Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un paiement de dette [Pv]

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Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 15 mercredi 13 mars 2024, 00:25:03

Le maître la laisse manger. C'est toujours ca de pris pour la paysanne qui ne sait pas quand l'avenir lui permettra de prendre à nouveau un repas. Elle n'avait presque rien mangé depuis sa capture la veille et bien qu'elle soit habituée à endurer les privations, ce repas lui fait l'effet d'une véritable bénédiction. Elle mange avec appétit, même si elle doit le faire avec les doigts. Et le maître assis à ses côtés la regarde. Il ne peut pas s'empêcher de commenter tout en lui caressant les cheveux, comme si elle était un animal. Ce contact non désiré la fige pendant un bref instant avant qu'elle ne prenne sur elle pour  continuer son repas comme si de rien n'était. Elle craint les réactions de l'homme si il advenait qu'elle tente d'échapper à cette caresse qui est bien davantage une marque de domination qu'un geste d'affection.

Ainsi son maître lui parle. Il la félicite d'être propre, de s'être rendue plus désirable ainsi. Et il lui ordonne surtout de se maintenir propre d'elle même, sans avoir à le lui ordonner. L'instruction fait avoir un sourire doux amer aux lèvres de Marguerite qui répond un simple.

- Oui maître.

Elle n'aura aucune difficulté à respecter cet ordre. Avoir à se maintenir propre elle plutôt que nettoyer à longueur de temps une étable puante c'est définitivement une amélioration de son quotidien. Se taire et se faire belle, elle se sent définitivement de taille pour ça ... Elle doute cependant que son oeuvre ici s'arrête à ces deux choses ...

Marguerite se remet à manger, nez baissé obstinément baissé sur l'assiette devant elle pour éviter le regard de l'homme qui la dévisage. Ce manège dure de longues secondes avant que l'homme ne décide de s'intéresser à elle de beaucoup plus près. Elle tressaille au premier contact alors que les mains de l'homme recommencent à lui imposer des caresses. Ses seins, ses hanches, ses fesses ... Il la force à écarter les cuisses, à se pencher en avant pour pouvoir l'admirer sous tous les angles imaginables, même les plus gênants. La jeune fille en rougit mais n'ose rien dire malgré sa posture résolument figée, comme si l'idée même de respirer en étant si proche du maître lui faisait peur. L'inspection semble en tout cas satisfaire l'homme qui affirme au bout du compte avoir fait une bonne affaire.

Un sourire empreint d'une vague tristesse effleure les lèvres de Marguerite qui lève un instant le regard vers lui. Le compliment a des relents doux amers pour la pauvre fille qui se retrouve privée de sa liberté. Une liberté passée à gratter la terre et manquer de mourir de faim à chaque hiver, mais une liberté tout de même ... Marguerite hésite puis hasarde d'un ton timide, comme si elle craignait d'offenser l'homme par ses paroles.

- Ne m'avez vous point eu gratuit'ment, maître ... ?  Ca n'pouvait être qu'une bonne affaire ...

Peut-être pour sanctionner l'impertinence de ce propos, l'homme assène soudain une petite claque sur sa fesse. Un geste peu douloureux mais qui la fait glapir de surprise.

L'ordre fuse. Elle repose immédiatement ce qu'elle tenait en main et se hâte d'avaler la bouchée qu'elle avait en bouche. Elle regarde en direction du maître et croise son regard sévère à cet instant. Main levée, il était déjà prêt à sanctionner la jeune femme qui heureusement s'était immédiatement executée.

Les instructions ses poursuivent et ... immédiatement la jeune femme baisse les regard alors qu'il lui intime de le servir d'une manière bien plus crue et directe. Le maître a envie. Il exige un plaisir immédiat. Quelle autre alternative Marguerite pourrait elle avoir à part docilement répondre.

- Oui maître ...

Que se passerait il si elle disait non ? Elle se ferait rosser et de toutes manières prendre de force. Malgré toute sa réticence, elle ne peut qu'admettre que tout cela est bien inutile ... Il ironise. Prétend que sa semence agrémentera son repas. Une perspective qui fait grimacer la jeune femme. Non pas qu'offrir sa bouche aux messieurs lui déplaise d'habitude, mais la chose est présentée de manière si crue et avec si peu de douceur ...

Elle réagit également quand celui-ci annonce qu'elle aurait pu boire son verre de vin.

- Je ne savais pas que j'en avais le droit. Merci maître ...

Elle écarte écuelle et gobelet de vin puis change de position. Toujours à genoux, elle fait maintenant face à l'homme et lève vers lui un regard interrogateur alors que ses mains caressantes se portent machinalement vers les cuisses de celui ci et remonte avec douceur en direction de l'entrejambe de celui-ci.

- Est-c'que vous voulez vous rasseoir, maître ? Ou rester debout d'vant moi ... ?

Avec lenteur, elle approche ses lèvres du membre encore gainé de tissu et de cuir pour déposer un baiser dessus. Un message passé à son maître ainsi qu'une marque de soumission et d'acceptation de sa tâche à venir.

