Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

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Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

jeudi 28 janvier 2021, 16:42:00

- Desco, je parie que t’as un mec.

« Euh, qu’est-ce qui te fait dire ça ? »

- T’es pimpée comme une nana, et t’as un regard bizarre.

Kara lui lança une œillade mortelle, le fusillant. Quel connard ce Baku, au physique ingrat, lui qui avait toujours un air de la mater sans aucune gêne. Et surtout, il aimait profondément emmerder le monde, en posant des questions, en se moquant, en titillant les gens là où ça pouvait faire mal. Surement pour compenser son absence de sexappeal. Elle baissa la tête pour observer son tailleur noir : c’était le même qu’habituellement, et oui, bon, sa chemise était repassée cette fois, et pas uniquement lissée rapidement au sèche-cheveux sur les endroits visibles seulement. Elle avait bien donné cette forme propre au col, et retroussé légèrement ses manches. Peut-être, oui, peut-être qu’elle s’était coiffée un peu mieux, coupant sa frange aux petits ciseaux à ongles comme elle pouvait devant sa glace, pour égaliser, quoi. Elle était maquillée, aussi, peut-être plus que d’habitude mais bon, ça va, on a plus le droit d’être apprêtée pour rien ? Il fallait que ce soit forcément pour un homme ?

Pour l’expression de son regard, Kara n’y pouvait cependant rien ; depuis son retour à la réalité, loin de la suite de luxe de la veille, il était impossible de se dépeindre d’une sorte d’aura épanouie. Au point que la remarque de Baku la fit sourire, niaisement. Il éclata de rire.

- Putain, j’avais raison, t’as un mec ! Hé ! Tetsu ! Desco s’est enfin envoyée en l’air ! Ca se fête !

Elle leva les yeux au ciel, mais ne sut les contredire. Etrangement, c’était marrant de les voir rire de sa situation et puis… c’était assez vrai. Le second collègue avait levé la tête de son ordinateur, le téléphone à l’oreille, et levait le pouce pour la féliciter, une expression vraiment obscène sur le visage lorsqu’il clignait de l’œil.

« Mais occupez-vous de votre cul, vous deux. »

Et c’est comme ça qu’elle s’était retrouvée à aller « fêter » ça avec une bonne partie du service des Ventes. Même Phil était là. Grosse ambiance… C’était limite gênant. Surtout ce moment où le Directeur avait demandé « Et on fête quoi déjà ? ». Kara était devenue toute rouge et fort heureusement, l’alcool avait aidé à démystifier cette situation bizarre. Au moins avait-elle bu à l’œil et fait marrer les convives. Par contre, lorsqu’ils avaient réclamé des détails, elle avait poliment demandé à ce qu’ils ferment leur gueule, avec tout le respect qu’elle leur devait, surtout toi, Phil.

Les jours suivants, étrangement, l’ambiance au bureau était beaucoup plus détendue. Ce n’était pas un mal, et elle avait la chance d’être hors terrain, pour pouvoir souffler tranquillement. Evidemment, merci les gars, lorsqu’elle descendait dans les étages, certains collègues ne manquaient pas d’avoir eu l’information vital et essentielle sur sa vie sexuelle, les rumeurs allaient vite.

A vrai dire, elle se retenait d’envoyer des sms à Souta. Il l’avait prévenu qu’il bossait, elle n’était pas sûre de vouloir passer pour une nana collante… Alors elle reprenait sa vie, comme avant. Le boulot, le métro, les jeux. A son réveil, un matin, son portable affichait un message qui la fit sursauter. Merde, c’était une réaction de midinette, quel enfer. Souta lui proposait de se voir en fin d’après-midi, après son boulot… Il fallait attendre un peu avant de répondre, pour ne pas avoir l’air si intéressée que cela.
C’est pourquoi elle pianota immédiatement :

Citer
Hey.
Suis en formation aujourd’hui, sur la Zone Indus, passe me prendre à 17h, je t’envoie l’adresse.

Comment fallait-il finir ? « Bisous ? » ou juste « Salut » ? Elle soupira en se levant.

Citer
A ce soir !

Ouais, c’était bien ça. Pis au moins, elle n’avait pas trop à se prononcer. La journée allait être longue et pénible, mais cette fois, la formation au Labo pour la présentation des nouveaux produits passeraient plus vite, puisqu’elle avait une échéance sympa.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 1 jeudi 28 janvier 2021, 18:48:54

Quelques jours se sont écoulés après le véritable marathon qui a eu lieu à l'hôtel. A défaut d'avoir évolué de manière classique comme c'est le cas entre les personnes qui aiment se mettre généralement en couple pour suivre les dictats de la société actuelle, on peut dire qu'elle suit son rythme tranquillement.

Depuis quelques temps je bosse surtout de nuit à la protection d'un homme d'affaire à la demande d'un ancien partenaire qui s'est retrouvé en galère lorsqu'un des hommes du dispositif de sécurité privé du client a perdu un bras en allant nourrir son crocodile de compagnie.
Comment on peut perdre un bras comme ça ? Le gars y est allé au culot ou quoi ? Il y avait pas de barrière ou de tige en métal pour faire passer la bouffe en sécurité ?
Ou alors ça sent le pari débile perdu ou le "T'es pas cap' !". Au final il aurait mieux de passer pour un con en en se dégonflant.

Les horaires décalés ne m'aident pas car je dois également modifier ma routine entre l'entraînement, le régime qui est bien plus strict et le métabolisme qui va mettre du temps à éliminer mes propres conneries en plus de s'habituer lentement à ce nouveau quotidien qui risque de durer un peu plus d'une semaine.
Le contrat de base est supposé durer quatre jour. Or, il faut toujours dégager deux ou trois journées de plus au cas où si un pépin vient pointer le bout de sa tronche.

Histoire de conserver certains repères, je décide d'envoyer un message à Kara en rentrant au petit matin sans faire trop gaffe à l'heure. Au pire elle dort encore et le verra plus tard. Puis c'est pas comme si elle allait quitte son taff alors que les gens qui trainent leur cul dehors cherchent sûrement un after.

------

Sur les coups de 14h je me lève et constate qu'elle m'a répondu pour me préciser qu'elle sera pas au bureau. Au moins il y a l'adresse et l'heure à laquelle elle termine. En vrifiant rapidement je constate qu'un bus passe bien par là-bas. Ce qui es logique vu que les petits employés d'usines prennent pas leur bagnole pour bosser.

En bon gentleman je lui renvoie rapidement un :
Citer
Ca marche !

Entraînement léger, douche, bouffe, le temps défile très vite et je me fringue avec un jean, un t-shirt et une veste en cuir parce que le temps se gâte un peu en ce moment. On a rarement froid avec elle dans le coin, mais en attendant...

Je profite du chemin aller en bus pour m'assurer que ce dernier durera trois bons quarts d'heures minimum. Avec l'avantage que la ligne est quasiment réservé aux travailleurs qui seront trop crevés pour faire gaffe à ce qui pourrait se passer dans le bus. Un gars pourrait sortir une arme et tirer dans le tas qu'ils sûrement trop fatigués pour tenter de s'enfuir.

Arrivé sur les lieux à 16h55 j'envoie un message tout simple :
Citer
J'suis à l'arrêt en bas.

