Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Les sombres rives d'un cauchemar éveillé... [pv chikako ]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Khaléo

Terranide

Une belle journée de chasse venait de se terminer sur un soleil couchant, laissant onduler ses rideaux violets, pourpres, rougeâtres, presque sanglantes sur la voûte céleste, s'étendant depuis le fond de l'horizon, depuis les dernières lueurs d'un soleil en un dégradé de couleurs chaudes a celles, froides de la nuit, dégradé interrompu parcimonieusement par quelques cumulus, et autres nuages de basse altitude semblant s'amuser à faire tâche de peinture étalées à l'ouatte sur ce paysage aux allures de fin d'un monde, et quel monde... Chaque journée étant son propre monde bien distinct du prochain qui s'éveillera, le lendemain.

Khaléo levait ses yeux sur ce ciel, perché haut, dans la cime d'un arbre, observant les étoiles dans les cieux néantins déchargés, dénués des rayons, des lumières provenant de l'astre du jour, retapissant peu à peu l'immensité du plafond céleste de milliers d'étoiles bien visibles et brillantes, petits diamants rutilants, étincelants dans cette "vitrine" cruelle que représentait l'espace, trop loin pour espérer les atteindre, trop vives et brillantes pour les ignorer, une torture pour le coté félin et collectionneur de notre hybride, qui se laissait parfois surprendre à plus d'une reprise, à essayer de lever ses mains au ciel pour essayer d'en décrocher une.

Il ferait bientôt complétement noir, il était temps de retourner dans son antre, sa tanière, qui n'était autre qu'une mine abandonnée depuis trop longtemps pour qu'aucune mémoire ne se souvienne de sa présence depuis plusieurs siècles, la forêt était dense, vive et dangereuse par ici, vierge, indomptée de la main de l'homme, à coté de sa tanière, juste en face de l'entrée d'ailleurs, une rivière, dont la source prenait naissance au pied d'une haute cascade située à quelques mètres en amont, sa tanière était logée dans la cuvette profonde d'un valon courbé, à priori, bien caché des regards indiscrets, il était rare que quelqu'un s'approche du bord, ou même s'aventure simplement aussi loin dans la forêt pour découvrir l'entrée de son antre.

Rentré chez lui, recouvert de son habilt cérémonial de chasse, qui était toujours recouvert de manière très ritualisée, piècettes de couleurs, et métaux de différentes régions et pays, ses habituelles languettes de couleur tressant quelques mèches entre elles, comme un vrai sauvage, ses cerclages en or, serpents ondulatoires se mangeant eux mêmes la queue, tels d'improbables ouroboros léchant sa chair, véritables pièces d'orfévrerie placés autour du haut de ses biceps et de ses cuisses délimitant la naissance de la courbe de ses muscles.

Il Récitait quelques "prières" pour les esprits de la forêt, Esprits qu'il considérait comme favorables en ce jour pour le résultat généreux de sa chasse, un sanglier et un daim, bien sûr il ne gaspillait absolument rien, tout était utilisé lorsqu'il les dépeçait, il ne chassait jamais plus que ce qu'il lui fallait pour se nourrir, la forêt, ce lieu, c'était comme le seul endroit où il pouvait laisser son esprit, son âme au repos malgré tout ce qu'il pouvait traverser, ou avait traversé dans sa vie, vivre simplement, vivre dans la nature, s'occuper l'esprit... ne jamais avoir à réfléchir, non, ne jamais avoir à s'arrêter, et à penser... s'il commençait à penser, à réfléchir, il ressassait forcément le passé, ici, tout seul, et il n'y avait rien de bon dans quoi il serait raisonnable de remuer le couteau.

Chaque ingrédient prélevé sur les animaux qu'il chassait avait donc son utilité, les os, les dents, la cornée des yeux, certaines parties dont on ne parlera pas mais qui peuvent être utilisées dans certaines situations par des apothicaires afin d'en faire des remèdes, les oreilles, le groin, enfin tout était d'une façon ou d'une autre "utilisable" et même revendable, ce qu'il faisait parfois pour passer l'hiver plus comfortablement, il n'aimait plus devoir sortir dehors dans le froid afin de déterrer quelques tubercules, racines nourrissantes, c'était quelque chose dont il avait horreur, sûrement là encore influencé par sa félinité latente, préférant rester bien au chaud à l'intérieur.

Quand il eut terminé de s'occuper du produit de sa chasse il prit un bon bain dans la rivière, se nettoyant jusqu'aux dents avec un os de sèche, et une pâte à "dent" de sa propre composition grâce à une bonne connaissance des plantes de cette forêt, une fois sa toilette faite il sortit de l'eau, posant le regard sur la cascade, enfin... son regard semblait aller plus loin, et en effet ses yeux passaient outre les filets d'eau car une chose importante à ses yeux était dissimulé là bas.

Pour tout expliquer, une grotte créée par l'érosion de l'eau sur plusieurs siècles, voir milliers d'années abritait la dépouille de sa défunte femme, et de sa défunte fille également, un endroit qu'il considérait sans doute plus sacré que le reste de cette forêt, de nombreuses fleurs fanées, mortes gisaient à même le sol ou sur l'autel funéraire qui, flottait à la surface d'un lac circulaire dans le fond de cette "grotte", il y posait des fleurs au moins une fois par semaine, et culpabilisant pour leur mort, il lui arrivait encore de pleurer, même après autant d'années.

Il possédait encore des objets ayant appartenu à sa femme ou sa fille dans sa tanière, dont cette montre gousset, vieille, usée, dont le cadran c'était brisé, et l'heure, ainsi que l date étaient figée à jamais dans le temps, le jour de... Le jour de leur mort, comme pour lui rappeller sans cesse que s'il était intervenu quelques secondes plus tôt, s'il avait interrompu les pourparlers inintéressants de quelques seigneurs en réunion se chamaillant quelques bouts de terrains, il serait peut être arrivé à temps.

C'est cette culpabilité qui le rongeait encore ce soir, comme chaque fois qu'il posait le regard sur le fond du couvercle, fond du couvercle recouvert de visages presque déteins, qui furent autrefois bel et bien gravés dans le couvercle, bien visibles, mais les siècles, l'usure, les doigts et griffes de Khaléo avaient usé le métal u fond du couvercle et bientôt il ne se rappellerait plus  de la forme de leurs visages, de leurs reliefs, celà lui faisait très peur, très peur d'oublier leur souvenir, d'oublier leurs visages quand ils seraient complétement effacés du fond du couvercle.

Lorsque le couvercle s'est ouvert, malgré l'arrêt du mécanisme d'horlogerie, celle de la boite à musique intégrée, elle, fonctionnait encore pour dispenser une musique d'une tristesse presque insupportable, lui rappellant bien des choses, trop sans doute. Musique

Fatigué de cette journée de chasse et de travail, il s'assit sur le bord de son lit en fourrure de Lion blanc, s'étirant félinement après avoir posé la montre sur le rebord d'une table de nuit basse, construite de ses mains, comme beaucoup de choses dans sa tanière, il s'étendit dans les fourrures en écoutant la musique, musique qui allait bientôt le porter au sommeil, clignant lentement des yeux, remuant sa queue féline de plus en plus lentement, son corps recouvert d'un duvet blanc, très fin, se mêlait presque complétement à la fourrure blanche, poudreuse comme de la neige du Lion Blanc sur lequel il dormait, rendant sa silhouette confondue dans le blanc du reste de ce lit, ses griffes pétrirent un peu la fourrure avant qu'il ne sombre enfin, dans ce qui allait probablement être un cauchemar, encore un... il faisait souvent des cauchemars, condensé de craintes, de peurs, de symptômes de stress post traumatiques liées aux guerres qu'il à traversées, de folie, presque à la limite de la psychose, priant parfois même dans son sommeil, que l'aube, que les premiers rayons de soleil le réveillent enfin...

La "créature" s'était donc endormie, accompagnée de la danse léchée des flammes, des ombres des braseros dansant sur les murs rougis par l'éclat du feu comme si elles même s'amusaient déjà des affres des cauchemars dont le "Lion blanc" allait probablement encore être la victime.   

Ishikawa Chikako

Humain(e)

La lutteuse était revenue sur Terra, en quête de quelque chose. Elle même ne savait pas encore de quoi il s'agissait, mais elle l'avait ressentie au fond d'elle-même. Elle devait venir sur Terra, ce jour là. Elle avait décidée de voyager de nuit, accompagnée d'un guide. Oui. Elle avait effectivement réussie à trouver quelqu'un aussi barré qu'elle, au moins suffisamment pour avoir les tripes de voyager la nuit dans cette forêt déjà pleine de dangers en journée. Finalement, le guide se montrait courageux mais pas téméraire... Lorsqu'ils arrivèrent devant une sorte de grotte d'où parvenait la faible lueur d'un probable feu, le guide sembla se pétrifier d'effroi. Chikako lui jeta un regard mauvais.

-- Quoi !?
-- C'est pas... c'est pas vrai ?
-- Mais quoi ? Craches ta pilule !
-- On dit qu'un monstre vit dans cette grotte... Je voulais pas y croire, je pensais que c'était qu'une légende...


Chikako fit la moue. Ce que les hommes pouvaient être pleutres parfois... En fin de compte, quand elle marcha sur une branche morte qui se brisa en deux sous son poids, dans un bruit de craquement qui résonna dans la grotte, le guide se sauva en hurlant. Chikako lui hurla dessus.

-- Trouillard !!!

Exaspérée, elle regarda la grotte, avant de commencer à la contourner.

-- Toute façons, on voulait pas y entrer dans cette grotte, juste la contourner. Pfff... Quel abruti ce mec...

Ruminant sa colère contre ce pleutre de guide, elle s'avança sur le côté de la grotte. Mais pour pouvoir la contourner, elle devait d'abord s'approcher dangereusement de l'entrée. Ce qu'elle recherchait se trouvait encore plus loin dans la forêt... Elle le sentait. Elle n'était maintenant plus qu'à un mètre de l'entrée et ne se doutait pas un seul instant de ce qui l'attendait...
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei

Khaléo

Terranide

Au commencement...

...Il n'y avait rien... Le néant... pas d'images... même pas la manifestation de son propre "moi", rien... pas de lueurs, pas même de sol, ni de cieux, et encore moins de murs, tout était... parfaitement... calme... un calme Abyssal.

Mais bientôt... l'on se fige... quelques secondes sur un pied qui semble prendre appui sur un sol, qui n'a pas encore de substance mais qui semble bel et bien là. Mais bientôt le sol s'esquisse doucement sous ses premiers pas, pastelle blanche abstraite sans formes bien définies, chevauchant parfois des volutes noires et rouges...