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 16 mercredi 13 mars 2024, 08:31:18

La jeune femme ne ripostait pas, et elle ne se dérobait pas. C’était une bonne chose. Cela montrait qu’elle avait bien compris sa place, ici. Je regardais et guettais ses réactions. C’était une bonne chose qu’elle puisse se maitriser. Ou alors elle ne faisait pas d’efforts pour ça. Je ne m’inquiétais pas particulièrement de son envie de me faire plaisir. Parce que si ce n’était pas le cas maintenant, ça le deviendrait.
Sa remarque sur le principe de la bonne affaire me fit sourire et je lui donnais une petite tape sur les fesses, amusé par sa réaction.

« Je ne t’ai pas eue gratuitement. Tu es le prix pour solder une dette. Donc tu as une valeur monétaire réelle que j’ai estimé avant de t’embarquer.et je me rends compte que j’ai peut-être sous-estimé ta valeur. » [/i]

Je la laissais méditer ces propos. Notez que je n’avais pas l’intention de la laisser tranquille le temps qu’elle y pense, non, bien sûr. Je lui fis un sourire et je lui caressais les cheveux doucement. Elle avait de beaux cheveux, assez longs pour faire une jolie natte. J’avais toujours trouvé que les esclaves devaient porter des nattes. Une manière de les tenir, de les retenir., en outre le côté strict d’une natte venait montrer une maitrise de soi et d’emprise de son maître.

« Si je pose un gobelet par terre ce n’est pas pour que je me baisse pour le ramasser et boire. C’est ainsi que tu feras la différence. Tes repas seront posés sur le sol. Tes boissons aussi. En plus, c’est à côté de l’écuelle, donc il y a un peu de bon sens à avoir. Tu ne crois pas ? » [/i]

Je la laissais écarter son repas pour ne pas risquer de le renverser, et je la regardais se redresser un peu, prête à exécuter les ordres que je lui avais imposé. Mis je regardais ses mains venir se poser sur moi. Et je leur donnais une petite tape ferme sur celles-ci.
Je m’asseyais néanmoins.

« Tu manges avec les doigts, ne t’essuies pas les doigts sur mes vêtements. » [/i]

Assis, je me chargeais alors de délacer mes chausses et sortir mon sexe et les bourses qui lui étaient liées. Voilà, elle avait devant elle le lourd chibre partiellement raidi. Maintenant, c’était à elle de montrer ses talents. Je ne m’attendais pas à la fellation la meilleure de ma longue vie. Non. Je m’attendais à un travail e rustaude, un peu bâclé, un peu malhabile. Mais je lui laissais sa chance et au pire, je ferai en sorte qu’elle s’améliore, bon gré mal gré.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 17 mercredi 13 mars 2024, 15:39:41

C'est vrai, même si elle avait léché discrètement ses doigts avant d'oser le toucher, il n'en reste pas moins vrai que ses mains ne sont pas à la mesure de pouvoir être posés sur les beaux vêtements du maître sans d'une manière ou d'une autre risquer de les souiller. Baissant le regard après l'admonestation, la jeune femme s'excuse piteusement.

- Pardon maître.

Qu'elle ne puisse pas utiliser ses mains est vraiment un contretemps regrettable. Ni caresses, ni va et viens experts sur la hampe qui lui est offerte. Comment dans ces conditions son maître pourra t'il jauger de sa valeur ... ? Car non, l'information ne lui avais pas échappée. Le maître la considère comme précieuse. Il avoue même avoir sous estimé sa valeur semble t'il. Elle ne peut s'empêcher, malgré toute la précarité et l'incertitude de sa situation, s'en réjouir. Peut-être que si elle a tant de valeur à ses yeux la traitera t'il bien et ne lui imposera pas de tâches plus ingrates que d'avoir à coucher avec lui pour le satisfaire et à rester belle et bien disposée à son égard en permanence. Une vie dénuée de liberté mais pas de confort qui ne parait pas pire qu'une autre à bien y regarder.

Voilà pourquoi, quand elle repose ses mains sur ses cuisses nues et qu'elle se penche en avant pour utiliser sa bouche de la manière attendue, Marguerite y met du sien. Cuisses écartées pour offrir à l'homme le spectacle de son corps jeune et bien dessiné, elle offre au sexe présenté des coups de langues habiles et bien placés, destinés à sortir le membre de la semi léthargie dans laquelle il se trouve encore. La posture qu'elle doit prendre pour parvenir à ce résultat presse inévitablement sa poitrine opulente contre les jambes de l'homme. Sans chercher à échapper ni à son regard ni à son toucher, elle laisse son maître profiter du contact avec ses rondeurs, osant même imprimer un mouvement de va et viens avec celles ci s'il semblait apprécier la manœuvre.

