Le petit chaperon rouge. [Pv : Zoé]

Il avait suffi de quelques secondes pour qu'Asran franchisse le portail séparant Terra et le monde des humains, il avait encore atterrit dans cette épaisse forêt comme d'habitude. Pour une fois, il débarquait en plein jour, quelques fins filets de lumière perçaient la cime des arbres et donnait à la forêt cette petite teinte mystérieuse qui lui allait si bien. Le fait que de nombreux portails vers Terra se trouvent dans les parages rendait l'atmosphère quelque peu étrange, comme si un bout de Terra s'était écrasé sur Terre.

Il y avait beaucoup d'odeurs différentes dont certaines lui étaient totalement inconnues, mais une seule retint son attention, plus récente et plus agréable que les autres. L'odeur d'une humaine qui ne devait pas être bien loin, en tendant bien l'oreille il était même possible pour notre chasseur d'entendre les bruits de ses pas.

Bien sur il ne lui fallu pas bien longtemps pour la rattraper, encore moins pour la dépasser, l'observer. Elle était très belle, visiblement humaine et sans défenses, ainsi une lueur sadique traversa le regard d'Asran.

Quel mal faisait il à jouer avec ses nerfs quelques temps? Il commença donc à faire du bruit dans les buissons, à faire bouger les herbes dans son sillage, histoire de faire disparaitre le sentiment de sécurité du visage de la jeune femme. Bien sur il ne comptait pas se contenter d'un si petit amusement, mais le début lui plaisait bien et le mettait en appétit pour la suite.

Finalement lassé de son petit jeu, il finit par sortir de sa cachette derrière la jeune femme, glissant dans son dos avant de l'attraper fermement, mais sans la blesser, par ses poignets. Il approcha lentement son corps du sien, jusqu'à la coller et lui susurra à l'oreille :

"Bonjour à toi, petite. Que fait une si belle et faible créature seule dans les bois? Tu n'as pas peur d'y faire de mauvaises rencontres?".

A peine eu-t-il finit de parler que sa longue langue glissa sur la joue de la jeune femme, présageant ses intentions la concernant.

Ce jour là il faisait particulièrement beau et Zoé avait eu envie de se promener dans le parc afin de profiter du soleil, respirer l'odeur des fleurs, écouter chanter les oiseaux...

Elle était vêtue, comme de coutume, de noir et de dentelles : jupe, gants qui montaient jusqu'aux bras, bas et surtout son soutien-gorge qui était la seule pièce de vêtement qu'elle portait en haut et qui contenait mal ses seins lourds et fermes. Une rose noire était fichée dans sa belle chevelure violette.

Elle s'était approchée de la forêt qui jouxtait le parc et elle allait y entrer quand elle vit un écriteau :

Forêt interdite au public

Défense d'entrer

Elle fut un peu déçue car elle aimait se promener dans les bois, surtout quand elle était seule, car elle appréciait cette étrange sensation de paix et d'isolement qu'elle trouvait dans ce genre d'endroit. Elle regarda autour d'elle : il n'y avait ni barbelés, ni clôture électrique, ni garde-chasse... Plutôt étrange en fait, car quel était l'intérêt d'interdire l'accès à un endroit s'il n'y a rien pour l'en empêcher ?

Haussant les épaules, elle entra dans la forêt, pas mécontente de transgresser un interdit car premièrement elle n'aimait pas trop qu'on lui dise ce qu'elle devait faire ou pas faire et deuxièmement c'était toujours un peu excitant de passer outre les règles.

Cela faisait maintenant une bonne demi-heure qu'elle se trouvait au sein de cet endroit et elle ne regrettait pas sa décision car les mille senteurs de la végétation agissaient sur elle comme un relaxant.

Un mouvement sur sa droite attira son attention : quelqu'un ou quelque chose avait agité les fourrés. Elle s'arrêta, se demandant ce que cela pouvait bien être. Ce devait être un gros animal en tout cas pour provoquer un tel remue-ménage. Un chien errant peut être... Zoé décida de ne pas trop s'attarder.

