[Terminé] Un trajet mouvementé (PV |-| Laëlia et Nyoras Club)

Travailler de jour est tellement rare que j'ai un mal fou à gérer ce genre de cas. La faute au fait de travailler dans un milieu douteux où on agit principalement lorsque le monde de la nuit tend ses bras à toutes les crapules et autres truands. En général je fais des pieds et des mains pour éviter ce genre de mission. Sauf que voilà... ce boulot est tellement bien payé que j'aurais perdre trop de contacts en le refusant.
Dans le milieu on ne fait pas confiance à ceux qui refusent de se remplir les poches quand la situation le permet. Ça éveille les soupçons. Et dans le pire des cas, ça va jusqu'à se prendre un coup de couteau sans qu'on puisse le voir venir.

La journée a été plutôt alors calme alors que je devais assurer la sécurité, de façon incognito, d'un VIP qui participait à l'inauguration d'un parc aux abords de Seikusu. Un évènement banal composé de gens banals dans un lieu banal. Bon, okay, il y a bien quelques nanas qui ont attiré mon regard à plus d'une occasion. Malheureusement le boulot passe avant le reste.

Habillé comme à mon habitude d'un jean noir et d'une chemise blanche pour offrir un semblant de sérieux, je vois les heures défiler jusqu'à ce que la nuit tombe enfin. Signe que mon calvaire est sur le point de se terminer. C'est en tout cas ce que je m'imagine alors que le client passe une heure de plus à saluer toutes les personnes présentes qui partent chacune leur tour dans des voitures de luxe.
Autant dire que l'environnement il s'en tape complètement.

Tout naturellement je l'accompagne à sa voiture quand il me lance :
- Il y a un bus un peu plus loin qui va vous raccompagner.
- Hein ?

Effectivement, un bus se trouve bien positionné derrière des arbres. Le client profite de ma surprise pour monter dans sa bagnole qui démarre en quatrième vitesse.

- Génial...

L'envie de me barrer d'ici est si forte que je n'ai pas l'énergie de m'énerver. Surtout que ça pourrait inspecter mon salaire.
Je décide alors de me diriger vers le bus en question qui est quasiment vide. Un homme, qui a clairement trop tiré sur la bouteille, est en train de pioncer au premier rang. Sur les sièges de derrière se trouve un couple qui tourne la tête en me voyant pour éviter tout contact visuel. Puis un ado d'environ 16-17 ans est scotché sur ton portable.

Histoire d'être tranquille, je vais me foutre tout au fond dans l'un des espaces qui propose quatre sièges. Deux dans un sens et deux autres en face. Côté vitre, histoire de pouvoir m'occuper... ou m'endormir comme l'autre soulard.

J'avais passer la journée dehors avec une bande d'amis pour aller m'amuser un peu et l'alcool avait couler à flots dans la petite sauterie à laquelle nous avions été invités. Etrangement, l'alcool n'avait pas tendance à me faire beaucoup d'effet et il fallait vraiment que je me mette à boire des litres de ces breuvages pour ressentir un maigre effet de ce qu'il était censé faire. J'avais donc toujours tendance à finir la plus sobre et ce n'était pas forcément très drôle. Ducoup, pour une fois, j'avais descendue quelques bouteilles à moi toute seule pour ressentir les mêmes effets que tout le monde.

Sauf que lorsque j'avais commencer à être à peine un peu pompette, la  fête touchait à sa fin et le DJ remballait déjà son matos alors qu'il faisait nuit depuis une petite heure seulement. Dépitée, j'avais décider de ne pas m'attarder dans le coin et de rentrer pour aller me coucher. La journée de demain serait sans doute meilleure. Ayant préférer éviter de prendre le taxi pour venir, il fallait que je marche pendant des plombes pour trouver un bus qui pourrait me ramener jusqu'à chez moi.

Celui-ci est finalement caché derrière des arbres qui longent un parc. Un autre évènement, bien plus classe, semble s'être aussi terminé tout près et le véhicule devait permettre de ramener les rares individus qui n'étaient pas véhiculés, contrairement à là où je me trouvais précédemment.