Même sans s'aider de ses mains, ses efforts suffisent à insuffler vigueur à la hampe masculine. Quelques coups de langues plus tard, elle lève les yeux vers l'homme et satisfaite de la lueur qu'elle y voit, ouvre la bouche pour accueillir en elle le sexe dressé. Lèvres pleines refermées sur la tige, elle lève et abaisse la tête en rythme, la lubrifiant de salive depuis le gland jusqu'à la base sans que jamais ses dents ne viennent gâcher sa si dévouée prestation.
 

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 18 mercredi 13 mars 2024, 22:33:05

Au moins, elle était consciente de merder quand elle merdait. Et pas qu’un peu. Je lui fis un sourire avant de finalement lui caresser les cheveux, l’encourageant à faire ce qu’elle devait. Et ce qu’elle devait faire, c’était montrer que mon intuition était la bonne et qu’elle se révèlerait une suceuse plus que correcte. J’étais sur qu’elle en avait l’apanage et pour ça, je comptais sur elle pour ne pas ménager ses efforts.

« Tu vas faire de ton mieux, n’est-ce pas ? » [/i]

Je lui souris, continuant mes caresses alors qu’elle montrait le bout de sa langue pour commencer à lécher et finir d’éveiller la raideur de mon sexe. Fort- heureusement, ce n’était pas quelque chose qu’elle aurait du mal à faire. Elle me donnait envie. Des envies même… alors forcément, cela aidait. D’une certaine manière, il n’y avait pas de questions à se poser sur le sujet. Elle était belle, désirable, plantureuse, évidemment que j’avais envie d’elle. D’autant qu’elle était à moi.
D’un autre côté, ne l’eut-elle pas été, j’aurai sans doute eu encore plus envie d’elle et l’aurai-je forcé, sans passer par l’étape de la fellation ceci dit. Une circoncision surprise était quelque chose de si vite arrivé… même maintenant ceci dit, raison pour laquelle, je ne lâchais pas vraiment ses cheveux. Pour tirer dessus au moindre doute.

« Voilà, c’est bien ma belle… » [/i]

Elle jouait de sa langue tout du long, comme il fallait, et je la guidais par de petits compliments, venant même sentir ses seins contre mes genoux. Elle ne se privait pas pour faire baver. Cette belle paire de loches allait clairement être un excellent terrain de jeu. En plus, elle avait la poitrine sensible, comme beaucoup.

« Quand tu n’utilises pas tes mains, croise les dans le dos, ça te cambrera un peu plus. C’est ça ou alors te masturber. » [/i]

Je regardais la jeune femme, lui souriais, et je la regardais cesser de lécher pour gober, franchement, commençant d’amples vas et viens. Je la laissais maitresse de cette situation, savourant le contact de ses muqueuses buccales. J’avais hâte de sentir mon gland enfoncer sa gorge et heurter sa luette.

« Tu ne te débrouilles pas trop mal… » [/i]

Je venais appuyer derrière sa tête pour la forcer à prendre aussi loin que possible, guettant les hauts le cœur, pour relâcher.

« Tu aimes sucer, n’est-ce pas ? Tu aimes aussi le gout du foutre sur ta langue ? Tua s une bonne tête d’avaleuse… » [/i]

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 19 jeudi 14 mars 2024, 00:35:21

Marguerite s'était hâtée de hocher la tête à la question de l'homme, sans même prendre la peine de réfléchir.

- Bien sûr, maître !

La paysanne en a la ferme intention du moins ... du mieux possible sans utiliser ses mains. Une restriction frustrante mais elle n'a pas à discuter sur ce choix.

Alors que la jeune femme se met à l'oeuvre avec l'ardeur annoncée, elle reçoit de la part de son maître des caresses. Bien que le geste soit dominateur, le geste est surprenament doux et agréable pour elle.

Aiguillée à la fois par ce geste et par les commentaires appréciateurs qu'elle reçoit, Marguerite redouble d'ardeur. Elle pince ses lèvres avec davantage de force sur le membre afin de lui fournir une caresse plus délectable encore. Elle intensifie par la suite l'amplitude et la vitesse de ses mouvements. Par ce changement de rythme soudain, le stade de la douce entrée en matière était dépassée. On venait d'entrer dans le vif du sujet. Un rythme propre à faire se cabrer de plaisir un homme et pousser à la limite ceux dont l'endurance ne serait pas à la hauteur. Il allait falloir songer à faire ralentir la cadence, sous peine d'arriver à une conclusion rapide de l'affaire ...

Par chance, comme si elle même se rendait compte qu'humilier son maître en le guidant vers une fin prématurée n'était pas une bonne idée pour elle, Marguerite finit par ralentir et revenir à une prestation plus supportable. Obéissante, disciplinée, elle reçoit l'instruction de placer ses mains différemment. L'occasion pour elle de brièvement relever la tête et de demander d'un ton faussement ingénu, ses lèvres encore luisantes de salives ornées d'un beau sourire.

- Préférez vous les voir dans mon dos, maître ... ou bien ici ... ?

