Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => La zone industrielle => Discussion démarrée par: Kara Desco le jeudi 28 janvier 2021, 16:42:00

Titre: Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 28 janvier 2021, 16:42:00
- Desco, je parie que t’as un mec.

« Euh, qu’est-ce qui te fait dire ça ? »

- T’es pimpée comme une nana, et t’as un regard bizarre.

Kara lui lança une œillade mortelle, le fusillant. Quel connard ce Baku, au physique ingrat, lui qui avait toujours un air de la mater sans aucune gêne. Et surtout, il aimait profondément emmerder le monde, en posant des questions, en se moquant, en titillant les gens là où ça pouvait faire mal. Surement pour compenser son absence de sexappeal. Elle baissa la tête pour observer son tailleur noir : c’était le même qu’habituellement, et oui, bon, sa chemise était repassée cette fois, et pas uniquement lissée rapidement au sèche-cheveux sur les endroits visibles seulement. Elle avait bien donné cette forme propre au col, et retroussé légèrement ses manches. Peut-être, oui, peut-être qu’elle s’était coiffée un peu mieux, coupant sa frange aux petits ciseaux à ongles comme elle pouvait devant sa glace, pour égaliser, quoi. Elle était maquillée, aussi, peut-être plus que d’habitude mais bon, ça va, on a plus le droit d’être apprêtée pour rien ? Il fallait que ce soit forcément pour un homme ?

Pour l’expression de son regard, Kara n’y pouvait cependant rien ; depuis son retour à la réalité, loin de la suite de luxe de la veille, il était impossible de se dépeindre d’une sorte d’aura épanouie. Au point que la remarque de Baku la fit sourire, niaisement. Il éclata de rire.

- Putain, j’avais raison, t’as un mec ! Hé ! Tetsu ! Desco s’est enfin envoyée en l’air ! Ca se fête !

Elle leva les yeux au ciel, mais ne sut les contredire. Etrangement, c’était marrant de les voir rire de sa situation et puis… c’était assez vrai. Le second collègue avait levé la tête de son ordinateur, le téléphone à l’oreille, et levait le pouce pour la féliciter, une expression vraiment obscène sur le visage lorsqu’il clignait de l’œil.

« Mais occupez-vous de votre cul, vous deux. »

Et c’est comme ça qu’elle s’était retrouvée à aller « fêter » ça avec une bonne partie du service des Ventes. Même Phil était là. Grosse ambiance… C’était limite gênant. Surtout ce moment où le Directeur avait demandé « Et on fête quoi déjà ? ». Kara était devenue toute rouge et fort heureusement, l’alcool avait aidé à démystifier cette situation bizarre. Au moins avait-elle bu à l’œil et fait marrer les convives. Par contre, lorsqu’ils avaient réclamé des détails, elle avait poliment demandé à ce qu’ils ferment leur gueule, avec tout le respect qu’elle leur devait, surtout toi, Phil.

Les jours suivants, étrangement, l’ambiance au bureau était beaucoup plus détendue. Ce n’était pas un mal, et elle avait la chance d’être hors terrain, pour pouvoir souffler tranquillement. Evidemment, merci les gars, lorsqu’elle descendait dans les étages, certains collègues ne manquaient pas d’avoir eu l’information vital et essentielle sur sa vie sexuelle, les rumeurs allaient vite.

A vrai dire, elle se retenait d’envoyer des sms à Souta. Il l’avait prévenu qu’il bossait, elle n’était pas sûre de vouloir passer pour une nana collante… Alors elle reprenait sa vie, comme avant. Le boulot, le métro, les jeux. A son réveil, un matin, son portable affichait un message qui la fit sursauter. Merde, c’était une réaction de midinette, quel enfer. Souta lui proposait de se voir en fin d’après-midi, après son boulot… Il fallait attendre un peu avant de répondre, pour ne pas avoir l’air si intéressée que cela.
C’est pourquoi elle pianota immédiatement :

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Hey.
Suis en formation aujourd’hui, sur la Zone Indus, passe me prendre à 17h, je t’envoie l’adresse.

Comment fallait-il finir ? « Bisous ? » ou juste « Salut » ? Elle soupira en se levant.

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A ce soir !

Ouais, c’était bien ça. Pis au moins, elle n’avait pas trop à se prononcer. La journée allait être longue et pénible, mais cette fois, la formation au Labo pour la présentation des nouveaux produits passeraient plus vite, puisqu’elle avait une échéance sympa.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 28 janvier 2021, 18:48:54
Quelques jours se sont écoulés après le véritable marathon qui a eu lieu à l'hôtel. A défaut d'avoir évolué de manière classique comme c'est le cas entre les personnes qui aiment se mettre généralement en couple pour suivre les dictats de la société actuelle, on peut dire qu'elle suit son rythme tranquillement.

Depuis quelques temps je bosse surtout de nuit à la protection d'un homme d'affaire à la demande d'un ancien partenaire qui s'est retrouvé en galère lorsqu'un des hommes du dispositif de sécurité privé du client a perdu un bras en allant nourrir son crocodile de compagnie.
Comment on peut perdre un bras comme ça ? Le gars y est allé au culot ou quoi ? Il y avait pas de barrière ou de tige en métal pour faire passer la bouffe en sécurité ?
Ou alors ça sent le pari débile perdu ou le "T'es pas cap' !". Au final il aurait mieux de passer pour un con en en se dégonflant.

Les horaires décalés ne m'aident pas car je dois également modifier ma routine entre l'entraînement, le régime qui est bien plus strict et le métabolisme qui va mettre du temps à éliminer mes propres conneries en plus de s'habituer lentement à ce nouveau quotidien qui risque de durer un peu plus d'une semaine.
Le contrat de base est supposé durer quatre jour. Or, il faut toujours dégager deux ou trois journées de plus au cas où si un pépin vient pointer le bout de sa tronche.

Histoire de conserver certains repères, je décide d'envoyer un message à Kara en rentrant au petit matin sans faire trop gaffe à l'heure. Au pire elle dort encore et le verra plus tard. Puis c'est pas comme si elle allait quitte son taff alors que les gens qui trainent leur cul dehors cherchent sûrement un after.

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Sur les coups de 14h je me lève et constate qu'elle m'a répondu pour me préciser qu'elle sera pas au bureau. Au moins il y a l'adresse et l'heure à laquelle elle termine. En vrifiant rapidement je constate qu'un bus passe bien par là-bas. Ce qui es logique vu que les petits employés d'usines prennent pas leur bagnole pour bosser.

En bon gentleman je lui renvoie rapidement un :
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Ca marche !

Entraînement léger, douche, bouffe, le temps défile très vite et je me fringue avec un jean, un t-shirt et une veste en cuir parce que le temps se gâte un peu en ce moment. On a rarement froid avec elle dans le coin, mais en attendant...

Je profite du chemin aller en bus pour m'assurer que ce dernier durera trois bons quarts d'heures minimum. Avec l'avantage que la ligne est quasiment réservé aux travailleurs qui seront trop crevés pour faire gaffe à ce qui pourrait se passer dans le bus. Un gars pourrait sortir une arme et tirer dans le tas qu'ils sûrement trop fatigués pour tenter de s'enfuir.

Arrivé sur les lieux à 16h55 j'envoie un message tout simple :
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J'suis à l'arrêt en bas.

J'attends alors tranquillement en observant le coin qui est toujours d'une tristesse absolue. Au moins le coin est sûr. Qui irait installer ses affaires dans un coin pareil ? Probablement quelques dealeurs qui veulent des stimulants à des gars qui veulent tenir le rythme, mais ça ira pas plus loin.

Kara arrive quasiment en même temps que le bus. A dix secondes près elle était bonne pour un petit sprint. Une fois à portée je lui attrape la main et l'entraîne tranquillement avec moi dans le bus en saluant chaudement le chauffeur comme un mec propre sur lui qui ne va rien faire de tordu dans son véhicule.

Après un petit balayage rapide du regard, je soupire de soulagement en voyant que les deux dernières rangées sont complètement vide.

- Viens, on va se mettre là-bas. On sera tranquilles.

Après avoir évité une mémé et son caniche, des employées qui parlent entre elles en se montrant leur portable et autres passagers, nous voilà à la dernière rangée. Je me glisse d'ailleurs au fond du côté de la fenêtre.
Je me tourne alors vers Kara en attendant qu'elle s'installe et lui roule une bonne galoche bien baveuse à peine ses fesses posées sur le tissu de son siège qui ne perdrait pas à être remplacé.

- Alors, comment ça va toi ?

La question sort rapidement alors que je libère ses lèvres. Y a pas à dire, elle tient chaud la petite vendeuse. Faut dire que ça m'avait manqué après avoir passé tout ce temps entouré de mecs qui font que parler sport et bagnole. Enfin ça c'est qu'une petite partie du groupe. La majorité passait son temps à causer des nanas qu'ils sautent chaque soir pendant qu'ils sont sur place avant de retourner dans leur pays croyant qui prône l'abstinence ou le mariage pour s'envoyer en l'air. Aaaaah, comment ils font pour tenir les pauvres ?

- J'ai attendu de reprendre le rythme du boulot avant de t'appeler. Mais je pense qu'on pourra se voir au moins le temps du trajet pendant quelques soirs cette semaine. Si ça te dit.

Faudra attendre encore un peu pour son invitation comme elle l'avait suggéré l'autre soir. Ca se fera, absolument, le moment venu.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 28 janvier 2021, 20:40:24
Les choses s’enchaînant un peu vite, Kara se met seulement à souffler lorsque Souta se détache de sa bouche, qu’il vient de littéralement dévorer avidement. Wouah, elle ne s’attendait pas à ça… C’est qu’il était passionné, le petit Souta, finalement. Enfin, pas que pendant les séances de sexe, s’entend. Elle tente de reprendre sa respiration, sans doute parce qu’elle s’est pressée de descendre les escaliers du Labo à peine sa formation terminée… impatiente de le voir ? Pff, non, pas du tout, juste euh. Parce que c’est toujours bien de faire un petit sprint dans les escaliers.

S’installant un peu mieux, elle prend le temps de regarder autour d’elle, maintenant qu’elle en a l’occasion et fait une petite moue, avant de croiser le regard d’ambre et de ricaner.

« On passe donc de la voiture de sport à la citadine, et maintenant le bus… Alors, toi plus tu m’baises, moins tu fais d’efforts ! » C’était évidemment une pique gratuite : la soirée à l’hôtel luxueux était un contre-exemple qu’elle avait bien en tête, mais Kara n’allait pas se priver de lui faire remarquer la baisse de standing.

Pour faire passer un peu son sarcasme, sans savoir trop pourquoi elle n’avait pas envie de trop l’agacer, la jeune femme se pencha pour claquer une bise taquine sur sa joue.

« Je vais bien, ouais. » C’était bateau, mais… Ben, c’était vrai. Elle allait étrangement bien depuis quelques jours. Pourtant, elle se sentit bête d’avouer ça, comme ça.

En pinçant les lèvres, elle l’écouta en l’observant.

« Tu… Tu voudrais venir me chercher au bureau le soir, c’est ça ? Genre, plusieurs soirs par semaine ? »

C’était pas un peu euh… régulier et sérieux, ça ? Kara cilla, fronça les sourcils, comme si elle avait mal compris ce qu’il venait de dire. C’était étrange, à chaque fois qu’elle revoyait Souta après quelques jours, après une séance de sexe débridée et torride, elle se sentait toujours très bizarre, penaude, mal à l’aise. Comme si elle ignorait comment se comporter avec lui. Comme si elle hésitait entre être tendre, douce, aimante, distante, froide, amicale…

D’un coup, pourtant, elle sembla choisir quelle attitude adopter, et s’approcha de sa bouche rapidement, un regard complice et un peu provoquant.

« Dis-donc, fais gaffe, parce qu’on pourrait croire que t’as envie de me voir souvent. T’es tant en manque que ça ? T’as aucune autre copine sous la main ? »

C’était tout elle, ça. Tourner en dérision, se moquer, pour éviter d’avoir à penser à des choses sérieuses ou sentimentales. Peut-être qu’elle avait raison, après tout, et qu’il n’avait personne d’autre à voir, du coup, il se rabattait sur elle ?
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 28 janvier 2021, 21:09:25
La réponse à ma question ne met pas trop de temps à venir. Par contre elle semble hésitante quelques instants avant de s'approcher de manière taquine. Après que je réponde moi même par l'affirmative à sa première réaction qui était de revenir sur ma demande.

La mienne, de réponse, se fait en plusieurs partie.

- Justement, c'est un peu le but si je passe te prendre.

Ma main se pose alors sur sa cuisse en remontant tout doucement alors que je reviens l'emballer en y mettant la langue de manière plus intrusive et directe. Le baiser se veut plus chaud, plus long, plus baveux. Mes lèvres partent chercher les siennes avant de s'enfuir rapidement pour mieux revenir à la charge dans la foulée. La seule sur laquelle je me retiens ce sont les sons vu que je ne cherche pas non plus à ce qu'on se transforme en spectacle pour les autres passagers.

La chose continue jusqu'à l'arrêt suivant. Le temps pour les gens de descendre et de monter pour prendre place sans qu'aucun ne s'approche vraiment de nous. La voie est donc toujours libre de ce côté et je peux poursuivre sans problème.

- Ouais, ça m'a manqué pas mal de faire certains trucs. Pas toi ?

Sa jupe remonte délicatement à cause de ma main qui entraîne cette dernière pour finir par glisser quelques doigts à l'entrée contre ses lèvres intimes sans forcer. Encore une fois, gentlemen, je frappe à la porte avant d'entrer. Du bout des doigts je viens titiller son clitoris et ses lèvres pour jouer alors que ma bouche se glisse sans son cou pour reprendre de plus belle les baisers pendant encore un arrêt de plus. Faut dire que ceux-ci ne sont pas bien longs. L'espace de trois ou quatre minutes environ. A croire que personne ne marche jamais dans cette ville.
Heureusement le suivant est plus long que les précédents.

- J'ai tout ce qui faut... sous la main, merci.

Juste avant de dire ça, je retire la mimine qui se baladait entre ses cuisses pour déboutonner son haut et ensuite glisser ma main en-dessous pour venir me saisir de sa poitrine toujours aussi généreuse et moelleuse.
On ne parle plus de l'avoir sous, mais dans la main vu le contexte.

Je me mets alors à malaxer cette merveille de la nature en lui soupirant de plaisir dans l'oreille. Avec force et douceur à la fois. Faut dire que j'ai de la pratique avec elle désormais et je commence à savoir comment elle aime ses massages la Kara.

- Après... Si t'as pas envie je vais pas te forcer.

Tout en terminant ma phrase j'empoigne son sein bien fort en déposant ma langue dans sa nuque pour la faire remonter jusqu'à ses lèvres pour lui rouler une dernière pelle dans l'attente de sa réponse.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 29 janvier 2021, 11:21:10
 Immédiatement, les gestes de Souta semblent -enfin- trouver une signification dans le petit cerveau de Kara. Elle écarquilla les yeux en sentant ses doigts remonter comme des serpents entre ses cuisses, soulever discrètement sa jupe, s’immiscer contre sa culotte. Oh, merde, elle eut immédiatement chaud, et ensuite, la poigne dans son décolleté lui fit tourner la tête.

« O… Oui. » Comment faire autrement que lui avouer que ça lui avait manqué ? On tombait vite accro à ces sensations merveilleuses, à la tension, aux palpitations, aux jeux sensuels, aux provocations. Vite accro à ses lèvres, qui lui dévorent le cou avidement ?

« Oh, bordel, Souta, tu m’as manquée, oui. »

Elle gémit presque, déjà, c’est instinctif, et Kara semble se rappeler où ils sont, fermant la bouche d’un coup, en déglutissant. Ce qu’il dit est touchant, il a l’air mignon comme ça, pour une fois, alors que ce qu’il dit contraste avec l’impression général qu’il donne, de se foutre de tout, que rien n’a d’importance… A le voir aussi passionné, presque tendre, Kara devrait lui envoyer une petite pique dans la figure, lui faire remarquer qu’il est ridicule, qu’on dirait un amoureux de série.

Mais elle a trop chaud et… et elle n’en a même pas envie. Pas envie de briser ce moment, pas envie de l’agacer, pas envie de le blesser, même. Il a l’air de se sentir bien, et bizarrement… Elle aussi.

Plus il joue avec sa poitrine, plus Kara se dandine sur son siège vieillot, et sa main vient se poser sur son genou comme pour répondre à ses provocations, serrant sa cuisse dès qu’il met dans le mille, par une caresse, un pincement, une attention. Il sait ce qu’elle aime, c’est agréable, c’est rassurant, c’est plaisant de ne pas avoir à se préoccuper de cela, de savoir si Monsieur sera décevant ou non… Kara soupire en silence.

Quoi ? Pas la forcer ? A ces mots, Kara crut qu’il allait tout arrêter, et sa main pressa plus fort encore sa cuisse musclée comme pour le retenir, lui interdire de s’éloigner, mais au lieu de cela, elle le sent redoubler de vigueur sur son sein, et fondre sur son visage pour lui voler la bouche.

Il est avide, il est fou ! Ils sont dans le bus, tout de même.
Mais elle se laisse totalement fondre et se tourne vers lui comme pour faire barrière avec son dos face aux regards, en profitant pour l’enlacer en se tortillant. Elle agrippe son menton et sa joue d’une main pour qu’il ne se recule pas de son visage.

« Non non non. Tu restes là. Continue. » Sa respiration était déjà chaude, il l’avait excitée en un éclair. « Tu vas pas me laisser dans cet état, maintenant que tu m’as allumé, assume. » Elle ronronna contre ses lèvres, les yeux mi-clos, en léchant sa bouche, provoquante. Le seul risque était qu’elle couine trop fort, elle cilla pour le mettre en garde.

« Vas-y doucement, si non je vais gueuler. »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 29 janvier 2021, 11:50:39
Jouer dans les transports en commun, en particulier un bus, a ses avantages et ses défauts. Dans le cas actuel Kara ne peut pas faire plus que de se coller contre moi vu que les deux sièges de devant l'empêche de me chevaucher pour se tenir face à moi.

Sa main sur ma cuisse semble posée là avec l'envie de s'y accrocher comme si un gouffre se trouvait sous ses pieds et qu'elle risquait de se faire engloutir par ce dernier. La vendeuse démarre désormais au quart de tour dès qu'on active son interrupteur. Et même en débranchant la prise je pense que son moteur ne s'éteindra pas avant d'en avoir utilisé toute l'énergie qui est en elle.

Mes lèvres viennent capturer sa langue pour l'aspirer de manière légèrement audible pour la chauffer un peu avant qu'on se remette à tenter un duel de langues. Oui, c'est plus un affrontement qu'une danse là. Ma main n'est pas en reste sur la peau douce et la texture malléable de sa poitrine qui s'adapte à mes doigts lorsqu'ils s'enfoncent légèrement dedans. Ma paume aussi s'amuse à venir se frotter sur son téton déjà dressé par l'excitation évidente de ma partenaire.

- Tu vas gueuler quoi ? Que t'es ma salope ? Comme l'autre jour.

Ma seconde main passe dans son dos avec difficulté vu nos positions pour faire remonter encore un peu sa jupe et venir lui peloter son petit cul par-dessus sa culotte. Je m'amuse même à laisser une phalange traîner par moment de façon dangereuse à l'entrée de son anus sans y pénétrer. Juste de quoi  lui faire comprendre que la chose es possible si l'envie m'en dit.

Après un énième baiser et deux autres arrêts de plus qui ont été franchis sans qu'elle ne s'en aperçoive, je décide de calmer un peu les choses pour lui expliquer ce que j'ai en tête.

- Si on faisait un petit jeu cette semaine ? Du genre qui devrait te plaire.

En lui annonçant ça je me saisis de son mamelon dressé  avec deux de mes doigts pour venir jouer sur ce dernier. Le pinçant délicatement ou en venant  en tracer le contour du bout des doigts.

- Chaque jour on aura droit de choisir où on veut s'assoir et de donner un ordre, ou une consigne, à l'autre qui devra l’exécuter durant le trajet.

Histoire de la motiver un peu plus, si cela est vraiment nécessaire, je fais appuyer un peu plus fort sur son anus le doigt qui est resté placé à cet endroit si stratégique jusque là. Mon visage aux lèvres encore humides et couvertes de nos deux salives se glisse sur le côté et se mélange à ses cheveux pour lui faire un dernier commentaire à l'oreille.

- Si je m'écoutais j'ouvrirai mon jean pour te prendre ici devant tout le monde. Mais ce serait pas drôle. J'ai vu à quel point ça t'a excitée de te faire baiser contre le mur en verre. On sait tous les deux que ce jeu va te plaire autant qu'à moi.

Mon doigt appuie encore légèremenr plus fort, menaçant de venir pénétrer son petit trou sans défense. Pour rebrousser chemin immédiatement.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 30 janvier 2021, 14:14:06
L’action conjuguée de cette main sur sa poitrine, et celle, perfide, qui descend entre ses fesses force Kara à se mordre la lèvre en stoppant leurs baisers dévastateurs. Elle avait vraiment manqué de grogner fort, et elle lui lance un regard aussi menaçant qu’avide. Quel tentateur ! Il la provoque à chaque mouvement, et chaque parole. La chaleur envahit son corps et la contraint à se dandiner sur place.

« Jvais gueuler que t’es un petit enfoiré pervers. »

Mais son jeu la rend fiévreuse, elle adore cette sensation caractéristique d’appréhension et de frustration, elle adore lorsqu’il fait monter la température, qu’il a l’air de tout maîtriser, qu’il s’amuse à la taquiner. Oh, bien sûr, ça la met hors d’elle, et elle a envie de réagir, mais le bus les en empêche. C’est alors qu’il lui propose un petit jeu sur la semaine, et, intriguée, Kara ouvre la bouche sous l’attaque sournoise qui la pince. La pointe de plaisir lui fait serrer les cuisses et se recroqueviller sa main sur la jambe de Souta.

« D… D’accord. Mais rien qui nous attire des ennuis. »

Même si la situation était vraiment terriblement excitante, qu’elle se sentait pousser des ailes sous le désir qu’il réussissait sans peine à faire grimper chez elle, la jeune femme n’avait aucune envie de se retrouver chez les flics. Cette pensée l’angoissa, une seconde, mais la pression de son doigt contre son anus la fait suffoquer et pouf, le risque semble désormais partir très très loin. Bordel, la voix torride de Souda contre son oreille l’électrise et la met en transe, ce qu’il dit lui évoque des images brûlantes.

Pire, elle sait désormais qu’elle va adorer ce petit jeu, qu’elle va être frustrée et qu’elle va adorer, qu’ils vont se chauffer, se faire du bien, et qu’ils vont réellement apprécier ; A leur première rencontre, elle aurait pu croire qu’il ne faisait que l’allumer, s’il lui avait soufflé ça à l’oreille, mais après l’expérience de ces derniers jours, elle savait qu’ils s’éclataient ensemble, qu’ils s’attiraient sans savoir pourquoi ni comment, et qu’il la rend dingue.

La pression monte, à mesure qu’il appuie, elle en vient à espérer qu’il se lâche, se reprend, espère encore plus, soupire. Sa respiration s’emballe et sa main monte dans ses cheveux d’argent pour les lui tirer suffisamment pour qu’il remonte la tête, et qu’elle puisse lécher sa jugulaire.

« Ok, ok, j’vais perdre à ton jeu, tu sais. Commence, t’as choisi où on s’assoit. J’vais devoir prévoir un change de sous-vêtement toute la semaine, avec tes conneries. »

Ses dent raclent sa peau comme pour se venger du pouvoir qu’il a sur elle, l’embrassant par intervalle irrégulier, pour faire passer ses morsures, pendant que sa main tire toujours ses mèches claires, et que l’autre remonte sur son jean jusqu’à son entrejambe.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 31 janvier 2021, 08:55:22
Le temps passe vite quand on s'amuse. Beaucoup trop vite même je serais tenter de penser. A force de parler et de jouer tranquillement, le bus ne devrait plus tarder à arriver à la moitié de notre trajet. Ce qui implique que l'on ne pourra rien faire de concret sur cette première fois. Je m'y étais préparé, même si ça reste assez décevant.

Ma main qui joue avec sa poitrine quitte la chaleur de son haut pour redescendre et lui caresser le ventre pour ressortir complètement et se poser sur celle de Kara au niveau de ma cuisse pour la faire remonter plus vite et passer sur la bosse qui déforme de manière évidente mon jean.

- Il y aura pas de gagnant ou de perdant, juste du fun. Beaucoup de fun. Et des culottes trempées, ouais. Mais ça c'est parce que tu t'es une sacrée cochonne.

Je l'encourage alors à faire des mouvements d'avant en arrière sur ma queue par-dessus mon jean avant de repartir ailleurs. Plus haut, afin de déboucler ma ceinture non sans difficulté. Une fois réussi, je déboutonne mon jean et fais descendre ma braguette et je tire sur mon boxer. Sauf que l'espace est trop réduit pour que je puisse sortir mon engin de là. Pour y parvenir je suis obligé de me redresser légèrement, quitte à me faire surprendre au passage. Mais tant pis, je tente ma chance.

- On dirait que personne m'a vu.

Amusé et en train de rigoler légèrement, je présente mon organe tendu et braqué vers le toit du bus. Le gland encore partiellement protégé du froid par le prépuce qui lui sert de bouclier improvisé. Pourtant, vu la chaleur qu'il dégage, mon sexe n'a pas besoin de la moindre protection. Juste d'un peu d'attention de la part de celle qui a su jouer avec de façon si experte l'autre soir.

- Tu voulais savoir si tu m'as manqué, bah en voilà une preuve.

Ma position assise est pas hyper confortable là car je suis quasiment assis sur mon jean pour ne pas qu'il tombe à mes chevilles. Mon boxer, lui, est calé au niveau de mes couilles, juste en dessous. Ca tire un peu, mais rien de bien contraignant ou douloureux. Je peux faire avec pour le reste du trajet. L'air frais qui va et vient entre les fenêtres entrouvertes et les portes qui vont entrer le vent à chaque arrêt est terriblement excitant. On est dans un lieu quasiment clos avec des inconnus après tout. Le risque d'être rejoint et vu reste entier.

- Je bande comme un âne depuis deux jours à cause de toi. Et ça va durer encore plusieurs jours.

Je repars l'embrasser en posant ma main dans son dos pour la faire remonter et descendre sur sa peau brûlante. M'arrêtant pile au niveau de sa raie, tentant parfois de gagner quelques centimètres pour lui faire croire que je vais revenir jouer avec son petit trou. Ma seconde main, elle, vient vérifier l'état de sa culotte et titille que très légèrement son clitoris.

- Je m'imagine déjà te faire hurler en écartant les parois humides de ta chatte étroite avec ma grosse bite. Comme la première fois dans le jardin ou je te tenais à bout de bras. Hmmmmmm ! C'était juste parfait.

A défaut de bite, je peux glisser deux doigts qui se plient légèrement à l'entrée de son vagin pour la stimuler un peu. Sans lâcher son clitoris qui est caressé par ma paume.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 01 février 2021, 19:51:04
Oh merde, il y allait fort ! Sans aucune gêne, il avait sorti son sexe, comme ça. D’un regard, elle balaya autour d’elle les visages tournés vers l’avant du bus, ou vers la vitre. Tout le monde paraissait comater et détester sa vie… Un peu rassurée, et extrêmement excitée par la situation, par les mots de Souta qui soufflent sur ses braises déjà bien prises, elle vient replacer sa main où elle se trouvait juste avant qu’il ne libère la bête.

Sa paume couvre partiellement son membre dur, il semble aussi surexcité qu’elle, c’est grisant. Kara esquisse un sourire carnassier, tant retrouver le contact de sa peau brûlante la ravit, comme un soulagement après plusieurs jours sans se voir. Elle doit l’avouer. Il lui a manqué, son corps lui a manqué.

« J’vois ça, oui… » Elle chuchote pour espérer ne pas être entendue, étouffe un gémissement lorsqu’elle le caresse et le colle contre son ventre pour frotter ses doigts pour tirer sa peau. Un frisson descend de ses épaules jusqu’à ses reins, le même chemin, le long de sa colonne vertébrale, que la main de Souta qui glisse, petit fourbe, pour revenir la narguer, la chatouiller là où ça chauffe, la faisant onduler et se mordre la lèvre.

« Et moi je rêve de ça depuis deux jours, j’peux pas bien me concentrer sur mon boulot, j’ai ta bite dans la tête, j’ai des flash de l’hôtel, c’est … » Il retourne entre ses cuisses, Kara soupire par le nez en fermant les yeux, s’interrompant dans sa phrase sans même s’en rendre compte. Elle reste la bouche ouverte comme une carpe, mais sa main glisse de haut en bas sur son sexe épais, celui qui la hante, qu’elle voulait retrouver au plus vite, pour découvrir ce gland luisant qui semble l’appeler.

« Putain… »

Il est trop sexy, et provocateur, ce petit con ! Elle imagine très bien la scène, cela évoque des souvenirs très très frais. Elle le veut, se retient, garde le contrôle de son corps, sauf de sa main, ses doigts l’emprisonnent délicatement, et puis finalement fermement, comme si elle cherchait à se venger qu’il soit aussi arrogant.

« Avant ça, je veux ta langue, j’m’en remets pas. » Sa bouche s’approche à son tour de son oreille, comme si elle avait peur qu’on l’entende devenir plus vulgaire. « Je veux que tu me lèches comme l’autre soir, j’en rêve, putain, si c’était une voiture, et pas un bus, je te ferai arrêter n’importe où, je soulèverais cette jupe et je viendrais m’assoir sur ton visage. »

Comme pour accentuer ses mots, sa seconde main monta jusqu’à son cou, et elle enfonça son pouce dans la bouche de Souta, forçant ses lèvres. Ses pommettes étaient devenues rouges par l’excitation, et Kara le branlait en faisant le moins de mouvement amples possibles, ce qui ne l’empêchait pas d’accorder beaucoup d’intensité à ses mouvements. Juste ça la rendait dingue, elle regrettait la voiture de sport, grogna même un juron supplémentaire. Pourquoi le bus, merde, pourquoi tous ces gens, barrez-vous !
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 03 février 2021, 11:27:13
Sa délicate main aux doigts toujours si fins et experts font des merveille sur ma trique qui ne tient pas en place étant donné la situation. Me connaissant, je pourrais très bien la prendre ici et maintenant en me foutant bien de qui regarde et filme la scène. Avec la génération des portables tout le monde filme tout et n'importe quoi, peu importe les circonstances. Quand un accident a lieu les gens se ruent sur leur portable pour enregistrer la scène au lieu d'appeler les flics. Alors dans ce cas précis on pourrait organiser une orgie générale que personne ne penserait à appeler les flics.