-Plic-

Qu'est ce que c'est ? Un frisson, sur son épaule droite, une goutte viens d'y tomber ?

-Plic-

Une autre...

Alors, naturellement le regard s'élèves, pour chercher un ciel mais l'oeil paniqué qui ne reçoit aucune information visuelle dans ce noir complet cherche dans le néant à cet instant, il n'y a rien, et ce rien là, il le pensait peut être encore plus angoissant que s'il y avait réellement eu quelque chose.

-Plic-

"-Oh... arrêtes..." -Dit une voix... jeune... un peu stressée, chevrottante, et sans assurance, c'est la voix d'un Khaléo d'a peine dix ans.

-Ploc-

Une autre goutte, un autre doute, les mains cherchent maintenant à frotter ce liquide qui tombe du ciel, et lorsque le jeune hybride regarde ses mains, c'est du sang qu'il y voit... Du sang qui tombes d'astres carmines illuminant un ciel sanglant ?

La voûte céleste se dévoile à ce regard effrayé... Ce ne sont pas des étoiles rouges, un voile l'empêchait jusqu'alors de voir de quoi il s'agissait réellement, la vérité était bien plus horrible, une infinité d'orbites cramoisies sans globes oculaires pleuraient du sang depuis ce "plafond", des têtes enchevêtrées dans un plafond rouge chair meurtrie, blessée, tordant leurs visages de douleur, d'agonie, criant la plainte sourde, inaudible de leur peine, leur haine, leur jalousie... Et même en l'absence de leurs yeux, leurs paupières se mouvaient, le fond ombrageux de leurs orbites noires se déplaçaient tous pour se concentrer sur le corps frêle d'un Khaléo jeune, maladif, maigre, marchant dans une mélasse épaisse dont il ne connaissait la substance au sol.

-Plic-

Ces têtes criantes... suppliantes... agonisantes pleuraient des larmes de sang sur ses épaules, il n'osait plus regarder en l'air, son regard se figea sur ce liquide informe par terre, continuant d'avancer pour trouver une "sortie" quelque part, parcourant parfois l'horizon du regard.

Subitement l'eau juste à ses pieds se mit à buller, comme si elle était en train de bouillir, et quelque chose remontant des profondeurs obscures de cette immense étendue d'eau allait jaillir des flots, L'enfant recula, d'un pas, avant qu'il ne puisse la voir.

La tête d'un parent... La tête de son père, aussi plaintive et tordue d'atroce douleur que les autres, arborant encore les morsures, les griffures qui lui avaient défiguré la moitié du visage, l'un de ses yeux crevé, déconfit, sorti de son orbite par les ravages des coups de griffes sur son visage, pendait et rebondissait parfois sur ses lèvres lorsqu'il se mettait à crier, l'enfant recula de quelques pas, tombant sur son séant, refermant ses mains sur son visage tremblant agitant sa tête frénétiquement de gauche à droite, ses pieds pédalaient dans la mélasse pour qu'il rampe à reculons, s'éloigner de cette image effroyable qui faisait remonter à la surface son enfance atroce, la culpabilité qu'il portait sur ses épaules.

La tête de son père se mit à tourner légèrement sur elle même, avant de se dresser hors des eaux, flottante dans les airs, n'ayant plus de cou mais comportant les premières cervicales sanglantes se tortillant comme la queue d'un serpent, pris d'un rire absolument horrible, sur un sourire édenté, de travers, la mâchoire fracturée à multiples reprises par les coups de rage d'un Khaléo dans un état second à cette époque.

Plus il riait, plus Khaléo reculait mais sa fuite ne dura pas très longtemps, son dos rencontra un obstacle gluant et chaud, un mur...

.Un mur de corps blessés, enlassés les uns dans les autres, un plafond remplis de têtes pleurant du sang, qui, faisait monter le niveau de l'eau peu à peu, semblable à une représentation infernale, perverse et retorse du plafond de la chapelle sixtine, et pour courronner le tout, des bras, de nombreux bras ensanglantés, décharnés pour certains, sortirent du mur pour l'attraper et le maintenir, tandis que le niveau montait... et montait encore... inexorablement, accéllérant jusqu'a ce que sa bouche soit recouverte, puis ralentisse, le laissant respirer quelques secondes par le nez.

L'état de panique et d'angoisse dans lequel il se trouvait faisaient monter hautement sa tention, les battements de son coeur sauvage affolé, parcourant ce décor horrible de ses yeux, respirant très rapidement par le nez qu'il tentait envers et contre tout de garder au dessus de la surface de l'eau.

Pour parachever ce tableau, des anguilles, des serpents sortis des ténèbres venaient glisser à la surface de cet océan sanglant, sortant également des bouches ouvertes et des orbites des visages horribles recouvrant le plafond, certains tombaient de haut, très haut dans l'eau, d'autres rampaient à la surface de ce plafond en sinuant entre les têtes, pour se frayer un chemin jusqu'au jeune garçon, l'encerclant bientôt alors qu'il était immobile, impuissant et surtout à la merci de la moindre chose qui pourrait lui arriver, dans cette situation son coeur battait à tout rompre, paniqué, son oeil voyageait d'un coin à l'autre de cet endroit ne pouvant faire que constater la progression des serpents dans sa direction.

Aucun d'entre eux ne s'arrêta, et une fois arrivé face au visage de Khaléo, ils attendaient, patiemment en l'observant, ils attendaient quelque chose... le niveau de l'eau recommença à monter doucement...

...Très lentement, le laissant paniquer encore un peu plus, ses narines effleurant la surface de ce liquide, comme si ce n'était pas déjà assez, tout ça, combien de temps allait on lui faire subir ces horreurs, pourquoi ?

D'autres mains sortirent du mur, et lui saisirent le visage pour le maintenir bien droit, l'une des mains l'obligea à ouvrir la bouche soudainement, et le niveau du sang grimpa subitement de plusieurs kilomètres de haut allant jusqu'a recouvrir le plafond, les serpents eux, étaient restés à la même hauteur, au même niveau alors même qu'ils étaient submergés, dans l'horizon carmine, des cadavres remontaient des profondeurs de cet océan, rivant encore une fois tous leurs regards vers lui.

Un de ces serpents s'approcha, suivi d'un bon millier d'autres, de sa bouche ouverte, sortant leurs langues fourchues, et c'est comme si à chaque fois qu'il craignait que quelque chose arrive, finisse par arriver, un premier serpent s'engoufra rapidement dans sa bouche sans même lui laisser le temps d'y réfléchir, un second, un troisième, descendant dans son corps, suivi des prochains, et des prochains, encore... encore, accéllérant le mouvement, tous entraient.

Il révulsa les yeux, avalant du sang à chaque fois que l'un d'eux glissait jusqu'au fond, il était horrifié, il était en train de se noyer, des serpents grouillaient à l'intérieur de son corps, roulant sous sa peau, on pouvait les voir investir son corps et grouiller à la surface, dessinés sous son duvet blanc et chercher, s'agiter dans tous les sens.

Il allait mourrir... enfin, dans son cauchemar ça semblait si réel, la douleur semblait si réelle, la sensation de noyade, l'angoisse, la fouille des serpents grouillant sous sa peau, il agitait ses pieds et ses mains dans une tentative désespérée pour survivre, se dégager, rejoindre la surface.

Mais tout se vida soudainement, tout disparu, les mains le lachèrent les serpents ressortirent tous les uns après les autres, rapidement comme un jet de lance à incendie de sa bouche, un syphon ressemblant à un trou noir dans le fond de cet océan sanglant aspirait tout, les têtes se décrochaient du plafond, les corps étaient arrachés aux murs, les serpents engloutis par le néant, et lui aussi, s'accrochait aux restes du mur, aux bras, aux jambes, plantant ses griffes dedans pour ne pas se faire emporter, toute l'eau avait disparu, il n'y avait plus qu'un étrange "espace" vide, dans lequel le corps du jeune garçon s'accrochait désespérément à un mur de chair, de corps suspendu lui même dans le vide intersidéral.

Le mur qui ne tenait à rien finit par être emporté lui aussi, et Khaléo avec, qui criait dans ce vide sans qu'aucun son ne sorte, il fut happé, et tomba dans ce vortex, pour se retrouver à nouveau dans le noir complet.

Il trouva ce "noir" plus rassurant que le précédent, mais toujours aussi angoissé de voir quels monstres risquaient de sortir des limbes, mais cette fois, c'est une route qui se dessina sous ses pieds.. une route faite des corps, des têtes, des ossements de soldats tombés, il pouvait en reconnaître certains, se rappellant avoir croisé le fer avec ces derniers sur les champs de bataille, ils étaient donc tous là... des... des dizaines... de milliers.. voir même centaine de milliers... représentant les nombreuses armées sur lesquelles il avait marché par le passé avec  sa légion du Lion Blanc, une énorme bande de mercenaire ambitieuse qui était devenue armée.

Les corps de ces soldats étaient tous entassés pour former les pavés d'une route, d'une route menant à une lumière au loin, qui se voulait peut être, être la sortie de cet effroyable cauchemar, il en avait rarement fait d'aussi virulents, mais avant qu'il ne puisse poser un premier pas, deux hommes l'attrapèrent par les bras, l'empêchant d'effectuer ses premiers pas sur cette route.

Tous les deux étaient des seigneurs... tous les deux, étaient de puissants seigneurs desquels personne n'aurait soupçonné une seconde qu'ils soient... juste... deux vils pervers dégoutants aimant louer des enfants aux parents dans le besoin pour assouvir leurs désirs, et le père de Khaléo n'avait pas hésité une seconde quand on sait à quel point il haîssait son fils, de le donner en pâture à ces salaupards.

Il n'était pas question qu'il se laisse faire, cette fois, il savait, il ne voulait pas revivre ça, il se laissa tomber au sol et attrapa une épée encore fichée dans la panse d'un cadavre de soldat par terre, soldat qui saisit sa main sur le manche, se réveillant subitement de sa non-vie pour lui sourire redressant un peu la tête, se mettant à rire.

Il l'empêchait de sortir sa lame pour quelques secondes, avant de déclarer :

"-Trois cent ans... Trois cent ans que je n'ai pas pu aller aux toilettes... Tu te rends compte ? Damné pour "obstruction intestinale provoquée par un corps métallique étranger"..."

Il relâcha la pression de sa main sur celle du jeune garçon, relâchant tous ses muscles, comme s'il mourrait une seconde fois en étouffant un rire sur cette touche d'humour noir, révulsant à nouveau ses yeux qui redevinrent blanc.

