Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les landes dévastées => Discussion démarrée par: Liam Eckart le samedi 08 octobre 2011, 17:25:10
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Vie, mort, deux concepts inconnus et insignifiants pour lui ! Ni l’un ni l’autre ne voulaient dire quoi que ce soit. L’un étant défini par l’autre, il ne servait à rien de chercher à comprendre. Ne pouvant pas mourir, il ne comprenait pas la mort, en ne comprenant pas la mort, il ne comprenait pas la vie.
Aussi, pour lui, tout être mortel était donc inférieur puisque soumis à ces concepts. Il était donc normal qu’ils soient au service des immortels. Et ceux qui osaient se rebeller faisaient l’expérience cette merveilleuse chose, puisqu’on la garde pour la fin, c’est forcément la meilleure, qu’était la mort. Et pas sans soufrance ! Il allait le faire comprendre à la fugitive d’aujourd’hui, qu’il avait attachée par les poignets à la branche de l’arbre au creux duquel elle croyait avoir trouvé refuge. Et non seulement, des cordez lui liaient les poignets, mais en plus, ilavait enfoncé des pieux dans ses poignets, dans ses coudes et dans ses genoux, pour commencer à la punir.
Ces pieux taillés dans les morceaux de bois qui trainaient dans le coin, il avait fait attention à cela, avait fiche des échardes dans les plaies ou les objets avaient été enfoncés. Il lui avaient aussi déboité es épaules et causés de multiples fractures aux bras, de manière à lui faire pousser des hurlements de douleur à chaque mouvement. Et entre chaque, elle le suppliait de lui pardonner et d’arrêter. Rien à faire, il continuait.
Il attrapa les parties des pieux fichés dans ses jambes et fit quelques vas et viens en les tournant sur eux-mêmes, sourire aux lèvres, se délectant de la peur, des odeurs de sang, des larmes dans ses yeux, des cris qu’elle poussait, jouant à tenter de la faire crier toujours plus fort.
Prenant une aiguille et du fil, il piqua le téton doit au point de le travers, ainsi que le téton gauche, et il sera les deux pour les attacher ensemble, nouveau cri. Il y avait une seule chose qu’il ne touchait pas : son visage. Il avait des limites quand même ! Et puis, il ne défigurait pas les gens, âr repsect pour eux. C’était bien le seul respect qu’il avait !
Passant dans son dos, il sortit deux poignards bien aiguisés et en enfonça un dans le puit d’amour de l’esclave rebelle , tailladant les parois vaginales jusqu’à ce que la lame soit complètement ointe de sang. Il fit de même de l’autre côté avant de pénétrer son fondement sans douceur, lui arrachant d’autres fris alors qu’il rirait sur le fil reliant ses tétons, au point de faire saigner davantage ces deu boutons de chairs , la besognant avec violence, chaque coup de rein apportant davantage de cris et de larmes.
Il finit par lui détacher les mains, laissant les pieux, pour qu’elle s’effondre par terre et commença à la rouer de coups dans les côtes à lui faire cracher du sang et cris. Enfin, prenant sa bouche comme il l’aavait fgait ailleurz, il finit pas se déverser sur son visage pathétique, Bon, il était temps d’en finir, elle ne l’amusait plus.
Prenant son cheval par les rênes il l’approcha et lui attacha les chevilles à une corde reliée à la selle, faisant de même sur ses poignets avec une corde autour de l’arbre. Il commença à faire tirer son cheval en la zébrant de coups de fouets. Qui, du fouet ou du cheval gagnerait ? Il emmetait le pari qu’il arriverait à la tuer avec son fouet avant qu’elle ne soit démembrée.
Mais il ne s’était pas rendu compte qu’il n’était plus seul, amusé et occupé comme il était à jouer au tortionnaire…
Le crépuscule faisait place lentement à la nuit, alors qu'il continuait à jouer, riant comme un gamin de son jeu qu'il trouvait si plaisant.
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Venu pour récupérer des larmes de lunes, fleur ne poussant que le soir, l’elfe avait fait le tour des campagnes environnantes. Toutefois des cris l’avait finalement sortie de ses recherches. Curieuses de nature, elles s’étaient naturellement dirigées vers l’endroit d’où provenaient ces cris. Elle espérait trouver un nouvel esclave. Généralement ce qui provoquait ce genre de bruit était les aventuriers en proies à des monstres. Ce n’était absolument pas un souci, il suffirait de calmer un peu leurs ardeurs et puis elle pourrait récupérer l’humanoïde tranquillement.
Dans l’ombre tinuviel observait la scène, ne pouvant s’empêcher de grimacer à la vue de cette vision d’horreur. Elle était une dominatrice, une créature s’amusant avec ses proies pour pouvoir les voir se plier à sa volonté. Mais ce qu’elle voyait la c’était juste hors de propos. Torturer une femme comme cela cet homme, car pour l’instant elle pensait que c’était encore un homme, n’avait vraiment aucun respect pour les règles de l’esclavage. Non, ce qu’il était entrain de faire ressemblait d’ailleurs plus à de la boucherie qu’à autre chose. Elle ne pouvait pas reste la sans rien faire, non elle devait intervenir, ne serait ce pour récupérer cette pauvre esclave. Elle n’avait pas envie que cette jeune femme finisse dans les limbes, elle pouvait encore servir, oui, mais pour cela, il lui faudrait par contre agir relativement vite pour ne pas qu’elle finisse entièrement démembrée. Elle pourrait la soigner, mais pour cela il faudrait qu’elle récupère le corps agonissant de cette pauvre fille. Surtout que celle-ci était réellement une pure beauté.
C’était pour cela que la jeune elfe tenterait par tous les moyens de mettre la main dessus. Voila, pourquoi elle tenterait par tous les moyens de récupérer cette jeune femme. Après tout, cela ne pouvait pas être pire que ce qu’elle avait vécut jusque la. Et puis, elle le transformerait en ver avant que celui-ci ne puisse la toucher.
Ainsi, l’elfe sorti doucement de l’ombre, marchant tranquillement vers la bougresse et surtout vers son tortionnaire. Elle avait la tête haute, souriante, elle n’avait pas peur. Non, car elle savait que contre un homme cela ne serait qu’une partie de plaisir.
-Arrêter un peu de torturer cette pauvre créature. Vous voulez jouer, alors je suis votre femme. Mais en échange je veux cette femme. Je veux que vous la laissiez tranquille et que je puisse l’examiner le temps de la soigner pour ne pas que celle-ci ne meurt pendant que nous jouerons ensemble.
La proposition était sans doute alléchante pour l’homme. Ainsi, elle se dirigea tranquillement vers sa nouvelle acquisition, la plongeant dans un état de léthargie avancé. Avant de refermer doucement les plaies les plus préoccupantes. Voila, elle avait enfin fini son travail, et ceci avec la vitesse si caractéristique des elfes. Ce petit homme serait sans doute ravi de pouvoir jouer un peu avec elfe. Après tout, elle n’avait qu’une seule parole, même avec les races inférieures comme lui. Elle jouerait cinq, dix minutes maximums et puis elle le rejetterait comme une vulgaire chaussette. Du moins pensait elle car malheureusement elle ne savait pas encore qu’elle passerait sans doute les pires moments de sa vie. Bien que, finalement ce ne serait peut être pas si dur cinq minutes avec une race inférieur contre une si jolie esclave. Oui, elle tiendrait le choc même si cela serait dur, bien qu’il n’était pas si mal. Avec de la chance, elle passerait un bon moment.
-Alors mon beau, qu’en pense tu. Je garde cette femme, mais en échange je te laisse jouer avec moi. Cela te va?
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« Arrêter un peu de torturer cette pauvre créature. Vous voulez jouer, alors je suis votre femme. Mais en échange je veux cette femme. Je veux que vous la laissiez tranquille et que je puisse l’examiner le temps de la soigner pour ne pas que celle-ci ne meurt pendant que nous jouerons ensemble. »
Il se retourna, surpris. Et lorgna la belle plante devant lui. Sa proposition était intéressante. Mais de quoi se mêlait-elle ? , t encore, uand bien même il aurait accepté, elle se prenait pour qui, à faire comme si c’était déjà conclu ? Et sur le fond, rien ne l’empêchait de tuer l’une et soumettre l’autre, elle semblait bien peu farouche. ?on mais attendez ! Qu’elle arrête vite fait où ses jeux n’auraient servi à rien ! Et il les tuerait tous les deux ! Finalement, enfin, elle se décida à arrêter de faire ses conneries et se retourna vers lui pour ajouter :
« Alors mon beau, qu’en pense tu. Je garde cette femme, mais en échange je te laisse jouer avec moi. Cela te va? »
Tout se résumait en un seul mot, un mot de trois lettres qui ne sortit pas immédiatement de ses lèvres. Il s’approcha des deux femmes et fouetta son cheval pour qu’il tire à nouveau. De son autre main, il jouait avec la dague. Et finalement qu’il ouvrait la bouche pour parler, il sourit et dit, tout en ouvrant en deux la gorge de son esclave.
« Non. »
Alorq qu’il fichait la lame dans le corps du cadavre, il souriait, les yeux pétillants. Il avait une nouvelle proie, une de perdue, dix de retrouver disait-on , non ? Et bien là, il en avait déjà une sur dix, et elle était encore bien mieux que ce qu’il avait perdu. Il fit claquer son fouet en tentant de l’enrouler autour de la gorge de la jeune femme qui venait de le déranger ainsi.
« Je ne vais pas tirer dans les coins. Primo, de quel droit faites-vous cela ? Ma chose, mon esclave, mon objet, mon choix. Quand on est un esclave en fuite on sait à quoi on s’attend ! Surtout chez moi où ils sont prévenus dès leur arrivée. Secundo puisque c’était si gentiment demander, je vais vous éduquer vous aussi, et tu vas vite déchanter ! »
Il tira sur le fouet et dans le même laps de temps, il tenta de lui caresser violemment et avec brutalité le visage du pied. Elle allait commencer par prendre une belle correction.
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Tinuviel observe la scène, elle sait que sa beauté ne laisse personne indifférant, et il et fort probable que…. Comment cela non ? Alors la, c’était vraiment hallucinant, ainsi ce pauvre idiot venait de refuser sa proposition, pire encore il venait de tuer l’esclave devant les yeux abasourdie de l’elfe. Cet homme était fou, il n’y avait pas d’autre explication pour que celui-ci refuse sa proposition. Oui, il devait vraiment être fou, mais elle en a croisait des pires, des bien pires, et comme les autres il finira tôt ou tard par être sous son contrôle. Ce qui l’ennuie, c’était que l’esclave qu’elle convoitait était maintenant dans un très mauvais état. Un sortilège de nécromancie pourrait éventuellement faire l’affaire, mais alors elle perdrait le plus intéressant. Elle soupire donc en regardant l’homme.
Puis, elle se retrouve avec un fouet autour de la gorge. Ainsi, il ose lever la main sur elle. Soit, s’il veut jouer à cela, il sera servit. Mais pour l’instant...
Elle esquive rapidement le pied du vampire ce dirigeant vers elle avec toute la grâce et la légèreté de son peuple. Heureusement que les elfes sont bien plus rapides que les humains, de plus elle à servie dans l’armée elfique, développant encore un peu plus ses réflexes, c’est grâce à cela qu’elle a réussit à éviter le coup. Elle sourit doucement le regardant droit dans les yeux. Elle rigole doucement.
-Tu me fais quoi la ? Tu crois vraiment que tu peux me soumettre ? Bha écoute mon grand, sache que tu auras beaucoup de travail avec moi. Cette esclave était peut être tienne, mais tes méthodes sont justes dignes d’un bouché. Ce n’est pas comme cela que l’on dresse des esclaves et je sais de quoi je parle mon petit. Voila pourquoi je t’avais proposé cela, pour pouvoir récupérer en douceur les erreurs que tu as fait, mais puisque qu’elle est morte, je n’ai absolument plus aucune raison de faire mumuse avec toi.
Elle le sait, elle vint de gagner la supériorité mentale, Pourquoi ? Mais parce que là, elle vint de lui montrer que jamais elle ne se laissera dominer contrairement à ce qu’il ne pense. Elle à toujours ce grand sourire, et bientôt, c’est lui il déchantera.
-Alors mon mignon, tu es loin de la prestance nécessaire pour être un véritable maitre. Mais je pourrais te donner des cours. Mais je doute que tu les mérites, après tout, tu n’es qu’une espèce inférieure….
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Il était complétement abasourdi. Comment avait elle fait ? Il la tenait avec le fouet pourtant, mais elle avait réussi malgré cela. Ce n’était pas une humaine comme les autres. Une telle vivacité et une telle souplesse offrait bon nombre de possibilités intéressantes, tant sur le plan commercial que sur le plan physique. Son regard le mis mal à l’aise, il y lisait de l’amusement, du dédain, et d’autres choses qui ne lui plaisaient pas, mais alors pas du tout !
« Tu me fais quoi la ? Tu crois vraiment que tu peux me soumettre ? Bah écoute mon grand, sache que tu auras beaucoup de travail avec moi. Cette esclave était peut être tienne, mais tes méthodes sont justes dignes d’un bouché. Ce n’est pas comme cela que l’on dresse des esclaves et je sais de quoi je parle mon petit. Voilà pourquoi je t’avais proposé cela, pour pouvoir récupérer en douceur les erreurs que tu as fait, mais puisque qu’elle est morte, je n’ai absolument plus aucune raison de faire mumuse avec toi. »
Ça tombait bien, lui non plus ne voulait pas faire mumuse avec elle, il voulait la soumettre et la frapper, la blesser pour l’avoir obligé à tuer son esclave ! Il comptait encore jouer ! Et pas qu’un peu, et si elle avait esquivé son premier coup, il allait tenter une autre méthode….
« Alors mon mignon, tu es loin de la prestance nécessaire pour être un véritable maitre. Mais je pourrais te donner des cours. Mais je doute que tu les mérites, après tout, tu n’es qu’une espèce inférieure…. »
Là ce fut à son tour de rire...mais jaune… Non mais c’était comique ! Comme si elle estimait connaitre toute l’étendue de son savoir sur la façon de briser quelqu’un. Il y avait la phase physique, et la phase morale. Cette esclave avait juste un peu trop résisté et en avait fait les frais, ni plus ni moins, c’était aussi simple que cela. Elle avait agi en connaissance de cause.
« Je n’ai rien à apprendre d’une personne qui ne fait que s’occuper des esclaves des autres, allez donc vous charger de libérer les créatures inférieures avec le mouvement de rébellion, que je rigole un peu seul dans mon coin en faisant mumuse avec mes esclaves quand et comme bon me semble. »
Il reprit son poignard et le pointa dans la direction de la jeune femme encore en vie.
