Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)

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Aloysia Weber

Terranide

Aloysia le vit dégainer un couteau et le pointer sur elle. 

« Attention, tu ne me laisse pas le choix, princesse !  Je n’ai pas encore été violent avec toi et ne me force pas à le devenir !  Tu y laisserais des plumes sois en sure ! »

Elle rit, le prenant pas du tout au sérieux. Elle savait qu'elle devait gardé une certaine valeur. Mais elle poussa un cri indigné lorsque celui-ci lui déchira ses vêtements et rougit violemment lorsqu'elle sentit la main sur sa poitrine. Elle refusa de se dire que cela était agréable et elle détourna la tête cachant ainsi sa gêne. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'elle était vierge. Aucun homme ne l'avait toucher ainsi auparavant. Elle le suivit alors sans broncher jusqu'où il le voulait. Elle avait à peine froid, elle n'était pas 100% humaine et cela avait des avantages. 

« J’ai changé mes plans, tu ne vas pas aller dans ta chambre, mais ailleurs, tu verras, ce sera bien plus amusant ! »

Mais l'horreur la saisit lorsqu'ils rentrèrent dans une salle remplit d'hommes. En quelques minutes, elle fut attaché dans la salle devant tous ces hommes, nue. De plus, il essuya son visage avec les lambeaux de son vêtement et l'appliqua sur le visage de la princesse. Heureusement pour elle, une grande partie avait séché et une autre était resté sur le tissu. Elle avait vraiment trouvé son geste petit. 

« Messieurs, j’ai un cadeau !  Rappelez-vous des consignes, ni eau, ni nourriture, ni mutilation, le reste, c’est à vous de voir !  Ah oui, et on se déverse sur et pas en elle ! »

Les hommes la regardait maintenant avec un intérêt non dissimuler. Elle pouvait voir des bosses se former au niveau de leur entre-jambe. Certains étaient vraiment horrible et d'autres étaient plus...passable. 

« Bon, et bien j’en connais une qui va bien s’amuser ! »
 
"Plus que toi en tout cas !"

Elle faisait la fière mais intérieurement elle n'en menait pas large. 

"Je pensais que tu préfèrerais t'occuper en premier de moi !"

Aloysia avait hurler cette phrase pleine de rage et en quelques sortes d'envie. Elle le préférait aux hommes qui lui faisait face. 

« Messieurs, amusez-vous ! »

Et il referma la porte sur une princesse furibonde.
Les hommes se rapprochait d'elle mais elle eue une idée. Elle ne lui plaisait pas trop mais elle n'avait pas trop le choix si elle voulait limité les dégâts. 

"Une précisions, je suis vierge et le maître veut s'occuper en premier de ma virginité, même s'il a omis ce détail. Et la bouche serait un choix vraiment risqué si vous souhaiter rester en entier." 

" Il ne reste donc plus que ton derrière ! Moi ça me va, pas vrai les gars ! Si elle est vierge aussi derrière, elle sera bien serré !"

Les hommes rigolèrent et se positionnèrent près d'elle. L'un d'eux avait déjà baissé sa braguette, imité par les autres. Un des hommes lui arracha les restes de ses vêtement. L'homme qui avait parlé la força se relevé et se mît derrière elle, la maintenant fermement par les épaules. Elle sentit le sentit frotter son sexe contre son entre jambe. Un autre homme s'était emparer de ses lèvres et lui massait les seins. Quatre hommes regardaient la scène en se masturbant et attendant leur tour. Aloysia hurla de douleur quand l'homme lui pénétra son anus. Elle avait limité les dégâts mais bon dieu ! Comme ça faisait mal ! Il commença des va et vient qui devinrent de plus en plus puissant. Aloysia lâchait des petits cris de douleur mais bientôt le plaisir prit le dessus. L'homme se déversa sur elle et fut remplacer par un aure et encore un autre. Elle avait eue plusieurs orgasmes anales et elle n'en pouvait plus. Un homme s'aperçut de sa fatigue et tenta de rentrer son membre dans sa bouche et elle trouva la force de la mordre assez fort pour qu'il hurle de douleur. Les hommes rigolèrent mais plus aucun ne tenta de pénétrer sa bouche, se contentant de son anus qu'ils avaient l'air de trouver à leur goût. Étonnement aucun d'eux n'avait essayer de la pénétrer par son vagin. Ils l'avaient donc cru. Au bout du énième homme qui de déversait sur elle, elle se sentait salit et épuisée...


