Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)

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Liam Eckart

Créature

La porte fut poussée de manière énergique, trop peut être vu qu’elle claqua. Aenetelia était dans la pièce ! Une jeune femme se tenait devant elle, tout sourire, de beaux yeux rouges encadrés d’une souple chevelure auburn était là, dans une robe noire sans ornements et recouvert d’un tablier blanc, mode soubrette. Elle n’avait aucun serre tête par contre. Exceptionnellement, mais ça, Aloysia ne pouvait pas le savoir, elle avait remis un collier bateau, un collier de cuir brodé d’argent sur les bords, le même qu’Aloysia d’ailleurs.

« Bonjour ! La belle au bois dormant à bien dormi ? Désolée y a pas de prince mais on va faire sans ! »

Beaucoup d’énergie déployée pour trois fois rien. Et puis il était encore le matin de très bonne heure, donc normal que tout le monde ne supporte pas tant d’activité à cette heure, mais bon, ce matin, Aenetelia était pleine de vie. Trop peut être… Elle lui sourit avant de lui  tendre un pot en terre cuite.

« Je sais que les amusements du maître ne sont pas de très bon goût pour tout le monde, alors je suis allé vider le pot de semence qu’il m’avait fait porter ici j’y ai juste laissé une gorgée que tu devrais boire si tu veuxx que le maitre ne soupçonne rien, une question d’haleine ! »

Menteuse !  Elle avait goulument avalé le reste ! Bon et bien bon début de journée n’est-ce pas ? Elle s’approcha et voulut prendre la jeune femme par le bras, avant de se retenir au dernier moment. Elle oubliait facilement qu’il avait tendance à  lancer un certain sort sur le corps des nouvelles esclaves pour les briser…

« Alors, tu es prête pour une journée de folie ? u as d la chance quand même parce que ti tu as une guide exceptionnelle !  Moi j’ai dû tout découvrir toute seule et puis, en même temps, je dirai que tu es aussi chanceuse, le maitre aurait pu s’amuser à te faire souffrir toute la journée comme il le aime le faire la première semaine. »

Elle sourit et lui dit en ouvrant la porte.

« Si tu veux y a les bains reservés aux esclaves, si y a encore de l’eau chaude, tu peux t’y laver plus tranquillement qyue dans ta piaule. Ah mais non je suis bête tu as peut être faim…Au fait je m’appelle Aenetelia, ravie de te rencontrer, j’espère qu’on va vite bien s’entendre, tu verras, je suis sur qu’on deviendra de très bonnes amies. Ton nom c’est Aloysia  c’est ça ? C’est un nom très doux et je trouve qui apaise rien qu’à le prononcer, comme les vertus de la verveine dont tu portes le nom ! »

Une vraie ptite pie cette Aenetelia.

Aloysia Weber

Terranide

Aloysia sursauta vivement en entendant la porte claquer. Elle leva les yeux et vit qu'une jeune femme se tenait dans la pièce. Elle était plutôt jolie et prtait une tenue semblable à la pincesse.

« Bonjour ! La belle au bois dormant à bien dormi ? Désolée y a pas de prince mais on va faire sans ! »

Aloysia était sidérée par l'énergie que dégageait cette esclave. Elle n'eut pas le temps de répondre que la jeune femme enchaina en lui tendant un pot en terre cuite. L'odeur qui s'y dégageait lui souleva le coeur, surtout de si bon matin.

« Je sais que les amusements du maître ne sont pas de très bon goût pour tout le monde, alors je suis allé vider le pot de semence qu’il m’avait fait porter ici j’y ai juste laissé une gorgée que tu devrais boire si tu veux que le maitre ne soupçonne rien, une question d’haleine ! »


Aloysia n'en revenait pas. Elle regarda attentivement la jeune esclave avant de lui sourire. Si elle l'avait aidé après tout, c'est qu'elle n'était pas méchante. La princesse vit la main de la jeune femme s'approcher de son bras mais elle arreta son geste. Ah... Elle devait être au courant pour le sort. Elle ne souhaitait donc pas lui faire de mal. Aloysia prit enfin la parole.

"Merci beacoup..."

Aloysia but ce qui restait cul sec mais n'eut pas le temps d'en placer une autre qu'elle reprenait ensuite la parole.