J'attends alors tranquillement en observant le coin qui est toujours d'une tristesse absolue. Au moins le coin est sûr. Qui irait installer ses affaires dans un coin pareil ? Probablement quelques dealeurs qui veulent des stimulants à des gars qui veulent tenir le rythme, mais ça ira pas plus loin.

Kara arrive quasiment en même temps que le bus. A dix secondes près elle était bonne pour un petit sprint. Une fois à portée je lui attrape la main et l'entraîne tranquillement avec moi dans le bus en saluant chaudement le chauffeur comme un mec propre sur lui qui ne va rien faire de tordu dans son véhicule.

Après un petit balayage rapide du regard, je soupire de soulagement en voyant que les deux dernières rangées sont complètement vide.

- Viens, on va se mettre là-bas. On sera tranquilles.

Après avoir évité une mémé et son caniche, des employées qui parlent entre elles en se montrant leur portable et autres passagers, nous voilà à la dernière rangée. Je me glisse d'ailleurs au fond du côté de la fenêtre.
Je me tourne alors vers Kara en attendant qu'elle s'installe et lui roule une bonne galoche bien baveuse à peine ses fesses posées sur le tissu de son siège qui ne perdrait pas à être remplacé.

- Alors, comment ça va toi ?

La question sort rapidement alors que je libère ses lèvres. Y a pas à dire, elle tient chaud la petite vendeuse. Faut dire que ça m'avait manqué après avoir passé tout ce temps entouré de mecs qui font que parler sport et bagnole. Enfin ça c'est qu'une petite partie du groupe. La majorité passait son temps à causer des nanas qu'ils sautent chaque soir pendant qu'ils sont sur place avant de retourner dans leur pays croyant qui prône l'abstinence ou le mariage pour s'envoyer en l'air. Aaaaah, comment ils font pour tenir les pauvres ?

- J'ai attendu de reprendre le rythme du boulot avant de t'appeler. Mais je pense qu'on pourra se voir au moins le temps du trajet pendant quelques soirs cette semaine. Si ça te dit.

Faudra attendre encore un peu pour son invitation comme elle l'avait suggéré l'autre soir. Ca se fera, absolument, le moment venu.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 2 jeudi 28 janvier 2021, 20:40:24

Les choses s’enchaînant un peu vite, Kara se met seulement à souffler lorsque Souta se détache de sa bouche, qu’il vient de littéralement dévorer avidement. Wouah, elle ne s’attendait pas à ça… C’est qu’il était passionné, le petit Souta, finalement. Enfin, pas que pendant les séances de sexe, s’entend. Elle tente de reprendre sa respiration, sans doute parce qu’elle s’est pressée de descendre les escaliers du Labo à peine sa formation terminée… impatiente de le voir ? Pff, non, pas du tout, juste euh. Parce que c’est toujours bien de faire un petit sprint dans les escaliers.

S’installant un peu mieux, elle prend le temps de regarder autour d’elle, maintenant qu’elle en a l’occasion et fait une petite moue, avant de croiser le regard d’ambre et de ricaner.

« On passe donc de la voiture de sport à la citadine, et maintenant le bus… Alors, toi plus tu m’baises, moins tu fais d’efforts ! » C’était évidemment une pique gratuite : la soirée à l’hôtel luxueux était un contre-exemple qu’elle avait bien en tête, mais Kara n’allait pas se priver de lui faire remarquer la baisse de standing.

Pour faire passer un peu son sarcasme, sans savoir trop pourquoi elle n’avait pas envie de trop l’agacer, la jeune femme se pencha pour claquer une bise taquine sur sa joue.

« Je vais bien, ouais. » C’était bateau, mais… Ben, c’était vrai. Elle allait étrangement bien depuis quelques jours. Pourtant, elle se sentit bête d’avouer ça, comme ça.

En pinçant les lèvres, elle l’écouta en l’observant.

« Tu… Tu voudrais venir me chercher au bureau le soir, c’est ça ? Genre, plusieurs soirs par semaine ? »

C’était pas un peu euh… régulier et sérieux, ça ? Kara cilla, fronça les sourcils, comme si elle avait mal compris ce qu’il venait de dire. C’était étrange, à chaque fois qu’elle revoyait Souta après quelques jours, après une séance de sexe débridée et torride, elle se sentait toujours très bizarre, penaude, mal à l’aise. Comme si elle ignorait comment se comporter avec lui. Comme si elle hésitait entre être tendre, douce, aimante, distante, froide, amicale…

D’un coup, pourtant, elle sembla choisir quelle attitude adopter, et s’approcha de sa bouche rapidement, un regard complice et un peu provoquant.

« Dis-donc, fais gaffe, parce qu’on pourrait croire que t’as envie de me voir souvent. T’es tant en manque que ça ? T’as aucune autre copine sous la main ? »

C’était tout elle, ça. Tourner en dérision, se moquer, pour éviter d’avoir à penser à des choses sérieuses ou sentimentales. Peut-être qu’elle avait raison, après tout, et qu’il n’avait personne d’autre à voir, du coup, il se rabattait sur elle ?



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 3 jeudi 28 janvier 2021, 21:09:25

La réponse à ma question ne met pas trop de temps à venir. Par contre elle semble hésitante quelques instants avant de s'approcher de manière taquine. Après que je réponde moi même par l'affirmative à sa première réaction qui était de revenir sur ma demande.

La mienne, de réponse, se fait en plusieurs partie.

- Justement, c'est un peu le but si je passe te prendre.

Ma main se pose alors sur sa cuisse en remontant tout doucement alors que je reviens l'emballer en y mettant la langue de manière plus intrusive et directe. Le baiser se veut plus chaud, plus long, plus baveux. Mes lèvres partent chercher les siennes avant de s'enfuir rapidement pour mieux revenir à la charge dans la foulée. La seule sur laquelle je me retiens ce sont les sons vu que je ne cherche pas non plus à ce qu'on se transforme en spectacle pour les autres passagers.

La chose continue jusqu'à l'arrêt suivant. Le temps pour les gens de descendre et de monter pour prendre place sans qu'aucun ne s'approche vraiment de nous. La voie est donc toujours libre de ce côté et je peux poursuivre sans problème.

- Ouais, ça m'a manqué pas mal de faire certains trucs. Pas toi ?

Sa jupe remonte délicatement à cause de ma main qui entraîne cette dernière pour finir par glisser quelques doigts à l'entrée contre ses lèvres intimes sans forcer. Encore une fois, gentlemen, je frappe à la porte avant d'entrer. Du bout des doigts je viens titiller son clitoris et ses lèvres pour jouer alors que ma bouche se glisse sans son cou pour reprendre de plus belle les baisers pendant encore un arrêt de plus. Faut dire que ceux-ci ne sont pas bien longs. L'espace de trois ou quatre minutes environ. A croire que personne ne marche jamais dans cette ville.
Heureusement le suivant est plus long que les précédents.

- J'ai tout ce qui faut... sous la main, merci.

Juste avant de dire ça, je retire la mimine qui se baladait entre ses cuisses pour déboutonner son haut et ensuite glisser ma main en-dessous pour venir me saisir de sa poitrine toujours aussi généreuse et moelleuse.
On ne parle plus de l'avoir sous, mais dans la main vu le contexte.

Je me mets alors à malaxer cette merveille de la nature en lui soupirant de plaisir dans l'oreille. Avec force et douceur à la fois. Faut dire que j'ai de la pratique avec elle désormais et je commence à savoir comment elle aime ses massages la Kara.