Liam Eckart

Créature

Ni le cri, ni la gêne qu’il lui imposait ne l’avait troublé, quand à la laisser seule avec les gardes, ceux-ci étaient habitués et savaient que si certains allaient au-delà des limites ordonnées, ils n’auraient plus ce genre de petits plaisirs. Cette règle instaurée, le reste venait tout seul ! Aussi partait il la mine réjouie par son « acquisition » et des fruits qu’elle pourrait donner en cas de vente.. De très beaux profits, ne serait-ce qu’en location.

Quand la jeune femme prit la parole, se doutait-elle de ce qui allait arriver ? Sans doute. Mais au dela de ça, personne n’aurait pu penser qu’elle oserait mentir, cela semblait si difficile à croire.

« Une précisions, je suis vierge et le maître veut s'occuper en premier de ma virginité, même s'il a omis ce détail. Et la bouche serait un choix vraiment risqué si vous souhaiter rester en entier. »

En tout cas, la majorité ne se posa même pas de question la dessus et semblaient se satisfaire de cela. Preuve en fut le premier des gardes à approcher, sourire lubrique aux lèvres.

« Il ne reste donc plus que ton derrière ! Moi ça me va, pas vrai les gars ! Si elle est vierge aussi derrière, elle sera bien serré ! »

Celui-ci s’installa et se prépara à se faire plaisir avec la catin prêtée par le seigneur des lieux. Le vampire était malin, il savait très bien que certaines esclaves œuvraient de leur charme pour tenter de sortir, mais comment faire pour que cela ne se produise pas ? Tout simplement en offrant aux gardes des possibilités de se vider les bourses sur des échantillons de la marchandise. Aussi, chaque jour mettait-il à disposition une esclave de très bonne qualité à la disposition de ces sauvages, et eux en profitaient pendant leur temps libre. Problème résolu.

Alors qu’une petite foule commençait à s’amasser autour d’elle le premier garde à être intervenu la força à se mettre en position, à quatre pattes, comme une petite chienne, une esclave n’avait pas le droit à mieux après tout,  et après quelques frottements, il pénétra son derrière d’un seul coup de rein, sec et brutal, sans avoir ne serait-ce que préparé la vierge à un tel traitement, non, pas le moindre préliminaire, juste un coup de rein.
Sa douleur les fit rire et chacun, à tour de rôle, vint jouer avec son fondement. Des mains s’égaraient parfois entre ses cuisses, mais si elles passaient sur ses lèvres intimes, jamais elles ne s’y attardaient. Le plan de la petite princesse, même si pour le coup elle ne valait pas mieux que la dernière des prostituées, avait fonctionné, mais à quel prit. Si elle s’en sortait déchirure anale elle aurait de la chance.

Ses reins, ses cheveux, sa poitrine, ses lèvres, son visage en général, autour de son anus, sur ses cuisses, la bonne cinquantaine de gardes présente lui couvrit le corps de ce liquide épais et gluant qui sortait de leur sexe. Ils riaient à chacun de ses orgasmes. Elle semblait vraiment faite pour ce travail. Elle leur auraient affirmé qu’elle était une princesse qu’ils en auraient ris en ne la croyant pas.

Et quand enfin ils la laissèrent pour partir rejoindre leurs postes, ele put savourer un bon quart d’heure de silence et de calme avant qu’un autre groupe prenne la relève. Autant vous dire que son corps fut vraiment maltraité surant cette journée, car oui, elle dut y passer la journée, le vampire ne vint la chercher que le soir, se contenant de lui remettre son anciuen collier alors qu’elle se faisait besogner. La prenant par les cheveux il ofrit aux derniers gardes en train de se masturber une cible de choix en son visage avant de tirer sur la laisse et de la faire sortir.

« Alors, on se sent plus calme et plus humble, petite princesse ? Est-ce que la petute Aloysia a décidé à obéir maintenant ? »

Ce fut à son tour de lui cracher au visage avant de faire le tour du propriétaire avec son esclave en laisse, couverte de foutre, et toujours aussi nue. Et vu la force avec laquelle certains avaient dû la besogner, marcher devait être assez douloureux, non ? Enfin, il parvint devant ses appartements. Une simple cellule de pierre froide avec de fers qui pendaient du plafond. Ils touchaient presque le sol, mais il ne fallait pas s’y fier. Lui tenant les poignets d’une main de fer, il lui emprisonna les poignets dans des anneaux reliés aux chaines et il fit monter la jeune femme à l’aie d’une manivelle jusqu’à ce qu’elle soit à une vingtaine de centimètres du sol.

« Alors, j’imagine que tu as gouté à ce qui te couvre. Tu apprécies j’espère, car tu y retournes demain ! »

Il se plaça là, devant elle, la regardant ainsi en l’air, pendue par les poignets, en l’état.