- Hmmmmm !

Je m'amuse à mordiller et coincer mes dents sur les articulations de son pouce qu'elle me glisse dans la bouche pour jouer avec. Et qui suis-je pour arrêter en plein milieu alors qu'elle se lâche davantage dans un transport public ? Même un simple doigt à faire sucer et lécher par son partenaire en dit long sur la mentalité et les envies des concernés aux yeux d'un inconnu.

- Il est pas aussi bon que ton clito, mais ça te laisse imaginer ce que je ferais avec.

Le pouce repoussé d'un coup de langue pour lui lâcher cette phrase, voilà que le bus prend un virage et passe vers une rue remplit de petites ruelles. Un sourire amusé sur le visage, je lui fais un signe du regard pour jeter un oeil par ma fenêtre. Ce que je vais lui dire ne sera qu'une idée, une image qui pourrait lui rester dans l'esprit pour un jour... qui sait.

- On pourrait très bien descendre à l'arrêt suivant. Je te plaquerai contre un mur avant de me mettre à genoux pour te bouffer la chatte comme un affamé. Ma langue viendrait s'enfoncer entre tes cuisses pour te dévorer en avalant tout ce qui en dégoulinera. Parce que tu baves autant d'en haut que d'en bas.

Le bus s'arrête alors que je termine ma phrase pendant que je la regarde dans les yeux pour laisser l'idée faire son chemin. Je ne lui laisse cependant pas la chance de faire le moindre geste en glissant un troisième doigt dans sa chatte de plus en plus humide. C'est peut-être mon imagination quand je sens ses parois intimes se refermer doucement autour de mes doigts qui se transforment en petit pénis de remplacement le temps de ce trajet si particulier.
Comme à chaque arrêt, les gens descendent et les portes se referment pour que le bus reprenne sa route.

- Ce sera que partie remise.

Mes mouvements ne s'arrêtent pas alors que l'on se rapproche de plus en plus de son arrêt. Mes mains s'amusent à jouer avec sa fente humide et sa poitrine dans une position loin d'être idéale. Mais peu importe, l'essentiel est de pouvoir la chauffer au maximum jusqu'au bout. Alors quand notre transport s'arrête à l'avant dernier arrêt je lui annonce la dernière règle.

- Au fait, interdiction de se faire le moindre plaisir en solitaire non plus.

Ce qui risque d'être hyper compliqué pour moi alors que je lui demande de ranger mon matos alors que ce dernier est devenu logiquement plus long et épais à force de se faire caresser. Les personnes au regard baladeur auront vite fait de remarquer ma bosse dans mon jean sur la route. Tant pis, ça vaut largement le coup.

D'un dernier baiser baveux je lui souhaite bonne nuit et à demain. La soirée risque de s'avérer compliquée car je dois me rendre chez le client dans environ une heure seulement. Toutes ces images vont me rester en mémoire.


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Comme je m'y attendais la soirée a été compliqué avec tous ces salauds qui parlent des nanas qu'ils se sont tirés avant de venir bosser. Sans me prendre la tête plus que ça au réveil je démarre ma routine et constate que j'ai un colis dans ma boite aux lettres. Il s'agit d'un smartphone que j'ai commandé il y a quelques jours pour m'aider au boulot principalement. Changer de téléphone à chaque contrat qui en réclame un est une galère pas possible.

Je ne le récupère cependant qu'en rentrant de mon jogging et le balance sur le sofa pour filer sous la douche. A poil, le cul vissé sur le sofa, j'ouvre le carton et retire ma carte sim de mon vieux portable pour l'insérer dans le nouveau pour faire tous les réglages nécessaires. En parcourant les menus je vois qu'on peut glisser des photos pour chaque contact. Une étrange idée me vient alors à l'esprit. J'entre le numéro de Kara et commence à taper un sms à lui envoyer.

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Salut, toi ! T'as passée une bonne soirée hier ? Je te récupère où ce soir ?

Puis j'enchaîne avec un second sans perdre de temps :
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Au fait, t'as une photo de moi pour ton répertoire ? Parce que sinon...

Je prends alors une photo de ma bite complètement dressée et gonflée à bloc que j'ajoute en pièce jointe.

Citer
Elle est comme ça depuis hier par ta faute.

Je verrouille ensuite le portable et file m'habiller en attendant de voir ce qu'elle répondra.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 03 février 2021, 19:43:48
La soirée avait été horrible.
Elle avait tenté de s’occuper au mieux pour essayer de se calmer, mais elle était dans un tel état de frustration et d’excitation en sortant du bus… Quel enfoiré ce Souta ! Il l’avait tellement chauffée, elle était tellement sous pression, que retomber en température avait été des plus délicats. Une douche froide, une glace, des jeux en ligne ultra violent pour passer ses nerfs… Rien n’y faisait.

Impossible de trouver le sommeil, en plus ! Comment se détendre quand elle avait en tête encore son souffle, ses murmures salaces à son oreille, ses doigts entre ses cuisses… L’envie lui prit de passer outre cette règle qu’il avait édictée, et de se satisfaire seule à défaut de pouvoir lui sauter dessus pour avoir enfin ce qu’elle voulait. Sa main descendit sur son ventre, soulevant son t-shirt trop grand, au milieu de son lit, son PC portable à côté…

Mais elle eut une sorte de remord, alors qu’elle allait enfreindre la règle. Kara soupira, grogna, pesta et eut envie d’appeler Souta pour l’engueuler, l’insulter. Lui dire de venir chez elle. Et, finalement, tourna et retourna dans son lit avant de tomber de sommeil. Le réveil fut délicat, elle était en retard, avait fait des rêves qui n’avaient vraiment pas aidé à se calmer, mais c’était différent ce matin. Ce soir, il viendrait la chercher. Ce soir, ils allaient s’asseoir côte à côte dans le bus, et allaient se chauffer encore, s’exciter, se titiller…

Cette perspective lui donna un coup de boost pour toute la journée. Dans l’après-midi, un message de Souta brisa cependant la légèrement motivation professionnelle qu’elle avait réussi à glaner, en se disant que plus vite elle aurait fini ses tâches du jour, plus vite elle le retrouverait. Alors, Kara lui répondit sans attendre, impatiente.

Citer
Petit con, j’ai passé une soirée horrible, tu vas me le payer.

Sauf que, contrairement à d’habitude, il avait l’air bavard, cette fois. Un second sms lui posait une question bizarre, et immédiatement, elle se rendit compte qu’elle avait un troisième message reçu. Hé bas, quelle dextérité dans les doigts, Souta !

« Oh putain… »

Elle venait d’avoir son énorme queue affichée en plein écran sur toute la hauteur de son écran de smartphone. Frénétiquement, elle tapota sur son téléphone pour quitter l’image, certains de ses collègues de l’open space ayant relevé le nez en l’entendant jurer.

- Un problème, Desco ?

« Ah ah. Euh. Non non, c’est bon, j’avais effacé une mauvaise ligne de mon tableau. »

Mais quel connard, il était fou ?! Et pourtant, Kara se pencha sur son portable, en réaffichant la photo, se mordant la lèvre, les pommettes rouges. Merde, elle avait déjà chaud.

Citer
Je suis au bureau aujourd’hui, sois pas en retard, je finis à 17h. Si t’es pas là quand je sors, tu m’auras pas.


Pitié, pitié, sois à l’heure. Vraiment. Elle sentait déjà l’intérieur de ses cuisses parcourues de frissons, juste par anticipation de ce moment de proximité.

A 16h55, Kara avait étrangement éteint son ordinateur, salué ses collègues qui s’étonnèrent de sa rapidité à se barrer, et attendait devant l’immense immeuble. Aller, aller. Souta. Vraiment. Viens.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 04 février 2021, 08:01:13
Après lui avoir envoyé ces quelques messages pour la chauffer un peu tout en m'amusant, je passe le reste de l'après-midi a configurer mon nouveau portable. Ces trucs sont une vraie plaie. Heureusement qu'ils sont essentiels pour le boulot car pour être franc je m'en passerai bien.
Vient ensuite le transfert de tous mes contacts et la récupération de mes messages. Rien de palpitant en somme.

Aux alentours de 16h je me décide de prendre ma veste et mes clés pour quitter l'appart afin d'arriver un peu en avance pour récupérer Kara à son boulot habituel cette fois. Son bureau est plus près de chez moi. Ce qui a un avantage et un inconvénient. Le trajet retour entre son boulot et son appart sera plus court que celui d'hier. Presque de moitié. Ce qui fait qu'on devra être plus direct dans nos envies.

16h45, me voilà sur les lieux de futures actions pas très catholique. Plusieurs hommes et femmes commencent déjà à sortir. Certains personnes rentrent chez elles et d'autres sont juste là pour prendre l'air et fumer une clope en racontant leur vie, les derniers ragots du coin et cracher sur leur boss. La routine quoi. Je ne prête pas trop attention à ce que ses collègues font et l'attend tranquillement à quelques mètres en face de la porte principale.

Il fait encore un peu frais aujourd'hui. Alors quand elle arrive enfin, je l'attire vers moi en lui saisissant le poignet pour me plaquer contre elle et sentir son énorme poitrine s'écraser sur mon torse en déposant mes lèvres sur les siennes en insérant lentement ma langue dans sa bouche à la recherche de la sienne.
Je ne retiens aucunement les bruits produits par nos lèvres qui s'humidifient rapidement. Ouais, il fait déjà un peu plus chaud là, même si c'est loin de suffire. Ma main droite vient se poser sur sa hanche pour descendre assez vite de façon dangereuse sur son petit cul sans faire remonter sa jupe vu qu'on a du monde autour. On a de toutes les réactions : surprises, choquées... envieuses.

Au bout d'une trentaine de seconde je lui rends sa liberté en l'entraînant plus loin dans un coin tranquille.

- T'en as mis du temps à descendre. Le bus arrive pas avant 10 minutes, alors...

Pas loin de l'arrêt se trouve un petit coin désert où on pourra s'amuser un peu en attendant que notre transport arrive. Pas longtemps, mais chaque seconde compte de toute façon vu que l'on ne peut se voir que de cette façon pour le moment. Je me colle moi-même contre un mur en la venant se faire plaquer sur mon torse à nouveau. Nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre. De quoi sentir le souffle chaud de l'autre sur la peau froide de nos visages.

- Alors, t'as aimé ce que je t'ai envoyé ? C'est fou ces nouveaux portables, on peut voir tous les détails.

Une main repart à la chasse de son cul en glissant cette fois sous sa jupe que je fais remonter illico presto. Mes doigts viennent ensuite rapidement le saisir en s'y plantant comme pour ne plus jamais le lâcher. Je souffle de plus en plus fort contre ses lèvres sans venir l'embrasser. Ce jeu passif-agressif est si enivrant et excitant.

- Je parie que tu t'es imaginée te la prendre bien profond. Sentir la grosse veine épaisse qui remonte sur toute la longueur se frotter sur tes parois humides pendant que ma queue t'ouvre en deux.

Cette fois je viens lui rouler une galoche humide en attrapant sa crinière avec mon autre main pour ne pas qu'elle bouge la tête d'un centimètre. Mes lèvres continuent de jouer avec les siennes durant une longue minute. Puis je tire légèrement sur ses cheveux pour faire aller sa tête en arrière et avoir accès à son cou que je lèche dans un premier temps. Sa peau gagne clairement en température quand je me mets ensuite à l'embrasser délicatement. L'autre main toujours occupée à malaxer son derrière rond et légèrement potelé. Je me retiens même de me laisser aller à le claquer. Ce sera pour plus tard, ou pour une autre fois.

Le bus arrive rapidement, je peux le voir tourner au bout de la rue pour se diriger vers moi. Une nouvelle fois, je libère ma petite employée de bureau en lui souriant de manière coquine.

- Oups, le bus arrive. Honneur aux dames, je te laisse choisir ce qu'on va faire aujourd'hui. Demande-moi ce que tu veux.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 05 février 2021, 12:29:27
Oh oui ! Il était là, Kara s’était retenue de lui sauter au cou, mais visiblement, lui, n’avait aucune gêne à lui fondre dessus et à lui rouler une pelle du tonnerre. Mais cette attaque lui fait oublier que c’est un comportement peu poli devant tous ses collègues qui quittent le bureau à la même heure. Elle à l’impression que tout le monde les regarde et puis… en un seconde, elle fond dans ses bras. Les gestes de Souta sont loin d’être timides, et dès que leur baiser s’intensifie, Kara se sent surexcitée.
Bon, en réalité, il fallait avouer qu’elle l’était presque déjà, avant, tellement la journée avait été longue avant de le retrouver.

Lorsqu’elle peut enfin parler, passant le bout de sa langue sur ses propres lèvres et réagissant au quart de tour à sa petite pique, la jeune femme ne se fait pas prier pour le suivre à l’abri des regards, ricanant et sautillant presque d’impatience. Bordel, il a un regard de braise, elle a l’impression qu’il se marre, mais qu’il est aussi excité qu’elle…

« Tu déconnes… T’es gonflé de m’envoyer ça, surtout au bureau… J'ai... adoré. »

Souta contre elle la presse contre le mur isolé, elle se sent totalement à sa merci et, ça, il le sait évidemment, ça la rend dingue. Kara pense, une seconde, qu’ils devraient se méfier davantage de ce qu’ils font, pour l’image qu’ils pourraient donner d’eux, mais ça ne dure pas : la respiration du jeune homme sur ses lèvres, sa voix chaude et ses yeux brûlant de désir qui l’aguichent lui font oublier le contexte. Bordel, pour un peu, elle lui aurait demandé de la prendre maintenant. Aller, quoi, juste vite fait, dans la rue. Elle serre les jambes sous un frisson quand la main baladeuse de Souta retrouve son habitude inquisitrice, sa bouche l’attire, elle tend le cou pour l’embrasser, incapable de résister, mais Souta se marre, et se recule juste ce qu’il faut pour la faire enrager.

Un peu, oui, qu’elle s’est imaginer son sexe épais, dur, pulsant et chaud contre sa peau, et ce, dès qu’elle avait aperçu le cliché en gros plan. Cela avait été instinctif, elle avait eu cette image directe en tête, et son corps tout entier s’était souvenu dans un flash des sensations divines que cette queue procurait.

« Soutaaa… » Sa petite voix le suppliait un peu. « Arrête de parler de ta bite… J’en peux déjà plus. Faut tenir toute la semaine ? T’es sûr ? Je connais un hôtel pas loin. »

La description qu’il venait de faire l’avait enflammé, elle le voulait, elle avait envie de le bouffer, de se faire croquer, et leurs baisers reflétaient parfaitement cet état de transe intense. Qu’il agrippe ses cheveux l’électrisa, Kara grogna et mordit ses lèvres, aspirant sa langue en râlant fougueusement. Tant pis pour le bus, elle leva les mains pour les glisser sous son t-shirt, elle voulait le lui arracher sur le champ !

Tout autour d’elle s’efface, sa bouche dans son cou la fait trembler en fermant les yeux, mais évidemment, ce connard d’autocar est à l’heure. Souta, sans doute parfaitement hilare de l’état dans lequel il la met, se détache d’elle facilement, continue de fanfaronner et Kara a presque envie de le gifler.

Ses pas d’abord chancelant prennent la direction de l’arrêt de bus, mais elle attrape le poignet du jeune homme avec fermeté. Toi mon bonhomme, tu ne vas nulle part trop loin. Sans lui répondre, elle grimpe dans le véhicule et le tire un peu sèchement jusqu’au fond, se plantant devant une adolescente assise royalement sur deux sièges.

« Excuse-moi, tu peux aller de l’autre côté ? »

La minette relève les yeux, retire ses écouteurs, incrédule. Les gens se croient tout permis, de nos jours… Et ça marche. Est-ce qu’elle a remarqué que Kara n’allait surement pas accepter de refus ? Ou alors elle a bien compris qu’ils voulaient être tranquilles… Et ne tient pas à tenir la chandelle. L’ado se lève mollement et se traine quelques places plus loin, remettant son casque.

Alors, la jeune femme s’installe près de la vitre et tire brutalement son amant sur le siège à côté, tenant toujours son poignet. Le regard qu’elle lui lance ne laisse pas de place à l’imagination. Elle a faim ! Son bras dirige le sien entre ses cuisses, elle glisse un peu sur son fauteuil pour écarter les jambes, le visage teinté de rouge. Il fait vraiment très chaud dans ce bus.

« Murmure-moi ce que tu as envie de me faire. » Son visage se tord en une petite moue. « Enfin, ce que tu me ferais, sans tes stupides règles à la con. »

Sa main libre glisse sur son cou, bien plus douce que l’autre qui le force à descendre sous sa jupe, pour tirer sa tête et placer la bouche de Souta contre son oreille. D’instinct, Kara ferme les yeux et serre ses doigts sur sa nuque.

« J’veux des détails, hein. Que ça me réveille cette nuit, et que mes doigts me démangent. Comme hier… Oh, putain. Si tu savais… »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 10 février 2021, 20:05:45
La nouvelle Kara est une vraie boule de perversité. Un peu plus tôt elle se laissait faire et semblait limite sur le point de me forcer à la garder dans ce petit coin pour aller jusqu'au bout des choses. Mais au bout du compte nous voilà au fond du bus après avoir chassé une pauvre ado qui n'avait rien demandé. La jeune fille vient de se poser, avec ses affaires, à la rangée devant la nôtre. Probablement pour avoir la paix.

L'ordre du jour ne se fait pas tarder bien longtemps. Comme je m'y attendais vu son état. Il ne faut désormais plus grand chose pour allumer la minuscule mèche qui mettra les feux aux poudres avec elle. J'ignore si c'est l'excitation ou l'envie de contrôler la situation qui la pousse à me bloquer contre elle et je m'en moque. Le froid qui régnait il y a encore quelques instants autour de nous à céder sa place à une enveloppe corporelle brûlante et prête à faire fondre tout ce qu'elle touche. Même si je suis sa seule cible pour le moment.

D'abord bloqués par son propre geste, je parviens à me libérer de son emprise pour faire remonter sa jupe.

- Je crois que j'ai une petite idée.

Ma main glisse alors sur le haut de sa cuisse sans perdre une seconde. Elle veut savoir ce que je lui ferais si la situation était différente ? Eh ben elle va être servie ma vendeuse. Inutile de me tourner pour visualiser la scène dans mes pensées alors que je me lance dans la description de la scène où elle serait l'actrice principale.
Un premier souffle d'abord, pour me lancer... Puis je me lance.

- Tu vois l'espace avec les quatre sièges juste devant nous ?

Dans les grands bus comme celui-ci il y a souvent des sièges par groupe de quatre. Deux dans un sens et deux autres tournés dans la direction opposée. Un peu comme dans le métro. Et, bien sûr, un de chaque côté du bus. Ce soir les deux espaces sont quasiment vides. Mais Kara peut clairement les voir d'où nous sommes.
Mes doigts commencent alors leur inquisition en même temps que mon récit démarre.

- Je te pousserais dessus pour que tu te retrouves un genou sur chaque siège. Les cuisses bien écartées, la jupe relevée au-dessus de ton petit cul pour que toutes les personnes au regard baladeur puissent l'admirer. Le trajet est court, alors je perdrais pas mon temps et me positionnerait à genoux sur le sol du bus pour commencer à te bouffer la chatte en décalant ta culotte sur le côté d'une main. L'autre se chargeant d'écarter tes petits lèvres sensibles pour me débarrasser le passage.

La température monte et je m'amuse à souffler encore plus chaud dans son oreille alors que je déballe chaque action qui est illustrée avec mes doigts qui s'enfoncent en elle. Quand ils ne s'amusent pas à se tordre légèrement pour la stimuler au maximum.

- Il ne faudra pas plus de cinq minutes pour que tout le bus se tourne vers toi pour te regarder mouiller comme la chienne en manque que t'es. Même le chauffeur aurait les yeux rivés sur les caméras au moindre arrêt. Ma langue bien calée dans ta fente trempée, je m'amuse à aspirer ton jus aussi fort que possible. Deux doigts venant te préparer et t'écarter au maximum.
Deux minutes plus tard je me relève et sors ma queue brûlante que je viens placer à l'entrée de ta chatte. Le souffle lourd, je prends appuie des deux mains sur les reposes têtes en plastique au-dessus de chaque siège pour avoir un bras de chaque côté de toi et je commence à te pilonner sans réfléchir.


Je reprends ma respiration l'espace d'un instant en venant lui mordiller l'oreille au passage. La chose ne s'arrête pas là. Alors que mes doigts remuent avec un rythme plus soutenu entre ses cuisses, mes lèvres descendent un peu pour lui lécher et lui embrasser la nuque. L'espace de quelques secondes seulement. De nouveau revenu à la bonne hauteur je reprends mon histoire.

- Je me contente pas de te baiser, oh non. A chaque coup de bite qui vient cogner au fond de ton utérus, ton corps se fait écraser contre les sièges. La forme des sièges te fait rapidement mal à la poitrine car elle n'arrête pas de rebondir après avoir jailli de ton haut trop serré.
Rapidement un inconnu viendra se présenter avec la bite à la main pour te montrer à quel point ça l'excite de te voir de faire démonter comme dans un vulgaire film porno. Il hésitera quelques secondes avant de demander si tu peux le sucer. Mais je refuse. Pas par jalousie.
Je lui explique que je veux t'entendre hurler en revenant faire claquer mon bassin sur ton cul. Accélérant le rythme et la force de chaque coup. De toute façon je te bloque dans cette position et tu ne peux rien faire d'autre que de me servir de vide couilles en criant ton plaisir.


Un troisième doigt vient rejoindre les autres pendant que j'enclenche la dernière ligne de ce fantasme particulier.

- Contrairement aux autres fois je ne me retiens pas pour faire durer le plaisir. Je veux que ce soit sale, que ce soit rapide. Tout en montrant à toutes les personnes qui sont présentes, qui nous regardent ou nous filment avec leur portable, que tu es ma salope. Une petite chienne soumise qui aime se faire baiser partout, tout le temps.
Je te force alors de crier devant leurs écrans que tu veux te faire remplir. Satisfait, je te pilonne, encore et encore, écartant les parois sensibles et humides de ta chatte qui me le rends bien en me massant et m'écrasant de plus en plus fort. Mais tu sais que trop bien que ça ne m'arrête pas. Il ne faut pas plus de dix secondes pour réaliser ton souhait. Le sperme gélatineux envahit rapidement ton corps de l'intérieur. Ton corps écrasé sur le siège par le mien, la bouche grande ouverte je te bave sur le visage tout en soupirant de plaisir entre deux insultes bien méritées.
Pour finir je t'attrape les cheveux pour te faire descendre d'un niveau et te retrouver au sol. J'essuie alors ma queue sur ton visage déformé par le plaisir en t'ordonnant de nettoyer ma queue. Ce que tu sais si bien faire désormais.

Quelques secondes après, notre arrêt arrive et on descend rapidement comme on peut en nous rhabillant.


Drôle signe du destin... Il ne reste que deux ou trois stations avant l'arrêt de Kara.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 12 février 2021, 16:59:37
Nom de Dieu !
La sueur perlant à son front, Kara suit du regard la direction désignée par Souta, observe parfaitement l’emplacement qu’il lui décrit et sans avoir besoin qu’il commence à parler, électrisée par le plaisir que ses doigts provoquent en débutant leur conquête, il semble qu’elle ait déjà mille images de ce qui pourrait bien se jouer sur ces quatre sièges, là-bas.

Ses yeux fixent le bloc, tendant l’oreille où la voix chaude, suave -ah, l’enfoiré il en joue !- l’amène au bord des gémissements dès qu’il ouvre la bouche. Elle avait réclamé des détails et il fallait avouer que Souta n’en est pas avare, relatant comme il faut les positions qu’il lui ferait prendre, ses gestes, et de toutes ces descriptions, nait une vision assez claire de ce scenario torride.

C’est osé, évidemment, et à chaque nouvelle phrase bien dosée au creux de son oreille, un coup ample de sa main lui fait sentir, entre ses cuisses, combien il mettrait d’énergie à la prendre au milieu du bus. En quelques évocations, Kara oublie l’incongruité de ce conte et se l’imagine parfaitement plausible, l’excitation lui donne des bouffées de chaleur.

Elle n’est pas lente à devoir retenir ses gémissements, lâchant des couinements quand le plaisir est trop grand, qu’il faut se mordre la lèvre pour réussir à ne pas grogner trop fort. Plus il parle, pire c’est. Sa voix la rend dingue, ses yeux s’assèchent à force de fixer sans ciller le bloc de quatre fauteuils. Plus c’est osé, plus elle sent son entre-jambe bouillir, mouillant abandonnement. Merde. C’est pourtant pas grand-chose, et elle est déjà dans tous ses états.

Souta souffle sur sa peau, la mordille, l’embrasse à des endroits trop sensibles, il l’allume, il attise si bien les flammes qui déjà la consument. Quel enfoiré. Quel enfoiré. Kara tremble sur son siège, à vrai dire, tout son corps semble être devenu une zone érogène… En se dandinant, elle s’accroche au dossier devant elle d’une main, et de l’autre, attrape sa nuque pour le forcer à rester contre son cou.

A bout de souffle, se demandant comment elle va réussir à tenir encore une seconde de plus, tellement il l’excite, Kara gronde dans un murmure rauque.

« Putain. » Sa gorge lui fait mal. « Souta, aller, t’es sûr pour ta règle de merde… t’sais… sur les plaisirs en solitaire. Laisse-moi au moins ça. »

Son ton était limite implorant, mais elle s’interrompit pour fondre sur ses lèvres et l’embrasser en lui aspirant la lèvre avec avidité. N’avait-il aucune pitié ?!

« Je tiendrai jamais. » Kara soupire trop bruyamment, son intimité se contracte en redoublant de tremblements, alors qu’elle ferme les yeux pour essayer de parler de manière intelligible.

« Aller, quoi. Vas pas bosser. Viens chez moi. Baise-moi. Regarde comme je suis mouillée... »

Quand elle ouvre les yeux, elle a un sursaut de panique.

« Merde ! » Elle se lève, le pousse. C’est leur arrêt. Kara escalade Souta à la hâte, le tire derrière elle et court dans l’allée, jusqu’à le pousser dehors et le plaque contre l’arrêt de bus. Sa langue remonte jusqu’à sa mâchoire.

« Laisse-moi me toucher ce soir, en repensant à tout ce que tu m’as dit. J’en peux plus. J’en peux plus. »

Comme si elle voulait l’amadouer, contre lui, la main qui ne tient pas son poignet se plaque sur la belle bosse de son pantalon, espérant le faire changer d’avis. Aller, quoi, les règles, c’est fait pour être transgressé…
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 12 février 2021, 18:00:29
Le bus arrive à notre arrêt alors que Kara semble quasiment sur le point de me demander de donner vie à ce fantasme que je viens de lui déballer dans les moindres détails. Les gens nous regardent quitter notre transport dans la hâte pour finir seuls à l'arrêt du bus. Seuls les lumières des publicités de chaque côté de l'arrêt nous illumines maintenant que la nuit commence à se faire de plus en plus présente malgré l'heure.

Sans m'y attendre je sens sa main me saisir le paquet avec une certaine fermeté et témérité que je ne lui connaissais pas. Parler de ce que je lui ferais m'a logiquement fait bander comme un âne sous mon jean qui est déformé par ma queue gonflée à bloc qui serait plu qu'heureuse de répondre favorablement à sa demande quelques secondes plus tôt. Malheureusement pour nous deux je ne fais pas un boulot dans lequel on peut se porter pâle.

Ma main retourne alors rapidement jouer avec sa petite chatte qui a commencé à souiller sa culotte que je sens humide en venant l'écarter une seconde fois.

- Merde, mes doigts glissent tout seul. Quelle salope... T'es trempée alors qu'on est dehors.

Après une rapide mais intense intrusion entre ses cuisses, je retire mes doigts pour les lécher et les glisser dans sa propre bouche pour l'empêcher de gémir trop fort. La laissant se frotter, s'appuyer contre moi. Une idée perverse me vient alors à l'esprit. Plusieurs même, mais les autres attendront demain.

- Okay, tu pourras te calmer ce soir. Mais t'auras un gage en échange.

Mes doigts quittent ses lèvres douces et trempées pour venir lui choper son énorme poitrine pour la malaxer aussi fort que je peux pendant que je l'embrasse en même temps. Sans aucune grâce. Tout en vulgarité, ma langue partant chercher la sienne tout en enfonçant mes doigts dans un de ses seins par-dessus ses fringues.

- Je veux tout voir. Alors tu vas te prendre en photo, te filmer et m'envoyer le tout sur mon portable.

Notre baiser se rompt un bref instant seulement pour lui donner sa consigne. C'est vrai, quoi. Tout adulte qui se respecte sait que briser les règles n'est jamais sans conséquence. Ma queue remue comme celle d'un petit chien alors que je l'imagine déjà en situation. C'est l'occasion parfaite pour aller encore plus loin dans nos délires si particuliers.

Un énième baiser vient se poser sur ses lèvres quand je recule la tête un bref instant pour la regarder droit dans les yeux en continuant mes massages brutaux sur son corps.

- Montre-moi la salope qui se cache derrière ce tailleur et je viendrais m'occuper de toi demain.

Certaines personnes passent à côté de nous sans s'arrêter. On nous jette des regards jalousés, surpris, dégoûtés... Cela n'arrête pas mes mains de jouer avec sa petite chatte et sa poitrine pour la pousser à accepter de faire ce que je lui demande en l'excitant au maximum. Comme plus tôt, je lui glisse doucement à l'oreille.

- Je crève d'envie de soulever ton petit corps au bout de ma bite. De déformer ta petite chatte à t'en faire hurler. Alors à toi de jouer. Envoie-moi ce qu'il faut pour me motiver.

L'heure tourne et je dois encore rentrer chercher mes affaires avant de partir bosser. Je termine notre échange avec quelques petits gestes bien placés et une grosse claque sur son cul qui résonne jusqu'au quartier suivant. Le tout accompagné d'un petit clin d'oeil alors que je me retourne pour m'en aller.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 14 février 2021, 23:57:14
Kara n’avait pas menti, elle se sentait sincèrement hors d’elle, dans un état second d’excitation qu’elle peinait à dissimuler. Le voulait-elle seulement ? Yes ! Enfin, il accède à sa demande, il abdique, elle a gagné ! Ce n’était pas aussi bon qu’obtenir qu’il vienne chez elle, là, tout de suite, vite. MAIS, cela signifiait qu’il était dans le même état qu’elle, assez pour céder sur certains points. En l’embrassant furieusement, la jeune femme gloussa contre ses lèvres, cela sentait bon la victoire.