« Et surtout, je vais vous faire regretter votre insolence ! »
Il se jeta sur elle avec une bien plus grande vélocité que pour son coup de pied, s’étant retenu au cas où, en tentant de lui lacérer le corps avec son poignard.
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Elle le fixe, ses yeux chargés de mépris, de dédain, et de supériorité, elle était une elfe de sang, la seule espèce méritant de gouverner ce monde. C’était inscrit dans les gênes de sa race. Oui, elle était supérieur à ce male, et ce quoi qu’il en dise. Il voulait la briser ? Et bien, pourquoi pas ? Mais .il risquait d’être lui-même esclave avant qu’il ne s’en rende compte. Car contrairement à ce qu’il disait, il avait beaucoup à apprendre d’elle. Il avait même tout à apprendre selon elle, car si cette esclave s’était enfuie, c’était parce qu’il avait était incapable de la retenir, une esclave bien dressé était capable d’endurer n’importe qu’elle supplice pourvu qu’on la dresse correctement, et cela n’avait absolument pas était le cas. Elle avait donc un sourire lorsqu’il parlait du mouvement de libération des esclaves, il devait vraiment être un novice pour dire cela.
Elle aurait bien voulu le contre dire, mais il ne lui laissa pas le temps, il se jeta sur elle avec un couteau et surtout avec une vitesse bien supérieur à un humain normale. Mais a peu prêt égale à celui d’un elfe, ce qui permit a la jeune maitresse d’esquiver un bon nombre de coup, ou une humaine normale serait déjà transformé en saucisson, mais ce n’était pas le cas de Tinuviel, car elle n’était pas une Humaine, et elle était encore moins normale. Elle avait toujours ce sourire moqueur, ce sourire qui voulait dire que le vampire n’était en réalité qu’un pauvre bouffon, se prenant pour un maitre, mais qu’il ne mérite absolument pas cette appellation. Alors qu’il tentait de la découper, la jeun femme lui dit.
- Je m’occupe de ton esclave, car tu es incapable de le faire. Un vrai maitre aurait fait en sorte que son esclave lui reste fidèle, et ceux quelques soit ce que tu lui fais. Tu n’es donc qu’en réalité un pauvre bouffon. Tu ne mérite même pas qu’une maitresse t’elle que moi t’éduque. Pourtant je me sens généreuse…
Elle eut pas le temps de finir sa phrase, le couteau passa tellement proche de sa gorge qu’il la coupa, laissant perlé un peu de sang sur sa gorge blanche. A La vue du liquide écarlate, la mage rouge, vit rouge. Il avait osait toucher à ce corps. Il payera cela, elle s’en faisait la promesse, maintenant le temps n’était plus à l’esquive mais à la contre attaque. Elle attendait le bon moment pour lui sauter dessus. Elle se vengerait de ce gamin prétentieux et arrogant. Il n’avait jamais connu le courroux d’une elfe, mais ce serait le cas. Et il lui demandait de l’achever pour que la honte ne soit pas sur lui. Mais elle le laisserait vivre, vivre avec la honte qu’elle lui infligerait dans peu de temps.
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Bon sang ! Mais pourquoi n’arrivait-il donc pas à la toucher ? Pourquoi était-elle si rapide nom de dieu ? Il n’arriverait donc pas à lui infliger la correction qu’elle méritait ? Il accélérait, bottait, feintait, n’hésitant pas à y aller du point ou du pied pour frapper si nécessaire. Mais elle semblait danser en esquivant sa lame, comme si elle voyait venir chacun de ses coups. Et pire que ça, elle arrivait à lui taper la converse en même temps. Autant vous dire qu’elle l’insultait gravement, faisant redoubler d’ardeur au combattant.
« Je m’occupe de ton esclave, car tu es incapable de le faire. Un vrai maitre aurait fait en sorte que son esclave lui reste fidèle, et ceux quelques soit ce que tu lui fais. Tu n’es donc qu’en réalité un pauvre bouffon. Tu ne mérite même pas qu’une maitresse t’elle que moi t’éduque. Pourtant je me sens généreuse… »
Cette fois ci, elle aurait mieux fait de fermer son claque fiente, puisqu’il parvint à déjouer sa garde en entrer sa lame dans un espace vital. Il sourit avant de déchanter, son coup n’avait pas porté ses fruits, il ne lui avait pas créé un deuxième sourire en travers de la gorge. Mais cela eut une conséquence qui n’était pas prévue…
Le sang, enivrante odeur qui le rendait complètement dingue, et ce sang en particulier, mêlé à l’adrénaline, mêlé à la folie, et même ce sang en lui-même avait une odeur peu commune, qu’il n’avait jamais goûté, une odeur qu’il ne parvenait pas à identifier. Et ça avait le don de l’énerver.
Il fit un bon en retrait, tremblant en tentant de maitriser ses pulsions pavloviennes, se mordant la lèvre jusqu’à en saigner. Il ne chercha même pas à répondre dans un premier temps. C’était complètement inuile et innefficace, pure perte de temps. Mais le pire c’est qu’elle n’avait pas tout à fait tort sur la fidélité d’un esclave, quand bien même cette personne soit arrivée depuis moins d’une semaine ou qu’elle soit là depuis cinq longues années.
Finalement il prit la parole.
« Admettons que je sois un mauvais maitre…je ne suis pas là pour être un maitre, mais pour dresser et revendre, et mes esc… »
Il ne finit pas, il n’aurait pas du baisser sa garde…
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Elfe s’amusait comme une véritable enfant, effectivement, même si l’homme était bien plus rapide que la moyenne, cela ne la gênait, absolument pas, parce que c’était à peu prêt à ce rythme que ses instructeur portaient leurs coups à l’époque ou elle faisait encore partie de la grande armée des elfes du soleil. Ainsi, elle évitait avec une grande aisance la lame du vampire. Elle s’amusait à voir la haine et la frustration grandir sur le visage de celui-ci, c’était assez drôle même s’il avait quand même réussit à la blesser légèrement, dut à une négligence de sa part. Elle ne referait cependant pas cette erreur et profiterait de la prochaine occasion pour pouvoir prendre l’avantage.
Durant cinq bonnes minutes, l’affrontement continua comme cela. Mais l’opportunité que recherchait la jeune femme arriva cependant et elle en profita. Alors que le jeune homme voulu lui répondre, elle se mit en position avant de lui donner un violent coup de paume dans le sternum. Il ne serait pas mortel, même s’il avait était qu’un humain, mais le vampire le sentirait passer. Effectivement et malgré l’apparence chétive de l’elfe, elle était sans doute bien plus forte que ce que l’on pouvait imaginer. Elle était au moins, aussi forte que la majorité des Humains mâle. Malgré, le fait qu’elle ne soit qu’une femelle, mais la véritable puissance du coup, venait du fait qu’il avait était directement porté au niveau de la cage thoracique, ce qui couperait le souffle de son adversaire pour un bon moment. S’il respirait….
Elle avait ce sourire triomphant, elle avait encore une fois prouvé sa supériorité, face à cet homme. Effectivement, elle vennait de le mettre Hors combat en moins d’une dizaine de minute, et sans arme. Elle se tourna donc vers le combattant, souriante.
- Encore une victoire pour moi. Quand tu sauras te battre tu reviendras me voir, mais en attendant, je te conseille de t’attaquer à quelqu’un de ta taille, femmelette…
Elle avait frappé la ou cela faisait mal, se faire mettre au tapis par une femme, pour un marchand d’esclave, il n’y avait rien de pire, mais d’un autre coté, il avait commencé, et surtout il n’avait pas à tuer cette esclave. Elle l’avait voulu. Et s’il ne l’avait pas tuer, il serait sans doute entrain de passer un bon moment en compagnie de la plus belle des créatures… ELLE.
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Une violente douleur au sternum, l’air fut expulsé de ses poumons et refusa d’y rentrer. Il s’écroula sur le sol, étourdi par le choc. C’est qu’elle en avait dans les bras la miss, il l’avait sous-estimée, et il ne ferait pas deux fois la même erreur. Sous-estimer un adversaire ne lui avait jamais effleuré l’esprit avant aujourd’hui. Il ne prenait pas les femmes pour des espèces inférieures, les hommes d’arrières, il prenainet les humains pour inférieurs. On ne pouvait se fier à l’intelligence humaine. A la connerie humaine par contre, si, ça c’était certain qu’il pouvait le faire !
Mais elle, elle n’était pas humaine, il en aurait lis sa main à couper : sang différent, geste différents, vitesse différente. Il devait se relever. Hors de question de faire preuve de la moindre faiblesse ! C’était interdit ! Il ne serait pas dit qu’il aurait été malmené comme ça par qui que ce soit ! Il était quelqu’un de trop vaniteux pour ça !
Elle se tourna vers lui et se mit à enfoncer le couteau dans la plaie, ce jeu l’énervait mais il devait prendre ce qu’elle lui accordait : du répit. Et il en profita quelques instants.
« Encore une victoire pour moi. Quand tu sauras te battre tu reviendras me voir, mais en attendant, je te conseille de t’attaquer à quelqu’un de ta taille, femmelette… »
Okay, c’était dit, il en avait marre. Il se releva, poings serrés, souffle court et la regarda droit ans les yeux d’un œil assassin, puis il prit la parole.
« Comment ça, encore ? Je te signale que je suis toujours là pour t’affronter ! Je n’abandonnerai pas ! Tu ne connais rien de ces choses là ! Encaisse comme moi et on verra qui manque de tripes ! Quand à m’attaquer à quelqu’un de ma taille, et bien je crois qu’en terme de taille, tu fais quelques centimètres de moins que moi ! Et en plus tu commences à te vanter ! T’es mal barrée, bâtarde ! »
Il s’approcha tant bien que mal, et finit par se jeter sur elle, tête en avant, pour tenter quelque chose.
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L’elfe à un grand, un très grand sourire, elle sait qu’elle le maitrise, mais chose étrange il à plus de résistance qu’un humain normale. Bha, finalement cela était mieux comme cela car le chalenge en était que plus intéressant. Ainsi, elle rigole doucement lorsqu’elle entend son petit discours de frustré. Au oui, il était un pauvre petit malheureux qui se faisait mettre une raclée par une femme. Oui, il était une pauvre victime de la vie…
Elle avait un sourire grand comme ses oreilles, ainsi, il vennait de la traité de bâtarde, et bien pourquoi pas. Cela montré qu’une seule chose, qu’il avait vraiment un égo sur dimensionné. Mais elle lui apprendrait ce qu’il en couterait d’insulter une espèce supérieure. Elle le regarde, évite facilement la charge, il est vraiment trop prévisible. Mais elle devait cependant faire attention, son trop plein d’assurance pourrait un jour lui faire du tord. En attendant elle s’éloigna de quelques pas pour mettre de la distance entre eux. Ce qu’elle va faire pourrait lui causer du tord, mais elle à envie de se venger pour l’insulte qu’il venait de lui faire… D’un geste, elle se débarrassa de son armure, la faisant tombée dans un fracas étourdissant.
-Tu sais quoi, je crois surtout que tu es un pauvre bouffon. Tu te prétends supérieur mais en réalité, tu te fais mettre au tapis en moins de dix minutes… Et si tu pense que je suis une bâtarde, tu te trompe… JE SUIS UNE LOUVE PURE RACE.
Alors qu’elle disait cela le corps de l’elfe se changeait. Elle devait plus poilue, et son organisme changeait radicalement de morphologie. Il fallut moins d’une minute pour qu’à la place de la créature magique, ce trouve un animale. Enfin, une animale, une louve. Une louve de taille bien supérieure à la moyenne, au pelage noir et luisant. Des crocs acérés, et des griffes faisant passer les poignards les plus acérés pour de vulgaire coupe papier. Elle Grogna contre le vampire avant de se jeter sur lui, toutes griffes dehors, s’il voulait s’en sortir, il avait intérret à trouver vite un plan de bataille. Très vite même puis d’ici quelques secondes la louve serait à sa hauteur, et alors il ferrait un formidable festin.
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Ile ne la regardait pas, mais il l’entendit pendre de plus en plus de distance, comme par sécurité ! Reprenant peu à peu la maitrise de son souffle, il se pencha et récupéra son arme, la dague, il en lécha le sang sur la lame pour reprendre quelques forces rapidement. Il en eu l’effet d’un coup de fouet. Puis elle le tira de ses pensées par ses paroles.
« Tu sais quoi, je crois surtout que tu es un pauvre bouffon. Tu te prétends supérieur mais en réalité, tu te fais mettre au tapis en moins de dix minutes… Et si tu pense que je suis une bâtarde, tu te trompes… JE SUIS UNE LOUVE PURE RACE. »
Et c’est là qu’il la vit se métamorphoser en une splendide louve noire, de la taille d’un worg, et si l’animal lui donna des frissons dans le dos et lui hérissa les poils de la nuque. Cette bête inhumaine commença à avancer vers lui. Son but était clair, enfin, selon lui. Aussi prit il la dague à deux mains. Si elle bondissait, il lui enfoncerait l’arme dans les entrailles et lui apprendrait ce que le terme étiper voudrait dire au sens propre.
L‘autre solution était d’utiliser son fouet, qu’il n’avait jamais lâché, pour dompter la saleté, mais encore fallait-il que celle-ci ait un temps soit peu d’intelligence…
« Non tu n’es pas une louve, t’es juste une putain de métamorphe qui ne savait pas quoi foutre et puisque tu réclamais mon corps, je te dominerai et tu seras bien vite à genou au point de me supplier de t’offrir le repos ! Alors viens connasse ! Je vais te montrer que tu ne vaux rien de mieux qu’un toutou ! ET JE NE SUIS PAS UN BOUFFON ! JE VAIS TE MONTRER, CHIENNE, QUI EST L’INFÉRIEUR ENTRE NOUS ! »
Il se ramassa, prêt à esquiver si besoin est, ou à l’éventrer si il en avait la moindre chance. Il se mit en attendant à faire claquer le fouet dans la direction du museau de la bête.
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La louve est entrain de le dominer, c’est clair et net, depuis tout à l’heure c’est elle qui mène la dance et ce mâle inférieur ne s’est absolument rendu compte de rien. C’est pour cela que les Hommes font de mauvais maitre, ils sont trop sanguins, trop brutales, ils ne pensent qu’à la punition physique, alors qu’en réalité c’est sans doute la moins efficace. Oui, ils ne sont que des incapables, et il ne devrait y avoir que les femmes qui devraient être aptes à dominer ou bien dresser un ou une esclave. Elle le regarde vociférer, et se dit qu’il est comme les autres, totalement idiot comme un bon inférieur.