Aloysia Weber

Terranide

Aloysia n'en pouvait simplement plus. Ils l'avaient utilisés pendant une journée entière ! Elle avait horriblement mal aux fesses. La seule chose qu'elle avait pu conservé était sa virginité. Ça, ils ne l'avaient pas eu. Elle s'était évanouit lors de la seule pause qui lui avait été accordée. Elle avait eue orgasme sur orgasme et son corps était fatigué. Puis la relève était arrivée et tout avait recommencé. Jusqu'au soir... Aloysia était couverte de sperm et l'odeur la répugnait. Des larmes d'épuisement coulaient sur ses joues. Elle n'éprouvait aucun plaisir et chaque va et vient la faisait grimacer de douleur. Elle se retint de crier tant bien que mal car les gardes auraient redoubler d'ardeur en sachant qu'elle souffrait. Alors qu'un énième garde prenait du plaisir en elle, elle sentit quelque chose se mettre autour de son cou. Elle n'avait plus aucune réaction... Elle se sentait vide. Elle sentit qu'on lui empoignait les cheveux et un je de foutre s'écrasa sur son visage. Le maître des lieux la tira par la laisse et la fit sortir de la salle.

« Alors, on se sent plus calme et plus humble, petite princesse ? Est-ce que la petute Aloysia a décidé à obéir maintenant ? »


"Obéir à qui ? Je n'ai personne au dessus de moi a part Dieu."

Elle avait dit cette phrase avec le peu de force qu'elle pouvait. Elle savait que son corps lui ferait défaut mais pas son esprit. Il ne pouvait pas la formater comme un robot. Elle reçu un crachat en sur la figure. Aloysia sourit.

" Copieur ! Tu aurais pu trouver autre chose !"

Elle suivit l'homme en rigolant nerveusement. Elle avait besoin d'évacuer et seul le rire pouvait l'aider. Il l'a prendrait pour une gamine et alors ? Elle savait que cela l'énerverait et il la prendrait pour une sotte et cela serait à son avantage pour la suite. Alors qu'elle échafaudait un plan, ils arrivèrent dans une pièce avec des chaînes. Encore des chaînes... Aloysia sentit une boule de former dans son ventre. Il lui attacha les poignet et la suspendu au dessus du sol. Elle tourna la tête ne voulant pas voir les yeux du jeune homme se poser sur son corps.

« Alors, j’imagine que tu as gouté à ce qui te couvre. Tu apprécies j’espère, car tu y retournes demain ! »


Elle ne dit rien. Elle ne voulait pas y retourner. Elle se sentait mal et au bord de l'évanouissement mais ne fit rien paraitre car cela n'aurait servit à rien. Au contraire, cet homme s'appliquait à trouver toutes vos failles et les exploitaient.

"Sire, je vous propose de me laissez aller me laver pour que je sois plus présentable devant vous avant d'entamer autre chose."

Elle avait reprit le vouvoiement en signe de respect. Elle n'en éprouvait aucun pour lui. Elle avait choisit ses mots avec soin, lui montrant qu'elle me laissait choisir et qu'elle n'imposaut rien. Elle changeai d'attitude pour lui plaire. Elle voulait lui plaire. Elle avait compris qu'elle n'obtiendrait rien par la force. Elle devait attendre que la chance tourne.


Liam Eckart

Créature


"Sire, je vous propose de me laisser aller me laver pour que je sois plus présentable devant vous avant d'entamer autre chose."

Bon, le vouvoiement était un bon début, mais le reste n’allait pas. Il la regarda dans les yeux de sourit en coin avant de répondre sur un ton doux, presque comme si il cachait sa joie, un seul mot, très simple, très clair, et impossible de ne pas le comprendre. Il se résumait en trois petites lettres :

« Non. »

Non, il ne la laisserait pas aller se laver comme ça. Il avait d’autres projets. Elle n’apprécierait peut être pas, mais au fond, avait-elle le choix ? Ou plutôt, lui laissait-il le choix ? Pas vraiment. Et puis, c’était tant une question de forme qu’une question de fond. Aussitôt, il s’expliqua.

« Tu ne mérite pas de récompense. Tu n’as pas répondu à ma question, et tu n’emploies pas les bonnes formules ! On m’appelle maitre, et non sire ! Et en plus, ici, si on veut me parler ou me demander quelque chose on me supplie, et si possible en s’affublant d’un surnom ! »

Il prit une cravache, posée dans la pièce intentionnellement, et s’approcha de la jeune femme et levant la badine, comme si il allait frapper. Ce qu’il fit, sur les fesses.

« Comme ça tu n’oublieras pas la leçon, c’est pour ne pas avoir répondu à ma question ! »

Il réitéra son acte sur son ventre plat ; la cravache s’enduisant de liquide masculin au passage.