« Hmmm… »

Et évidemment, il fallait qu’il mette une condition ! L’entendre parler l’électrisa encore plus, il avait le don pour se faire désirer, pour attiser les flammes en elle, il savait sur quel levier appuyer, cela semblait si facile pour lui… Kara soupira d’envie en mordant sa lèvre.

« Tout voir ? »

Merde, c’était dangereux, ça, non ? Elle savait à quel point ce genre de jeu pouvait dévier, mais dans la fièvre, la tête pleines d’images salaces, la frustration rendait cette condition vraiment attirante, pire, vraiment, vraiment motivante.

Ses mains sur sa poitrine l’encouragent énormément, à vrai dire, elle sait que c’est une belle avancée que d’avoir obtenue ce modeste passe-droit, mais plus il est vif et brutal, plus il la regarde droit dans les yeux, et plus Kara en veut davantage. Elle le veut, elle a envie de lui, elle est persuadée qu’elle ne pourra pas tenir bien longtemps…

« Tu vas pas être déçu… » Murmure-t-elle d’une voix éraillée par la brûlure de sa gorge, en montrant les dents. « Tu vas jamais réussir à bosser correctement cette nuit, je vais te spammer si fort… »

Elle ne voit même pas les gens qui passent autour d’eux, tellement elle est électrisée et au bord du gouffre. Sa main se frotte nerveusement, en tremblant, contre son jean, qu’elle aimerait virer coûte que coûte. Ce qu’il lui révéla la fit transpirer d’un coup, comment pouvait-il lui dire qu’il voulait la baiser sans passer à l’acte ? Il avait une volonté de fer, ce con, et elle, elle fondait…

Mais il faut qu’il s’en aille.
NON ! Kara tente de le retenir, mais la claque la fait sursauter et elle ne peut retenir un gémissement plus fort. Les yeux bien écarquillés, incrédule, elle le regarde s’éloigner la bouche ouverte, totalement surexcitée mais médusée. Elle mit une minute à s’en remettre, à faire de l’ordre dans ses idées, avant d’avaler difficilement sa salive et marcher jusqu’à son immeuble. En courant, même.

Rentrer chez elle, avaler deux grands verres d’eau, foncer sous la douche pour se refroidir.

Kara reste un long moment pour souffler, mais son corps et surtout sa mémoire a gardé toutes les sensations en tête… Elle a encore la voix de Souta au creux de son oreille qui lui souffle des scènes vulgaires, et fatalement, son pouls s’accélère. En quelques secondes, en fermant les paupières, la jeune femme a des images bien nette de ces quatre sièges du bus. La chaleur monte jusqu’à ses joues, envahit ses reins…

Elle souffle, va cuisiner pour se changer les idées. Mais c’est trop dur. Il est trop présent. Elle peine à se concentrer sur quoi que ce soit, c’est un enfer. En grognant, Kara lâche son couteau et abandonne sa popote pour se laver les mains et se passer de l’eau sur le visage… Elle a l’impression d’avoir de la fièvre… Autant arrêter de se cacher ou de se mentir, elle soupire, déterminée.

D’un pas net, elle se dirige vers sa chambre en se saisissant de son téléphone portable, et prend une première photo, pour débuter en douceur… Elle est encore habillée, ouvre son chemisier, appuie encore pour un cliché plus évocateur, bien décolleté. Kara envoie les premières photos en se mordillant la lèvre, se sentant légèrement ridicule. Mais rapidement, le jeu devient plus intéressant… Il aura droit à un joli cliché de ses sous-vêtements, lui qui les martyrise depuis deux jours. Lentement, sa main glisse sur le tissu simple de son soutien-gorge, tout en appuyant encore pour déclencher cette fois une courte vidéo.

Elle glisse ses doigts sous le tissu, le téton qu’elle effleure, sensible, s’érige aux premiers contacts, excités comme elle l’a été par leur petite séance à l’arrête de bus. Doucement, sa respiration s’accélère, elle se prend au jeu, envoie sa vidéo à Souta. Pendant un moment, debout, elle ne fait que se dévêtir et caresser lentement sa peau, en faisant profiter le maître du jeu avec quelques visuels bien cadrés. Merde, elle se trouve presque sexy en se voyant en photo.

Kara ferme les yeux alors qu’elle descend sa main sur son ventre, sa poitrine se soulève plus vite, elle revoit parfaitement la bouche de Souta s’approcher d’elle, a des flashes de leurs parties de sexe si obscène à l’hôtel. Et immédiatement, ses doigts trouvent le chemin de son entre-jambe, en frissonnant de plaisir. Elle se laisse tellement aller qu’elle en oublie, un instant, de prendre des photos, s’allongeant sur son lit qui grince.

Elle profite de cette victoire qu’elle a obtenu… Ses doigts frottent doucement sur son clitoris, elle sait comment faire, elle soupire et gémit, avant de réaliser qu’elle n’envoie rien. Se mordillant la lèvre, elle se tortille et se penche pour réussir à trouver un angle adapté. Quelle connerie, ce n’est pas si facile de prendre une photo à la fois sexy et évocatrice de cet endroit. Mais ses efforts payent, elle lui envoie une vidéo de son index et son majeur joints, caressant adroitement chaque partie sensible de son intimité, attendant encore pour les insérer à l’intérieur.

Mais se concentrer sur le cadrage tout en se touchant, c’est vraiment la galère, elle tourne l’objectif et transmets à Souta une vidéo de son visage, les joues rouges, alors qu’elle se met à gémir légèrement sous la chaleur que produisent ses massages, en l’insultant cependant.

« T’es vraiment qu’un connard. Régale-toi avec ça. J’espère que t’es bien à l’étroit dans ton froc. »

Ses mouvements s’accélèrent, elle lâche un temps le portable pour venir s’occuper de sa poitrine en même temps qu’elle écarte ses lèvres intimes et y glisse ses doigts. L’atmosphère de sa chambre devient plus torride, elle soupire et geint, continue un moment avant de reprendre son smartphone et filmer sa main qui bouge, bouge plus vite, le son à fond pour que ses collègues entendent. Elle pense à ses mains, à lui. A ses lèvres, sa langue au même endroit.

« Oh, putain. »

Nerveusement, sans vraiment plus réfléchir au cadrage, certaines photos qu’elle lui envoie sont floues tant elle commence à perdre pied. La contrepartie devient accessoire, elle a la tête farcie de visions érotiques qui l’excitent et font s’intensifier ses gestes, comme ses vocalises.

Mais Kara se connait bien, agit avec efficacité, sent le plaisir monter, monter encore… En sueur, elle rattrape juste à temps son téléphone pour se filmer, filmer son visage qui se tord, avant qu’elle n’explose, en direct devant l’objectif. Le son saturé de l’appareil capte son orgasme, son corps se tord et se crispe, se détend, les spasmes font sauter la vidéo.

Elle se laisse retomber, les bras en croix, en se rendant compte qu’elle a oublié d’arrêter le film… Elle le ramène alors contre sa bouche pour réussir à articuler douloureusement.

« A demain, Souta. »

Il faut qu’elle s’y reprenne à plusieurs reprises pour réussir à lui envoyer cette putain de vidéo, ses doigts engourdis l’empêchent de correctement pianoter sur l’écran tactile. Elle l’abandonne sur son lit quand elle trouve la force de se lever pour aller reprendre une douche, à bout de souffle. Ça fait un bien fou. Elle se sent sur un nuage… Vivement demain.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 17 février 2021, 23:16:04
La soirée se passe tranquillement les premiers heures. On peut dire que l'équipe a fait connaissance et fait son travail avec autant de sérieux pour assurer la sécurité des lieux qu'en organisant les futures soirées de beuverie pour se détendre ensuite. Leur professionnalisme et leur soin du détail dans les deux catégories est tout aussi impressionnant à voir.

Alors que l'on s'occupe de virer un chat de la pelouse qui a fait courir deux gardes du corps jusqu'à les crever vu que la bestiole n'arrêtait pas de déclencher des détecteurs de mouvements, mon portable s'est à mis à vibrer sans discontinuer lui aussi. Dans un coin de ma tête je sais de quoi il s'agit. Ou plutôt de ce dont j'ai envie qu'il s'agisse. Sans le faire exprès je me mets à sourire au contenu qui m'attend à la prochaine pause.
Le terme pause reste assez fort vu qu'on travaille surtout en rotations. Ce qu'on appelle des pauses sont des moments pour revoir certains détails si nécessaires, s'adapter en conséquence et se changer les idées une dizaine de minutes.

Il me suffit de regarder les premières photos d'elle à moitié à poil pour suffire à lancer la machine. Ma main gauche vient se poser sur la bosse qui vient d'y apparaître en une fraction de seconde pour la replacer histoire de pas me retrouver trop coincé sous mes fringues. Le tout accentué d'un "La salope..." en voyant la première vidéo. Je parcours le tout sans attendre et rigole à l'écoute de son petit message à la fin. Un message auquel je réponds par texto avec un émoji d'aubergine.
Un gars du boulot m'a expliqué que c'est une sorte d'allusion sexuelle qu'on envoie à quelqu'un pour plaisanter ou lui dire qu'on est très réceptif à ce qu'il nous dit ou envoie. En tous les cas, ça devrait faire passer le message normalement.

Le reste du boulot se passe sans trop de souci, même si je n'ai qu'une envie là. Une envie d'action, peu importe sa nature. M'emmerder comme un rat mort n'arrange rien à la situation. Bien au contraire, ça force à cogiter encore plus pour rien. Plusieurs heures passent alors et l'envie ne fait que grandir davantage.

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En rentrant du boulot je file me coucher pour être frais et dispo. Quitte à sacrifier quelques heures de sommeil je me lève à 11h pour prendre une douche rapide et j'embarque mes affaires pour arriver aux alentours de 12h au boulot de Kara. Je descends du bus qui m'a rappelé quelques bons souvenirs et fais quelques pas pour me glisser dans un coin isolé où on ne peut pas me repérer de l'intérieur pour lui envoyer un texto.

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Le déjeuner est servi !

Tout en effectuant quelques pas de côté pour sortir de l'ombre, je prends une photo du paquet en carton d'une boulangerie à laquelle je suis passé avant de venir pour la lui envoyer.

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Je dois le livrer à quel étage ?

J'attends un peu et réagit en entrant dans le bâtiment une fois qu'elle m'a répondu en me faisant passer pour un livreur. Le truc qui marche tout le temps vu qu'aujourd'hui ils ne portent plus d'uniforme quand il s'agit de bouffe. Une fois dans l'ascenseur je pense reconnaître un ou deux de ses collègues qui discutent entre eux sans faire gaffe à moi. La chose se confirme quand je les vois descendre au même étage que moi.

A mon tour d'en sortir pour me rendre dans la pièce qu'elle m'a indiqué. En ouvrant je la vois là, au milieu d'une sorte de bureau vacant. Les stores baissés. Sans attendre une seconde inutilement je ferme la porte derrière moi en tournant le verrou qui est sur la poignée et pose le carton sur le premier meuble à portée de main en fixant ma vicieuse employée.

- Viens là, toi !

En temps normal j'aurais arraché son haut sans réfléchir. Sauf qu'elle est au boulot et qu'elle pourra pas y retourner avec des fringues en lambeaux. Du coup je me contente de soulever sa jupe pour tirer sur sa culotte en la poussant sur le bureau vide afin de la faire se poser dessus. Le bout de tissu qui protégeait son entrejambe descend rapidement le long de ses jambes pour finir au sol.

Quelques doigts viennent tâter le terrain qui semble plus que prêt à m'accueillir. Là encore, pourquoi perdre du temps ? On aura d'autres occasions de s'amuser. Si je suis venu là c'est pour la baiser. Je me penche en avant pour l'embrasser rapidement tout en continuant de la doigter d'une main alors que l'autre déboucler ma ceinture et ouvre mon jean. L'envie est si pressante qu'il ne me faut que quelques secondes pour y parvenir.
Je recule la tête et le torse pour me redresser afin de lui présenter ma queue gonflée et tendue comme un piquet. Quelques gouttes de pré-sperme qui en dégouline.
Mon gland se frotte le premier contre ses lèvres. Puis une petite poussée fait glisser ma queue sur la longueur contre ses lèvres intimes depuis l'extérieur. Sans doute une envie inconsciente de vouloir me lubrifier le chibre avec son jus à elle avant de commencer. Une lueur vicieuse dans le regard je replace mon gland à l'entrée de sa vulve en la regardant et lui annonçant.

- Essaie de pas gueuler aussi fort que sur ta vidéo.

Sans la prévenir je lui enfonce ma queue brûlante et remuante jusqu'à sentir mon gland cogner au fond de son petit trou. Forçant et écartant ses parois étroites au passage. Un geste qui m'extirpe un long et savourant soupir de soulagement. Putain, c'est que je me retenais depuis plusieurs jours, moi aussi.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 18 février 2021, 22:30:06
Dur dur de se concentrer au bureau.
Son petit jeu de la veille semble comme un rêve ou une séance ivre… Elle a réalisé un peu tôt le matin à quel point elle a réussi à être super provoquante et à aller encore plus loin dans leur petit jeu pervers à Souta et elle. Et finalement… Kara se sent vraiment bien avec ça. Même si elle a évité de regarder exactement tout ce qu’elle a envoyé. Pour éviter de se trouver ridicule, sans doute.

Et devant son ordinateur, la jeune femme soupire un peu, sans réussir à vraiment concentrer ses idées professionnelles sur un seul objectif. Zéro productivité, elle a des cernes. Elle se fait chambrer, répond comme à son habitude par un majeur bien tendu vers cette bande de cons… Ils sont pénibles, la charient sur son hypothétique ‘mec’

« J’ai PAS de MEC, ok ?! »

Mais ils n’en démordent pas.
En pianotant un peu fort pour tenter de couvrir les gloussements de ces débiles, Kara se plonge comme elle peu dans le travail. Des appels à des fournisseurs, des confirmations de mails, des choses ennuyeuses. Tellement nulles par rapport à un trajet super chaud en bus… NON. Ne pas y penser. Elle se l’interdit. Si elle commence à se rappeler de tout ça, c’est sûr, la journée passera très lentement jusqu’au soir, où elle sait qu’elle retrouvera Souta pour une nouvelle séance.

Quand son smartphone vibre, comme une addict, Kara le chope et ouvre la bouche. Peut-être s’attendait-elle à une photo un peu osée… Mais il faut avouer que c’est pas mal, mais mystérieux. Le déjeuner ? Elle regarde l’heure. Ah, mais oui, c’est l’heure de la pause ! La photo qui vient ensuite lui donne le sourire. Oh, merde, le con. Il a changé ses plans pour déjeuner avec elle ? Son cœur se met à battre plus vite et d’instinct, ses reins chauffent…

Elle pianote vite, lui indique l’étage concerné, vérifie rapidement dans l’écran de son téléphone qu’elle est présentable, sous un regard amusé d’un collègue à qui elle lance un regard noir… Ok, impossible de faire monter Souta avec ces gros lourds, Kara lui envoie un complément d’information, lui donnant le signalement d’un bureau de formation rarement utilisé, histoire d’être tranquilles. Elle n’a aucune envie d’avoir à se justifier…

Impatiente, son corps semble réagir avant son esprit, déjà frémissant alors qu’elle entend ses pas qui approchent… Il entre ! Il faut avouer qu’elle a eu le réflexe de rendre la pièce cosy, même si cela reste un bureau et qu’elle n’a pas pu faire de miracles… La température monte d’un cran quand elle pose son regard sur lui, le voyant fermer la porte à clé. Immédiatement, Kara sait qu’elle va sauter la pause déj. Sa respiration accélère déjà.

Les yeux de Souta sont sans équivoques, et les siens répondent avec la même intensité. Ils ont faim, mais ce qui se trouve dans le paquet a encore le temps de s’inquiéter pour son avenir. Accompagnant ses gestes, Kara se dandine pour permettre à sa culotte de descendre correctement au sol, leurs gestes semblent impatients, le contact de ses mains est immédiatement brûlant, et elle se sent électrisée dès qu’il glisse sa main entre ses cuisses, déjà excitée par la situation.

« Salut. »

Souffle-t-elle avant qu’ils ne s’embrassent à pleine bouche, ses doigts s’insérant facilement en elle, déjà trempée, son baiser masquant sa respiration bruyante. L’empressement de Souta la surexcite, tous les sons sont amplifiés lorsqu’elle ferme les yeux : la bouche de ceinture, le jeans qui tombe, le boxer aux chevilles. Il a l’air de ne plus tenir, et à vrai dire, elle est dans le même état. Une seule chose tourne en boucle désormais dans son esprit. Qu’il la prenne. Maintenant. Sans attendre. Peu importe comment, pourvu qu’il la baise rapidement.

Kara passe ses mains sur sa nuque en ouvrant les paupières pour poser les yeux sur sa queue dressée, celle qui la fait rêver depuis des jours, en se mordant la lèvre pour retenir un piaffement enthousiaste. Lorsqu’il se place correctement, comme une promesse d’imminente satisfaction de leurs désirs à tous les deux, et qu’elle croise son regard, la jeune femme bascule la tête en arrière en enfonçant ses doigts dans la peau de son cou. Merde, il a des yeux de fauves, l’ambre de son regard est brillante, il a l’air malsain, ça la rend dingue.

« Embrasse-moi, si non j’vais alerter tout l’immeuble. Je veux ta queue. »

Et ça ne manque pas, dès qu’il s’insère sans autre forme de procès, écartant ses parois intimes dans un mélange de soulagement et de pic énorme de plaisir, Kara doit se mordre la langue brutalement pour ne pas crier. La sensation d’empalement la transporte, elle tremble tout de suite, comme s’il comblait un manque, cette frustration énorme qui lui rongeait les entrailles.

« Oh oui ! »

Elle sait qu’elle ne tiendra pas longtemps tellement c’est bon, et surtout, qu’elle va couiner, c’est sûr. Se contractant, sa bouche vient cueillir la sienne d’un geste possessif en ramenant son visage vers le sien de ses mains, dont l’une monte dans ses cheveux pour agripper ses mèches argentées. Encore ! Encore !

Son bassin s’agite à un rythme effréné, elle se sent immédiatement en sueur, et s’en fiche, c’est trop bon de l’avoir en elle, meilleur que ses doigts ! En quittant sa bouche malgré le risque, Kara colle ses lèvres contre son oreille pour respirer contre son lobe, lui faisant partager combien il s’excite.

« Ça t’a plu ma petite séance photos hier ? T’as aimé hein ? Ça t’a excité au travail ? Avoue, après ça tu pouvais pas rester sans venir me baiser hein ? C’était trop long, une semaine, sans prendre ta petite Kara, hein ? »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 18 février 2021, 23:08:05
Quelques baisers viennent combler les premiers secondes. En général c'est moi qui cause quand on veut lancer la machine. Faut croire qu'en plus de se lâcher physiquement, ma petite employée de bureau a la langue qui se délie de bien des façons. Ceci dit elle n'a pas tort quand elle suppose que j'avais une sacrée envie de me la faire. Et qui suis-je pour prétendre le contraire ?

- Ouais, c'était vraiment bandant.

Un premier baiser revient l'occuper alors que je me retire lentement pour revenir faire cogner ma queue au fond de son trou étroit à l'aide de mes hanches. Toutes mes forces y vont pour repousser son corps en arrière car je compte bien y loger chaque centimètre de mon chibre épais.

- Ta petite chatte mérite de se faire remplir chaque jour. Plusieurs fois par jour. Et aujourd'hui... on est un de ces jours.

Je repars de plus belle pour l'emballer tout en la pilonnant comme une brute en m'accrochant aux contours du bureau qui, heureusement, est fixé au sol. Autrement le bout de mobilier aurait changé de place en faisant un bruit monstre en un claquement de doigt. Calmer mon envie, me déchaîner sur elle et penser au fait que ses collègues pourraient entendre n'est pas simple à maîtriser.
Sa petite chatte douce, chaude et serrée me met rapidement au supplice. Elle a beau faire la maligne, Kara avait autant envie que moi de tirer un coup rapide pour lâcher un peu de pression

Etant donné que le bureau sur laquelle je la prends n'ira nulle part je m'amuse à le lâcher en me redressant. Trois doigts de ma main gauche foncent remplacer ma bouche au niveau de ses lèvres pour l'occuper. Mon autre main préférant venir ouvrir son haut pour libérer ses énormes mamelles et virer le soutif qui les protège pour les regarder remuer au rythme des coups de reins brutaux, secs et répétés que je lui mets en grognant sans aucune retenue.

Les minutes passent rapidement. Cinq, dix... On voit pas le temps défiler quand on s'amuse à ce qu'il parait. Cette courte abstinence et l'envie pressante d'aller au bout ne m'encourage pas à savourer et faire durer l'instant. J'agrippe un de ses seins de ma main libre pour le malaxer bien fort sans pour autant ralentir les coups de butoir. Ma bite est un véritable engin de destruction qui creuse un tunnel dans ses entrailles. Une façon de préparer le terrain pour tout à l'heure car ce soir je ne travaille pas. Je garde l'information pour moi, jusqu'au bon moment de lui annoncer la chose.

Passé le quart d'heure, mon corps est devenu une véritable fournaise. Les efforts intenses, l'envie de la briser en la prenant de toutes mes forces et cette explosion qui risque de survenir dans quelques instant me poussent à me pencher sur elle pour plaquer mon torse contre sa poitrine afin de lui poser une question essentielle.

- Tu dois sentir ma queue gonfler et trembler de plus en plus fort. Mnnn ! J'ai les couilles pleines à craquer, reste à savoir où je vais les vider. Dans ta bouche d'affamée ou dans ta chatte de salope en manque ?

Sur le moment je tiens vraiment à lui laisser le choix. Pourtant une pensée me vient rapidement à l'esprit. Si je me vide dans sa chatte elle risque d'avoir du mal à retourner bosser vu que ça va déborder encore plus que les fois d'avant. Idem pour sa bouche de toute manière. Reste à choisir la moins mauvaise des solutions. Je décide alors à sa place.

Mes coups de reins se font plus violents alors que je lui murmure à l'oreille des "Tu le veux mon jus, hein ?" ou encore "Je commence la connaître ma salope.". On est plus dans une baise courte et brutale qu'une vraie partie de plaisir comme l'autre soir. Le moment de me soulager arrive donc logiquement au bout de quelques secondes.
D'un geste habile du pied je fais se rapprocher une poubelle en fer avant de forcer Kara à venir se mettre à genoux de l'autre côté de celle-ci. D'une main je fais remonter ses cheveux qui s'étaient collés sur son visage à cause de la sueur pour les placer à l'arrière de son crâne que je tiens d'une main ferme tout en me branlant frénétiquement de l'autre en poussant mon gland et les premiers centimètres de ma queue dans le creux de sa joue.

- Le déjeuner est servit, ma belle. Régale-toi !

Sans une parole de plus un énorme et long soupire de soulagement s'échappe de ma bouche alors qu'une massive quantité de sperme pâteux et collant vient envahir sa bouche. La pression libérée entre ses lèvres est si forte que je vois des filaments épais s'échapper de ses narines pour finir dans la poubelle. Elle ne pourra jamais tout avaler. Mais au moins elle pourra recracher ou laisser le surplus finir sa course sans trop se salir et tâcher le bureau.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 20 février 2021, 14:41:18
Entre deux coups de reins, les informations transmises par Souta lui parvenaient difficilement jusqu’au cerveau. Il fallait dire qu’elle en prenait pour son grade, et subissait d’énormes coups de butoirs en devant faire en sorte de ne pas hurler, ce qui était assez compliqué pour Kara… Mais elle rêvait, ou il avait vraiment dit qu’il avait l’intention de la remplir plusieurs fois ? Cette idée tourna en boucle dans sa tête, comme une promesse géniale, la bouche en cœur crispée pour ne pas gémir de plaisir.

En grand gentleman, Souta l’aide à ne pas geindre trop fort en lui enfonçant des doigts dans la bouche, qu’elle lèche et suce presqu’immédiatement comme une assoiffée, électrisée par chacun de ses mouvements, entrée dans une transe incontrôlable… A vrai dire, Kara avait du mal à se souvenir où elle était, tout tournait autour d’elle, tout ce qui comptait était cette trique énorme qui la pilonnait et la main ferme de son amant qui palpait avec frénésie sa poitrine désormais libérée. Il y allait fort et ça lui allait ! Oh, oui.

C’est si fort qu’elle a l’impression d’être une poupée de chiffon ravagée par une force brute, son corps encaisse, et quand il déclare de manière si obscène qu’il est au bord d’exploser, avec des mots toujours plus vulgaires, comme à son habitude, elle s’étouffe presque avec sa salive, recrachant ses doigts pour éviter de suffoquer et dans l’intention de lui répondre. Faut faire un choix… Et ce n’est pas des plus faciles, parce que Kara, là, tout de suite, n’a aucune envie de voir sa queue s’éloigner d’un pouce de son entre-jambe, elle serait tentée de lui ordonner de rester fiché en elle, de la remplir profondément…

Mais Souta redouble de force et Kara vrille sur le bureau alors qu’il s’affale sur son corps en sueur, sa voix suave, chaude, grésille à ses oreilles et dans un réflexe sauvage, elle lui attrape les cheveux pour lui faire comprendre comme il la rend dingue.

Elle n’a pas le temps de réaliser qu’elle se retrouve avec une facilité déconcertante au sol, à genoux, soumise, mais docile, relevant des yeux vitreux de désirs et des intenses plaisirs qu’elle vient de prendre… Elle réalise. Oh, la poubelle. Heureusement qu’il lui emprisonne les cheveux, elle semble incapable de coordonner ses mouvements pour autre chose qu’ouvrir la bouche et tirer la langue pour accompagner ce gland brûlant qu’il glisse contre sa joue. Pas besoin d’être experte pour savoir ce qui va lui arriver, Kara se sent frémir d’impatience et tremble avant de sursauter dès qu’elle sent la hampe dure comme du bois se dresser pour la remplir soudainement.

C’est beaucoup trop, elle s’étouffe, les larmes lui montent aux yeux et elle manque d’air mais dans une suffocation, la jeune femme arrive à aspirer assez d’oxygène pour ne pas s’asphyxier. Impossible de tout avaler, elle sent un haut-le-cœur la faire tressauter et recrache comme elle peut son sexe, le visage dégoulinant au-dessus de cette poubelle de bureau cylindrique.

C’est un peu le comble de la déchéance totale. Elle se sent sale, et paradoxalement, repue, comblée, heureuse. Cette sensation étrange la laisse fiévreuse un petit moment, tanguant légèrement au-dessus de l’objet qui accueille de longs filets blancs. Le bureau est empli de leurs odeurs et des respirations saccadées…  La tête lui tourne.

« Putain… » Une quinte de toux la soulève un peu. « T’es le mec le plus dégueulasse que je connaisse… »

Kara tire de sa poche un mouchoir, s’essuie comme elle peut, pour pouvoir relever son petit visage saccagé vers celui de Souta.

« J’adore ça. »

Il lui faut un moment, encore, pour pouvoir se redresser, elle a mal aux jambes à vrai dire, grimace. « Merde. » Impossible de retourner au bureau dans cet état, même s’ils ont tenté d’être un minimum correct… Non, vraiment pas. Pas correct. Pas du tout ! En quelques pas, elle réussit à atteindre le bureau, pour s’y asseoir.

« Y a des douches au dernier étage, là où les Dirlos ont leur salle avec les rameurs. » Kara parle lentement, sa gorge brûle. « J’peux pas retourner dans mon bureau comme ça… Regarde. »

Malgré tous leurs faibles efforts, elle avait le menton collant et blanc, et quelques gouttes dans le cou, ou une mèche de cheveux. Sans parler de l’odeur de fauve et de son entre-jambe…

« T’es chiant ! Je vais me faire chambrer moi ! » Gronda-t-elle en lui donnant un coup de poing de toute sa petite force dans l’épaule.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 20 février 2021, 20:38:24
Quel spectacle bandant à souhait c'est de la regarder se démener pour tenter d'avaler ou de recracher le trop plein de sperme qui gicle entre ses lèvres, entre ses joues ou file directement dans sa gorge de là où je suis. Le son dégueulasse produit par sa bouche quand elle recrache ma queue et une bonne dose de sperme au passage est le clou du spectacle. Je reste à ma place, la queue à l'air, sans dire un mot ou faire un geste pendant qu'elle reprend son souffle et s'essuie comme elle peut.

- Je le sais déjà.

La remarque vaut pour les deux phrases. Celle sur ma personnalité et la sienne. Son vrai visage commence à se montrer un peu plus chaque jour, chaque partie de baise... chaque coup de bite qui vient tambouriner son col sensible. Aujourd'hui on peut affirmer sans se tromper que la petite vendeuse/employée de bureau timide ou peu sûre d'elle prédomine. Il est évident qu'elle n'a pas dominé toutes ses craintes. Ce qui viendra avec le temps. Naturellement. Et je compte bien jouer un rôle essentiel dans ce processus.

Je l'écoute et réponds d'un bref.

- Ouais, ça pour regarder, je regarde.

Elle ne l'a sûrement pas remarqué mais cette éjaculation n'a pas calmé mon envie pour autant. Mon sexe est toujours aussi gonflé et tremblant, prêt à repartir à l'action à la moindre occasion ou faille qui s'offrirait à ce dernier. Mon geste est hésitant, le temps de trouver un espace non souillé, pour attraper la poubelle et la pousser un peu plus loin. J'en profite pour attraper une chaise un peu plus loin que je ramène vers Kara et un coussin qui trainait sur un meuble et qui semble dépourvu de poussière. Quelqu'un a dû le balancer ici pour ne pas s'embêter a trouver un endroit où le ranger.

Mon bras se tend pour donner le coussin à Kara alors que je pose mon cul sur la chaise après l'avoir essuyé rapidement avec un chiffon ramassé sur le bureau. Les jambes écartées comme je peux avec le pantalon encore vissées sur les chevilles je la regarde droit dans les yeux.

-  T'as l'air crevée. Prends le temps de souffler cinq minutes... en me nettoyant la queue.