« Si tu veux y a les bains reservés aux esclaves, si y a encore de l’eau chaude, tu peux t’y laver plus tranquillement qyue dans ta piaule. Ah mais non je suis bête tu as peut être faim…Au fait je m’appelle Aenetelia, ravie de te rencontrer, j’espère qu’on va vite bien s’entendre, tu verras, je suis sur qu’on deviendra de très bonnes amies. Ton nom c’est Aloysia  c’est ça ? C’est un nom très doux et je trouve qui apaise rien qu’à le prononcer, comme les vertus de la verveine dont tu portes le nom ! »


Aloysia sourit alors franchement. Cette jeune femme lui plaisait. Ellle était joyeuse, direct... Comme elle ! Enfin avant qu'elle n'atterrisse dans ce manoir. Mais sa haine s'était envolé au contact d'Aenetelia et elle souriait maintenant. Elle ne serait pas si seule que ce qu'elle croyait. Elle n'irait pas jusqu'à lui faire confiance mais si elle avait quelqu'un avec qui échanger, cela lui donnerait la force de continuer à se battre en attendant qu'on vienne la chercher.

"Merci, mais ton prénom est très jolie aussi. Je suis vraiment contente de te rencontrer. Pour ce qui est de manger, ne t'inquiètes pas, j'ai mangé la nourriture qu'il y avait dans la chambre. Et pour ce qui est de me laver, c'est le maître qui doit me laver le soir. A moins qu'il ait changer d'avis ? Autement je suis prête. Je te suis.

Aloysia souriait à Aenetelia et avait oublier la méfiance qu'elle avait envers la jeune femme. Elle était sans doute proche du maître mais semblait heureuse... Cet humeur parraissait un peu décalé dans un lieu comme celui-ci mais sa bonne humeur était communicative et sa journée ne lui paraissait plus aussi sombre. Travailler n'était pas quelques chose d'insurmontable pour la princesse, au contraire, ses journée passerait plus vite. Et ouis elle préférait s'occuper du manoir plutôt que le vampire s'occupe d'elle. Elle avait assez donner. Mais elle redoutait le midi car elle devra aller lui servir son sang et elle espèrait que les résultats sanguins montrerait que la verveine ne s'était pas complètement dissipés de son sang. Mais les chances étaient minces et elle préferait ne pas y penser.

Liam Eckart

Créature

« Merci, mais ton prénom est très jolie aussi. Je suis vraiment contente de te rencontrer. Pour ce qui est de manger, ne t'inquiètes pas, j'ai mangé la nourriture qu'il y avait dans la chambre. Et pour ce qui est de me laver, c'est le maître qui doit me laver le soir. A moins qu'il ait changer d'avis ? Autrement je suis prête. Je te suis. »   

Elle fit non de la tête, en gros le maitre n’avait pas changé d’avis, mais Aenetelia n’était pas au courant de tout, ou du moins si, mais elle testait la nouvelle, elle voulait voir les limites de l’obéissance de la jeune femme. Elle, elle avait passé la nuit dans les cachots du maitre, à subir quelques tortures pour son plus grand plaisir. Elle adorait certains traitements….mais là n’est pas le sujet.

Elle lui rendit son sourire e lui indiquant la porte, l’œil pétillant. Elle avait plein de choses à faire, et montre à la nouvelle son lieu de travail faisait partie du lot. Elle voulait faire son travail correctement, et peut être que pour la récompenser de cela, maitre eckart voudrait bien la prendre dans son lit…

« Tu vois, je suis sure que tu plairas à travailler à l’accueuil, oh, certes on est près de la salle des gardes, mais bon, c’est bien isolé phoniquement et le bureu près de leur porte toi tu sensée rester debout, mais il y a une chaise, donc, quand ce sera calme tu pourras t’asseoir. Tu verras, c’est pas la mort, le seul ennui peut être la lubie des gardes qui passent ici. Après tout, on a pas vraiment notre mot à dire sur les sévices. Mais laisse moi te donner un léger conseil. Si jamais  on tente de forcer l’ouverture de tes cuisses, choppe les bourses à pleine mein, serre le plus possible en les tordant. Ça devrait suffire. Sinon, tu lui mets ton pied ou ton genou entre les gambettes. L’ennui c’est que ça marche que pour les cuisses, derrière ou en haut, on a pas le choix, mais t’en fais pas. Ils se lassent assez vite… »

Elle lui souriait toujours avant de lui dire sur un ton toujours aussi enjoué.