Elle le vit les coups de fouet arriver, et se placa en conséquence, elle avait l’habitude de ce genre de modèle et fit en sorte que le fouet ne lui tombe jamais sur le museau, mais devant, ainsi elle ne risquait pas d’être blessée mais pouvait penser à sa contre attaque, qui ne tarderait d’ailleurs pas. Elle attendit un instant, avant de se saisir du fouet d’un coup de croc. Cela lui faisait du mal, de s’attaquer à un matériel d’aussi bonne qualité, mais bon c’était sa faute aussi.
Il ne lui suffit que de deux secondes pour que le fouet soit sectionné par les dents acérées de la louve. Elle avait des dents la bête, et elle savait s’en servir. Ainsi, il ne resta qu’un bout de cuir totalement inutilisable, il était bien trop abimé pour qu’il puisse un jour s’en servir. La louve, elle avait un sourire jusqu’aux babines. Elle le narguait, elle s’amusait avec lui, il n’était bon qu’à cela après tout, oui, un bon inférieur qui ne mérite rien d’autre que l’on se joue de lui et c’est ce qu’elle est entrain de faire à l’heure actuelle.
Elle se rapproche de lui, faisant des cercles. Elle avait vraiment le comportement typique du prédateur qui jouait avec sa proie avant de lui bondir dessus et de l’étriper d’un coup sec au niveau de la nuque. Au oui, ce qu’elle en avait envie, celle apprendrait à ce gros vantard qu’elle était loin d’être une chienne, qu’elle était la dominante, et lui le pauvre jouet. Comment allait il se sortir de cette situation forte épineuse. Elle avait hâte de voir cela. Oui, ce serais un bon test pour voir ce que fallait son futur esclave.
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Ne jamais tourner le dos à son adversaire. Voila ce qu’il tentait tant bien que mal de faire. Mais il commençait à avoir un peu le tournis, et il était de plus en plus désemparé. Croire qu’il abandonnerait serait une grossière erreur. Il avait de la ressource le petit. A force de voir des choses on était drolement surpris parfois, mais on finissait par s’y habituer. Et si c’était la première fois qu’une métamorphe croisait son chemin, ce n’était pas la première fois qu’il affrontait une telle vestiole, il avait affronté des ours, il triompherait bien d’une louve, quand bien même il fallait compter sur le fait que celle- ci soit « humainement » intelligente.
Si elle menait la danse, il ne s’était, en effet pas douté de cela le moins du monde ! Il la croyait juste assez intelligente pour ne pas attaquer, et assez manipulatrice et patiente pour attendre le bon moment pour le faire. Mais le jour où il serait définitivement hors course n’était pas arrivé, il en était sûr et certain ! C’était elle qui se montrait faible sur le coup. Ne pouvant le contraindre à quoique ce soit, elle avait été forcée de recourir à ses instincts bestiaux, en en prenant la forme. Au-delà d’y régresser, elle avait choisi de les incarner. Mais si elle pensait l’avoir ainsi, elle se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au coude ! Oh elle pouvait le mettre aussi ailleurs si elle voulait mais ce serait moins désagréable !
La louve est entrain de le dominer, c’est clair et net, depuis tout à l’heure c’est elle qui mène la dance et ce mâle inférieur ne s’est absolument rendu compte de rien. C’est pour cela que les Hommes font de mauvais maitre, ils sont trop sanguins, trop brutales, ils ne pensent qu’à la punition physique, alors qu’en réalité c’est sans doute la moins efficace. Oui, ils ne sont que des incapables, et il ne devrait y avoir que les femmes qui devraient être aptes à dominer ou bien dresser un ou une esclave. Elle le regarde vociférer, et se dit qu’il est comme les autres, totalement idiot comme un bon inférieur.
La force de sa mâchoire était incroyable. Il en eut presque un haut le cœur quand elle rendit inutilisable le fouet. Quel gâchis ! Du matériel à peine utilisé ! Encore des frais inutiles…il en cracha de dépit avant de lancer les débris du fouet dans la gueule de la louve garou, faute de meilleure compréhension du phénomène.
« Allez, viens là le toutou ! Je vais te passer une sacrée muselière tu vas voir ! Je vais te faire bouffer tes entrailles, petite chienne ! - c’était à prendre au sens propre – Au pied médor ! »
Pure provoc', mais au lieu de l’attendre, il lui fonça dessus, la tenue comme une lame de coude. Il comptait bien frapper le premier. Enfin, ça c’était sa prévision. En deux bonds il combla la distance le séparant de son ennemi et tenta un coup oblique, de bas en haut. L’ennui de ce coup, c’était que si il foirait, il exposait tout son côté droit et une partie de son dos.
C’est le hgenre de chose dont onn se rend compte trop tard...
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Qu’il continu a se battre, la fin n’en sera que plus délicieuse, pour la louve qui le croquerait, au sens figuré bien sur. Oui, elle n’était pas cannibale, mais ce n’est pas pour cela qu’elle n’aime pas planter ses crocs dans de la chaire fraiche. Enfin, en attendant elle s’amuse comme une folle, oui il n’est rien d’autre qu’un pauvre primitif passant son temps à rugir et à brasser du vent. Un inférieur dans toute sa splendeur, il n’y a rien d’autre à dire sur cela. Oui, absolument rien d’autre. Mais en attendant, il commençait à être embêtant, décidément, il ne pouvait pas se taire quelques secondes, non, il fallait qu’il parle encore et toujours…
Il se jeta sur elle, son canif en avant, elle esquive le coup dans la globalité, même si en réalité celui-ci l’a légèrement touché. Son sang perla doucement le long de son épaule, mais le jeu en vaut maintenant la chandelle, car il est maintenant à découvert. Elle tente une attaque… Mais malheureusement pour elle, la blessure semble plus profonde et dangereuse que ce qu’elle le pensait, avait il empoissonné son arme ? Si c’était le cas, c’était que cet homme était encore plus pervers et dangereux que ce qu’elle ne pensait, oui, il n’était vraiment pas digne d’avoir des esclaves. Après tout, un bon maitre n’a pas besoin d’artifice pour pouvoir inspirer la peur et le respect. Elle aurait envie de le briser, mais malheureusement pour elle, son épaule la fait trop souffrir… Il lui faudrait juste quelques secondes pour pouvoir se soigner, mais elle doute sérieusement qu’il lui laisse se répit. Bon, elle vint de perdre en agilité, c’est vrai. Mais il lui reste encore de nombreuses ressources. Arriverait-il à percer la barrière de croc qui se dressait entre lui et la louve ? Peut être, mais ce ne serait pas pour tout de suite, loin de la.
Le regard sauvage et indompté de la louve est une véritable provocation pour cette homme ; elle le sait, et elle en abuse. Il sera bientôt en son pouvoir. Mais elle continue de jouer avec lui, comme tout véritable maitre devrait faire.
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Ne jamais baisser les bras, ne jamais se rendre, voilà sa politique ! Hors de question de trahir cela, ce serait lui ôter sa fierté. Ce serait le rabattre à l’état de loque, de carpette, ou bien au contraire, à le rendre assez fou pour tenter autre chose ! Comme le disait l’adage : “rise, and rise again, until lambs become lions.” Autant vous dire qu’il ne comptait pas laisser tomber comme ça ! Ne serait-ce que parce que ça lui ferait drôlement plaisir ! Il allait la briser, au propre comme au figuré. Il lui briserait les os un à un, et ensuite, il briserait son esprit.
Le coup avait miraculeusement porté, lui-même ne sachant pas comment il avait fait. Le fait de l’avoir blessée une seconde fois semblait incroyable. Et pourtant c’était vrai puisqu’elle ne parvint pas à riposter Avait-il frappé au mauvais endroit, enfin, mauvais pour elle bien sur ? Elle semblait avoir ralenti…étrange, il n’imbibait pas ses armes de toxines du genre, ne srait ce parce qu’il se délectait des cris. Avec ce genre de toxines qui diminuaient les capacités physiques, les cris diminuaient. C’était donc pas lui l’auteur de cela. Mais alors d’où venait son ralentissement soudain ?
Qu’importe, autant en profiter pour repartir à l’assaut, tentant de tailler la louve de tous côtés, comme une véritable furie, tenter de frapper, de botter, de feinter, l’arsenal habituel. Et en même temps, il riait et souriait. Il gagnait du terrain, et la situation qui semblait si délicate penchait apparemment à son avantage.
« Alors mon petit toutou ? On reconnait qui est le maitre ? A moins que ce soit juste parce que tu faiblies, bonne à rien, tu semblais si confiante il y a peu ! »
Finalement il se fendit à la suite de cet enchainement, pour tenter un coup d’estoc, son bras passant près de sa gueule, trop près même…
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La louve observe et attend le moment adéquat, son plan est parfait, il ne lui reste plus qu’a attendre que la mouche tombe dans celle-ci. Et dans notre cas, il s’y jette carrément les deux pieds dedans. Elle attendait juste le bon moment. Le moment adéquat pour pouvoir bondir sur lui de toutes ses forces et le réduire à l’état de loque.
Voila pourquoi les Hommes et particulièrement les males sont incapables de faire de bon maitre, parce qu’ils sont incapables de laisser leurs égo de coté, et que surtout ils ne savent pas reconnaitre une simulation de la réalité. Ainsi, elle l’avait magistralement trompée, et ne faisait que lui laissait prendre confiance pour mieux l’achever. Il faut parfois faire un pas en arrière pour faire deux pas en avant dit le dicton, c’est le cas ici.
Ainsi, elle attendit quelques instants… Le laissant reprendre du terrain et jouant les infirmes, et comme elle l’avait prévus, il manqua de vigilance. Sa dernière attaque étant totalement folle, il n’avait pas vu que son bras passait trop prêt de la gueule de la louve. Qui décida que la comédie avait assez durée. Elle bondit sur lui, a ce moment précis. Mordant son bras avec la même violence qu’elle l’avait fait pour le fouet. Les crocs s’enfonçant violement dans la chaire, et ceux jusqu’à l’os. Os qui furent d’ailleurs légèrement percés à cause de la puissance de la morsure. Il avait eut de la chance, dire qu’elle s’était retenu… Sinon, elle lui aurait juste tranché la main. Ce qui était il fallait l’avoué beaucoup moins esthétique.
La louve se dégagea avec sa vitesse habituelle, faisant comprendre à l’humain qu’il avait était victime d’un mauvais tour de la part de celle-ci. D’un mauvais tour, mais surtout d’un excès d’orgueil. Mais il l’avait mérité de toute facon, on ne défi pas une elfe de sang quand on est un inférieur non ?
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Il sentit les dents de l’animal sur son bras, allant jusqu’à fêler l’os, non carrément le briser. Il lui faudrait deux heures pour ne plus avoir mal, deux autres pour ne plus en porter la moindre trace. Mais il se rendait compte de sa chance, yun peu plus et il finissait avec un bras en moins. La garce ! Son bras pissait le sang, en piteux état. Le poignard était par terre dans les pattes de la bête. Autrement dit, pas de quoi se défendre hormis sa propre force. Donc c’était déjà pas mal, mais il n’avait plus que le bras gauche d’acceptable pour se battre, et ses jambes. Ah oui, et sa tête, mais bon, vu ce que ça valait.
Il s’était fait avoir en beauté ! Elle était douée mais commençait sérieusement à le mettre furibard ! En effet, elle avait joué la comédie en se faisant passer pour blessée. Elle allait regretter son bras ! C’est bon elle avait bgagné il voulait désormais lui faire connaitre mille morts.
« Tu trouves ça amusant ? Très bien, on va jouer à ce petit jeu ! »
Excédé, il se concentra et son bras valide changea, grossissant, ses doigts s’allongeant en se transformant en griffes., le bras sefit plus velus. De son côté, Il hurlait e douleur sous les modifications. Contre nature, il ne pourrait la garder qu’une dizaine de minute avant qu’il ne se remette à souffrir.
Ayant désormais une patte d’ours au lieu d’un bras, il se rejeta dans la mélée avec sa nouvelle arme, avec plus de prudence toutefois.
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Il avait le sens de l’ironie cet inférieur, ainsi, il lui reprochait de n’être qu’une sale métamorphe, mais pourtant il n’hésitait pas à se servir de cette faculté lui aussi… Elle avait le sourire, ainsi il était capable d’utiliser la magie, bien, bien, cela ne ferrait que rendre les choses plus intéressante encore. Mais elle devrait prendre garde, sinon elle risquait de se prendre un très mauvais coup. Elle eut un petit sourire avant de lui montrer les crocs et de faire deux bons en arrière. Elle le fixait pour le jauger, voir de quoi il était capable et surtout s’il pourrait tenir le coup, après tout, il avait prit une bonne raclée tant sur le morale que sur le physique. Il avait perdu un bras, et elle, elle avait réussit à porter le premier coup décisif.
Elle avait profité de ce temps pour pouvoir analyser les forces et les faiblesses que prodiguait sa nouvelle arme. En force, il avait gagné une puissance de feu redoutable, c’était simple, si la louve prenait ne serait ce qu’un seul coup, elle aurait sans doute beaucoup de mal pour se relever. Mais elle avait de nombreux défaut, une lenteur assez importante, et surtout elle le déséquilibrait assez sérieusement, ainsi, au moindre choc, l’homme risquait de se retrouver au soleil, et à ce moment la ; ce serait à elle de lancer l’attaque.
En attendant, elle esquive les coups de griffes de l’homme. Il fait preuve de plus de rapidité que ce qu’elle ne le pensait, mais ce n’est pas grave, car elle arrive pour l’instant à éviter les coups. Toutefois elle commence à haleter, piège ou bien est elle vraiment au bout rouleau ? La question se pose. En réalité, oui la louve commence à fatiguer, mais elle a encore de la ressource, il lui en faudra plus pour être au bout du rouleau.