Une main vient se poser sur un de ses poignets pour lui faire comprendre de venir s'y mettre. Sans la forcer, sans tirer pour lui faire mal. Simplement l'accompagner. C'est de sa faute après tout, non ? Qui m'a chauffé et encouragé à briser les règles ? Faut assumer, c'est ça être adulte.

- Ca me donnera le temps de réfléchir à un plan pour que t'ailles te doucher sans te faire choper par tes collègues.

Je me mets alors à sourire et ricaner un bref instant avant de reprendre dans la foulée.

- Mais t'iras te débarbouiller seule. Ton petit cul a beau me faire envie, la suite attendra ce soir car je bosse pas.

Plusieurs soupirs accompagnent les gestes de ma belle employée qui me donne presque l'impression d'être un de ces patrons qui s'éclipse régulièrement avec sa secrétaire pour un cinq à sept à l'abri des regards. Je dois avouer que c'est assez excitant et que je comprends ce qui doit motiver ces salauds. A la seule différence que j'ai pas besoin de motiver Kara avec une promotion ou un délire du genre. Non, ma grosse queue suffit à la motiver.

La chose dure bien une dizaine de minutes durant lesquelles je lui fais lécher mon chibre pulsant et brûlant sous tous les angles de façon lascive et baveuse. Faudrait pas que je me retrouve avec une bite collée à un boxer souillé en sortant, ce serait crade. Je termine par ranger mon engin après l'avoir essuyé avec un mouchoir et sors le premier pour voir si le chemin est libre.

Tels deux ninjas, on se faufile dans les couloirs et montons au dernier étage. Là encore, je sors de l'ascenseur le premier pour détourner l'attention des personnes présentes en piquant un faux scandale sur un faux litige qui implique un aspirateur défectueux et une garantie frauduleuse. Tout est dans la gestion et je sais m'y prendre pour emmerder le monde sans en faire assez pour qu'ils appellent la sécurité.

Une fois que je sais qu'elle a terminé de faire ses affaires je fais semblant d'avoir reçu un texto et m'excuse en précisant que je me suis trompé de bâtiment et je pars sans demander mon reste en rigolant.


En arrivant dehors j'écris et envoie un message à Kara :
Citer
Même heure, même arrêt de bus. Ce soir on va chez toi !
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 21 février 2021, 17:19:08
Kara est derrière son bureau. Propre, autant qu’on peut l’être après cette éprouvante pause déjeuner. Elle a faim, d’ailleurs, mais se sent étrangement repue. Cette séance rapide et hard la rend ultra productive, toute l’énergie qu’elle a mise pour encaisser les coups brutaux a été rapidement récupérée, depuis qu’elle a lu un seul et unique sms. Chez elle. Ce soir. Comme l’employée modèle, Kara s’active avec acharnement sur son ordinateur, elle pianote, appelle des fournisseurs avec un zèle anormal. Cela ne manque pas d’attirer l’attention de ses collègues, et évidemment elle a droit à pas mal de réflexion, l’un d’eux demande même en ricanant s’il y a un rapport avec ce mec bizarre qui a tapé un scandale à midi.

A part un échange d’insultes classique, la jeune femme ne prend pas la peine de répondre, sauf pour souligner qu’elle a du boulot, elle, contrairement à ceux qui ont le temps se bailler aux corneilles. Ça ne manque pas, elle a fait mouche, et les deux lourdauds se remettent eux aussi à bosser. Mission accomplie, passons à la suivante…

Ce petit cachotier de Souta c’était bien gardé de lui dire qu’il ne travaillait pas ce soir, et Kara avait l’intention de se venger de cette petite trahison. Trahison assez sympathique, elle devait l’avouer : après des jours à se chauffer, la pause déjeuner ne suffit pas. Instinctivement, juste évoquer en pensée ce qui vient de se passer quelques heures plus tôt lui fait serrer les cuisses pour tenter d’éviter de s’exciter toute seule sur sa chaise de bureau.

Juste avant l’heure de quitter les lieux, la jeune femme fonce s’isoler aux toilettes avec un petit sourire pour elle-même, s’enferme, retire sa culotte qu’elle plie soigneusement et range dans la poche de sa veste, ricane toute seule, replace sa jupe, et ressort comme si de rien n’était, prenant l’ascenseur pour la conduire à l’arrêt de bus direction : le Paradis !

En sortant, l’air de rien, ou plutôt, espérant que son regard ne trahisse pas la petite malice qu’elle élabore, Kara sautille presque jusqu’à l’arrêt où elle aperçoit Souta, en lui lançant un énorme sourire complice. Evidemment, ils savent bien tous les deux ce qui va arriver… L’excitation est encore plus instantanée qu’elle sait qu’elle sera cette fois parfaitement satisfaite. Avec impatience, elle presse le pas, le rejoint, se hisse sur la pointe des pieds pour l’embrasser comme une collégienne. Les coups de langues qu’elle donne à ses lèvres, cependant, n’ont rien d’enfantin.

« Hey… Alors, petit cachotier, on a sa soirée de libre ? Comment ça se fait que tu bosses pas ? T'as une permission, ou un truc du genre ? Pas de meurtre à commettre ? » Elle lui tire la langue, ricane, glousse...

Le bus ne met pas longtemps à arriver, et tout naturellement, Kara prend sa main, mais se souvient alors d’une chose, tournant un œil vers lui, en plissant les paupières sur ses yeux en amande.

« C’est ton tour de choisir la place non ? » Elle est d’humeur joviale, cela transpire dans chacun de ses gestes, dans le timbre de sa voix, dans son enthousiasme survolté. Ne pouvant tenir en place, elle semble incapable d’être immobile même lorsqu’elle essaye de le laisser parler. En montant dans l’autocar, la jeune femme serre la main de Souta dans la sienne, prête à la suivre, et impatiente qu’il découvre sa surprise. Elle se retient de le lui dire, se mord la langue, il faut encore tenir un peu...
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 21 février 2021, 17:46:52
Cette journée a déjà pris un tournant assez particulier. Reste à faire fructifier la chose autant que possible désormais. Surtout que Kara semble encore plus partante que moi. Elle me rejoint rapidement à l'arrêt de bus qui est moins occupé que les derniers jours.

- Ouais, mon patron ma laissé ma soirée quand je lui ai décidé qu'une nympho en manque m'attendait.

Un dernier baiser rapide pour se réchauffer et je lui offre un grand sourire en guise de réponse avant de me lancer dans le bus, ma main dans les siennes. L'autre tenant un sac plastique avec une petite surprise pour le trajet du retour. Une fois les deux marches montées, mon regard quadrille la zone. Comme avec l'arrêt, le bus est encore moins occupé que les autres soirs. Amusé, je me retourne vers Kara pour lui glisser à l'oreille.

- Je pourrais sûrement te baiser comme dans mon fantasme. Regarde, les quatre sièges sont vides.

Sans lui préciser si je suis sérieux ou non je la tire en direction de l'emplacement en question... pour me poser sur les deux sièges juste derrière. Nos places seront cependant échangées car je lui demande de se placer côté fenêtre pour rester de lui du couloir. Les gens ne vont jamais au fond de toute manière. Le fait d'être un rang plus en avant pimentera la chose.

- Maintenant qu'on est posé, à toi de jouer !

Je déboucle ma ceinture en ne démontrant aucun signe d'hésitation ou de gêne pour finir par lui présenter une queue aussi tendue et pulsante que dans le bureau vide. Couverte de large veines qui la font trembler d'anticipation. Puis j'ouvre mon sac pour en retirer un plaid que je prépare pour l'en recouvrir en partie si la situation l'exige. J'en bloque une partie sur ma droite qui donne accès au couloir à l'avance.

Après le résultat de l'éjac' de tout à l'heure qui en a foutu partout je vais éviter de me laisser aller en lui crachant dans la bouche. Pendant qu'on est dans le bus en tout cas. L'enchaînement des évènements est parfaitement frais dans ma tête et je pense qu'elle va autant prendre son pied que moi durant cette soirée.

Une main vient se poser sur son épaule et sa nuque pour emmener sa tête vers la vienne histoire de nous offrir un baveux échange de salive pour l'inciter à m'embrasser autre chose. Quelque chose de dur, d'épais et intoxiquant à ses yeux. Je ne pousse même pas le vice à forcer son engagement de la main. Non, je le laisse s'y lancer.

- J'ai une surprise pour toi avant qu'on arrive. Au lieu de te demander de fermer les yeux en attendant, je vais te faire me bouffer la queue pour t'occuper. Tu me dois plusieurs pipes après tout, alors viens te rattraper, Kara.

Comme à chaque fois, il ne me faut pas longtemps pour savourer ses prouesses alors que le bout disparaît entre ses lèvres gourmandes. On a plusieurs arrêts à faire avant de descendre. De quoi profiter de ses talents autant que nécessaire.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 21 février 2021, 20:32:45
Décidément, Souta est toujours pleins de surprises ! Kara se dandine sur son siège lorsqu’il ose défaire ceinture et jean, assez pour qu’elle ne puisse pas manquer l’épais membre qui l’attend déjà avec impatience.

« La vache, mais t’es vraiment tout l’temps prêt toi ! » Kara ricane, toujours aussi enjouée, en plissant les yeux pour le taquiner, continue même en lui montrant ses dents tant elle sourit. « T’en as jamais assez ? Ou alors c’est parce que j’suis trop canon ? »

Leur relation lui donnait des ailes, assez pour avoir cette confiance en elle qui lui manquait cruellement habituellement. Souta l’avait déjà complimentée, souvent même, et à le voir toujours autant excitée par elle, son corps, ses attitudes, en demander toujours davantage, elle estimait qu’elle devait lui plaire… Un coup d’un soir ce serait contenter de la rappeler à l’occasion pour tirer son coup, là, passer une journée sans la baiser était déjà une torture pour l’un, comme pour l’autre. Kara en tirait un petit orgueil agréable, et se permettait ainsi de fanfaronner.

 « A moi de jouer ! » Répète la jeune femme en levant les sourcils d’un air provocateur, dès qu’il relâche ses lèvres après un baiser vulgaire comme il en a le secret, ce genre d’échange qui l’électrise vraiment, lui donne envie de le déshabiller illico, peu importe l’endroit. Il est obscène, quoi qu’il arrive, il trouve toujours le moyen d’être dégueulasse, et au début, ça l’avait un peu dérangé… Désormais, elle s’en amuse, au pire, et s’en trouve excitée, au mieux.

Le petit cachotier pousse le vice en ayant tout organisé pour qu’ils soient plus à l’aise, elle fait un détour par son cou, qu’elle adore croquer, avant de se pencher en deux, malgré le manque de place, courbant bien rond le dos, pour frotter sa bouche, son nez, ses joues contre le gland chaud qui l’appelle.

Et visiblement, ce n’est pas la seule surprise qu’il lui réserve, la forçant à relever les yeux pour échanger un regard curieux, intrigué, surexcité par ce qu’il vient de dire, pendant que sa langue joue déjà sur sa peau. « Une surprise ? C’est quoi ? » Oh, merde, elle se trémousse d’impatience ! Mais comment résister plus longtemps avant de ‘fermer les yeux ?’ Kara glousse avant de terminer sa séance de lapements, et ouvre doucement la bouche, à peine trop peu pour que le passage soit délicat au déjà, que cela force un peu, résiste, le presse.

De longues minutes, elle joue à descendre, puis monter sur sa trique énorme, toujours aussi dure quelle que soit la situation, le compressant de ses lèvres, puis le suçant, l’aspirant longuement. Ses mains empêchent boxer et jean de remonter malgré les mouvements, elle le plaque fermement contre son siège alors qu’elle remue les épaules, ricane parfois, le flattant de quelques coups de langues lorsqu’elle a été plus intense, avalant sa salive le plus discrètement possible.

C’est le pied, elle a une boule au ventre, de peur qu’on la surprenne, elle compte sur Souta pour faire le guet, pour s’assurer qu’il n’y a personne, mais dans son esprit, la description qu’il lui a faite la veille est encore bien présente, et lui fait de l’effet. Heureusement, son sexe épais pulse trop dans sa gorge et l’empêche de gémir de plaisir.

Dans un bruit vulgaire, elle le recrache et relève un peu les yeux, malicieuse.

« C’est quoi ma surprise ? »

Sans attendre, elle replonge, y va plus fort, longuement, de longues minutes, puis doucement, remonte sa langue sur toute la longueur veinée.

« C’est quoi ma surprise ? »

Kara reprend le chemin de sa queue, le martyrise un peu, insiste, se dandine sur son siège, l’expulse.

« C’est quoi ma surprise ? »

Elle continue, audacieuse, l'œil pétillant de provocation taquine, l'aiguillonne un bon moment.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 21 février 2021, 21:31:50
Avec toute l'énergie perverse que je lui connais désormais, on peut dire que ce trajet en bus fait partie de mon top-5 les plus amusant et excitant. Il y a pas si longtemps elle aurait été choquée et n'aurait sûrement jamais pu envisager de se laisser tripoter en public. Alors que là, sa bouche est en train de me lustrer la queue avec une volonté et perversion délectable pour nous deux.

Les minutes filent et elle ne perd pas l'occasion de venir me harceler avec la même question. Aussi irritable que cela peut paraître, je préfère m'en amuser en posant une main plus ferme sur sa bouche en lui répondant.

- C'est plus une surprise si je te dis tout maintenant. Contente-toi de t'étouffer sur ma queue.

Kara n'est pas encore en mesure de me dévorer la bite en intégralité. Heureusement, à force de l'entraîner et l'habituer à la taille de mon membre, je sais de quoi elle est capable et comment la pousser à bout ou m'arrêter au bon endroit sans qu'elle ne finisse trop rapidement à court d'oxygène.
Ma main lui bloquant la tête, je relève un peu les hanches pour donner quelques petits coups dans sa gueule d'ange pour pimenter les choses. Les arrêts défilent, les gens montent et descendent sans s'approcher du fond du bus.

J'appuie alors sur le bouton de demande d'arrêt en voyant que l'on arrive à 3 stations avant l'arrêt de chez Kara. Tout s'enchaîne ensuite rapidement pour descendre du bus à temps. Remballer la couverture, lui faire arrêter de me pomper la queue pour la ranger fissa dans mon boxer et mon jean et la traîner dehors à l'arrêt de l'engin qui nous a transporté jusqu'ici.

Un peu plus tôt dans l'après-midi je me suis permis de revoir l'itinéraire deux ou trois fois pour voir si il y avait des trucs intéressants et j'ai trouvé mon bonheur. En descendant plus tôt on va pouvoir se faire une petite excapade un peu particulière qui devrait être sacrément excitante.

Pas de temps à perde, j'emmène Kara avec moi dans une ruelle après avoir parcouru une bonne partie de la rue principale où le bus s'est arrêté.

- Viens par là, toi !

D'un geste précipité je sors la couverture du sac en plastique pour la déposer sur une machine à laver abandonnée et soulève Kara dans la foulée pour la faire s'assoir dessus en lui écartant les cuisses dans la foulée. Je découvre alors que je ne suis pas le seul à avoir préparé une surprise à l'autre. Je relève la tête dans sa direction en souriant.

- Quelle salope !

Je replonge alors dans l'autre direction pour venir lui dévorer la chatte tout en lui foutant trois doigts bien profondément entre ses lèvres intimes. C'est elle qui avait parlé de se faire brouter le minou sans attendre la dernière fois. Ben elle va être servie. Ma langue vient s'amuser à stimuler son clito en le léchant de manière répétée et quasi frénétique. Sur l'exemple du coup rapide de midi, il n'y a pas de place pour la douceur ou la délicatesse ce soir. Non, ce sera du hard et du vulgaire jusqu'à ce qu'on finisse sur les rotules le moment venu. Trop de tension attend d'être évacuée et elle va en faire les frais.

Le doigtage en règle avec aspiration de clitoris ou exploration de sa vulve se poursuite jusqu'à chercher à lui extirper un premier orgasme. Quand sa mouille se met enfin à couler en plus grande quantité je passe à l'étape suivante et ouvre son haut pour remonter son soutif. Je récupère un peu de sa cyprine que j'étale sur un de ses tétons sensible et dressé pour le dévorer à son tour. Tel un glouton qui n'a rien eu à se mettre sous la dent durant des semaines. Mes dents viennent le titiller et tirer dessus pour le faire s'étirer avant que je ne l'aspire et le lèche plus doucement.
Putain, cette énorme paire de seins m'avait manqué.

Plus bas je ne ménage pas mes efforts pour autant et continue de la trifouiller comme un possédé. Ma cible : un second orgasme. Et je poursuis cette noble quête le temps nécessaire pour y parvenir.

Lorsque c'est enfin fait je la regarde en rigolant. La partie inférieure de mon visage couverte de salive à force d'avoir bavé sans retenue sur ses nichons laiteux et si appétissants.

- Tu voulais connaître ta surprise ? La voilà !

Ma phrase se termine sur le bruit du tissu qui se déchire. Je viens de lui arracher sa jupe sans la prévenir. Le coup de la culotte en moi n'était pas prévu, alors je suis pas responsable.

- Tu vas rentrer à ton appart le cul à l'air. Avec un handicap particulier.... Je dois me garder avec la trique tout le trajet.

C'est con, car en plus elle doit être surexcitée avec ce que je viens de lui faire.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 24 février 2021, 15:57:52
Plus elle le taquine, et plus elle se prend elle-même au jeu, s’excite par ses mesquineries, adore qu’il réagisse, et s’exécute sans problème quand il réclame qu’elle se concentre sur sa tache de succion assidue, pour garder la surprise encore intacte quelques instants supplémentaire. Elle y met tout son cœur, enthousiaste et malicieuse, malgré le fait qu’ils soient dans un lieu public, et les risques que cela représente.

Se trouver contrainte par ses gestes, mouvements de bassin ou ses mains, l’encourageait encore plus et la laissait trempée sans mal… De plus en plus, elle sentait la chaleur dans son bassin irradier et devenir de moins en moins contrôlable. Mais il la surprit en l’entraînant plusieurs stations avant celle qui se trouvait la plus proche de chez elle. Il s’était perdu ?

A voir comme il la mène dans une ruelle, Kara sait désormais qu’il a une bonne idée, précise, en tête, et que ce sera évidemment un très bon moment à passer tous les deux. Un… très bon moment, même, dès qu’il la hisse sur cette vieille machine à laver en ruine, elle est persuadée que Souta va enfin découvrir sa petite surprise, à elle… Il lui écarte les cuisses et Kara plisse les yeux en croisant son regard pervers. A son insulte, elle lui adresse un clin d’œil taquin. Il n’est pas le seul à avoir attendu ce moment depuis un bail !

Dès qu’il plonge entre ses cuisses, la jeune femme explose de plaisir, contenu depuis longtemps, c’est vrai qu’elle en rêve depuis plusieurs jours, et après ce qu’ils ont vécu à cet hôtel de luxe, et qu’elle sait combien Souta sait s’y prendre, jamais Kara n’aurait envie de s’en passer… Sans attendre, sans prendre de gant, sans perdre son temps à discuter ou à faire monter la température, Souta l’attaque fort directement, et elle couine déjà. C’est immédiat, elle se mord la lèvre, l’intensité la submerge sans attendre, puisque son amant est doué, oh, oui, si doué de sa langue !

Il l’a tellement chauffée ce midi qu’elle ne met pas longtemps à sentir le plaisir immense de l’orgasme arriver, et les premières contractions explosent alors qu’elle serre ses cuisses contre son visage, l’emprisonnant fermement pour éviter de hurler de bonheur.
Sa respiration saccadée, Kara a besoin d’une minute pour reprendre son souffle, mais ce petit affamé de Souta ne semble en aucun cas du même avis !

Sa bouche dévore alors sa poitrine, martyrise ses tétons, et la jeune femme a encore plus de peine à ne pas ameuter tout le quartier dans la ruelle, il y va fort, ses dents achèvent vraiment ses dernières barrières, même si visiblement, se trouver à cet endroit précis n’avait plus vraiment d’importance pour eux. A part se retenir de gémir trop fort, Kara se lâche, elle est obligée de toute façon, elle n’a pas le choix, le désir est trop puissant et Souta la rend trop folle.

En se tordant de plaisir à nouveau, serrant les dents, la mâchoire contractée à l’extrême, tout son corps se met à trembler et les larmes lui montent aux yeux sans peine. « Merde, merde, merde ! » Son corps tombe presque mollement sur la machine qui grince, et elle voit cependant le visage de Souta qui entre dans son champ de vision… et qui ricane ! L’enflure ! Il a l’air heureux de son petit effet, hein. Kara lui tire la langue en plissant les yeux. Elle pensait que c’était ça, sa surprise… Mais elle se trompait.

Choquée, elle voit presque au ralenti la main de Souta accrocher sa jupe et la tirer si fort que le tissu craque, se déchire, pour la mettre littéralement à poil. Ses yeux s’écarquillent, ronds, et elle ouvre la bouche comme une carpe.

« Quoi ?! » Kara fronce les sourcils et se redresse pour lui faire face, sous le choc. « Hé mais… ça va pas la tête ?! »

Elle se redresse encore, saute à bas de la machine à laver, mais même ainsi, elle est bien plus petite que lui, et ne peut pas rivaliser en taille, elle n’est pas impressionnante pour deux sous. « Tu m’dois une jupe. »

Bougonne-t-elle, d’un coup, avant de récupérer la petite couverture qui se trouvait sous ses fesses, pour l’enrouler autour de sa taille, en lui tirant la langue encore, et tentant de de lui donner un petit coup de pied dans le tibia, mais il faut qu’elle tienne le plaid, alors se rate.

En marchant jusqu’à revenir vers l’avenue principale qui donne vers la rue où elle réside, se tournant de temps en temps pour vérifier qu’il n’était pas loin derrière, en lui tirant encore la langue, comme si elle boudait, mais voulait quand même l’aguicher. Elle était morte de honte de devoir croiser des gens la regardant bizarrement, comme si elle sortait de la fashion week du pauvre. Quel enfoiré !

En bas de chez elle, Kara attend un peu qu’il la rejoigne. A sa hauteur, Kara minaude, le cherche. « Va falloir te faire pardonner d’avoir défoncer ma jupe, hein. » Sa main vient choper son col de veste, le tire jusqu’à l’intérieur de l’ascenseur, pendant que l’autre maintient toujours sa robe improvisée. Il se retrouve plaqué contre la vitre et elle se presse contre lui, serre sa poitrine contre son torse, l’écrase. « Tu devrais me demander pardon. Demande-moi pardon. Gentiment. » Ronronne-t-elle.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 25 février 2021, 08:19:16
Le trajet jusqu'à chez elle se veut rapide. Bien plus rapide que je l'espérais au départ car je comptais en profiter un maximum en faisant durer la chose. Tant pis, ce sera que partie remise. Au moins elle a un minimum joué le jeu en laissant la porte ouverte pour d'autres plaisirs singuliers quand l'occasion e présentera. Et Dieu sait à quel point je suis imaginatif et volontaire pour forcer le destin quand on parle de cul.

Arrivés en bas de son immeuble, voilà que Kara se presse contre moi avec ses énormes nichons tout en essayant de faire preuve d'autorité. On sait tous les deux de quel type d'excuse elle s'attend lorsqu'elle me fait ce genre de demande et je ne peux m'empêcher de sourire quand je lui arrache sa jupe de remplacement des mains en rétorquant.

- Si t'en veux pas, suffit de le dire.

Le cul de nouveau à l'air, je viens glisser deux doigts dans sa chatte encore humide et visiblement sensible en posant l'autre main qui tient le plaid sur son cul pour la faire s'appuyer encore plus fort contre mon torse.

- T'as raison, j'suis désolé. Tu dois avoir froid... J'vais arranger ça.

Je lâche alors la couverture qui s'écroule sur le sol de l'ascenseur et fait tourner Kara pour échanger nos positions. Son visage et sa poitrine contre le mur et moi dans don dos. Une main revient rapidement fouiller entre ses cuisses pendant que je laisse descendre à genoux pour lui écarter son petit cul dans l'optique de permettre à ma langue de mieux attendre sa vulve que je me remets à léchouiller comme tout à l'heure.
Cette fois le risque est plus grand et le délai plus court. Je m'arrête un très bref instant pour ajouter.

- Regarde à quel point je suis désolé.

Un doigt de mon autre main vient alors se frotter entre ses lèvres intimes pour en récupérer un maximum de cyprine et vient dans la foulée coller son extrémité sur l'anus de la jolie employée de bureau pour en forcer l'entrée sans lui demander son avis. Mais je ne m'arrête pas là pour autant. Une troisième attaque fait son apparition avec mes dents qui agressent de façon virulente et appuyée ses fesses douces et couvertes de chair de poule. A l'air libre et qui sont à ma merci dans cet espace clos.

Je ne lui laisse pas le moindre répit alors que je la maltraite via ses deux trous tout en la mordant continuellement en aspirant ma propre salive lorsqu'elle cette dernière se met à couler un peu trop abondamment. Heureusement pour elle que la chose ne dure que quelques minutes... Même si je l'empêche de récupérer le plaid quand les portes s'ouvrent à notre étage.

- Vaudrait mieux pas traîner. Faudrait pas qu'un de tes voisins nous voit.

En lui annonçant la chose, je repars à ricaner en ajoutant un handicap à ma partenaire de jeu. Un seconde doigt force le passage de son petit oeillet pour ensuite installer un petit rythme de va et vient dans son anus frétillant. Je n'ai pas souvent jouer avec jusque là et j'avoue être sacrément curieux de voir ce que ça peut donner.
Lui doigter le fondement me force à rester collé contre elle. C'est donc tout naturellement que je profite de cette occasion pour la chauffer au maximum avec mes ruses habituelles. A savoir le souffle dans son oreille déjà, accompagné de petits commentaires "Ils sont larges les couloirs ici. Je pourrais te baiser derrière cette plante sans que personne nous voit. C'est pas l'envie qui manque en plus. Ca te tente ?"
Sans oublier la main baladeuse qui vient se glisser sous son haut pour revenir martyriser temporairement sa poitrine avec laquelle elle me tentait plus tôt. Y a pas à dire, jamais je pourrais me lasser de ses deux obus si moelleux et bons au goût une fois dans ma bouche.

Sans arrêter mon petit jeu, je la laisse rejoindre son appart et ouvrir la porte pour la pousser dedans en libérant son anus et sa poitrine tout en faisant claquer la porte derrière moi. Mes doigts viennent rapidement déboucler ma ceinture pour que mon jean et mon boxer disparaissent rapidement dans la sombre entrée de son appartement après avoir également quitté mes chevilles.

Je me mets de nouveau à genoux pour me positionner au-dessus de son corps allongé, au niveau de son visage, afin de lui présenter une queue molle, flasque, dénuée de toute énergie.

- C'est plutôt à toi de t'excuser. Je t'ai gardé excitée tout ce temps alors que toi... pas du tout.

D'habiles mouvements de hanche, je fais frotter mon chibre au repos sur son visage pour lui faire comprendre qu'elle a négligé sa part de façon un peu trop évidente et longue. Et qu'il va falloir remédier à ça.

- Tu vas commencer par me refaire bander ! Maintenant ! Comme je te l'ai appris, ma belle bouffeuse de bite.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 26 février 2021, 09:58:18
Oui, le risque est plus grand, Kara en a bien conscience, le stress dans son estomac est largement annihilé par le désir fou de transgresser une règle. La chaleur l’envahit totalement à la seconde même où il la tourne et la plaque contre la vitre, et c’est le summum dès qu’il glisse ses doigts entre ses fesses et s’agenouille.

« Oh oui… Oh oui, t’es… vraiment… » Elle couine de plaisir. « Désolé… » Sa phrase se finit dans un gémissement qu’elle laisse échapper, dans cet espace clos qui fait résonner bien comme il faut leurs voix. Pourquoi son immeuble n’est pas plus haut ? Pourquoi son appartement n’est pas au dernier étage ?!

Quelques minutes intenses, trop intenses, Kara cogne son front contre le miroir en fermant violement les paupières pour résister à l’envie de hurler et rameuter tous les voisins, mais c’est de loin la sensation la plus puissante qu’elle ait ressenti, la sensation d’être prise totalement et sollicitée à plusieurs endroits stratégiques la fait trembler, la forçant à se tenir à la barre de l’ascenseur pour permettre à ses jambes de la tenir droite.

« Oh, Souta… » Gémit Kara, avant de sentir le léger sursaut d’arrivée à l’étage. Merde ! En paniquant un peu, elle songe naïvement qu’il va se retirer et qu’ils vont courir dans son appartement continuer leur petit jeu mais… Elle ouvre grand la bouche, les yeux brillants du plaisir qu’elle prend à chaque mouvement avec ces doigts en elle.

Marcher devient compliqué, elle ne sait pas réfléchir à tous ces stimuli à la fois, d’autant que ce petit enfoiré taquin lui parle encore à l’oreille, comme elle aime tant, comme il sait que cela va la mettre dans tous ses états… Oh, c’est vrai qu’il serait possible de se lâcher ici, dans à deux pas de chez elle, libre de crier à sa guise, Kara n’hésite pas longtemps !

Dès qu’ils ont franchis la porte, elle se retrouve déjà allongée sur le dos, essayant frénétiquement de retirer sa chemise proprement, sa veste tombe au sol en même temps que le pantalon de Souta, elle en tremble d’impatience, le souffle déjà court.

« Viens ! »

Dès qu’il est à genoux au-dessus d’elle, Kara lève les mains pour glisser ses paumes sur ses cuisses en gloussant.

« Oh oui, viens. Viens je vais me faire pardonner, trésor. »

C’est rare de le voir au repos, mais elle ne doute pas que ce soit provisoire, et elle sait désormais comment agir, un large sourire malsain aux lèvres, en venant caresser plus haut son aine et effleurer la peau douce de son membre, pour pouvoir le diriger contre ses joues, ses lèvres qu’elle garde fermées, son menton, même son cou. Un moment, elle ne fait que le caresser et frotter son visage, puis ouvre la bouche et prolonge son jeu avec sa langue, sur la longueur qui s’affermit déjà, la faisant sourire.

Son visage en penche pour permettre de venir s’occuper de ses bourses, comme il lui a appris, louchant sur cette queue entre ses yeux, s’affairant en respirant de plus en plus fort, tant la situation l’excite à nouveau. Après les avoir gobées et sucées, haletante, Kara les recrache pour remonter s’occuper de cette énorme tige qui durcit, sa langue s’active sur les veines naissantes, jusqu’à suçoter son gland, et laisser ses mains accompagner le mouvement.