« Je suis née ici, donc ça fait des des piges que j’explore partout, que je connais tout le monde. En cas de pépins, il ne faut pas hésiter un seul instant !  Je suis là pour ça. Je suis ta guide et ton mentor, enfin, j’espère être capable de le devenir. »

Elle continuait à lui sourire et sortit de son bureau deux belles pommes. Et elle croqua dans l’une avant de lui tendre l’autre.

« Tu es sure que tu n’en veux pas ? C’est plein de vitamines ! Bon, écoute je te laisse ça là et tu te sers si tu veux ! »

Elle déposa la pomme en évidence sur le bureau et s’assit pour commencer à trier des documents. Soudain deux gardes entrèrent et s’approchèrent des deux jeunes femmes, l’œil lubrique.


Aloysia Weber

Terranide

« Tu vois, je suis sure que tu plairas à travailler à l’accueuil, oh, certes on est près de la salle des gardes, mais bon, c’est bien isolé phoniquement et le bureu près de leur porte toi tu sensée rester debout, mais il y a une chaise, donc, quand ce sera calme tu pourras t’asseoir. Tu verras, c’est pas la mort, le seul ennui peut être la lubie des gardes qui passent ici. Après tout, on a pas vraiment notre mot à dire sur les sévices. Mais laisse moi te donner un léger conseil. Si jamais  on tente de forcer l’ouverture de tes cuisses, choppe les bourses à pleine mein, serre le plus possible en les tordant. Ça devrait suffire. Sinon, tu lui mets ton pied ou ton genou entre les gambettes. L’ennui c’est que ça marche que pour les cuisses, derrière ou en haut, on a pas le choix, mais t’en fais pas. Ils se lassent assez vite… »


Aloysia hocha la tête, pas du tout rassurée par les propos de la jeune femme. Elle n'avait pas envie de subir les assauts de ces hommes brutaux à nouveau. Mais si Aenetelia restait dans le coin alors peut être que ça irait. Elle la suivait, attentive au parcours qu'elles empruntaient. Aloysia essayait d'être attentive pour connaitre au mieux le manoir. Cela pourrait sans doute être utile plus tard.

« Je suis née ici, donc ça fait des des piges que j’explore partout, que je connais tout le monde. En cas de pépins, il ne faut pas hésiter un seul instant !  Je suis là pour ça. Je suis ta guide et ton mentor, enfin, j’espère être capable de le devenir. »


Aloysia regarda l'esclave sous un autre œil. Alors comme ça, elle n'avait connue que cette vie là. Voilà peut être la raison de sa bonne humeur en ce lieux. Pour elle, tout devait être normal. Pour Aloysia, tout ce qui de déroulait ici n'était pas normal, loin de là.

" Je suis sûre que tu seras parfaite dans ce rôle."

La princesse le pensait vraiment mais elle commençait à se poser des questions quant à l'équilibre mental de la jeune esclave. Pouvait-on vivre ici et être "normale" ?
Elle la vit sortir deux pommes de son bureau et lui en tendit une qu'Aloysia refusa en la remerciant.

" Je la mangerais plus tard dans la matinée, lorsque j'aurais besoin de vitamines."

Aloysia lui sourit puis de retourna vers la porte, attendant un éventuel invité. Mais les personnes qui rentrèrent ne lui plurent pas du tout. Elle reconnu un des gardes de la veille et elle le vit se pencher vers son collègue pour lui chuchoter quelque chose, regardant dans sa direction. Aloysia baissa la tête pour éviter leur regard déplacer. Elle espérait qu'ils allaient passer et ne pas essayer quoi que ce soit. Le plus âgé, celui qu'elle avait reconnu s'arrêta devant elle.

"Alors tu ne dis pas bonjour, chienne ! Et regarde moi quand je te parle !"

Aloysia leva les yeux puis s'inclina et un "bonjour" timide et apeuré sortit de sa bouche. L'homme sourit et lui caressa la joue. Une brûlure se fit tout de suite sentir sur sa joue et Aloysia eut un mouvement de recul. L'homme fronça ses sourcils épais et la plaqua au mur sans aucune douceur.