Des deux choix proposés, elle choisit le plus provocant. Dressée pendant un bref instant sur ses genoux, elle laisse une main caressante descendre le long de son ventre jusqu'à atteindre l'intimité désirée. Avec des gestes lents, destinés davantage au spectacle qu'à son propre plaisir, elle écarte les lèvres et fait aller et venir un doigt le long de sa fente quo cède le passage sans peine. Dans le même temps de son autre main, elle caresse les rondeurs de ses seins, amplifiant par ce geste le spectacle qu'elle offre à l'homme.

Elle ne fait durer l'interlude que le temps de la démonstration. Ne voulant pas se faire rabrouer d'avoir trop longtemps négligé son devoir, elle reprend le membre en bouche et poursuit son oeuvre avec application. Un travail méthodique qui lui attire de nouveaux compliments.

Désireux peut être de tester les limites de son acquisition, le maître finit par poser la main sur la nuque de Marguerite et la forcer à enfoncer son vit aussi loin en elle qu'elle y arriverait. Ce n'est pas un exercice facile, que celui de réprimer son instinct quand pareille intrusion s'opère. Un gargouillement vague est émis du fond de la gorge de la jeune fille alors qu'elle se fait violence pour réprimer le haut le cœur qui vient naturellement. Ses bons offices à l'Eglise lui reviennent en mémoire, quand le bon curé du village (un saint homme), donnait de lui même pour veiller à son éducation. Lui aussi appréciait beaucoup que sa houlette pastorale aille jusqu'au bout des choses, lors des génuflexions qu'il imposait aux plus dévouées de ses ouailles. Un enseignement qui s'avère aujourd'hui payant alors que la pression sur l'arrière de la tête de Marguerite se relâche et qu'elle peut reculer pour reprendre haleine, à bout de souffle et les larmes aux yeux.

- Oui maître j'adore ça.

Répond elle, le souffle court et le visage rougi alors que des filets de salive tracent de fins sillons le long de son menton et de son cou.

- J'aime aussi l'recevoir sur moi, maître. Finissez où bon vous plaira.

C'étaient de toutes manières exactement ses intentions quoi qu'il arrive, indépendamment de tout ce qu'elle aurait pu en dire.
« Modifié: jeudi 14 mars 2024, 00:41:09 par Marguerite Clairbois »

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 20 jeudi 14 mars 2024, 08:52:54

Elle avait intérêt à tout donner, et rien que pour ça, elle devait se bouger et montrer tout ce qu’elle pouvait. Je lui fis un sourire avant de finalement la regarder continuer et s’améliorer, faisant montre de ses ardeurs les plus poussées. C’était une nécessité, presque une question de survie. Je l’encourageais doucement, ma main sur son crâne, fermement. J’adorais la situation, le moment que nous passions. Elle comprenait ce que j’attendais d’elle et continuais à sucer, ralentissant parfois un peu le rythme, sans doute peu hâtive de me voir finir ce que j’avais commencé. Et pourtant…

Concernant ses mains, elle s’en amusa un peu, s’en joua, avant de choisir par elle-même, de laisser aller une main vers son bas ventre, se montrant plus proche du spectacle que de la véritable masturbation. Elle savait ce qu’elle faisait ; elle devait avoir une sacrée expérience de catin. Je regardais la jeune femme et je souriais avec douceur, gémissant doucement.

« Espèce de petite putain… » [/i]

Notez que le sourire presque doux que j’arborais laissait clairement entendre que je n’y voyais nulle insulte. Un état de fait, presque un compliment en fait, dans l’absolu… une chose était certaine, c’était que j’avais à faire à quelqu’un qui maitrisait son art. parce qu’il y avait un embryon de forme d’art. elle avait quelque chose qu’il suffirait de pousser. Je regardais la jeune femme se donner et je soupirai.

« Tu es douée… » [/i]

Elle avait les larmes aux yeux, le regard un peu rouge, le souffle haletant, la salive sur le menton. Je frissonnais et je la regardais avant de finalement venir écarter sa bouche de mon chibre pour en frotter le gland sur sa joue avec douceur. Je prenais le temps de l’admirer un peu.

« Tu vois ce que je viens de faire ? Je veux que tu refasses pareil toute seule, à répétition, jusqu’à ce que je jouisse. Et puisque tes mains semblent se complaire sur ta petite chatte, tu vas devoir te faire jouir avant que je ne jouisse. Mais interdiction de ralentir le rythme… tu t’en sens capable ? » [/i]

Je souris et je la giflais avec mon sexe sur les joues.

« Je te ferai savourer mon foutre alors. La meilleure des sauces pour adoucir le plat. Allez, exécute-toi. Et fais-moi jouir vite. Et jouis encore plus vite. N’envisage même pas de simuler. » [/i]

Je cessais mes gestes.

« Au travaille, vide-couilles. » [/i]

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 21 jeudi 14 mars 2024, 12:47:24

Les compliments et signes d'appréciation font naître un sourire empreint d'une certaine fierté sur le visage de Marguerite.

- Merci maître. Je suis "votre" petite putain.