Khaléo se retourna pour planter sa lame dans le premier noblion qui s'approcha, lui perforant les entrailles, mais il continuait d'avancer, mains tendues vers lui avec ce même regard, ce même regard pervers qu'il avait eu avant d'essayer de le déshabiller.

"-NON !!!"

Il se mit à pleurer de rage, d'horreur, et malgré les sanglots, les soubressauts de sa cage thoracique il se mit à planter son épée plusieurs fois dans ce corps qui ne cessait d'avancer vers lui, ses mains arrivant à hauteur de ses épaules pour essayer de s'y poser, d'estoquades en estoquades, que ce soit dans le visage, ou dans le corps, il continuait inexorablement sa lente progression vers lui, lui touchant les épaules, lui touchant le visage, s'en trouvant horrifié, dégouté, et aussi impuissant qu'a l'époque, il se mit à crier, à hurler et pleurer toute l'horreur enfermée dans son corps pour cette situation.

Les orages obscurs d'une rage sans nom, venue du fond des âges, immémoriale le prit aux tripes avant même qu'il puisse subir le reste, et ce fut une véritable pluie de coups, de tranches, de lames qui s'abbattit sur le corps des deux noblions qui essayaient de s'en prendre à lui, une furie de métal hurlant et grésillant, projetant du sang, des membres dans tous les sens, tranchant les doigts, les mains, les bras qui venaient d'essayer de le toucher, les jambes pour continuer, puis, écrasa furieusement les visages avec ses pieds, les défigurant avec la pointe de son épée, traçant des lignes, déchirant leurs traits, pour qu'il ne puisse plus voir l'expression perverse de leurs yeux qui l'avaient fixés.

Alors qu'il s'agenouillait dans la chair et le sang de ses tortionnaires, ressemblant désormais plus à du vulgaire hachis de viande sanglant, il pouvait laisser les larmes couler sur le sang qui le recouvrait, une voix fendit le ciel, pour lui demander :

"-Combien encore ?"

Il releva la tête, ne sachant d'où celà pouvait bien provenir, celà semblait venir de la lumière dans le fond, par delà la route de squelettes, et de cadavres encore armurés, des bannières de légions et d'armées plantées sur les bords de la route en toute désorganisation chaotique, il garda l'épée avec lui, laissant trainer le bout de la lame par terre, titubant vers la route avec un regard perdu, encore profondément choqué, vide de pupilles s'effaçant de ses iris grises argentées, recouvert de sang des pieds à la tête.

"-La route est incomplète..."

Encore cette voix... et en effet... il arriva au bout de la route... il restait encore une bonne distance entre lui, et cette porte aux allures salvatrice, enfin, d'apparence... une pluie de cadavres tomba du ciel, encore des soldats, au début éparpillés, puis, se rassemblant les uns aux autres pour former à nouveau un morceau de route sur lequel il pouvait avancer.

"-Combien encore ?"

Cette voix horrible, grave, déformée par réverberations comme si elle sortait d'un entonoir conique, dédoublée, orageuse, résonnait dans tout cet endroit.

"-Combien de corps... vas tu encore empiler pour avancer ?"

Khaléo en état de choc empilait machinalement les corps qu'il reprenait derrière lui, au début de la route, pour les empiler devant, afin de pouvoir continuer, mais ça ne fonctionnait pas, les corps disparraissaient pour revenir là ou ils se trouvaient précédemment.

"-Tu as oublié ceux là..."

 Les corps décapités, mutilés, accompagnés de la tête flottante de sa femme, et de sa fille descendirent lentement du ciel pour être posées à ses pieds, il lâcha son épée pour s'agenouiller et craquer, s'enfonçant ses propres griffes jusqu'au sang dans son cuir chevelu, hurlant, suppliant d'arrêter, les visages de sa femme et de sa fille le fixaient, il ne les avaient pas tuées... elles avaient été assassinées... mais pour lui, c'était sa faute s'il n'avait pas pu revenir à temps pour les sauver, ayant préféré ce jour là terminer des négociations ayant trainé en longueur avec un noble, trop consciencieux dans son travail, il était encore très jeune et ambitieux à cette époque, préférant parfois rester des semaines à guerroyer, en campagne avant de revenir s'occuper des siens, il ne s'était jamais pardonné, et avait juré de retrouver un jour leurs meurtriers.

"-Arrêttez ! Arrêttez je... je ne veux pas... je ne peux pas... pas elles... Laissez les tranquilles... Laissez les... tranquilles... je vous en supplie..."

Et il se réveille, en sueur, haletant, des palpitations le prennent, c'est pas la première fois qu'il fait ce cauchemar, non, pas la première fois, c'est soit ça, soit des visions des dernières grande guerres auxquelles il a malheureusement participé, il se réveille au bont moment apparemment, il entend des voix provenir de l'extérieur, il se lèves, et arpente les couloir sombres, les galeries de cette ancienne mine en frottant ses griffes sur les résidus de mithril , d'orichalque, encore présent sur les parois, ça grésille, comme d'habitude, ça crépites, tu peux aperçevoir une grande silhouette élancée, athlétique, se dessiner lorsqu'un éclat de roche, et une gerbe d'étincelles l'illumine pour à peine le quart d'une seconde, son foutu regard perçant luit dans les ténèbres, après ce cauchemar, il n'est pas d'humeur et c'est le moins qu'on puisse dire, tu peux entendre ses griffes racler sur les parois, il n'est plus très loin...

Et si tu te trouves à l'entrée, tu es forcément juste à coté du grand bassin d'eau, et, de la cascade qui s'y jette, répandant son voile luminescent, serpentant sur la roche et ses aspérités, ondulant de leurs reflets lumineux autant sur toi que sur le reste du décor proche, une autre gerbe d'étincelles, un grognement, et le torse bien formé de l'hybride, musculeux, te percutes sans ménagement, t'envoyer valdinguer dans le grand bassin sans qu'aucune galanterie n'y soit accordée.

"-C'est... imprudent... De venir déranger une bête sauvage sur son territoire... Ces terres sont sacrées, votre... présence... "humaine"... souille... Mes terres... Que feras tu pour réparer cet affront ? Saches que, nulle loi de vos cités de béton et de gravier, ne porte son écho dans un lieu aussi reculé, ici n'existe que les lois bien simples de la nature... Et si J'étais toi, je prierai pour qu'elle t'ait donné la force de survivre à mon courroux..."


Ishikawa Chikako

Humain(e)

Chikako continuait à avancer vers l'entrée de la grotte, lentement. D'étranges borborygmes parvenaient à ses oreilles mais elle n'en tenait pas compte. Pour elle, il ne devait s'agir là que des bruits proféré par quelconque ermite. Et dans son imagination ô combien formatée par son monde d'origine, les ermites était de vieux gâteux en guenilles inoffensifs. Soudain un bruit désagréable se fit entendre et des étincelles attirèrent son attention.

*Hein ? Mais qu'est-ce que... ?*

Elle se tourna vers la source du son et des étincelles. Elle ne distingua pas de suite ce qui se cachait dans la pénombre, hormis un drôle d'éclat lumineux puis un choc qui la fit tomber à l'eau. Elle chercha aussitôt à se mettre debout, pour voir si elle avait pied -elle avait effectivement pied- et vit... Un colosse humanoïde, à la peau blanchâtre et rayée en noir, tel un tigre. Chikako le regarda droit dans les yeux et eut une étrange sensation : comme si son âme était violée en cet instant. C'était terriblement gênant et excitant à la fois. Elle détourna son regard, histoire de pouvoir reprendre un peu de contenance. Le moment où leurs regards se croisèrent  fut bref mais particulièrement intense. Pour elle en tout cas, ce le fut. 

Comme à l'accoutumée, face aux hommes et seulement à eux, elle se mit à rougir, puis elle laissa son regard parcourir l'ensemble du corps de son étrange comité d'accueil, savourant avec délice les formes de muscles parfaitement dessinés, et les cicatrices qui le parcourait. Chikako se sentait toute chose.

*Han ! Quel spécimen ! Reprends toi, Chi...*

Son coeur s'emballa et son regard plongea de nouveau dans celui de l'individu qui lui adressa alors une mise en garde expéditive.

-- C'est... imprudent... De venir déranger une bête sauvage sur son territoire... Ces terres sont sacrées, votre... présence... "humaine"... souille... Mes terres... Que feras tu pour réparer cet affront ? Saches que, nulle loi de vos cités de béton et de gravier, ne porte son écho dans un lieu aussi reculé, ici n'existe que les lois bien simples de la nature... Et si J'étais toi, je prierai pour qu'elle t'ait donné la force de survivre à mon courroux...

Ces paroles pleines de défi firent comme un électrochoc à Chikako : chassez le naturel, il revient au galop. Pleine d'assurance, elle plaça ses mains l'une au dessus de l'autre, près de son flanc droit et fit apparaitre une petite boule d'énergie qu'elle lança dans le ciel en criant :

-- Hadoken !

La boule d'énergie fusa dans le ciel avant d'exploser comme un feu d'artifice. Elle lui sourit alors d'un air pervers avant de lui répondre avec confiance :

-- T'en fais pas, beau gosse, elle sait se défendre... Si je dois en lancer une autre, elle sera sur toi et trois fois plus puissante que celle-là... Maintenant, moi je vois pas de bête sauvage ici... Je vois juste un mec qui ressemble à tigre, peut-être un peu bourru mais...

Son regard se porta sur son entrejambe. L'unique vêtement qu'il portait laissait aisément supposer de la taille de ses attributs. Ses joues s'empourprèrent et son coeur s'accéléra. Elle acheva d'une voix suave.

-- ... qui est diablement sexy... Ahem !!

Elle fit semblant de tousser pour reprendre un peu de sa contenance.

-- Enfin, bref ! Maintenant que tu m'a balancée à la baille, j'imagine que je ne souille plus ton espace... Que dirai tu que je sorte de l'eau et que je m'approche ? Je veux dire... J'ignorais qu'il y avait quelqu'un ici... J'ai pas voulue profaner ton espace vitale, mon chou. Je voulais juste avancer plus profond dans la forêt et pour ça, j'avais besoin de contourner ta maison...

Elle pinça ses lèvres entre ses dents.

-- Quant à ce que je peux faire pour réparer... J'ai plein d'idées... Mais j'aimerai pouvoir me sécher avant... Alors... Tu m'autorise à sortir de l'eau pour venir te rejoindre ou te me laisse là toute la nuit à crever de froid ? A moins que ce soit ça l'idée ? Me bouffer ?