Comme à mon habitude, je portais une petite tenue assez sexy composée d'un mini short qui laissait voir la naissance de mes fesses et d'un petit haut qui cachait tout juste ma poitrine. Court en bas, et court en haut, je ne faisait jamais dans la demi mesure. Sauf qu'aujourd'hui je n'étais pas parvenue à me mettre grand chose d'intéressant sous la dent contrairement à mon amie qui s'était fait raccompagner par un bad boy qui allait certainement se la faire dans tous les sens possibles.

Bref, je monte dans le bus qui est presque vide à cette heure ci et décide de me mettre à l'arrière, pensant pouvoir ruminer tranquillement sans être dérangée. Je prends place dans un carré pour 4 qui est finalement déjà occupé. Je décide de m'asseoir en face de l'homme assis du côté de la vitre  sans prendre la peine de croiser mes jambes qui restent naturellement un peu écartées, et le salue de manière polie.

- Bonsoir... ça ne dérange personne si je m'assoie ici ?

(PoV : Yor)

« Je vois pas pourquoi ça dérangerait quelqu’un… »

Ce soir, j’étais sortie me promener. Oui, ça m’arrive… surtout quand le club est fermé. Je veux dire, quel intérêt de sortir faire des rencontres alors qu’au club je me fais passer dessus à longueur de temps ? Oui c’est ça, aucun ! J’ai tourné pendant un petit moment, me demandant où aller, mais je dois bien admettre que je n’ai pas vu l’heure passer et que je me suis retrouvée à chercher un endroit ouvert alors que la plupart étaient en pleine fermeture. Oups.

Alors je me suis faites une liste des endroits où trouver des gens prêts à s’envoyer en l’air. Des parcs. Des boîtes encore ouvertes. Des coins sordides. Les transports en commun… ? Oh peut-être tiens, j’ai jamais tenté ma chance. Pourquoi c’est sur ma liste ? Parce que je vois un bus à l’arrêt là, et qu’une fille s’y dirige… et elle a un cul superbe ! Alors je grimpe dans le bus à sa suite, souriant au chauffeur en le voyant la mater… puis me mater. Bon déjà y’en a un avec qui y’aura moyen… mais ça serait bien qu’il y en ait plus. Il y a de bons candidats dans ce bus après tout.

Et c’est donc à ce moment que je réponds à cette charmante demoiselle. Un sourire enjôleur sur les lèvres, je viens m’installer à côté d’elle tout en saluant notre voisin. Je suis sûre qu’il va aimer ce qui suit…

« Vous aussi vous avez fini la soirée seule ? »

Contrairement à elle, je croise mes jambes. Ca fait remonter ma longue jupe moulante, et j’en profite pour caresser le tibia de ma voisine du bout du pied. A la réflexion, j’aurais peut-être dû prendre le même genre de tenue qu’elle… j’en salive tant la vue est agréable.

« Ah, pourtant votre tenue vous met très bien en valeur… et vous devez avoir bien moins chaud que moi. »

Pour appuyer mon propos, je tire un coup sur mon haut pour faire mine de m’aérer. Bien sûr, ça révèle bien plus que ça ne le devrait à mes deux voisins et je ne me gène pas pour en rajouter une couche.

« Si je m’écoutais j’enlèverais tout ça… »

Ma torpeur est vite balayée par l'arrivée d'une bombe qui me demande si elle peut venir s'asseoir à côté. Elle n'a même pas besoin de me demander la permission. Ni à moi, ni à qui que ce soit d'autre. Je me demande d'ailleurs si on doit lui refuser quelque chose en général avec un physique pareil et des tenues aussi ravageuses. Ceci dit, je n'ai même pas le temps de lui répondre qu'une autre inconnue s'en occupe à ma place.

Et il n'y a rien à jeter sur elle non plus à ce que je vois. Moi qui enchaîne les galères depuis quelques temps, on dirait que ma chance est en train de tourner tout d'un coup. Va falloir que je pense à m'acheter un billet de loterie demain matin.
Le canon en robe moulante engage la conversation avec la nana au short rikiki avec un naturel assez surprenant.