C'est alors qu'une paire de bras puissants et velus l'emprisonnèrent tandis qu'une odeur animale agressait ses narines. Une voix rauque, gutturale se fit entendre :

"Bonjour à toi, petite. Que fait une si belle et faible créature seule dans les bois? Tu n'as pas peur d'y faire de mauvaises rencontres?"

Elle sentait plus qu'elle ne le voyait le corps massif, immense et couvert de poils de la créature (car cela ne pouvait pas être autre chose) collé contre le sien. Une langue lécha sa joue et Zoé crut qu'elle allait défaillir... Elle était entièrement à la merci de cet être dont les intentions étaient on ne peut plus claires et elle ne voyait pas comment elle pourrait s'en sortir...

Elle eut quand même le courage de demander : Qu... qui êtes vous ?

Le loup guettait la réaction de l'humaine à son petit jeu et fut quelque peu frustré de l'effet qu'il lui faisait ... Un simple "Qui êtes vous?", alors qu'il attendait plutôt des "Non pitié, relâchez moi !!!". Elle avait peur certes mais pas assez à son goût. Il répondit donc d'un ton froid à sa question :

"Hum ... Une question bien stupide ... Tu te préoccupe tant de mon identité que tu oublie de demander ce que je compte faire de toi? A moins que tu ne t'en doute déjà? Peut être que cela ne te dérange pas? Hum, j'ai quelques doutes sur ce dernier point."

Joignant le geste à la parole, comme pour s'assurer que ce qu'il pensait était juste, il glissa son membre entre ses fesses à travers le tissu. Elle pouvait maintenant sentir cette chose dure qui ne demandait qu'à s'inviter en elle.

"Je me demande si je ne vais pas pimenter un peu notre rencontre ma jolie ... Je vais te proposer quelque chose, je vais te laisser quelques minutes d'avances sur moi et si tu parviens à sortir de la forêt avant que je ne te rattrape, j'oublierais ton existence."

Bien sur la jeune femme n'avait aucune chance de lui échapper et il le savait, mais il voulait la faire espérer, lui faire peur, avant de lui trouver une toute autre utilité. C'est pourquoi il ajouta :

"Mais si jamais je te rattrape, je te ferais regretter d'être venue au monde et tu deviendras mon jouet pour une durée ... indéterminée ... Tu as tout bien compris?"

Il lâcha alors ses poignets et lui claqua les fesses pour qu'elle s'éloigne, en se demandant si elle allait se retourner par curiosité ou fuir sans y penser. Il commençait déjà à imaginer ce qu'il pourrait bien lui réserver pour après, quels sévices il pourrait bien employer.

La seule chose dont il était vraiment sur, c'est qu'elle ne sortirait pas indemne de cette forêt.

(Excellent ton post mon gros loup)

A la question de Zoé, la créature répondit de manière un peu sèche :

"Hum ... Une question bien stupide ... Tu te préoccupe tant de mon identité que tu oublie de demander ce que je compte faire de toi? A moins que tu ne t'en doute déjà? Peut être que cela ne te dérange pas? Hum, j'ai quelques doutes sur ce dernier point."

Bien sûr que je ne me fais pas d'illusions sur ce que tu vas me faire ! pensa-t-elle, un peu mal à l'aise. Faut pas avoir fait Harvard pour comprendre que tu veux me faire subir tout un tas de cochonneries...

Elle en eut la confirmation quand elle sentit, à travers le tissu de sa culotte, le pénis du monstre, qu'il devait avoir gros.

C'est alors qu'il lui proposa une chasse à l'homme, enfin, une chasse à la femme pour être exact : il lui laisse quelques minutes d'avance et si elle réussit à quitter la forêt avant qu'il ne l'attrape, il ne lui ferait rien. Joignant le geste à la parole, il la relâcha.

Zoé se retourna et put enfin voir son agresseur et elle en eût le souffle coupé. Car voir un loup-garou dans les films ou en illustrations est une chose mais en voir un en chair et en os en était une autre : une magnifique machine à tuer de plus de 2 mètres de haut, une musculature puissante qui roulait sous une peau couverte de poils, des bras épais terminés par des griffes aiguisées comme des lames de rasoir, une gueule de loup à la dentition mortelle. Le tout supporté par des pattes postérieures impressionnantes, taillées pour la course et le saut ; une queue soyeuse se balançait de droite à gauche.
Mais c'étaient surtout les yeux qui retenaient l'attention : des yeux de prédateurs où se lisaient la malice, l'intelligence et la sauvagerie.