Chikako croisa les bras, souriant au colosse qu'elle dévorait des yeux. Elle n'avait pas peur de mourir. Chaque fois qu'elle luttait sur un ring de catch, les risques qu'elle prenait pouvait la mener à des accidents, à des commotions cérébrales et parfois même jusqu'à la mort... Aussi y était-elle déjà résolue.
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei

Khaléo

Terranide

Intéressant... Cette "créature" était troublée par mon regard que je savais parfois foutrement dérangeant, qui semblait de par le rétrécissement et la finesse de ma pupille par instant, transcender l'âme de part... en part, mais ce qui était particulièrement intéressant pour moi, ce fut, pour un être humain, de détourner son regard pour, désormais en porter un deuxième, sur lui, ce qui est non seulement intéressant mais, important également pour son appréciation de ta personne, disons que ce geste, malgré une certaine misanthropie due aux sévices qu'il à déjà pu subir de la main de l'humanité, faisait monter de quelques points ton statut de créature indésirable profanant son lieu de vie, à adversaire potable ayant une certaine ouverture d'esprit et peut être, un certain "potentiel", quoi qu'il en soit, tu montais déjà un peu dans son estime par ce geste qui te mettait, au dessus du lot habituel d'humains qui passaient par ici, quelques crânes d'ailleurs, plantés sur des piquets en marque d'intimidation provenant d'imprudents l'ayant insulté de "monstre" sont bien là pour te prouver qu'il ne plaisante pas avec le "respect" de son territoire sacré, qui passait évidemment d'abord par le respect de son gardien et propriétaire.

Deuxième donnée qui lui porta la griffe de l'index aux lèvres sur un sourire amusé, toujours ce regard intense planté dans le tiens, furent les rougeurs montant à tes joues, ah... très bien... et d'après l'égarement de ton regard, non seulement tu n'avais pas l'intention de l'insulter et le prendre pour un monstre, mais ça ne te laissait pas indifférente, vu l'empourprement général de ton visage, à vrai dire l'humanoide qui se dressait devant toi possédait des hanches certes étroites mais bien rebondies, pas tout à fait androgynes non plus car musclées, mais ces muscles bien ronds et lisses étaient bien plus délicieux à voir que la plupart des muscles anguleux et parfois calleux d'un homme standard, non, ça sentait la course, l'athlétisme, avec quelques doses de puissance féline, massive par endroit, mais c'était pas mal équilibré et, dans l'ensemble ça se tenait proportionnellement, ses plaques abdominales sont bien enchevêtrées les unes dans les autres jusqu'aux côtes, même ses côtes ne sont pas apparentes une paire de muscles aux rebonds lisse semble les couvrir aussi et, inviter le regard à se perdre sur une paire de pectoraux eux aussi bien formés, d'une bombure et rondeur sexy sans pour autant ressembler à des seins, hein, mais leur surface incitait presqu'autant à la caresse qu'un simple sein, fin bref, c'était bien foutu et quand ses bras se croisaient, quelques discrètes striures à la surface de ses pectoraux semblaient les pétrir dans les mouvements de ses épaules et de ses bras.

Khaléo observa la technique de la jeune femme, en se repassant quelques mèches de cheveux rebelles derrière les oreilles en relevant les sourcils et écarquillant un peu les yeux par intérêt, elle rassembla son chi entre ses mains pour l'expulser dans les airs, après quoi khaléo sourit, légèrement moqueur, c'était une belle technique, certes, parfaitement exécutée, mais jeter son chi dans le vide lui semblait du gaspillage.

-- Hadoken !

-- T'en fais pas, beau gosse, elle sait se défendre... Si je dois en lancer une autre, elle sera sur toi et trois fois plus puissante que celle-là... Maintenant, moi je vois pas de bête sauvage ici... Je vois juste un mec qui ressemble à tigre, peut-être un peu bourru mais...

La boule d'énergie explosa dans les airs et libéra son lot de lumière scintillantes et de paillettes dans le clair-obscur formé par les hauts arbres, Khaléo n'était pas réellement impressionné car cette technique était tout de même, une des utilisations les plus basique de concentration de chi pour simplement la "projeter" alors qu'il peut être utilisé, canalisé, en beaucoup moins de dépense pour plus de dégats, d'ailleurs, il voulait lui en apporter la preuve, tirant un peu sur ses mèches de cheveux et tresses vers l'arrière, pour dégager son propre visage, il s'approcha d'un tronc d'arbre très épais, et puis tendis simplement son bras droit, et bien droit, fermant le poing en l'inclinant vers l'intérieur du corps.

Ce qui se passait, de façon interne au bras, c'est que le cubitus, et le radius particulièrement épais de ses avant bras, qui leur donnaient une taille plus conséquente ainsi que des grandes mains, comportaient tous deux des cavités, un creux le long de l'os, communiquant avec deux autres cavités présente dans l'humérus, cavités renfermant deux très longues lames d'os, et, ça faisait foutrement mal de les faire sortir puisqu'ils déchiraient les peaux de son poignet pour sortir, tant et bien qu'il serra les dents, lorsque deux lames d'une trentaine de centimètres sortir enfin de la, possédant maintenant deux lames / griffes osseuses, façon prédator en plus longues donc, il put enfin faire la démonstration de son interpretation d'une "bonne" utilisation du chi, qui consistait à la concentrer dans ses deux lames d'os, pour les faire vibrer intensément, osciller à une vitesse telle...

...qu'il n'était même pas nécessaire de "planter" ses lames, ou d'effectuer un grand et ample mouvement de tranche, non, pour couper le tronc, il y alla tranquillement, laissant les vibrations produites par le chi, si rapides sur ses lames, qu'elles découpaient la matière comme du vulgaire beurre fondant sur un fer à souder, où de l'acier coupé net par du plasma, l'eau était aussi capable de trancher n'importe quoi quand elle était propulsée où poussée à une oscillation énorme, c'était un peu le même principe, le tronc épais de l'arbre se mit à chanceler, mais il arrêta sa démonstration quand il estima que ça suffisait et que t'avais bien compris, inutile de trancher completement le tronc avec cette technique tirée d'une étude poussée du contrôle des flux du chi dans le corps alliée à quelques applications du panzer kunst, surtout pas d'un des rares arbres plantés à coté de l'entrée de sa tanière et enjolivait son environnement, après cette démonstration il te sourit, simplement, n'ayant rien besoin d'y ajouter de supplémentaire si t'étais assez intelligente pour comprendre ce qui venait de se produire, tu ne lui chercherait pas des noises.

-- ... qui est diablement sexy... Ahem !!

"-Ah... C'était donc ça ? hmmm ? Qui fait s'accéllérer ton pouls, les battements de ton coeur et, monter un peu la chaleur de ton corps ? "

Il rit de bon coeur et bien haut en se serrant les hanches entre les mains, avant de sécher une larme au coin de ses yeux, puis s'approcha de toi, de quelques pas, sa colère gardienne déjà en train de redescendre, se déhanchant de façon presqu'impudique, éhontée, balançant la "chose", sa troisième cuisse, entrecaressée entre les deux autres, affichée derrière ce pagne qui, finalement était bien ridicule pour la cacher, surtout lorsqu'elle entrait doucement en érection, comme à l'instant, mais pas encore tout à fait.

-- Enfin, bref ! Maintenant que tu m'a balancée à la baille, j'imagine que je ne souille plus ton espace... Que dirai tu que je sorte de l'eau et que je m'approche ? Je veux dire... J'ignorais qu'il y avait quelqu'un ici... J'ai pas voulue profaner ton espace vitale, mon chou. Je voulais juste avancer plus profond dans la forêt et pour ça, j'avais besoin de contourner ta maison...

Il t'observa, les bras croisés, et jambes finalement quelque peu écartées, la "chose" soulevant peu à peu son pagne, te toisant, de là où il se trouves.

-- Quant à ce que je peux faire pour réparer... J'ai plein d'idées... Mais j'aimerai pouvoir me sécher avant... Alors... Tu m'autorise à sortir de l'eau pour venir te rejoindre ou te me laisse là toute la nuit à crever de froid ? A moins que ce soit ça l'idée ? Me bouffer ?

"-Hmmm... d'après ton odeur... la tension sanguine qui parcours tes veines et, la tension de ton corps, je ne perçois qu'une seule façon qui te serait... agréable de réparer ta faute... ♥"

Annonce t'il en, séparant finalement son pagne de son "engin", du bout de deux griffes, le présentant comme un offrande, jambes écartées et, corps cambré à souhait, cependant, il trouvait tout ça un peu trop "facile" peut être, il voulait "jouer" un peu avant, il laissa retomber son pagne qui de toute façon, ne cachait plus les formes épouvantables de son vit, et s'étira félinement pour claquer les os de son dos.

"-Que dirais tu, de jouer un peu avant ? Tu m'as l'air versée dans les arts nobles du combat à mains nues, celà pourrait même , entre nous, prendre pour lieu et place de préliminaires, qu'est ce que tu en penses ? Ah, mais pas d'utilisation de capacités spéciales, uniquement... du corps à corps ♥ tu es d'accord ?"

Il attendait ta réponse, penchant la tête d'un coté à l'autre, toujours cette foutue griffe pincée entre ses jolies lèvres souriant malicieusement, sa queue de tigre ballotant d'un coté à l'autre, aguicheur.

Ishikawa Chikako

Humain(e)

Re : Les sombres rives d'un cauchemar éveillé... [pv ichikako ]

Réponse 5 vendredi 03 juin 2011, 02:38:26

La petite démonstration de Khaléo sur ce pauvre arbre innocent amusa follement la combattante. Sa façon d'utiliser son ki était pour le moins étrange et néanmoins impressionnante. Elle avait d'ailleurs envie de lui sortir la célèbre vanne du "Bien joué, mais un arbre ne rends jamais les coups". Il prit alors la parole, revenant brièvement sur ce qu'elle ressentait en le voyant.

-- Ah... C'était donc ça ? hmmm ? Qui fait s'accélérer ton pouls, les battements de ton coeur et, monter un peu la chaleur de ton corps ?

En guise de réponse, elle se mit à rougir de plus belle.

*Perspicace l'homme-tigre...*

Pensa-t-elle, observant le pagne déformé par l'imposante masse de chair qui se balançait de gauche à droite, alors qu'il s'avançait vers elle, pendant qu'elle lui disait pourquoi elle était là et le fait qu'elle voulait juste contourner la grotte. Il s'arrêta, au bord de l'eau, la toisant en croisant les bras. Sa bosse grandissait sur pagne.