Mais bientôt le sourire s'estompe de son visage en entendant les instructions de l'homme. Aussi plaisant soit-il de faire plaisir à un homme qui sait apprécier les efforts qu'elle fait, le fait qu'il lui demande de frôler l'asphyxie pour son bon plaisir ne provoque qu'un enthousiasme mitigé de sa part. Imaginer qu'elle puisse se concentrer sur son plaisir tout en ayant la gorge prise d'assaut lui parait bien difficile.

Mais elle n'a pas le choix. Elle répond donc.

- Je ferai comme vous commandez, maître ...

Du bout des doigts, elle essuie la salive qui coule le long de son menton et descend la main jusqu'à rejoindre sa fente qu'elle lubrifie ainsi. Elle se penche en avant de nouveau, reprend sa position pour happer de nouveau le membre dressé de son maître et reprendre l'oeuvre qu'elle avait entamée. Et alors qu'elle reprend ses va et viens, lèvres fermées autour du chibre, elle ferme les yeux. Aiguillée par l'impératif qu'elle a de provoquer son plaisir, la jeune femme invoque dans sa mémoire les images et les souvenirs les plus pervers dont elle est capable.

Elle se revoit agenouillée dans le presbytère, jeune fidèle fervente, en train de recevoir les enseignements de la part de l'homme de foi, le bon père Yves. Elle se revoit prise entre deux bardes après une représentation dans la taverne, utilisée avec rudesse par les deux hommes trop heureux de pouvoir profiter de la naïve admiration qu'elle ressentait pour eux. Elle se souvient des soldats orcs qui un jour ont visité leur village, de leurs membres énormes et de leur endurance phénoménale. Elle se souvient des mystérieux étrangers à qui elle a parfois fait les honneurs de la couche ainsi que de la bête dans les bois à qui elle s'est un jour offerte pour invoquer sa protection sur le village ... Toute une vie de débauche et de perversions cumulées qui provoquent en elle des frissons sur lesquels elle se laisse porter, alors qu'elle caresse avec une frénésie croissante le bouton de plaisir qui se cache au détour de son intimité. Elle tremble, gémit alors qu'elle se caresse, semble progresser sur la voie de son plaisir ... mais hélas la qualité son œuvre envers son maître s'en ressent.

Effrayée qu'elle est à l'idée de désobéir, la voilà qui néglige sa tâche et doit à plusieurs reprises être rappelée à l'ordre par l'homme. Elle suce, fait de son mieux, suffoque même parfois, essaye de se corriger quand elle se fait réprimander  ... mais il faut se rendre à l'évidence, la capacité de Marguerite à exceller en même temps dans les deux choses qu'on lui demande connait rapidement ses limites.

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 22 jeudi 14 mars 2024, 21:11:21

« Cela reste à voir, je risque d’avoir envie de te louer à d’autres, auquel cas tu ne seras pas juste ma petite putain. Tu pourrais être celle de beaucoup… mais tu es mon esclave. Et ça, personne ne te l’enlèvera quand je l’aurai inscrit sur ton corps, dans ta chair… » [/i]

Je lui souris, je lui caressais les cheveux tendrement alors qu’elle se branlait, dans un exercice compliqué, je n’en doutais pas. Je balayais sa manière de dire les choses d’un revers de main et j’attendais de voir ce qu’elle allait bien pouvoir me proposer comme spectacle. J’étais persuadé qu’elle pourrait monter en compétence et pas qu’un peu. Le souci, c’était qu’elle semblait avoir beaucoup de mal à faire deux choses à la fois… puisqu’alors qu’elle se masturbait, elle me négligea un peu… voilà qui était trop loin de ce que j’attendais et méritait peut-être même un petit rappel à l’ordre douloureux. Je la rappelais à l’ordre d’une pression sur sa tignasse. La deuxième fois, je recommençais. La troisième je la repoussais rudement.

« Tu me déçois. Beaucoup. » [/i]

Je soupirais et je gardais ses cheveux dans ma main et je lui donnais même une petite claque.

« Il va falloir travailler. Travailler dur pour être à la hauteur. Je te pensais meilleure suceuse… » [/i]

Je fronçais un peu les sourcils et je la regardais.

« Alors, comment vas-tu gérer cet échec ? » [/i]

Du pied, je venais donner un petit coup de pied – pas fort, hein – contre son sexe humide.

« Il faudrait peut-être que je te fasse travailler dans un bordel pour que tu sois convenable ? Rassure-moi. ; au moins, tu sais te faire troncher comme il faut ou même ça tu ne sais pas faire correctement ? » [/i]

Je levais les yeux au ciel.

« Oublie tout ça. Je t’éduquerai plus tard. Finis-moi avec tes seins et dépêches toi. Si j’estime que tu mets trop de temps tu seras punie. » [/i]

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 23 samedi 16 mars 2024, 00:47:48

Les réprimandes pleuvent devant l'incapacité de la jeune fille à atteindre le niveau exigé par le maître. Elles la meurtrissent autant que ses menaces proférées et la giffle qu'il lui assène finalement. Larmes aux yeux, elle porte la main à sa joue sans songer un seul instant à se défendre ou à protester.