Malgré elle, Zoé ne put retenir un sifflement admiratif : elle trouvait que la créature était, nonobstant son aspect féroce, superbe en tout point. Sans compter que son engin était proportionnel à sa taille.

Selon la légende, les personnes atteintes de lycanthropie se transforment en loup-garou durant les nuits pleine lune mais en croiser un spécimen  en plein jour était plutôt étrange. Néanmoins, Zoé se souvint que dans le jeu de rôle Loup-Garou : L'Apocalypse, qu'elle avait pratiqué quelques années plus tôt, ces créatures étaient capables de se métamorphoser à n'importe quel moment de la journée ; il était possible que certains membres du personnel de la maison d'édition White Wolf devaient savoir bien des choses sur ces êtres...

Elle ne cherchait même pas à fuir car elle savait que le loup-garou la rattraperait en moins de temps qu'il n'en fallait pour dire "waïkiki alohah !" grâce à sa vitesse, son flair et sa connaissance du terrain. D'ailleurs, à supposer qu'elle réussisse à lui fausser compagnie, avait-elle une garantie que la créature respecte sa promesse ? Sûrement pas...
Et puis... à vrai dire, elle se sentait étrangement attirée par cette créature qui, il fallait bien l'avouer, ne manquait pas de charme. Elle avait quand même peur, certes, mais peur et excitation vont souvent de pair.

Donc, plutôt de prendre la poudre d'escampette, elle marcha d'un pas tranquille vers le loup-garou. Arrivée à sa hauteur, elle plongea sa main fine dans la fourrure épaisse de son bras gauche, éprouvant une sorte de plaisir sensuel à la toucher...

(Les tiens ne sont pas mal non plus. )

Décidément cette petite chose avait le don de l'énerver, lui qui détestait par dessus tout qu'on contrarie ses scénarios. Il avait envie quelle court en criant au loup, alors elle le ferait, peut importe ce qu'il devra lui raconter pour la convaincre.

Au fil de son raisonnement, il lui parut judicieux de bousculer un peu la demoiselle pour lui passer l'envie de le confondre avec une vulgaire peluche. Son poil était certes doux au toucher mais ses griffes l'étaient nettement moins.

D'un geste aussi rapide que précis, intimidant mais qui n'avait aucune chance de la blesser, le loup plaqua la jeune fille contre l'arbre le plus proche en lui tenant la gorge. Il prit un air irrité avant de poursuivre avec un discours qui se voulait un peu plus motivant :

"Je crois que tu n'as pas bien compris ta situation ... J'ai fais preuve d'une extrême gentillesse en te proposant une porte de sortie et ton refus m'irrite au plus haut point. Je me vois donc contraint de modifier les règles."

Le loup approcha sa tête de celle de sa victime, l'air menaçant.

"Il y a une grotte non loin d'ici et elle possède deux entrées, il y pousse des plantes qui perturbent mon odorat et le bruit du ruissellement de l'eau gêne mon ouïe. Nous seront donc à égalité, si tu parvient à m'échapper dans le labyrinthe souterrain que forme cette grotte et à en sortir, je t'épargnerais. Dans le cas contraire je te violerais et ensuite je te tuerais, puisse qu'un simple viol ne semble pas être suffisamment motivant."

Bien sur il n'avait pas l'intention de raccourcir son existence, mais il espérait que cette menace encouragerait la jeune femme à lutter de toutes ses forces. Il voulait d'une proie difficile à traquer, le plaisir de l'attraper au final n'en sera que plus fort et son corps une fois sien aura une saveur particulière.

Il prit sans ménagement la pauvre petite chose sur son épaule et l'emmena jusqu'à la dite grotte, bien sur il avait mentit. Premièrement, il n'y avait qu'une seule et unique entrée qu'il pouvait sceller en faisant rouler un énorme rocher. Et deuxièmement, il n'était pas particulièrement gêné par les plantes et le clapotis de l'eau.

