Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

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Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 45 vendredi 16 avril 2021, 08:16:29

Il n'aura fallu que quelques minutes pour revenir à nos échanges précédents. Comme si cet arrêt ne s'était jamais produit. Ma bouche continue de dévorer la sienne quelques secondes pour redescendre dans son cou brûlant. Quant à la main qui la titille, quelques doigts glissent avec une facilité déconcertante en elle. Toute cette mouille qui macule sa fente déjà bien ouverte par ce que je lui ai mis plus tôt aide logiquement la chose. Je peux y mettre trois... non, quatre doigts facilement désormais. Seul le pouce reste dehors pour titiller son clitoris gonflé et sensible à en jugé par ses réactions.

Son corps se courbe, ondule d'envie sous mes caresses assez rapidement au fur et à mesure que les gémissements qui fuient sa bouche de font plus insistants et audibles dans la pièce. Pas au point d'aller de nouveau nécessiter l'intervention de la voisine. Mais je veux pas me faire interrompre une nouvelle fois.

La main qui s'amusait à malaxer et caresser son sein remonte pour se coller sur la bouche de l'employée de bureau en chaleur. Deux doigts viennent se coller contre sa langue pour la tenir occupée tandis que je la doigte profondément avec la quasi totalité de ma main à un rythme lent mais accompagné d'une intensité certaine. Une sorte de mini vengeance pour avoir tout stoppé plus tôt étant donné que je vois clairement qu'elle veut sentir autre chose en elle.

Le doigtage se poursuit durant plusieurs minutes durant lesquelles je m'amuse à observer ses réactions. Elle voulait qu'on s'occupe d'elle en prenant uniquement ses envies en compte, non ? Peut-être que je me trompe. En tout cas elle ne semble pas me contredire jusque là, donc autant continuer.

Passé le premier orgasme sur cette seconde phase, je décide de changer de position.

- Tourne-toi !

Je la fais se mettre sur le ventre et repars immédiatement à l'action. Ma main gauche vient se positionner sur la sienne pour que nos doigts s'entremêlent et l'empêchent de s'en aller. Alors que la droite retourne jouer avec ses trous offerts dont l'un dégouline toujours autant. Brûlant désormais de l'intérieur à force de me retenir, j'approche mon visage de son petit cul et vient dans un premier temps le croquer. Sa peau est aussi douce que chaude. Je recommence encore une fois, puis une autre.

Avant de refourner mes quatre doigts dans sa chatte avec une légère variante. Cette fois mon pouce vient se loger dans son anus. Mes cinq doigts sont occupés à entrer et sortir de ses deux trous de façon simultané. S'amusant même à remuer de longues secondes lorsqu'ils finissent leur phase de pénétration. Chacune de ses réactions me pousse à me donner encore plus. Pas pour l'humilier ou jouer avec elle, non. Juste la faire jouir, encore et encore. Contrairement aux hommes, les femmes peuvent jouir autant qu'elles le veulent. Ou le peuvent, vu que le corps doit pouvoir tenir bon.

Alors je poursuis jusqu'à lui arracher un énième orgasme. Laissant ma langue rejoindre mon pouce de temps en temps pour lui procurer une double stimulation sur sa seconde entrée que j'ai hâte de tester un autre jour. Mon autre main toujours bloquée dans la sienne.

Lorsque mon objectif est enfin atteint, je retire mes doigts dégoulinant et les essuie sur ma trique qui n'a jamais été aussi longue et grosse durant nos échanges. C'est à peine si je reconnais mon propre corps. Les veines ressortent encore plus le long de ma tige pulsante et tellement épaisse que je risque bien de la briser en deux avec. Sauf que j'en ai trop envie maintenant. Je peux plus m'arrêter en si bon chemin.
Je l'attrape à la base avec ma main droite et je viens placer le gland à l'entrée de ses lèvres intimes assez travaillées pour l'accueillir bien plus facilement. Sauf que cela ne concerne que le gland. Car en commençant à pousser, je sens de nouveau une résistance.

Ma mâchoire se serre et mes doigts viennent se serrer encore plus fort contre ceux de Kara à chaque centimètre qui force le passage en elle dans cette levrette improvisée. Mon corps s'écrase contre le sien et je m'essouffle rapidement alors qu'un tiers de mon membre est entré en elle.
Afin d'avoir une meilleure prise, et emprise, j'attrape son autre main et y coince mes doigts entre les siens. De là je pousse en soupirant comme jamais sans le vouloir dans le creux de son oreille.

- Mmmmmnnn... Aaaaaah, ouais !