D’un autre coté, la situation n’est pas très réjouissante, dès lors qu’elle sera au bout du rouleau, il sera libre de lui faire subir les pires tortures qui soient. Mais elle ne comprend pas comment il fait pour être aussi résistant, normalement, les autres inférieurs se seraient déjà écrouler de fatigue… pas lui. C’est fou… Mais cela ne fait que renforcer sa détermination. Pour une fois qu’elle à un adversaire à sa taille…
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Trop lent ! Décidément, il était trop lent, beaucoup trop lent ! Cela en devenait presque gênant. Mais il suffisait qu’illa touche et il l’enverrai valser. Cela avait ses forces et ses faiblesses, même si le bilan laissait supposer plus de faiblesses que de forces. Laissaient présumer seulement, il n’en était rien. Son but en réalité, n’était ps de toucher la louve de plein fouet, mais il voulait lui rendre la monnaie de sa pièce. Il voulait lui briser une patte, c’est tout. Toutefois, il n’y parvint pas. Elle était encore trop rapide pour lui, trop forte. Et ça le faisait s’enrager et s’acharner davantage. Il n’en pouvait plus, il fallait trouver une solution. Elle était le problème, il fallait trouver la solution.
Il n’était pas métamorphe, il était juste mage. Il faisait certaines choses d’ordre magiques, et personne ne s’en plaignait ou du moins, personne ouvertement. Il caressait tout même l’espoir de la battre. Il avait bien une idée, mais dure à mettre en application, il allait galérer sévère, mais bon, il fallait savoir ce qu’on voulait dans la vie.
Il se ramassa sur lui-même et ferma les yeux, inspirant, expirant. Il lui fallait avant tout se calmer, il fallait avant tout agir ! Mais agir avec prudence. L’écoutant, se fiant à son acuité olfactif, son attention auditive. C’était déjà mieux. Il sentait son souffle, il se croyait mieux, plus à l’abri. Ô cpombien il avait tort. Il pensait être à l’abri, mais pas du tout.
Son bras se mit à se rétracter, à redevenir normal alors qu’il se tordait de douleur sur le sol, secoué par de violents spasmes irrépressibles. Il se tordait ainsi e douleur sur le sol avant de s’immobilier, yeux vitreux, comme si il y avait encore de bons chevaux au quadrige, mais qui n’avait plus de conducteur. Il peinait à respirer, il peinait faire quoique ce soit. Le bras avait tenu moins longtemps que prévu...
Putain ce que ça faisait mal...aussi bien physiquement que moralement...
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La louve regardait tranquillement ce qu’il était entrain de se passé, elle voyait l’homme souffrir le martyr sans doute à cause du fait que son petit artifice venait de prendre fin. Il était a terre, et se contentait de souffrir, tentant tant bien que mal de retrouver ne serais ce qu’une bribe de souffle. Il était faible… Et surtout son membre animal, seul arme encore valide venait de disparaitre.
La situation était extrêmement mauvaise pour lui, et le pire allait venir. Car celui qui dit que l’on ne frappe pas un homme a terre, est vraiment un idiot, d’une part elle allait le frapper, et d’autre part, elle mettrait fin à ce combat contre cette grotesque créature inférieur. La louve bondit sur lui avant de prendre sa nuque entre sa mâchoire. Elle y imposa la marque de ses crocs avant de restait quelques secondes comme cela. Comme pour faire prendre conscience à cette Homme qu’elle envie sa vie entre ses mains… Enfin entre ses crocs.
Elle se retira finalement avant de reprendre sa forme d’origine. Contrairement à lui, cela ne lui causait pratiquement aucune douleur… ou du moins, elle ne laissait rien voir. Oui, il y avait de nombreuses autres formes de torture bien plus douloureuse que la transformation. Une fois qu’elle fut elle-même, elle se rapprocha de son ennemi. Et posa ses mains sur ses flancs, comme elle l’avait fait pour l’esclave. Puis elle laissa sa magie faire. Elle reformé le corps de l’individu pour qu’il ne lui reste quasiment aucune blessures. Elle ne lui avait laissé sur le cou, que les marques de crocs, preuves incontestables de sa victoire.
Elle lui tourna le dos, toujours aussi nu, avant de se remettre en direction de son armure. Elle était peu être folle de lui tourner le dos, mais s’il avant un tant soit peu d’honneur, elle ne risquait rien…
-J’ai gagné. Je te l’avais dit pauvre idiot… Tu ne peux rien contre moi…
Elle avait un grand sourire, la domination était totale. Chose numéro un, elle l’avait vaincu. Chose numéro deux, elle avait raison… Et le pire du pire était sans doute qu’elle l’avait soigné. Pourquoi avait elle fait cela ? Pour deux raisons.
la première était qu’elle ne voulait pas le tuer, c’était lui qui s’était mit ce combat dans la tête, elle, elle n’avait fait que se défendre. Et elle ne voulait pas tuer… C’était idiot de mourir comme cela…
La seconde, était comme cela qu’elle lui avait hoté toute possibilité de mourir dignement. Il serait condamné à vivre dans la honte éternelle… Et cela, cela avait le don de la mettre de très bonne humeur. Oui, il n’y a rien de mieux que de prouver qu’on est les meilleurs aux pauvres races inférieurs…
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Il était alors trop faible pour résister quand il sentit la mâchoire se refermer sur sa nuque. Il serra les dents sous la douleur sans pouvoir rien faire. C’était fini pour lui, il finirait ses jours paralysé…ou pas….il lui faudrait juste le temps de regagner en force pour tout remettre en place. Et ensuite il se vengerait. Il trouverait bien un moyen de se venger. Croire qu’il admettait avoir tout perdu, que ce soit dignité, honneur, ou autre, c’était complètement faux. Il avait seulement perdu une manche dans cette terrible bataille. Et renoncer était exclu !
Mais par contre qu’elle soigne son bras après cela, reprenant forme humaine. Non, c’était trop pour lui ! Il écumait de rage, bouillonnant intérieurement alors qu’il sentait la douloureuse opération se produire dans son bras presque broyé. Comment osait-elle faire cela ! Non seulement il aurait pu se débrouiller seul ! Et il aurait d’ailleurs préféré ! Il ne voulait rien avoir à devoir à personne, et maintenant elle le rabaissait ainsi plus bas que terre ! Elle allait morfler, il se promettait une très douloureuse et très adorable petite vengeance !
L’idiote lui tourna le dos, croyait-elle en ce mot, l’honneur ? Qui était synonyme, tout comme compassion et pitié, de faiblesse. La seule raison pour laquelle il ne tenta rien c’est parce qu’il était encore sous le choc, et si les convulsions s’étaient calmées, le contrecoup, il le sentait encore.
-J’ai gagné. Je te l’avais dit pauvre idiot… Tu ne peux rien contre moi…
Contre toute attente, il sourit à ses paroles. Il aurait agi de la même manière et ressentait désormais de manière plus ou moins abstraite ce qu’un esclave pouvait ressentir, mais pour lui, c’était différent. Il sentait esxactement le pourquoi du comment, enfin, le pensait-il, puisqu’il connait bien l’autre rôle. C’était pour ça qu’il souriait.
« Tu crois sérieusement que je ne peux absolument rien contre toi ? Dans ta si grande perfection j’ai fait coulé ton sang à deux reprises ! Alors épargne-moi tes grands discours, je les connais. Mais ta supériorité si fictive semble t’aveugler. Alors arrête ton cinéma et viens en au fait pendant le temps que je t’accorde avant de te mettre une droite ! »
Et le pire c’est qu’il pensait chaque mot qu’il avait prononcé. Son petit sourire ne quittait pas son visage.
« Et puis, il faut reconnaitre que c’est intelligent ça, bravo, tu penses m’avoir marqué à vie, mais je vais t’apprendre que je peux la faire disparaitre si j’en ai envie, de même que tu te trouves être plus faible que moi ! Mespoigenr…quelle compassion ! C’est si….écoeurant. »
Il cracha sur le côté, faute de pouvoir se lever pour lui cracher au visage.
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Elle ne prend même pas la peine de se retourner, le laissant dire, pendant que elle, elle prend le temps de remettre tranquillement son armure. Elle se dit que les humains, ou quoi que ce soit d’autre qu’il soit sont toujours des êtres aussi inférieurs. Pourquoi ? Mais parce que ce n’était pas un combat à mort, enfin pas pour elle. Les elfes du soleil ne risquent pas leurs vies pour des choses aussi futiles. Surtout avec un inférieur, un être dont ils sont sur de triompher. Il n’y avait qu’une seule race pour qui les elfes du soleil avaient du respect, car c’était comme eux les prédateurs ultimes… Les dragons. Hors, il était bien trop faible pour en être un, c’était donc un inférieur. Un inférieur blessé à jamais dans son égo et dans sa fierté.
Une fois qu’elle à enfin fini de se rhabiller, elle se tourne finalement vers lui, le contemplant de toute sa grandeur. Il commençait vraiment à être énervant, bon ok, il était temps de lui infliger le coup de grâce… De lui montrer que si elle l’a vaincu, elle l’avait fait avec une facilité étonnante…
- Tu sais quoi ? Tu es un inférieur, je t’ai marqué à vie. J’ai marqué ton âme, et ton esprit. Tu ne trouveras pas le repos tant que tu ne m’auras pas vaincu… ce qui n’arrivera pas… Tu y penseras encore et encore jusqu’à ce que tu comprennes que tu ne peux rien contre moi… Mais qu’avec moi tu pourrais faire de grande chose…
Elle avait un grand sourire… Elle de la compassion, non pas pour un inférieur. Si elle l’avait soigné c’était parce qu’elle avait une idée derrière la tête. Elle lui sourit tranquillement avant de lui dire.
- Un bon maitre ne laisse pas de trace sur son esclave. Hormis un joli collier… Mais allez, imaginons que effectivement tu me battais en temps que louve… tu n’aurais pas fait le poids contre ma magie… Ou bien, contre des formes biens plus puissantes encore. Tu es faibles, comprends le… C’est triste mais c’est ainsi. Tu ne sais pas inspirer le respect à tes esclaves, tu n’es pas capable de vaincre une femme en combat singulier, et pire que cela, tu trouve encore le moyen de jouer au vantard. Tu veux un autre combat ? Je t’attends… Mais le résultat sera le même…
Et voila le coup fatale, il y avait peut de chance que l’Homme en ressorte entier. Son esprit serait sans doute envahit par le doute, et dès lors, elle aurait gagné…
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« Tu sais quoi ? Tu es un inférieur, je t’ai marqué à vie. J’ai marqué ton âme, et ton esprit. Tu ne trouveras pas le repos tant que tu ne m’auras pas vaincu… ce qui n’arrivera pas… Tu y penseras encore et encore jusqu’à ce que tu comprennes que tu ne peux rien contre moi… Mais qu’avec moi tu pourrais faire de grande chose… Un bon maitre ne laisse pas de trace sur son esclave. Hormis un joli collier… Mais allez, imaginons que effectivement tu me battais en temps que louve… tu n’aurais pas fait le poids contre ma magie… Ou bien, contre des formes biens plus puissantes encore. Tu es faibles, comprends le… C’est triste mais c’est ainsi. Tu ne sais pas inspirer le respect à tes esclaves, tu n’es pas capable de vaincre une femme en combat singulier, et pire que cela, tu trouve encore le moyen de jouer au vantard. Tu veux un autre combat ? Je t’attends… Mais le résultat sera le même… »
Toujours ce sourire ! Il allait vraiment finir par réussir à se lever et lui en coller une. Mais étrangement, les paroles de la jeune femme le détendirent et il se mit à rire à gorges déployée. Et fit son premier vrai mouvement en se mettant les mains sur les côtes. C’était hilarant vraiment. Ou alors c’était nerveux.
« Tu sais quoi ? Si tu es si douée, montre-moi comment tu instaures le respect ! Il vient par la terreur, et un esclave qui n’a pas encore été dressé cherche naturellement à s’enfuir. La peur est le leitmotiv de l’obéissance ! Seule la peur met en place un lien assez important pour que l’esclave obéisse sans poser de question. Si l’esclave obéit, il vit tranquillement, si il désobéit, il est puni. Moi j’appelle ça quelque chose de normal. Et je sais de quoi je parle ! »
Difficilement, il parvint à se lever et la brava du regard.
« Tu penses être meilleure ? Supérieure ? Et bien soit, montre-moi ta façon de dresser sans peur, que je me gausse ! »
Il avait encore le souffle court, mais ses jambes ne tremblaient pas. Heureusement.
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Elle hésite en cet instant, elle pourrait tenter de le dresser, cela ne prendrait que peu de temps, vu comme il était faible. Toutefois, il y avait un problème, elle n’aimait pas que les êtres inférieurs connaissent ses secrets. Ainsi, elle réfléchit quelques instants. Bien, c’était d’accord… Elle eut un petit sourire. Avant de le regarder tranquillement. Il avait encore de nombreux progrès à faire s’il domptait ses esclaves par la peur. Il s’agit du moyen le moins fiable, car dès que ceux-ci en ont l’occasion, ils s’enfuient en courant… Non, le mieux était de les maintenir de leurs pleins grès, et pour cela il n’y avait pas trente six solution. Il fallait inspirait l’idéal. La perfection du désir.
Mais d’un autre coté cela ne l’étonne pas qu’un male se serve de la peur… Si primitif. Elle le regarde encore un peu avant de s’avancer tranquillement. Mais soit, elle s’occuperait de cela.
-Pourquoi te montrer quand je peux te le faire vivre. Je suis sur que tu comprendras une fois que tu l’auras vécut. Ainsi, je vais te faire une fleure, je vais faire de toi un de mes esclaves… Et comme ton cerveau est trop faible pour que cela dure longtemps... Je te soumettrais en UNE HEURE...
Elle sourit doucement, maintenant il était temps de commencer son dressage. Pour cela, elle avait de nombreuses armes. La première était une aura de charme, rendant immédiatement fou d’elle tous humanoïdes dotaient d’intelligence celle-ci, et l’obligeant à se soumettre aux moindres volontés de la femme. Ce sort étant normalement réservait à l’élite des succubes. Mais elle l’avait appris grâce à quelques amies bien placées dans ce domaine. Et surtout à de nombreuses parties de jambes en l’air…
Le vampire, de part sa nature de mort vivant, n’est pas autant affecté, mais sa volonté va petit a petit décroitre dès quand il est trop proche de la jeune elfe. Mais elle n’en a pas fini. Elle lui insuffle un désir. Un désir violent… Animale, qu’elle sera la seule à pouvoir combler. Ainsi, qu’importe ou il se trouve, il ne se calmera provisoirement que s’il se fait plaisir en pensant en elle… Et encore que quelques temps… Ou bien, si elle, elle décide d’en finir avec cela.