Quand enfin elle le prend en bouche, les lèvres bien rondes, elle ne peut s’empêcher un gémissement étouffé soulagé, de plaisir. Ce qu’elle aime le sucer ! Kara s’applique alors, lui offre toute son énergie à le contenter, les yeux pétillants d’enthousiasme, folle de désir, sur un petit nuage. Elle se dit qu’elle peut faire ça des heures, avant de sentir sa mâchoire s’ankyloser, et le recracher dans un bruit obscène.

« Encore, trésor ? »

Sa main quitte son sexe pour essuyer son menton qui goutte, racler sa lèvre de ses dents. Elle bascule le crâne pour pencher le visage en arrière et voir celui de Souta, les yeux explosés par l’envie.

« Dis-moi encore, dis-moi que tu veux venir dans ma bouche encore, comme ce midi. Aller… »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 26 février 2021, 12:41:07
Inutile de lui répéter la demande deux fois pour la voir se mettre à l'oeuvre et s'occuper de ma queue comme s'il s'agissait de l'objet le plus précieux du monde. Tout y passe entre ses lèvres, sa langue et ses doigts. Et pas forcément dans cet ordre. Varier les plaisirs est un ingrédient essentiel pour faire monter la température et l'envie.
Quelques minutes suffisent pour me faire gonfler suffisamment afin de lancer les hostilités. Sentir sa bite gonfler et durcir entre les lèvres d'une femme procure une sensation de puissance vivifiante et enivrante qui encourage à se donner encore plus. C'est con et tellement simpliste quand on prend quelques secondes pour réfléchir à la chose. Et pourtant cela fera toujours des miracles sur son homme.

A en juger par son expression, elle commence à aimer ça. Probablement au point d'avoir les pupilles en forme de coeur si on était dans un manga hentai. Heureusement pour elle, je peux être aussi salaud et pervers que les mecs qu'on trouve dans ces même lectures. Quand elle demande si j'en veux encore, je réponds d'un simple "Ouais..."

Une demande, qui confirme ce que je pensais il y a une seconde sur son amour de la viande épaisse et veineuse, arrive tout aussi rapidement. Et cette fois j'en lâche un peu plus pour lui faire comprendre ce qui va suivre.

- J'vais faire plus que ça. A te voir t'amuser autant avec ma queue me donne envie de te faire bouffer ma bite.

Je me redresse légèrement et la tire avec moi dans la foulée pour la faire se remettre debout. Cette courte interlude lui offrira un peu de répit pour reprendre son souffle. Sans que je la ménage complètement pour autant. Mes doigts viennent rapidement jouer avec les contours de ses formes généreuses pendant que je frotte ma bite bien tendue encore ses fesses sur toute la longueur. Comme une pauvre saucisse coincée entre deux miches de pain.

- Emmène-moi dans ta chambre. On sera plus à l'aise avec un lit pour le prochain jeu.

Deux doigts reviennent jouer de manière plus évidente avec son anus délicat le temps du trajet. Il devient de plus en plus clair que je veux travailler ce passage là pour le moment propice. Qui ne sera pas ce soir vu qu'on parle d'un passage délicat qui demande de l'effort et de la patience pour ne pas tout gâcher.

Je la laisse allumer la lumière et la libère de mes doigts pour lui claquer le cul. Plus par jeu que pour lui faire mal. Là, je lui demande de me passer son portable en lui présentant la chose.

- On va poursuivre la séance photos de l'autre soir. Et je vais me servir de ton portable, comme ça tu pourras les garder ou les supprimer.

Le portable déverrouillé, je tourne l'écran dans sa direction pour qu'elle puisse voir que j'ouvre directement et uniquement l'appareil photo. Je dépose ensuite le téléphone sur le lit pour retirer ce qui me reste de fringues et me pose le cul bien réceptionné au pied du lit et caressé par sa couette qui est légèrement froide. Mon regard la sculpte sous tous les angles pendant que ma main récupère l'outil qui va nous servir à transcender l'art dans les prochaines minutes. Voir heures, si tout se déroule bien.

De l'autre main je lui fais un signe du doigt pour venir se remettre en position.

- Commence par amener ton petit cul ici, Kara.

La chose faite, je lui ordonne ensuite de poser ses mains sur mes cuisses en lui ordonnant de ne plus s'en servir jusqu'à nouvel ordre. Puis je prends un premier cliché d'elle dans cette position. J'enchaîne avec un second après avoir posé ma bite épaisse et pulsante sur son visage délicat mais déjà légèrement usé par les évènements de l'entrée.

- T'es encore plus belle et bandante avec ma queue sur le visage.

Sans attendre, je me saisis de ma trique à la base de celle-ci pour guider le gland entre les lèvres de ma salope préférée. Les sons de chaque photo prisent avec le portable se poursuivent en même temps que notre petit jeu. A savoir me frotter le bout sur ses lèvres légèrement enduites de salives, puis quand j'entre entre ses dernières.

Bien rapidement je décide de presser sur son crâne avec ma main qui a lâché mon sexe pour lui faire gober de force la sucette dont elle raffole tant. La moitié est a peine entrée que je sens déjà sa glotte se faire repousser et frotter par une veine. Ma poigne se resserre alors sur sa tignasse pour la faire remonter jusqu'à ce que je sente ses lèvres sur les contours de mon gland. Et là je la renvoie doucement dans l'autre sens pour se remettre à engloutir.

Je bascule alors en mode vidéo pour enregistrer les sons humides, dégoutants et dégradants qui s'échappent de ses lèvres collées à mon appendice en masquant l'objectif qui est tourné vers la couette. Chaque mouvement est accompagné d'un léger gémissement retenu de ma part pour ne pas gâcher la bande son originale qu'elle nous offre. Seuls quelques commentaires bien sales et réducteurs à son égards pimenteront la chose en cas de visionnage futur.

Quelques pauses lui sont offertes ici et là pour reprendre de l'air par le nez. La salive, elle, s'accumule sur son visage et mes couilles qui finissent par tremper dans un liquide salivaire qui ressemble plus à de l'écume que de la salive. Passé les cinq minutes, je l'aide à se retirer complètement et la regarde, son visage défiguré par les efforts intenses répétés pour immortaliser le moment par une dernière photo en arrêtant l'enregistrement vidéo.

- Il y a encore du boulot, mais tu vas devenir une parfaite bouffeuse de bite avec le temps.

Pour la position suivante je lui demande de monter sur le lit en se mettant sur le dos. Le visage dépassant du pied du lit pour donner l'impression qu'elle pourrait tomber au moindre mauvais mouvement. Je relance un enregistrement vidéo en m'approchant d'elle lentement, la bite tendue et dégoulinante de salive pour la bifler dans un nouveau son tout aussi sale que les précédents. L'accumulation de salive des deux côtés fait virevolter quelques gouttes brillantes dont certaines finissent sur mon ventre. Chose qui m'excite terriblement. Je me sens bouillonner à la pousser à faire des trucs aussi tordus.

- Tu voulais que je te remplisse la gueule, hein ? Que ça déborde par tous tes trous ? Avec cette queue ?

Quelques autres coups de bite pleuvent sur son beau minois déjà bien souillé quand je tiens ma queue d'une main et le portable de l'autre alors que je fais mine d'amener de nouveau mon gland vers sa bouche. Ce qui est fait une feinte. Je mets fin à la vidéo et jette le portable un peu plus loin sur le lit en venant présenter mes couilles à ses lèvres pendant que ma queue se glisse entre ses deux obus. Mes deux mains attrapent ces deux divines merveilles qui viennent s’aplatir de chaque côté de mon membre pour une branlette digne de ce nom.

- Continue de me travailler les burnes, Kara, et t'auras droit à un vrai feu d'artifices. Ooooh, putain ! Ouais !

Elle me devait des pipes et des branlettes espagnole, non ? Autant mélanger les deux pour aller plus vite.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 28 février 2021, 20:55:13
Un lit ? Le prochain jeu ? Si Kara ne connaissait pas aussi bien Souta, elle aurait sans doute eu peur, à l’entendre encore si sûr de lui, dominant, ayant déjà tout calculé de ce qu’il attendait d’elle. Il y avait évidemment un côté très excitant à tout cela, savoir qu’elle l’avait hanté si puissamment, qu’il avait déjà des tonnes de scénarios en tête… Mais elle se demandait aussi jusqu’où il voulait aller, et si tout ce qu’il voulait lui faire faire n’était pas juste une recherche constante de la performance, le plaisir de repousser les limites, ses limites à elle, visiblement, puisque lui ne semblait pas en avoir…

« Ah. Euh, par ici. »

Même si c’était elle qui le guidait vers sa chambre, elle avait l’impression que c’était bien Souta qui tenait les rênes, il avait déjà tout imaginé et tout préparé… C’était loin d’être spontané comme dans cette chambre d’hôtel hors de prix, et Kara commençait légèrement à se poser trop de questions à ce sujet. C’était très bien, ces petits jeux, elle devait l’avouer ; elle aimait cela, et elle adorait se dire qu’elle lui faisait de l’effet. Mais quoi qu’elle fasse, il passait à l’étape suivante, celle qu’il avait lui-même décidé, méthodiquement. Est-ce qu’il cherchait juste à cocher des cases ? Jeu terminé, jeu suivant. Prochaine étape. Next.

Et d’après ses gestes insistants, Souta a des projets pour ses fesses dans les prochaines séances, il semble avoir déjà bien en tête ce qu’il attend d’elles, tout est millimétré… Pour quelqu’un qui ne se prend pas la tête, finalement, leurs parties de sexe sont plutôt parfaitement bien organisées… Et quand il aura coché toutes les cases de son bingo du cul, il fera quoi ? Il la jettera ?

Pas le temps de s’appesantir sur cette impression désagréable, il déclare que la prochaine partie sera capturée sur son smartphone… En temps normal, Kara n’est pas vraiment attirée par ces mises en scène, d’autant qu’elle craint évidemment les dérives et les utilisations… Mais puisque c’est sur son téléphone à elle, quel risque ? Au pire, elle pourra sans doute tout effacer ensuite ? Ses dernières pensées l’ont légèrement contrariées, elle se sent moins à l’aise, et surtout moins prête à tout. Son regard est moins vif, moins pétillant de désir, elle a peur qu’il s’en rende compte, se remotive mentalement en allumant son portable et en le lui tendant. Aller, ma grande, ça va aller…

Son excitation revient en flèche dès lors que Souta se déshabille, et surtout au vu des regards de fou qu’il lui lance… ça suffit à la faire sourire, se mordant les lèvres, l’attente commence sans doute à la rendre fébrile, toute cette préparation la laisse impatiente. Aller, crache le morceau, qu’est-ce que tu attends Souta ? Kara, obéissante, vient se positionner exactement comme il le demande, observant son visage dans le but d’y lire les prochains commandements avant même qu’il ne les prononce.

« D’accord. »

Ne pas se servir de ses mains jusqu’à nouvel ordre ? Son visage s’abaisse et le lève doucement, se mordant l’intérieur de la joue, pour acquiescer à cette demande, même si le simple fait d’en parler lui donne envie de transgresser la règle, déjà. Ses doigts pressent ses cuisses et elle esquisse un sourire dès qu’il flash l’instant.
La suite la laisse sans voix, évidemment, elle s’efforce d’être à la hauteur, la présence du smartphone la pénalise au début, la mettant mal à l’aise étrangement, mais petit à petit, excitée par l’énorme queue qui glisse dans sa bouche au fond de sa gorge, et la poigne dans ses cheveux. Définitivement, elle aimerait gémir, mais en est incapable, l’air est trop rare et plusieurs fois, Kara a l’impression d’étouffer. Souta apprécie, c’est indéniable, elle l’entend la flatter et l’insulter à la fois, la motivant davantage à le sucer dans les règles.

Enfin, dans un bruit obscène, elle peut reprendre une longue goulée d’air après l’intensité de cette pénétration, suffoquant comme après un sprint, les poumons en feu. Il ne pouvait pas s’en empêcher… Kara releva immédiatement les yeux pour les ancrer dans les siens en fronçant les sourcils à sa remarque sur la qualité de sa prestation. Blessée, elle tordit son petit visage en une moue hargneuse en pestant entre ses dents « Ta gueule. » mais Souta se montre encore directif et lui indique la marche à suivre.

Encore une étape… Mais Kara exécute, la mine renfrognée, pliant le cou pour lui laisser le champ bien libre et une inclinaison optimale de sa gorge. Pourtant, avant de recevoir son gland suintant, ce sont quelques coups qui l’assaillent, la faisant sursauter. Visiblement, ce simple geste de domination semble décupler l’impatience de son amant, elle sent dans ses mouvements à quel point il se retient, et à quel point il apprécie la surplomber ainsi. C’est communicatif, elle cesse de bouder pour esquisser un sourire à sa petite pique.

« Tu causes, tu causes, mais t’agis pas beaucoup, aller, Souta, remplis-moi ! »

Une provocation gratuite, une sorte de vengeance bien inutile, elle sent de nouveaux coups de son sexe brûlant cogner ses joues et son menton, et d’instinct, ouvre grand les lèvres lorsqu’il s’approche… La déception la fait grogner dès que son épais membre dépasse sa bouche pour s’engouffrer entre ses seins. A défaut de son gland luisant, elle s’occupera de ses bourses qu’il lui présente sans moyen de douter de ses intentions… Ses mots confirment ce qu’elle avait de toute façon deviné et sans se faire prier, Kara s’attelle à la tâche.

Alors qu’il s’active de son côté, la jeune femme s’évertue à reproduire à la perfection les préceptes de son mentor en la matière, pour lui prouver, sans doute qu’elle a bien retenu la leçon depuis tout ce temps. Les mains de Souta sur ses seins augmentent son désir, son bassin accompagne désormais les mouvements de cette queue compressée en gigotant nerveusement. Le laissant faire, puisque de toute façon il semble avoir déjà un chemin tout tracé en tête, Kara agit comme il aime, étouffant ses gémissements contre ses couilles, couinant et râlant de plaisir.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 03 mars 2021, 08:36:00
La position en elle même est sacrément inconfortable. Pourtant elle est également tellement agréable et excitante dans l'autre sens. Les genoux pliés pour coller mes couilles pleines sur ses lèvres pour aller jusqu'à les caler toutes les deux dans sa petite bouche afin de la remplir et la boucher complètement malgré le fait de l'avoir assez écartelée avec l'aide de ma large queue à plusieurs reprises offre un plaisir impossible à définir. Associé à un sentiment de domination évident car elle n'a aucune liberté ou marche de manœuvre tant que je ne décide pas de la libérer.

- Mnnn ! Continue ! Comme ça, ouais...

Les gémissements provenant de ma bouche sont aussi nombreux que les soupirs de plaisir. Sentir mes boules devenir plus lourdes à cause de la salive qui les macule un peu plus chaque seconde me fait trembler de la tête aux pieds. Au point d'avoir du mal à me branler correctement avec ses deux nichons massifs qui restent collés à mes mains moites. J'ai toute la peine du monde à me faire plaisir avec alors que l'envie ne manque clairement pas. Oui, une envie de lui faire tout et n'importe quoi. Les images s'enchaînent dans ma tête alors qu'on n'aura clairement pas l'énergie ou le temps de parcourir tout ce qui me fait envie.

J'attrape alors de nouveau ses seins à l'aide de mes paumes tout en soupirant alors que je reprends mon propre massage avec. Cette douce sensation sur ma peau veinée et brûlante associée à celle plus moite au niveau en-dessous me refait trembler comme une feuille. Mon sang se met à bouillir dans mes veines, la transpiration commence à se faire plus apparente sur mes épaules et mon visage au fur et à mesure que je me laisse aller.
Une fois sa poitrine bien remontée pour me branler facilement, du bout des doigts je me saisis de ses tétons et commence à les pincer pour jouer avec.

- Faut croire que me branler avec tes seins en te faisant bouffer mes couilles t'excite grave.

Mes doigts pincent alors ses petits mamelons roses encore plus fort tout en prenant soin de venir écraser d'avantage mon scrotum contre son visage. Les quelques gouttes de pré-sperme qui dégoulinent de mon gland en viennent d'ailleurs à couler sur son ventre. Je prends un malin plaisir à alterner entre pression de mes doigts sur ses pointes dures et sensibles, un malaxage de poitrine ferme et puissant ou un massage délicat de ma bite.

- Tu me rends fou, Kara ! C'est de ta faute si je fais tout ça !

Une affirmation véridique à 100%. Dès qu'on entre en contact l'un avec l'autre, j'ai du mal à retenir mon envie de lui sauter dessus. Que ce soit en intérieur comme en extérieur. Et vu qu'elle m'a tenté à plusieurs reprises de céder à la tentation dans une ruelle sombre, elle va obtenir bien plus très rapidement. Mais ce sera pour un autre jour. Ce soir on va s'amuser chez elle. Une autre de ses demandes d'ailleurs.
Et vu qu'on est sur ce sujet, il va être temps que je remplisse celle qu'elle m'a fait plus tôt.

En coinçant mes couilles dans sa bouche elle ne peut probablement plus avaler sa salive correctement. Sans oublier qu'elle dit avoir les narines saisies par l'odeur virile qui se dégage de mon service trois pièces qui est un mélange de sueur et de sperme après notre coup rapide de ce midi.

Au bout de deux minutes supplémentaires je libère sa poitrine de ses mains et en pose une sur son visage pendant que je me retire aussi de dans sa bouche pour admirer le résultat tout en récupérant le portable. Un grand sourire aux lèvres je lui demande de faire coucou à l'objectif pour immortaliser son petit visage déformé par une large accumulation de salive et d'abus de ma part. Alors que la suite ne pas sera pas plus flatteuse pour elle quand elle repassera les clichés en revue pour se remémorer la soirée.

- Approche, ma belle.

Une jambe se lève pour qu'un pied se pose sur le lit. Je monte rapidement dessus en lui faisant comprendre de se redresser et se mettre sur les genoux pour que je puisse lui offrir ce feu d'artifice tant attendu. Son portable toujours planté dans ma main. En mode vidéo cette fois.
Ma bite brûlante vient se poser plus délicatement sur son visage cette fois. Ses joues semblent encore plus chaudes que ma queue qui frémit d'impatience alors qu'elle racle un peu de la salive de la belle qui lui coulait au menton. Le tout sous l'objectif de l'appareil qui va filmer la scène jusqu'au bout.

- Je veux te baiser la bouche. La remplir de sperme jusqu'à ce que ça déborde. Alors ouvre et suce !

La seconde d'après, je m'enfonce dedans une nouvelle fois et en savoure chaque sensation alors qu'un frisson me parcoure la colonne vertébrale en m'arrachant un des plus long et agréable soupire de ma vie. Sa langue humide et ses douces lèvres viennent prendre possession de ma queue sensible qui ne va pas tarder à lui exploser en bouche.
Une main dans ses cheveux, l'autre qui tient le portable en résistant aux tremblements, je lui demande d'y aller de façon vulgaire pour me faire céder plus rapidement.

- Avale pas ta salive, laisse tout couler. Bave sur ma queue en faisant autant de bruit que possible comme la bonne salope que t'es. J'adore quand tu fais ça, tu le sais.

Ma main sur sa tête n'est désormais là que pour la forme étant donné que je la laisse faire à son rythme et à sa façon pour me donner envie. Et la libération ne se fera pas tarder plus de cinq minutes. Le plaisir est si intense quand je sens l'envie d'éjaculer parcourir tout mon corps qui se crispe. Même mes doigts viennent enserrer sa chevelure rousse humide alors que je tente de ne pas tirer dessus pour lui faire trop mal.

- Putain ! Ouais, je vais te remplir la gueule, viens par là !

En général je me tiens la bite par la garde quand je me lâche. Sauf que là je préfère filmer tout ce que je peux et mon autre main de ne me réponds plus. Le sperme se met alors à couler plus calmement que les autres fois. Pas de jets puissants qui viennent assaillir ma partenaire. Non, c'est un flot calme et continu cependant qui ne va pas tarder à la remplir autant et aussi vite que ce midi.
Quand je vois ses joues gonfler, un énorme sourire déforme mon visage car je réalise que ma main qui tient sa tête va vite s'avérer utile.

- Avale, vas-y ! Essaie de tout bouffer ! J'adore te regarder comme ça.

C'est vrai que ça m'excite terriblement de la voir se débattre avec mes éjaculations un peu trop consistantes. Enfin, là, ce n'est plus du domaine du "un peu". La chose dure plusieurs secondes, jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau forcée à recracher ma bite qui termine hors de ses lèvres.
Mais je me reprends rapidement et me mets à frotter son beau visage pour le souiller au fur et à mesure que le liquide blanchâtre, dense... voir gélatineux quitte mon gland. Ses joues, son nez, son front. Tout y passe alors que je grogne de plaisir en lui confirmant oralement la chose. Jusqu'à ce que le robinet se referme.

Je continue de la filmer encore un peu, le visage dans un sale état par ma faute pour retirer la couverture qui a été maculée de sperme et je m'allonge sur le dos cette fois. La bite tendue, gonflée, déterminée à poursuivre la soirée. Encore un peu maculée de sperme, mais c'est qu'un détail. Son portable dans les mains pour l'enregistrer si nécessaire.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 03 mars 2021, 11:45:54
L’explosion tant attendue, mais presqu’aussi redoutée arrive, et est à la hauteur des impatiences. Kara se retrouve rapidement submergée par la quantité qui coule dans sa gorge, l’étouffe en l’empêchant de respirer. Elle avait déjà été largement asphyxiée avant par le traitement intense administré à ses bourses, et avait eu peine à retrouver son souffle. C’est qu’il y était allé fort en maltraitant ses seins, et il savait à quel point elle adorait cela… se concentrer sur son plaisir et ses succions avaient été vraiment compliqué, son cerveau avait été incapable de correctement fonctionner, il avait vrillé. D’autant en l’entendant couiner et causer pendant qu’il gémissait… Il savait comme ça la rendait dingue.

Elle suffoque un peu, tousse, serre les lèvres et son regard brille à le voir, lui, qui affiche ce visage particulier qu’il arbore lorsqu’il vient de jouir, emplissant Kara d’un sentiment de puissance malgré la posture clairement soumise qu’elle a actuellement. Les yeux d’ambre de Souta brillent bizarrement quand il est ainsi, elle croit même y lire de l’attachement… C’est mignon. Le contraste est flagrant entre ce qu’elle ressent et la quantité de liquide visqueux qui coule sur son menton et lui donne des spasmes chaotiques pour espérer respirer.

Dès qu’il semble avoir tout déversé, docile, l’œil pétillant comme si elle venait d’oublier ses craintes précédentes, Kara avale, petit à petit, comme il le lui a demandé, mais une bonne quantité goutte mollement, ça l’épuise, elle soupire en voyant Souta s’éloigner… Comment fait-il pour toujours être aussi énergique, lui ? Il n’est jamais fatigué… Kara l’admire une minute, le laissant allongé sur le dos, le sexe encore bien dressé et ne peut s’empêcher de sourire légèrement. C’est sans doute légèrement ridicule vu l’état lamentable de son visage, mais elle ne peut pas y songer, trop attirée par son corps offert.

A quatre pattes, elle s’avance comme un fauve, se marre toute seule de son attitude, et sans même qu’il ait besoin de dire quoi que ce soit, bonne élève, vient lécher et nettoyer cette tige bien tendue qui rougit à son contact. Il a suffisamment insisté les fois précédentes, il aime ça. Ses yeux remontent jusqu’au visage de Souta, ancrant son regard clair dans le sien, repensant clairement à ce qu’il a soufflé, avant. Il a dit qu’elle le rendait fou, et ça, ça a gonflé son orgueil, boosté la confiance en elle, rassuré ses doutes… Quelques mots, un effet bœuf.

« Presque propre… » Souffle Kara en se léchant les babines et reprenant son ascension, chopant au passage un coin de couverture pour s’essuyer sommairement le visage, sans aucune considération pour ses draps… Il a bien trop réussi à la convaincre que ça allait, qu’elle n’avait pas à s’en faire, qu’il était bien, là… Et la jeune femme glisse ses cuisses de chaque côté de ses hanches, les fesses encore hautes, mais sentant malgré tout le membre dur chatouiller son entre-jambe alors qu’elle n’a même pas encore entamé une descente. Ce sont pourtant ses lèvres à lui qui l’attirent, elle penche le buste pour l’embrasser, elle en a besoin. Il sait qu’elle en a besoin. Il faut qu’elle efface totalement ses désagréables pensées.

« Je vais te rendre encore plus dingue, mon petit Souta. »

Tout en continuant de lui rouler de belles pelles, mémorables, affamées, ses mains viennent serrer ses poignets et les ramener au-dessus de sa tête avec fermeté. De toute façon, vu la différence de force physique, Kara serait incapable de lui imposer quelque chose qu’il n’aurait pas désiré également. Mais cette fois, elle est sur son terrain à elle. Sa bouche devient plus insistante sur ses lèvres, le mordille, tire sa lèvre inférieure, la jeune femme soupire en amorçant lentement un mouvement de bassin.

Tout ceci l’excite, la fait se dandiner, suffisamment pour baisser les reins, qu’il constate à quel point ses cuisses luisent et comme son gland glisse bien sur sa peau trempée. Doucement, sans brusquer plus que nécessaire, la pression de son bassin force cette queue veinée à écarter ses lèvres intimes, à la pénétrer à peine. Et elle remonte en ricanant contre sa bouche, réitère l’opération plusieurs fois, semblant souffrir autant que s’amuser de la frustration, serrant fort les poignets dans ses petits doigts qui blanchissent sous l’effort.

« C’est dur de se retenir… » Elle croque sa mâchoire et ses fesses redescendent à nouveau, plus franchement, comme pour illustrer ses propos. Trop dur, oui… Kara n’est pas patiente, ils le savent tous les deux… Alors qu’elle laisse passer l’embout rougeoyant en elle et lâche un long gémissement de salut. « Hmmmmmmmmmm… » Pas question de le laisser s’en aller cette fois, elle continue à s’asseoir davantage, centimètre par centimètre. Malgré l’entraînement régulier, elle se sent incapable de s’empaler totalement sur son pieux énorme, mais la sensation est intense, déjà, suffisante pour la faire bouger, onduler longuement.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 03 mars 2021, 12:40:26
J'ignore complètement si c'est pour me tenter davantage ou juste parce qu'elle commence à aimer ça et y prendre ses habitudes. Ceci étant, le fait qu'elle vienne me lécher un peu la queue pour finir en gros plan sur ce bout de vidéo est terriblement excitant. Une prise de vue qui est cependant rapidement balayée par sa soif de se faire prendre. A croire que sa bouche n'est la seule à avoir faim et soif ce soir.

- Ouais, pour être dur, ça l'est...

Jouer sur les mots dans ce genre de situation m'a toujours amusé. Les sous-entendus, les double sens. L'envie doit être encore plus forte chez elle que chez moi vu le mal qu'elle a pour venir s'empaler sur ma queue qui n'attend que ça depuis qu'elle s'est approchée. Ses doigts n'exercent pas une grande force pour me restreindre les poignées à cause de son excitation et de ce qui se passe dans une zone qui est complètement bloquée niveau visuel. Du coup je pourrais me libérer et m'enfoncer en elle en forçant le passage. Et pourtant je n'en fais rien. L'envie de la pousser à s'y embrocher toute seule est clairement plus amusante.

C'est elle qui voulait se faire baiser en brisant les règles, c'est aussi elle qui a insisté pour qu'on aille enfin chez elle. Alors qu'elle au bout des choses en prenant la situation à son compte. Quand son long gémissement est libéré, j'en rajoute une couche. Surtout que le portable enregistre toujours. L'audio uniquement, certes. Sauf que ça compte.

- Continue, je veux t'entendre gémir en t'enfilant ma queue comme la dernière des salopes.

Sans trop d'effort, j'arrive à libérer mes poignets de son emprise. Et pour aller dans le sens de mes envies je ne fais rien pour l'aider dans son entreprise. Non, je me contente de lui pousser un peu les épaules vers le haut et me dégager la vue et l'espace pour me saisir de ses gros seins. Ses mamelles qui tombent semblent encore plus énormes à quelques centimètres de distance.
Je les empoigne de toutes mes forces pour venir les tirer vers ma bouche qui se met à en aspirer un tellement fort que le son rivaliserait presque avec selon de son gémissement.

J'aspire, de toutes mes forces, écrasant son sein de mes doigts au passage. Elle a clairement un côté masochiste au niveau de sa poitrine. Ce qui va de paire avec mon amour des grosses poitrines quand il s'agit de jouer un peu dans certaines situations. Un fait que je ne lui ai pas caché.
Le mamelon maltraité est libéré dans un son humide et pervers pour reprendre la parole alors que sa chatte me comprime toujours aussi fort.

- Fais pas attention à moi.

Je repars de plus belle pour m'attaquer à l'autre sein que je presse encore plus fort pour en faire ressortir la pointe dure et tendue. Qui va rapidement subir le même traitement. Plus bruyant cette fois en terme de son. Les dents, la langue, les succions. Tout y passe. Puis je le recrache vulgairement pour rajouter encore.

- On sait tous les deux que tu peux aller plus loin. Où est passée la chiennasse d'hier qui me suppliait de la baiser contre un mur dégueulasse d'une ruelle ?

L'envie de relever les hanches d'un coup sec pour la casser en deux est si vivace en moi que j'ai un mal fou à me retenir. Car d'un autre côté je sais que la pousser à aller plus loin d'elle-même pourra être aussi excitant que libérateur pour la suite. Mes mains tremblent tellement à l'idée de la prendre comme une brute par tous les trous que ma seule façon que j'ai trouvé de me calmer était de les occuper autrement. Ses seins étaient les seules cibles que je voyais qui pourraient me permettre de détourner mon attention sans la pousser à faire plus de force.
Si j'avais opter pour ses épaules, ses hanches ou son cul, ça aurait très vite mal tourné.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 03 mars 2021, 14:42:06
 Le traitement administré à sa poitrine augmente sensiblement ses mouvements, la faisant trembler immédiatement, frémir, transpirer d’un coup. Tout est toujours meilleur lorsque Souta s’occupe de ses tétons, les sons augmentent, la chaleur la submerge délicieusement… C’est plus fort qu’elle, Kara implose à ce contact, et ne se fait pas prier pour élever la voix. Quel bonheur d’être chez soi, de n’avoir à penser à rien d’autre. Et d’avoir toute la nuit pour eux. C’est qu’ils en avaient besoin, tous les deux, comme si cela faisait des mois qu’ils ne s’étaient pas vu… Alors que, globalement, ils restaient en contact tous les jours. Attention, c’était de l’addiction…

Et Souta de la traiter encore de salope, de chienne. Kara ricane, glousse à ses insultes, elle sait qu’il adore l’appeler comme cela. C’est sa façon à lui de tenter de la motiver, et de garder le contrôle sur elle, lui rappeler qui était le patron ? Mais cette fois, la jeune femme lui rit au nez, magnifiée par la posture droite qui le surplombe, ses cheveux courts bougent au rythme de ses reins se déhanchant. D’une main, elle empoigne ses cheveux, remontant depuis sa nuque jusqu’à son crâne pour l’obliger à rester la tête sur l’oreiller.