Je m'arrête à la moitié pour ressortir et repartir lentement dans le chemin inverse. Même y allant tranquillement, elle ira nulle part avant de se la prendre toute entière. Alors je poursuis mes attaques lentes et profondes pour arriver à y enfourner la moitié au moins de plusieurs minutes. La chose est tellement dure que je bave sans le vouloir et ma salive vient s'écraser sur les épaules et le dos de Kara quand je repars en arrière en relevant les hanches.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 46 dimanche 18 avril 2021, 22:14:29

Il veut qu’elle se tourne, elle exécute, encore tout embrumée par la transe qu’elle vient de subir. Elle l’avait surprise, et pourtant ce n’était pas la première fois que Souta lui donnait un orgasme, loin de là… Il lui semblait que son amant savait s’y prendre avec son corps, beaucoup mieux qu’avec son cœur ou son cerveau, à vrai dire… Ils ne parlaient pas le même langage, mais la fusion de leur peau était électrique, ils se parlaient ainsi, et lorsqu’il s’enfonçait à elle, qu’il s’agisse de ses doigts ou sa queue énorme, Kara et Souta communiaient.

Ses dents sur ses fesses l’électrisent immédiatement, Kara couine, gémit, serre son oreiller entre ses poings dont les jointures deviennent blanches. Le visage enfoncé dans son coussin, la jeune femme piaule en sentant à nouveau son intimité investie, de manière bien plus cavalière, immédiatement le sentiment d’être pleine l’envahit. C’est si prégnant qu’elle s’en trouve bouche-bée un bon moment, restant silencieuse anormalement pour en apprécier tous les mouvements, bien cambrée.

Elle n’arrive pas vraiment à compter combien de fois il a réussi à la faire monter si haut dans le plaisir, mais Kara reprend ses petits bruits aigus, d’autant lorsqu’ils serrent leurs doigts ensemble, il le sait, elle adore ça. Ces petits instants de complicité en hors du sexe pur qu’ils vivent pourtant depuis des jours, voici ce qui lui permet de ne pas douter complètement de Souta…

Tournant au maximum la tête en se contorsionnant, dans l’espoir d’échanger un regard avec lui, elle ne peut que constater à son tour le désir qui afflux dans ce membre dressé, sans doute plein de frustration, la faisant soupirer à la vue de cette trique énorme. Elle ne l’a jamais vu dans cet état et frémit par anticipation…

Plus c’est long, plus c’est bon, hein ?
Kara serrait les dents, sentant s’insérer centimètre par centimètre du colossal membre que Souta s’acharnait à vouloir enfoncer au plus profond d’elle. Son corps se remettait à peine des vagues de plaisir qu’il avait fait naître en elle, réduisant à néant ses résistances.

Mordant l’oreiller à mesure qu’elle se fait empaler, louant la douceur relative dont il fait preuve, son dos se cambra davantage pour lui laisser plus de champ libre, accompagnant son bassin avec quelques ondulations rythmées, pour qu’il passe plus facilement. Ecartelée, Kara gémit dans le coussin et elle n’en est pas sûre, mais elle a dû couiner son nom plusieurs fois en sentant ses chairs s’écarter de plus en plus.

Mais elle se sentait prête, cette fois, creusant le dos davantage, respirant à peine ou avec difficulté tant sa gorge était sèche. Au contraire de son intimité, trempée.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 47 mercredi 21 avril 2021, 18:19:54

La scène reste aussi chaude et sauvage que la précédente. Sans les commentaires crus et autres demandes d'un côté comme de l'autre. Il m'arrivait de faire attention à ma partenaire en fonction de ses envies. Chose étrange dans ce cas précis vu que Kara n'a jamais été du genre à retenir ses envies jusque là. Un détail... sans importance pour l'instant. J'ai l'impression de bouillir, collé contre son corps humide et brûlant. Me frotter sur elle me donne l'impression de me coller contre un rocher qui a passé la journée sous le soleil. Je ne serais pas surpris de m'en sortir avec une marque sur le torse.

Je me retire une énième fois, aussi lentement que possible en expirant bien fort. L'intérieur, toujours aussi humide, m'aspire comme pour m'empêcher de m'en aller. Inutile de parler pour échanger nos envies et besoins. Comme lorsque j'ai pu relancer sa machine juste avant. Ne gardant que le gland au chaud dans son antre ouverte et insatiable, je repars dans un mouvement plus long en profitant de l'espace qu'elle m'offre en se courbant davantage.

- Urrrrrrrrrrrgh !