C'est à peine si je sais où donner de la tête avec tout ce qui se trouve actuellement face à moi. Les gros nichons de la black captivent particulièrement mon attention avec son petit haut qui doit souffrir le martyr pour contenir tout ça. Puis, là, une rencontre entre grands esprits. L'autre femme vient lâcher une véritable bombe.

- Ouais, tu serais clairement plus à l'aise sans.

Toute cette situation, en plus du manque d'action depuis quelques temps, font tressaillir ma queue qui prend doucement forme alors que celle-ci est collée contre ma cuisse gauche.

- Ca dérangera personne. Et surtout pas moi. Tous les autres dorment ou sont trop occupés pour nous mater.

Je marque une très courte pose en me redressant sur mon siège vu que l'échange du moment est cent fois plus intéressant que le panorama stagnant vu que le bus n'a pas encore démarré.

- Sauf si t'aimes qu'on te mate.

Mon petit doigt me laisse à penser que c'est clairement le genre de nana à aimer se donner en spectacle.

Je ne remarque pas tout de suite la jeune femme qui monte à ma suite et c'est lorsque je sens son regard insistant sur mon cul que je comprends quel beau spécimen se trouve derrière moi.

 Elle ne cherche d'ailleurs pas à comprendre et vient s'installer à ma suite dans le petit carré pour 4 sous le regard soudainement intéressé du mec qui était là avant nous, tout en me demandant si j'ai fini la soirée seule ce que je lui confirme.

Un petit sourire étire mes lèvres lorsque ma voisine vient caresser mon tibia et je lui lance un regard lourd de sens. A m'allumer comme ça elle ne risquait pas de rester habillée très longtemps c'était certain. Je plonge mes yeux dans sa poitrine lorsqu'elle fait semblant d'avoir chaud tout en me lechant les lèvres. Elle savait comment me mettre en appétit celle-ci.

Je m'imagine déjà entrain d'explorer son petit corps d'aguicheuse jusqu'à ce que notre voisin exprime clairement son désir de la voir se dévêtir. Intéressant. Je le dévisage avec curiosité et remarque rapidement qu'une légère bosse se forme au niveau de son entre-jambe. Il faut croire que la situation tournait à mon avantage et je me range à son avis.

- Je suis d'accord avec le beau jeune homme. Tu ne devrais pas t'encombrer de tant de tissus...

Sa petite robe lui allait comme un gant et était particulièrement sexy mais j'étais certaine qu'elle devait être mieux sans. Je ne me genais pas de la dévisager de la tête aux pieds en imaginant tout ce que je pourrais lui faire. Mon regard passait ensuite sur l'homme à la musculature saillante qui venait de tirer le gros lot avec deux grosses chaudasses.

- C'est vrai qu'il fait chaud par ici...

Je relève un peu mon haut, laissant volontairement déborder un de mes seins qui cherche à s'échapper de son fourreau. Je n'avais clairement pas de temps à perdre en conversations lamba et ils avaient tous deux éveillés mes sens en quelques secondes seulement.

Je devrais prendre le bus plus souvent.
Pour mon plus grand plaisir, mes deux voisins sont très réceptifs à mes paroles… mais comment leur en vouloir ? Je dois surement donner l’impression d’être une chienne en chaleur, et ça ne serait pas exagéré de dire que je le suis. Le joli cul de ma voisine m’a clairement donné des bouffées de chaleur, et j’ai une furieuse envie de glisser ma tête entre ses cuisses…

Mais le type d’en face ne me laisse pas indifférente non plus.
Il faut dire qu’il valide de suite mon idée d’enlever mes vêtements, et lui-même semble être à l’étroit dedans. Mon regard se porte avec insistance sur la queue qui se dessine sous son pantalon, avant de revenir à son visage tandis que je souris. Il ajoute quelques mots, supposant que je suis ou non du genre à me donner en spectacle. Oh ça… c’est presque tous les jours ! Il aura peut-être la chance de venir le constater de lui même si il passe au club un soir...