Elle le laisse se rendre compte de ce que sa magie rose est capable de faire… On va voir comment il se comporte désormais…
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« Pourquoi te montrer quand je peux te le faire vivre. Je suis sur que tu comprendras une fois que tu l’auras vécut. Ainsi, je vais te faire une fleure, je vais faire de toi un de mes esclaves… Et comme ton cerveau est trop faible pour que cela dure longtemps... Je te soumettrais en UNE HEURE... »
Il commença par sourire en entendant ça. En une heure elle disait. Mouais, elle se vantait. Il ne l’en croyait pas capable. Personne ne pouvait réussir cet exploit, sauf lui. Okay, elle l’avait eu sur le plan physique, mais c’était bien tout ce qu’elle pouvait espérer ! Rien de plus, nada, que dalle ! Elle avait tendance à péter plus haut que son derrière la mèmère !
Qu’elle ne tentât rien par contre lui aurait semblé étrange, Mais elle ne semblait pas être encline à la violence, alors qu’allait-elle tenter de faire ? Il se le demandait. Rien n’avait changé en elle, il semblait pourtant qu’il y avait quelque chose de différent, quelque chose d’incroyablement attirant, quelque chose d’animal qu’il semble ne pas pouvoir controler.
Mais une autre chose vient la supplanter. Quelque chose de plus fort de plus instinctif, quelque chose contre quoi il ne peut absolument rien. L’odeur du sang, une odeur si entêtante qu’elle chasse toute autre pensée ou presque, chassant notamment ses découvertes sensorielles concernant la personne qui lui fait face.
Mais la voit-il encore ? Ses yeux ans le vide, il ne semble plus réagir qu’à cette simple odeur de sang, cette sensation de carnage… était-ce tout ce dont elle était capable ? Il finit par se sortir de sa transe avec aux entrailles une faim dévorante, voilà tout, il rêvait désormais de planter ses crocs dans sa chair, et boire son ichor avec gourmandise.
Comme hypnotisé, il s’approcha d’elle avant de se maitriser en se mettant une légère gifle.
« C’est tout ? »
-
Ainsi, il est capable de résister à son aura de charme, elle ne connait quelques races qui en étaient capables et elle pouvait déjà en éliminer la moitié à cause de son apparence. Il ne restait donc que les dieux, choses impossibles vu la tanné qu’il venait de prendre. Les démons, c’était impossible, son pouvoir magique était bien trop peu développé pour cela. Et enfin les vampires, des créatures insensibles aux charmes et aux envoutements ou presque…
Elle lui sourit doucement, elle va devoir utiliser une autre méthode avec lui, si ses doutes sont fondés cela ne devrait pas être très compliqué. La première chose qu’elle fit, ce fut de faire apparaitre des chaines magiques autours des membres du vampire pour ne pas qu’il ne se jette sur elle lors de la prochaine étape. Elle avait déjà en tête la façon dont elle le soumettrait à sa volonté.
Elle se mord doucement le doigt jusqu’au sang. Puis passe celui-ci sur le cou du vampire. Elle sait qu’en faisant cela elle va le rendre fou, mais d’un autre coté, c’est le but… Elle lui fait un petit sourire avant de refermer sa plaie…
-Alors c’est cela ton petit secret. Tu es un vampire, je comprends mieux pourquoi mon aura ne marchait pas vraiment sur toi, mais ce n’est pas grave. Bien, tu sens l’odeur de mon sang… Si sucré et délicieux… Je suis sur que tu en voudrais un peu n’est ce pas… C’est tellement dommage que ces chaines te maintiennent prisonnier. Mais si tu me supplies je serais disposée à t’en donner un peu…
Elle avait un petit sourire, c’était sans violence et sans torture… Sans torture physique du moins. Une vrai domination de femme, pas comme ce novice qui pensait que la peur était la seule facon de se faire obéir.
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Avait-elle trouvé une méthode de le mettre à l’épreuve ? Sans doute mais il avait gagné une petite victoire, ça lui faisait du bien mine de rien. Il lui gâtait le plaisir, ou alors c’était elle qui lui gâtait le plaisir de sa maigre victoire avec son sourire. Le sien cessa aussitôt. Elle fit apparaitre des chaines pour l’entraver. Il la laissa faire, pensant pouvoir les arracher comme du papier quand il le désirerait. A tord sans doute, mais ça il le découvrirait bien assez tot.
"Alors c’est cela ton petit secret. Tu es un vampire, je comprends mieux pourquoi mon aura ne marchait pas vraiment sur toi, mais ce n’est pas grave. Bien, tu sens l’odeur de mon sang… Si sucré et délicieux… Je suis sur que tu en voudrais un peu n’est ce pas… C’est tellement dommage que ces chaines te maintiennent prisonnier. Mais si tu me supplies je serais disposée à t’en donner un peu…"
Il blêmit. Elle avait donc compris qui il était, ou plutôt ce qu’il était, et plus encore, elle lui mettait sa nourriture sous le nez. Il y avait de quoi devenir dingue. Surtout quand on considérait sa faim dévorante. ! Quelle belle enflure, et même pire que ça ! Tentant de la mordre quand elle avait appliqué son doigt blessé sur son cou, sentir les veines palper, le sens pulser à l’intérieur, et avoir ce sang sur la gorge, bref c’était une vraie torture psychologique.
Tout son être tremblait de rage et d’envie, oui son sang était si bon rien qu’à l’odeur ! Il n’osait pas imaginer le gout si ce n’est en songe, et encore. A la moindre occasion, il lui sauterait dessus et la viderait de son sang jusqu’à la dernière goutte avant de ranimer son corps par nécromancie pour qu’elle hurle à tous les voyageurs qu’elle était une vraie garce et qu’elle les attendait cuisses écartées quand ils le désirait. Même dans la mort, son corps ne trouverait pas de repos !
Il tenta bien de lui sauter dessus mais ça ne servit à rien ! En effet, les chaines, qu’il avait tenté de briser mais rien à faire. Aussi laissa-t-il tomber et se reporta-t-il sur la seule autre source de sang disponible : lui. Il tourna la tête, et d’un mouvement brusque, il planta ses crocs dans sa propre chair, s’alimentant de son propre sang. C’était infecte, il manquait de mourir d’empoisonnement, mais son sang était au moins capable de calmer sa soif de sang inextinguible, pour un temps du moins. Plutôt être empoisonné et crever sur le champ que de devenir un esclave.
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Elle sourit doucement en voyant ce pauvre gamin se rendre compte qu’elle est une manipulatrice de première. Oui, c’est aussi comme cela qu’elle dompte ses proies quand elle sait que la méthode douce ne marche pas. Le désir ou la manipulation, ce sont les armes qui marchent le mieux, car pas besoin de se salir les mains, ou bien d’inspirer de la peur.
Elle sourit tranquillement, le voyant lutter contre ses envies de sang, c’est triste pour lui car c’est dans la nature même du vampire, mais qu’importe car elle est la maitresse, et lui ce n’est qu’un inférieur.
-Bien, maintenant que je vois que tu es affamé, je réitère ma demande. Si tu me le demande à genoux, je t’autoriserais à boire de mon sang. Mais si tu ne le fais pas, je te conseille de retourner te mordre au plus vite. Crois moi, ce sera plus rapide pour toi et pour moi mon petit.
Elle sourit doucement, passant sa main sur le cou du vampire. Elle élimine le poisson bloqué dans le corps du vampire à cause de son propre sang. Elle retarde ainsi la fin du vampire. Vampire qui la suppliera bientôt à genoux. Elle continue tranquillement sa petite torture sur lui. Comment ? Tout simplement en laissant faire les instincts du vampire.
Elle se mord encore le doigt, laissant couler le sang. Sang qui goutte par goutte tombe sur le soleil et cela devant le nez du vampire. Elle est cruelle, et elle le sait. Car il ne peut pas se libérer, et surtout il ne peut pas toucher à ce sang qui tombe devant lui, en évidence sur le sol. Il sera bientôt à genoux, elle le sait.
-Alors mon grand, tu n’as rien à me dire… Réfléchis. De cela pourrait dépendre ton prochain gouté.
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La garce, elle allait bientôt le faire craquer si ça continuait. Et parallèlement, son estomac commençait à le brûler, les effets du sang sur son organisme. Pour que son organisme ne le rejette pas, il fallait que ce sang soit chaud, lui interdisant le recours au cadavres et lui interdisant aussi l’usage du laudanum pour maintenir chaud le sang.
« Bien, maintenant que je vois que tu es affamé, je réitère ma demande. Si tu me le demande à genoux, je t’autoriserais à boire de mon sang. Mais si tu ne le fais pas, je te conseille de retourner te mordre au plus vite. Crois moi, ce sera plus rapide pour toi et pour moi mon petit. »
L’elfe voulait clairement qu’il cesse toute velléité et se mette à ses pieds pour manger. Et une seule chose l’en empêchait : sa fierté. Au dela de ça, rien, tout son être avait besoin de ce sang, le désirant ardemment, son corps disait oui, sa raison disait non. Malheureusement, il ne pouvait que difficilement se maitriser. Heureusement pour lui, elle mit fin à son mal de ventre et il échoua à la mordre au moment où elle le touchait
« Alors mon grand, tu n’as rien à me dire… Réfléchis. De cela pourrait dépendre ton prochain gouté. »
Ses genoux tremblaient, tout comme le reste de ses membres. Bon sang, combien de temps allait-il tenir sans obéir, plus très longtemps. Il plongea son regard dans le sien, un regard plein de colère, plein de rancune. Il inspira profondément avant de lui cracher dessus en lui envoyant ces quelques mots bien senti :
« Dommage pour toi, il va falloir plus ! Jamais je ne me soumettrai, je préfère encore me vider moi-même de mon sang que de faire selon ta volonté, garce ! »
Pure bravade puisqu'inconsciemment, il avait commencé à fléchir le genou, il s’arrêta, et sans pouvoir rien faire d’autre, il se remit à boire son propre sang. Il ne tiendrai pas longtemps comme ça, et en effet, il tint peu pusqu’il saffala sur les gnoux. Mais il resta coit, la toisant encore comme si il la dominait en taille. Il ne dirait pas ces mots.
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L’elfe avait un grand sourire, c’était assez drôle de le voir lutter contre sa propre nature. Un vampire à besoin de sang, il a besoin de cela pour vivre mais en attendant le voir lutter contre son propre sort, le fait de vouloir résister à sa propre faim, cela était une forme de torture des plus puissantes et des plus terrible car c’était se servir des faibles de son adversaire contre lui. Mais c’était comme cela que l’on puni un mauvais maitre ou bien un mauvais esclave. Se servir de ses faiblesses, se servir de chaqu’une des failles de l’individu.
Elle avait un grand sourire, bien maintenant il fallait qu’il fasse le dernier pas. Dire qu’il était maintenant il était à genoux, d’ici peut de temps il remballerait un peu sa fierté pour lui demander de lui donner du sang. Et oui, elle allait briser sa fierté. Laminer ce qui restait de puissance avec ce pauvre vampire. Voila, il était temps d’en finir une bonne fois pour toute.
-Tu vois, tu as déjà fait le plus dur. Aller il ne s’agit que de quelques mots. Quelques mots contre un bon calice de sang frais… Le jeu en faut la chandelle non… Réfléchi.
Bien, maintenant il ne restait plus qu’a attendre que ce gamin se plie à la volonté de la demoiselle. Bientôt il lui dirait qu’il se soumettrait à la puissance des elfes de sang. C’était assez drôle, dire que celui-ci ne croyait qu’il y avait d’autre façon de dompter un homme ou une femme par autre chose que la peur. Pourtant, là, elle n’utilisait pas la peur non ? Non, elle se servait de ses faiblesses contre lui. Enfin, voila comment on dresse un esclave qui n’obéit pas. Bien que cela fût un peu extrême au point de vu de l’elfe, c’était quand même une des meilleures façons de faire. La vieille méthode de la carotte ou du bâton. Et si cela ne suffisait pas, elle passerait à la dernière chose capable de le faire plier. Même si cela risquait de blesser voir détruire à jamais le psyché du vampire, tout serais sa faute. Il avait voulu jouer avec une puissance qui le dépasse. La puissance des elfes du soleil.
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-Tu vois, tu as déjà fait le plus dur. Aller il ne s’agit que de quelques mots. Quelques mots contre un bon calice de sang frais… Le jeu en faut la chandelle non… Réfléchi.
C’était tout à fait réfléchi, et c’était difficile à admettre. Mais il n’en pouvait plus. Il soupira avant de d’ouvrir la bouche, comme pour le dire. Mais quelque chose le retint, quoi ? Bonne question ! Il ne le savait pas. De la fierté mal placée peut être…enfin, c’était pas très important. L’essentiel était que les mots bouchaient son gosier. Il en oubliait même de respirer, c’est dire !
« Je… »
Il se tut, rhaaaaaaaaaa ! Etait-ce si dur à dire ? Et bien oui, mais pas pour les raisons que l’on pourrait croire, en effet, si c’était si dur, c’était en grande partie parce que ces mots il ne voulait pas les dire, il ne voulait pas lui faire plaisir. Il ne voulait pas revoir son sourire victorieux sur son visage de garce.
Mais finalement, sa soif de sang prit le dessus.
« Je…je…je veux boire ton sang…..s’il te plait. »
Et t’en vider accessoirement, puis t’étriper…
Il avait dit ça d’une voix monocorde, sans une quelconque supplication.
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Elle avait un grand sourire, il était maintenant sur les genoux, à ses pieds, c’était assez drôle de le voir comme cela, totalement soumis à sa puissance. Lui qui se ventait que jamais personne n’arriverait à le dresser, c’était pourtant ce qu’elle était entrain de lui faire. Oui, lui le supérieur comme il se faisait appeler était entrain de devenir un véritable esclave. Esclave de la volonté de Tinuviel. Mais en faite, et elle venait d’y penser, il était déjà un esclave. Esclave de ses propres envies de sang. Et c’était pour cela qu’il ne pouvait faire qu’un mauvais maitre, il ne pouvait pas être autrement.
- C’est bien gamin. Tu mérite ta récompense. Tu mérite de boire mon sang.
Elle se rapprocha doucement de lui, avant de s’ouvrir le doigt, laissant tomber quelques gouttes dans le gosier du vampire. Il ne fallait pas non plus rêver, il n’avait fait qu’une chose, lui demander gentiment, alors qu’il rêve pour avoir plus. Mais le fait qu’il y ait gouté, et surtout que le sang des elfes était bien plus gouteux et nutritif que celui des Humains. Donc en un seul mot, il ne pourrait bientôt plus s’en passer. Il était pratiquement soumis à cet elfe, s’il voulait du sang, il faudrait qu’il se montre bien plus obéissant.
Elle avait ce grand sourire, ce sourire de triomphant. Bien, il était temps de lui montrer que maintenant elle ne jouer plus.