« Tout doux, Trésor, tout doux. »

Il ne peut pas s’en empêcher, c’est plus fort que lui, il faut qu’il fanfaronne. Souta est incapable de la laisser faire, et Kara s’en amuse en levant un sourcil à son attention, se mordillant la lèvre au rythme de ses doigts qui pincent l’extrémité de ses seins. Et ses vocalises s’intensifient avec ce mouvement, galvanisée par ses mots, ses encouragements à s’affaisser encore davantage pour accentuer la pénétration. Ses cuisses sont en feu, et la sueur perle suffisamment à son front pour coller sa frange mal taillée à sa peau.

En y mettant plus de poids, Kara lâche un juron, les centimètres passent moins facilement, elle balance la tête en arrière en pliant le cou en deux pour contrôler au mieux ses mouvements, la pression qu’elle opère sur la masse de chair gonflée qui lui écarte les entrailles. Et les oreilles pleines des gémissements de Souta, elle tire ses cheveux dès qu’il lui fait mal, dès que le pincement est abusif, ce qui devient de plus en plus fréquent. Elle agrippe ses mèches à pleine main, ne lésine pas sur la force, mais doute pouvoir le meurtrir suffisamment pour lui faire vraiment mal. Il est résistant, le bougre. Bien plus qu’elle. Et il continue de fanfaronner quoi qu’il arrive.

« Ferme-là… » Gronde-t-elle, en réflexe, avant de pousser un piaulement strident en s’enfonçant davantage, et revenir sur ses mots. « Non ! Encore. Cause-moi encore. J’aime quand tu discutes… Aïe ! »

Elle redresse la tête pour lui lancer un regard presque haineux, alors qu’il vient de la pincer vivement, sans doute en représailles. « Putain… » Sa main dans ses cheveux le lâche et vient serpenter dans son cou, pour se saisir de sa mâchoire et presser. En se penchant, relevant fatalement les fesses, Kara pose sa bouche sur celle, en cœur, de son amant.

« Je fais ce que je veux de toi, Souta. Chhh, tais-toi, dis pas le contraire. Laisse-moi y croire. »

De nouveaux baisers pleuvent sur ses lèvres, bruyants, en aspirant sa lèvre violement pour la recracher dans un bruit vulgaire qui les excitent largement tous les deux. Ses doigts passent encore sur sa pomme d’adam, pour se ficher plus bas et empoigner son cou dans un geste possessif d’intimidation. Si, elle peut l’être, ne dis pas le contraire. Laisse-la y croire.

En se redressant, bien droite, le dos cambré au maximum, le buste fier, la jeune femme adresse à Souta un délicieux sourire, conquérant et taquin. Une seconde, elle acquiesce bizarrement, en hochant la tête doucement. Et sans crier gare, enfonce d’un coup une bonne partie supplémentaire de cette queue épaisse en elle. Son gémissement ressemble plus à un cri qu’à un feulement rauque, et bientôt, son bassin s’active, ondulant frénétiquement, électrisée par la sensation d’empalement puissante qui l’envahit.

Et puisqu’il semble vouloir se rendre utile, sa main libre se saisit d’une de ses mains pour diriger ses doigts entre ses cuisses, l’incitant à titiller un autre bouton qui lui plaira assurément. Un clin d’œil complice accompagne même son mouvement…
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 04 mars 2021, 08:30:13
Comme toujours, c'est avec un air amusé que je la laisse prendre les choses en main. Littéralement. J'obéis bien sagement en la laissant tenter de me saisir le cou tout en gardant le silence. Mon regard est rivé dans le sien ou sur ses seins qui s'éloignent de moi. Un long soupir accompagne alors le sien quand elle vient se prendre les trois quarts de ma queue tendue et gonflée au fond de sa petite chatte. Mon gland semble même déjà cogner contre le fond de son trou si étroit et humide qui me masse aussi fort que délicatement chaque centimètre et veine de mon membre insatiable lorsqu'on se retrouve ensemble.

Une main vient se poser sur sa cuisse couverte de chair de poule. Brûlante, couverte de sueur déjà alors que l'on n'a encore rien fait. Pour moi du moins. Car je compte bien lui en faire voir de toutes les couleurs ce soir. Que mon odeur imprègne sa chambre de manière permanente même après un ménage complet. Que le simple fait de s'allonger sur ses draps lui rappelle le traitement brutal et sans fin que je lui ai fait subir lors de ma première visite chez elle.

Puis sa main vient attraper la mienne qui était libre pour l'amener vers elle. Je me laisse faire, encore. Je vais même jusqu'à l'ouvrir entièrement pour déposer mes doigts sur son pubis alors que mon pouce entre en contact avec son clito durcit par les sensations répétées. Comme un bon soldat je me mets à la frotter et le caresser en fonction de ses réactions pour ne pas y aller trop fort ou trop vite étant donné que madame veut contrôler le rythme.

Par contre, quand ses hanches se mettent à remuer, j'attends qu'elle remonte et redescende pour passer à l'action et appuyer ma prise plus fermement sur sa cuisse afin de faire remonter mes hanches et l'aider dans la pénétration suivante. Ricanant et soupirant de concert alors que la pression exercée par ses parois intimes me donne l'impression de me faire torturer de l'intérieur.

Doucement mais sûrement, ma bite creuse, écarte et déforme tout sur son passage pour modeler la chatte de Kara comme elle le souhaite pour s'y sentir plus à l'aise.

Le rythme légèrement installé, ma main quitte sa cuisse après l'avoir caressée un petit moment pour se déposer sur sa hanche. Je prends tout mon temps pour caresser sa peau de façon délicate. Vient ensuite son ventre, son nombril. La montée se poursuit pour revenir sur sa poitrine.
La délicatesse cède alors sa place de façon inattendue à la douleur car j'attrape ma cible et l'empoigne avec toute ma poigne en lui offrant mon plus grand sourire. De manière courte, le temps d'une seconde ou deux. Pour laisser la place à une palpation plus douce. Et je recommence à le presser fort. Plus encore que la précédente. Tout en ne négligeant pas ma poussée en elle ou la stimulation de son clitoris.

J'aide comme je peux, c'est tout naturel.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 06 mars 2021, 15:03:03
La chaleur explose presqu’immédiatement dans tout son corps, se diffusant comme une réaction en chaîne, puissante, qui bouleverse tout sur son passage. Ses reins s’enflamment, ses cuisses tremblent, et la brûlure monte dans son ventre, rencontre la fièvre que Souta fait naître sur sa poitrine. Il semble à Kara que chacun de ses membres est parcouru de frissons, des fourmis dans le bout des doigts la rend plus gauche, un moment, alors qu’elle a glissé sa main dans ses cheveux.

Les attentions conjointes administrées par cet amant qui commence à parfaitement savoir ce qu’elle aime la transportent suffisamment pour qu’elle n’ait plus aucune retenue de ses gémissements. Dans le parfait contrôle du rythme qu’elle impose à l’ondulation de son bassin, tantôt lascive et douce, tantôt plus rude et franche, Kara maîtrise au moins les pénétrations de l’épais membre en elle, à défaut de pouvoir garder le contrôle des caresses devenues tortures. C’est un parfait chaos paradoxal qui l’amène lentement mais sûrement vers une strate supplémentaire de plaisir.

Sa peau luit depuis un moment de cette sueur qui roule sur le grain de son épiderme, jusqu’aux doigts qui s’acharnent sur ses seins, le seuil entre le plaisir qui la brûle et la douleur se fait de plus en plus ténu, jusqu’à ce qu’elle gronde de manière indicible, ne sachant vraisemblablement plus choisir entre les deux, les deux se mêlent, s’annule dangereusement, se décuple alors qu’elle lâche un juron.

« Oh, bordel. Continue… »

A la légère souffrance de sa poitrine, répond la chaleur bouillante entre ses jambes, dans un équilibre qui ne tarde pas à la faire exploser véritablement. De là où il se trouve, Souta ne peut ignorer les spasmes et les tremblements massifs, ni ne pas ressentir les contractions autour de sa tige gonflée et compressée à l’extrême. Le visage de Kara se crispe pour finalement serrer les dents si fort qu’elle en a des crampes, et expulse un puissant hurlement de plaisir en s’arcboutant.

Obligée de s’accrocher à lui pour ne pas perdre l’équilibre et se gaufrer comme une idiote, sa face affiche la béatitude classique quelques secondes après avoir réussi à ne pas retomber mollement sur lui, comme une loque sans énergie. En ouvrant les paupières, la jeune femme se penche cependant pour venir à la rencontre de ses lèvres, toujours affectueuse et douce après l’extase, et le crible de baisers passionnés.

« Rah Souta… Souta… Souta… »

Son rire se brise contre la bouche de son amant à qui elle laisse peu d’espace pour parler, l’assaillant toujours, prenant encore quelques minutes pour se remettre un peu.

Lorsque ses jambes semblent pouvoir la supporter, taquine, Kara se redresse en glissant son index sur les lèvres de son partenaire, dessinant les contours de sa bouche en plissant les yeux, ricanant, même, lorsqu’il veut le lui gober, et qu’elle esquive.

« Attends. »

Elle se contorsionne pour se relever, chancelante, et a aussitôt l’impression que c’était une très mauvaise idée. La chambre tourne autour d’elle, comme si elle était ivre, s’en amuse, souffle une seconde. « Oh merde, je crois que jsuis saoûle… »

Quand les murs cessent leur danse devant ses yeux, encore maladroite, Kara se penche en avant en se pliant en deux. Son corps à l’équerre, ses seins pendant frottent contre les draps éparpillés par leurs précédents ébats. D’un geste de menton elle invective Souta encore allongé.

« Hé bah alors, j’vais devoir attendre longtemps ? Qu’est-ce que t’attends pour venir me prendre ? »

Son regard se veut plein de défi, mais elle glousse comme sous l’emprise de l’alcool. Mais après tout, tout ce plaisir qu’elle a prit en pleine face, c’est une drogue assez puissante… La jeune femme dandine son arrière-train pour l’inciter à se bouger, mais connaissant Souta, il ne va pas se faire prier. Encore que…

« A moins que tu sois trop peu endurant pour remettre ça ? »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 07 mars 2021, 13:50:43
A combien est-ce qu'on est d'orgasmes pour elle ? Trois ? Non, quatre je crois. Au minimum en tout cas. La pression qu'elle exerce sur ma bite aurait pu me faire céder si j'étais aussi excité qu'elle avant qu'elle cède à la tentation en se laissant aller. Je la regarde alors faire sans dire un mot et en ne réagissant qu'à ses petites manies et autres gestes aguicheurs alors qu'elle ne semble pas en avoir eu assez. La chose qui l'empêche de poursuivre semble être cette jouissance qui a sapée ses dernières forces. La forçant à changer son fusil d'épaule pour continuer à en profiter.

- Ah ouais ? Je dirais surtout que ton cerveau a du mal à suivre.

Chose qui est étrange car des orgasmes elle a déjà eu avant et celui-là n'avait rien de particulièrement spectaculaire. Reste la théorie de la succession ou du fait de s'être lâchée après avoir retenu son envie durant ces quelques jours. A croire que la petite Kara n'est pas faite pour l'abstinence. Heureusement pour elle que je suis là vu qu'en terme d'envie je suis pas le dernier à me faire désirer.

Sa remarque ne trouve aucune réponse. Pas orale du moins. A l'aide de mon coude gauche je prends appuie sur le lit afin de me redresser et de passer derrière elle. Un genou vient se poser sur le drap alors que le pied de ma seconde jambe vient se mettre à plat de l'autre côté pour m'offrir une position légèrement surélevée à la sienne.

Une claque vient alors résonner à travers toute la pièce quand ma main droite entre en contact avec son petit cul qu'elle remuait à l'instant sous ses yeux en me demandant ce que j'attendais pour m'y mettre. Ma main reste alors collée sur sa fesse pendant que je guide mon gland au contact de ses lèvres intimes pour me glisser entre elles avec une facilité déconcertante. La laisser s'amuser dessus semble avoir fait des miracles vu que le passage est bien plus ouvert que les fois précédentes.

Le gland entré lentement, je libère un énorme soupire en poussant d'un coup sec pour la prendre en profondeur et venir faire cogner le bout de mon chibre au fond de son trou. Laissant mes couilles se soulever par ce mouvement brut et sec pour venir s’aplatir sur son clitoris dans un mouvement de pendule.

Mon visage se baisse alors pour se rapprocher du sien et lui glisser tout doucement.

- J'ai assez d'endurance pour te baiser toute la nuit. Et après m'avoir chauffé autant j'te laisserai pas dormir avant de te remplir et te couvrir de sperme.

La main posée sur son cul remonte légèrement pour m'offrir un meilleur appui alors que la seconde se positionne sur ses cheveux et appuie fort sur sa tête pendant que je me redresse tout en relevant les hanches. Quand il ne reste plus qu'un tiers de ma bite en elle... BAM ! Je la plante littéralement avec une violence et une énergie non retenue. Comme si je cherchais à lui faire mal dans un coin de ma tête.

Il ne me faudra pas plus de dix secondes pour me mettre à la pilonner comme une brute sur son lit en me tenant légèrement au-dessus d'elle et en effectuant des mouvements en diagonale avec les hanches qui y vont de bon cœur alors que je rigole tout en gémissant de plaisir. Mon corps tout entier se contracte pour la maintenir bloquée en lui empêchant toute possibilité de se défaire de ma poigne pendant que je la baise comme un possédé.

- Alors... J'ai assez... d'énergie pour toi... là ?

Entre deux coups de bite je m'arrête un bref instant pour revenir lui claquer le cul avant de repartir de plus belle. Ma respiration est si lourde que chaque halètement semble raisonner à travers la chambre de Kara. Pour un premier passage, ce dernier risque de devenir assez mémorable pour nous deux.

Au bout d'environ six minutes je fais glisser mes mains pour les déposer sur chacune de ses épaules en lui posant une dernière question qui précédera l'assaut final sur son petit corps.

- J'espère que ton lit est solide. Parce que je t'en paitrais pas un nouveau si il lâche.

Mes mains pressent légèrement sur ses épaules alors que je me prépare à lancer la dernière longue salves de coups de rein et de bite. Je reprends ma respiration durant quelques secondes en l'avertissant.

- Prépare-toi à te faire casser en deux comme la chienne que t'es, Kara.

Son prénom est prononcé en même temps que le premier coup de butoir dans sa chatte serrée et trempée qui se fait écarteler sans aucune pitié. Mon gland vient cogner de toutes ses forces au fond de son corps en la poussant presque en avant si je ne la retenais pas avec mes mains. Le second coup et les suivants s'enchainent à une vitesse folle et une sauvagerie sans limite. Chaque mouvement se veut accompagné d'un soupir, d'un gémissement ou d'une respiration lourde et pénible.
Pour couronner le tout je me retiens aussi longtemps que possible pour entendre sa voix brisée autant que je le peux. La voir à ma merci me procure une sensation de puissance et d'excitation qui me pousse à aller encore plus loin, à en faire davantage.

Mon corps brûlant pourrait quasiment libérer de la vapeur tant il fait chaud ici. L'odeur de sa peau et son shampoing dans mes narines finit par rapidement ne plus me servir de distraction pour occuper mon esprit. Me branler frénétiquement avec l'intérieur de son corps va m'achever au bout d'une dizaine de minutes. Pas d'avertissement ou de remarque cette fois. Je laisse ma queue gonfler et déverser le contenu de mes testicules en elle jusqu'à le sentir déborder et dégouliner sur son drap.

Sans la laisser respirer, je lui saisis les poignets et la tire avec moi en arrière pour me retrouver sur le dos et elle au-dessus de moi. Mes hanches se soulèvent en poussant ses fesses en l'air pour faire claquer mon pubis dessus quand je repars la pénétrer dans un mouvement verticale cette fois. Un étrange son humide se fait entendre quand le surplus de sperme gicle d'entre ses cuisses pour asperger le drap déjà bien souillé par nos échanges.

Cette fois encore, chaque coup de rein se veut puissant et brutal pour la faire réagir.

- Allez ! Gueule ! Hurle au bout de ma grosse queue, salope ! Dis à tout ton bâtiment que t'adores ça.

Sans image, le portable doit continuer d'enregistrer le son. Si elle accepte d'obéir, ça lui fera sûrement un bon et drôle souvenir quand elle ira revoir la vidéo.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 10 mars 2021, 14:58:43
Regrettait-elle ses paroles ?

Non ?

Mais il fallait avouer que, contrairement à Souta, Kara était loin d’être endurante comme un athlète et elle avait sans doute un peu trop fanfaronner. Et en même temps… Il fallait avouer qu’ils se chauffaient depuis tellement de temps sans avoir eu juste le temps de se retrouver vraiment seuls pour assouvir leurs pulsions les plus sauvages, que la perspective de toute une soirée avec lui lui avait peut-être voilé la face… Les yeux plus gros que le ventre, comme on dit…

Les coups de reins étaient si brutaux qu’elle tressautait comme une poupée de chiffon, incapable pourtant de s’en trouver dérangée, bien qu’il cogne sèchement et sans relâche. Il été idiot de ne pas s’avouer vaincue dans de telles conditions, mais Kara avait une sorte d’orgueil mal placé, que Souta mettait en exergue souvent, sans doute parce qu’elle détestait l’idée qu’il gagne à chaque fois.

Cependant, mentir était également inutile, il pouvait voir son petit corps se tordre sous le plaisir et ses assauts bestiaux, se contractant, à mesure qu’elle enchaînait les vocalises de plus en plus gutturales, les gémissements devenant de sourds « ohhhh… Soutaaaaaaaaaa-ah...» à chaque fois qu’elle encaissait un nouveau coup de boutoir.

« M… Mon lit… » Elle s’interrompt pour supporter en se mordant la lèvre. Mais alors que le calme s’impose une seconde avant la tempête de coups de reins, le simple fait de l’entendre prononcer son prénom la rend dingue, et elle ronronne juste à peine, comme attendrie… ça ne dure pas, elle se met à hurler.

Sans avoir le temps de reprendre son souffle, les poumons en feu, les jambes tremblantes, Souta la soulève facilement, si facilement que cela en devient déconcertant, bandant ses muscles en sueur et lui laissant juste une sensation étrange d’élévation. Un instant presque calme après la déferlante d’assauts, et qui n’augure que la reprise de ses attaques impulsives. Les sons obscènes qui envahissent la pièce la rendent dingue, autant que cette voix rauque qui lui grogne dessus, l’invective, lui ordonne de gueuler.

Totalement impuissante en sautant et en retombant pour s’empaler sur son épais membre veiné, Kara ne couine plus, incapable de baisser la voix désormais, trop submergée par la tension et l’intensité de leurs ébats. Et assurément les murs pouvaient trembler sous ses cris de plaisir, hurlant son prénom à qui voulait l’entendre, grondant à quel point elle était sa petite salope, à lui, juste à lui, au point t’entendre soudainement de violents coups au sol…

« Oh merde… » Kara sursauta, pas à cause d’un coup violent cette fois, tentant de se redresser, sortant une seconde de leur communion bestiale. « Attends, attends… »

Les coups se répétèrent, plus vifs. « La… La voisine. » Assurément, elle devait frapper avec le manche de son balai au plafond, et une petite voix grognon, étouffée, pestait légèrement.

- Pas bientôt fini ce bazar, ça suffit les lapins !

Kara éclata de rire, avant de se dégager de son amant, en se tortillant, relevant les hanches pour évacuer toute la longueur de cette tige énorme, dans un bruit de succion abjecte, et faisant s’écouler sur ses cuisses et ailleurs, les restes abondant du passage de Souta bien profondément en elle. Toujours hilare, l’office-girl se retourna et vint se lover contre la peau en sueur du jeune homme.

« J’vais me faire défoncer par la copropriété, à cause de toi, tu sais. » Mais ses yeux pétillaient, en gloussant comme une adolescente prise en flagrant délit avec un garçon. « T’es chiant aussi, à me faire gueuler… » Un baiser claque sur sa joue, avant qu’elle se semble se souvenir de l’existence du portable… D’un bond, qu’elle regrette immédiatement en grimaçant de douleur tant ses muscles attestent des coups subis, Kara se contorsionne pour le récupérer et éteindre tout enregistrement.

En revenant contre Souta, toujours aussi suffocante, sa voix éraillée paraît moins sûre.

« Tu… T’aimerais qu’on revoie les images… genre… plus tard. Ensemble ? » Elle ignorait si cela pourrait l’exciter, elle, ou non. Se voir ou s’entendre était souvent désagréable, à vrai dire, elle était trop complexée pour apprécier véritablement. Mais Souta. Cela devait lui plaire, non ?
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 22 mars 2021, 08:06:28
Tout se passait merveilleusement bien... jusqu'à ce qu'une vieille coincée du cul pousse Kara à tout arrêter. Je peux sentir qu'elle a autant envie que moi de poursuivre pendant qu'elle se retire vu avec qu'elle force elle m'aspire tout en se désengageant. Cette sensation si particulière me retire même un dernier et long soupir avant de la voir venir se coller tout contre moi avec son corps en sueur et sa respiration haletante qui fait soulever sa poitrine de façon si caractéristique. La voir dans cet état me plaît toujours autant. Surtout qu'elle m'a coupé en pleine ascension là.

- J'y peux rien, j'aime entendre ta petite voix quand tu prends ton pied.

Alors qu'elle part se saisir du portable pour revenir se coller contre moi, je profite de l'occasion pour passer mon bras derrière elle et la faire se presser un peu plus sur mon corps. Des orgasmes elle en a eu à la pelle aujourd'hui. Et elle m'abandonne comme ça avec un piquet entre les jambes parce que sa voisine est une emmerdeuse. Et parler de visionner les vidéos et photos qu'on a fait ce soir n'arrange rien à la situation.
Ce qui est sûr c'est que ma petite employée de bureau se lâche de plus en plus au fil du temps. A se demander jusqu'où elle ira.

Mon bras se pose sous son épaule afin de pousser son corps et la faire s'allonger sur moi. Sa poitrine vient rapidement s'écraser sur mon torse musculeux et en sueur. Nos visages l'un en face de l'autre. Ma main vient alors se poser à l'arrière de son crâne pour faire descendre ce dernier de quelques centimètres pour lui offrir un nouveau baiser baveux en guise de réponse. La langue sortie avant de lui offrir mes lèvres.

- Mnnnnn... Aaaaaahn !

Ma queue, tendue et pulsante car toujours demandeuse d'attention pour être libérée une dernière fois, se frotte contre son petit minou trempé et dégoulinant ou sur son petit cul en fonction de ses mouvements et ondulations.
Après une longue minutes à jouer avec sa langue et ses lèvres, je m'arrête de l'embrasser. Déjà que j'avais chaud comme pas permis, le fait qu'elle se trouve sur moi n'arrange rien car elle semble aussi être sur le point de prendre feu.

- Ouais, ça pourrait être sympa. Mais là, maintenant...

Une main se pose sur son dos pour le caresser tout doucement. Mes doigts recueillent sa propre sueur au passage pour venir les caresser son petit cul et y loger rapidement deux doigts qui s'enfoncent dans son oeillet en forçant légèrement le passage. Ma paume ne se prive pas pour frotter la peau si délicate de son fessier parfaitement rebondi. Je lui représente alors ma langue dans la foulée tout en faisant glisser davantage mes doigts dans son petit trou pour le travailler. Même si elle s'est arrêtée, je ne compte pas en faire autant. J'ai envie de m'amuser, moi.

Mes deux doigts viennent triturer son orifice pendant de longues minutes alors que les sons de nos bouches remplissent la pièce de façon plus sensuelle et délicate que ses cris de plaisirs qui empêchaient sûrement Martine de regarder son feuilleton du soir.
Sauf que cela avait beau être amusant et excitant, ça ne suffira jamais à me calmer.

- Tu comptes me laisser comme ça sans rien faire ? Car j'ai pas envie de passer la soirée dans cet état. Surtout que c'est de ta faute.

C'est vrai, quoi. Qui a décidé de tout arrêter en plein milieu ? J'ai besoin de me vider, c'est devenu vital tellement je bande dur là.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 28 mars 2021, 14:25:36
Kara était persuadée que Souta allait trouver cette proposition de revoir les images, réécouter la bande son de leurs ébats, plus tard, assez excitante. Elle s’était même attendue à ce qu’il se moque d’elle, de se montrer gênée à cette idée, une pique sarcastique avec ce petit sourire en coin qu’il avait parfois… Au lieu de cela elle sursauta lorsqu’elle sentit les doigts inquisiteurs venir la fouiller, se mordant la lèvre une seconde, le temps de s’habituer à cette sensation qui la mettait d’abord mal à l’aise, mais faisait naître en elle une chaleur perturbante.

La valse de leurs lèvres, fort heureusement, équilibrait parfaitement les sensations d’envahissement de son postérieur, et créait une ambivalence délicieuse qui faisait revenir assez vite son désir, coupé par la voisine. Mais quelque chose lui trottait dans la tête… Les mots de Souta étaient à nouveau insistants, plaintifs presque. Il y avait quelque chose de flatteur à ce qu’il ne soit jamais rassasié d’elle, de son corps, de ses caresses, de leurs étreintes… Mais il fallait avouer qu’il était en demande, constante, qu’il ne faisait que la réclamer, à tous moments, même lorsqu’elle prenait une pause.

Et pire, il ne faisait que jouer, mais tentait de la culpabiliser, en lui indiquant que c’était sa faute. Sa faute ? Par quel miracle ? Son petit nez se fronça avec malice.

« Ma faute ? Ma faute si t’as un appétit d’ogre ? »

Son rire s’éleva un peu, alors qu’elle s’interrompit pour gémir aux intrusions qu’il opérait toujours. S’il ne c’était pas agit de Souta, cet homme à qui elle s’attachait finalement bien trop au fur et à mesure de leurs rencontres, Kara aurait certainement été bien plus vindicative. Pauvre homme insatisfait qui réclame des attentions… Dans pareils cas, avec un autre, elle aurait clairement ricané avec sarcasme, en lui faisant remarqué que s’il n’était pas content, pas comblé, pas satisfait d’elle, il pouvait bien se prendre en main et déguerpir.

« T’es insatiable, j’y peux rien, moi. »

Nouveau petit rire espiègle, alors qu’elle se cambrait davantage pour profiter d’un angle plus doux de pénétrations. Elle avait du mal à se concentrer sur ce qu’il attendait d’elle dans ces conditions, et c’était ainsi qu’elle se sentait perturbée. Il attendait beaucoup d’elle… Toujours… Et ce n’était jamais assez. A chaque fois c’était ainsi. Il voulait plus, il voulait qu’elle évolue, qu’elle change, qu’elle… ‘se lâche’ encore, tout le temps. Ne pouvait-il pas se contenter de ce qu’elle était, simplement ? S’il avait envie d’une femme plus libérée, moins coincée, il pouvait surement trouver ça dans ses contacts non ? Visiblement il avait des connaissances bien marginales, ou louches même. Ca devait se trouver facilement pour un mec avec sa belle gueule… ?

Lentement, Kara se redresse assez pour relever son dos bien à la verticale, et chasse d’une main la sienne, qui fouillait ses entrailles, avec un petit sourire narquois. Bien que préoccupée, quelque chose la poussait à tout de même revenir s’empaler sur lui. Est-ce qu’elle s’en sentait obligée ? Ce sentiment la chiffonnait, l’angoissa, même, ce qui devait se lire sur son visage. Alors qu’elle s’installait doucement pour faire passer le gland luisant et pulsant en elle, en écartant ses chairs, Kara fronça clairement les sourcils, avant de se raviser, et se relever totalement. La trique de Souta était tellement dure qu’elle ne bougea pas d’un pouce lorsqu’elle se retira, mais la jeune femme se releva jusqu’à descendre du lit, croisant les bras sur la poitrine.

« Bon. Attends. Y a un truc qui va pas. »

C’était compliqué à expliquer, et quelque part, Souta lui faisait un peu peur… Il était impressionnant, il fallait l’avouer. Mais cela lui pesait trop.

« J’en ai marre d’avoir l’impression d’être pas assez bien pour toi. Si tu veux une gonzesse plus expérimentée ou j’en sais rien, vois d’autres filles. Et puis on fait rien d’autre, jamais, que baiser. Je… C’est pas que j’aime pas, juste… Je suis pas comme toutes ces nanas de porno, Souta, et si c’est ce dont tu as envie hé bas. Euh. Bah… J’suis pas la bonne personne. Voilà. »

Elle avait les joues rouges d’avoir osé dire ce qu’elle avait sur le cœur, et son petit corps tremblait. Pourtant, elle n’était pas assez affirmée pour réussir à le regarder dans les yeux quand elle parlait, alors qu’elle avait tenté de soutenir son regard, au début. Tant pis, c’était dit.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 29 mars 2021, 08:08:04
La situation devient assez étrange quand Kara décide de continuer de façon hésitante. Son regard ne va pas de pair avec ses gestes alors qu'elle va semble vouloir repartir pour un tour en revenant me chevaucher lentement et avec soin. Ouais, j'avais raison, elle semble pas si motivée que ça à l'idée de reprendre où on s'est arrêté. Pourtant c'est elle qui en voulait juste avant que sa voisine vienne nous emmerder.

- Ah bon ? Ca a pas l'air pourtant.

Merde, on parle sans doute pas de la même chose. Parce qu'on a beau regarder la chose sous tous les angles, je "marche" très bien là. C'est ensuite que les explications deviennent plus sérieuses et il est clair qu'on n'était pas sur la même longueur d'onde pour ma réponse à l'instant.

Je reste à la regarder tout en l'écoutant alors qu'elle explique qu'elle se sent mal à l'aise après tout ce qu'on a fait ces derniers jours. Pour être franc j'ai du mal à la cerner vu que c'est elle qui m'a lancé ces derniers jours en insistant pour qu'on laisse de côté notre petit jeu en passant directement à l'action. Idem pour le jeu en lui-même ou le passage à son bureau qui n'a pas semblé la gêner une seconde.
Soit elle ne sait pas ce qu'elle veut, soit elle n'assume pas.

