Son torse se gonfla puissamment sous ce baisé, mais surtout sous la réponse physique que Rubis lui offrait. Sentant ses bras entourer sa nuque, s'accrochant à lui en se laissant tomber contre son corps, tout en lui était en effervescence, bouillonnant, brulant et explosant d'hormone, de phéromone et d'adrénaline. Ses lèvres caressait les siennes avec douceur, passant dessus, se collant à elle, les frolants, tout cela dans un rythme sensuel et tendre, tandis que, son bras gauche remonta, venant se placer le long de son dos, la plaquant contre lui tandis que l'autre caresser toujours sa chevelure et son visage.
Il avait presque l'impression que son cœur allait lâcher, ou exploser sous cette vague de sensation, de libération de tant de tension, mais aussi de plaisir, ayant pensée à cela tant de fois, heureux au final, que ce soit dans cet endroit. Puis, doucement, sa main droite redescendit, caressant doucement son dos, ses reins, ses flancs, sur de sensuel va et viens du bout de ses doigts. Leur corps étaient collé l'un a l'autre, sentant ses formes contre lui, seulement séparé par un mince tissus qui ne l’empêchait pas de sentir pour autant la chaleur de son corps, même si tout en lui criait d'en vouloir plus, de vouloir sentir sa peau contre la sienne.
Ce désir ardent qui brulait en lui, qui l’électrisait et qui le poussait à l'embrasser presque sans s’arrêter, était légerement assouvis alors que ses jambes venait passer contre les siennes, venant à sentir sa douceur, les formes de ses cuisses et de ses mollets contre les siens, l'enlaçant tendrement de tout son corps, alors que, ses lèvres comme son corps et le reste de son être, la réclamait, réclamait plus, comme affamé, envouté et drogué par elle. Sous cette tension et après quelques minutes à se délecter de ses lipses délicieuse, il laissait sa main droit glisser le long de son débardeur, suivant la fin du tissus, caressant la peau de son ventre et de ses hanches alors qu'il s’arrêta un instant de l'embrasser, attirant son attention dans son regard en remontant d'un léger mouvement de ses doigts le dit débardeur, lui laissant lire dans ses yeux qu'il lui demandait sa permission.