Marine cria quand elle sentit la bouche de Bleiz reprendre possession de ses seins. Cette excitation augmentait encore la tension dans son corps. Involontairement, inconsciemment, son rythme devint encore rapide. Son corps semblait savoir ce qu’il voulait sans qu’elle en soit consciente.
Plus ses mouvements augmentaient en vitesse, plus ses gémissements devenaient forts et se transformèrent en cris. La tension, la chaleur dans son corps devenaient extrême. Un mouvement de bassin supplémentaire et la tension accumulée se libéra d’un seul coup. Elle cria avec force quand l’orgasme éclata en elle. Sans vraiment comprendre ce qui se passait, elle ressentit un plaisir indescriptible se répandre en elle. Elle se laissa aller contre le torse de Bleiz, le corps secoué de multiples spasmes, tout son corps y compris son sexe qu’elle avait sentit se contracter contre le sexe de Bleiz.
Les yeux fermés, le souffle court, le cœur battant à un rythme effréné, la jeune femme n’essayait pas de se reprendre. Elle en était incapable. Elle se laissait juste aller. Ses spasmes diminuèrent jusqu’à s’arrêter mais elle était épuisée comme jamais. Le corps et l’esprit voguant dans un monde de parfaite béatitude.