- Je suis désolée, maître

Plaide t'elle en vain, dans l'espoir d'amadouer le propriétaire mécontent. Le coup qu'elle reçoit sur l'entrejambe la fait glapir et sursauter. Rouge d'humiliation, elle répond quand celui ci la menace de l'offrir à d'autres hommes.

- Je ne veux servir que vous, maître !

Est-ce son plaidoyer qui semble sincère ? Est-ce que ce sont ses larmes ? Le maître finit par lui donner une chance de se rattraper en lui ordonnant d'utiliser sa poitrine pour le faire jouir. Une instruction à laquelle Marguerite se hâte d'obtempérer, presque avec reconnaissance. Elle se jette à genoux devant lui et utilise ses mains pour emprisonner le sexe de sa voluptueuse poitrine. Elle entame avec espoir des mouvement de va et viens, facilités par la salive qui continuait de maculer le membre dressé. Elle y met de l'énergie pour satisfaire l'homme, montant et descendant son buste en rythme grâce à des impulsions données sur ses genoux. Elle s'interrompt parfois, une seconde à peine afin de lubrifier d'une nouvelle dose de salive l'écrin chaleureux dans lequel se trouve le membre raidi.

Elle œuvre tant et tant, avec une frénésie née de la crainte de la punition. Pareil traitement serait considéré comme divin par beaucoup d'hommes, mais suffira t'il à satisfaire son maître si exigeant ... ? Parviendra t'elle à l'amener suffisamment près de l'orgasme pour au moins l'adoucir un peu ?

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 24 mercredi 20 mars 2024, 21:37:13

Je levais un peu les yeux au ciel. Elle avait un petit côté incapable qui pouvait être pénible, peut-être… mais bon, je ne voyais pas de raison de me montrer plus indulgent avec elle que je ne l’aurai été avec quoi que ce soit d’autre… quant à me refuser ce que je souhaitais, c’était quand même particulièrement mal venu. Alors forcément qu’elle n’était pas particulièrement bien reçue.
Je lui saisissais le menton fermement et je la regardais dans les yeux.

« Tu feras ce qu’on te dira, pupuce… me suis-je bien fait comprendre ? » [/i]

Voilà qui était clair, et voilà que le reste allait de lui-même. Elle avait compris que ma contrariété ferait son malheur, alors elle se jeta à corps perdu dans cette branlette espagnole, jouant de ses seins sans la moindre retenue, pressant, salivant, jouant de ses mouvements de haut en bas, parfois même asynchrone dans une belle valse qui était bien plus maitrisée que l’on aurait pu croire… je venais doucement glisser mes doigts à ses cheveux humides, de nouveau, comme si le petit intermède pénible n’avait existé ni pour elle ni pour moi.

« Voilà, c’est déjà mieux. » [/i]

Je caressais ses cheveux et je soupirai, restant debout, la forçant à pas mal pousser sur les genoux pendant qu’elle s’activait à mon service.

« Brave fifille… » [/i]

Je lui donnais une petite tape douce avant de cola laisser continuer, jusqu’à finalement sentir que je ne tiendrai plus, alors, fermement, je l’écartais et je me finissais en me masturbant pour jouir en direction de son écuelle. Plusieurs longues giclées arrosèrent le reste de nourriture et certaines arrivèrent même à tomber à côté. Pas de bol.

« Ha ça fait du bien. Allers, finis ton repas ma belle. Je compte sur toi pour ne rien gaspiller. » [/i]

Je voulais voir comment elle gèrerait aussi ce qui était tombé à côté, du coup… je me rasseyais, toujours sexe à nu. Ce devait être un de ses horizons, une des raisons de son existence.

« Tu es plutôt efficace avec tes mamelles. » [/i]

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 25 jeudi 21 mars 2024, 18:33:08

Marguerite avait oeuvré avec diligence et sans oser protester. Elle avait docilement répété, de peur de s'attirer de nouveau les foudres de l'homme qui la posssède.

- J'ferai tout c'que vous m'direz, maître.


Elle avait donc branlé avec désespoir et énergie cette verge prise dans l'étau de ses chairs. Tant et tant que le moment attendu finit par arriver. Après quelques contractions annonciatrices, l'homme se détache d'elle soudain. Marguerite s'était attendue à ce qu'il choisisse de se soulager sur son corps ou dans sa bouche. Elle s'était apprêtée à ouvrir la bouche, serrer ses seins. Mais à son plus grand dépit, c'est vers le sol qu'il dirige son membre et qu'en quelques giclées, il se vide en direction de l'écuelle au sol. Elle peine à masquer la grimace de dépit qui plisse ses lèvres à ce moment là. Elle lève un regard incrédule vers son maître avant de baisser les yeux après avoir brièvement croisé le sien et écouté ses consignes.

- Oui maître ...