Allongé sur le lit je ne réagis pas et la fixe pendant plusieurs secondes alors qu'un long et gênant silence commence à s'installer. Je pourrais reprendre mes fringues et me tirer en m'excusant. Mais je doute que ce soit ce qu'elle recherche. Rassurer les autres ça a jamais été mon fort pour la simple et bonne raison que je ne sais pas comment on est censé faire. Les exemples dans ce genre de cas, j'en ai aucun.

Toujours à la regarder, je baisse les yeux en soupirant légèrement et me redresse pour colle mon dos à la tête de son lit avec l'aide d'un coussin en bas des reins.

- Ouais, t'as raison. Si je voulais une pute qui obéit au doigt et à l'oeil j'serais aller voir ailleurs. Et pourtant je suis là. Parce que je trouve qu'on s'amuse bien. Enfin, je croyais.

La situation est quand même super étrange étant donné qu'on se lance dans un échange sérieux et que je continue à bander comme un âne sans pouvoir rien faire à ce niveau.

- T'es très bien comme t'es. Puis j't'ai jamais forcée à rien. SI tu veux pas faire un truc... Ou, non, si tu veux faire un truc qu'à rien à voir avec tout ça, suffit de demander. Surtout que de ce que je me souviens, t'avais du répondu la première fois où on s'est croisé.

Mes épaules se relâchent tandis que je continue de regarder dans sa direction pour ajouter sur un ton toujours aussi calme et légèrement sérieux.

- On peut faire ce que tu veux d'autre, tu sais. On a essayé les jeux vidéos l'autre soir. Mais ça peut aussi être un bowling, un film, de l'escalade, un restau... Et sans cul. J'aime m'amuser sans réfléchir, c'est tout. Je pars du principe que si on veut quelque chose, faut le faire comprendre à l'autre. Alors si t'as une idée ou une envie, tu sais quoi faire.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 01 avril 2021, 22:33:01
Kara s’était attendue à ce qu’il se barre… Qu’il lui dise qu’elle avait finalement raison, qu’elle n’était pas vraiment ce qu’il attendait d’une femme, et qu’il allait se rhabiller, rapidement, sans même la regarder, ou avec un sourire moqueur aux lèvres. Elle avait même imaginé qu’il s’énerve, l’insulte ou lui dise à quel point elle était ridicule. Evidemment, penser tout cela ne l’aidait pas à se rassurer, à reprendre pied, à ne pas avoir l’air d’être totalement nulle face à lui…

Et les premiers mots qu’il prononça lui glacèrent le sang. Elle… elle avait raison ? Ses yeux se relevèrent d’un coup, implorants presque, dans le sien. L’idée de le décevoir lui donnait un goût ferreux dans la bouche, et contractait son cou, en raidissant sa nuque. Kara déglutit lentement, la gorge serrée.

« Mais si… on s’amuse, mais… »

Rien ne lui venait naturellement. La jeune femme ignorait ce qu’elle voulait vraiment lui dire, et surtout, comment l’exprimer. Il lui semblait que tout ce qu’elle pourrait dire serait idiot. Comment justifier un ressenti, par essence, flou, intangible et souvent sans fondement véritable ? C’était une impression, pas un fait… Et maintenant qu’il parlait, elle doutait elle-même du bien-fondé de cette sensation.

La pièce lui semblait bien plus grande qu’avant, et pourtant, elle connaissait sa chambre par chœur. Le soupir de Souta lui a rappelé combien elle devait l’avoir déçu… C’était une chieuse, une épine dans le pied alors qu’il voulait qu’elle le soulage. Mais c’était bien, non, qu’elle exprime ce qu’elle ressentait ? Désormais, Kara doutait. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais rien ne vint.

Alors, elle se contenta de l’écouter, en hochant légèrement la tête, en baissant le menton comme une enfant qu’on sermonne. Ce n’était pas courant chez son amant d’être aussi sérieux… Ses lèvres se pincèrent en se mordant l’intérieur de la joue, penaude.

« Mais je sais pas bien demander… »

C’était un fait, dans la vie, elle se laissait porter sans réussir à jamais rien contrôler, et lorsqu’elle n’avait plus pied, elle sombrait, jusqu’à réussir à ouvrir les yeux à nouveau. Les hommes qu’elle avait côtoyés avaient tous ce même pli, la consommaient et cela lui allait : ils étaient de passage, elle n’avait pas besoin de se poser de question, car le temps de le faire, tout était déjà fini. Souvent de manière assez moche mais… Bah… c’était comme ça.

Elle se sentait mal. Seule. Le regard de Souta était pesant sur elle… Mais Kara était incapable de dire exactement ce dont elle avait envie. Sortir ? Aucune de ses propositions, actuellement, ne semblaient correspondre à ce qu’elle voulait. Et puis, il fallait déjà savoir, ce que l’on veut. Son estomac se noua, et ses lèvres se tordirent en une moue embarrassée, presque souffrante.

« Toi t’arrives à pas réfléchir mais… » Un soupir s’échappa de ses lèvres. « … Désolée si je sais pas bien me faire comprendre. » C’était de pire en pire, elle ressentait désormais la culpabilité d’être suffisamment inadaptée pour pouvoir faire comprendre ce qu’elle voulait à Souta. Comment faisait-il ?

Kara fit un pas de nouveau vers son lit. Il fallut qu’elle s’impose un énorme effort pour articuler, la gorge serrée. « Ben… là j’ai… J’ai envie d’un câlin. »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 14 avril 2021, 07:27:04
Plus les secondes passent et moins je comprends ce qu'elle me raconte. D'un côté elle me dit ne pas vouloir continuer, du moins pas comme ça, et de l'autre elle ne sait pas ce qu'elle veut ? Voir reprendre ce qu'on faisait ? Faut pas oublier que c'est elle qui m'a chauffé à mort pour qu'on vienne chez elle et qu'elle en redemandait avant que sa voisine nous arrête. Puis c'est quoi ça un câlin ?

Je me redresse lentement sur le lit pour tendre le bras dans sa direction et lui attraper le poignet. Le tout de façon plutôt délicate et je la tire vers moi pour la faire tomber sur les genoux devant moi. Sa poitrine énorme aux mamelons si savoureux et déjà dressés sous mes yeux. De toutes les fois où on s'est vu, je sais désormais que c'est une partie extrêmement sensible de son corps. Autant donc commencer par là.

Ma tête se penche sur le côté pour venir lécher un peu de sa sueur salée pour ensuite venir déposer des baisers dans son cou. Le tout associé à une respiration volontairement plus forte sur le moment pour qu'elle en déduise que ça me plaît. Car bon, même si j'exagère un peu la chose, ça me plaît quand même au fond.
Je fais exprès de garder une distance de quelques centimètres entre nos corps pour pouvoir entamer la seconde phase qui est le malaxage de sa poitrine que je connais quasiment par coeur désormais. Ma main gauche vient se saisir de son sein droit et le caresse tendrement alors que de l'autre côté il y a plus de vigueur et de force dans mon geste. Mes doigts se font un plaisir de venir s'enfoncer dans la chair molle et malléable qui s'offre à eux. Sentir ma poigne déformer et prendre possession de son sein est une sensation si excitante quand je prends le temps d'en savourer chaque seconde. Ses réactions, ses gémissements, sa respiration qui s'accélère aussi, chaque mouvement de son corps pour s'adapter à la situation brûlante entre nous.

Je pousse le vice à faire un peu riper mes dents sur la peau de sa nuque avant de reculer quelques seconde pour lui glisser à l'oreille.

- T'auras tout le temps de réfléchir demain, parce que je vais nulle part.

Ma main droite libère alors son sein pour se poser sur son épaule afin de la renverser sur le lit... sur le dos. La trique toujours aussi dure, j'ai un peu de mal à me positionner au-dessus d'elle pour venir entamer un plongeon sur son corps. Mon gland vient titiller le bas de son ventre ou le haut de ses cuisses sans que je le fasse exprès vu que mon objectif reste sa poitrine. Ses deux montagnes se font de nouveau saisir par mes mains pour les plaquer l'une contre l'autre afin de pouvoir mieux les dévorer. La chaleur remonte rapidement en moi et la concentration est de nouveau revenue. Comme si ce court échange n'avait pas eu lieu.

De mes lèvres humides et de ma langue baveuse, je m'amuse à téter et sucer ses mamelons dressés l'un après l'autre en plaquant ses seins en utilisant mes mains comme un étau qui les empêche de faire le moindre mouvement. Pressées, enfoncées, collées à ses chairs moites mais si douces. Le tout dans un mélange de sons et de gestes pervers et humides. Ma bouche aspire l'un d'eux pour le recracher vulgairement. Pour ensuite cracher sur le second et le titiller du bout de la langue pour la faire attendre. Avant de me jeter dessus à son tour, comme un affamé. Même les dents y passent quand je décide de la taquiner un peu plus directement.

Au bout de plusieurs minutes à jouer de ce petit jeu, je prends mes aises et arrive à coincer un de ses obus dans ma bouche. Mon menton s'enfonce dans sa peau pendant que mes lèvres dévorent sa pointe sensible. Tout ça me permet de libérer une main qui retourne titiller son clitoris sensible sans glisser de doigt en elle. Je me contente de titiller son entrée du bout des doigts vu qu'elle veut sûrement qu'on fasse les choses différemment cette fois.

Mon prochain objectif sera donc d'y aller plus mollo pour voir ses réactions et réagir en conséquence.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 15 avril 2021, 22:17:19
 Une seconde, Kara se demanda si Souta avait déjà eu un câlin, dans sa vie. Elle allait froncer les sourcils et lui signifier qu’en général, ce n’était pas ce qu’on attendait lorsqu’on se sentait mal, et qu’on arrivait enfin à exprimer ne serait-ce qu’un seul petit besoin… La gorge nouée, elle ne sut pas réagir lorsqu’il lui enserra le poignet avec une douceur qui ne lui ressemblait pas, il fallait le lui accorder. Il semblait tenter de rattraper le coup, ou du moins de prendre en compte son mal-être, mais Kara c’était attendu à de la tendresse pure. Du réconfort.

Pourtant, dès les premiers baisers de son amant dans son cou, le nuage sombre qui encombrait ses pensées semble prêt à se dissiper… La chaleur met du temps à s’installer, d’autant après cette conversation étrange, et le sentiment de malaise laisse cependant un creux dans son ventre. Souta semblait incapable d’agir sans sexualiser leur relation, mais ses lèvres sur sa peau, si douces, si chaudes, la font peu à peu frissonner. Les sons qui s’échappaient de la bouche du jeune homme accentuaient d’autant cette perte de contrôle, ignorant totalement qu’il accentuait ses réactions pour lui plaire, ne se rendant, heureusement, pas compte qu’il forçait le trait pour la pousser à lâcher prise.

Soudainement, ses mains se joignirent à la danse, et Kara sursauta presque, ouvrant les paupières sans se rappeler qu’elle les avait fermées. Elle baissa le regard sur le visage, si près, de Souta, tenta de lui sourire, mais ne réussit qu’à moitié. Un soupir bruyant s’échappa de sa gorge face aux caresses expertes, comme s’il savait parfaitement ce qu’elle aimait, ce qui lui faisait de l’effet, ce qui pouvait réussir à la forcer à déconnecter son cerveau bien trop pénible dans leurs jeux.

Ça devait le soûler, qu’elle soit si incapable de se lâcher, jamais assez, pas comme il voulait, pas – Ses réflexions s’interrompirent lorsqu’il prit la parole, et surtout, sentant les dents qui venaient de piquer sa chair, en la forçant à pousser un gémissement de désir bien plus fort que les autres.

Le nuage gris était désormais bien mince, lorsqu’il affirmait vouloir rester avec elle, jugulant sa crainte qu’il s’enfuit en l’insultant, qu’il la laisse seule parce qu’elle avait osé lui dire ce qu’elle ressentait. Enfin, qu’elle avait essayé, toujours.

« ‘Me laisse pas. »

Murmure-t-elle en retour, ses mains ballantes jusqu’à présent, se lèvent fébrilement pour venir se ficher sur sa nuque, instinctivement, comme pour le forcer à rester près d’elle, alors même qu’il n’a aucune intention de partir bien loin. La proximité de leurs corps nus la rassure, tout comme cette légère distance à vrai dire…

Ses mains se serrent sur son corps, le pressant contre elle alors qu’il compresse sa poitrine, lui fait oublier à coup de langue et de piqûres de ses canines combien elle s’était sentie mal juste avant. Petit à petit, la chaleur reprend ses droits au creux de ses reins, faisant naître de profonds frissons le long de sa colonne vertébrale, sa respiration de plus en plus bruyante à nouveau. Les minutes nécessaires à la rendre de nouveau brûlantes s’égrènent, Kara gémit désormais franchement, pinçant les lèvres en sentant l’une de ses mains se glisser entre ses jambes… elle se cambre, ouvre les yeux pour chercher le regard brûlant de Souta. Ses gestes plus doux ont l’effet escomptés, elle se sent désormais bien plus à l’aise, prenant cette tendresse comme naturelle, alors qu’il ne fait que se plier à ce qu’elle semble exprimer.

D’une main, Kara lui relève le visage, le forçant à recracher son téton durci après toutes ces tortures, passant ses doigts sous son menton, pour le faire venir à sa bouche. Son baiser est assez parlant, plus que ses mots d’ailleurs, pour lui exprimer combien elle a peur de déconner, ou de tout gâcher. Elle sent qu’elle a besoin d’être rassurée, il faut qu’elle le soit. Son autre main vient se poser sur la sienne, qui stimule son entre-jambe avec assez d’insistance pour la rendre folle, sans jamais réellement concrétiser sa possession.

Avalant difficilement sa salive, la jeune femme accompagne sa main à lui, frémissant sous les caresses qu’elle encourage, guidant ses doigts ou son intensité, des râles plus francs sortant désormais de ses lèvres, buttant contre la bouche de Souta toute collée à elle. En accentuant la pression sur le dos de sa main, elle lui signifie qu’elle est prête pour plus… mieux encore… qu’elle en a très envie. Qu’elle le veut.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 16 avril 2021, 08:16:29
Il n'aura fallu que quelques minutes pour revenir à nos échanges précédents. Comme si cet arrêt ne s'était jamais produit. Ma bouche continue de dévorer la sienne quelques secondes pour redescendre dans son cou brûlant. Quant à la main qui la titille, quelques doigts glissent avec une facilité déconcertante en elle. Toute cette mouille qui macule sa fente déjà bien ouverte par ce que je lui ai mis plus tôt aide logiquement la chose. Je peux y mettre trois... non, quatre doigts facilement désormais. Seul le pouce reste dehors pour titiller son clitoris gonflé et sensible à en jugé par ses réactions.

Son corps se courbe, ondule d'envie sous mes caresses assez rapidement au fur et à mesure que les gémissements qui fuient sa bouche de font plus insistants et audibles dans la pièce. Pas au point d'aller de nouveau nécessiter l'intervention de la voisine. Mais je veux pas me faire interrompre une nouvelle fois.

La main qui s'amusait à malaxer et caresser son sein remonte pour se coller sur la bouche de l'employée de bureau en chaleur. Deux doigts viennent se coller contre sa langue pour la tenir occupée tandis que je la doigte profondément avec la quasi totalité de ma main à un rythme lent mais accompagné d'une intensité certaine. Une sorte de mini vengeance pour avoir tout stoppé plus tôt étant donné que je vois clairement qu'elle veut sentir autre chose en elle.

Le doigtage se poursuit durant plusieurs minutes durant lesquelles je m'amuse à observer ses réactions. Elle voulait qu'on s'occupe d'elle en prenant uniquement ses envies en compte, non ? Peut-être que je me trompe. En tout cas elle ne semble pas me contredire jusque là, donc autant continuer.

Passé le premier orgasme sur cette seconde phase, je décide de changer de position.

- Tourne-toi !

Je la fais se mettre sur le ventre et repars immédiatement à l'action. Ma main gauche vient se positionner sur la sienne pour que nos doigts s'entremêlent et l'empêchent de s'en aller. Alors que la droite retourne jouer avec ses trous offerts dont l'un dégouline toujours autant. Brûlant désormais de l'intérieur à force de me retenir, j'approche mon visage de son petit cul et vient dans un premier temps le croquer. Sa peau est aussi douce que chaude. Je recommence encore une fois, puis une autre.

Avant de refourner mes quatre doigts dans sa chatte avec une légère variante. Cette fois mon pouce vient se loger dans son anus. Mes cinq doigts sont occupés à entrer et sortir de ses deux trous de façon simultané. S'amusant même à remuer de longues secondes lorsqu'ils finissent leur phase de pénétration. Chacune de ses réactions me pousse à me donner encore plus. Pas pour l'humilier ou jouer avec elle, non. Juste la faire jouir, encore et encore. Contrairement aux hommes, les femmes peuvent jouir autant qu'elles le veulent. Ou le peuvent, vu que le corps doit pouvoir tenir bon.

Alors je poursuis jusqu'à lui arracher un énième orgasme. Laissant ma langue rejoindre mon pouce de temps en temps pour lui procurer une double stimulation sur sa seconde entrée que j'ai hâte de tester un autre jour. Mon autre main toujours bloquée dans la sienne.

Lorsque mon objectif est enfin atteint, je retire mes doigts dégoulinant et les essuie sur ma trique qui n'a jamais été aussi longue et grosse durant nos échanges. C'est à peine si je reconnais mon propre corps. Les veines ressortent encore plus le long de ma tige pulsante et tellement épaisse que je risque bien de la briser en deux avec. Sauf que j'en ai trop envie maintenant. Je peux plus m'arrêter en si bon chemin.
Je l'attrape à la base avec ma main droite et je viens placer le gland à l'entrée de ses lèvres intimes assez travaillées pour l'accueillir bien plus facilement. Sauf que cela ne concerne que le gland. Car en commençant à pousser, je sens de nouveau une résistance.

Ma mâchoire se serre et mes doigts viennent se serrer encore plus fort contre ceux de Kara à chaque centimètre qui force le passage en elle dans cette levrette improvisée. Mon corps s'écrase contre le sien et je m'essouffle rapidement alors qu'un tiers de mon membre est entré en elle.
Afin d'avoir une meilleure prise, et emprise, j'attrape son autre main et y coince mes doigts entre les siens. De là je pousse en soupirant comme jamais sans le vouloir dans le creux de son oreille.

- Mmmmmnnn... Aaaaaah, ouais !

Je m'arrête à la moitié pour ressortir et repartir lentement dans le chemin inverse. Même y allant tranquillement, elle ira nulle part avant de se la prendre toute entière. Alors je poursuis mes attaques lentes et profondes pour arriver à y enfourner la moitié au moins de plusieurs minutes. La chose est tellement dure que je bave sans le vouloir et ma salive vient s'écraser sur les épaules et le dos de Kara quand je repars en arrière en relevant les hanches.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 18 avril 2021, 22:14:29
Il veut qu’elle se tourne, elle exécute, encore tout embrumée par la transe qu’elle vient de subir. Elle l’avait surprise, et pourtant ce n’était pas la première fois que Souta lui donnait un orgasme, loin de là… Il lui semblait que son amant savait s’y prendre avec son corps, beaucoup mieux qu’avec son cœur ou son cerveau, à vrai dire… Ils ne parlaient pas le même langage, mais la fusion de leur peau était électrique, ils se parlaient ainsi, et lorsqu’il s’enfonçait à elle, qu’il s’agisse de ses doigts ou sa queue énorme, Kara et Souta communiaient.

Ses dents sur ses fesses l’électrisent immédiatement, Kara couine, gémit, serre son oreiller entre ses poings dont les jointures deviennent blanches. Le visage enfoncé dans son coussin, la jeune femme piaule en sentant à nouveau son intimité investie, de manière bien plus cavalière, immédiatement le sentiment d’être pleine l’envahit. C’est si prégnant qu’elle s’en trouve bouche-bée un bon moment, restant silencieuse anormalement pour en apprécier tous les mouvements, bien cambrée.

Elle n’arrive pas vraiment à compter combien de fois il a réussi à la faire monter si haut dans le plaisir, mais Kara reprend ses petits bruits aigus, d’autant lorsqu’ils serrent leurs doigts ensemble, il le sait, elle adore ça. Ces petits instants de complicité en hors du sexe pur qu’ils vivent pourtant depuis des jours, voici ce qui lui permet de ne pas douter complètement de Souta…

Tournant au maximum la tête en se contorsionnant, dans l’espoir d’échanger un regard avec lui, elle ne peut que constater à son tour le désir qui afflux dans ce membre dressé, sans doute plein de frustration, la faisant soupirer à la vue de cette trique énorme. Elle ne l’a jamais vu dans cet état et frémit par anticipation…

Plus c’est long, plus c’est bon, hein ?
Kara serrait les dents, sentant s’insérer centimètre par centimètre du colossal membre que Souta s’acharnait à vouloir enfoncer au plus profond d’elle. Son corps se remettait à peine des vagues de plaisir qu’il avait fait naître en elle, réduisant à néant ses résistances.

Mordant l’oreiller à mesure qu’elle se fait empaler, louant la douceur relative dont il fait preuve, son dos se cambra davantage pour lui laisser plus de champ libre, accompagnant son bassin avec quelques ondulations rythmées, pour qu’il passe plus facilement. Ecartelée, Kara gémit dans le coussin et elle n’en est pas sûre, mais elle a dû couiner son nom plusieurs fois en sentant ses chairs s’écarter de plus en plus.

Mais elle se sentait prête, cette fois, creusant le dos davantage, respirant à peine ou avec difficulté tant sa gorge était sèche. Au contraire de son intimité, trempée.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 21 avril 2021, 18:19:54
La scène reste aussi chaude et sauvage que la précédente. Sans les commentaires crus et autres demandes d'un côté comme de l'autre. Il m'arrivait de faire attention à ma partenaire en fonction de ses envies. Chose étrange dans ce cas précis vu que Kara n'a jamais été du genre à retenir ses envies jusque là. Un détail... sans importance pour l'instant. J'ai l'impression de bouillir, collé contre son corps humide et brûlant. Me frotter sur elle me donne l'impression de me coller contre un rocher qui a passé la journée sous le soleil. Je ne serais pas surpris de m'en sortir avec une marque sur le torse.

Je me retire une énième fois, aussi lentement que possible en expirant bien fort. L'intérieur, toujours aussi humide, m'aspire comme pour m'empêcher de m'en aller. Inutile de parler pour échanger nos envies et besoins. Comme lorsque j'ai pu relancer sa machine juste avant. Ne gardant que le gland au chaud dans son antre ouverte et insatiable, je repars dans un mouvement plus long en profitant de l'espace qu'elle m'offre en se courbant davantage.

- Urrrrrrrrrrrgh !

Les trois quarts parviennent à entrer, non sans difficulté. Mes mains s'enfoncent dans les siennes alors que mes épaules piquent vers son corps comme un avion sur le point de s'écraser. L'envie d'aller jusqu'au bout est si fort et insistante que je force le passage en poussant encore plus fort. Mon gland appuie de toutes ses forces sur la paroi qui lui bloque le passage.

De toutes les femmes avec qui j'ai tenté la chose, je crois que c'est la première à me faire manquer d'air. Faut dire qu'aucune n'avait été aussi étroite et serrée qu'elle. Les secondes semblent durer des heures alors que je serre les dents comme si j'étais sous la torture. Mes lèvres se crispent, s'ouvrent sans le vouloir pour laisser s'échapper un grognement animal impossible à arrêter.
Les centimètres passent, l'un après l'autre... jusqu'à sentir la peau chaude et si douce de son petit cul contre mon pubis. En plus de ses lèvres intimes à la frontière de la base de ce chibre qui a forcé le passage en elle tel un engin de démolition.

Je suis censé continuer la chose en me retirant. Mais je peux pas. Je ne veux pas ! Un étrange sourire déforme mon visage. Un mélange entre satisfaction, douleur et fatigue. Mon cerveau est en panne, incapable de prendre la moindre décision.

Toujours logé profondément en elle, je me redresse comme je peux pour ne pas l'écraser. Mes lèvres près de sa bouche.

- Je risque pas de te laisser. Enfin... T'as pas l'air de vouloir me laisser faire.

Il est évident que son petit vagin m'écrase de toutes ses forces. La faute à un passage en force avec une bite trop grosse pour le trou qu'elle est venue conquérir. Désormais il va falloir que l'on s'habitue tous les deux à ce nouveau détail. Cela prendra le temps nécessaire et je ne pense pas la brusquer après l'échange de tout à l'heure.
Par contre ça attendra un autre jour, vu que je compte bien ressortir d'ici satisfait et vide à tous les niveaux. Si elle parvient à tenir le rythme.

- Kuuuuuuh ! Puuuuuutaaaaiiiinnnn !

Me retirer est aussi douloureux que compliqué. La route s'annonce encore longue et pleine d'embuches pour nous deux. La pression qu'elle exerce sur ma queue est si forte que j'ai l'impression de me faire rouler dessus par un semi-remorque qui s'amuserait à avancer et reculer encore et encore pour s'assurer de l’aplatir.

Cette seule pénétration m'a soutiré une bonne dose de mon énergie et je vais avoir besoin de souffler un peu. Je me laisse alors tomber sur le dos à côté d'elle avec la trique toujours aussi tendue. A la limite de former un angle droit avec le reste de mon corps.

- Juste une minute... Tu m'as tué là.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 22 avril 2021, 20:05:08
 Oubliant de respirer malgré les efforts qu’elle devait produire pour réussir à encaisser l’intrusion de l’énorme appendice en elle, Kara s’essoufflait avec autant d’acharnement que lorsqu’elle avait misérablement tenté de boxer avec Souta. Elle n’avait jamais été endurante, partant comme une idiote trop rapidement, sans se ménager certes on pouvait le lui reconnaître, mais toujours épuisée en quelques foulées. Et la patience n’était pas non plus son fort, aussi cherchait-elle à améliorer le processus du mieux possible, se cambrant, ou faisant le dos-rond au besoin, serrant une de ses mains l’oreiller qui faisait office de souffre-douleur.

« N… Non. Je veux pas que tu. » Elle serre les dents une seconde. « Tu me laisses. »

Il fallait cependant se rendre à l’évidence, le sexe gonflé de désir et de frustration de Souta était loin de faire l’unanimité entre ses cuisses, malgré tous leurs efforts, et le plaisir qu’ils engendraient. Il fallait avouer que sentir les centimètres l’écarteler était une torture délicieuse qui lui mettait le feu, au point qu’elle n’arrivait pas correctement à gémir, s’étouffant finalement dans le coussin plutôt que couiner lamentablement.

L’équilibre si fin entre la douleur et le plaisir était parfaitement illustrer par son bassin qui s’approchait toujours plus de ses fesses, et leurs mains qui se serraient fiévreusement semblaient compatir à l’énergie dépensée pour cette belle cause.

Mais son corps tout entier réclame une trêve, et il semble que son amant ressente le même besoin, s’extirpant de son fourreau fiévreux avec peine, lui arrachant une grimace avortée dans le moelleux du tissu rembourré. Il lui faut un moment pour souffler, reprendre sa respiration, faire baisser la tension dans ses articulations blanchies. Kara expire longuement, comme après ce marathon où elle n’a rien géré du tout, totalement incapable de réfléchir.

Doucement, la jeune femme se tourne alors sur le côté pour constater l’état d’épuisement de Souta, elle a assez de force pour lui sourire d’un air moqueur, peu importe que ça lui pompe trop d’énergie, elle ne louperait pas une occasion de lui souligner son état de faiblesse, avec complicité. Pourtant, délicatement, elle rampe jusqu’à son corps brûlant, pose un baiser sur sa joue, puis sa mâchoire, encore haletante.

« Prends tout le temps que tu veux, Trésor. »

Ses yeux se plissent avec malice, avant qu’elle ne se redresse, luisante de sueur, pour se pencher mollement, à bout de force, jusqu’à son membre qui semble être le seul encore en forme, lui soutirant un sourire sarcastique.

« Infatigable celui-là. Tu vas me tuer. »
En tirant la langue, elle vient cueillir le mélange de leurs fluides épars le long des veines saillantes de sa tige, remonte jusqu’à son gland luisant et violacé.

« Repose-toi un peu. »

Sans faire preuve d’une vivacité digne, Kara peut cependant commencer à lécher la longueur poisseuse qui brûle ses papilles, plusieurs minutes en soufflant comme un bœuf sur sa peau, elle-même bien fatiguée. Il lui reste cependant suffisamment d’énergie pour le gober, doucement, intensifiant ses mouvements, s’appliquant à répéter ces gestes qu’il semblait apprécier, où elle s’améliore de jour en jour.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 24 avril 2021, 08:00:29
Allongé sur le dos au milieu de son lit, chaque brise qui pénètre dans la chambre me file la chair de poule. La faut à une température interne qui doit être à son maximum sans finir par déclencher une combustion spontanée. Une situation que Kara n'aide pas à calmer tant donné qu'elle revient rapidement se coller contre moi en m'encourageant à me laisser aller.

Un énorme frisson me parcours la colonne vertébrale lorsque je sens sa langue chaude et délicate se poser sur la base se ma trique encore bien sensible après l'agression qu'elle vient de subir en elle il y a tout juste quelques secondes. Contrairement à la grande majorité des femmes avec qui je me suis envoyé en l'air jusqu'ici, la vendeuse ne semble pas craindre le bout de viande surdimensionné qui a déjà visité sa gorge à plusieurs reprises.
Au contraire même, je crois qu'elle prend un malin plaisir à vouloir tenter de le dompter à terme.

Sa langue n'est pas la seule à stimuler mon membre qui est mit au supplice depuis ce qui me semble être une éternité. La sensation de ses lèvres et de son souffle sur ma peau a un effet dévastateur vu mon état. Il me reste bien suffisamment d'énergie pour la pousser à me pomper si je le veux. Mais je préfère admirer et profiter du spectacle. On est dans son appartement et c'est elle qui a insisté pour prendre les devant et contrôler la situation tout à l'heure. Alors autant la laisser faire et me reposer comme elle vient de le suggérer.

Le gland bien coincé entre ses lèvres douces et expertes, je me contente de fixer le plafond en soupirant longuement.

- Aaaaaaaahn, ouais !