Une fois arrivé il posa la jeune femme au sol et montra du doigt l'entrée de la grotte.

"N'oublie pas, si je te trouve, je te viole et une fois que je t'aurais suffisamment humiliée, je te tuerais."

Manifestement, Zoé avait dû énerver le Loup-Garou car ce dernier la plaqua contre un arbre, la tenant par la gorge. Elle ne put retenir un cri de frayeur et sentit les battements de son coeur s'accélérer.

"Il y a une grotte non loin d'ici et elle possède deux entrées, il y pousse des plantes qui perturbent mon odorat et le bruit du ruissellement de l'eau gêne mon ouïe. Nous seront donc à égalité, si tu parvient à m'échapper dans le labyrinthe souterrain que forme cette grotte et à en sortir, je t'épargnerais. Dans le cas contraire je te violerais et ensuite je te tuerais, puisse qu'un simple viol ne semble pas être suffisamment motivant."

A ces paroles, elle sentit une terreur animale la submerger et elle sentit une filet de sueur froide couler le long de son échine. Cette peur, primitive, venue du fond des âges, lui ôta toute capacité de réflexion ainsi que la parole et elle ne put qu'hocher la tête en signe d'acquiescement.

La créature la mit sur son épaule comme si elle ne pesait rien et l'emmena en quelques bonds rapides vers la grotte en question. Il la posa sur le sol et lui rappela de nouveau les règles du "jeu".

"N'oublie pas, si je te trouve, je te viole et une fois que je t'aurais suffisamment humiliée, je te tuerais."

A peine eut-il fini que Zoé courut vers l'entrée de la caverne à toute vitesse, comme si sa vie en dépendait, ce qui était vrai en un sens et pénétra à l'intérieur.

La galerie était sombre et humide et la jeune fille dut ralentir afin qu'elle n'allât pas se cogner malencontreusement contre un obstacle. La peur la rendait maladroite, nouant ses entrailles et rendant sa respiration difficile.
Elle entendit le bruit de l'eau et sut qu'elle était arrivée non loin d'une petit ruisseau souterraine. Un rocher roula sous son pied et elle glissa en poussant un petit cri de terreur ; elle tomba dans l'eau qui n'était pas très profonde, se releva toute tremblante et continua sa course désespérée à travers les ténèbres...

Asran voyait enfin de la peur dans ses yeux, l'instinct de survie de la belle s'était réveillé, pas trop tôt se disait il. Sitôt sa proie à l'intérieur, le loup scella l'entrée de la grotte afin de couper toute retraite à la jeune femme.

Il l'a suivait rapidement et silencieusement, ses yeux taillés pour l'obscurité ne perdaient rien du spectacle et il se délectait de ses instants où elle trébuchait dans le noir, complétement affolée. C'était certes un passe temps cruel, mais très divertissant.

C'est alors qu'une idée aussi perverse que diabolique lui vint à l'esprit, il se mis à courir dans sa direction dans le but de la rattraper afin de faire monter son adrénaline. Il se rua sur elle et d'un coup de griffe précis déchira ses vêtements de manière à ce quelle soit obligée de s'en séparer, faisant mine de l'avoir loupée de peu.

Le loup était aux anges, la pauvre petite devait être morte de trouille, de plus il pouvait maintenant observer ses formes dans l'obscurité pour se mettre en appétit. L'heure du festin approchait, mais il était encore un peu tôt pour abandonner les amuses-gueule.

Il l'a suivie ainsi jusqu'à ce qu'ils arrivent dans une partie de la grotte qui s'était effondrée, la végétation y avait poussé et l'endroit ressemblait à une petite clairière. Le court d'eau dans lequel la jeune fille était tombée quelques instants plus tôt y prenait d'ailleurs sa source.