- Après... Si t'as pas envie je vais pas te forcer.

Tout en terminant ma phrase j'empoigne son sein bien fort en déposant ma langue dans sa nuque pour la faire remonter jusqu'à ses lèvres pour lui rouler une dernière pelle dans l'attente de sa réponse.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 4 vendredi 29 janvier 2021, 11:21:10

 Immédiatement, les gestes de Souta semblent -enfin- trouver une signification dans le petit cerveau de Kara. Elle écarquilla les yeux en sentant ses doigts remonter comme des serpents entre ses cuisses, soulever discrètement sa jupe, s’immiscer contre sa culotte. Oh, merde, elle eut immédiatement chaud, et ensuite, la poigne dans son décolleté lui fit tourner la tête.

« O… Oui. » Comment faire autrement que lui avouer que ça lui avait manqué ? On tombait vite accro à ces sensations merveilleuses, à la tension, aux palpitations, aux jeux sensuels, aux provocations. Vite accro à ses lèvres, qui lui dévorent le cou avidement ?

« Oh, bordel, Souta, tu m’as manquée, oui. »

Elle gémit presque, déjà, c’est instinctif, et Kara semble se rappeler où ils sont, fermant la bouche d’un coup, en déglutissant. Ce qu’il dit est touchant, il a l’air mignon comme ça, pour une fois, alors que ce qu’il dit contraste avec l’impression général qu’il donne, de se foutre de tout, que rien n’a d’importance… A le voir aussi passionné, presque tendre, Kara devrait lui envoyer une petite pique dans la figure, lui faire remarquer qu’il est ridicule, qu’on dirait un amoureux de série.

Mais elle a trop chaud et… et elle n’en a même pas envie. Pas envie de briser ce moment, pas envie de l’agacer, pas envie de le blesser, même. Il a l’air de se sentir bien, et bizarrement… Elle aussi.

Plus il joue avec sa poitrine, plus Kara se dandine sur son siège vieillot, et sa main vient se poser sur son genou comme pour répondre à ses provocations, serrant sa cuisse dès qu’il met dans le mille, par une caresse, un pincement, une attention. Il sait ce qu’elle aime, c’est agréable, c’est rassurant, c’est plaisant de ne pas avoir à se préoccuper de cela, de savoir si Monsieur sera décevant ou non… Kara soupire en silence.

Quoi ? Pas la forcer ? A ces mots, Kara crut qu’il allait tout arrêter, et sa main pressa plus fort encore sa cuisse musclée comme pour le retenir, lui interdire de s’éloigner, mais au lieu de cela, elle le sent redoubler de vigueur sur son sein, et fondre sur son visage pour lui voler la bouche.

Il est avide, il est fou ! Ils sont dans le bus, tout de même.
Mais elle se laisse totalement fondre et se tourne vers lui comme pour faire barrière avec son dos face aux regards, en profitant pour l’enlacer en se tortillant. Elle agrippe son menton et sa joue d’une main pour qu’il ne se recule pas de son visage.

« Non non non. Tu restes là. Continue. » Sa respiration était déjà chaude, il l’avait excitée en un éclair. « Tu vas pas me laisser dans cet état, maintenant que tu m’as allumé, assume. » Elle ronronna contre ses lèvres, les yeux mi-clos, en léchant sa bouche, provoquante. Le seul risque était qu’elle couine trop fort, elle cilla pour le mettre en garde.

« Vas-y doucement, si non je vais gueuler. »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 5 vendredi 29 janvier 2021, 11:50:39

Jouer dans les transports en commun, en particulier un bus, a ses avantages et ses défauts. Dans le cas actuel Kara ne peut pas faire plus que de se coller contre moi vu que les deux sièges de devant l'empêche de me chevaucher pour se tenir face à moi.

Sa main sur ma cuisse semble posée là avec l'envie de s'y accrocher comme si un gouffre se trouvait sous ses pieds et qu'elle risquait de se faire engloutir par ce dernier. La vendeuse démarre désormais au quart de tour dès qu'on active son interrupteur. Et même en débranchant la prise je pense que son moteur ne s'éteindra pas avant d'en avoir utilisé toute l'énergie qui est en elle.

Mes lèvres viennent capturer sa langue pour l'aspirer de manière légèrement audible pour la chauffer un peu avant qu'on se remette à tenter un duel de langues. Oui, c'est plus un affrontement qu'une danse là. Ma main n'est pas en reste sur la peau douce et la texture malléable de sa poitrine qui s'adapte à mes doigts lorsqu'ils s'enfoncent légèrement dedans. Ma paume aussi s'amuse à venir se frotter sur son téton déjà dressé par l'excitation évidente de ma partenaire.

- Tu vas gueuler quoi ? Que t'es ma salope ? Comme l'autre jour.

Ma seconde main passe dans son dos avec difficulté vu nos positions pour faire remonter encore un peu sa jupe et venir lui peloter son petit cul par-dessus sa culotte. Je m'amuse même à laisser une phalange traîner par moment de façon dangereuse à l'entrée de son anus sans y pénétrer. Juste de quoi  lui faire comprendre que la chose es possible si l'envie m'en dit.

Après un énième baiser et deux autres arrêts de plus qui ont été franchis sans qu'elle ne s'en aperçoive, je décide de calmer un peu les choses pour lui expliquer ce que j'ai en tête.

- Si on faisait un petit jeu cette semaine ? Du genre qui devrait te plaire.

En lui annonçant ça je me saisis de son mamelon dressé  avec deux de mes doigts pour venir jouer sur ce dernier. Le pinçant délicatement ou en venant  en tracer le contour du bout des doigts.

- Chaque jour on aura droit de choisir où on veut s'assoir et de donner un ordre, ou une consigne, à l'autre qui devra l’exécuter durant le trajet.

Histoire de la motiver un peu plus, si cela est vraiment nécessaire, je fais appuyer un peu plus fort sur son anus le doigt qui est resté placé à cet endroit si stratégique jusque là. Mon visage aux lèvres encore humides et couvertes de nos deux salives se glisse sur le côté et se mélange à ses cheveux pour lui faire un dernier commentaire à l'oreille.

- Si je m'écoutais j'ouvrirai mon jean pour te prendre ici devant tout le monde. Mais ce serait pas drôle. J'ai vu à quel point ça t'a excitée de te faire baiser contre le mur en verre. On sait tous les deux que ce jeu va te plaire autant qu'à moi.

Mon doigt appuie encore légèremenr plus fort, menaçant de venir pénétrer son petit trou sans défense. Pour rebrousser chemin immédiatement.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 6 samedi 30 janvier 2021, 14:14:06

L’action conjuguée de cette main sur sa poitrine, et celle, perfide, qui descend entre ses fesses force Kara à se mordre la lèvre en stoppant leurs baisers dévastateurs. Elle avait vraiment manqué de grogner fort, et elle lui lance un regard aussi menaçant qu’avide. Quel tentateur ! Il la provoque à chaque mouvement, et chaque parole. La chaleur envahit son corps et la contraint à se dandiner sur place.