"J'ai envie de toi petite chienne, et tu vas me donner ce que je veux."

Aloysia vit du coin de l'oeil que sa guide était occupé par l'autre garde. Elle devait donc de débrouiller seule. L'homme lui caressait le visage et s'empara de sa. Il força la barrière de ses lèvres et commença à l'embrasser langoureusement. Aloysia ne pouvait pas bouger et sentait son visage bruler sous les caresses de l'homme. Une main baladeuse s'introduisit dans son décolleter et caressa un de ses seins qui lui brula instantanément. Des larmes de douleur coulaient sur ses joues puis l'homme se sépara d'elle, la laissant respirer quelque secondes, il commençait à baisser son pantalon avec précipitation. Ces secondes furent suffisante pour Aloysia qui décocha un violent coup de genoux dans les parties du garde.
Celui-ci se plia en deux sous le coup et poussa un cri de douleur. Mais elle n'avait pas frapper assez fort apparemment car celui-ci se releva trop vite pour qu'Aloysia est le temps de fuir et la gifla le plus fort qu'il pût pour se venger de ce qu'elle lui avait fait subir.
Aloysia perdit l'équilibre et son front heurta le bureau d'Aenetelia. Elle tomba à terre, complètement sonner. Elle mit plus d'une trentaine de secondes pour reprendre ses esprit. Le garde avait disparut, normal il allait avoir du mal à réutiliser son sexe tout de suite et il avait sans doute perdu toute l'excitation qu'il ressentait précédemment.

Aloysia se mit à genoux, les fesses sur les talons, attendant que le sol arrête de tanguer. Puis elle sentit quelques choses de chaud couler sur son front. Elle porta sa main sur celui-ci puis la vit couverte de sang.

"Oh mince !"

Elle avait dû s'ouvrir le front en heurtant le bureau. Elle savait que la tête saignait beaucoup donc ce n'était pas la quantité du sang qui l'effrayait mais plutôt ce qui allait sa passer ensuite. De plus son visage la brulait horriblement.


Liam Eckart

Créature

Aenetelia avait posé la pomme sur le  bureau et commenécé à parapher de »s documents au nom du maître, sans se poser de question ni sur le contenu, ni sur la destination. Elle signait juste au nom du maître. La raison pour laquelle elle ne réfléchissait pas était parce qu'elle connaissait très bien ces documents, l'intendante les avait rédigé, et elle était l'intendante. Elle était remplacée le temps qu'elle exécute une autre tâvche pour le seigneur des lieux, et ce genre de tâche, elle les exécutait avec plaisir ! Une tâche dont le sadisme fascinait notre chère Aenetelia, voilà de quoi l'enchanter !

Le plus drôle allait venir sous peu, le plus drôle, c'était ce que le maître lui avait promis pour sa collaboration...mais bon bref, passons plutôt à ce qui arrivait ici même. Deux gardes arrivaient devant elles,  et à leur regard elle  comprit ce pourquoi ils étaient là, mais étrangement, aucdun n'osa s'approcher de la jeune femmen ils se contentèrent d'Aloysia, peut être était-ce par le regard glacé d'Aentelia, mais celui qui se dirigea vers elle eut un gros frisson, avant de s'éloigner à pas rapides, ne laissnt bien vite qu'un seul garde dans la pièce.

« Alors tu ne dis pas bonjour, chienne ! Et regarde moi quand je te parle ! »

Un point pour lui, il fallait du respect si on viulakit survivbre, et si elle se permettait de ne pas en éprouver, c'était parce que son rôle était non seulement primordiual, mais aussi parce qu'elle pouvait obtenir la tête de d'importe qui ici. En gros, être agréable avec Aenetelia était primordial, mais plus vicieuse que cela, on mourrait, cette femme avait l'âme viciée par nature, quoiqu'elle veuille, elle l'obtenait, quitte à menacer insidieusement, à faire compendre qu'elle avait tout intérêt à obéir, si on l'appelait la reine putain ce n'était pas pour rien, cette femme était le diable incarné !

Aentelia allait aider sa protégée, mais pas tout de suite, elle voulait voir la jeune femme se débrouiller d'abord par elle même. Elle voulait la voir réagir et après, elle ferait en sorte qu'Aloysia lui soit reconnaissante , assez reconnaissante pour lui être redevable., et les dettes elle adorait ça....car ça amenait plein de choses intéressante quand elle était créancière....