*Oh la la ! L'engin !*

Se dit-elle en elle-même, n'ayant pas encore vue la bête au garde à vous, mais cela l'excitait encore plus. Chikako avait terriblement chaud, et elle se sentait toute drôle, comme si de petits papillons tout minuscules voletaient en nuée dans ses entrailles. L'homme animal dévoila brièvement son sexe en soulevant son pagne quelques dizaines de secondes, tout en parlant.

-- Hmmm... d'après ton odeur... la tension sanguine qui parcours tes veines et, la tension de ton corps, je ne perçois qu'une seule façon qui te serait... agréable de réparer ta faute... Que dirais tu, de jouer un peu avant ? Tu m'as l'air versée dans les arts nobles du combat à mains nues, celà pourrait même , entre nous, prendre pour lieu et place de préliminaires, qu'est ce que tu en penses ? Ah, mais pas d'utilisation de capacités spéciales, uniquement... du corps à corps. Tu es d'accord ?

Chikako se mit à transpirer abondamment : il était en train de lui proposer la botte, là !?
Elle ne l'avait encore jamais fait avec un homme, ayant juste offert sa virginité à un vulgaire concombre. Elle n'était plus vierge mais n'avait connue intimement que des femmes. Les hommes avaient un don pour la faire se sentir comme la petite grosse qu'elle fut étant enfant. Elle se sentait faible comme une fillette face aux mâles et détestait cela. Elle se sentait supérieure au commun des mortels, depuis que Gouki, son sensei, lui avait apprit à maitriser le Hado. Il fallait que cela change !! Oui, elle voulait devenir la plus puissante des combattantes et mettre le monde à ses pieds. Se focalisant sur l'idée d'un combat imminent, elle serra les poings et contracta ses muscles, chassant toute idée sexuelle de sa tête.

-- D'accord, beau gosse ! Mais ne retiens pas tes coups, car je ne le ferai pas ! Hé hé !

C'est avec un sourire sadique qu'elle sortit de l'eau et toisa le mâle du regard.

-- Mais je vais avoir du mal à combattre efficacement avec ces vêtements mouillés...

Déclara-t-elle, se déshabillant, lentement.

-- Que dirai tu de lutter nus ? Par contre, je veux que ça se passe dans un endroit avec plus de place. L'intérieur de ta grotte, il est comment ?

Sans même attendre la réponse, elle commença à s'y engouffrer, insolente qu'elle était.
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei

Khaléo

Terranide

Rien qu'à l'énonciation de cette idée de combat, je la sentit et la vit perler de sueur sur son anatomie entière, mon regard se posa sur une perle qui, coula le long de son front, pour rouler dans le creux de son arcade sourcilière droite, prolonger sa course en glissant le long de l'arrête de ton nez pour finir par esquiver ta bouche et perler au bout de ton menton, l'index de la créature se planta sous celui ci, à quelques centimètres pour réceptionner cette goutte, qu'il goûta du bout de ses lèvres, analysant le degré de salinité et de tout un tas d'autres saveurs provenant de celle ci, mais surtout, son degré d'épuration de toutes saveurs qui seraient trop prononcées résultant d'une alimentation chargée, mais par bonheur c'était loin d'être le cas.

"-régime alimentaire strict... tu prends... ton entrainement avec un certain sérieux, un sérieux obsessionnel, étant donné que ta sueur a presque le goût de l'eau, pratiquement aucune toxines là dedans, ton corps est sain et bien purgé... Je suis... impressionné."

De toute façon, il disait toujours ce qu'il pense de la façon dont il le perçoit, et c'était ce qu'il percevait à partir d'une simple goutte de sueur, ses papilles à lui n'étaient en rien crâmées, détruites, par les quantités astronomiques de sel industriel qu'on insérait a foison dans les aliments "humains" pour que ça leur paraisse "bon" et qu'ils s'en bâfrent, oh oui normalement il avait plus d'une raison d'être misanthrope, ça ne veut pas dire que s'il est confronté avec des individus qui vaille la peine qu'on y réfléchisse à deux fois, il n'ira pas voir plus loin, bien au contraire, il s'intéressait toujours aux petites exceptions, aux gens "différents", ceux là avaient "quelque chose" qui éveillait sa curiosité et parfois son admiration.

-- D'accord, beau gosse ! Mais ne retiens pas tes coups, car je ne le ferai pas ! Hé hé !

-- Mais je vais avoir du mal à combattre efficacement avec ces vêtements mouillés...

Il ne rata pas une miette de la façon lente avec laquelle tu fit glisser ta tenue par terre, un regard malicieux déjà empli d'une certaine lubricité brillant dans son regard, sa "trique" se dressant toute seule en pulsant à quatre ou cinq reprises, ah ça, il était bien plus bestial et impulsif dans son univers qu'il ne l'était en ville où, comme s'il était sur le territoire bien acquis d'une autre entité, il respectait les règles de civisme inculquées par la société, enfin, le strict minimum...

-- Que dirai tu de lutter nus ? Par contre, je veux que ça se passe dans un endroit avec plus de place. L'intérieur de ta grotte, il est comment ?

"-Je ne..."

Eut il le temps seulement de lui parler ? Non... sinon sa phrase se serait terminée par "...suis pas sûr que ce soit une bonne idée étant donné le nombre important de pièces de "musée" entreposées là dedans, mais, de part et d'autres des colonnes centrales il y avait beaucoup d'espace pour s'amuser, il se précipita derrière toi à travers les galleries labyrinthiques et te rattrapa.

"-Attends, tu vas te perdre il fait complétement noir là dedans et il existe tout un tas de ramiffications, de séparations qui mènent à des vieux puits profonds de plusieurs centaines de mètres, je t'assures, faut pas faire n'importe quoi ici."

Il te frôla, parce que d'une la galerie était serrée, et de deux, parce que c'était pas si désagréable que ça de sentir ta peau contre ses cuisses et ses hanches lorsqu'il te dépasse, par ce biais évaluant un peu trop brièvement la puissance que possèdent tes hanches, autant d'information et d'analyses qu'il tente d'effectuer sur de simples touchettes qui, peuvent passer pour un accident ou un glissement de son fin duvet sur ta peau pour passer, comme ici, devant toi et te montrer le chemin, il prend ta main, dans la sienne et te guide pour ne pas que tu t'égares dans l'une ou l'autre galerie adjacente.

"-Par ici..."

Ta main est bien serrée et accueillie dans cette grande paluche qu'il possède, après pas loin de quatre minutes de marche, nous nous retrouveront face à un soi disant cul de sac, qu'il tâte de ses mains, ses griffes raclent la surface d'une énorme pierre remplies d'inscriptions étranges, de voeux d'anciens mineurs, qu'ils soient nains ou humains, leurs espoirs d'une vie meilleure, ou tout simplement du récit de leur journée dans la mine, d'anecdote concernant la gallerie 3-B-56 où deux hommes auraient disparus suite à un rugissement provenant d'un de ces puits naturels formés par l'érosion, ou encore, des récits sur les fantômes d'anciens démons emprisonnés à même les parois de la mine pour le restant de leurs jours, qui, hanteraient encore de leur souffre et leurs gazs inflammables, certaines partie de la mine ou il est fréquent de constater des coups de grisou, qui, parfois s'enflamment, parfois restent à l'état de gaz jusqu'a la prochaine sortie ou jusqu'a la surface, un beau piège mortel qui avait déjà du couter la vie à de nombreux mineurs, soit, la pierre était joliment décorée de toutes parts par ces nombreuses pensées, délires, dessins, histoires qu'elles soient de vie ou légende, tous gravés dedans.

Ses mains tâtent alors le mécanisme secret de la porte, des leviers bougent, des "clac" et "cloc" se font entendre dans le mur, signe que quelque chose se libère ou bouge, on entends du sable s'écouler, du sable qui, était en grande quantité dans un balaste se vide dans un second, des poids, contrepoids, des rouages dentés, se mettent en mouvement et bientôt la porte grince et se plaint de devoir effectuer son lourd et éternel travail, de la poussière et des gravats tombent du plafond, je pose ma main au dessus de la ligne des yeux d'ichikako, contre son front.

"-Pardonnes moi si je prends cette précaution c'est qu'il ne serait pas très fair play que tu débutes un combat avec de la poussière dans les yeux.."

Bon ! enfin la porte s'ouvres elle roules, massive et bruyante, plusieurs centaines de tonnes disposée sur des grosses rails ressemblant à ce qui se fait de plus lourd en matière de chemin de fer, la lumière s'engoufre dans notre galerie en projetant très loin nos ombres derrière nous, pour nous aveugler quelques secondes avant que tu puisses être le témoin privilégié de l'architecture unique de l'endroit qu'il considères lui même comme l'une des merveilles cachées de ce monde, sa tanière, dont cette partie, là, cet ancien grand dortoir à été taillé à même la roche par des centaines de mineurs aguéris, experts de leurs mains, ayant laissé les cristaux, éclats de roche de tous métaux, pierres précieuses incrustées dans ces dernières, former une fresque d'éclats obsidiens, jades, émeraudes, rubis, spinelles, mithril, orichalque et, encore plus rare, de métal de tallum aux reflets huileux comme une nape de pétrole, le tout laissé à l'état naturel, si mur devait se faire et être taillé ils sont passés à coté de ces pierres en délimitant bien leurs formes sans les tailler, pour qu'elles restent là, dans la pureté de leurs formes nettoyées et à l'état le plus naturel possible.

ça reflettait la lumière dans tous les sens, ainsi un brasero voyait son potentiel luminescent multiplié par dix, quand les pierres précieuses effectuaient leur savant jeu de reflets les unes dans les autres, se prismaient entre elles, croisées, reflettant sur le plafond ou les parois de la mine, elles dessinaient des fresques de grandes épopées ou de champ de bataille ou couleurs et couleurs obscures de la roche s'affrontaient, dans un coin de la pièce un orgue, avait été construit à même une dizaine de grosse stalagmites s'élevant dans les airs, ils avaient du avoir cette idée quand ils se rendirent compte que ces stalagmites étaient creuses, que l'air produisait du son lorsqu'il s'y engouffrait, du coup, ils ont installé un orgue fonctionnel avec pour base sonore les cavités de ces stalagmites, qui produisaient un son d'une exceptionnelle qualité.

De ci, de là, et surtout aux coins de cette immense salle, de nombreuses pièces d'armure, ça ressemblait à la collection d'un gros maniaque de jeu de rôle s'achetant des figurines, peut être, mais bon en l'état, il collectionnait des armures et armes de taille réelle, foutrement usées par le temps trouées, parfois complétement foutues, par simple nostalgie, car oui, la plupart furent portées certaines créées par ses soins, d'autres, provenant directement des champs de bataille, ramenant en trophée un casque, une épée, un bouclier ou, même l'armure complète parfois, si elle était assez "classe" à ses yeux, du moins pour l'époque, d'un chef, d'une figure, d'un général d'armée opposé, trophée de mercenariat.

