Une simple allumette aurait suffit pour embraser la pièce, tant leurs ébat était brulant de désir et de plaisir. Karl aurait voulu que ces sensations dure éternellement, que la foule d'émotion, d'hormone et de phéromone enivrante ne cesse jamais. Le gout de ses lèvres trempé de leur salive jointe, la douceur de sa langue dansant avec la sienne, l'odeur de son corps surchauffé roulant et caressant le sien à la perfection, le bruit de leur deux corps s'entrechoquant avec passion et humidité que ce soit par le désir ou l'effort, même les deux en même temps.
Le souffle du Barman s’accélérait, se faisant plus fort alors que son étreinte venait garder la belle bien contre lui, voulant la sentir tout entier prendre du plaisir, tout entière monter au nirvana avec lui. Sa main dans sa chevelure blanche stabilisait sa tête qui était malmené par ses coups de reins, les faisant bouger tout les deux dans les draps de satin trempé. Mais oui, le plaisir était devenu trop intense, alors il était temps pour lui de craquer en laissant le chant final se faire entendre, en laissant couler l'encre sur le contrat de leur union. Lorsqu'il se mit à jouir, gémissant d'une voix grave et légèrement tremblotant , il la sentit bien plus, son membre pulsant et gonflant en elle pour lui offrir le fruit de son plaisir, le faisant presque trembler d'extase. Le rythme effréné de son bassin avait totalement changé, ralentissant d'un coup, sans pouvoir le contrôlé, totalement guidé par son instinct, lui offrant de long, puissants et profonde pénetration, se calquant au rythme de ses jet pour les lui offrir à chaque fois qu'il écrasait la pointe de son membre au fond de son jardin d’éden. Puis, petit à petit, au rythme ou son orgasme se calmait, le reste de son corps en faisait de même, ses va et viens devenant de nouveau plus doux, tel des caresses, jusqu'à s’arrêter, bien plaqué contre elle, sans pression, juste, uni avec douceur et en entièreté. le souffle cours, le torse se gonflant en entier sous chaque respiration, Karl rouvrit les yeux pour admirer la demoiselle sous lui, relâchant doucement la prise de sa main droite, sans pour autant l'enlever de sa chevelure, tandis que son bras gauche la laissait se reposer correctement sur le matelas, la suivant dans cette descente.
Son cœur, pour le moment, n'était pas encore prêt à se calmer, battant encore la marche de guerre, alors qu'il admirait son visage, les émotions et l'adrénaline toujours bien présente dans son organisme. Il arborait un léger sourire, doux, plein de passion en admirant celle qui venait de lui donnait tant de plaisir, celle a qui il venait de s'offrir.