« J'ai envie de toi petite chienne, et tu vas me donner ce que je veux. »

Cela devenait intéressant....frapper là où ça fait mal...allait-elle le faire ??? Elle se le demandait....enfin, elle le saurait bien vite...aussi reprit-elle ses papiers et recommença, comme si de rien était son travail, et ce, jusqu'à ce qu'elle entende le mâle émettre un glapissement de douleur en se courbant en deux, non sans une gifle qui envoya balader la jeune femme, qui heurta l'angle du bureau avant de tomber, groggy, au sol, le garde s'en fut en boitant, jurant dans sa barbe...La pauvre, elle saignait, enfin, bon, ce n'était pas grave, le câne, ça saignait toujours un peu beaucoup, Aenetelia se leva et vint la rejoindre.

« Oh mince ! »

Enfin bon, ce n'était pas non plus la fin du monde, un petit pansemanet et ce serait bon. Elle se pencha vers elle et examina la plaie sans toucher la jeune femme, elle ne voulait pas lui infliger davantahe de douleur que ce qu'elle pouvait sentir jusqu'alors, avant de prendre la parole.

« Bon, c'est le crâne, ça saigne facilement, attends, je vais me charger de tout ça ! »

Elle sortit une petite flque et un pansement.

« Ferme l'oeil ! »

Et elle appliqua en faisant ruisseler de la bouteille, une petite quantité d'alcool assez fort, avant de, en tentant de ne pas toucher la peau, appliquer un petit pansement. Puis elle lui sourit avant de lui taper dans le dos, au travers des vêtements normalement ccela ne devait pas provoquer de douleur, mais si le but était qu'elle ait mal, ce n'était pas difficile, mais ce n'était pas le but actuel. Le maître lui avait promis bien mieux, beaucoup mieux ! Et elle avait grande hâte d'en arriver là !

« Tu t'es bien débrouillée, ce fut tardif, mais on apprend de nos échecs, n'est ce pas ? Leçon numéro deu donc !  Faut que tu apprennes à être plus vive, plus souple, plus agile, il faut que tu sois une véritable anguille, contrarement à toi, moi j'ai eu tout mon temps pour me faire craindre d'eux, j'ai été obligée de faire des choses horribles dont tu n'avais pas idée, alors, pour que cela ne recommence pas, j'ai du gagner les faveurs du maitre au point qu'il me voue une confiance absolue. Du coup, si tu as besoin de quoique ce soit, nhésite pas, mais c'est à une seule condition ! »

La formuler, ne pas la formuler. La formuler, ne pas la formuler,...quel dilemme, non pas de savoir si il fallait le dire, mais plutôt quand le dire, il fallait qu'elle croit qu'elle hésite à lui demander cela, une comme si il s'agissait d'une telle faveur qu'elle ne serait pas capable de refuser...là était  toute la nuance à réussir à faire passer....

« Je...non...enfin...je sais que c'est beaucoup demander mais....tu pourrais en échange me parler de...de comment c'est dehors ? S'il te plait... »

Aloysia Weber

Terranide

« Bon, c'est le crâne, ça saigne facilement, attends, je vais me charger de tout ça ! »

Ca elle le savait. Elle avait déjà vu un de ses cousins se blesser la tête et la quantité de sang qu'il avait perdu était impressionnante. Ce n'était pas vraiment cela qui l'inquiétait. C'était plutôt les vertiges qu'elle ressentaient et qui ne s'arrêtait pas qui l'inquiétait. Elle sentait que cela n'allait pas être facile de travailler en ayant l'impression que tout tanguait autour d'elle.

« Ferme l'oeil ! »

Aloysia s'éxécuta et sentit un liquide couler sur son frot qui la brûla à l'endroit qui était ouvert. Elle serra des dents et n'émit aucune plainte. Elle avait subit bien pire et elle n'allait pas se plaindre pour si peu. Un autre soucis la tracassait aussi. Elle avait quand même frapper le garde et elle sentait qu'un jour elle ne pourrait pas échapper à ses représailles. Elle sentit qu'on lui appliquait un pansement puis l'eclave lui tapota le dos en lui souriant.