Donc dans un coin, c'était la partie armurerie, allant de la simple côte de maille, aux harnois antiques, des loricae segmentata aux armures d'acier plein, puis articulées, et de mieux en mieux articulées en épousant les parties du corps, suivant une évolution presque périodique sur la ligne du temps dans l'expertise de plus en plus pointilleuse et précise des connaissances du corps humain et de son équilibre, et ce fut détestable pour lui lorsque cette période bénie fut, sur terre du moins, interrompue nette par l'évolution et la création des armes à feu, il était devenu inutile de porter l'armure sur un champ de bataille même si, lui, il continuait, pendant un long moment à en porter, qu'il ait l'air démodé, ou complétement hors de son époque, refusant longtemps de porter des tuniques napoléoniennes, des parkas, mince alors, l'humanité abandonnait l'armure, j'y croyait pas... tout le monde se battait, je dirai, maintenant quasi a poil attendant de se prendre une balle dans le buffet d'un coté à l'autre d'un terrain, bien qu'il y ait pas mal de stratégies à mettre en place avec de telles armes et , qu'elles fussent nombreuses et intéressantes, j'me sentai, en tout cas sur terre, complétement dépassé par l'époque et, cette "distance" , cette distance ne menait plus à rien pour moi, non seulement tu ne voyait plus sur qui tu tappait dessus mais entre guerriers il n'y avait plus, cette possibilité de duel, d'affrontement singulier, d'empathie aussi, lorsqu'un type s'est bien battu et, qu'au lieu de l'achever parce qu'il t'a impressionné tu le laisses vivre en faisant semblant de le tuer en plantant ton épée à coté d'lui dans le sol, ben ouep ça arrives hein, puis y a aussi de trop jeunes mecs qui demandent grâce sur le champ de bataille, si jeunes qu'ils ont l'air de rien avoir à foutre là, eh ben quand t'as un peu d'coeur tu fais là aussi semblant de l'achever en le tirant dans un coin pour qu'ensuite tu lui mette un bon coup d'pied et qu'il n'y revienne plus.

Soit je m'épanches encore sur ma vie, là, ça commence à devenir aussi ennuyeux qu'un vieux aigri qui ressasse, où on en était déjà...

Khaléo pose ses mains sur ses hanches, pas peu fier des larges colonnes en style gothique qui remontent jusqu'au plafond, il a du restaurer une bonne partie de l'édifice qui se cassait la gueule mais aujourd'hui, justement, ça en avait d'la gueule, et ça faisait aussi, entre les quatres piliers principaux, une splendide et large aire de combat, il se précipite d'ailleurs pour écarter un peu les braseros, qui, dans leurs mouvements font bouger les rayons de lumière qui dessinnent d'autres formes sur les murs, on s'croirait dans un putain d'concert de jean michel jarre, en lieu et place de lazers, des fresques dignes des plus beaux vitraux d'église se baladaient, chevauchaient les murs.

On y était ! le mercenaire se détends les poignets l'un après l'autre, sautille sur place d'un pied à l'autre, sa queue de tigre fouette le sol à plusieurs reprises, il se claque les mains sur les joues comme pour se réveiller et puis se met en garde, une garde pieds en "T" légèrement écartés, talon arrière légèrement surélevé du sol pour que la jambe parte facilement et rapidement, ses mains en garde stricte devant lui, coudes bien ressérrés vers l'intérieur du corps, ses gros doigts écartés crispés d'une tention qui les fait trembler, le corps un rien penché vers l'arrière, il ne bouge plus, l'une de ses mains se tord sur son poignet et la fin de ses doigts t'invitent, de trois ou quatres mouvements répétés, provocateurs, à venir le chercher.

"-On va voir si t'as plus de gueule que d'couilles..."

Oui, il avait dit ça a une femme, il avait pas peur d'utiliser le même genre de termes qu'il utiliserait avec un homme dans le même genre de situation, après tout elle ne voulait pas qu'il la considères autrement et, de façon inégale par rapport à lui, pas vrai ?


Ishikawa Chikako

Humain(e)

-- Régime alimentaire strict... tu prends... ton entrainement avec un certain sérieux, un sérieux obsessionnel, étant donné que ta sueur a presque le goût de l'eau, pratiquement aucune toxines là dedans, ton corps est sain et bien purgé... Je suis... impressionné.

En marchant dans la grotte, elle repensait à ces paroles que lui avait dit l'homme-tigre, après avoir gouté une perle de sa sueur... Cela l'avait fait sourire sur le coup, mais elle commençait à le trouver vraiment étrange. Enfin... Sans l'était-elle autant de son point de vue à lui ? Qui sait ?

Il la rattrapa alors, la mettant en garde.

-- Attends, tu vas te perdre il fait complétement noir là dedans et il existe tout un tas de ramifications, de séparations qui mènent à des vieux puits profonds de plusieurs centaines de mètres, je t'assures, faut pas faire n'importe quoi ici.
-- Okay...


Répondit-elle simplement, alors qu'il la frôlait. Sentir le membre en érection contre ses fesses quand il la dépassa la mit dans tout ses états. Mais elle se ressaisit bien vite, se focalisant sur le combat à venir... Khaléo prit alors la main de Chikako, et la guida comme un père guide sa petite fille parmi une foule pour ne pas la perdre. Cette pensée perverse la fit sourire et elle remercia mentalement ses anciens partenaires masculins pour lui avoir involontairement apprit à se contenir un minimum dans telle situation...

-- Par ici...
-- Je te suis, t'inquiètes.


Une fois arrivés dans un "cul de sac" qui semblait ne pas vraiment en être un, il actionna une sorte de mécanisme antique qui provoqua divers bruits bizarres. Une porte devait probablement être en train de s'ouvrir, dans un gros nuage de poussière que le zooanthrope tigré empêcha de lui irriter les yeux en posant une main sur son front à la manière des amérindiens pour scruter l'horizon.


-- Pardonnes moi si je prends cette précaution c'est qu'il ne serait pas très fair play que tu débutes un combat avec de la poussière dans les yeux...
-- Mais c'est tout à ton honneur, mon chou...


Répondit la lutteuse en souriant d'un air provocateur. Finalement, pour un homme-tigre défroqué vivant à moitié à poil dans une forêt Terranide, il était plutôt distingué et galant, si tant est que l'ion pouvait assimiler ce geste à de la galanterie. Soudain une vive lumière l'aveugla et il lui fallut bien du temps avant que ses yeux ne s'habituent à une telle luminosité. Elle en comprit alors la raison : de nombreuses pierres précieuses se trouvaient incrustées dans les parois rocheuses, signe qu'il s'agissait là d'un gisement abandonné mais non exploité jusqu'à épuisement. La lumière qu'elles offraient avait un petit l'on ne sait quoi de magique, mystique... La lutteuse s'émerveilla de manière assez sonore.

-- Whoa !! Ce que c'est beau !!

Chikako étant tant ébahie par ces pierres brillantes qu'elle ne vit pas de suite la collection d'armures de Khaléo. D'ailleurs, cela ne la passionnait pas tant que ça, contrairement à toutes ces pierres brillant de mille feux. Le mâle posa alors ses mains sur ses hanches, paraissant fier de l'endroit, et il avait de quoi l'être. Les quatre piliers qui délimitaient une sorte d'arène étaient un chef-oeuvre également.

-- C'est vraiment un endroit magnifique ! Tu as bien de la chance de vivre dans un lieu pareil !

Il se mit en garde et, après avoir fait une sorte d'échauffement, il l'invita d'un signe provocateur.

-- On va voir si t'as plus de gueule que d'couilles...
-- Hin !


Soupira-t-elle, en guise de défi. Elle se mit alors à courir vers lui, préparant un coup de la corde à linge, coup de catch très classique. Ce n'était toutefois qu'une feinte, puisque lorsqu'elle se trouva suffisament proche de lui, au lieu d'envoyer son avant-bras dans la gorge du mâle, elle fit un saut chassé, sautant et envoyant ses deux pieds en plein dans le torse de l'homme, tout en tournant durant le saut, prête à se réceptionner sur le côté sans se faire mal. Elle se releva aussitôt, espérant avoir le temps de se relever avant lui pour lui envoyer un coup de poing dans l'estomac.


[HRP : Essaies de faire des postes un peu plus courts pour rendre le combat plus vivant si possible ^^ Tu pourra reprendre la longueur après le fight mais pendant, j'aime quand ça bouge bien et que ce soit interactif ^^ Genre deux ou trois attaques chacun par post ça me semble nickel :-) ]
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei

Khaléo

Terranide

Re : Les sombres rives d'un cauchemar éveillé... [pv chikako ]

Réponse 8 mercredi 08 juin 2011, 09:44:59

[HRP // T'en fais pas pour les posts, là c'était une introduction d'une nouvelle zone donc normal que ça soit "touffu" XD // HRP ]

Une feinte, une... très jolie feinte d'ailleurs, ce n'était pas comme si on ne lui en avait jamais proposées de sa vie, mais par contre une feinte d'une jolie femme nue, ça... C'était peut être une première sur cinq siècles d'existence comme quoi on peut un jour où l'autre encore se laisser surprendre par les situations qu'on peut rencontrer !

La poitrine d'Ishikawa rebondissait follement au moindre de ses mouvements, et y avait de quoi "déstabiliser" n'importe quel "mec" quand même, lui, arrivait, malgré les petites rougeurs sur son visage, à garder une certaine concentration sur ses mouvements, lorsqu'elle l'eut appellé "mon chou" ça lui procura un coup de fouet, un éléctrochoc qui le fit frémir et lui donna la chair de poule, c'était si excitant... Autant cette petite pointe verbale que la perspective du combat qui se déroulait maintenant ici, chez lui ! dans son antre.

La feinte fut en partie décelée, il se prit tout de même les deux pieds d'Ishikawa dans le torse, sur une musculature étrangement "matelassée", dense, certes, mais... comment dire, c'est comme si les fibres internes, étaient à la fois bien solide hein mais, souple, très souple, avec une résilience, une mémoire de forme après impact qui, repoussait presque ses pieds hors de leur matière, dense, bien plus dense qu'une musculature "humaine".