Mais puisque les deux semblent apprécier l'idée de me voir me dévêtir, j’en ai une autre. Puis encore une autre. Il faut dire que la belle a presque laissé échappé l’un de ses seins, et je meurs d’envie de le prendre en bouche… mais peut-être que je peux la mettre en appétit aussi ?

« J’aurais bien besoin d’un coup de main pour me mettre plus à l’aise… c’est pas simple de se dévêtir seule en étant assise… j’espère pouvoir compter sur votre aide ? »

Peu importe les autres personnes présentent dans le bus. Les mécontents n’auront qu’à partir, et les plus réceptifs… ils pourront faire la queue ou nous rejoindre ! Me concernant, plus on est plus on s’amuse !

La chaudasse en robe moulante n'a clairement pas contredit ma remarque sur le fait d'aimer se donner en spectacle devant public. Et la seconde inconnue n'est pas en reste alors qu'elle en rajoute à son tour en soulevant son haut qui avait déjà bien du mal à masquer sa généreuse paire de loches. D'un côté comme de l'autre, j'ai l'impression qu'il va y avoir un sacré monde au balcon.

Les secondes filent et personne d'autre ne semble monter à bord du bus. Tant mieux, si on est au complet alors on aura tout le loisir de pouvoir profiter de l'arrière du bus. Même si je me dis que ces deux nymphos seraient prêtes à se faire passer dessus par n'importe qui d'autre tant qu'elles y trouvent leur compte.

- T'es pas la seule à avoir besoin d'aide.

Quelques centimètres plus bas, la chose sur laquelle je les aies vu loucher à plusieurs reprises commence à prendre un peu plus forme. Dans ma tête je les imagine déjà jouer avec ensemble, ou à tour de rôle. Ces deux semaines d'abstinence me donnent l'impression d'être devenu un ado en chaleur.

- Vous êtes tellement bandantes toutes les deux. Je risque de faire exploser mon jean si vous me le retirez pas rapidement.

Et ce n'est pas de la rigolade vu la taille de la bosse qui se forme sous mon vêtement qui est en train d'étouffer ma trique qui n'est pas encore totalement au garde à vous.

Je constate avec amusement que je ne suis pas la seule à chauffer rapidement. Ma voisine me propose de l'aider à se déshabiller et je remarque son regard gourmand sur mon sein qui s'est presque totalement échappé de mon haut. Je lui adresse un petit sourire en me rapprochant d'elle pour poser mes mains sur ses cuisses.

- Hmmm tu n'as qu'à demander...

Je lui retire sensuellement son haut avant de venir glisser mes lèvres dans le creux de son cou pour y déposer ma langue et mordiller sa peau, puis je descend jusqu'à ses seins ronds et fermes que je m'amuse aussi à prendre en bouche en fixant de manière provocante l'homme assis en face de nous et qui semble trépigner d'impatience...

Puis je remonte sa jupe moulante sans totalement la lui retirer et vient glisser une main entre ses cuisses que j'écarte un peu pour accéder à son entre-jambe que je caresse du bout des doigts.

-Miam...

Je sens déjà la chaleur s'emparer de son intimité et je dois dire que je n'aurais pas perdu de temps à la goûter si notre voisin ne s'était pas manifesté  à son tour. Il avait aussi besoin d'aide ? J'en avais plein à revendre.

Je me redresse un peu et me penche vers l'homme excité tout en tendant mon petit cul vers celle que j'ai envie de dévorer. D'une main experte je viens déboutonner son jean tout en lui susurrant:

- Ce serait dommage de faire exploser ce joli jean...

Je ne le libère pas tout de suite néanmoins, curieuse de voir si l'allumeuse préfère s'en charger, mais je commence à le caresser à travers le tissus, histoire de le faire monter encore plus en pression. Je n'avais aucun doute quant au fait que nous allions former un parfait trio.

Les secondes passent, et la température grimpe en flèche. Si ça continue, on va finir à poil avant même que le bus ne parte… et franchement, ça ne me déplairait pas !