« Et ça, c’est pour avoir dit sire au lieu de maitre ! »

Il porta la cravache au niveau de ses lèvres , la posant contre, sans violence .

Maintenant tu vas la nettoyer, puis c’est moi qui te nettoierai et tu ne seras propre que si tu avales tout la semence qu’ils t’ont offert de si bon entrain ! »

Si elle lécha la cravache, il continua ainsi jusqu’à ce u’elle n’ait plus une seule goutte de foutre sur le corps. Pour les cheveux, il lui faudrait un bain.

Aloysia Weber

Terranide

« Non. »


Sa réponse était claire, il aimait la voir ainsi. Son ton était doux mais Aloysia ne s'y trompait plus. Il jouait à manipuler les gens. Elle en subissait les conséquences mais elle ne s'y trompait plus.

« Tu ne mérite pas de récompense. Tu n’as pas répondu à ma question, et tu n’emploies pas les bonnes formules ! On m’appelle maitre, et non sire ! Et en plus, ici, si on veut me parler ou me demander quelque chose on me supplie, et si possible en s’affublant d’un surnom ! »


Aloysia sourit intérieurement. Il s'imaginait déjà qu'elle était soumise. Elle pourrait mieux le tromper ainsi. Et il semblait avoir un ego surdimenssioné comme tous les gens de son espèce. Donc autant s'en servir. Elle dit ces deux phrases avec beaucoup de sensualité et sur un ton suppliant.

"Je suis désolée, mon beau maître. Veuillez s'il vous en plait, excusez une petite princesse perverse. Je ferais tous pour vous plaire. Ordonnez et j'obéirais."

Elle le vit se saisir d'une cravache et lui frappa les fesses.

« Comme ça tu n’oublieras pas la leçon, c’est pour ne pas avoir répondu à ma question ! »


Et il la frappa ensuite sur le ventre, recouvrant la cravache de foutre.

« Et ça, c’est pour avoir dit sire au lieu de maitre ! »


Aloysia retint une grimace de dégout en sentant la cravache remplit de foutre sur ses lèvres. L'odeur parvenait à ses narines et elle eut subitement très envie de vomir.

Maintenant tu vas la nettoyer, puis c’est moi qui te nettoierai et tu ne seras propre que si tu avales tout la semence qu’ils t’ont offert de si bon entrain ! »

Elle ouvrit la bouche docilement et lécha avec application la semence des hommes. Elle fixait les yeux du maître et léchait la cravache de façon sensuelle. Elle devait lui plaire à n'importe quel prix. Elle lécha, suça la cravache à chaque fois que le jeune homme la lui présentait couverte de foutre. Sa détermination l'empêcha d'abandonner sa tâche et ainsi que de tout vomir sur son nouveaux maître. Ce qu'il aurait moyennement aimé, elle s'en doutait.

Liam Eckart

Créature

Bon, elle ne s’était pas trop mal rattrapée, c’était pas mal, elle en faisait un peu trop par contre, et ça avait été si facile de lui faire dire les choses convenablement…bref, c’était de quoi se méfier, personne n’avait aussi vite craqué. Elle n’avait pleuré, elle n’avait rien supplié…bon, il aviserait par la suite…mais bon, il allait continuer comme il l’aurait fait normalement, et on verrait bien ce que cela donnerait.

Il lui fit donc lécher et avaler l’intégralité du sperme qui lui couvrait le corps, pelleté de cravache après pelleté, ne la frappant pas puisqu’il n’y avait aucun motif à frapper. Enfin, il la vit lécher les dernières gouttes de semence. Puis il attendit qu’elle ait dégluti pour lui examiner la bouche ; Bon ? pas le moindre reste, c’était bon. Il fit descendre la chaine pour la détacher et repris la laisse en main.

« Bon tu as mérité un lavage intégral ma petite princesse perverse. ! »

Il l’emmena dehors, vers le lavoir. Etrangement, l’eau fumait délicieusement en cet endroit. Il se dévêtit et  la fit entrer dans le grand baquet de pierre avec lui. A proximité, il y avait un baquet qui sentait fort et quelques choses flottaient dedans. Mais il ne semblait pas même l’avoir remarqué (t’inquiète, c’est pas un des tabous mentionnés par MP). Il prit l’éponge et le savon et commença à la nettoyer de pieds en cape, s’attardant particulièrement sur ses cheveux, qu’il eut beaucoup de mal à rendre correcte, quand à la remettre dans l’état d’avant son arrivée ici, plusieurs lavages seraient nécessaires.