« Jvais gueuler que t’es un petit enfoiré pervers. »

Mais son jeu la rend fiévreuse, elle adore cette sensation caractéristique d’appréhension et de frustration, elle adore lorsqu’il fait monter la température, qu’il a l’air de tout maîtriser, qu’il s’amuse à la taquiner. Oh, bien sûr, ça la met hors d’elle, et elle a envie de réagir, mais le bus les en empêche. C’est alors qu’il lui propose un petit jeu sur la semaine, et, intriguée, Kara ouvre la bouche sous l’attaque sournoise qui la pince. La pointe de plaisir lui fait serrer les cuisses et se recroqueviller sa main sur la jambe de Souta.

« D… D’accord. Mais rien qui nous attire des ennuis. »

Même si la situation était vraiment terriblement excitante, qu’elle se sentait pousser des ailes sous le désir qu’il réussissait sans peine à faire grimper chez elle, la jeune femme n’avait aucune envie de se retrouver chez les flics. Cette pensée l’angoissa, une seconde, mais la pression de son doigt contre son anus la fait suffoquer et pouf, le risque semble désormais partir très très loin. Bordel, la voix torride de Souda contre son oreille l’électrise et la met en transe, ce qu’il dit lui évoque des images brûlantes.

Pire, elle sait désormais qu’elle va adorer ce petit jeu, qu’elle va être frustrée et qu’elle va adorer, qu’ils vont se chauffer, se faire du bien, et qu’ils vont réellement apprécier ; A leur première rencontre, elle aurait pu croire qu’il ne faisait que l’allumer, s’il lui avait soufflé ça à l’oreille, mais après l’expérience de ces derniers jours, elle savait qu’ils s’éclataient ensemble, qu’ils s’attiraient sans savoir pourquoi ni comment, et qu’il la rend dingue.

La pression monte, à mesure qu’il appuie, elle en vient à espérer qu’il se lâche, se reprend, espère encore plus, soupire. Sa respiration s’emballe et sa main monte dans ses cheveux d’argent pour les lui tirer suffisamment pour qu’il remonte la tête, et qu’elle puisse lécher sa jugulaire.

« Ok, ok, j’vais perdre à ton jeu, tu sais. Commence, t’as choisi où on s’assoit. J’vais devoir prévoir un change de sous-vêtement toute la semaine, avec tes conneries. »

Ses dent raclent sa peau comme pour se venger du pouvoir qu’il a sur elle, l’embrassant par intervalle irrégulier, pour faire passer ses morsures, pendant que sa main tire toujours ses mèches claires, et que l’autre remonte sur son jean jusqu’à son entrejambe.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 7 dimanche 31 janvier 2021, 08:55:22

Le temps passe vite quand on s'amuse. Beaucoup trop vite même je serais tenter de penser. A force de parler et de jouer tranquillement, le bus ne devrait plus tarder à arriver à la moitié de notre trajet. Ce qui implique que l'on ne pourra rien faire de concret sur cette première fois. Je m'y étais préparé, même si ça reste assez décevant.

Ma main qui joue avec sa poitrine quitte la chaleur de son haut pour redescendre et lui caresser le ventre pour ressortir complètement et se poser sur celle de Kara au niveau de ma cuisse pour la faire remonter plus vite et passer sur la bosse qui déforme de manière évidente mon jean.

- Il y aura pas de gagnant ou de perdant, juste du fun. Beaucoup de fun. Et des culottes trempées, ouais. Mais ça c'est parce que tu t'es une sacrée cochonne.

Je l'encourage alors à faire des mouvements d'avant en arrière sur ma queue par-dessus mon jean avant de repartir ailleurs. Plus haut, afin de déboucler ma ceinture non sans difficulté. Une fois réussi, je déboutonne mon jean et fais descendre ma braguette et je tire sur mon boxer. Sauf que l'espace est trop réduit pour que je puisse sortir mon engin de là. Pour y parvenir je suis obligé de me redresser légèrement, quitte à me faire surprendre au passage. Mais tant pis, je tente ma chance.

- On dirait que personne m'a vu.

Amusé et en train de rigoler légèrement, je présente mon organe tendu et braqué vers le toit du bus. Le gland encore partiellement protégé du froid par le prépuce qui lui sert de bouclier improvisé. Pourtant, vu la chaleur qu'il dégage, mon sexe n'a pas besoin de la moindre protection. Juste d'un peu d'attention de la part de celle qui a su jouer avec de façon si experte l'autre soir.

- Tu voulais savoir si tu m'as manqué, bah en voilà une preuve.

Ma position assise est pas hyper confortable là car je suis quasiment assis sur mon jean pour ne pas qu'il tombe à mes chevilles. Mon boxer, lui, est calé au niveau de mes couilles, juste en dessous. Ca tire un peu, mais rien de bien contraignant ou douloureux. Je peux faire avec pour le reste du trajet. L'air frais qui va et vient entre les fenêtres entrouvertes et les portes qui vont entrer le vent à chaque arrêt est terriblement excitant. On est dans un lieu quasiment clos avec des inconnus après tout. Le risque d'être rejoint et vu reste entier.

- Je bande comme un âne depuis deux jours à cause de toi. Et ça va durer encore plusieurs jours.

Je repars l'embrasser en posant ma main dans son dos pour la faire remonter et descendre sur sa peau brûlante. M'arrêtant pile au niveau de sa raie, tentant parfois de gagner quelques centimètres pour lui faire croire que je vais revenir jouer avec son petit trou. Ma seconde main, elle, vient vérifier l'état de sa culotte et titille que très légèrement son clitoris.

- Je m'imagine déjà te faire hurler en écartant les parois humides de ta chatte étroite avec ma grosse bite. Comme la première fois dans le jardin ou je te tenais à bout de bras. Hmmmmmm ! C'était juste parfait.

A défaut de bite, je peux glisser deux doigts qui se plient légèrement à l'entrée de son vagin pour la stimuler un peu. Sans lâcher son clitoris qui est caressé par ma paume.

Kara Desco

Humain(e)

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 8 lundi 01 février 2021, 19:51:04

Oh merde, il y allait fort ! Sans aucune gêne, il avait sorti son sexe, comme ça. D’un regard, elle balaya autour d’elle les visages tournés vers l’avant du bus, ou vers la vitre. Tout le monde paraissait comater et détester sa vie… Un peu rassurée, et extrêmement excitée par la situation, par les mots de Souta qui soufflent sur ses braises déjà bien prises, elle vient replacer sa main où elle se trouvait juste avant qu’il ne libère la bête.

Sa paume couvre partiellement son membre dur, il semble aussi surexcité qu’elle, c’est grisant. Kara esquisse un sourire carnassier, tant retrouver le contact de sa peau brûlante la ravit, comme un soulagement après plusieurs jours sans se voir. Elle doit l’avouer. Il lui a manqué, son corps lui a manqué.

« J’vois ça, oui… » Elle chuchote pour espérer ne pas être entendue, étouffe un gémissement lorsqu’elle le caresse et le colle contre son ventre pour frotter ses doigts pour tirer sa peau. Un frisson descend de ses épaules jusqu’à ses reins, le même chemin, le long de sa colonne vertébrale, que la main de Souta qui glisse, petit fourbe, pour revenir la narguer, la chatouiller là où ça chauffe, la faisant onduler et se mordre la lèvre.

« Et moi je rêve de ça depuis deux jours, j’peux pas bien me concentrer sur mon boulot, j’ai ta bite dans la tête, j’ai des flash de l’hôtel, c’est … » Il retourne entre ses cuisses, Kara soupire par le nez en fermant les yeux, s’interrompant dans sa phrase sans même s’en rendre compte. Elle reste la bouche ouverte comme une carpe, mais sa main glisse de haut en bas sur son sexe épais, celui qui la hante, qu’elle voulait retrouver au plus vite, pour découvrir ce gland luisant qui semble l’appeler.

