Un long grognement rauque de plaisir lorsque Liliza referma ses mains sur le sexe gonflé de maxence. Quelle excitation il avait ressenti en la voyant défaire la boucle de sa ceinture, le libérer peu à peu de chaque ganse de tissu qui l'emprisonnait, le soulagement de sa verge pouvant enfin se déployer à son aise, tressautant lorsqu'elle tira l'élastique de son boxer, son gland enflé, rouge profond venant rebondir contre son nombril, et enfin les mains chaudes de la jeune fille l'empoignant fermement... Il laissa tomber sa tête entre ses épaules, se laissa aller aux caresses de la jeune fille avec délice. Il s'appuya à moitié sur les genoux, laissant livre les mouvements de Liliza. Ses petits doigts fins, blancs comme nacre caressant longuement ses bourses durs qu'il contracta involontairement sous le plaisir.
Ses doigts, experts, dont certains n'étaient pas plus gros que cette grosse veine qui saillait sur sa queue, qu'il sentait rouler dans sa paume tandis qu'elle l'empoignait.
Il la senti l'attirer à elle, et bientôt, ses dents vinrent le mordiller, le long de la fine peau de son cou....
- Hann... Putain....
Il se mordit la lèvre inférieur sous le plaisir et son sexe enfler davantage. Il adorait ça, c'était un de ses point faible. Être mordu dans le cou par une fille désirant...
Ses mains s'activaient sur la peau pâle de liliza. Ses cuisses, qu'il caressait doucement avant de griffer de tout ses doigts, laissant des marques de sauvage sur elle... avant de venir chercher ses fesses en la soulevant un peu, et de les pétrir.
La nuisette de Liliza, il la retroussa de plus en plus, finissant par dévoiler le petit trésor entre ses cuisses. La peau fine, douce, et tout aussi pâle, avec juste un petit bourgeon rose arrogant qui pointait d'entre deux lèvres claires... Il massa doucement ce doux renflement de sa paume, brune, plissée, rude, qu'il s'efforcait de rendre tendre... Le clitoris de Liliza coincé entre deux phalanges, disparaissant presque tant elle était petite dans ses mains d'homme, il le fit rouler entre ses doigts, longuement... tandis que son autre main continuait de relever le tissu, sur ce corps fin, si fin... l'ombre douce de quelques côtes, la profonde ligne de son nombril... Liliza continuait ses caresses, se laissant faire... Il eu l'impression de déshabiller une enfant avant de la mettre au bain... AU sol, sous lui, allongée dans son lit d'herbe fraiche et sombre...
Enfin, deux petits renflements apparurent, chacun agrémenté d'un autre petit bourgeon rosé, cerné d'une pâle auréole... Elles disparaissait complètement dans ses mains... Il se redressa, parcourant le corps de Liliza d'une paume chaude, douce, et de doigts la griffant tout le long, laissant sur elle un schéma rouge...
Enfin, dans une poussée de tendresse et de désir, il se pencha et fin sucer langoureusement la pointe de ces seins. Il balaya de sa langue râpeuse, humide et chaude ce téton qui plissait sous la pression avant de reprendre sa place, toujours plus rose, toujours plus dur... Il le suça longuement, comme il avait sucé la langue de la jeune fille, le harcela de sa pointe, l'enfouissant dans sa bouche, avec le reste de ce sein naissant...
Se reculant, il vit, avec un sourire carnassier, l'auréole devenue plus foncée avec ses succions...