L’éponge passa de partout, il fit bien attention à cela, la lavant, comme il l’avait dit, intégralement, avant de la rincer. Ce devait être étrange, tant de douceur venant de lui. C’était presque quelque chose de pas naturelle. Il lui fredonna même à un moment un léger morceau de musique pour qu’elle reste calme pendant qu’il défaisait les nœuds et les agglomérats provoqués par le foutre dans ses cheveux, ce qui devait, il en convenait, ayant lui-même les cheveux longs, faire relativement mal. Puis il donna l’éponge et le savon à la jeune femme.

« Tiens, nettoies moi maintenant, petite chienne. »

Aloysia Weber

Terranide

Après avoir examiner sa bouche, il la détacha et la fit sortir de cette pièce lugubre en laisse. Il l'amena jusqu'au lavoir. Elle le vit se dévêtir et détourna le regard, rouge de gêne de voir un homme nu. Aloysia remarqua qu'une drôle d'odeur flottait dans l'air. Mais elle ne s'attarda pas et plongea dans l'eau. Elle poussa un soupir d'aise et s'installant comme le maître le voulait. Chose qui la surpris, c'est qu'il la lavait lui même. En étant à sa place, elle n'aurait jamais lavé elle même son esclave. Il devait vraiment avoir une idée derrière la tête. Aloysia se raidissait en sentant l'éponge sur certaines parties de son corps et elle avait les joues maintenant cramoisies. Ensuite il passa un long moment à nettoyer et dévétir ses cheveux. Aloysia sursauta quand il commença à fredonner. Il avait une très belle voix, étrange pour un être tel que lui. Elle ouvrit la bouche pour le lui dire mais la referma aussi tôt. Elle ne voulait pas prendre des coups inutilements même si elle ne disait rien de mal. Elle allait vraiment avoir du mal à éviter d'être top franche. Des frissons de plaisir la parcourait de temps à autres en sentant la main du vampire dans ses cheveux... Non, il ne fallait pas qu'elle se laisse dominer par ses sentiments. Elle sentit à regret que la tache du jeune homme était terminé.

« Tiens, nettoies moi maintenant, petite chienne. »


Elle n'apprécia pas mais alors pas du tout son surnom. Mais encore une fois, elle resta impassible. Mais elle le devint moi quand elle réalisa qu'elle devait le laver. Entièrement. Ses joues étaient en feu et cela devait certainement beaucoup amuser le maître. Elle prit l'éponge et commença s'atteler au dos. Au moin, ici, elle n voyait pas l'attribut masculin du jeune homme. Elle frottait doucement mais efficacement son dos. Il était fin mais bien bâtit. Elle s'attarda ensuite sur le torse puissant et musclé du maître. Elle posa une main sur celui-ci et continua de l'autre main de nettoyé les épaules et le haut du corps. Elle releva son regard et le rebaissa, après avoir croisé le regard du vampire. Elle ne voulait pas qu'il comprenne ce qu'elle pensait de son physique. Elle nettoya ensuite les jambes et les bras évitant le sexe de l'homme. Elle ne savait pas si elle avait le droit de le nettoyer. Elle releva un regard inquisiteur et se mordillant la lèvre inférieur pour savoir si elle devait le faire ou non. Elle avai l'éponge situé près de l'entrejambe du jeune homme de sorte à lui faire comprendre la question qu'elle se posait. Elle n'avait pas ouvert la bouche depuis qu'il m'avait sortit de la salle. Elle de disait que moin elle parlerait, mieux ce serait. Elle préférait attendre que l'homme lui donne un ordre ou lui pose une question.

Liam Eckart

Créature


Le surnom de petite chienne était volontairement blessant et vexant, volontairment humiliant et avilissant. Mais c’était ça qui s’avérait le plus réaliste, quoiqu’il arrivât qu’il traitât moins bien ses esclaves que ses chiens. Mais c’était une belle façon de montrer sa domination, l’humiliation psychologique était la pire de toute, et la plus efficace.

Elle s’exécuta de bonne grâce, en même temps avait-elle le choix    ? Ses joues cramoisies le faisait sourire, tout comme sa manière déviter une certaine zone… il sourit, ne la forçant pas. Un moment viendrait où elle le ferait de son plein gré. Il ne put s’empêcher toutefois une remarque quand elle hésita à laver cette partie :

« Tu sais, tu en as pris des trucs comme ça toute la journée dans ton derrière, et tu en prendras encore plus demain ! Qui sait ce que je te réserve d’ici le moment où tu iras te coucher, alors si j’étais toi je ne ferai pas trop cas de tout ça. Mais bon, ça passe pour cette fi !  La prochaine fois que je dis, de me laver, c’est tout ! Pas que ce qui t’intéresse. Compris petite chienne ? »

Ce faisant, il attrapa un de seins de la princesse perverse et le serra fort entre ses doigts glacés, jusqu’à lui en faire tirer une larme, avant de la lacher. Puis il sourit et lui indiqua un coin du baquet qui semblait avoir été poli et préparé pour y poser son bassin.