« Putain… »

Il est trop sexy, et provocateur, ce petit con ! Elle imagine très bien la scène, cela évoque des souvenirs très très frais. Elle le veut, se retient, garde le contrôle de son corps, sauf de sa main, ses doigts l’emprisonnent délicatement, et puis finalement fermement, comme si elle cherchait à se venger qu’il soit aussi arrogant.

« Avant ça, je veux ta langue, j’m’en remets pas. » Sa bouche s’approche à son tour de son oreille, comme si elle avait peur qu’on l’entende devenir plus vulgaire. « Je veux que tu me lèches comme l’autre soir, j’en rêve, putain, si c’était une voiture, et pas un bus, je te ferai arrêter n’importe où, je soulèverais cette jupe et je viendrais m’assoir sur ton visage. »

Comme pour accentuer ses mots, sa seconde main monta jusqu’à son cou, et elle enfonça son pouce dans la bouche de Souta, forçant ses lèvres. Ses pommettes étaient devenues rouges par l’excitation, et Kara le branlait en faisant le moins de mouvement amples possibles, ce qui ne l’empêchait pas d’accorder beaucoup d’intensité à ses mouvements. Juste ça la rendait dingue, elle regrettait la voiture de sport, grogna même un juron supplémentaire. Pourquoi le bus, merde, pourquoi tous ces gens, barrez-vous !



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 9 mercredi 03 février 2021, 11:27:13

Sa délicate main aux doigts toujours si fins et experts font des merveille sur ma trique qui ne tient pas en place étant donné la situation. Me connaissant, je pourrais très bien la prendre ici et maintenant en me foutant bien de qui regarde et filme la scène. Avec la génération des portables tout le monde filme tout et n'importe quoi, peu importe les circonstances. Quand un accident a lieu les gens se ruent sur leur portable pour enregistrer la scène au lieu d'appeler les flics. Alors dans ce cas précis on pourrait organiser une orgie générale que personne ne penserait à appeler les flics.

- Hmmmmm !

Je m'amuse à mordiller et coincer mes dents sur les articulations de son pouce qu'elle me glisse dans la bouche pour jouer avec. Et qui suis-je pour arrêter en plein milieu alors qu'elle se lâche davantage dans un transport public ? Même un simple doigt à faire sucer et lécher par son partenaire en dit long sur la mentalité et les envies des concernés aux yeux d'un inconnu.

- Il est pas aussi bon que ton clito, mais ça te laisse imaginer ce que je ferais avec.

Le pouce repoussé d'un coup de langue pour lui lâcher cette phrase, voilà que le bus prend un virage et passe vers une rue remplit de petites ruelles. Un sourire amusé sur le visage, je lui fais un signe du regard pour jeter un oeil par ma fenêtre. Ce que je vais lui dire ne sera qu'une idée, une image qui pourrait lui rester dans l'esprit pour un jour... qui sait.

- On pourrait très bien descendre à l'arrêt suivant. Je te plaquerai contre un mur avant de me mettre à genoux pour te bouffer la chatte comme un affamé. Ma langue viendrait s'enfoncer entre tes cuisses pour te dévorer en avalant tout ce qui en dégoulinera. Parce que tu baves autant d'en haut que d'en bas.

Le bus s'arrête alors que je termine ma phrase pendant que je la regarde dans les yeux pour laisser l'idée faire son chemin. Je ne lui laisse cependant pas la chance de faire le moindre geste en glissant un troisième doigt dans sa chatte de plus en plus humide. C'est peut-être mon imagination quand je sens ses parois intimes se refermer doucement autour de mes doigts qui se transforment en petit pénis de remplacement le temps de ce trajet si particulier.
Comme à chaque arrêt, les gens descendent et les portes se referment pour que le bus reprenne sa route.

- Ce sera que partie remise.

Mes mouvements ne s'arrêtent pas alors que l'on se rapproche de plus en plus de son arrêt. Mes mains s'amusent à jouer avec sa fente humide et sa poitrine dans une position loin d'être idéale. Mais peu importe, l'essentiel est de pouvoir la chauffer au maximum jusqu'au bout. Alors quand notre transport s'arrête à l'avant dernier arrêt je lui annonce la dernière règle.

- Au fait, interdiction de se faire le moindre plaisir en solitaire non plus.

Ce qui risque d'être hyper compliqué pour moi alors que je lui demande de ranger mon matos alors que ce dernier est devenu logiquement plus long et épais à force de se faire caresser. Les personnes au regard baladeur auront vite fait de remarquer ma bosse dans mon jean sur la route. Tant pis, ça vaut largement le coup.

D'un dernier baiser baveux je lui souhaite bonne nuit et à demain. La soirée risque de s'avérer compliquée car je dois me rendre chez le client dans environ une heure seulement. Toutes ces images vont me rester en mémoire.


------


Comme je m'y attendais la soirée a été compliqué avec tous ces salauds qui parlent des nanas qu'ils se sont tirés avant de venir bosser. Sans me prendre la tête plus que ça au réveil je démarre ma routine et constate que j'ai un colis dans ma boite aux lettres. Il s'agit d'un smartphone que j'ai commandé il y a quelques jours pour m'aider au boulot principalement. Changer de téléphone à chaque contrat qui en réclame un est une galère pas possible.

Je ne le récupère cependant qu'en rentrant de mon jogging et le balance sur le sofa pour filer sous la douche. A poil, le cul vissé sur le sofa, j'ouvre le carton et retire ma carte sim de mon vieux portable pour l'insérer dans le nouveau pour faire tous les réglages nécessaires. En parcourant les menus je vois qu'on peut glisser des photos pour chaque contact. Une étrange idée me vient alors à l'esprit. J'entre le numéro de Kara et commence à taper un sms à lui envoyer.

Citer
Salut, toi ! T'as passée une bonne soirée hier ? Je te récupère où ce soir ?

Puis j'enchaîne avec un second sans perdre de temps :
Citer
Au fait, t'as une photo de moi pour ton répertoire ? Parce que sinon...

Je prends alors une photo de ma bite complètement dressée et gonflée à bloc que j'ajoute en pièce jointe.

Citer
Elle est comme ça depuis hier par ta faute.

Je verrouille ensuite le portable et file m'habiller en attendant de voir ce qu'elle répondra.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 10 mercredi 03 février 2021, 19:43:48

La soirée avait été horrible.
Elle avait tenté de s’occuper au mieux pour essayer de se calmer, mais elle était dans un tel état de frustration et d’excitation en sortant du bus… Quel enfoiré ce Souta ! Il l’avait tellement chauffée, elle était tellement sous pression, que retomber en température avait été des plus délicats. Une douche froide, une glace, des jeux en ligne ultra violent pour passer ses nerfs… Rien n’y faisait.