Les trois quarts parviennent à entrer, non sans difficulté. Mes mains s'enfoncent dans les siennes alors que mes épaules piquent vers son corps comme un avion sur le point de s'écraser. L'envie d'aller jusqu'au bout est si fort et insistante que je force le passage en poussant encore plus fort. Mon gland appuie de toutes ses forces sur la paroi qui lui bloque le passage.

De toutes les femmes avec qui j'ai tenté la chose, je crois que c'est la première à me faire manquer d'air. Faut dire qu'aucune n'avait été aussi étroite et serrée qu'elle. Les secondes semblent durer des heures alors que je serre les dents comme si j'étais sous la torture. Mes lèvres se crispent, s'ouvrent sans le vouloir pour laisser s'échapper un grognement animal impossible à arrêter.
Les centimètres passent, l'un après l'autre... jusqu'à sentir la peau chaude et si douce de son petit cul contre mon pubis. En plus de ses lèvres intimes à la frontière de la base de ce chibre qui a forcé le passage en elle tel un engin de démolition.

Je suis censé continuer la chose en me retirant. Mais je peux pas. Je ne veux pas ! Un étrange sourire déforme mon visage. Un mélange entre satisfaction, douleur et fatigue. Mon cerveau est en panne, incapable de prendre la moindre décision.

Toujours logé profondément en elle, je me redresse comme je peux pour ne pas l'écraser. Mes lèvres près de sa bouche.

- Je risque pas de te laisser. Enfin... T'as pas l'air de vouloir me laisser faire.

Il est évident que son petit vagin m'écrase de toutes ses forces. La faute à un passage en force avec une bite trop grosse pour le trou qu'elle est venue conquérir. Désormais il va falloir que l'on s'habitue tous les deux à ce nouveau détail. Cela prendra le temps nécessaire et je ne pense pas la brusquer après l'échange de tout à l'heure.
Par contre ça attendra un autre jour, vu que je compte bien ressortir d'ici satisfait et vide à tous les niveaux. Si elle parvient à tenir le rythme.

- Kuuuuuuh ! Puuuuuutaaaaiiiinnnn !

Me retirer est aussi douloureux que compliqué. La route s'annonce encore longue et pleine d'embuches pour nous deux. La pression qu'elle exerce sur ma queue est si forte que j'ai l'impression de me faire rouler dessus par un semi-remorque qui s'amuserait à avancer et reculer encore et encore pour s'assurer de l’aplatir.

Cette seule pénétration m'a soutiré une bonne dose de mon énergie et je vais avoir besoin de souffler un peu. Je me laisse alors tomber sur le dos à côté d'elle avec la trique toujours aussi tendue. A la limite de former un angle droit avec le reste de mon corps.

- Juste une minute... Tu m'as tué là.

Kara Desco

Humain(e)

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 48 jeudi 22 avril 2021, 20:05:08

 Oubliant de respirer malgré les efforts qu’elle devait produire pour réussir à encaisser l’intrusion de l’énorme appendice en elle, Kara s’essoufflait avec autant d’acharnement que lorsqu’elle avait misérablement tenté de boxer avec Souta. Elle n’avait jamais été endurante, partant comme une idiote trop rapidement, sans se ménager certes on pouvait le lui reconnaître, mais toujours épuisée en quelques foulées. Et la patience n’était pas non plus son fort, aussi cherchait-elle à améliorer le processus du mieux possible, se cambrant, ou faisant le dos-rond au besoin, serrant une de ses mains l’oreiller qui faisait office de souffre-douleur.

« N… Non. Je veux pas que tu. » Elle serre les dents une seconde. « Tu me laisses. »

Il fallait cependant se rendre à l’évidence, le sexe gonflé de désir et de frustration de Souta était loin de faire l’unanimité entre ses cuisses, malgré tous leurs efforts, et le plaisir qu’ils engendraient. Il fallait avouer que sentir les centimètres l’écarteler était une torture délicieuse qui lui mettait le feu, au point qu’elle n’arrivait pas correctement à gémir, s’étouffant finalement dans le coussin plutôt que couiner lamentablement.

L’équilibre si fin entre la douleur et le plaisir était parfaitement illustrer par son bassin qui s’approchait toujours plus de ses fesses, et leurs mains qui se serraient fiévreusement semblaient compatir à l’énergie dépensée pour cette belle cause.

Mais son corps tout entier réclame une trêve, et il semble que son amant ressente le même besoin, s’extirpant de son fourreau fiévreux avec peine, lui arrachant une grimace avortée dans le moelleux du tissu rembourré. Il lui faut un moment pour souffler, reprendre sa respiration, faire baisser la tension dans ses articulations blanchies. Kara expire longuement, comme après ce marathon où elle n’a rien géré du tout, totalement incapable de réfléchir.