Alors que je provoque gentiment mes deux compagnons de route, je les vois tous les deux réagir plus que positivement. Lui, on dirait que son pantalon va exploser tant il est réceptif à nos avances… et elle, elle vient se dévouer et m’aider ! Quel amour cette fille, il faudra absolument que je l’amène au club et que je lui organise une petite soirée privée…

En la sentant me débarrasser de mon haut, je souris à l’homme. Il peut vite apercevoir mes deux seins glisser hors du top tandis que la belle dépose ses lèvres dans mon cou pour me chauffer, ce qui marche très bien. Je décide de partager un peu de cette chaleur en en rajoutant une couche pour notre voisin.

« Tu nous trouves bandantes ? Attend de nous voir à poil… »

Et la voilà en train de faire glisser ma jupe, jusqu’à avoir accès à ma chatte bien chaude. Petite surprise : je ne porte pas de culotte ! Et oui, avec une robe aussi moulante ça serait dommage quand même. J’écarte mes cuisses lorsqu’elle commence à me caresser, laissant entrevoir à ce jeune homme l’endroit qu’il va vite pouvoir fourrer si l’envie lui prend. Mais avant d’en arriver là, il a visiblement besoin d’aide ! Le pauvre est plus qu’à l’étroit maintenant, et si ça continue son jean va être foutu. Par chance pour lui, il a deux demoiselles pleines de bonne volonté pour le sauver.

La charmante créature délaisse mon corps pour venir déboutonner son jean, première étape pour la libération de son sexe. Dans sa position, j’ai une vue plongeante sur son cul parfait… ah, qu’est-ce qu’il me fait envie ! Alors, avant de venir prendre goûter ce charmant homme, je me glisse derrière elle et m’assure de libérer ces belles fesses du vêtement les couvrant. Ça ne prend pas bien longtemps, et je m’amuse à donner une petite tape dessus avant de me glisser à côté d’elle.

« Vous en avez de la chance, j’ai deux mains… je dois pouvoir vous aider tous les deux. »

Le but de la manœuvre précédente ? M’assurer de pouvoir glisser l’une de mes mains sur ses fesses, les tripoter, puis venir lui rendre la politesse en caressant sa chatte bien chaude.
De mon autre main, je viens finir ce qu’elle a commencé en tirant sur le sous-vêtement masculin. C’est qu’à force, j’ai bien envie de la voir cette bite ! Alors, lorsqu’elle se révèle, j’ai un large sourire.

« Ah bah voilà ! On partage ma belle ? »

Je souris à la jeune femme et commence à lécher la queue de bas en haut sur le côté, lui laissant le soin de glisser sa tête de l’autre pour m’imiter si elle le souhaite.

C'est qu'elles sont aussi chaudes et volontaires que bien foutues ces deux-là. Il n'a fallu qu'une remarque de ma part pour que la belle black arrête de caresser la chatte probablement déjà humide de sa nouvelle camarade pour défaire le haut de mon jean qui me serre de plus en plus. Mon corps se met alors à trembler brièvement au contact de sa petite main douce et délicate au contact de mon membre imposant à travers mon boxer qui se trouve incapable de le couvrir entièrement.

A sa remarque je me mets alors à lâcher intérieurement - Oh oui, j'ai bien d'autres choses que je compte "exploser".
Comme leurs fentes étroites ou leurs petites bouches de salopes qui ont dû sucer des bites par dizaines avant que la mienne ne vienne se joindre à la liste.

Ma langue vient humidifier mes propres lèvres alors qu'un large sourire déforme mon visage face à ce spectacle divin qu'elles me proposent. Je suis même sur le point de me pencher pour venir tâter le cul de la jolie métisse quand je suis interrompue par l'autre inconnue qui décide de tirer sur mon boxer.

S'ensuit une longue léchouille de sa part qui remonte sur toute la longueur de ma tige veineuse en m'arrachant un râle d'excitation. Le contact chaud et humide d'une langue sur ma trique m'avait clairement manqué. Au point de faire tressauter mon membre d'anticipation et d'envie.

