainaient dans le coin, il avait fait attention à cela, avait fiche des échardes dans les plaies ou les objets avaient été enfoncés. Il lui avaient aussi déboité es épaules et causés de multiples fractures aux bras, de manière à lui faire pousser des hurlements de douleur à chaque mouvement. Et entre chaque, elle le suppliait de lui pardonner et d’arrêter. Rien à faire, il continuait.
Il attrapa les parties des pieux fichés dans ses jambes et fit quelques vas et viens en les tournant sur eux-mêmes, sourire aux lèvres, se délectant de la peur, des odeurs de sang, des larmes dans ses yeux, des cris qu’elle poussait, jouant à tenter de la faire crier toujours plus fort.
Prenant une aiguille et du fil, il piqua le téton doit au point de le travers, ainsi que le téton gauche, et il sera les deux pour les attacher ensemble, nouveau cri. Il y avait une seule chose qu’il ne touchait pas : son visage. Il avait des limites quand même ! Et puis, il ne défigurait pas les gens, âr repsect pour eux. C’était bien le seul respect qu’il avait !
Passant dans son dos, il sortit deux poignards bien aiguisés et en enfonça un dans le puit d’amour de l’esclave rebelle , tailladant les parois vaginales jusqu’à ce que la lame soit complètement ointe de sang. Il fit de même de l’autre côté avant de pénétrer son fondement sans douceur, lui arrachant d’autres fris alors qu’il rirait sur le fil reliant ses tétons, au point de faire saigner davantage ces deu boutons de chairs , la besognant avec violence, chaque coup de rein apportant davantage de cris et de larmes.
Il finit par lui détacher les mains, laissant les pieux, pour qu’elle s’effondre par terre et commença à la rouer de coups dans les côtes à lui faire cracher du sang et cris. Enfin, prenant sa bouche comme il l’aavait fgait ailleurz, il finit pas se déverser sur son visage pathétique, Bon, il était temps d’en finir, elle ne l’amusait plus.
Prenant son cheval par les rênes il l’approcha et lui attacha les chevilles à une corde reliée à la selle, faisant de même sur ses poignets avec une corde autour de l’arbre. Il commença à faire tirer son cheval en la zébrant de coups de fouets. Qui, du fouet ou du cheval gagnerait ? Il emmetait le pari qu’il arriverait à la tuer avec son fouet avant qu’elle ne soit démembrée.
Mais il ne s’était pas rendu compte qu’il n’était plus seul, amusé et occupé comme il était à jouer au tortionnaire…
Le crépuscule faisait place lentement à la nuit, alors qu'il continuait à jouer, riant comme un gamin de son jeu qu'il trouvait si plaisant.