alors que je lui pose cette question, je vois que Naan n'est pas dans son état normal, elle transpire à grosse goute et s'appuie sur la table de travaille, comme si elle ne pouvais tenir toute seule, de plus en plus inquiète je lui demande.
Na... Naan... est ce que vous allez bien? sa... sa ne vas pas?
je me demande bien pourquoi je m'inquiète pour elle, peut être parce qu'elle veut m'aider à accomplir ma mission.
je l'entends grogner et me dévoile que depuis qu'elle ma rencontré, elle n'arrête pas d'être en chaleur et qu'elle est à chaque fois obligé de se masturber, cela expliquerait peut être la raison pour laquelle elle m'a sauté dessus à l'auberge du coucher de lune.
tout ce qu'elle ma fait serais alors de ma faute, enfin de la faute de mon corps qui sécrète ces phéromones, peut être qu'au font d'elle même Naan n'est pas aussi cruelle.
elle m'explique qu'à l'extérieur elle arrive à supporter mes phéromones mais que dans cette pièce avec cette chaleur intenable...
elle ne fini pas sa phrase et je la vois enlever ces bas, son membre qui devait être serrer comme pas possible surgit alors délivrer de sa prison de tissu, pointant vers ma direction comme un doigt accusateur, dresser, gonfler à son maximum et parcourue de veine, du liquide séminal sortant déjà du bout de son gland et ruisselant le long de sa hampe vers ces grosse bourses, le long de ces cuisses intérieur ruisselle sa mouille, une forte odeur arrive à mes narines, sa forte odeur d'excitation et de transpiration.
apeurer par son comportement je fait un pas en arrière alors que je la voie prendre sa queue dans une main et se masturber vigoureusement, je n'arrive pas à croire qu'elle se masturbe devant sont ami.
mon regard reviens sur Trek qui hume l'air ambiant de ces grosse narines tout en me regardant d'un regard fixe, le comportement de Naan n'a pas l'air de le choquer plus que sa, il faut dire que son attention est sur moi.
mon regard descend sur sa personne et je constate avec stupeur que la bosse qu'il avait il y a quelques instant à peine à doubler de volumes, son braie est tendu au maximum, j'ai l'impression qu'il vas cédé sous la pression.
nerveuse je leurs dit.
heu... qu'est ce qui vous arrive?
alors que je commence à reculer en marche arrière pour atteindre la porte et sortir de cette pièce je leurs dit.
et bien... je vais vous laissez... vous devez avoir plein de choses à vous racontez... depuis le temps...
j'atteins la porte que je sent dans mon dos et me retourne pour l'ouvrir.