Impossible de trouver le sommeil, en plus ! Comment se détendre quand elle avait en tête encore son souffle, ses murmures salaces à son oreille, ses doigts entre ses cuisses… L’envie lui prit de passer outre cette règle qu’il avait édictée, et de se satisfaire seule à défaut de pouvoir lui sauter dessus pour avoir enfin ce qu’elle voulait. Sa main descendit sur son ventre, soulevant son t-shirt trop grand, au milieu de son lit, son PC portable à côté…

Mais elle eut une sorte de remord, alors qu’elle allait enfreindre la règle. Kara soupira, grogna, pesta et eut envie d’appeler Souta pour l’engueuler, l’insulter. Lui dire de venir chez elle. Et, finalement, tourna et retourna dans son lit avant de tomber de sommeil. Le réveil fut délicat, elle était en retard, avait fait des rêves qui n’avaient vraiment pas aidé à se calmer, mais c’était différent ce matin. Ce soir, il viendrait la chercher. Ce soir, ils allaient s’asseoir côte à côte dans le bus, et allaient se chauffer encore, s’exciter, se titiller…

Cette perspective lui donna un coup de boost pour toute la journée. Dans l’après-midi, un message de Souta brisa cependant la légèrement motivation professionnelle qu’elle avait réussi à glaner, en se disant que plus vite elle aurait fini ses tâches du jour, plus vite elle le retrouverait. Alors, Kara lui répondit sans attendre, impatiente.

Citer
Petit con, j’ai passé une soirée horrible, tu vas me le payer.

Sauf que, contrairement à d’habitude, il avait l’air bavard, cette fois. Un second sms lui posait une question bizarre, et immédiatement, elle se rendit compte qu’elle avait un troisième message reçu. Hé bas, quelle dextérité dans les doigts, Souta !

« Oh putain… »

Elle venait d’avoir son énorme queue affichée en plein écran sur toute la hauteur de son écran de smartphone. Frénétiquement, elle tapota sur son téléphone pour quitter l’image, certains de ses collègues de l’open space ayant relevé le nez en l’entendant jurer.

- Un problème, Desco ?

« Ah ah. Euh. Non non, c’est bon, j’avais effacé une mauvaise ligne de mon tableau. »

Mais quel connard, il était fou ?! Et pourtant, Kara se pencha sur son portable, en réaffichant la photo, se mordant la lèvre, les pommettes rouges. Merde, elle avait déjà chaud.

Citer
Je suis au bureau aujourd’hui, sois pas en retard, je finis à 17h. Si t’es pas là quand je sors, tu m’auras pas.


Pitié, pitié, sois à l’heure. Vraiment. Elle sentait déjà l’intérieur de ses cuisses parcourues de frissons, juste par anticipation de ce moment de proximité.

A 16h55, Kara avait étrangement éteint son ordinateur, salué ses collègues qui s’étonnèrent de sa rapidité à se barrer, et attendait devant l’immense immeuble. Aller, aller. Souta. Vraiment. Viens.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 11 jeudi 04 février 2021, 08:01:13

Après lui avoir envoyé ces quelques messages pour la chauffer un peu tout en m'amusant, je passe le reste de l'après-midi a configurer mon nouveau portable. Ces trucs sont une vraie plaie. Heureusement qu'ils sont essentiels pour le boulot car pour être franc je m'en passerai bien.
Vient ensuite le transfert de tous mes contacts et la récupération de mes messages. Rien de palpitant en somme.

Aux alentours de 16h je me décide de prendre ma veste et mes clés pour quitter l'appart afin d'arriver un peu en avance pour récupérer Kara à son boulot habituel cette fois. Son bureau est plus près de chez moi. Ce qui a un avantage et un inconvénient. Le trajet retour entre son boulot et son appart sera plus court que celui d'hier. Presque de moitié. Ce qui fait qu'on devra être plus direct dans nos envies.

16h45, me voilà sur les lieux de futures actions pas très catholique. Plusieurs hommes et femmes commencent déjà à sortir. Certains personnes rentrent chez elles et d'autres sont juste là pour prendre l'air et fumer une clope en racontant leur vie, les derniers ragots du coin et cracher sur leur boss. La routine quoi. Je ne prête pas trop attention à ce que ses collègues font et l'attend tranquillement à quelques mètres en face de la porte principale.

Il fait encore un peu frais aujourd'hui. Alors quand elle arrive enfin, je l'attire vers moi en lui saisissant le poignet pour me plaquer contre elle et sentir son énorme poitrine s'écraser sur mon torse en déposant mes lèvres sur les siennes en insérant lentement ma langue dans sa bouche à la recherche de la sienne.
Je ne retiens aucunement les bruits produits par nos lèvres qui s'humidifient rapidement. Ouais, il fait déjà un peu plus chaud là, même si c'est loin de suffire. Ma main droite vient se poser sur sa hanche pour descendre assez vite de façon dangereuse sur son petit cul sans faire remonter sa jupe vu qu'on a du monde autour. On a de toutes les réactions : surprises, choquées... envieuses.

Au bout d'une trentaine de seconde je lui rends sa liberté en l'entraînant plus loin dans un coin tranquille.

- T'en as mis du temps à descendre. Le bus arrive pas avant 10 minutes, alors...

Pas loin de l'arrêt se trouve un petit coin désert où on pourra s'amuser un peu en attendant que notre transport arrive. Pas longtemps, mais chaque seconde compte de toute façon vu que l'on ne peut se voir que de cette façon pour le moment. Je me colle moi-même contre un mur en la venant se faire plaquer sur mon torse à nouveau. Nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre. De quoi sentir le souffle chaud de l'autre sur la peau froide de nos visages.

- Alors, t'as aimé ce que je t'ai envoyé ? C'est fou ces nouveaux portables, on peut voir tous les détails.

Une main repart à la chasse de son cul en glissant cette fois sous sa jupe que je fais remonter illico presto. Mes doigts viennent ensuite rapidement le saisir en s'y plantant comme pour ne plus jamais le lâcher. Je souffle de plus en plus fort contre ses lèvres sans venir l'embrasser. Ce jeu passif-agressif est si enivrant et excitant.

- Je parie que tu t'es imaginée te la prendre bien profond. Sentir la grosse veine épaisse qui remonte sur toute la longueur se frotter sur tes parois humides pendant que ma queue t'ouvre en deux.

Cette fois je viens lui rouler une galoche humide en attrapant sa crinière avec mon autre main pour ne pas qu'elle bouge la tête d'un centimètre. Mes lèvres continuent de jouer avec les siennes durant une longue minute. Puis je tire légèrement sur ses cheveux pour faire aller sa tête en arrière et avoir accès à son cou que je lèche dans un premier temps. Sa peau gagne clairement en température quand je me mets ensuite à l'embrasser délicatement. L'autre main toujours occupée à malaxer son derrière rond et légèrement potelé. Je me retiens même de me laisser aller à le claquer. Ce sera pour plus tard, ou pour une autre fois.

Le bus arrive rapidement, je peux le voir tourner au bout de la rue pour se diriger vers moi. Une nouvelle fois, je libère ma petite employée de bureau en lui souriant de manière coquine.

- Oups, le bus arrive. Honneur aux dames, je te laisse choisir ce qu'on va faire aujourd'hui. Demande-moi ce que tu veux.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 12 vendredi 05 février 2021, 12:29:27

Oh oui ! Il était là, Kara s’était retenue de lui sauter au cou, mais visiblement, lui, n’avait aucune gêne à lui fondre dessus et à lui rouler une pelle du tonnerre. Mais cette attaque lui fait oublier que c’est un comportement peu poli devant tous ses collègues qui quittent le bureau à la même heure. Elle à l’impression que tout le monde les regarde et puis… en un seconde, elle fond dans ses bras. Les gestes de Souta sont loin d’être timides, et dès que leur baiser s’intensifie, Kara se sent surexcitée.
Bon, en réalité, il fallait avouer qu’elle l’était presque déjà, avant, tellement la journée avait été longue avant de le retrouver.