« Sors de l’eau et installe toi ici. Je vais terminer de te purifier…. »

Aloysia Weber

Terranide

« Tu sais, tu en as pris des trucs comme ça toute la journée dans ton derrière, et tu en prendras encore plus demain ! Qui sait ce que je te réserve d’ici le moment où tu iras te coucher, alors si j’étais toi je ne ferai pas trop cas de tout ça. Mais bon, ça passe pour cette fi !  La prochaine fois que je dis, de me laver, c’est tout ! Pas que ce qui t’intéresse. Compris petite chienne ? »


"Oui maître."

Elle prononça ces deux mots sur un ton neutre cachant l'horreur qu'elle ressentait en pensant au lendemain. Elle avait beaucoup souffert et elle ne voulait pas y retourner pour rien au monde. Et la seule façon d'y échapper était celle de se rendre indispensable au maître et qu'il n'est plus envie qu'elle le quitte, ne serais-ce qu'un instant. Elle ne relevait plus le surnom qu'il lui donnait. Elle savait ce qu'elle valait et sa valeur était supérieur à un chien. Alors qu'elle était dans ses pensées, elle sentit une main se poser sur son sein et un petit cri de souffrance sorti de ses lèvres lorsqu'il le pinça. Elle sentit une larme coulé sur sa joues et se retint de le frapper. Elle avait eue vraiment très mal.

« Sors de l’eau et installe toi ici. Je vais terminer de te purifier…. »


Elle sortit de l'eau et s'installa sur le baquet, attendant le maître, inquiète par ce qu'il appelait "purifier". C'était forcément quelques chose de douloureux.

Liam Eckart

Créature

« Oui maître. »

Il sourit. Bien, mais ça manquait de conviction. Il ne le lui fit pas remarquer, préférant savourer el délice des cris qui allaient suivre. Elle aurait tout le temps de se repentir et d’accepter la grande vérité : elle était désormais à lui. Rien n’était plus simple que cette vérité, et aucune n’était aussi absolue à l’heure actuelle.

Il sortit de l’eau, non sans caresser son visage de sa hampe molle et glaciale, mais fugacement, pas de quoi lui laisser le temps de le mordre. Au cas où. Puis il se glissa derrière elle et donna une bonne fessée à la demoiselle avant d’aller chercher l’espèce de grand seau dont l’odeur piquait le nez. Du vinaigre sans doute.  Deux objets trônaient à la surface, un plug anal de taille très (trop) conséquente, et un autre objet : une sorte de tuyau accompagné d’une poire. Il plaça le baquet juste à côté d’elle et glissa un doigt le long de la raie de ses fesses, titillant doucement sa rosette anale.

« Ce point est encore sensible ? Attends, je vais te le nettoyer et ça ira mieux. »

Il prit le tuyau et l’enfonça sans douceur ans son anus, laissant l’autre extrémité dans le vinaigre, et commença à pomper. Le bt : lui remplir le ventre et les boyaux de se liquide, qui, vu le dosage, allait bien décaper l’intérieur. C’était un vin aigre qui datait d’il y a plusieurs années.

Pendant qu’il utilisait la poire pour faire venir le liquide dans son fondement, il lui caressait les fesses, la fessant de temps à autres.

« Si ça ressort, je te ferai subir un tel chatiment que tu me suppliera de te tuer. »

Aloysia Weber

Terranide

Aloysia attendait maintenant le jeune homme avec appréhension. Qu'allait-il encore lui faire subir ? Elle savait qu'elle devait réussir les "épreuves" qu'il lui imposait. Elle voulait gagner sa "confiance". Ou plutôt qu'il n'ait plus aucun doute de sa loyauté. Jusqu'au moment où elle s'enfuirait. Il sortit de l'eau en tenu d'Adam et caressa son visage avec son membre. Aloysia ne réagit pas, mais ces joues s'enflammèrent. Il lui donna une claque sur les fesses et elle dût se mordre la langue pour ne pas l'invectiver. Elle l'entendit s'activer derrière elle mais elle ne se retourna pas, préférant ne pas savoir ce qui allait se passer. Elle le sentit revenir près d'elle et caresser son anus, ce qui lui déclencha un frisson tellement que ce point était devenue extrêmement sensible. Ce qu'il lui fit remarquer.