Doucement, la jeune femme se tourne alors sur le côté pour constater l’état d’épuisement de Souta, elle a assez de force pour lui sourire d’un air moqueur, peu importe que ça lui pompe trop d’énergie, elle ne louperait pas une occasion de lui souligner son état de faiblesse, avec complicité. Pourtant, délicatement, elle rampe jusqu’à son corps brûlant, pose un baiser sur sa joue, puis sa mâchoire, encore haletante.

« Prends tout le temps que tu veux, Trésor. »

Ses yeux se plissent avec malice, avant qu’elle ne se redresse, luisante de sueur, pour se pencher mollement, à bout de force, jusqu’à son membre qui semble être le seul encore en forme, lui soutirant un sourire sarcastique.

« Infatigable celui-là. Tu vas me tuer. »
En tirant la langue, elle vient cueillir le mélange de leurs fluides épars le long des veines saillantes de sa tige, remonte jusqu’à son gland luisant et violacé.

« Repose-toi un peu. »

Sans faire preuve d’une vivacité digne, Kara peut cependant commencer à lécher la longueur poisseuse qui brûle ses papilles, plusieurs minutes en soufflant comme un bœuf sur sa peau, elle-même bien fatiguée. Il lui reste cependant suffisamment d’énergie pour le gober, doucement, intensifiant ses mouvements, s’appliquant à répéter ces gestes qu’il semblait apprécier, où elle s’améliore de jour en jour.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 49 samedi 24 avril 2021, 08:00:29

Allongé sur le dos au milieu de son lit, chaque brise qui pénètre dans la chambre me file la chair de poule. La faut à une température interne qui doit être à son maximum sans finir par déclencher une combustion spontanée. Une situation que Kara n'aide pas à calmer tant donné qu'elle revient rapidement se coller contre moi en m'encourageant à me laisser aller.

Un énorme frisson me parcours la colonne vertébrale lorsque je sens sa langue chaude et délicate se poser sur la base se ma trique encore bien sensible après l'agression qu'elle vient de subir en elle il y a tout juste quelques secondes. Contrairement à la grande majorité des femmes avec qui je me suis envoyé en l'air jusqu'ici, la vendeuse ne semble pas craindre le bout de viande surdimensionné qui a déjà visité sa gorge à plusieurs reprises.
Au contraire même, je crois qu'elle prend un malin plaisir à vouloir tenter de le dompter à terme.

Sa langue n'est pas la seule à stimuler mon membre qui est mit au supplice depuis ce qui me semble être une éternité. La sensation de ses lèvres et de son souffle sur ma peau a un effet dévastateur vu mon état. Il me reste bien suffisamment d'énergie pour la pousser à me pomper si je le veux. Mais je préfère admirer et profiter du spectacle. On est dans son appartement et c'est elle qui a insisté pour prendre les devant et contrôler la situation tout à l'heure. Alors autant la laisser faire et me reposer comme elle vient de le suggérer.

Le gland bien coincé entre ses lèvres douces et expertes, je me contente de fixer le plafond en soupirant longuement.

- Aaaaaaaahn, ouais !

Ne pas regarder directement ce qui se passe offre encore plus de plaisir dans ce genre de situation. Pas que j'imagine ce qui me plaît dans mon esprit. Parce qu'au contraire, je fais le vide complet et laisse les sensations prendre le dessus sur tout le reste.

Pousser sa partenaire à gober de force ce qu'elle a dans la bouche est amusant parfois. A mes yeux une pipe est bien plus agréable quand on prend son temps et qu'on fait les choses bien.

Au bout de cinq minutes à la laisser jouer avec sa grosse sucette, je me redresse légèrement et attrape deux oreillers que je glisse sous ma tête pour mieux pouvoir admirer son oeuvre.

Mon regard plongé dans le sien alors qu'elle tient ma bite à deux mains, formuler une phrase entière reste compliqué.

- Je pourrais rester des heures comme ça.

Le son des klaxons, des discussions et autres échanges se font entendre par la fenêtre entrouverte. Signe que le monde continu de tourner dehors. Alors qu'ici, le temps s'est comme arrêté et je suis prisonnier de cette femme qui, même si elle a du mal à se l'avouer, est aussi insatiable que moi.

- Ma bite est toute à toi. Alors fais-toi plaisir, ma belle. Ta jolie petite bouche est faite pour s'en occuper. Cette langue baveuse et chaude adore venir se coller contre ses veines. Ou tes lèvres délicates qui aspirent mes couilles avec envie.