Il n'y avait aucune issue possible et le loup était en face à face avec la jeune fille, avant qu'elle ne meure de peur ou fasse quelque chose de stupide le loup lui annonça :

"Rassure toi, je n'ai aucune intention de te tuer ... De plus, tu m'as bien diverti durant cette petite course, c'est l'heure de ta récompense. Comme récompense je te laisse le choix, soit tu te rebelle et je te viole brutalement, soit tu te soumet entièrement à moi et je te ferais passer une nuit inoubliable. Et cette fois-ci je ne plaisante pas."

Zoé avait pu sentir derrière elle la présence bestiale de la créature, son souffle puissant, son odeur animale. Cela ne fit que renforcer sa peur mais elle continua néanmoins à courir à travers la galerie.

A un moment donné, quelque chose l'effleura et l'instant d'après son petit soutien-gorge de cuir ainsi que sa jupe furent arrachés : le loup-garou lui avait porté un coup de griffe et il s'en était fallu de peu qu'elle se retrouvât embrochée comme un poulet.

Les seins à l'air, elle continua sa course effrénée et désespérée à travers la grotte et bientôt elle buta contre une paroi et comprit vite que c'était un cul-de-sac. Il n'y avait plus d'issue et elle était désormais à la merci du monstre !

Ce dernier d'ailleurs s'était arrêté, savourant à l'avance ce qu'il allait lui faire subir. Des larmes coulèrent le long de ses joues et elle se laissa tomber à genoux sur le sol.

Qu'il me viole mais qu'il me laisse au moins la vie sauve ! pensa-t-elle, désespérée. Elle n'avait pas pensé "plutôt mourir que de subir son étreinte !" car elle tenait à la vie plus que tout autre chose ; elle était trop jeune pour mourir et elle avait encore des tas de choses à vivre avant de quitter cette Terre !

C'est alors que la voix du loup-garou résonna dans l'obscurité de la caverne :

"Rassure toi, je n'ai aucune intention de te tuer ... De plus, tu m'as bien diverti durant cette petite course, c'est l'heure de ta récompense. Comme récompense je te laisse le choix, soit tu te rebelle et je te viole brutalement, soit tu te soumet entièrement à moi et je te ferais passer une nuit inoubliable. Et cette fois-ci je ne plaisante pas."

Elle émit un petit soupir de soulagement. Même si elle n'avait pas d'autre choix que d'offrir son corps de gré ou de force à la créature, la vie au moins lui sera épargnée. A condition bien sûr que ce ne soit pas un mensonge...

Elle s'avança néanmoins vers le lycanthrope et lui dit d'une petite voix : d'accord mais peut-on le faire dehors ?

Le lycan eu un petit sourire à la réponse de l'humaine, visiblement elle ne comprenait toujours pas ce qu'il l'attendait, il était donc temps de la dresser un peu. Il répondit donc d'une voix amusée :

"Je vois que tu ne comprends toujours pas ... Tu n'es pas en position de me demander quoi que ce soit et cet endroit est bien le seul de la grotte à ressembler à l'extérieur, alors tu patienteras un peu. Le seul droit que je t'ai accordé, c'est de décider de quelle façon j'allais te prendre, brutalement ou tendrement et c'est le seul choix que je te laisserais."

Asran lui l'attrapa par les cheveux, tirant doucement sa tête en arrière pour la forcer à se cambrer, sa main libre glissa sur son postérieur avant qu'un doigt de ce décide à aller caresser l'anus de la jeune femme.

Il s'amusa ensuite à frotter son membre contre l'entrée de l'intimité de la jeune fille, avec une lueur perverse dans le regard et reprit alors la parole :

"Alors? Tu n'as pas répondue ... Brutalement ou tendrement? Mais avant d'entendre ta réponse je t'informe aussi qu'à la vue de ton sublime corps j'ai décidé de faire de toi mon esclave personnelle. Alors fait bien ton travail et appelle moi maître dorénavant."

Il avait hâte de voir sa réaction après ce qu'il venait de lui dire, bien qu'elle soit dans une situation inconfortable, pouvant se faire embrocher à tout moment.

Il avait bien l'intention de la dresser comme il se doit, d'en faire une esclave docile et peut être même une de ses femelles à terme. En tout cas il savait déjà ce qu'il allait en faire.

