Elle accepta sans broncher. Bien, c’était une bonne chose. Nue, elle passa par-dessus le rebord de la baignoire, aidée par ma main, pour finalement venir s’installer dos à moi dans l’eau, pour commencer un peu à se laver. Elle devait clairement se douter que tout ne se passerait pas simplement. Après tout, elle avait été utile les nuits précédentes, sans doute un peu bon gré mal gré. Mais je ne l’avais jamais surprise à faire montre de la moindre désobéissance. Elle me craignait suffisamment pour cela semblait-il. La crainte était une bonne option. Une manière sage de réagir devant mo, et un premier bon pas vers la reconstruction, donc.
Nue, elle barbotait légèrement et se lavait consciencieusement, mes mains, doucement, glissaient sur sa peau, nettoyant avec douceur et tendresse son dos, jusqu’à ce que, finalement, elle en vienne à tourner sa tête vers moi et me regarder, sans doute inquiète de la suite. Ah, c’était cela. Je lui souris et je lui caressais doucement les cheveux.
« Tes mains crasseuses n’auraient rien pu laver, ma belle… »
Il faudrait d’ailleurs qu’elle lave sa tignasse à l’occasion. Non qu’elle soit particulièrement plus sale que le reste, mais un peu de cheveux de soie, ça aiderait, n’est-ce pas ? Je lui fis un air doux avant de finalement remonter une main à son sein que je pressais doucement. Une bien belle possession bien propre, voilà ce qui était agréable, n’est-ce pas ? Je venais doucement taquiner la pointe du bout des doigts avant de finalement relâcher la pression et je lui disais.
« Maintenant, il est temps de me laver, ma toute belle. Mais pour cela je t’interdis de sortir ton bassin de l’eau. Et inutile de te dire que ce n’est ue le début de ce bain, n’est-ce pas ? »
Je lui caressais les cheveux doucement.
« Mets-toi au travail, et fais ça bien ou ke te fais me laver à la langue, ma belle, d’accord ? »