Ma main droite vient alors se glisser dans la chevelure de la black pour attirer son visage en direction du mien. Dans la seconde qui suit, j'ouvre la bouche et lui tends ma langue pour l'embrasser goulument et sans aucune délicatesse. mes lèvres viennent pincer les siennes quand ma langue ne part pas à la recherche de la sienne en réaction à ce début de fellation quelques centimètres plus bas.
Très vite ma main libre vient se saisir d'un de ses gros seins moelleux pour le caresser et le malaxer durant une bonne trentaine de secondes avant de la libérer.

Bouillonnant de l'intérieur, je me retourne vers notre troisième camarade de jeu.

- Ouvre la bouche !

Dans la foulée, je laisse s'écouler une belle quantité de notre cocktail de salive qui dégouline lentement pour arriver dans sa bouche. Autant dire que la personne qui va s'occuper de l'entretien du bus va avoir du boulot vu comment la soirée commence.

Désormais penchée en avant et prête à libérer un peu ce pauvre homme de l'étau qui lui compresse la queue, je frémis lorsque mon cul tendu se fait lui aussi libérer de son mini short pour glisser le long de mes jambes. Ma camarade de jeu vient tâter mes fesses qu'elle flanque d'une petite fessée terriblement excitante avant de venir découvrir ma chatte brulante qui n'attend qu'une chose;  se faire remplir.

Puis c'est au tour de notre compagnon de se faire extirper de manière experte de son caleçon et j'observe son appétissante queue avec un sourire aux lèvres tandis que la belle ne résiste pas à l'envie d'ores et déjà de s'y attaquer avec ses lèvres.

- J'ai envie de partager beaucoup de choses avec toi ce soir, ma belle...

Je dois dire que j'ai bien envie de la rejoindre mais ma chevelure se fait agripper et l'impatient vient attraper mes lèvres pour me voler un baiser langoureux.

Je le sens brulant et suis docilement le mouvement, jouant avec sa langue pour le titiller d'avantage et mordillant sa lèvre inférieure par moments. Je peux presque sentir le début de la fellation de la belle demoiselle en sentant qu'il se crispe sous les coups de sa langue. C'est qu'il à l'air plutôt sensible !

Puis il gratifie la belle brune du cocktail de nos salives en lui ordonnant d'ouvrir la bouche et je m'attèle à mon tour à profiter de cette belle queue qui s'offre à moi. Avant de plonger entre ses cuisses, je peux remarquer les regards curieux et horrifiés de quelques passagers qui semblent comprendre ce qui se passe à l'arrière du bus et cela me fait sourire, j'aimais bien me donner en spectacle...

- On dirait bien qu'on a des spectateurs !

Manque de pot pour eux, le bus démarre et contraint donc les individus présents dans le véhicule à assister à notre rencontre bouillante. Je glisse mes lèvres humides de notre baiser sur la bite impatiente du bel homme pour venir le lécher à mon tour de manière similaire à celle qui ne porte pas de petite culotte.

Ce détail ne m'a d'ailleurs pas échapper lorsque j'ai glisser mes doigts entre ses cuisses et je glisse une main sur sa poitrine généreuse pour malaxer ses seins avant de faire tomber mes doigts le long de son ventre, puis sous sa jupe désormais presque relevée au dessus de son petit cul. Je viens jouer avec son clitoris déjà bien gonflé de désir tout en léchant la belle bite d'un côté, laissant un peu de place à ma camarade humide.

Alors que je commence à goûter cette queue déjà bien raide et propose à ma délicieuse partenaire de me rejoindre, je la vois se redresser. Ou plutôt, la main du gars l’attirer à lui pour l’embrasser. Et ça, ça veut dire une seule chose…

… j’ai la queue pour moi toute seule pour le moment !
Non contente de déjà m’approprier la chatte de la belle et de me mettre à la doigter après l’avoir caressée, je commence donc à mieux m’appliquer du côté de mon partenaire du soir. Je le sens frémir assez facilement, mais ça n’est pas pour autant que je vais y aller doucement… ce n’est pas du tout mon genre. Je me mets à le titiller en donnant des coups de langue sur son gland, avant d’ouvrir grand la bouche et y accueillir sa queue. Hop ! Je resserre mes lèvres, et remonte lentement la tête avant de la baisser à nouveau pour commencer à le sucer.

