Au moins, elle était consciente de merder quand elle merdait. Et pas qu’un peu. Je lui fis un sourire avant de finalement lui caresser les cheveux, l’encourageant à faire ce qu’elle devait. Et ce qu’elle devait faire, c’était montrer que mon intuition était la bonne et qu’elle se révèlerait une suceuse plus que correcte. J’étais sur qu’elle en avait l’apanage et pour ça, je comptais sur elle pour ne pas ménager ses efforts.
« Tu vas faire de ton mieux, n’est-ce pas ? » [/i]
Je lui souris, continuant mes caresses alors qu’elle montrait le bout de sa langue pour commencer à lécher et finir d’éveiller la raideur de mon sexe. Fort- heureusement, ce n’était pas quelque chose qu’elle aurait du mal à faire. Elle me donnait envie. Des envies même… alors forcément, cela aidait. D’une certaine manière, il n’y avait pas de questions à se poser sur le sujet. Elle était belle, désirable, plantureuse, évidemment que j’avais envie d’elle. D’autant qu’elle était à moi.
D’un autre côté, ne l’eut-elle pas été, j’aurai sans doute eu encore plus envie d’elle et l’aurai-je forcé, sans passer par l’étape de la fellation ceci dit. Une circoncision surprise était quelque chose de si vite arrivé… même maintenant ceci dit, raison pour laquelle, je ne lâchais pas vraiment ses cheveux. Pour tirer dessus au moindre doute.
« Voilà, c’est bien ma belle… » [/i]
Elle jouait de sa langue tout du long, comme il fallait, et je la guidais par de petits compliments, venant même sentir ses seins contre mes genoux. Elle ne se privait pas pour faire baver. Cette belle paire de loches allait clairement être un excellent terrain de jeu. En plus, elle avait la poitrine sensible, comme beaucoup.
« Quand tu n’utilises pas tes mains, croise les dans le dos, ça te cambrera un peu plus. C’est ça ou alors te masturber. » [/i]
Je regardais la jeune femme, lui souriais, et je la regardais cesser de lécher pour gober, franchement, commençant d’amples vas et viens. Je la laissais maitresse de cette situation, savourant le contact de ses muqueuses buccales. J’avais hâte de sentir mon gland enfoncer sa gorge et heurter sa luette.
« Tu ne te débrouilles pas trop mal… » [/i]
Je venais appuyer derrière sa tête pour la forcer à prendre aussi loin que possible, guettant les hauts le cœur, pour relâcher.
« Tu aimes sucer, n’est-ce pas ? Tu aimes aussi le gout du foutre sur ta langue ? Tua s une bonne tête d’avaleuse… » [/i]