Souffle t'elle, comprenant ce qu'il lui demande implicitement. Celle qui était agenouillée s'approche ainsi à quatre pattes de l'écuelle avec une lenteur calculée. Pensant deviner les intentions de l'homme et son désir de profiter d'un spectacle, elle fait le tour de l'écuelle de manière à lui faire face. Il ne peut ainsi manquer la manière dont elle se penche en avant et vient recueillir du bout de la langue la semence dispersées. Le goût salé du fluide masculin ne la surprend pas, pas plus qu'elle ne la dégoute réellement ... Sa seule contrariété est qu'il ait jugé nécessaire de la rabaisser ainsi car, de son humble avis, ses seins auraient fait un bien meilleur écrin pour recevoir la blanche manne.

De plusieurs coups de langues, elle nettoie le bord de l'écuelle, ne manquant pas d'occasionnellement relever le regard vers lui, jaugeant d'un oeil incertain la réaction qu'il pourra avoir. Ce n'est qu'une fois le récipient de métal vaguement nettoyé du fluide blanchâtre qu'elle se penche ensuite sur le parquet et donne des coups de langues plus longs, plus appuyés. Mais l'exercice est plus difficile qu'on peut l'imaginer. La surface est plane, lisse. Il est difficile de laper correctement ce qu'il lui demande de nettoyer. Contrainte d'innover pour tenter de trouver des solutions, la jeune paysanne finit par coller ses lèvres sur le bois verni, elle finit par coller ses lèvres à même le bois vernis et à procéder par aspiration. Une technique plus efficace semble t'il car elle finit par s'immobiliser, agenouillée devant lui et la tête basse.

- J'ai terminé, maître

Dit elle d'une voix légèrement tremblante. Elle a le secret espoir que l'homme, à présent vidé et lassé de son jeu, ne se lasse de la tourmenter et la laisserait enfin un petit peu en paix. Le temps au moins qu'elle puisse prendre la mesure de la triste condition dans laquelle elle est tombée.
 

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 26 vendredi 22 mars 2024, 08:43:44

Elle avait donné une bonne dose de son énergie pour finir le travail, et elle s’était montrée à peu près à la hauteur. Je lui fis un sourire entendu. Je regardais la jeune femme, l’air un peu pensif, alors qu’il lui fallait maintenant finir son repas. Elle ne touchait toujours pas à son vin. Libre à elle. Tant pis pour elle, même, d’une certaine manière. Je la laissais se pencher et je la regardais alors pousser le vice plus loin. Elle ne s’ennuya même pas à utiliser ses doigts, comme elle l’avait fait peu de temps auparavant pour manger. Non. Là, elle se penchait et elle se mettait à lécher le sperme avec application. Je n’aurai su dire si elle avait envie de cela. Ou si elle le faisait par petit gourmandise.

Et une fois l’écuelle bien nettoyée, elle s’intéressa au sol. Je savais ce qu’elle faisait. Elle essayait de laper au sol, mais elle ne pouvait pas bien faire ainsi. Et je ne le lui reprochais pas. Alors, je la regardais jouer de petites inspirations pour nettoyer les traces de semence qui ornaient le parquet bien net… le bruit était peu élégant, mais je préférai qu’elle se montre plus diligente que distinguée. Quoi de plus normal. Je regardais la jeune femme avec un air approbateur.

« C’est bien… je suis content de voir que tu sais te montrer appliquée pour cela aussi. »

Elle restait au sol, à quatre pattes, consciente sans doute que c’était sa plus précieuse chance d’avoir une vie confortable.

« Bien, bien… je suppose que tu peux aller te reposer, la journée a dû être éprouvante. Il va juste falloir que je fasse poser une paillasse. Tu ne vas pas dormir par terre. Ou même dans mon lit. Je te laisserai même dormir bien au chaud près de la cheminée, si tu veux. »

Je lui fis un air tendre avant de me pencher, lui caressant les cheveux avec douceur, avant de lui baiser le front avec tendresse. Je lui chuchotais alors avec cette même tendresse que j’avais manifesté dans ce baiser sur son front.

« Je vais bien m’occuper de toi, et tu seras heureuse, dans ta nouvelle condition, dans ton nouveau foyer. Tu ne manqueras de rien. Nourriture, chaleur, vêtements… tant que tu seras obéissante. »

Puis je me redressais, et, plus amusé qu’autre chose, je lui disais.

« Tu feras tout ce que je voudrais donc ? Et si je veux que tu fasses quelque chose dont tu n’as pas envie ? Comment est-ce que ça se passera ? »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 27 dimanche 24 mars 2024, 17:47:35

C'est un soulagement qu'au moins le maître soit satisfait de sa toute dernière prestation, aussi humiliante soit elle. L'annonce pouvoir enfin prendre un peu de repos est accueilli avec un soulagement visible par la jeune esclave. Une paillasse par terre devant la cheminée, c'est aussi bien que ce qu'elle possède chez elle et elle ne va pas s'en plaindre.

- Merci maître.