-Je sais que tu as faim. Et je sais surtout que ce que je vins de te donner n’est absolument pas suffisant. Je sais que j’ai réveillé ta faim. Donc, je te propose une chose. Reconnais ma supériorité et alors je te jure je te donnerais assez à manger pour que tu puisses enfin apaiser cette faim qui te hante…
Elle avait un grand sourire, si elle réussissait ce tour de force, et bien elle aurait gagné. Elle nourrirait le vampire avant de s’en aller, puisqu’elle lui aurait prouvé qu’elle pouvait faire ce que l’on veut des gens sans utiliser la peur…
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Elle avait gagné, elle le dominait. Il ne pourrait plus rien contre elle, elle le plongeait dans une honte sans borne, le forçant à se soumettre à quelqu’un qu’il jugeait comme étant inférieur. Elle le tenait en son pouvoir, ou du moins quasiment, il ne manquaitplus que l’humiliation suprême, mais il espérait qu’elle n’irait pas jusque là !
« C’est bien gamin. Tu mérite ta récompense. Tu mérite de boire mon sang. »
Comme si elle daignait donner les reste de son morceau de viande à un chien, elle daigna lui offrir quelques gouttezs de sang. I l ne les savoura pas, évitant ainsi de s’imprégner du gout. Par sécurité ! Après tout, il avait déjà gouté du sang d’elfe, un repas de choix, mais il ne fallait pas non plus exagérer, oui, il avait trouvé ça bon, mais dans certaines circonstances.
Elle mena alors le jeu à un autre niveau. Ah oi, parce que pour le vampire, il s’agissait plus ou moins d’un jeu. Oui, il semblait se soumettre, mais après ces quelques gouttes de sang, il s’était rendu compte de ce qui se passait vraiment, et avait déjà échafaudé un plan. Il ne lui manquait que si peu de choses…elle se pensait supérieure, et il allait utiliser cette supériorité pour avoir le sang dûment mérité ! es expressions faciales n’avaient pas changées, il lui fallait juste quoi ?? Quelques centimètres…une vingtaine tout au plus, et il aurait ce qu’il voulait…
« Je sais que tu as faim. Et je sais surtout que ce que je vins de te donner n’est absolument pas suffisant. Je sais que j’ai réveillé ta faim. Donc, je te propose une chose. Reconnais ma supériorité et alors je te jure je te donnerais assez à manger pour que tu puisses enfin apaiser cette faim qui te hante… »
Un rictus intérieur, un visage aussi plaintif qu’avant. Elle savait ? Non, elle ne savait pas, elle ne savait rien, et c’était pour cela qu’il pouvait la berner, elle n’avait jamais su, et ne saurait jamais ce qu’il ressentait dans ses entrailles. Elle pensait avoir réveillée la faim ? Et bien elle se trompait, ces quelques gouttes de sang lui avait suffit pour se maitriser. Il n’avait pas subi des mois en laboratoire pour rien après tout…
Il ouvrit la bouche pour parler mais se retint. Un peu de comédie par ci, par la. Il la regarda avec les yeux les plus avides qu’il pouvait faire, instillant dans se regard le désir, mais pas d’elle, de son ichor. Puis enfin, il dit, d’une voix plaintive :
« Vous qui m’êtes si supérieure, je vous en supplie ! Donnez-moi de votre ichor ! »
Viva la comedia del arte !
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Elle sourit doucement avant de récupérer une pierre creuse qui lui servira de coupe, il ne faut quand même pas exagérer, il n’était qu’un pauvre inférieur, même si celui-ci est encore relativement doué pour un inférieur. Après tout, il à réussit à lui tenir tête durant quelques temps, mais il avait eut la preuve de ce qu’elle lui avait dit, il est idiot de penser que l’on peut dominer une elfe du soleil puisque, qu’importe la situation, c’est elle qui vous dominera toujours. Enfin, c’était la philosophie de vie de miss Tinuviel, car ses sœurs elfes, elles, n’étaient que de pauvre soumise à un monde déjà révolu. Bon, c’est sur que dit par une exilée cela avait quand même moins de poids, mais ce n’était pas sa faute si sa race était trop étriqué pour comprendre toute la puissance de cette magie. Maintenant, c’était fini de toute façon, alors pourquoi se mettait elle a repenser au passé.
Elle se contenta de ne rien dire, et soupira en observant le jeune vampire.
-Bien, tu vois que ce n’était pas si compliqué. Je suis contente de voir que tu t’es finalement plié à ma volonté.
Elle sourit avant de verser le sang dans la bouche du vampire, en prenant toutefois attention à ce que celui-ci ne puise pas la mordre au passage, elle n’était pas folle non plus, surtout qu’il n’attendait qu’une seule chose, pouvoir se venger de l’humiliation que la jeune femme venait de lui donner.
-Tu vois gamin, c’est comme cela que l’on dresse un esclave, souvent par la douceur, parfois un peu par la force, mais jamais avec de la violence gratuite comme tu l’as fait pour cette pauvre gamine. Ce qui est dommage, c’est que toi, au lieu d’être attaché, tu aurais put avec moi, jouer quelques temps en échange de celle-ci. Mais ta fierté t’as conduit ici…
Oui oui, on parle bien de tinuviel, celle qui se pense supérieur à tous et à toutes… Comme quoi, il y a certaine choses ironiques dans ce monde.
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-Bien, tu vois que ce n’était pas si compliqué. Je suis contente de voir que tu t’es finalement plié à ma volonté.
Le vampire but avec délectation cet ichor qui lui fit le plus grand bien, le sang elfique était en effet plus nutritif, et elle venait de perdre plus qu’elle n’avait gagné ! Elle allait vite le remarquer. Et en un sens, il la plaignait.Peut être parce u’elle lui ressemblait plus que l’un et l’autre auraient voulu l’admettre, peut être parce qu’il comprenait cette envie de vengeance que la violence étouffait dans l’œuf. En fin de compte, les deux méthodes étaient peut être complémentaires. C’était quelque chose à creuser…i et il le creuserait dans ses chairs.
-Tu vois gamin, c’est comme cela que l’on dresse un esclave, souvent par la douceur, parfois un peu par la force, mais jamais avec de la violence gratuite comme tu l’as fait pour cette pauvre gamine. Ce qui est dommage, c’est que toi, au lieu d’être attaché, tu aurais put avec moi, jouer quelques temps en échange de celle-ci. Mais ta fierté t’as conduit ici…
La ce fut trop pour lui, et il éclata de rire, un rire franc, tonitruant, alors qu’il se relevait et léchait ses babines vermeil. Sn teint se rosit naturellement, ses cheveux reprirent une apparence d’un noir de jais, et sesyeux virèrent au rouge. L’idiote lui avait donné exactement ce qu’il voulait. Puis il lui dit, avec un rictus mauvais.
« Tu crois sérieusement que je me soumettais à toi, selon les règles de ton petit jeu ? Mais à ton avis qui est entré dans le jeu de l’autre, à ton avis, qui manipulit qui ? Je dois te remercier ! Grâce à toi, je pète de feu ! Ah, bon sang, ça m’a revigoré ! »
Il band les muscles et, en serrant les dents, fit voler en éclat les chaines magiques, qui laissèrent néanmoins des marques dans sa chair….boarf, elles disparaitraient en temps et en heure. Il rit à nouveau avant de se déplacer à une vitesse jamais atteinte devant la jeune elfe. Ce qui lui avait manqué, c’était l’énergie, et à peine avait-il mis le pied derrière la jeune femme qu’il lui sautait dessus dans l’espoir de la saigner jusqu’à la dernière goutte. Mais il se retint, à son tour de jouer.
« Mon bien, ma chose ! C’est fou comme la fierté peut être un handicap. Alors dis moi, qui est inférieur à qui maintenant, et qui est esclave de sa fierté ? »
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Tinuviel n’eut qu’un gros sourire, il était rapide le bougre s’était certain, et elle, elle était dans une situation bien délicate, mais cela elle s’en moquait, elle s’amusait comme une gamine. Oui, c’était du jeu pour elle, puisqu’elle était supérieure à ce male. Et elle allait lui prouver. Après tout, il en fallait bien plus pour que l’elfe du soleil perde son sang froid.
- T’es un rapide dans ton genre… c’est tes partenaires qui doivent être déçues…
Et craque, une réplique assassine dans la tronche, et de une. Et cela n’allait pas ce finir comme cela, loin de la, s’il pensait avoir gagné avec l’elfe, s’était qu’il se trompait lourdement. Elle avait loin d’en avoir fini avec lui, même si pour cela elle devait avoir recourt à des méthodes peu scrupuleuses. Après tout, il était temps de lui apprendre un peu comment on assoit son autorité, à ce mâle.
- Bien, parlons sérieusement, qu’est ce que tu va me faire ? Me violer jusqu'à la fin des temps… tu en sortiras épuisé bien avant moi, et en plus, j’y prendrais bien plus de plaisir que toi. Tu veux me torturer, je te priver de cette joie, en bloquant tous plaisir dans ton pauvre petit cerveau jusqu’à la fin des temps… Et enfin, si tu veux me tuer, j’aurais le temps de me soigner et de te refoutre une sacrée raclé. Je l’ai déjà fait, et je peux le refaire.
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« T’es un rapide dans ton genre… c’est tes partenaires qui doivent être déçues… »
Au lieu de paraitre vexé, il sourit. Pourquoi se mettait-elle à agir comme le faisait les esclaves récalcitrantes ? C’était la méthode employée par elles quand il commençait à faire craquer leurs nerfs. Donc logiquement, elle devait commencer à faiblir. Et puis, il avait entendu tellement souvent des propos similaires qu’au final, il ne les relevait même plus. C’était toujours la même chose, comment les esclaves espéraient forcer le tortionnaire à les tuer. Si elle ne le savait pas, alors comment pouvait-elle comprendre la façon dont il obtenait ce qu’il voulait de ses esclaves dès qu’il le voulait…
« Bien, parlons sérieusement, qu’est ce que tu va me faire ? Me violer jusqu'à la fin des temps… tu en sortiras épuisé bien avant moi, et en plus, j’y prendrais bien plus de plaisir que toi. Tu veux me torturer, je te priver de cette joie, en bloquant tous plaisir dans ton pauvre petit cerveau jusqu’à la fin des temps… Et enfin, si tu veux me tuer, j’aurais le temps de me soigner et de te refoutre une sacrée raclé. Je l’ai déjà fait, et je peux le refaire.
Il sourit et s’approcha, un sourire sadique sur les lèvres Elle le faisait bien rire, ses leçons ne valaient rien ! Et il en était la preuve vivante.
« Dis moi, combien de temps te reste-t-il sur l’heure promise ? Car je trouve qu’elle s’écoule bien vite ! Et tu veux que je te dises, je pourrai te violer, te prendre ici même comme la patite chienne que tu mérite d’être autant de fois que nécessaire , jusqu’à ce que tu me supplie de te laisser ramper à mes pieds pour en avoir plus, et tu n’y pourrai rien, car tu ne sais combien de temps je peux tenir, ne te vante pas. Ensuite, si tu avais pu influencer mes désirs ou mon plaisir, tu l’aurais tenté dès le début…quant à te tuer, tu as attaqué un vampire affamé et en manque de sang, je n’appelle pas cela une raclée…et de toute manière quand la tête ne tient plus au reste du corps ou quand on a plus une goutte de sang dans le corps, on peut dire ce qu’on veut, cela ne servira à rien de pouvoir se régénérer. »
Il sourit et Fit un geste pour s’approcher d’elle, un pas, puis un pas, et un autre. Puis il tendit la main pour caresser la joue de TinuvieL.
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Prétentieux… Croire qu’il était capable de tenir plus qu’elle sur ce domaine, c’était tout simplement de la folie. Elle se contenta donc de le regarder dans les yeux, pendant qu’il continuait de cracher son venin… Pauvre fou, il n’était qu’un jouet, et lorsqu’elle en aurait assez elle le jetterait… Mais elle s’amusait trop pour lui dire cela. Tout n’est qu’une histoire de manipulation. Le monde entier repose sur ce principe, on est tôt ou tard le jouet de quelqu’un… Elle, elle l’avait était autrefois le jouet de sa formatrice, et depuis ce jour, c’était elle qui tenait les rênes de ce jeu.
Elle se contenta de lui jetait un petit regard du genre..Cause toujours tu m’intéresse… Mais bon, soit, s’il lui fallait un discours pour lui faire comprendre ce qu’elle voulait dire… Et bien…
-Il me reste encore bien assez de temps… Il me suffit de quelques minutes pour te plier à ma volonté… Mais oui, je peux t’affirmer que tu seras épuisé bien avant moi, si tu venais à me violer… Pourquoi ? Mais parce que j’ai eut une succube comme professeur… je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire….
Elle avait encore de la ressource cette petite elfe. Et elle le poussé de plus en plus dans ces retranchements… Il pouvait dire ou faire ce qu’il voulait, elle restait la maitresse du jeu. Un jeu ou elle mettait en danger sa vie. Mais c’était si drôle de jouer avec sa vie… Il n’y avait que comme cela qu’elle se sentait vivante, comme cela… Mais aussi d’une autre façon… Enfin… Elle n’était pas une Magicienne Rose pour rien non ? Enfin, une magicienne rouge… Mais son rouge penchait vers le rose… tout cela pour dire que maintenant qu’il n’avait plus cette faim protectrice… Oui, maintenant elle pourrait sans doute influer sur son désir et ses envies… Mais à la vitesse supérieure… Mais d’abord, voyons voir ce qu’il allait répondre…
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« Il me reste encore bien assez de temps… Il me suffit de quelques minutes pour te plier à ma volonté… Mais oui, je peux t’affirmer que tu seras épuisé bien avant moi, si tu venais à me violer… Pourquoi ? Mais parce que j’ai eut une succube comme professeur… je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire…. »
Là ce fut trop, il éclata d’un grand rire, un rire franc et en même temps glacial. Il en rit aux larmes. Décidément, elle avait un sacré problème de chevilles ! Et il allait lui montrer à quel point elle se trompait. Elle avait appris des succubes, grand bien lui en fasse, leur l’avait toujours laissé indifférent ! Et ce n’était pas aujourd’hui que ça allait changer ! Décidément, elle croyait fort en ses rêves la petite ! Elle allait bien déchanter !