« Ce point est encore sensible ? Attends, je vais te le nettoyer et ça ira mieux. »


Aloysia reconnu l'odeur de toute à l'heure... Du vinaigre ! A peine avait elle définit ce qu'elle sentait qu'une chose longue rentra sans douceur dans son anus. Elle se mordit la lèvre jusqu'au sang et ferma les yeux, s'empêchant au maximum de ne pas hurler de douleur. Elle sentit tout doucement un liquide entré en elle. Et elle regreta amèrement le sperme. Elle avait l'impression d'avoir tout le bas du ventre en feu. Une perle de sang s'échappa de sa lèvre qu'elle mordait toujours. Mais des gémissements de douleurs s'échappait malgré tout de ses lèvres. Des larmes inondaient son visage. Elle ne sentait même plus les caresses ou les fessée car elle avait l'impression de bruler de l'intérieur.

« Si ça ressort, je te ferai subir un tel chatiment que tu me suppliera de te tuer. »


Elle voulait déjà qu'il la tue plutôt que de subir de tel torture. Elle se força néanmoins de garder le liquide atroce à l'intérieur d'elle. Elle savait qu'elle devait rester en forme pour s'échapper donc pas question qu'il réduise ses chances de s'en sortir vivante de là. Elle attendait donc sans un mot la suite des ordres du maître.


Liam Eckart

Créature

Son frisson le convainquit malgré son absence de réponse. Il sourit. Décidément, la sensibilité était telle qu’il ne regrettait pas du tout son idée. Un bon petit lavement, et le moindre toucher de sa rosette la mettrait dans ous ses états, mais attention, dans quels états, ça, ce n’était pas précisé ! Mais bon, il y avait une chance sur deux pour que le moindre contact la rende frigide pour la soirée à cause du traumatisme causé par cette s éance. Et encore, si elle savait toutes les idées sadiques qu’il avait encore en tête….pour la santé mental du lecteur je m’abstiendrai de les décrire….bon okay, c’est surtout par flemme.

La sentir souffrir était si agréable…un vrai délice, un vrai bonheur. Il continuait donc à faire rentrer le liquide, la remplir de vinaigre à en faire gonfler son ventre jusqu’à l’éclatement. Il sentait le sang de la jeune femme couler. Elle se retenait de dire quoique ce soit…dommage…

« Ne retiens pas tes cris, sinon, quand est ce que je saurai ou m’arrêter ? »

En fait il savait que si il l’avait écouté, il n’aurait jamais commencé et l’aurait laissé partir dès qu’elle l’avait demandé…peine perdue en somme.  Maintenant qu’elle était bien pleine du liquide, il retira le tuyau et le replaça par un énorme plug anal, forçant le passage si besoin est. Il laissa ensuite glisser son doigt le long de son intimité avant de se mettre à appuyer avec l’autre main sur ses reins, écrasant de facto son ventre gonflé tout en maintenant le plug en se calant contre  celui-ci.

Avec une certaine douceur, il enfonça son doigt dans son intimité, allant voir si l’hymen était bien en place.

Aloysia Weber

Terranide

Aloysia n'en pouvait plus, elle avait l'impression qu'elle allait éclater.

« Ne retiens pas tes cris, sinon, quand est ce que je saurai ou m’arrêter ? »

 
Il n'aurait pas ce qu'il voulait. Elle ne hurlerait pas sa douleur car ce monstre s'en délecterait. Elle coninua ainsi à retenir des cris. Puis il retira le tuyaux, qu'il remplaça par quelque chose de gros, très gros. Aloysia ne pût retenir un petit cri de douleur. Elle n'en pouvait plus... La chose, bouchait son anus empêchant le liquide de s'échapper qu'elle souhaitait de débarasser le plus vite possible. Le vinaigre allait attaqué ses parois intestinal en restant ainsi dans son ventre. Et cela faisait un mal de chien ! Elle sentit une main se diriger vers son intimité. Elle commença a resserrer les jambes mais se reprit à temps. Une main appuya sur son ventre et elle poussa un gémissement de douleur.

Sa main se posa sur son intimité et elle ne pût s'empêcher de rougir de gêne. Elle avait réussit à préserver cette partie de son corps mais apparemment pas pour longtemps. Elle sentit un doigt rentrer en douceur dans son vagin et elle se tendit, attendant le nouveau supplice que le maître des lieux allait lui infliger.

Liam Eckart

Créature

En sentant la résistance des  cuisses de la jeune femme, il força un peu jusqu’à atteindre l’hymen qu’il effleura avec douceur avant d’apposer le bout du doigt contre celui-ci.

« Ah, tu es donc bien vierge…je n’y croyais pas vraiment petite chienne ! Mais bon, tu sais, je pense que ça sera pas le cas bien longtemps. Nous verrons tout à l’heure quoi faire de cela ma petite chienne. »

Il lui caressa la croupe avant de se remettre à presser son ventre contre le béton en lui appuyant sur les reins. Puis, doucement, il se mit à griffer cette même zone avec ses ongles, pas de quoi faire saigner, mais de quoi laisser de belles marques. Il sourit avec plaisir avant de retirer son doigt de son intimité et de le lécher, puis il sourit avant de se pencher au-dessus d’elle et lui retirer le plug anal pour la laisser évacuer le liquide.

