L'invitation de la jolie black n'entre pas dans l'oreille d'un soir car la situation évolue bien rapidement à l'arrière de Yor. Ceci dit, je n'ai pas le temps de m'inquiéter de son sort car je sens tout aussi rapidement le rectum qui masse ma grosse queue tendue depuis quelques minutes se contracter dessus. Ses mouvements de hanches qui épousent mes coups de butoir cessent alors un bref instant alors que ses mains se collent sur les miennes et qu'elle se met à gémir de longues secondes.
- Pfouuuuu !
Un long soupir s'échappe de mes lèvres alors que je me retiens de toutes mes forces de me vider également dans son trou. La douce peau de sa poitrine que je caressait est délaissée par mes mains pour venir se saisir de ses pointes dressées et les presser de toutes mes forces par mon corps qui cherche la moindre distraction.
Quelques secondes qui semblent durer des minutes passent et je prends l'initiative de me redresser en l'emmenant avec moi quitte à bousculer l'autre duo au passage. Je soulève Laëlia sans difficulté pour la faire se poser les genoux sur le siège de face et les nichons qui s'enfoncent dans le haut du siège sur lequel je pose mes mains pour avoir un appui solide.
- J'vais tellement le défoncer que plus aucune autre bite pourra entrer dans ton cul.
Comme pour illustrer mon propos, mon bassin vient claquer sur son gros pétard. Je sens chaque centimètre de mon membre frétillant d'envie se remettre à écarteler ses chairs comme lors du premier passage. Tout est à refaire à la seule différence que je suis le seul à contrôler le rythme et que je vais la pilonner comme la dernières des putes.
Mes doigts sont scotchés au siège et j'abaisse le bassin juste ce qu'il faut pour que chaque pénétration s'effectue dans un angle en diagonale qui la pousse en avant et légèrement en hauteur. Chaque coup est brutal et rapide pour transformer son trou de balle en trou béant quand je viendrais l'inonder de ma crème gélatineuse dans quelques secondes. Parce que j'ai beau réussi à me retenir durant son orgasme... le mien n'est plus qu'une question de seconde.
- Ah ! Ouais ! Salope ! J'vois que tu l'aimes mon gros chibre ! T'aimes te faire éclater ton petit cul ?
L'inconnu n'a pas mis longtemps à prendre ses aises avec Yor qu'il sodomise comme un forcené. Et clairement, celle-ci le lui rend bien. Une main sur l'épaule et l'autre sur la gorge de la jeune femme, il termine par se lâcher dans son trou dans un râle de plaisir qui dure plusieurs secondes. Laissant autant de marques sur la peau de sa victime que dans son oeillet dégoulinant lorsqu'il décide de se retirer.
Cette distraction est de trop car le fait de relâcher brièvement mon attention suffit à faire rompre ma dernière barrière. Ma tête se glisse contre celle de Laëlia dont je souffle de manière grossière à l'oreille alors que mon corps entier se contracte. Un premier jet timide vient tâter le terrain avant que le tsunami ne débarque. Mon corps est victime de spasmes et légères décharges électriques quand je viens donner un dernier coup de rein pour soulever son corps.
Les jets de sperme se succèdent dans son trou qui semble se remplir si rapidement étant donné que je sens du sperme dégouliner sur la hampe de ma bite. Sans réfléchir, je viens lui redonner un, deux, puis trois coups de rein pour tenter de pousser mon sperme encore plus loin dans son conduit en respirant toujours aussi fort contre la peau de son visage.
- Putain... T'as vraiment un cul d'enfer.
Un son humide des plus dégoûtant accompagne le retrait de mon membre suintant de son orifice que je viens d'écarteler tandis que je la laisse la belle black dans sa position pour me retourner en direction de Yor.
- Vaudrait mieux que tu te grouille, sinon elle va tâcher les sièges.
La remarque est accompagnée d'un geste du visage pour lui faire voir que mon sperme commence déjà à couler pour venir tomber sur le siège qui est sous ma victime de l'instant précédent. Quant à moi, je fais le tour et attrape les poignées qui sont suspendues depuis le plafond du bus pour présenter ma queue crade à celle qui se l'est prise il y a quelques instants à peine. Les couilles vidées au niveau de sa bouche, histoire que notre cocktail de fluide lui remplisse d'abord les narines.
- Tu vas pas me laisser comme ça, bouche à bite ?
Si je ne trompe pas, c'est elle-même qui disait ne pas avoir de problème avec cet adorable surnom. Alors autant en profiter.