« Ôte moi juste d’un doute, il est comment le diable ? Et tu as vu les éléphants roses qui vont avec ? Non parce que tu deviens ridicule ! Redescend sur terra ! On est pas dans tes rêves, on est dans la réalité ! Quand à me briser, c’est ce que tu répètes depuis tout à l’heure, et qu’est ce que je constate ? Et bien que cela ne sert à rien ! Eh oui, tu n’es arrivée à rien malgré tout ce que tu avais beau dire ! Tu as parlé deme briser, sans cesse, tu as tenté et tu as échoué, ne crois pas que tu es capable de quoique ce soit sur moi. La vérité, c’est que tu commences à ne plus savoir quoi tenter ! »
Qui dominait vraiment, il pensait que c’était lui, mais après, qui sait…peut être en réalité manipulait-il le jeu, peut être était-ce elle. En l’état actuel, personne ne pouvait vraiment le savoir, c’était un jeu trop complexe qui se jouait ici bas, mais au fond, peut-être était-ce le jeu qui les dominait tous les deux…
« Quand bien même tu aurais dit vrai, je ne pense pas que tu me laisserais le choix de partir, tu me ressembles trop pour faire cette erreur De même que je ne laisserai pas partir une telle personne après pareil affront ! Tu as voulu me donner une leçon, tu as échoué, ne soit pas si bornée, et incline toi en toute honnêteté ! »
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Elle s’incliner… Autant mourir, elle n’était absolument pas de ce genre… D’ailleurs, le fait de penser qu’elle pouvait mentir, montrait à quel point cet inférieur était fou, et il commençait à se mettre l’elfe du soleil à dos, ce qui était d’ailleurs une mauvaise idée… Bon, elle avait maintenant assez joué, il était temps de passer aux choses sérieuses. Elle profita donc du lent, et accessoirement idiot monologue du vampire pour améliorer ses capacités physique par le billais de la magie rose. Elle venait donc de gagner en agilité, en vitesse et en puissance. Bon maintenant venait la partie numéro deux, imposer sa volonté… Pour cela, il suffisait d’un contact avec le vampire, et vu qu’il lui tenait le coup, cela ne serait pas trop difficile.
Elle utilisa donc au même moment, une aura de charme, des phéromones, et surtout un puissant contrôle mental… Et ceux-ci à leurs puissances maximum. Si le vampire y restait autant dire qu’il était sacrément doué… Mais elle ne s’arrêta pas, elle en profita pour donner un puissant coup dans les cottes de la créature qui pensait s’être imposée et en profita pour se dégager. Elle eut un grand sourire avant de lui donner un autre coup qui l’envoya à terre et elle plaça sa botte sur le crane du vampire…
-Je hais qu’un jouet se mette à douter de ma parole… Si je t’ai laissé, c’est parce que tu m’amusais, mais tu ne m’amuse plus maintenant… Donc, soit je t' explose le crâne… Soit tu me présente tes excuses et je te laisse partir…
Elle lui laissait le choix, mais il avait intérêt à faire le bon, là il était vraiment dans une mauvaise posture, surtout que l’elfe semblait avoir renversé la situation sans faire aucun effort. Oui, elle commençait à en avoir assez de ce jeu qui n’avait que trop duré…
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Soudainement il se retrouva à terre sans difficulté apparente de l’elfe. Mais il savait vraiment ce qui se passait sur le coup, et peut être même avait-il volontairement été jeté au sol, sur le dos…un sourire continuait d’apparaitre sur son visage. Comme si il savait parfaitement ce qu’il faisait….
« Je hais qu’un jouet se mette à douter de ma parole… Si je t’ai laissé, c’est parce que tu m’amusais, mais tu ne m’amuse plus maintenant… Donc, soit je t' explose le crâne… Soit tu me présente tes excuses et je te laisse partir… »
Il rit doucemenr avant de soudainement frapper sa cheville qui se trouvait sur son crâne le plus fort possible, écrasant celle-ci entre ses deux poings, puis, profitant de la violence du choc, il se dégage, mais pas entièrement, puisqu’il l’attira à lui et lui saisit le bras en enroulant ses jambes près de son épaule, commençant à tirer vers l’extérieur. Une belle clé de bras.
« Primo je ne m’excuse pas devant une catin prétentieuse ! Et Secundo, je pense que c’est à quelqu’un d’autre de s’excuser, je ne suis le jouet de personne, et si tu ne ten rendais pas compte, le chasseur n’a jamais cessé d’être moi. »
Il avait un sourire carnassier sur les lèvres en disant cela. Ne se rendait-elle pas compte qu’elle n’arrêtait pas d’échouer ?Elle parlait de le dominer mais elle n’avait jamais pu, ne serait-ce que le convaincre de faire quoique ce soit en toute bonne foi, et le pire, c’était qu’elle considérait cela comme du dressage ! Non mais quelle idiote.
« Bon appétit ! »
Ce faisant,il planta ses crocs dans son poignet et commença à boire son sang, il se promettait qu’il ne resterait pas une goutte dans ses veines. Il la verrait décliner quand lui gagnerait en force, en vigeur, et en agilité !
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Il avait vraiment de la ressource ce petit, peut être d’ailleurs avait il raison. Peut être qu’elle n’aurait pas du le défier… Elle se ressaisit cependant rapidement, si elle commençait à douter, alors c’est qu’elle donnait raison à ce vampire prétentieux. Mais elle ne comprenait pas vraiment comment il avait fait pour résister à son aura de séduction… Hum… C’était peut être dut au fait qu’il était mort… Aller savoir, enfin dans tout les cas cela était vraiment inquiétant, surtout que la jeune femme était dans une position fort peu propice.
Mais jamais elle ne le laisserait paraitre, les elfes sont bien trop fière pour cela. Et même s’il était entrain de la saigner à blanc, la jeune femme ne prononçait pas un mot. Elle restait droite et fière, grimaçant à peine à cause de l’intense douleur que lui causait ce mort vivant. Elle ne disait rien… Mais savait que maintenant elle était trop faible pour lui foutre une baigne, bien que l’idée était tentante et qu’elle y arriverait un jour. Mais pour l’instant, elle verrait la même chose que lui… Attendre… Et lorsque le moment serait propice, elle frapperait à son tour, t’elle une furry.
Elle se contenta de lui jeter un regard assassin, trop faible pour faire autre chose. Elle avait besoin de récupérer de cette ponction sauvage qu’il était entrain de lui faire subir…
- Je suis loin… Loin d’avoir perdu… J’ai encore… Quelques tours… dans… mon sac…
Prétention ou pas. C’était assez risquait de lui dire cela dans son état, d’un autre coté, cela pouvait aussi être du bluff… Il fallait donc que le vampire choisisse.
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Il sourit devant son regard. Elle semblait le menacer du regard, elle le faisait dans cette position peu glorieuse alors que lui se délectait de son fluide de vie, de son ichor des plus délicieux. C’était encore meilleur puisqu’au gout exquis du sang elfique se mêlait la saveur de la victoire. Qui était l’inférieur maintenant ? Il en riait intérieurelent. Il avait bien l’intention de se vengerde ce qu’elle avait eu envie de lui faire faire.
« Je suis loin… Loin d’avoir perdu… J’ai encore… Quelques tours… dans… mon sac… »
Il arrêta de la tuer à petit feu, car ‘était ce qu’il faisait, quand elle n’aurait plus de sang, elle mourrait surement…enfin, c’était comme ça que la majorité de ses repas se passaient. Mais il ne tuait pas. Non, il risquait de mourir avec elle s’il le faisait. Mais il pourrait toujours le lui faire croire ! Qui sait, elle n’en connaissait peut être pas très long sur les vampires… Il la fixa dans les yeux.
« Tu veux savoir ce que je pense ? Je pense que tu es à court d’idées et que tu veux me persuader que tu pourras résister autant de temps que tu le voudras à mes idées et mes envies. Tu brave ma personne comme un chiot aboie après une vache. Un bond en avant et on aboie, puis trois pas en arrière ! »
Il se mit à rire avant de lui cracher au visage, puis il rapprocha ses crocs de la plaie avant d’ajouter.
« Tu vas voir que moi aussi, j’ai de bons moyens de soumettre une esclave… »
Il laissa de la salive s’écraser sur ses plaies avant de commencer à remuer celle-ci dans ses chairs avec ses crocs, prenant une ou deux lampées de sang au passage. Elle pensait avoir vu de quoi il était capable…elle se plantait lourdement sur la situation… d’ailleurs sa salive devrait, à elle seule, suffire à le prouver. En effet, la salive des vampires sécrète normalement une sorte de protéine qui, une fois injecté, donne normalement à la personne mordue l’impression d’un plaisir extrême, de facto, cela se traduisait par un orgasme. Chez les gens normaux du moins…
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Ce genre de chose, il en était réduit à cela pour faire des esclaves, c’était pitoyable. Bon, ok elle, elle était entrain de mourir, vidée de son sang par une espèce de pauvre frustré, mais ce n’était pas grand-chose. Elle avait vu bien pire, elle avait vécut des instants bien pire en compagnie de créature tentaculaire. Bon, d’accord, la c’était elle qui le maitrisait, mais bon. En attendant, le poison qui coule dans ses veines commence à faire effet. Enfin, effet, c’est relativement faible pour un poison. Cela lui donne juste envie de rejoindre ses amantes pour passer une nuit de plus ensemble. Elle rigole doucement avant de lui dire.
-Mon grand, le venin des vampires n’est pas assez puissant. J’utilise les plus puissants aphrodisiaques démoniaques, alors ton petit tour ne me donne qu’une seule envie, celle de te rire au nez.
Enfin, ce n’était pas tout à fait vrai, son entrejambe se fait un peu plus humide, mais il faudrait que le vampire force la dose pour pouvoir vraiment lui faire de l’effet. Elle ne dit rien, laissant doucement son corps récupérer peu à peu. Il faut dire que son pouvoir est essentiellement issu de l’excitation. Ainsi, plus il continuera comme cela et plus elle sera puissante. Etant trop faible, elle ne pouvait rien faire d’autre qu’attendre que le vampire en ait fini avec elle. Même si cela la tuerait, elle savait que pour l’instant, c’était le vampire qui avait l’avantage, mais elle changerait ce rapport de force pour reprendre l’avantage, et se venger lorsqu’elle en aurait l’occasion. Mais le fait qu’il lui ait craché dessus, c’était une chose que la jeune elfe n’avait absolument pas appréciée. Elle lui ferrait payer, au que oui.
- Allons, tu va me dire que c’est comme cela que tu dresses tes esclaves, et bien je comprends pourquoi celle-ci fuit à la moindre occasion.
Et bing, un autre coup pour l’égo, mais d’un autre coté, elle préférait honnêtement mourir que de se soumettre. C’était dans son tempérament, et elle n’y pouvait rien, mais jamais au grand jamais, elle ne laisserait un être prendre sa liberté. Surtout un pauvre vampire…
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« Mon grand, le venin des vampires n’est pas assez puissant. J’utilise les plus puissants aphrodisiaques démoniaques, alors ton petit tour ne me donne qu’une seule envie, celle de te rire au nez. »
Ce fut lui qui sourit à cette affirmation….bientôt elle serait en train de redemander cette sensation pour la simple et bonne raison que c’était une drogue à accoutumance, ainsi, pour peu qu’il continue, elle en serait bien vite dépendante ! Il répugnait en arriver là ! Mais elle ne lui laissait pas le choix. Elle pensait l’avoir humillé et de fait il s’était bien trop rabaissé pour en arriver là. Alors qu’elle se gausse et son rire se transformerait vite en rictus de douleur et de plaisir mêlé !
« Allons, tu va me dire que c’est comme cela que tu dresses tes esclaves, et bien je comprends pourquoi celle-ci fuit à la moindre occasion. »
Là par contre, il le prit beaucoup moins bien. Non, ce n’était pas ainsi qu’il dressait ses esclaves, mais si elle tenait tant que cela à le savoir, il allait lui montrer, et c’est d’ailleurs ce qu’il fit, puisque sans se relever, il lui asséna un violent coup de talon dans la mâchoire.
« Non, ce n’est pas comme ça….là je m’amuse juste un peu à voir une belle garce au seuil de la mort… »
Il reprit une bonne dose de sang. Il avait dû lui ôter un bon quart de son ichôr. Encore un peu et l’enfoirée finirait par tomber dans les pommes…et plus tard, celle-ci finirait exsangue. Et là trout en elle supplierait de laisser vivre, c’était la punition extrême qu’il infligeait. Avec le temps, il savait exactement quand s’arrêter pour que la personne soit obligée de lutter contre ce sommeil particulier qu’est l’inconscience.
« Comme je te l’ai expliqué, je gouverne par la peur, la peur de la punition…et par des récompenses quand elles sont mérités…pas de gentillesse, pas de fioriture, et je te propose d’y gouter… »
Il reprit entre ses dents son poignet, injectant une nouvelle dose de salive, donnant par là même, un coup de pied dans la tempe de l'elfe, avant de la lâcher pour aller récupérer son poignard avant de se pencher sur elle en faisant peser tout son poids sur son abdomen via son genou, faisant garde à se trouver à côté d’elle et son sur elle. Sans douceur, il commença à tracer un sillon dans sa chair à nue, un illon assez profond pour passer outre la peau, mais pas plus…
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Tinuviel était et elle le savait vraiment dans une très mauvaise posture, toutefois cela ne voulait pas dire qu’elle se laisserait faire, s’il y avait une chose qui importait plus que la vie chez les elfes, s’était bien la fierté. Donc jamais elle ne se soumettrait à ce vampire stupide. Malgré le fait qu’il la torture, elle se contente de sourire. Elle avait mal, elle sentait sa peau tiré et ses muscles à vifs, mais les elfes étaient entrainés pour résister aux tortures, et donc, malgré la douleur, elle ne quitte pas le regard du vampire. Toutefois, lorsqu’elle le pourra, elle se vengera, elle lui rendra aux centuples chaqu’une des cicatrices qu’elle aura à la fin de cela. Jamais elle n’aurait peur de lui. Quitte à mourir. Elle se contente de rire, de rire et de souffrir en silence. Elle est à terre, la lame sur le ventre et pourtant elle n’a jamais paru aussi grande, car elle montrait au vampire que malgré tout ce qu’il venait de lui faire subir elle n’avait absolument pas succombé. Elle aurait put demander grâce et se soumettre au vampire qui l’aurait peut être laissé après s’être servit d’elle, mais au lieu de cela, elle luttait encore.
- C’est… C’est tout.
Elle cracha un peu de sang avant de réussir à finir sa phrase.
- Jamais je n’aurais peur de toi. Car tu n’es juste qu’un gamin capricieux.
Elle tentait tant bien que mal de se dresser, de se lever, mais ce gamin lui avait prélevait bien trop de sang, elle est presque sans défense. Mais ce n’était pas pour cela qu’elle allait lui faire ce plaisir.