Ne pas regarder directement ce qui se passe offre encore plus de plaisir dans ce genre de situation. Pas que j'imagine ce qui me plaît dans mon esprit. Parce qu'au contraire, je fais le vide complet et laisse les sensations prendre le dessus sur tout le reste.

Pousser sa partenaire à gober de force ce qu'elle a dans la bouche est amusant parfois. A mes yeux une pipe est bien plus agréable quand on prend son temps et qu'on fait les choses bien.

Au bout de cinq minutes à la laisser jouer avec sa grosse sucette, je me redresse légèrement et attrape deux oreillers que je glisse sous ma tête pour mieux pouvoir admirer son oeuvre.

Mon regard plongé dans le sien alors qu'elle tient ma bite à deux mains, formuler une phrase entière reste compliqué.

- Je pourrais rester des heures comme ça.

Le son des klaxons, des discussions et autres échanges se font entendre par la fenêtre entrouverte. Signe que le monde continu de tourner dehors. Alors qu'ici, le temps s'est comme arrêté et je suis prisonnier de cette femme qui, même si elle a du mal à se l'avouer, est aussi insatiable que moi.

- Ma bite est toute à toi. Alors fais-toi plaisir, ma belle. Ta jolie petite bouche est faite pour s'en occuper. Cette langue baveuse et chaude adore venir se coller contre ses veines. Ou tes lèvres délicates qui aspirent mes couilles avec envie.

Dans mon état actuel il ne me faudra pas plus de quelques minutes pour lâcher la sauce. Mais c'est elle qui mène la danse et je ne compte pas lui donner d'ordre ou faire le moindre geste pour la pousser dans une direction particulière.

Oh non, je vais profiter du spectacle jusqu'au bout. Bien calé dans mon coin.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 25 avril 2021, 13:11:06
Kara laissait son amant parfaitement bien installé dans son lit, confortablement allongé pour pouvoir sans encombre aller et venir sur son membre colossal et veiné, qui n’appelait qu’elle. D’un coup d’œil alors qu’elle écarte sa bouche au plus large, tirant sur ses lèvres, elle le voit relever la tête et prendre ses aises, la faisant sourire en déformant son visage de porcelaine déjà pourtant bien en sueur, en plissant ses petits yeux de fouine. Elle a envie de lui faire plaisir, quand bien même leurs derniers échanges ont été bizarres, et qu’elle ignore encore comment analyser tout ça.

C’est plus fort qu’elle, il faut qu’il pense du bien d’elle, qu’il ne l’abandonne pas, qu’il n’ait pas envie de se moquer d’elle, de n’importe quelle façon que ce soit. Son corps enflammé par leur étreinte précédente chasse heureusement bien des angoisses, assez pour lui faire tout oublier autour d’eux. Seule compte cette queue énorme dont elle s’occupe, la sentant frémir, tressauter et réagir selon ses mouvements, ses coups de langue. Kara prend un malin plaisir à ronronner lorsqu’elle le sent se contracter, puis s’apaiser et soupirer de contentement.

Quoi qu’il arrive, elle s’abandonne à cette pipe et des mouvements langoureux, ses gémissements cognant de sa gorge contre son gland qu’elle enfonce parfois au maximum de ce qu’elle peut encaisser, ses mains venant flatter et effleurer ses bourses comme elle sait que cela lui plaira. Mais ses mouvements s’accentuent lorsqu’elle relève les yeux pour croiser son regard… Il a des yeux d’ambre magnétiques, qui la font frissonner, et l’excitent de savoir qu’il balbutie en la voyant ainsi, alliant ses doigts et ses paumes à sa langue.

Il voulait rester des heures ainsi ? Elle plissa les yeux comme pour lui répondre, son visage tordu pour l’aspirer, et recracher sa trique puissante le temps de lui adresser un petit rictus tout à la fois tendre et pervers.

« Profite alors, Souta. »

Elle se racle la gorge avant de replonger, reprenant ce qu’elle avait interrompu en se dandinant, ne pouvant nier l’excitation que cela lui procure. Elle l’écoute parler en le suçant, hochant maladroitement la tête en aspirant et serrant ses mains autour de son sexe érigé qui pulse contre ses paumes de toute ses forces. Il n’avait pas tort, songea-t-elle alors que sa salive maculait déjà son menton et gouttait le long de sa tige dressée, en cet instant, elle savait qu’il était tout à elle.

Et ce sentiment de puissance la galvanisait, électrisant ses gestes de moins en moins contrôlés, lui demandant de faire davantage d’efforts pour s’affairer comme il lui plait, se soumettant parfaitement à tous les enseignements de son Professeur expérimenté. Et une chose est sûre, elle gagne à chaque fois en performance, pour leur plus grand plaisir à tous les deux.

Dans un bruit obscène, à bout de souffle, la mâchoire endolorie après de longues minutes, Kara extirpe cette épaisse viande de son fourreau baveux, et cille en le regardant dans les yeux. De petits yeux en amande suppliant et puant le cul.

« Je veux que tu jouisses dans ma bouche, Souta. »

Il chouinait de ne pas avoir eu son orgasme peu de temps avant, elle voyait comme il était tendu de désir, et combien il était frustré. C’était le moment de le lui prouver en dévastant tout. Après un sourire carnassier, la jeune femme agrippa d’une main sa cuisse, l’autre retournant appliquer des mouvements de va et vient sur son membre brûlant, prêt à exploser. Sa bouche retourna s’y ficher avec impatience et acharnement, sa langue bouillante incapable de résister plus longtemps à revenir le dévorer.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mardi 27 avril 2021, 07:13:50
Un sourire impossible à contrôler déforme mon visage lorsqu'elle me demande de lui éjaculer en pleine bouche. Je vais finir par croire qu'elle aime se nourrir de ma sauce blanche hyper épaisse désormais. Car quand je la lui ai fait avaler tout à l'heure elle n'avait pas résisté une seconde.
Le fait de ne plus être collé l'un contre l'autre permet de souffler davantage et de savourer encore plus cette gâterie amplement méritée vu comme je me suis occupé d'elle jusque là. Seule ombre au tableau, j'avais retrouvé mon calme et je tiens à profiter encore quelques instants de la situations avant de lui offrir ce qu'elle veut.

Alors qu'une de ses mains est collée sur mon aine pendant que l'autre me branle de façon presque frénétique, je glisse l'une des miennes dans ses cheveux humides et collants de transpiration pour l'aider à se mettre de travers pour que ses lèvres coulissent le long de ma queue.

- J'adore sentir ta langue sur ma queue. Ouais, comme ça !

Mon corps tout entier réclame d'être libéré de cet orgasme retenu. C'est sûrement pour ça que je veux faire le maximum pour que lorsque le moment arrive, la chose soit aussi intense que possible. Mais sans non plus abuser d'elle en l'étouffant sur ma bite comme lors de notre premier essai au parc.
Faut que je l'encourage à faire ce qui me plaît sans y aller trop fort si j'ai bien compris ce qui l'a dérange. Parce qu'au fond, Kara aime être poussée, je l'ai compris rapidement. Tout est question de mesure.

En tout cas, à l'aide de ma main je l'aide à faire remonter et descendre ses lèvres fines mais si adaptées au pompage de bite tout en la fixant du regard. Nos pupilles respectives doivent puer le stupre car je ne pense plus à rien d'autre en ce moment.

Ma poigne se fait un peu plus insistante au fil des secondes car l'envie de me vider est de plus en plus forte. Et je ne me gêne pas pour la prévenir.

- Je sens que ça vient... Descends t'occuper de mes couilles !

Je n'ai pas besoin de forcer sur sa tête pour la pousser à y aller. C'est pas la première fois que je lui demande de me les sucer pour m'aider à les vider dans l'instant qui suivra. Mais j'aime tellement la sentir s'en occuper alors que seul son petit regard dépasse de mon pubis.
Dans la foulée je l'encourage à s'acharner dessus comme une possédée pour que je puisse tout donner rapidement.

- Je vais les vider dans ta petite bouche. C'est ce que tu veux après tout.

Ma main rejoint la sienne sur ma bite pour l'encourager à me branler encore plus fort et vite. Toute la salive qu'elle a laissé dessus aide le mouvement. Je me mets à gémir de plus en plus fort. Mon orgasme retenu durant tout ce temps me fait presque mal avant de sortir. La sensation est similaire à celle de tout à l'heure quand je me faisais écraser par sa petite chatte quand je forçais le passage pour y marquer mon territoire. A croire que ça m'a un peu plus marqué physiquement que prévu.

Elle qui semble apprécier qu'on l'encourage, je continue de lui dire à quel point j'aime ce qu'elle fait en soupirer bien fort. Et cette fois ce n'est pas exagéré. Le plaisir et l'excitation qui nourrissent mes gémissements sont authentiques. Mon corps est sur le point de céder à ses attaques incessantes sur toutes les parties sensibles de mon corps.

- J'en peux plus ! Vite ! Reviens sur ma q-

Elle a à peine le temps de lâcher mes couilles qu'un premier jet sort sans que je m'y attendre pour s'étaler sur son beau visage déformé par l'effort et la jouissance. Le seconde explose en partie sur ses lèvres qui reviennent emprisonner mon gland et savourer le reste. S'en suit une longue et généreuse éjaculation qui va lui remplir l'estomac.

A la différence que cette fois je vais la laisser se délecter de sa nouvelle boisson favorite sans les commentaires graveleux de tout à l'heure. C'est elle qui a le dessus, même si je l'ai un peu encouragé physiquement pour m'aider à avoir un orgasme aussi puissant que possible. Après tout c'est aussi à elle que ça profite vu qu'elle voulait que je me lâche dans sa bouche. Y aller à moitié aurait été un manque de respect.

Au fur et à mesure que je me déverse dans sa bouche, je préfère lever les yeux au ciel pour mieux profiter de chaque sensation. Le tout accompagné de gémissements légèrement retenus. Je tiens pas à ce que la voisine me gâche mon plaisir. Un homme se sent tellement bien quand il éjacule car tout son corps se relâche, comme libéré d'une énorme pression qui le comprimait durant plusieurs minutes. Et dans le cas actuel, la pression précédent l'orgasme était beaucoup trop forte. La pauvre Kara va la découvrir à ses dépends.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 28 avril 2021, 11:12:26
Cette sensation d’impatience la gagnait de plus en plus depuis qu’il avait déclaré solennellement qu’il allait se vider dans sa bouche, comme elle l’avait couiné en l’implorant presque. C’était plus fort qu’elle, Kara était dépendante de cette sensation si plaisante, d’être à l’origine de sa jouissance, d’en être la maîtresse, et de manière très superficielle, détenir ce pouvoir sur lui quelques instants. En règle générale, la vie la possédait et la ballottait au gré des épreuves, mais lorsqu’elle avait en main le contrôle du plaisir d’autrui, soudainement, une puissante émotion de vanité la remplissait d’orgueil.

Remplie, c’était plutôt le mot, mais à défaut d’orgueil supplémentaire, désormais, c’était un flot discontinu et chaotique de spasmes chauds. Elle avait été présomptueuse et avait trop fanfaronné, n’étant pas assez rapide pour éviter une douche blanchâtre qui dégoulinait à grosses gouttes. Pourtant, Kara se concentrait davantage sur ce qu’elle devait encaisser maintenant, comprenant qu’il ne rigolait pas quand il évoquait sa frustration trop longtemps contenue. Cette fois, il n’était plus question de se retenir, et elle faisait les frais de cette libération.

Loin de s’en plaindre, bien que peinant dans son état un peu second à respirer convenablement en cherchant à avaler le liquide brûlant sans s’étouffer, la Commerciale eut la mauvaise idée d’essayer de sourire de manière satisfaite. Erreur ! De longs filets coulèrent à la commissure de ses lèvres, qu’elle s’efforçait de comprimer autour du gland visqueux de Souta. Prise d’un rire nerveux, elle manqua de suffoquer en avant de travers, lui tirant une larme à l’œil.

Il fallut un bon moment pour s’assurer qu’elle ne risquait plus de mauvaises surprises en le relâchant de son emprise buccale. Plissant ses petits yeux en amande avec une moue qui faisait dégouliner davantage de ce fluide qui la maculait, Kara pinça les lèvres avant de passer sa langue comme elle pouvait au coin de sa bouche. Elle s’était appliquée à ce que Souta reste le plus propre possible, vaine attention vu les substances échangées, mais elle le connaissait suffisamment pour savoir qu’il réclamait toujours un nettoyage attentionné après voir jouit. Aussi lui adressa-t-elle un clin d’œil complice.

« Bah c’est à moi d’aller me doucher, maintenant… »

Elle avait été boostée par le sentiment de puissance ressenti lorsqu’il avait craqué, et l’observa un instant, en silence, son visage satisfait caractéristique, presqu’adorable.

« Dis-moi des trucs gentils. » Souffla-t-elle, avant de se redresser, sa main glissant machinalement contre sa cuisse en accompagnant son mouvement pour se lever. Elle se sentit immédiatement poisseuse, réalisant combien elle devait être sale. L’envie de cette douche se fit bien plus pressante, et elle fit quelques pas hasardeux vers sa salle de bain.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 19 mai 2021, 07:54:01
La frustration et l'attente auront eu raison de moi. En plus de la bouche et de l'estomac de ma partenaire de jeu du soir qui en a pour son argent. J'ai fait tellement plus que de jouir dans sa bouche. A en juger par ses réactions, on peut clairement parler de remplissage ou d'explosion. Au moins le barrage formé par ses lèvres n'a pas rompu face au tsunami de crème blanche et épaisse qui a tout fait pour forcer le passage en jouant autant sur la quantité que sur la consistance visqueuse et collante.

Au bout de plusieurs secondes à soupirer d'extase en la regardant s'atteler à quelque chose de pourtant aussi basique en temps normal, je peux enfin retrouver une respiration normale car tout mon corps se retrouve détendu. Faut dire que je ne l'ai pas ménagé entre la levrette en force de tout à l'heure et le fait d'avoir retenu mon orgasme si longtemps. Ce qui me surprend le plus c'est le regard de Kara. Celle qui était il y a encore quelques minutes à me demander de tout arrêter car elle ne se sentait pas l'envie d'aller plus loin semble avoir retrouvée son étincelle coquine et perverse. Les femmes n'aiment pas les faciales en règle générale. Et pour ce qui est d'avaler, n'en parlons pas. Ce qui est compréhensible. Alors qu'elle... Elle aurait pu tout recracher vu l'état déjà déplorable des draps après ce qu'on vient de faire. Je ne lui ai d'ailleurs jamais demandé d'avaler.

Je ne dis rien lorsqu'elle annonce devoir passer sous la douche. Aaah, la douche... Je crois que c'est un lieu sous lequel on s'est amusé ensemble le plus souvent à ce jour quand j'y pense. On a exploité une bagnole, visité des cabines, des chambres, un vestiaire... et même un jardin public. Mais je crois bien qu'on s'est le plus souvent retrouvé sous une douche qu'ailleurs.
Histoire de changer la donne je me dis que ce serait sympa d'y aller avec elle pour faire uniquement ce qu'on est censé faire dedans. A savoir se laver.

Avec les années j'ai développé une certaine rapidité dans la récupération d'endurance. Pas de quoi sauter de toit en toit, mais assez pour pouvoir me déplacer après une pause de quelques secondes. Question de survie dans les cas extrêmes. Du coup il ne me fallait pas une pause plus longue pour retrouver ma mobilité et sauter de ce lit crasseux par notre faute pour me glisser derrière elle et la rattraper alors qu'elle semble tituber. Probablement de ma faute vu que j'y suis allé vraiment fort quand j'ai voulu lui fourrer ma bite jusqu'à la garde quitte à forcer le passage.

- Des trucs gentils ? J'sais pas moi... J'ai l'impression que ça sonnerait faux quand c'est demandé de cette façon.

Vu la taille des couloirs qui semblent bien étroits dans son petit appart, je me contente de me coller contre elle sur sa gauche pour l'aider à marcher le plus droit possible jusqu'à la salle de bain. Une main sur sa hanche de l'autre côté pour l'empêcher de tomber de l'autre côté.

- T'as du caractère et du répondant. J'trouve que c'est le plus important chez une femme.

Ce qui est vrai. Les potiches qui ne savent pas réfléchir par elle même ou agir selon leurs envies en se laissant faire du début à la fin c'est d'un ennui mortel. Kara a beau se laissé un peu entraîner, elle a prouvé ce soir qu'elle avait des trucs à dire. Reste à l'encourager à aller jusqu'au bout. Ce soir ou un autre jour. Tout garder pour soi n'est pas bon. Ca fini par vous ronger de l'intérieur et vous pourrir la vie au quotidien.

On arrive rapidement dans sa salle de bain dont je pousse la porte et allume la lumière en perdant quelques secondes durant ma recherche de l'interrupteur. Je l'emmène jusqu'à la cabine de douche et allume l'eau avant de me tourner dans sa direction, la trique toujours aussi gonflée et tendue.

- T'en fais pas, ça va se calmer tout seul. On va juste se laver cette fois. C'est épuisant que tu me sautes dessus dès qu'on passe sous la douche. Alors pas de mains baladeuses.

Tout en rigolant à ma propre bêtise, je pose un pied à l'intérieur pour la rejoindre et attrape un savon pour me savonner de mon côté tout en la regardant faire. Quitte à bander encore comme un âne, autant que ce soit pour quelque chose. "Touche avec les yeux" qu'on dit aux enfants dans les magasins.

C'est sûrement une mauvaise idée maintenant que la situation est détendue, mais il faudra bien en parler un jour. Je lance alors la chose de moi-même.

- C'était quoi le truc tout à l'heure ? Tu veux en causer ? Ca pourrait pas te faire de mal.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 22 mai 2021, 17:05:23
Dans cet état bizarre où elle tenait mal sur ses jambes, Kara releva légèrement vers Souta, qui venait de se coller à elle dans un geste simple, pour la soutenir, voyant bien combien elle peinait à marcher droit après autant d’effets, d’émotions confuses. Elle cilla longtemps, en silence, à le regarder du coin de l’œil. Il n’était pas foutu de lui dire des mots gentils, était-ce si étonnant ? Il n’avait pas non plus été capable de répondre à sa demande de câlin, qu’il avait tout de suite interpréter comme une demande sexuelle.

Quelque chose se demandait, en elle, ce qui lui était arrivé dans sa vie passée pour être ainsi incapable de faire preuve de sensibilité, d’exprimer des sentiments plus tendres. Ou alors, tout simplement, il n’en avait pas pour elle… Puisqu’il ne voulait pas, par franchise, que cela sonne faux dans sa bouche. Etait-ce vraiment grave ? La Commerciale se contenta de soupirer lorsqu’il se montra aussi franc, en hochant légèrement la tête, lui répondant simplement par un haussement d’épaule. Même ce geste lui coûta, elle était fourbue… Et, pourtant, les gestes de son amant restaient emplis d’attention simple. Il ne devait juste pas faire autrement. Elle n’était pas là pour le forcer. Pour le changer.

En marchant, elle eut l’impression qu’il cherchait à se rattraper en lui soufflant des compliments maladroits. C’était tout lui. Elle se souvenait que toutes ses intentions ou ses essais pour être cool sonnaient de manière douce-amère à ses oreilles. Un sourire s’étira un peu, sur ses lèvres poisseuses, et elle lui saisit le bras pour ne pas trop chanceler. Elle avait du caractère, et du répondant… C’était euh… Positif ?

« Merci pour ta franchise. » Souffla-t-elle lentement, se concentrant sur ses pas hasardeux.

Fort heureusement, son appartement était loin d’être immense, et ils se retrouvèrent rapidement dans la pièce d’eau, pendant que Kara évite son reflet dans le miroir du lavabo… Elle se sait immonde et saccagée, et n’a aucune envie de le constater véritablement. Dans les yeux de Souta, elle ne lit aucun dégoût, mais elle sait à quel point il est trash, lui…

A le voir ainsi, encore vraiment en forme, la Commerciale se demande ce qu’il prend pour être vraiment tout le temps opérationnel. C’est pas humain… Un instant, elle louche sur son sexe érigé d’une taille colossale, se demandant encore comment elle a pu encaisser ça, et relève le nez vers son visage pour lui sourire, à cette petite remarque, comme s’il lisait dans ses pensées. Et elle éclate de rire en même temps que lui, il semble heureux de sa connerie.

« Que JE te saute dessus ? » Elle glousse, mais rire fait mal aux abdos, elle se tient les côtes en grimaçant. « Putain, t’es chié quand même, c’est toi qu’en demande toujours plus. »

Cependant, Kara n’a pas trop la force de lui envoyer une pique, elle s’engouffre dans la douche et le laisse la rejoindre en lui tirant la langue. Même ça, ça tire sur sa peau maculée de fluide qui commence à craqueler. Rapidement, elle lève la tête et ferme les yeux, sous le jet d’eau puissant qui la débarrasse efficacement de tous les miasmes de cette soirée bizarre. Un bon moment, n’ayant que les sons de Souta qui se savonne, couvert par le bruit de l’eau, l’odeur du savon la détend, elle garde le silence, puis soupire longuement.

Elle l’entend parler, certes, mais hésite à répondre. Quelque chose lui dicte que c’est peine perdue. Ils sont différents sur ce point, elle ne peut pas lui demander quelque chose qu’il ne peut pas lui apporter… Kara hausse les épaules, par dépit, baisse la tête en ruisselant et sourit légèrement avec une sorte de compassion.

« Je crois que t’es un trop mauvais garçon pour moi. Je suis un cœur d’artichaut, tu sais… Alors je m’attache un peu trop. Je sais que t’es pas le genre de mec qu’il me faut… Tu me fais du mal, parfois, sans le vouloir. » Elle ricane et, pour casser cette lourde atmosphère qu’elle créé, lance : « Et je parle pas de ta queue, crétin. »

En lui prenant le savon des mains, la jeune femme entreprend d’être plus claire, évitant son regard, comme juste avant. « En fait, moi j’ai besoin qu’on me prenne dans ses bras, et qu’on sache me dire des trucs gentils, tout comme me grogner des insultes à la gueule en me sautant. Tu vois ? » Ses mains pleines de mousse glissent sur son propre corps, machinalement. « Et toi, tu sais faire que la moitié, tu vois ? »
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 03 juin 2021, 08:35:07
L'eau chaude et le parfum reposant du savon ont pour effet de calmer toutes les personnes qui se retrouvent sous leur combinaison presque toute puissante. On n'y prête pas forcément attention, mais un geste aussi simple qu'une douche ou un bain pour pousser la personne la plus coincée ou têtuée à se lancer aux confidences. On s'y sent détendu, en sécurité même. Qui irait vous attaquer sous la douche à moins d'être une pinup des années 60 ou une actrice d'un film d'horreur cliché à souhait ?

Je l'écoute alors sans réagir ou répondre. Je me contente de me laver tranquillement en la regardant. Le visage légèrement masqué par mes cheveux mouillés que je remets en place ici et là avec mon poignet. A l'entendre, elle prend tout ce qu'on fait et se dit avec beaucoup trop de sérieux. J'ai beau essayer de la pousser à se lâcher, ça n'a pas l'air de marcher. Tant que ça viendra pas d'elle-même, elle restera coincée comme ça. Et le lui dire risque d'avoir l'effet contraire.

- Hmmm...

La chose résonne plus comme un "d'accord" qu'on songe ou un gémissement. Je lui reprends alors le savon des mains avant qu'elle le lâche pour se frotter et le frictionne entre mes mains pour accumuler un maximum de mousse et commencer à lui frotter les bras et le dos. Sans aucune ambiguïté dans mes gestes. Les autres fois je m'amusais à lui parler doucement dans l'oreille. Mais pas là. Même en étant dans son dos, je garde un ton et un volume sonore qui lui permet de bien m'entendre.

- C'est pas faux. Je suis pas doué pour ces trucs, on me le dit souvent.

On peut même dire que c'est la raison pour laquelle on ne me confie jamais de mission où il faut draguer des cibles pour leur voler des objets ou des renseignements. Le sexe reste un moyen comme un autre de s'amuser ou de se défouler quand l'envie est là. Je sais que certaines personnes se mettent en couple et font la chose par amour. Enfin, de ce que je sais. Ca reste un concept abstrait pour moi.

Les femmes que j'ai croisé jusque là avaient, et ont, la même façon de voir le cul que moi. Pour les femmes c'est même encore plus simple de jouer de leurs charmes vu que les hommes qui ciblent se foutent bien qu'on leur cause de quoi que ce soit du moment qu'ils peuvent jouer à touche-pipi. Nous, les hommes, faut savoir faire preuve d'empathie. Okay, ça je sais faire. Puis se montrer sensible, prévenant, quitte à en faire des caisses. Et ça... c'est moins dans mes cordes.

Son dos bien propre, mes mains descendent sur ses hanches. Ma trique, qui se calme que très lentement, vient se frotter contre l'intérieur de sa cuisse. Mon gland chaud appuie sur sa peau tendre et douce.

- T'as qu'à m'apprendre. J'tai bien donné un cours... Bon, okay, super court, d'auto défense l'autre jour. Ce serait donnant-donnant.

Ma main droite continue sa descente pour venir lui attraper une fesse. J'ai dit pas de main baladeuse pour elle. En ce qui me concerne, il y a une faille que je peux exploiter sans souci. J'y vais doucement, avec délicatesse.

- Faut pas croire que je suis un queutard qui saute sur tout ce qui bouge. T'es belle, bien foutue... Voir super sexy dans ton tailleur. Même si je plains tes hauts moulants qui semblent toujours à deux doigts d'exploser avec ce qu'ils retiennent.
J'aime entendre ta petite voix quand tu gémis de plaisir. Ou ton regard brûlant quand tu te lâches.


L'érection qui commençait à se calmer au fil des secondes reprend rapidement du poil de la bête. Le gland qui s'appuyait sur sa cuisse de manière légère exerce alors une telle pression qu'il racle sa peau pour se libérer et venir échanger sa place avec ma tige pour venir, lui, se coller contre le bas de ses fesses.

- Tu vois ? Rien que d'en parler, le reste suis. A bien y penser, t'es la seule responsable.

Je me mets alors à sourire sans rigoler pour ne pas qu'elle prenne mal la chose. Va falloir y aller mollo. Mais tant que c'est pas de la niaiserie, je pense pouvoir gérer. Puis, détail important, je fais pas semblant.
Titre: Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 23 juin 2021, 09:17:40
Kara n’était pas certaine que ses mots sauraient être compris comme il faut par Souta. Pas une question d’intelligence pure, mais plutôt un constat alarmant qui devait bien admettre qu’ils ne parlaient parfois pas la même langue. C’était souvent le cas, sauf lorsqu’ils baisaient, à vrai dire. Et cette fois, la Commerciale avait analysé la situation problématique… C’était chouette lorsqu’ils arrivaient à communiquer, mais…

Être dos à lui permettait de pouvoir causer sans trop de peine, d’éviter d’être perturbée par son regard d’ambre sur elle, et d’être attirée par son corps sous l’eau, plein de mousse. Elle avait dans les narines l’odeur de son savon, qui chassait peu à peu de manière efficace les relents de leurs ébats. Ses paupières se ferment vivement alors que les mains de son amant descendent jusqu’à ses reins, et elle tente d’ignorer son sexe contre sa peau. Kara se sent soulagée, un peu, d’avoir réussi à lui exprimer ce qu’elle ressentait… Ce n’était peut-être pas très clair, et elle s’étonnait que Souta continue lentement, comme si de rien n’était, à la savonner, alors qu’elle avait eu l’impression de lui déclarer quelque chose d’assez dur à entendre.

Pourtant, comme toujours, elle aurait dû se douter que rien ne semblait le toucher, et qu’il avait l’air de ne jamais pouvoir être heurté par les mots. Et, les poings n’étaient pas plus efficaces, du moins pas les frappes de mouche de la jeune femme. Kara soupire doucement, entre ses dents, en l’écoutant lui demander de lui apprendre… Si c’était si facile, elle aurait rééduqué pas mal de tocards dans sa vie… Et puis, avait-elle vraiment envie de prendre cette charge pour elle ? Quelle fatigue en tirerait-elle, morale, psychologique, à s’acharner pour tenter de le changer ? Ce n’était même pas garanti qu’elle soit ou bonne pédagogue, ou qu’il puisse évoluer. Si elle échouait là-dedans, elle serait d’autant plus brisée.

« C’est pas… »

Sa voix s’interrompit quand les mains du jeune homme aux cheveux d’argent se faisaient plus insistantes. En fronçant les sourcils, Kara fronce le nez. Il avait dit juste une douche, mais encore une fois, Souta semblait déjà trahir ses paroles et ça ne ressemblait pas à « pas de mains baladeuses »… Mais il enchaine, dans un argumentaire maladroit. Il se contredisait lui-même en deux phrases, ce qui lui tira un petit sourire de dépit. Il partait de loin, celui-là…

En sentant évidemment sa queue durcir à nouveau et remonter lentement jusqu’à ses fesses, Kara lâcha un soupir sonore, les épaules basses, en secouant lentement la tête.

« Pas un queutard ? Tu te rends compte que ce que tu viens de dire est contredit par ton corps ? » En faisant un pas comme elle pouvait en évitant de glisser, la jeune femme se tourna pour lui faire face, prenant une profonde respiration.

« Regarde, je te parle de sentiment, Souta. Je t’exprime mon besoin, peut-être de manière un peu maladroite, pour te dire que j’ai besoin de plus que ta bite. Et toi… tu y réponds justement avec ça. »

D’un index tendu, elle désigna la trique qui pulsa, le visage de la Commerciale exprimant une sorte de déception douce, comme si elle s’était résignée à se dire qu’il n’était juste… pas capable… de comprendre ça. C’était surement pas dans la nature de tout le monde.

« J’vais avoir besoin d’un peu de temps, si on doit se revoir, pour me blinder, et essayer de te gérer sans attendre autre chose de toi que du cul. Parce que j’pense pas que tu puisses apprendre… »

Une épaule se leva, et elle fit une moue plutôt triste et désolée. Kara s’était suffisamment éloignée pour éviter le contact de sa peau chaude qui la perturbait, elle voulait garder les idées claires, enfin, autant que possible, passant sous le jet d’eau, la mousse s’enfuit rapidement en lui laissant une sensation agréable de propreté, confirmant ses pensées. En acquiesçant, pour elle-même, elle sortit de la douche pour attraper une serviette et s’y enrouler. Comme un peu perdue dans ses pensées, l’Office Girl attrapa alors un second drap de bain qu’elle tendit à Souta, esquissant un léger sourire gêné.