C'est pourquoi son sexe glissa lentement entre ses cuisses, tandis que son doigt pénétrait son anus et que sa longue langue léchait son cou et sa poitrine. Il l'a fit reculer dans cette position jusqu'à ce qu'elle soit adossée à la parois, incapable de se dégager de son étreinte et obligée de le satisfaire.

Impuissante, voila ce qu'elle était. A moitié nue, au fond d'une grotte humide, en compagnie d'une créature de légende qui pouvait la déchiqueter d'un coup de dent ou de griffe, Zoé était dans une situation catastrophique. Elle ne pouvait même pas appeler à l'aide car personne ne l'entendrait et à supposer que ce fût le cas, le Loup-Garou n'aurait fait qu'une bouchée de celui ou celle qui serait accouru à son appel.

Elle se maudit elle-même : si seulement elle n'avait pas passé outre l'interdiction ! Mais il était trop tard pour les regrets : elle était dans le pétrin et il lui fallait trouver le moyen de s'en sortir.

Mais la situation n'était pas totalement désespérée : le lycanthrope n'avait pas l'air méchant mais voulait simplement "s'amuser" (faute d'autre mot, il fallait bien appeler ça comme ça) avec elle.

Elle tressaillit quand l'une des mains du monstre caressa son arrière-train, eut un frisson quand l'une des griffes s'enfonça légèrement dans son anus. Elle sentit également la virilité imposante de la créature effleurer sa vulve.

"Alors? Tu n'as pas répondue ... Brutalement ou tendrement? Mais avant d'entendre ta réponse je t'informe aussi qu'à la vue de ton sublime corps j'ai décidé de faire de toi mon esclave personnelle. Alors fait bien ton travail et appelle moi maître dorénavant."

Zoé décida de jouer le jeu. Pour le moment.

Allez-y tendrement maître... dit-elle d'une petite voix.

Elle préférait qu'il y allât de manière douce plutôt que violente car dans ce dernier cas de figure, il serait capable de la tuer dans le feu de l'action, sans le faire exprès ; elle se doutait bien que cette créature savait maîtriser sa force mais on ne sait jamais...

Le loup-garou enfonça lentement son membre puissant dans son intimité et Zoé poussa un petit cri de douleur et de plaisir mêlés ; son anus fut exploré plus en profondeur par le doigt griffu et la jeune fille espéra qu'il n'aille pas l'empaler par accident.
Puis elle sentit une langue chaude et humide lécher son cou et ses seins ; les pointes de ces derniers devinrent, malgré elle, durs comme des billes d'agate.

Il la plaqua contre la paroi et commença à la besogner...

Asran fut plutôt satisfait de la réponse de la jeune fille pour une fois, elle semblait avoir réalisé qu'elle ne pouvait absolument rien faire contre lui. Avec un petit sourire à cette pensée il commença à aller et venir en elle, lentement mais avec force.

A chaque coup de rein, le bassin de la jeune fille se soulevait, ondulait avec grâce tandis que le loup harcelait son intimité de puissants coups de buttoir. A chacun de ces coups, le rythme accélérait, l'énorme membre du lycan s'enfonçait plus profondément en elle et son étreinte se faisait plus sensuelle.

Son doigt avait lentement glissé dans son anus, un second l'avait ensuite rejoins et ils s'employaient maintenant à explorer l'arrière train de leur superbe victime plus en détail.

Pendant ce temps, la longue langue du loup avait délaissé la poitrine de la belle, remplacée par sa main qui n'était plus occupée à maintenir sa tête en arrière. Elle s'aventurait maintenant dans son orifice buccal, caressant tendrement la langue de la jeune fille dans un baiser passionné.

Le corps de la jeune femme attirait beaucoup Asran, il l'a désirait comme il avait rarement désiré une femme. Il fallait dire aussi qu'elle avait ce qu'il fallait où il fallait cette brave petite, c'était décidé il ne la laisserait plus jamais repartir.

Les coups de rein du loup ralentirent tout à coup, se firent beaucoup plus puissants durant quelques secondes. Et enfin, haletant, il déversa en quantité une semence chaude et collante qui s'empressa de dégouliner le long des cuisses de la jeune fille.