Lorsqu’elle peut enfin parler, passant le bout de sa langue sur ses propres lèvres et réagissant au quart de tour à sa petite pique, la jeune femme ne se fait pas prier pour le suivre à l’abri des regards, ricanant et sautillant presque d’impatience. Bordel, il a un regard de braise, elle a l’impression qu’il se marre, mais qu’il est aussi excité qu’elle…

« Tu déconnes… T’es gonflé de m’envoyer ça, surtout au bureau… J'ai... adoré. »

Souta contre elle la presse contre le mur isolé, elle se sent totalement à sa merci et, ça, il le sait évidemment, ça la rend dingue. Kara pense, une seconde, qu’ils devraient se méfier davantage de ce qu’ils font, pour l’image qu’ils pourraient donner d’eux, mais ça ne dure pas : la respiration du jeune homme sur ses lèvres, sa voix chaude et ses yeux brûlant de désir qui l’aguichent lui font oublier le contexte. Bordel, pour un peu, elle lui aurait demandé de la prendre maintenant. Aller, quoi, juste vite fait, dans la rue. Elle serre les jambes sous un frisson quand la main baladeuse de Souta retrouve son habitude inquisitrice, sa bouche l’attire, elle tend le cou pour l’embrasser, incapable de résister, mais Souta se marre, et se recule juste ce qu’il faut pour la faire enrager.

Un peu, oui, qu’elle s’est imaginer son sexe épais, dur, pulsant et chaud contre sa peau, et ce, dès qu’elle avait aperçu le cliché en gros plan. Cela avait été instinctif, elle avait eu cette image directe en tête, et son corps tout entier s’était souvenu dans un flash des sensations divines que cette queue procurait.

« Soutaaa… » Sa petite voix le suppliait un peu. « Arrête de parler de ta bite… J’en peux déjà plus. Faut tenir toute la semaine ? T’es sûr ? Je connais un hôtel pas loin. »

La description qu’il venait de faire l’avait enflammé, elle le voulait, elle avait envie de le bouffer, de se faire croquer, et leurs baisers reflétaient parfaitement cet état de transe intense. Qu’il agrippe ses cheveux l’électrisa, Kara grogna et mordit ses lèvres, aspirant sa langue en râlant fougueusement. Tant pis pour le bus, elle leva les mains pour les glisser sous son t-shirt, elle voulait le lui arracher sur le champ !

Tout autour d’elle s’efface, sa bouche dans son cou la fait trembler en fermant les yeux, mais évidemment, ce connard d’autocar est à l’heure. Souta, sans doute parfaitement hilare de l’état dans lequel il la met, se détache d’elle facilement, continue de fanfaronner et Kara a presque envie de le gifler.

Ses pas d’abord chancelant prennent la direction de l’arrêt de bus, mais elle attrape le poignet du jeune homme avec fermeté. Toi mon bonhomme, tu ne vas nulle part trop loin. Sans lui répondre, elle grimpe dans le véhicule et le tire un peu sèchement jusqu’au fond, se plantant devant une adolescente assise royalement sur deux sièges.

« Excuse-moi, tu peux aller de l’autre côté ? »

La minette relève les yeux, retire ses écouteurs, incrédule. Les gens se croient tout permis, de nos jours… Et ça marche. Est-ce qu’elle a remarqué que Kara n’allait surement pas accepter de refus ? Ou alors elle a bien compris qu’ils voulaient être tranquilles… Et ne tient pas à tenir la chandelle. L’ado se lève mollement et se traine quelques places plus loin, remettant son casque.

Alors, la jeune femme s’installe près de la vitre et tire brutalement son amant sur le siège à côté, tenant toujours son poignet. Le regard qu’elle lui lance ne laisse pas de place à l’imagination. Elle a faim ! Son bras dirige le sien entre ses cuisses, elle glisse un peu sur son fauteuil pour écarter les jambes, le visage teinté de rouge. Il fait vraiment très chaud dans ce bus.

« Murmure-moi ce que tu as envie de me faire. » Son visage se tord en une petite moue. « Enfin, ce que tu me ferais, sans tes stupides règles à la con. »

Sa main libre glisse sur son cou, bien plus douce que l’autre qui le force à descendre sous sa jupe, pour tirer sa tête et placer la bouche de Souta contre son oreille. D’instinct, Kara ferme les yeux et serre ses doigts sur sa nuque.

« J’veux des détails, hein. Que ça me réveille cette nuit, et que mes doigts me démangent. Comme hier… Oh, putain. Si tu savais… »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 13 mercredi 10 février 2021, 20:05:45

La nouvelle Kara est une vraie boule de perversité. Un peu plus tôt elle se laissait faire et semblait limite sur le point de me forcer à la garder dans ce petit coin pour aller jusqu'au bout des choses. Mais au bout du compte nous voilà au fond du bus après avoir chassé une pauvre ado qui n'avait rien demandé. La jeune fille vient de se poser, avec ses affaires, à la rangée devant la nôtre. Probablement pour avoir la paix.

L'ordre du jour ne se fait pas tarder bien longtemps. Comme je m'y attendais vu son état. Il ne faut désormais plus grand chose pour allumer la minuscule mèche qui mettra les feux aux poudres avec elle. J'ignore si c'est l'excitation ou l'envie de contrôler la situation qui la pousse à me bloquer contre elle et je m'en moque. Le froid qui régnait il y a encore quelques instants autour de nous à céder sa place à une enveloppe corporelle brûlante et prête à faire fondre tout ce qu'elle touche. Même si je suis sa seule cible pour le moment.

D'abord bloqués par son propre geste, je parviens à me libérer de son emprise pour faire remonter sa jupe.

- Je crois que j'ai une petite idée.

Ma main glisse alors sur le haut de sa cuisse sans perdre une seconde. Elle veut savoir ce que je lui ferais si la situation était différente ? Eh ben elle va être servie ma vendeuse. Inutile de me tourner pour visualiser la scène dans mes pensées alors que je me lance dans la description de la scène où elle serait l'actrice principale.
Un premier souffle d'abord, pour me lancer... Puis je me lance.

- Tu vois l'espace avec les quatre sièges juste devant nous ?

Dans les grands bus comme celui-ci il y a souvent des sièges par groupe de quatre. Deux dans un sens et deux autres tournés dans la direction opposée. Un peu comme dans le métro. Et, bien sûr, un de chaque côté du bus. Ce soir les deux espaces sont quasiment vides. Mais Kara peut clairement les voir d'où nous sommes.
Mes doigts commencent alors leur inquisition en même temps que mon récit démarre.

- Je te pousserais dessus pour que tu te retrouves un genou sur chaque siège. Les cuisses bien écartées, la jupe relevée au-dessus de ton petit cul pour que toutes les personnes au regard baladeur puissent l'admirer. Le trajet est court, alors je perdrais pas mon temps et me positionnerait à genoux sur le sol du bus pour commencer à te bouffer la chatte en décalant ta culotte sur le côté d'une main. L'autre se chargeant d'écarter tes petits lèvres sensibles pour me débarrasser le passage.