Si dense et pourtant, si souple, si maléable, cette sensation n'avait pas grand chose à voir avec l'anatomie générale d'un humain, il lui suffira de "forcer" et contracter les muscles pour repousser les pieds de la lutteuse hors de la bombure retroussée / renfoncée de ses pectoraux qui se "tendit" à nouveau, bien qu'il ait l'air de fanfaronner une bonne partie de l'air stocké dans ses poumons avait été expulsé par la force hors de ceux ci, il hésita à utiliser sa queue de tigre pour la saisir, pas maintenant, ce n'était que le début, pas vrai ?

Lorsqu'elle tomba par terre en décallage par rapport à mon axe, et qu'elle s'éleva à nouveau pour me mettre un coup de poing dans l'estomac, j'm'étais dit, qu'un simple genoux levé accompagné de mon coude, aurait pu lui fracasser le visage façon bélier projeté contre une porte de chateau, mais pendant un autre dizième de secondes j'ai hésité, ouais, j'ai pas prolongé le mouvement, ça aurait donné quoi franchement si je lui avait pété mon genoux et mon coude dans la tête, vers le bas en opposition à sa remontée vers moi ? Elle n'avait, et j'avais pas envie de la voir y laisser des dents hein ni de lui défigurer le visage, j'me suis dit qu'il fallait que je réfrennes un peu ma façon vicieuse de me battre et au lieu de prolonger ce mouvement mon genoux retombe mais mon coude se déploie, ma pleine grosse main attrape le poing qui se dirigeait vers mon estomac.

Le pied du genoux levé précédemment, n'avait pas encore posé orteil au sol qu'il remonta vers l'estomac d'Ishikawa, oeil pour oeil, dent pour dent, et si le premier genoux ne touchait pas, il serait immédiatement remplacé en rythme par son second, son bras libre resté en garde coincée contre son corps, surtout la partie dégagée du coté de la lutteuse, il tenait bien fermement son poing dans sa grosse main mais, par décision auto arbitraire, auto impartiale, après que son deuxième genoux ce soit levé il relâcha immédiatement sa main, pour que ce bras revienne en garde serrée lui aussi, coude proche du corps et main grande ouverte face à son visage.

On n'en était pas encore aux "techniques" spéciales, pour le moment, ça ressemblait à un simple échauffement, à une analyse des réflexes et des mouvements de notre "partenaire" de jeu.

Ishikawa Chikako

Humain(e)

[HRP : Je vaiis faire des posts très courts maintenant pour avoir une certaine dynamique, mettre de la vélocité à l'action ^^ Et je vais beaucoup utiliser le conditionnel pour les paroles de Chikako. Imagine qu'elle ne parle que si l'action précédente est passée. Si tu contre et que son action ne passe pas, alors elle ne parle pas. ^^]


L'homme animal, puissant, avait encaissé sans broncher le dropkick sur son abdomen. Voilà qui était fâcheux... Mais ce qui l'était plus encore, c'était que Khaléo venait d'attraper son poing, celui qu'elle avait envoyée dans son estomac. L'homme envoya alors un coup de genou qu'elle para de son avant-bras afin de ne pas se le prendre ailleurs. Un deuxième arriva juste après. Elle parvint à l'éviter in extremis en sautant. Khaléo relâchant alors sa main, elle en profita pour lui attraper la tête "à la volée" en passant son bras droit sur la nuque, faisant un crochet de tête, ce qui était une amorce à une prise de catch très basique mais toujours efficace : le headlock takeover*.

Une fois arrivée au sol avec Khaléo sous elle, elle essaya de lui choper une jambe pour tenter une prise de soumission. Si elle pouvait attraper sa jambe droite, alors elle lâcherait sa tête et sauterai tout en gardant sa jambe sous son bras gauche pour pouvoir le retourner sur le ventre et lui faire un single leg crab**, autre prise basique. Si la prise de soumission tait passé, alors en maintenant la prise elle dirai :

-- Alors, gros malin ? Tu fais quoi maintenant ?

Car c'était son style, sur le ring, de se moquer de ses adversaires. Cela lui permettait en général d'avoir un ascendant psychologique sur elles. Insulter et rabaisser une adversaire prise par une soumission sapait sa volonté et permettait à Chikako de gagner par abandon, surtout lorsque l'étirement du muscle devenait de plus en plus insupportable.


* : http://www.youtube.com/watch?v=rUKM16AxhSw  (à partir de 0:19)
** : http://www.youtube.com/watch?v=jzl0GfpXYb8 (à partir de 0:08)
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei

Khaléo

Terranide

Re : Les sombres rives d'un cauchemar éveillé... [pv chikako ]

Réponse 10 mercredi 15 juin 2011, 16:24:20

Si sa musuclature était puissante elle n'en était pour le moins pas dépourvue d'une bien étrange souplesse en plus d'être d'une certaine "tendresse" de la fibre fine la plus éloignée du centre du "muscle" et plus ferme en revenant vers le coeur, le centre de la strie musuclaire, le Headlock takeover passa, il fut amusé de cette répartie directe, bien pensée sur le dernier mouvement qu'il venait d'entammer, peut être n'aurait il pas du relâcher ta main finalement, car il allait bientôt découvrir que son zèle de fair play allait lui coûter.

Il fut emporté au sol, repassant au dessus de toi durant le "tourniquet" obligatoire imposé par le Headlock takeover* cependant  il s'amortit à l'attérissage en induisant, une impulsion d'une force impressionnante, bien commune aux félins en train de "tomber" dans les airs lorsqu'ils se retrouvent de dos par rapport au sol, une impulsion giratoire du bassin et des épaules très vive, le retournes sur place juste avant qu'il ne touche le sol, finissant en quasi station "pompage", même si tu le serrait à la gorge, il tourna de force contre la friction de ton bras qui lui laissera une marque rouge sur la peau, et, rose donc à la surface de son très fin duvet blanc, s'étant infligé lui même une sacrée "brûlure" de la peau pendant l'acte.

Mais une fois à terre, et s'étant retourné dans les airs de cette manière avant de retomber au sol, il ne se rendit pas compte qu'il venait de te faciliter la "tâche" pour la suite de tes idées, n'ayant pas besoin de le "retourner" donc, puisqu'il est déjà sur le "ventre" enfin, pas tout à fait puisqu'il se tient encore en station pompage au moment ou tu te jettes sur sa jambe, jambe que tu trouveras étonnemment souple, ainsi que son dos, qui, viendra épouser le tiens en l'arquant souplement vers l'arrière, Khaléo ayant vécu une grande partie de son enfance en forêt à effectuer des cabrioles de contorsioniste dans les arbres, ne disposait plus des "canelures" propres aux vertèbres, laissant donc son dos aller bien loin, et les os de ses vertèbres "basses" de son dos épousèrent aussi la courbe de ton arrière train posé dessus, néanmoins... néanmoins il ressentait quand même la douleur, elle, du muscle de sa jambe prise en clef inversée, même si elle allait "loin" en arrière, te collant presque au corps, aux seins sur lesquels tu étais obligée de l'amener pour le courber si fort sous la douleur.

-- Alors, gros malin ? Tu fais quoi maintenant ?

"-Hhh... Rhââah... bien joué... je suis trop bon trop con... ça me perdra... Mais... Mais il faudra... y aller un peu plus fort que... ça si tu veux vraiment me... soumettre..."

Il planta ses griffes dans le sol, on n'était pas sur un ring, et grâce à cette accroche il tira sur ses muscles, assez, pour faire entrer sa propre force en opposition à la tienne, effectuant quelques allées, et venues fléchissant, contractant et décontractant les muscles bien galbés de ses jambes, et de ses fesses rebondies, de là où tu te trouvais tu avais une vue immanquable sur les énormes "bourses" de la créature, soulignant un joli arrière train bien tracé, assise sur une chute de rein puissante qui, en faisaient voir à tes fesses en se contractant et tremblant d'une nervosité "sportive" due à l'étirement de sa jambe.

"-GRrRrrr... Petite gaRrrce... Tu vas me lâcher... Oui ?!"

Il avait bien une ou deux idées derrière la tête, s'interdisant encore d'utiliser sa queue de tigre pour que le "combat" soit équilibré, cherchant le bon moment pour effectuer son "retournement" de situation, mais pour le moment, il se contentait de se "délecter" de ta prise, ta maîtrise, te donnant quand même pas mal de fil à retordre pour le maintenir dans cette position puisqu'il te secouait parfois comme un prunier sur son dos, façon rodéo à force de se cambrer et s'arquer, dans un sens, puis l'autre, commençant à transpirer à petites perles de sueur naissantes un peu partout sur la surface de son corps.

Ishikawa Chikako

Humain(e)

Re : Les sombres rives d'un cauchemar éveillé... [pv chikako ]

Réponse 11 mercredi 15 juin 2011, 18:05:53

La prise était passé, et le mâle résistait. Que ce combat était passionnant ! Cette sensation de mener l'adversaire par le bout du nez était grisante et excitait Chikako.. Pas dans le sens sexuel. Non. C'était plutôt son côté sadique qui était en ébullition.

-- Hhh... Rhââah... bien joué... je suis trop bon trop con... ça me perdra... Mais... Mais il faudra... y aller un peu plus fort que... ça si tu veux vraiment me... soumettre...

Râlait-il, tentant de résister à la prise. Chikako appliqua plus de pression et l'effort commençait à la faire transpirer. Elle sua du front. Sans lâcher pour autant celle de Khaléo, elle passa sa jambe gauche du même côté que ça jambe droite, pouvant ainsi avoir un oeil sur son adversaire. Elle remarqua alors en premier ses grosses gonades qui lui faisait envie. Mais bien qu'elle se mit à rougir, elle se ressaisit en appliquant encore plus de pression sur le muscle de son adversaire.

-- GRrRrrr... Petite gaRrrce... Tu vas me lâcher... Oui ?!

Il avait beau la secouer comme un arbre fruitier pour essayer de lui faire casser sa prise, elle ne lâchait pas le morceau. Elle eut alors l'idée de faire diversion. Elle dut elle-même jouer un peu les contorsionniste, mais elle approcha sa bouche de la fesse droite du mâle... et lui mordit assez fermement ! Ce faisant, elle profita de l'effet de surprise pour lâcher sa jambe et le saisir en ceinture arrière (elle l'enlaça donc en passant ses bras autour de la taille du mâle), serrant très fort son étreinte. Sa main droite tenait fermement le poignet de sa main gauche qui entra immanquablement en contact avec l'énorme gland. Son majeur de la main gauche alla caresser le méat du mâle pour tenter de lui faire perdre pieds. Chikako se mit à rire d'un air salace.

-- Hé hé hé...