Il resta dans cette position avant de lui murmurer à l'oreille :

"C'était suffisamment tendre à ton goût ma belle?"

Résumons nous : je suis plaquée contre la paroi d'une grotte obscure et humide par un loup-garou qui est en train de me violer. Et le pire dans tout ça c'est que , d'une part, ce n'est même pas un rêve mais bel et bien la réalité et que d'autre part, j'y trouve du plaisir...

Le monstrueux pénis la labourait et à chaque coup de boutoir, elle ne pouvait s'empêcher de pousser un petit cri de plaisir qui résonnait dans l'air de la caverne. Au départ, elle avait eu peur qu'il la déchire avec son engin aux proportions prodigieuses mais il n'en fut rien : elle avait le vagin assez extensible et pouvait ainsi accueillir un dard d'âne s'il le fallait ; en outre, il y allait doucement et il fallait bien avouer que son étreinte, toute bestiale qu'elle était, ne manquait pas de sensualité...

Elle éprouvait une joie sensuelle à s'agripper au dos large, puissant et musclé du loup-garou, ses petites mains caressant la douce fourrure qui le recouvrait ; sa langue léchait celle du monstre qui était deux à trois fois plus grande que la sienne et leurs salives s'entremêlaient.

Putain, c'est vraiment trop bon et....

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!

Elle poussa un véritable hurlement d'extase et s'accrocha au monstre comme un noyé à une bouée, quand la semence du loup-garou se déversa en elle. Il y en avait tellement qu'elle débordait de sa chatte et tomba en un mince filet sur le sol.

Des étoiles dansèrent devant ses yeux et explosèrent dans son crâne durant de longues minutes avant qu'elle n'entende la voix de son amant (elle le dotait enfin de cette qualité) lui parvenir à ses oreilles, comme dans un rêve, lui demandant si le traitement avait été suffisamment tendre.

C'était fantaztique ! dit-elle, d'une voix rêveuse, un sourire aux lèvres.

Puis, sans plus de cérémonie, elle s'accroupit devant lui et saisit l'immense pénis qui était encore tout poisseux de sperme.

Puis-je, maître ?

Et sans attendre sa réponse, sa petite langue s'activa sur le membre viril, la hampe d'abord puis le bout ensuite, léchant la semence qu'elle avala goulument...

Le fait de voir la jeune fille prendre ainsi son pied était presque aussi jouissif que le contact physique en lui même. De plus, voir une si jolie fille se mettre dans de tels états pour si peu, voila qui augurait bien pour l'avenir.

Il fut tout même sacrément surpris de la voir s'agenouiller devant lui prendre son énorme membre en main et encore plus surpris lorsqu'elle se mis à littéralement le nettoyer avec sa langue.

Sa petite langue se faisait agile et experte, lapant la semence du loup en guise de désert et coulant un peu sur ses joues. La voir se repaitre ainsi du gluant liquide était loin de laisser le loup indifférent, de plus sentir sa langue à cet endroit était particulièrement agréable.

Asran glissa donc sa main dans les cheveux de la jeune femme, commençant à les caresser, juste histoire de lui témoigner un peu de tendresse. Après tout une femme heureuse apportait plus de bonheur qu'une vulgaire esclave se surprit il à penser.

"Je vois que tu apprécie ma présence tout à coup. Ce n'est pas plus mal, parce que je n'ai plus du tout l'intention de te laisser partir, tu m'appartiens désormais et tu risque de m'accueillir entre tes cuisses de nombreuses fois encore."

Il se mis alors à pousser tendrement sur l'arrière de sa tête pour la forcer à avaler son sexe, il poussa de plus en plus loin, jusqu'à ce qu'elle l'ai totalement en bouche.

"Il parait que le manque d'air décuple le plaisir, testons cela veux tu ma belle."

Il l'allongea sur le dos et se retourna pour avoir sa tête entre ses cuisses (en 69 quoi ^^) il se mis alors à donner de puissants coups de rein, baisant littéralement sa gorge tandis qu'elle manquait d'air.