« Tu t'es bien débrouillée, ce fut tardif, mais on apprend de nos échecs, n'est ce pas ? Leçon numéro deu donc !  Faut que tu apprennes à être plus vive, plus souple, plus agile, il faut que tu sois une véritable anguille, contrarement à toi, moi j'ai eu tout mon temps pour me faire craindre d'eux, j'ai été obligée de faire des choses horribles dont tu n'avais pas idée, alors, pour que cela ne recommence pas, j'ai du gagner les faveurs du maitre au point qu'il me voue une confiance absolue. Du coup, si tu as besoin de quoique ce soit, nhésite pas, mais c'est à une seule condition ! »

Aloysia tendit l'oreille. Quel chose inavouable avait-elle pu faire ? La méfiance de la jeune femme revint au galops mais le montra nullement, continuant de lui sourire. Ce qui la dérangeait aussi, c'est qu'elle était extrêmemnt proche du maitre. Il ne fallait donc pas qu'elle fasse un mauvais pas. Qui c'est si cette fille n'était pas aussi dérangé que le maitre des lieux ? La princesse se doutait aussi la jeune esclave avait été prête à tout pour obtenir sa confiance. Mais la condition que lui posa Aenetelia la surprit vraiment. Elle avait l'air curieuse de savoir ce qu'il y avait réellement dehors. Cela ne posait pas de problème à Aloysia mais il allait falloir aller sur la pointe des pied et en dire le moins de chose possible et s'attarder sur les détails futils. Elle ne voulait pas qu'elle sente qu'elle n'avait qu'une envie: quitter ce lieux d'abomination.

- C'est vraiment beau dehors. C'est dommage que tu n'es jamais pu aller te promener avec le maitre. Ce que j'aime le plus, ce sont les couché de soleil au dessus de la mer. Je ne sais pas si tu sais ce que c'est mais c'est une étendue d'eau salé à perte de vu. Quand le soleil se couche, les couleur orangé du soleil se reflète sur l'eau et c'est tout bonnement magnifique. Tout le monde devrait pouvoir un jour assister à ce spectacle. La ville est ensuite un lieu que j'aime beaucoup. Il y a des gens de toutes les races et Nexus par exemple est toujours grouillante d'activité. Tu peux aller dans les magasins ou sur les marcher et choisir tes fruits qui seront frais et sucrés et aussi acheter les plus belles étoffes... Si un jour tu as la chance de sortir te promener, essaye à tout pris d'aller sur le bord de mer, tu verras, c'est quelques chose qu'on ne peut pas oublier. Et ne t'inquiète pas cela ne me dérange pas du tout de répondre à tes questions, au contraire, j'aime faire partager.Si j'ai pu un peu te faire voyager rien qu'avec mes paroles, cela me procure un plaisir immense.

Elle allait lui caresser la joue mais se ravisa en sachant qu'elle aurait la main qui la brulerit ensuite. Elle posa sa main sur son épaule et lui sourit gentiment. Elle était vraiment triste pour elle, qu'elle ne soit jamais sortit de son manoir. Mais elle avait vécu toute sa vie ici et elle paraissait conditionné pour cette vie là. Aloysia ne lui proposerait donc pas de partir avec elle. Elle paraissait presque heureuse ici. La princesse n'arrivait pas à la comprendre mais elle la respectait.

Aloysia se releva et chancela. Le sol ne lui paraissait pas stable et elle s'appuya au ur pour ne pas tomber. Elle ferma les yeux, ne supportant plus de voir ainsi tanguer le sol sous ses pieds et tout doucement ses vertiges se calmèrent. Elle rouvrit les yeux et sourit à l'esclave. Elle se sentait faible et elle prit donc la pomme qui était rester sur le bureau. Elle la mangea doucement et une fois qu'elle eut finit, elle se sentit un peu mieux. Il fallait juste qu'elle ne fasse pas de mouvements brusques sinon tout tournait de nouveau autour d'elle.