- J’avais plus peur de ma petite sœur, gamin…
Voyons voir jusqu’ou le vampire peut contenir ses pulsions meurtrières. De toute façon, le vampire aurait sans doute une mauvaise surprise s’il venait à la tuer, il y avait des dizaines de guerrières plus douées les unes que les autres au service de l’elfe, et il n’était pas bon de se les mettre à dos.
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« C’est… C’est tout. »
Que de vantardises inutiles…il n’en revenait pas ! Elle avait encore le courage de lutter ainsi. Il ne s’en plaignait pas ! C’était, comment dire…ah oui ! Complètement cinglé ! Surtout que son corps disait le contraire, notamment par le sang qui s’échappa de ses lèvres. Pure folie de sa part que de continuer à parler…
« Jamais je n’aurais peur de toi. Car tu n’es juste qu’un gamin capricieux. »
Il faisait mourir chacune de ses tentatives dans l’œuf, l’écrasant de tout son poids au sol, son genou adroitement placé sur elle. Ses paroles ne le troublaient pas le moins du monde. Il était habitué à ce genre de remarques, aussi continuait-t-il de quadriller son abdomen avec les mêmes sillons que précédemment.
« J’avais plus peur de ma petite sœur, gamin… »
Intéressant à savoir. Mais au-delà de ça, ses propos étaient aussi important que des mots dans le sable, balayés par la marée de sa volonté. Il sourit, elle commençait à être à court d’idées.
« Tu faiblis ma garce, tu faiblis ! Mais crois-moi, je ne cherche pas à te faire peur, non, juste à te faire souffrir, et je commence à peine, donc rien de ce que tu diras ne me fera plus plaisir que tes hurlements de douleur qui ne vont pas tarder ! »
Il sourit. Il venait de finir ses sillons. S’aidant du couteau, le vampire saisit l’angle de peau formé par deux sillons qui se croisaient. Il commença à mettre chair et muscles à vif en lui retirant la peau de la zne quadrillée, morceau après morceau. En d’autres termes, il commençait à l’écorcher vif ! Et il en prenait un grand plaisir.
Il y allait lentement, très lentement, histoire que chaque terminaison nerveuse rappelle au corps de l’elfe son bon souvenir avant d’être rompue. C’était un des supplices qu’il préférait.
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Tinuviel était vraiment en mauvaise situation si cela continuait, elle ne pourrait plus garder connaissance encore longtemps. Dire qu’elle n’avait même pas assez de force pour convertir cette douleur en plaisir. Non, au lieu de cela, elle se contentait de subir, grimassent à peine. Elle ne lui ferrait pas le plaisir de gémir, de se plaindre, et encore moins de le supplier. Elle préférait mourir plutôt que de renoncer à sa fierté. Elle le regardait, le regard encore chargé de cette fierté si caractéristique des elfes. Mais pour l’instant le pire n’était pas encore venu.
Alors que celui-ci l’écorchait vive, elle se mordit les lèvres pour ne rien dire, mais elle ne s’empêchait pas de penser que ce type était vraiment le pire des enfoirés que cette terre ait jamais porté. Raison de plus pour ne pas se soumettre. Elle le regarda, tremblante elle souffrait d’avoir ses chaires à vifs, mais elle ne se démonta pas pour autant…
- Et, c’est tout ?
Elle ricana avant de lui dire.
- C’est pour cela que jamais un esclave ne te sera fidèle, tu n’es rien… Rien de plus qu’un pauvre CON. Jamais tu n'auras de supplication de ma part...
Elle se prit un coup encore pour cette insulte, mais cela ne l’arrêterait pas. Elle pouvait mourir, mais jamais au grand jamais elle ne lui donnerait ce qu’il voudrait. C'est-à-dire sa fierté.
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« Et, c’est tout ? »
Il ricana en même temps qu’elle. Elle avait beau dire ça, il apparaissait logique que ce soit en, réalit, plus un espoir qu’une réelle provocation, mais elle allait en avoir pour son argent, enfin, façon de parler bien sur. Il allait, comme il le prévoyait, la laisser souffrir avant de faire en sorte que les blessures s’infectent lentement, avant de la laisser en pâture aux corbeaux et autres charognards.
« C’est pour cela que jamais un esclave ne te sera fidèle, tu n’es rien… Rien de plus qu’un pauvre CON. Jamais tu n'auras de supplication de ma part... »
Hola ! Doucement où il allait vraiment se mettre en rogne et il allait vraiment se plonger dans la torture, là c’était juste un avant goût, et pour lui rappeler de se taire, il lui mit une nouvelle rouste, logique.
« Non, ce n’est pas tout, je vais jouer encore un peu comme ça, puis je ferai s’infecter les blessures et je te laisserai attachée ici, seule, à la merci du premier prédateur venu., oui, je t’attacherai sans doute avec ton propre épiderme ! Tu verras, ce sera charmant, tu vas adorer… »
Il se remit à l’ouvrage, continuant de très lenetement lui ôter la peau de l’abdomen, empilant les petits morceaux de peau à côté. Puis, prenant de la terre, il en saupoudra les plaies de l’elfe avant de commencer à malaxer les chairs à vif pour bien étaler et bien faire pénétrer la terre ;
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Décidément, ce vampire était un démon. Et encore, la majorité d’entre eux n’étaient pas aussi cruel, non, lui il s’amusait délibérément avec ses proies, les laissant souffrir encore et encore, mais la seule chose qu’il obtiendrait de l’elfe, ce serait juste une volée d’insulte. Elle ne broncha pas quand il inséra sur sa chaire à vif la terre, mais en cet instant, elle le haïssait, elle ce demandait comment l’on pouvait être aussi fou, aussi avide de violence. Mais elle ne lui ferrait jamais le plaisir de le supplier. Elle se maudissait juste de ne plus avoir de force et de ne pas pouvoir corriger ce gamin prétentieux.
Elle le fusilla dut regard, sa peau la brulait, mais jamais elle ne monterait le moindre signe de faiblesse, car s’il y a bien une chose qui compte plus que leurs vies chez les elfes du soleil, c’est bien leurs fiertés. Mais d’un autre coté, et si elle se fiait à son corps, d’ici cinq minutes, elle pourrait normalement avoir récupéré assez de force pour réutiliser ses arcanes. Encore fallait il que le vampire ne la saigne pas durant ce temps, mais si la chance lui souriait, alors oui, elle pourrait sans doute à pouvoir s’enfuir, même si cela ne lui plaisait absolument pas. Mais elle n’avait pas le choix, il fallait qu’elle rentre chez elle.
-Bon, je pense que tu as… Assez jouez gamin…
Elle devait encore gagner un peu de temps. D’ici quelques minutes, elle pourrait enfin réutiliser la magie rose. Et à ce moment, le vampire regretterait de ne pas l’avoir tuer.
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« Bon, je pense que tu as… Assez jouez gamin… »
Il sourit avant de rire doucement, oui, c’était assez joué comme ça ! Il fallait savoir arrêter de jouer et passer aux choses sérieuses quand cela s’avérait nécessaire…maintenant par exemple ! D’un coup sec il arracha les autres parcelles de peau au lieu de le faire lentement. Voir de la chair à vif était des plus agréables à regarder…
Prenant son couteau, il s’amusa à creuser la chair jusqu’à créer une trace qui était assez belle. Puis, sans crier gare, il lui enfonça dans la cuisse sa lame et ce, jusqu’à la garde. Puis il recommença de l’autre côté. Il continua un peu ainsi jusqu’à ce qu’il estime qu’il y avait d’assez belles marques, soit trois sur chacune. Lassé, il prit l’elfe par les cheveux et la traina vers l’arbre ou il y avait les cordes. Elle avait perdu tellement de sang qu’elle devait être plus morte que vive, aussi cela n’était pas difficile.
« Oui, on va passer aux choses sérieuses, ne t’en fais pas, et aussi, sache que ton agonie sera lente et douloureuse, j’espère vraiment que des bestioles viendront jouer avec ta chair et ton sang, et même se nourrir, j’espère que les corbeaux viendront t’arracher les yeux… »
Il lui lia les poignets entre eux avec la corde et la fit passer par-dessus une haute branche, suspendant l’elfe à une trentaine de centimètres du sol. Il reprit son arme et approcha le métal de l’un des yeux de celle-ci.
« Ou je pourrais te les crever de suite, juste par plaisir…après tout, puisque tu te régénères, si tu survie, tu auras tout le loisir de te soigner…quoique tu apprécieras peut être les ténèbres éternels. »
Il piqua le sourcil jusqu’au sang.
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Tinuviel devait encore tenir, ne pas se montrer faible, mais ce diable était un vrai monstre, il n’y avait rien d’autre à dire sur lui. Il prenait juste un malin plaisir à la faire souffrir. Elle avait mal, tellement mal, c’était une horreur. Et cela n’était pas fini. Non, il continuait encore et encore ce jeu malsain. C’était douloureux, si douloureux.
Mais ce serait bientôt fini, oui, ses servantes serait bientôt là, et dès lors le rapport de force serait bientôt changer, et ce vampire devrait bientôt partir s’il ne voulait pas se faire démolir par une vingtaine de furry en quête de vengeance. Elle se laisser donc faire pour l’instant, puisque il ne touchait aucun organe vitale, mais un jour, elle se vengerait, et ce jour là, autant dire qu’il passerait un très mauvais quart d’heure à ce moment là.
Elle se laissa trainer sur un long moment, enfin pour elle, car en réalité cela ne dura qu’une petite minute. Puis, il se débrouilla pour l’attacher. Elle avait du mal à comprendre ce qu’il disait, elle était fatiguée. Très fatiguée. Elle aurait voulue dormir. Mais elle savait que si elle fermait les yeux, ce serait pour l’éternité, hors son heure n’était pas venue.
Elle sentie le poignard de l’homme transpercer son sourcil. Il n’allait quand même pas, et pourtant, il pouvait. Elle ne pourrait rien faire si l’homme se décidait à lui crever les yeux. Elle avait beau être capable de se régénérer, elle ne savait pas si son pouvoir lui permettait de soigner cela. Elle ne pouvait rien faire de plus de toute façon, non elle devait économiser ses forces et attendre la venue de son harem. Elle ne pouvait faire que cela.
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Liam avait assez joué, il ne souhaitais pas davantage s'amuser, ou du moins, ce serait bientôt le cas, il avait encore une ou deux idées à mettre en pratique avant de laisser l'eklfe ici, soumise à son propre sort, abandonnée de tous et de toutes, il ne tarderait pas à y avoir une meute de prédateurs qui lui grignoterait le corps peu à peu.
Elle espérait revoir son harem, hélas, ce fut une escouade de chasseurs aux ordres de Liam qui vinrent le retrouver. Et là, cela se déchaina, la vingtaine de chiens, excités par l'odeuyr du sang, était difficilement maitrisable, asussi, liam prit les devants et il ôta les pièces d'armure de la guerrière, il exhibait son trophée, nu comme un vers, aux yeux de tous.
Doucement, il finit d'abord ce qu'il avait commencé, il taillada l'arcade sourcillière sur toute sa longueur, avant de très lentement, taquiner de la pointe l'oeil de sa captive. Il avait une furieuse envie de l'énucler et ce, directement. Mais qui l'en empêchait ? Personne. Alors, pour s'amuser, et pour lui montrer qu'il était miséricordieux, il laissa son œil tranquille...pour lui trouer les oreilles, il dut forcer le passage, certes, mais il y parvint sans trop de peine.
Il comptait la donner aux chiens après, mais avant, il fallait une dern ière chose, il fallait qu'il fasse un dernier petit supplice, il voulait un trophée, il voulait faire mal en sachant bien qu'il garderait quelque chose d'elle. Une sorte de fa_çon de se rappeler en permanence chacune des emmerdeuses qui aviaent croisé son chemin.
Il prit l'un de ses seins et tira sur le téton autant qu'il put, pour enfin trancher dans le vif et le couper, au raz du mamelon, pour garder ce souvenir, oui, ce téton irait très bien dans sa collection...enfin, il trancha les cordes une à une avant de se tourner vers ses chasseurs.
« Lâchez les chiens ! »
Il ficha son poignard dans l'abdomen de l'elfe et se décala alors alors que la meute fondakit sur la ible à peine vivante. Il se mit en selle, suivit de ses hommes, et laissant les chiens à un hypothétique festin, il s'en alla, alors que les premuiers crocs s'enfonçaient dans sa chair.
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L’elfe était dans un état de semi conscience, mais elle n’en revenait toujours pas de la violence, de la barbarie de cet homme. Si seulement, elle avait encore la force d’utiliser la magie rouge, elle lui aurait envoyé une de ces boules de feu dans les fesses. Autant dire qu’il se serait souvenu. Mais non, elle était faible, sans défense, totalement soumise à cet homme. Le fait qu’il s’attaque à ses oreilles était un affront, il n’y avait rien de plus… De la douleur, beaucoup de douleur. Il venait. Il venait de lui couper le téton. A vif, sans aucune anesthésie, c’était juste horrible. Une des pires expériences de sa vie. Elle lui ferrait payer à cet …
Elle n’eut pas le temps de finir sa penser, que le poignard lui transperça l’abdomen, provoquant encore un sursaut de douleur, elle devait se démerder pour échapper à la morsure de la mort. Ou tout du moins, la morsure des molosses. Elle avait un seul moyen de s’en sortir, c’était d’attende, d’attendre que une de ses amantes la sorte de ce guêpier infernale. Elle pouvait le sentir, une d’entre elle était proche, presque autant que les crocs qui la découpaient maintenant. Elle aurait du mal à s’en remettre mais… Mais elle n’eut pas le temps de réfléchir, sombrant dans le coma, la douleur l’avait finalement terrassé, dut moins, pour le moment.
La suite fut flou, elle n’entendit que des cris, des gémissements, et des bruits de combats. Lorsqu’elle se reveilla, elle était dans le harem, sur son lit, bandée encore et encore ressemblant plus à une momie qu’à autre chose. Lorna était là, proche d’elle. Ce qui lui tira un faible sourire.
Il fallut pratiquement six mois pour que l’elfe se soigne totalement, le pire fut sans doute le téton que le vampire lui avait retiré. Heureusement pour elle, la magie rouge lui permit de s’en tirer sans aucune trace visible. Mais par contre, dans son cœur, l’elfe nourrissait un sentiment de vengeance puissant. Il était probable que si jamais elle retrouvait ce vampire, il ne s’en sortirait pas entier cette fois ci. Elle lui ferrait payer.
Fin.