« Voici ta délivrance…remercie moi en aboyant petite chienne et revient dans l’eau  bien chaude pour te détendre, et accessoirement pour me détendre  accessoirement. »

Il  lui souleva les jambes et la poussa dans l’eau avant de la rejoindre, la saisissant doucement, l’asseyant sur ses genoux. Puis il lui prit les cheveux et se remit à les laver pour enlever le foutre.

« Je crois que tu ferais bien de me faire de même ma grande, aller, mes cheveux ont besoin d’un bon lavage aussi. »

Pendant qu’il nettoyait les cheveux de la demoiselle, une main s’égara sur sa poitrine avec laquelle il s’amusa à jouer avec douceur, puis il stoppa rapidement pour la saisir par la taille, la gardant contre lui. Elle pouvait sentir la larve glaciale qui se trouvait entre les jambes du vampire. Peut $être le fait que ce soit tout mo avait de quoi la rassurer, peut être que pas…pour cela aussi, tout dépendrait de son  interprétation.   

Aloysia Weber

Terranide

« Ah, tu es donc bien vierge…je n’y croyais pas vraiment petite chienne ! Mais bon, tu sais, je pense que ça sera pas le cas bien longtemps. Nous verrons tout à l’heure quoi faire de cela ma petite chienne. »


Tout à l'heure... Elle allait donc perdre sa virginité... Elle sourit tout de même au maître, un sourire forcé mais il devait croire qu'elle essayait de faire des "progrès". Elle avait toujours aussi mal au ventre. Mais le doigt à l'intérieur de son intimité la distrayait. Elle le sentait contre son hymen... Puis il lui appuya sur les reins et elle poussa un nouveau gémissement de douleur. Il la griffa ensuite mais heureusement pas à sang. Elle se dit que celui-ci était vraiment un être dérangé pour faire de telle choses à une femme. Elle le vit ensuite sortir son doigt de son vagin et le lécher. Aloysia sentit ensuite qu'il retirait la chose qui lui servait de "bouchon" et elle évacua rapidement le liquide immonde. Elle soupira de soulagement après avoir finit. Elle n'avait pratiquement plus mal au ventre mais les fesses restaient douloureuses.

« Voici ta délivrance…remercie moi en aboyant petite chienne et revient dans l’eau  bien chaude pour te détendre, et accessoirement pour me détendre  accessoirement. »


 Aloysia n'avait pas le choix de s'exécuter mais elle le lui ferait payer...plus tard.

"Wouhaf ! Merci mon maître."


Il la remit à l'eau et il la mît doucement sur ses genoux. Aloysia ne comprenais pas bien le jeune homme. Il pouvait être violent, lui faire enduré des souffrances inimaginable et l'instant d'après être doux et prévenant. Elle le préférait quand il était dans la deuxième catégorie. Aloysia marchait en quelque sorte à la tendresse... On pouvait tout lui obtenir en étant doux et tendre. Mais ce maître là ne l'avait pas encore compris. Il réfléchissait à ce qu'il pourrait lui faire endurer alors Aloysia nourrissait une rage profonde pour cet être. Il commença à lui relaver les cheveux car ils devaient être dans un état abominable !

« Je crois que tu ferais bien de me faire de même ma grande, aller, mes cheveux ont besoin d’un bon lavage aussi. »

Elle commença donc son travail. Le vampire avait de long cheveux brun soyeux. Elle les lavait avec précaution,faisant bien attention à ne pas lui faire mal. Oui elle lui massa la tête doucement, elle savait que cela permettait de détendre. Elle sentit une main s'attarder sur sa poitrine mais ne dit rien. Il arrêta au grand soulagement de la princesse. Mais elle le sentit attraper sa taille et la coller contre lui. Et ce qu'elle sentait ne lui plaisait pas vraiment. Elle rougit et raidit attendant la prochaine torture. Certes il ne paraissait pas excité mais elle ne savait pas si c'était une bonne ou mauvaise nouvelle. Au lieu de réfléchir, elle préférait parler d'autre chose.

" Vous avez de très beau cheveux mon maître."

Il allait vraiment se moquer d'elle car il devait sentir sa gêne et sa tentative de ne plus penser à ce qu'elle sentait était ridicule. Mais elle avait dit cela avec un véritable sourire et elle le pensait vraiment.mais elle ne savait toujours pas ce que le maître allait encore exiger d'elle.


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