Il l'observa, la vit prête et en profita pour la matter de plus prêt son corps était tout sauf repoussant et Bleiz imagina avec un sourire ce corps bouger durant un combat...ou une autre activités. Il laissa ses pensée un instant et se concentra à nouveau sur le combat.
Il fit se désigna lui même et pointa dans leur direction. Il voulait lui faire comprendre de le suivre juste un instant après mais ne voyais pas comment. Il décida de s'approcher d'elle et, en rapprochant très prêt son visage du sien chuchota :
J'y vais en premier, vous me suivez un instant après. Je vous laisse les deux premier et je m'occupe du reste.
Lentement, il se mit en position, tel un sprinter pret à faire un 100m... et c'est éxactement ce qu'il fit. Il fonça vers le gnolls et couru le plus vite qu'il pouvais sans faire de bruit.
Lorsque les deux premiers s'aperçurent de sa présence, ils n'eurent pas le temps de dégainer leur armes que bleiz fut déjà sur eux. Il frappa du poing le premier au plexus afin de le tétaniser un instant, et enchaina automatiquement sur un coup de pied au jambes du second, afin de les retenir le temps que sa jolie compagne arrive.
Il fonça derechef vers les deux autres et leurs chef. Le chef semblait l'avoir reconnu car une pointe de peur se lisait dans ses yeux. Ces deux soldat dégainèrent. Le premier tenait une lance, le second une masse. Bleiz fut d'abord attaqué par le lancier, qui lui donnait des coups de pointes, tentant de le tenir à distance pendant que son compagnon le prenait de coté. Bleiz vis venir la manœuvre, et ne la laissa pas être exécutée. Après quelques esquives, Il attrapa la base du fer de lance de sa main droite, puis, abattant son bras gauche tel un marteau, il frappa la hampe de la lance, suffisamment fort pour la briser.
Se retournant, il lança la pointe au second qui lui arrivai dessus et touche le bras qui tenait la masse. Il la lâcha dans un grognement de douleur. Bleiz profita de la distraction pour en finir avec le premier. Avant qu'il ne le frappe avec la hampe de lance qu'il avait gardé, il attrapa cette dernière, collant ses mains contre celle de son adversaire. Il leva le genoux et tendis la jambe pour le frapper au parties. Le gnolls hurla et ses bras perdirent en force durant un instant, ce qui permit à Bleiz de dirige la hampe vers son autre genoux et de la briser en deux.
La voie libérée, Il fonça alors, le frappant à répétition au plexus et à l'abdomen, jusqu'à ce qu'il tombe par terre. Une fois à terre, il pris sa gueule d'une main pour la maintenir fermée, et en tenant l'arrière de sa tête de son autre main, il lui brisa la nuque.
Il se retourna et vis que le second gnoll avait repris sa masse avec son autre main. Sans perdre son calme, Bleiz dégaina une dague qu'il lança sur le seconde bras, fonça vers lui, le frappa d'un coup de pied au ventre qui le fit s'écrouler et d'un seul mouvement, ramassa la masse par terre et lui brisa le crane avec.
Il se remis face au chef qui malgré sa peur avait dégainé son impressionnante épée à deux mains. Bleiz dégaina alors son fauchon et s'avança vers lui. Il s'arretta alors et tourna la tête pour voir comment la jolie rousse s'en sortaient.