Pendant ce temps sa langue pénétra son intimité, explorant le moindre recoin de sa caverne. Lorsque le loup sentit sa jouissance circuler à l'intérieur de son sexe, il eu une idée soudaine qu'il s'empressa de m'être en œuvre. Il releva brutalement son bassin, sortant rapidement son membre de la bouche de la jeune fille et déversant sa jouissance un peu partout sur son visage et sa poitrine.

Il se retourna pour contempler le spectacle et la vue de la jeune fille recouverte de sperme était plutôt excitante. Il sentait qu'ils allaient décidément bien s'amuser tout les deux.

[Désolé pour le retard. ^^']

Il était évident que le lycanthrope appréciait infiniment le traitement "linguistique" que Zoé appliquait à son gros pénis. Elle léchait son sperme encore chaud, savourant son petit goût particulier ; cela lui rappelait une chanson française "les sucettes à l'anis" dont les paroles étaient de Serge Gainsbourg (si elle se souvenait bien) : à première vue, les paroles étaient banales mais en fait, elles avaient un double sens des plus significatifs...

Le lupin lui caressa les cheveux puis finit par pousser son gros membre dans la bouche de Zoé qui n'attendait que ça : ses lèvres féroces s'acharnèrent sur l'organe monstrueux, produisant à chaque va-et-vient un gros bruit de succion comme si elle dégustait un gros berlingot.

Elle était tellement occupée à donner du plaisir à son compagnon qu'elle n'entendit pas les paroles qu'il venait de prononcer. Qu'importe !

Quand il l'allongea sur le dos, il dut retirer son gros joufflu qui était recouvert de salive puis il se coucha sur elle de manière à ce que sa tête soit entre ses cuisses (un bon vieux 69 de derrière les fagots !) ; il introduit de nouveau son membre dans sa petite bouche qui s'activa de nouveau ; l'instrument du loup-garou travaillait tellement au fond de sa gorge que Zoé fut suffoquée et elle sentit tout son sang affluer vers son visage : elle devait être écarlate !

Pendant ce temps, la créature léchait avec avidité le vagin de la jeune fille qui éprouva en même temps que la sensation d'étouffement un plaisir intense secouer son corps tout entier. Elle avait l'impression que des cloches sonnaient dans sa tête.

Puis il retira brusquement son pénis et éjacula une généreuse quantité de sperme sur son visage et ses seins. Elle resta un long moment, couchée sur le sol, léchant avec sa langue le pourtour de sa bouche...

Asran s'était retourné pour se coucher à côté de la lubrique jeune fille, ses doigts effleuraient son visage, récoltant au passage un peu de sperme. Il s'amusait ensuite à glisser son doigt dans la bouche gourmande de la petite humaine.

Il y en avait suffisamment pour qu'ils soient occupés un moment, le temps de la nettoyer entièrement du liquide chaud, collant et délicieux qui l'a recouvrait.

De temps en temps il s'amusait à ne pas lui donner son doigt tout de suite à sucer, l'éloignant tandis qu'elle essayait de l'attraper. C'était le genre de jeux qu'Asran aimait pratiquer avec elle.

Lorsque la dernière trace de leurs ébats fut engloutie par sa petite gourmande préférée, le loup alla se glisser dans les bras de la belle. Puis il l'embrassa passionnément, glissant sa longue langue dans sa bouche pour caresser la sienne.

Le corps entier du loup lui hurlait "Je te veux !" il se frottait lentement à elle, sensuellement, en l'a regardant droit dans les yeux, avant de prendre la parole.

"Au fait, ne te considère plus comme mon esclave, j'ai changé d'avis te concernant. Que dirais tu d'être simplement ma femelle? Je sais que je t'apprécie beaucoup et ça semble être réciproque, j'aimerais voir ce que ça peut donner plus tard."

Sans qu'il s'en rende compte, le membre du loup s'était déjà de nouveau dressé, prêt à servir encore une fois. Il n'attendait plus que les cuisses accueillantes de la jeune fille pour se soulager, néanmoins son propriétaire retint son envie de sauvagement baiser la jolie jeune fille.

"Je te laisse l'initiative du prochain round ma belle, étonne moi, fais ce que tu désire de mon corps il t'appartiens jusqu'à ce que je jouisse à nouveau."