Marguerite ne peut que s'en montrer reconnaissante. Même si beaucoup d'inconnues entourent encore les futures conditions de sa vie servitude, elle sait qu'elle sera au moins nourrie et logée. Les gestes de tendresse qu'Il marque à son encontre lui font relever le menton et ornent son visage d'un sourire incertain. L'affection qu'il semble lui manifester et la promesse d'une vie heureuse lui donnent un moment d'espoir, mais elles peinent à totalement faire oublier la cruauté et la volonté d'humiliation qu'il a affiché plus tôt. Elle comprend très bien que rien de ce qu'il promet ne lui sera jamais acquis et qu'elle devra en permanence redoubler d'effort pour le mériter à ses yeux.

- J'serai obéissante .. je l'ai toujours été.


Et c'est une malheureuse vérité. Elle le lui confirme quand il évoque la possibilité qu'il lui demande un jour quelque chose qui ne lui plairait pas. Elle hausse les épaules et réplique d'un ton incertain, apeurée à l'idée de paraître insolente.

- Pensez-vous qu'nos seigneurs nous d'mandaient toujours des choses que nous aimions faire, maître ... ?

Les corvées, les levées de ban, l'organisation de battues, la levée des taxes ... c'est le quotidien des serfs d'où elle vient. Sans parler des choses épouvantables qui arrivent quand une armée (quelle que soit l'obédience) passe dans la région. Elle garde le regard bas, dans une attitude soumise afin qu'il ne puisse s'imaginer qu'elle le défiait en tenant ces propos.

- J'ai bien plus peur des choses qu'vous m'demanderiez et que je ne pourrais pas faire, maître ...

Précisément comme ce qui lui a valu la cuisante giffle qui marque encore sa joue et son égo. Elle avait essayé de le contenter mais n'y était pas parvenu ...

- J'ne suis qu'une petite sotte d'la campagne ...


Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 28 mardi 02 avril 2024, 20:42:42

Elle avait une forme de sourire sur les lèvres, comme si un peu de douceur, une paillasse, de la chaleur, et une écuelle faisait son bonheur. Bien, bien. C’était une excellente chose. Je lui fis un sourire avant de lui caresser les cheveux doucement et je me contentais de cela alors qu’elle semblait montrer plus de bonne volonté que par le passé. C’était une bonne chose qu’elle soit assez docile. Non que lui meurtrir le corps de coups de fouet pour faire rentrer la notion d’obéissance dans le crane d’une esclave me dérange. Loin de là, ça pouvait même être excitant comme apprentissage à lui faire, mais je me doutais qu’avec elle, ce ne serait pas nécessaire.

« J’en suis sûr… de toute façon, si tu n’es pas obéissante, tu découvriras que je ne suis pas quelqu’un de très patient, ni prompt au pardon… »

Je lui tapotais la joue avec douceur.
Sa petite insolence quand elle mentionna les seigneurs et ce qu’ils pouvaient exiger d’elle avant. Je n’aimais pas ce petit ton et elle eut droit à un regard mauvais. Elle avait tout intérêt à changer de ton, sincèrement. Sinon, ça allait très mal se passer, en fait. Mais elle devait s’en douter, donc je doutais qu’elle recommence.

« Tu as raison d’avoir peur, parce que je ne supporte pas les bons à rien. Et ne pas savoir, ce n’est pas une raison de ne pas, au moins, essayer de toutes ses forces. Et que tu sois une petite sotte de la campagne n’est ni un frein, ni une excuse. Au contraire. Ça veut dire que tu dois accepter que, ne connaissant pas grand-chose, tu n’as aucune raison de refuser quoique ce soit. »

Je souris, et mon doigt vint doucement glisser sur ses jolies lèvres.

« Je vais te dresser comme il se doit. Tu vas souffrir mais tu vas apprendre. Je vais t’éduqur à chercher les plaisirs comme la douleur et d’en tirer parti, ma petite chérie… »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 29 lundi 08 avril 2024, 16:41:56

Les mots et les gestes du maître produisent l'effet auquel on peut s'attendre sur la pauvre Marguerite. Yeux baissés, lèvres tremblantes, elle semble horrifiée par le destin qui lui est promis et ses yeux se mouillent de larmes. C'est donc ainsi que les choses se passeront maintenant pour elle ? Elle sera condamnée à souffrir malgré son obéissance ? Elle sera punie en dépit de tous ses bons efforts ... ? Le désarroi dans lequel cette annonce est visible, en dépit des efforts qu'elle fait pour rester immobile et soumise.

Elle répète d'une voix entrecoupée d'un sanglot.

- Je serai obéissante maître ... je ne souhaite pas souffrir.

Tente t'elle de plaider, épaules voutées et yeux embués de larmes. Il est inconvenable à ses yeux que l'homme souhaite la voir souffrir sans raison. Punir sans faute, même dans la petite campagne primitive où les nobles usent et abusent de leurs privilèges sur leur roture, ca ne ferait pas de sens.
Le souffle court, elle tremble et essaye de retenir les sanglots qui menacent de l'engloutir. Ses mains, menues et délicates malgré le dur labeur aux champs , se crispent bien involontairement sur ses cuisses nues ses ongles s'enfonçant dans sa peau dans un effort désespéré pour contrôler ses tourments intérieurs.



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