Liam Eckart

Créature

« C'est vraiment beau dehors. C'est dommage que tu n'es jamais pu aller te promener avec le maitre. Ce que j'aime le plus, ce sont les couché de soleil au dessus de la mer. Je ne sais pas si tu sais ce que c'est mais c'est une étendue d'eau salé à perte de vu. Quand le soleil se couche, les couleur orangé du soleil se reflète sur l'eau et c'est tout bonnement magnifique. Tout le monde devrait pouvoir un jour assister à ce spectacle. La ville est ensuite un lieu que j'aime beaucoup. Il y a des gens de toutes les races et Nexus par exemple est toujours grouillante d'activité. Tu peux aller dans les magasins ou sur les marcher et choisir tes fruits qui seront frais et sucrés et aussi acheter les plus belles étoffes... Si un jour tu as la chance de sortir te promener, essaye à tout pris d'aller sur le bord de mer, tu verras, c'est quelques chose qu'on ne peut pas oublier. Et ne t'inquiète pas cela ne me dérange pas du tout de répondre à tes questions, au contraire, j'aime faire partager.Si j'ai pu un peu te faire voyager rien qu'avec mes paroles, cela me procure un plaisir immense. »

Oh comme c'était intéressant, mais Aenetelia, au fond, n'en avait cure, pour elle, toutes ces raisons étaient futiles pour la simple et bonne raison que Liam n'avait pas sa place là bas et que si la place du maître était ici à les diriger, et bien c'était là qu'Aenetelia avait sa raison d'être. Maître Eckart aurait été marchand de légume alors elle aurait été le légume qu'il fait pousser dans son jardin pour sa consommation personnelle.

Aenetelia lui sourit et s'acarta quand elle tenta de lui caresser le visage, pour elle, il fallait qu'elle la croit la plus gentille fille du monde, enfin, façon de parler, elle devait avoir toute confiance en elle pour la suite, absolument toute confiance. Il ne fallait pas qu'elle puisse douter du fait qu'Aenetelia s'était attachée à la jeune femme assez pour l'aider autant qu'elle le voudrait. Quand  elle sentit la pression sur son épaule elle sourit davantage. Mais elle retint doucement Aloysia en la tenant pas un endroit où le vêtement la couvrait, avant de l'aider à se redresser, elle semblait chacncelante et limite  proche del'évanouissement, aussi, qu'elle mange la pomme fut une bonne chose.

« Tu sais, tu devrais t'asseoir et signer les papiers, moi je vais rester debout, non ? Peu importe qui fait le travail, tant qu'il est fait en temps et en heures... et que le maître n'a pas à se plaindre, ça devrait être bon ! Et si tu ne vas vraiment pas bien, je te conseille d'aller à l'infirmerie, le maitre fait en sorte que ses esclaves gardent la santé, alors si besoin est l'une de nous deux peut s'absenter un curps laps de temps, c'est pour ça qu'on fonctionne par paire !»

Elle lui souriait toujours elle était tellement amusée par le spectacle, mais hormis un sourire rassurant et un air compatissant, elle n'exprimait rien d'autre, elle n'était rien d'autre de toute manière, que cruauté, jalousie et perversité. Parmi le nombre d'arts qu'elle maitrisait, il y avait celui de la manipulation, et elle en abusait très largement !

« Tu m'a dit e belles choses sur le monde extérieur, mais dis moi, pourquoi est ce que les marchés dont tu parles sont si agréables ? Je veux dire...ici aussi j'ai la possibilité de choisir mes fruits, de choisir les étoffes pour confectionner les vêtements  des autres, et puis en haut de la falaise, je t'y emmènerai si tu veux, il y a une vue sur toute la forêt, et les rayons de soleil couchant  jouant avec les bra,ches des arbres ou se freflètant dans la mare, c'est magnifique aussi ! Et le doux bruissement du vent dans les feuilles et les branches vient embellir cette vision des choses ! Mais qu'est ce qui différencie donc le monde extérieur d'ici à part sa taille ? Je ne comprends pas... »

Elle prit une pause, cette fois ci, elle cherchait vraiment ses mots, elle devait être précautionneuse dans son choix pour exprimer la pensée que la blondinette devait supposer qu'elle avait.

« Est-ce que c'est cette fameuse liberté ? Même si je ne sais pas ce que c'est, cette liberté  doit être une femme extraordinaire pour qu'on la veuille à ce point...non ? »

Aloysia Weber

Terranide

« Tu sais, tu devrais t'asseoir et signer les papiers, moi je vais rester debout, non ? Peu importe qui fait le travail, tant qu'il est fait en temps et en heures... et que le maître n'a pas à se plaindre, ça devrait être bon ! Et si tu ne vas vraiment pas bien, je te conseille d'aller à l'infirmerie, le maitre fait en sorte que ses esclaves gardent la santé, alors si besoin est l'une de nous deux peut s'absenter un curps laps de temps, c'est pour ça qu'on fonctionne par paire !»