Sans crier gare, elle poussa un cri de warrior et utilisa toute sa force brute pour soulever l'homme-tigre pour lui faire un Deadlift German Suplex ( http://www.youtube.com/watch?v=jOzaAFn_f7w&feature=related ).

-- Yaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

Sitôt le mâle écrasé dos au sol, elle fit un exercice d'acrobate (une sorte de salto) pour repasser par dessus lui, sans le lâcher une seule fois. Le choc de sa tête et/ou de son dos contre le sol avait du l'amocher assez pour le rendre plus docile... Arrivée debout en tenant les jambes de son adversaire comme pour une variante de tombé en pont, elle écarta légèrement les jambes, offrant son sexe à la vue du mâle. Elle ne garda alors qu'une seule jambe, lâchant l'autre pour caresser son membre velu.

-- Ce petit jeu ne m'amuse plus... Passons à autre chose...

Elle caressa sur bout du doigt l'énorme sexe, puis passa sur ses fesses. Elle se mit à mouiller légèrement, et sa cyprine s'écoula lentement le long de sa cuisse, offrant là une torture psychologique à l'homme. Elle introduisit alors son index dans l'anus béant de Khaléo pour lui procurer un peu de plaisir, et, après quelques secondes, elle se pencha pour lui en donner encore plus, mais cessa bien vite pour le mettre en manque.

-- Alors tu abandonnes ?

Demanda-t-elle, avec un ton érotique dans la voix.
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei

Khaléo

Terranide

"-Heeeey !! Mais... Aie ! "

S'exclames t'il en écarquillant grand les yeux quand elle mis à mal la peau de ses fesses avec ses dents, il releva un sourcil d'incompréhension face à cette "attaque" peu conventionnelle, et avec la surface qu'elle venait de "mâchouiller" entre ses dents on peut dire qu'elle en avait eu drôlement envie, non seulement ça mais...

"-Rhâââ... T'y es allée fort quand même ! ça va me laisser une trace..."

Elle y était allée fermement avec ses dents à croire qu'elle voulait emporter un morceau de sa fesse, hmm... c'était donc appétissant à ce point ? Elle profita de son sursaut vif et de sa surprise qui fit rebondir la surface de sa fesse contre le contour de ses lèvres pour se glisser dans un autre sens, enserrant bien fort son corps contre celui de la créature, hnn... cette morsure surprise avait eu le don d'envoyer quelques frissons de plaisir dans son corps qui se traduisirent par quelques impulsions tendant à quelques reprises sa verge, compressée par les mains possessives de la catcheuse.

-- Hé hé hé...

Jusqu'ici il s'était un peu trop laissé faire, et s'était fait surprendre par les attouchements vicieux de la combattante, GRRr... oh cette fois il riposterai avec toute sa force et son agilité, s'il pouvait encore le faire après cette prise dans laquelle il était embarquée, il se sentit soulevé, et il n'était pas léger, son adversaire ne pouvant s'empêcher de lui gueuler dans l'oreille :

-- Yaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

Sonné, et comme il n'avait pas l'habitude d'amortir ce genre de choc, n'étant sûrement pas adepte ou professionnel de ce genre de "prises" ni de catch, il n'avait pas les réflexes tels que, de se rentrer la tête avant de heurter le sol, ce qui fait qu'il prit tout sur le haut du crâne, en ayant l'impression de sentir la base de celui ci "rentrer" presque dans sa première cervicale, il fit un "white", c'est à dire, comme si les connections de son cerveau venaient d'être momentanément interrompues avec le reste de son corps, toutes les lumières étaient éteintes, il n'y voyait plus rien et n'avait aucune sensation pour quelques secondes.

pendant ce temps, son corps fut pris de spasmes inquiétants, laissant présager un traumatisme crânien, neurologique, un coup du lapin, quelque chose d'assez inquiétant pour vous mettre la panique dans le corps pour quelques secondes, s'il avait su il se serait méfié et ne lui aurait pas laissé l'opportunité de l'approcher si près, entre ses dents serrées, un peu de mousse salivique s'en échappa, avant qu'enfin, après une dizaine de secondes d'absence, ses yeux vitreux reprennent vie, il voit à nouveau, un peu "flou" ses respirations rauques et lascives sont autant de râles s'échappant difficilement de sa gorge.

-- Ce petit jeu ne m'amuse plus... Passons à autre chose...

A peine fut il sorti de ses vappes qu'elle lui offrit un autre monde de plaisir et de douleur mêlés, le tenant encore en semi prise de soumission en lui offrant de bien douces caresses sur son énorme vit, caresses qui le firent loucher alors que son corps était toujours tendu par cette force essayant de contrer la torsion de ses membres, les perles de transpiration naissantes éclatèrent les unes après les autres pour huiler la surface de sa peau, devenue luisante, huilée, laissant la lumière orange, rouge, des braséros lécher la moindre courbe de son anatomie.

Il planta ses griffes dans le sol, de nouveau, jusqu'a ce qu'elle introduise ce doigt dans son anus en y effectuant quelques allés retours, décidément elle appréciait drôlement martyriser ses globes de chair, ajoutant à sa déconfiture une certaine "honte", un certain jeu de soumission qui lui fit vibrer , frissonner, tout le corps au point de lui donner la chair de poule, un cri de surprise put être entendu lorsqu'elle pénétra son anus lisse et musculeux, pas du tout prêt à ce genre de traitement.

"-Grawr ?!"

-- Alors tu abandonnes ?

"-Il est temps de... de te donner... hmpf... une petite leçon... hahh.."

Puisqu'elle avait usé de langages corporels peu commun aux codes d'un combat loyal, il se servit finalement de sa queue de tigre, qui ira s'introduire entre ses seins, sous sa combinaison, faire le tour d'une épaule avant d'enserrer sa gorge pour une prise d'étranglement et clef d'épaule douloureuse, l'obligeant à lâcher sa jambe, ou au moins, désserer la prise effectuée dessus, ce fut à son tour en se dressant sur ses deux mains, d'enserrer le visage d'Ishikawa entre ses cuisses, remontant sur son corps pour l'étouffer, non seulement du ciseau ferme, tremblant de la galbe et la chair de ses jambes musclées contre son visage pris en étau, tirant de façon telle avec sa queue de tigre pour que son visage se retrouve "plongé" contre ses fesses et ses bourses.

"-Quelle magnifique façon d'étouffer, n'est ce pas ?"

Il resserra l'étreinte, fléchissant les genoux qui iront loger ses mollets croisés derrière sa tête, et refermer l'étau de ses fesses, ses cuisses, ses bourses contre lesquelles son nez était collé, et sa queue de tigre qui se plaisait à serrer son étreinte d'une douce caresse serpentant autour de ta gorge, comme si ça ne suffisait pas, il secouait ses hanches lentement, en petits cercles concentriques, s'amusant à forcer sur une de ses fesses, puis l'autre, qui massaient pratiquement ton visage dans cet exercice de haute voltige.

"-ça te plait ? j'ai pas fini, attends..."

De sa position quasi en poirier, il s'accrocha à ton corps en enserrant ses bras bien gainé et puissants autour de tes cuisses entrouvertes, passant sa tête entre tes jambes pour aller gratouiller du bout, délicat, de ses dents la surface de tes lèvres avant qu'il n'en vienne à embrasser, assez facilement toute la surface de ta vulve, presque "aspirée" entre ses lèvres, un ronronnement de satisfaction s'élevant dans les airs.

"-Hmmm.. te voilà bien prise, et j'adoorres ce nouveau jeu..."

Ishikawa Chikako

Humain(e)

[HRP : Chikako est nue je te rappelle ^^ Elle porte plus sa combinaison de catch :p]


-- Heeeey !! Mais... Aie ! Rhâââ... T'y es allée fort quand même ! ça va me laisser une trace...
*Et alors ?*

Se dit-elle... C'était pourtant mignon, une marque de morsure sur les fesses. Puis était tombé le Deadlift German Suplex, prise sur laquelle il se réceptionna très violemment. Il fut même KO quelques secondes, mais la lutteuse ne remarqua pas. Pas même les spasmes qu'il eut. Dans le cas contraire, elle aurait surement eu peur de l'avoir tué, car ce n'était ce qu'elle voulait. Puis le bruit des griffes se plantant dans le sol la rassurèrent.

-- Grawr ?!

Beuglala créature, alors qu'elle lui demandait s'il abandonnait.

-- Il est temps de... de te donner... hmpf... une petite leçon... hahh...
-- Du genre ?

Demanda-t-elle, insolente. C'est alors que la queue de tigre de Khaléo s'introduisit par surprise entre ses seins et s'enroula autour de sa gorge. Il commença à l'étrangler ce qui la fit lâcher sa prise de soumission. Il attrapa alors son visage entre ses cuisses.

-- Quelle magnifique façon d'étouffer, n'est ce pas ?

Dit-il, alors qu'elle avait le nez collé contre ses bourses.

-- Humpfff !!!

Vociféra Chikako, tandis qu'il resserrait son étreinte. La façon dont il se jouait d'elle la vexait au plus haut point.

-- Ca te plait ? J'ai pas fini, attends...

Elle commençait à manquer d'air, et cela lui rappelait l'expérience vécue avec Lyli la Sirène complètement secouée... Il fallait qu'elle tienne encore un peu, et qu'elle profite de la moindre faille pour s'y engouffrer. Ce qui ne serait pas facile, puisque le mâle profita de sa position pour lui faire des trucs bizarres sur son intimité. Que faisait-il ? C'était étrange comme sensation ! Puis il aspira les lèvres de Chikako.

-- Hmmm.. te voilà bien prise, et j'adoorres ce nouveau jeu..."

Perdant sa concentration, elle se laissa tomber à genoux, épuisée. Difficilement, elle parvint à parler.

-- Arrêtes, tu m'étrangle. J'étouffe...

Elle perdit de sa superbe, peu habituée à être étranglée. D'ordinaire c'était elle qui se rabaissait à ce genre d'attaques illégales sur un ring, puisque ces adversaires étaient en général de douces petites minettes toutes gentilles respectueuses des règles.
~ Ishikawa "The Bone Breaker" Chikako entrance theme ~

Tableau de chasse (vierges) : 5
Collection (esclaves) : 2
_________________________






_______________________________

Mes PJ :

1- Ishikawa Chikako / Evil Chikako
2- Darth Kaleesha
3- Hazel Rochester
4- Sandra Tomichenko (Catwoman)
5- Megumi Tengoku
6- Ginger

7- Guybrush Threepwood
8- Gérard Manvussa
9- Keepa Rendris-Warren
10- Liu Huang Lei


Répondre
Tags :