Je ne m’arrête que lorsqu’il m’interpelle. Ouvrir la bouche ? Je souris, amusée et brulante de désir, et obéit docilement pour accueillir leur mélange de salive. Il y en a qui tombe sur le sol, mais tant pis : de toute manière, il y aura bien d’autres choses par terre d’ici peu !

Et d’ailleurs, si j’en crois les mots de celle dont je dévorerais bien le cul, nous avons des spectateurs. Ah bon ? Ah oui ! Je fais un clin d’œil complice à une demoiselle qui ne sait pas où se mettre, avant d’observer le fabuleux travail que fait la belle… c’est qu’elle me donnerait presque envie de lui offrir une deuxième bite à sucer !

Mais en sentant ses doigts se glisser entre mes cuisses et jouer avec mon clitoris, je me dis que ça peut bien attendre… et je la rejoins autour de la bite déjà bien humide, me mettant à la lécher avec elle. Dans cette position, je peux admirer ce visage déjà partiellement couvert de salive et, par moment, sentir ma langue glisser contre la sienne. Divin !

L'heure est visiblement venue pour toutes les personnes dans le bus d'entamer le trajet du retour vu que le chauffeur se décide à le faire démarrer sans prévenir au moment où le black se jette sur ma queue bouche la première.

- Ah ouais ? Autant leur offrir un truc sympa à mater alors.

Je me sens comme un prince avec deux nymphos aux bouches avides et clairement expérimentées qui glissent à la perfection sur toute la longueur de ma queue à la peau sensible et brûlante d'envie. Une pipe classique m'aurait probablement déjà bien mis en jambe dans mon état actuel. Alors une double...

Mes mains viennent se saisir de leurs chevelures respectives pour les faire coulisser un peu plus en rythme et leur permettre de venir se retrouver toutes les deux à la base de ma bite au début. Puis je les fait remonter en quelques secondes pour les avoir sur mon gland où je les coince jusqu'à les voir s'embrasser. Je veux sentir leurs lèvres et leurs langues remuer et me stimuler tout en se chauffant toutes les deux car il est évidant que le courant passe entre elles.

L'occasion est si parfaite que j'en profite pour enlever mon jean qui était vissé à mes chevilles et lève la jambe gauche pour poser le pied sur le siège en face. Un peu comme pour servir de barrière alors que je sais bien qu'elles ne comptent aller nulle part.

- J'ai tiré le gros lot avec vous, mes salopes.

D'une main, je viens saisir la base de ma queue presque entièrement gonflée désormais, pour la frotter sur leurs visages. La salive avec laquelle elles venaient de la recouvrir vient alors s'étaler leurs joues dont je peux ressentir toute la chaleur.

- C'est quoi vos petits noms ? Je vais pas vous appeler bouche à bites 1 et 2.

Histoire de ne pas les faire parler en même temps, j'appuie sur la tête de l'asiatique une fois à hauteur de mon gland pour lui faire bouffer ma queue durant de longues secondes. Juste le temps qu'il faut pour que sa camarade de jeu se présente.

Puis j'offre le même traitement à la black qui va rester plus longtemps dans cette position. Je veux voir combien de temps elle peut tenir sans respirer et avec un objet qui lui bloque le palais et la gorge. Cela pourrait d'ailleurs plaire ou choquer les personnes qui décident de nous épier.

Je vois bien que le beau male est entrain de se rendre compte de la chance qu'il a d'être tombé sur deux assoiffées de la bite comme ma camarade et moi. Nous nous occupons toutes les deux de sa belle queue dressée en jouant tant avec nos lèvres que nos langues et quand celles-ci se frôlent nous ne résistons ni l'une ni l'autre à l'envie de nous embrasser de manière obscène avec son gland coincé entre nos bouches.

Je dois dire que la sensation est terriblement plaisante et je continue d'embrasser langoureusement ma camarade de jeu tout en astiquant cette belle verge que nous nous partageons de manière parfaitement équitable. Un premier doigt, puis un deuxième s'enfoncent entre ses chaires humides que je me met à la stimuler avec plaisir.