Aloysia le cacha mais elle trouvait hilarant que le maître fasse attention à leur santé. Il n'en avait sans doute rien à faire de leur santé mais si elle se retrouvait incapable d'effectuer des taches dans le manoir, là oui cela l'embêterais. La princesse esclave ne désirait pas aller à l'infirmerie de peur qu'il lui arrive encore quelque chose. Elle était devenue extrêmement méfiante. Pour l'instant il valait mieux rester avec l'esclave favorite du maître, au moins il ne lui arrivait rien de grave pour l'instant. Elle ne savait pas encore si elle pouvait lui faire confiance mais elle ne lui avait pas encore fait de mal et cela suffisait à la jeune femme.

- Non ça va aller. Ça ira mieux demain.

Aloysia alla tout de même s'asseoir à la place d'Aenetelia. Elle avait des sueur froides par moment et la tête lui tournait toujours. Mais avec du repos cela passerait sans doute.

« Tu m'a dit e belles choses sur le monde extérieur, mais dis moi, pourquoi est ce que les marchés dont tu parles sont si agréables ? Je veux dire...ici aussi j'ai la possibilité de choisir mes fruits, de choisir les étoffes pour confectionner les vêtements  des autres, et puis en haut de la falaise, je t'y emmènerai si tu veux, il y a une vue sur toute la forêt, et les rayons de soleil couchant  jouant avec les bra,ches des arbres ou se freflètant dans la mare, c'est magnifique aussi ! Et le doux bruissement du vent dans les feuilles et les branches vient embellir cette vision des choses ! Mais qu'est ce qui différencie donc le monde extérieur d'ici à part sa taille ? Je ne comprends pas... »

Quoi de plus normal. Elle n'avait jamais vécu en dehors de ce manoir. Elle ne savait pas combien c'était bon de changer d'air et de se promener pour rencontrer de nouvelle tête, avoir le choix de faire ce que l'on veut dans la journée. Mais l'esclave lit le doigt sur une chose importante. Oui en effet la liberté avait une grande place dans la recherche du bonheur d'un individu. Mais la question d'Aenetelia était dangereuse et elle ne voulait pas sauté à pied joint dans un piège. Elle restait la favorite du maître et ce n'était sans doute pas pour rien.

"La liberté peut contribué au bonheur de certaines personnes, c'est certain. Mais je pense que la liberté ne vaut rien si l'on est pas avec l'être aimé. Et à mon avis si l'on est avec la personne que l'on aime le plus au monde, la liberté n'est que superficielle. C'est mon avis après je n'ai jamais connu l'amour alors... Ma théorie est peut être fausse.

Aloysia lui sourit gentiment. Elle avait bien sur évité de dire qu'elle ne rêvait que d'une chose: partir loin d'ici et retourner avec sa maitresse. Mais elle pensait quand même ce qu'elle disait tout en évitant de vraiment parler d'elle. Depuis qu'elle était avec sa maitresse, elle était heureuse même si elle avait perdu une certaine forme de liberté. Mais quand elle était encore princesse, elle avait encore moins de liberté, donc elle n'allait pas s'en plaindre. Aloysia signait et ratifiait les documents. Cela n'était pas du tout un travail difficil pour la jeune femme. Elle avait par le passé rédigé elle-même des traités, des textes de lois... Donc ce n'était pas une tache déplaisante et difficile pour la princesse. Lorsque midi approcha, elle leva la tête des papiers et posa son regard sur l'esclave.

- Je dois donner mon sang au maître ce midi si les résultats de mon sang sont bon. Est-ce qu'il fait que tu m'accompagne jusqu'à lui ou viendra-t-il uniquement s'il peut boire mon sang ?

Aloysia sentai son ventre se nouer en sachant qu'elle allait devoir laisser le vampire boire de son sang. Elle n'en avait pas envie et si les résultatsde l'analyse montrait que la verveine se trouvait toujours dans son sang alors ce serait vraiement un grand soulagement pour elle.





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