La température monte et je m'amuse à souffler encore plus chaud dans son oreille alors que je déballe chaque action qui est illustrée avec mes doigts qui s'enfoncent en elle. Quand ils ne s'amusent pas à se tordre légèrement pour la stimuler au maximum.

- Il ne faudra pas plus de cinq minutes pour que tout le bus se tourne vers toi pour te regarder mouiller comme la chienne en manque que t'es. Même le chauffeur aurait les yeux rivés sur les caméras au moindre arrêt. Ma langue bien calée dans ta fente trempée, je m'amuse à aspirer ton jus aussi fort que possible. Deux doigts venant te préparer et t'écarter au maximum.
Deux minutes plus tard je me relève et sors ma queue brûlante que je viens placer à l'entrée de ta chatte. Le souffle lourd, je prends appuie des deux mains sur les reposes têtes en plastique au-dessus de chaque siège pour avoir un bras de chaque côté de toi et je commence à te pilonner sans réfléchir.


Je reprends ma respiration l'espace d'un instant en venant lui mordiller l'oreille au passage. La chose ne s'arrête pas là. Alors que mes doigts remuent avec un rythme plus soutenu entre ses cuisses, mes lèvres descendent un peu pour lui lécher et lui embrasser la nuque. L'espace de quelques secondes seulement. De nouveau revenu à la bonne hauteur je reprends mon histoire.

- Je me contente pas de te baiser, oh non. A chaque coup de bite qui vient cogner au fond de ton utérus, ton corps se fait écraser contre les sièges. La forme des sièges te fait rapidement mal à la poitrine car elle n'arrête pas de rebondir après avoir jailli de ton haut trop serré.
Rapidement un inconnu viendra se présenter avec la bite à la main pour te montrer à quel point ça l'excite de te voir de faire démonter comme dans un vulgaire film porno. Il hésitera quelques secondes avant de demander si tu peux le sucer. Mais je refuse. Pas par jalousie.
Je lui explique que je veux t'entendre hurler en revenant faire claquer mon bassin sur ton cul. Accélérant le rythme et la force de chaque coup. De toute façon je te bloque dans cette position et tu ne peux rien faire d'autre que de me servir de vide couilles en criant ton plaisir.


Un troisième doigt vient rejoindre les autres pendant que j'enclenche la dernière ligne de ce fantasme particulier.

- Contrairement aux autres fois je ne me retiens pas pour faire durer le plaisir. Je veux que ce soit sale, que ce soit rapide. Tout en montrant à toutes les personnes qui sont présentes, qui nous regardent ou nous filment avec leur portable, que tu es ma salope. Une petite chienne soumise qui aime se faire baiser partout, tout le temps.
Je te force alors de crier devant leurs écrans que tu veux te faire remplir. Satisfait, je te pilonne, encore et encore, écartant les parois sensibles et humides de ta chatte qui me le rends bien en me massant et m'écrasant de plus en plus fort. Mais tu sais que trop bien que ça ne m'arrête pas. Il ne faut pas plus de dix secondes pour réaliser ton souhait. Le sperme gélatineux envahit rapidement ton corps de l'intérieur. Ton corps écrasé sur le siège par le mien, la bouche grande ouverte je te bave sur le visage tout en soupirant de plaisir entre deux insultes bien méritées.
Pour finir je t'attrape les cheveux pour te faire descendre d'un niveau et te retrouver au sol. J'essuie alors ma queue sur ton visage déformé par le plaisir en t'ordonnant de nettoyer ma queue. Ce que tu sais si bien faire désormais.

Quelques secondes après, notre arrêt arrive et on descend rapidement comme on peut en nous rhabillant.


Drôle signe du destin... Il ne reste que deux ou trois stations avant l'arrêt de Kara.

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 14 vendredi 12 février 2021, 16:59:37

Nom de Dieu !
La sueur perlant à son front, Kara suit du regard la direction désignée par Souta, observe parfaitement l’emplacement qu’il lui décrit et sans avoir besoin qu’il commence à parler, électrisée par le plaisir que ses doigts provoquent en débutant leur conquête, il semble qu’elle ait déjà mille images de ce qui pourrait bien se jouer sur ces quatre sièges, là-bas.

Ses yeux fixent le bloc, tendant l’oreille où la voix chaude, suave -ah, l’enfoiré il en joue !- l’amène au bord des gémissements dès qu’il ouvre la bouche. Elle avait réclamé des détails et il fallait avouer que Souta n’en est pas avare, relatant comme il faut les positions qu’il lui ferait prendre, ses gestes, et de toutes ces descriptions, nait une vision assez claire de ce scenario torride.

C’est osé, évidemment, et à chaque nouvelle phrase bien dosée au creux de son oreille, un coup ample de sa main lui fait sentir, entre ses cuisses, combien il mettrait d’énergie à la prendre au milieu du bus. En quelques évocations, Kara oublie l’incongruité de ce conte et se l’imagine parfaitement plausible, l’excitation lui donne des bouffées de chaleur.

Elle n’est pas lente à devoir retenir ses gémissements, lâchant des couinements quand le plaisir est trop grand, qu’il faut se mordre la lèvre pour réussir à ne pas grogner trop fort. Plus il parle, pire c’est. Sa voix la rend dingue, ses yeux s’assèchent à force de fixer sans ciller le bloc de quatre fauteuils. Plus c’est osé, plus elle sent son entre-jambe bouillir, mouillant abandonnement. Merde. C’est pourtant pas grand-chose, et elle est déjà dans tous ses états.

Souta souffle sur sa peau, la mordille, l’embrasse à des endroits trop sensibles, il l’allume, il attise si bien les flammes qui déjà la consument. Quel enfoiré. Quel enfoiré. Kara tremble sur son siège, à vrai dire, tout son corps semble être devenu une zone érogène… En se dandinant, elle s’accroche au dossier devant elle d’une main, et de l’autre, attrape sa nuque pour le forcer à rester contre son cou.

A bout de souffle, se demandant comment elle va réussir à tenir encore une seconde de plus, tellement il l’excite, Kara gronde dans un murmure rauque.

« Putain. » Sa gorge lui fait mal. « Souta, aller, t’es sûr pour ta règle de merde… t’sais… sur les plaisirs en solitaire. Laisse-moi au moins ça. »

Son ton était limite implorant, mais elle s’interrompit pour fondre sur ses lèvres et l’embrasser en lui aspirant la lèvre avec avidité. N’avait-il aucune pitié ?!

« Je tiendrai jamais. » Kara soupire trop bruyamment, son intimité se contracte en redoublant de tremblements, alors qu’elle ferme les yeux pour essayer de parler de manière intelligible.

« Aller, quoi. Vas pas bosser. Viens chez moi. Baise-moi. Regarde comme je suis mouillée... »

Quand elle ouvre les yeux, elle a un sursaut de panique.

« Merde ! » Elle se lève, le pousse. C’est leur arrêt. Kara escalade Souta à la hâte, le tire derrière elle et court dans l’allée, jusqu’à le pousser dehors et le plaque contre l’arrêt de bus. Sa langue remonte jusqu’à sa mâchoire.

« Laisse-moi me toucher ce soir, en repensant à tout ce que tu m’as dit. J’en peux plus. J’en peux plus. »

Comme si elle voulait l’amadouer, contre lui, la main qui ne tient pas son poignet se plaque sur la belle bosse de son pantalon, espérant le faire changer d’avis. Aller, quoi, les règles, c’est fait pour être transgressé…




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