Notre petit chanceux vient finalement se saisir de son membre qu'il frotte sur nos visages pour y étaler de la salive et nous nous retrouvons toutes les deux trempées et humide. Je souris de manière espiègle et cambre un peu mon bassin pour mieux sentir s'enfoncer les doigts de la belle.

- Tu n'as pas idée à quel point mon mignon...

Puis il nous demande nos noms et appuie sur la tête de ma camarade pour la contraindre à accueillir plus profondément sa queue impatiente.

- Bouche à bite moi j'aime ça... Mais mon petit nom c'est Laëlia.

C'était vrai qu'on pouvait au moins se permettre de connaître nos identités respectives ! Car pour connaître nos corps, ça, j'étais certaine qu'il n'y aurait pas de problèmes. D'ailleurs il décide visiblement que je n'ai moi non plus pas encore fait assez connaissance avec sa queue et me l'enfonce sans vergogne jusqu'au fond de la gorge lorsque la belle déclare à son tour son identité.

Je l'accueille sans difficulté, signe que j'en ai vu d'autres et apprécie même ce petit geste de domination qu'il nous impose. La belle doit d'ailleurs le sentir puisque mon vagin se contracte de plaisir sur ses doigts recouverts de mes fluides. Je fini néanmoins par toussoter un peu, après de longues minutes où je l'accueille dans ma cavité buccale signe qu'il est temps qu'il se retire.

J'aperçois du coin de l'oeil un adolescent qui nous jette des regards en coins malgré lui, le pauvre est obnubilé par le spectacle et sans doute un peu excité de voir un vrai film porno se dérouler devant ses yeux.

Quoi de mieux que sucer une bite bien dressée ?
La partager avec une bombe bien excitante !
Non contente de pouvoir la titiller du bout de ma langue dès que l’occasion se présente et de la doigter, voilà que l’heureux élu du soir se décide à nous guider. D’abord jusqu’à la base de son pénis, puis jusqu’en haut où il a bien l’intention de nous garder pour profiter du spectacle. C’est avec grand plaisir que je lui offre ce qu’il veut, collant mes lèvres à celles de la belle et léchant à la fois sa langue et la bite qui est stratégiquement placée. Heureusement, il semble endurant ! Certains nous auraient déjà tartinées de sperme après ça…

Le bus continue de rouler, n’interrompant en rien notre activité.
Où il va ? Franchement, je m’en cogne.
Pour le moment j’ai bien d’autres choses en tête… et en bouche !

Mais voici qu’il est curieux et nous demande nos prénoms. C’est vrai que ça pourrait être utile… mais dans l’immédiat, je suis invitée à ne pas répondre de suite et m’enfile l’intégralité de sa bite. Je me dis même que je peux m’amuser et, une fois la base glissée entre mes lèvres, je fais glisser ma langue pour lécher ses couilles. Autant faire ça bien… !

Puis c’est à mon tour de prendre la parole, alors qu’il offre sa queue à la charmante Laëlia. Avant de répondre, je viens lécher une partie de la salive qu’il a étalé sur le visage de la demoiselle avec un grand sourire. Puis je le fixe du regard, un regard qui ne cache rien de mes envies.

« En général on me donne des petits noms comme salope ou chienne… mais si tu veux être original, tu peux m’appeler Yor. »

C’est que les clients du club ne font pas forcément dans la subtilité une fois lancés ! Mais ça ne me dérange absolument pas, bien au contraire. Et comme pour lui prouver, alors que Laëlia continue de gober sa queue, je me tourne pour lui offrir une vue dégagée sur mon cul et ma chatte dégoulinante. Mais il ne s’agit pas que de m’offrir en spectacle, c’est que j’ai bien envie de continuer de lécher des choses… et la bite étant prise, mon dévolu se jette sur le cul de ma partenaire. Je laisse un long filet de salive glisser entre ses fesses, avant que les doigts d’une de mes mains reviennent jouer avec ses lèvres intimes… puis qu’un autre vienne explorer ce petit trou très prometteur. Et, pour en rajouter une couche, je lèche lentement l’une de ses fesses !