Dans mon état actuel il ne me faudra pas plus de quelques minutes pour lâcher la sauce. Mais c'est elle qui mène la danse et je ne compte pas lui donner d'ordre ou faire le moindre geste pour la pousser dans une direction particulière.

Oh non, je vais profiter du spectacle jusqu'au bout. Bien calé dans mon coin.

Kara Desco

Humain(e)

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 50 dimanche 25 avril 2021, 13:11:06

Kara laissait son amant parfaitement bien installé dans son lit, confortablement allongé pour pouvoir sans encombre aller et venir sur son membre colossal et veiné, qui n’appelait qu’elle. D’un coup d’œil alors qu’elle écarte sa bouche au plus large, tirant sur ses lèvres, elle le voit relever la tête et prendre ses aises, la faisant sourire en déformant son visage de porcelaine déjà pourtant bien en sueur, en plissant ses petits yeux de fouine. Elle a envie de lui faire plaisir, quand bien même leurs derniers échanges ont été bizarres, et qu’elle ignore encore comment analyser tout ça.

C’est plus fort qu’elle, il faut qu’il pense du bien d’elle, qu’il ne l’abandonne pas, qu’il n’ait pas envie de se moquer d’elle, de n’importe quelle façon que ce soit. Son corps enflammé par leur étreinte précédente chasse heureusement bien des angoisses, assez pour lui faire tout oublier autour d’eux. Seule compte cette queue énorme dont elle s’occupe, la sentant frémir, tressauter et réagir selon ses mouvements, ses coups de langue. Kara prend un malin plaisir à ronronner lorsqu’elle le sent se contracter, puis s’apaiser et soupirer de contentement.

Quoi qu’il arrive, elle s’abandonne à cette pipe et des mouvements langoureux, ses gémissements cognant de sa gorge contre son gland qu’elle enfonce parfois au maximum de ce qu’elle peut encaisser, ses mains venant flatter et effleurer ses bourses comme elle sait que cela lui plaira. Mais ses mouvements s’accentuent lorsqu’elle relève les yeux pour croiser son regard… Il a des yeux d’ambre magnétiques, qui la font frissonner, et l’excitent de savoir qu’il balbutie en la voyant ainsi, alliant ses doigts et ses paumes à sa langue.

Il voulait rester des heures ainsi ? Elle plissa les yeux comme pour lui répondre, son visage tordu pour l’aspirer, et recracher sa trique puissante le temps de lui adresser un petit rictus tout à la fois tendre et pervers.

« Profite alors, Souta. »

Elle se racle la gorge avant de replonger, reprenant ce qu’elle avait interrompu en se dandinant, ne pouvant nier l’excitation que cela lui procure. Elle l’écoute parler en le suçant, hochant maladroitement la tête en aspirant et serrant ses mains autour de son sexe érigé qui pulse contre ses paumes de toute ses forces. Il n’avait pas tort, songea-t-elle alors que sa salive maculait déjà son menton et gouttait le long de sa tige dressée, en cet instant, elle savait qu’il était tout à elle.

Et ce sentiment de puissance la galvanisait, électrisant ses gestes de moins en moins contrôlés, lui demandant de faire davantage d’efforts pour s’affairer comme il lui plait, se soumettant parfaitement à tous les enseignements de son Professeur expérimenté. Et une chose est sûre, elle gagne à chaque fois en performance, pour leur plus grand plaisir à tous les deux.

Dans un bruit obscène, à bout de souffle, la mâchoire endolorie après de longues minutes, Kara extirpe cette épaisse viande de son fourreau baveux, et cille en le regardant dans les yeux. De petits yeux en amande suppliant et puant le cul.

« Je veux que tu jouisses dans ma bouche, Souta. »

Il chouinait de ne pas avoir eu son orgasme peu de temps avant, elle voyait comme il était tendu de désir, et combien il était frustré. C’était le moment de le lui prouver en dévastant tout. Après un sourire carnassier, la jeune femme agrippa d’une main sa cuisse, l’autre retournant appliquer des mouvements de va et vient sur son membre brûlant, prêt à exploser. Sa bouche retourna s’y ficher avec impatience et acharnement, sa langue bouillante incapable de résister plus longtemps à revenir le dévorer.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 51 mardi 27 avril 2021, 07:13:50

Un sourire impossible à contrôler déforme mon visage lorsqu'elle me demande de lui éjaculer en pleine bouche. Je vais finir par croire qu'elle aime se nourrir de ma sauce blanche hyper épaisse désormais. Car quand je la lui ai fait avaler tout à l'heure elle n'avait pas résisté une seconde.
Le fait de ne plus être collé l'un contre l'autre permet de souffler davantage et de savourer encore plus cette gâterie amplement méritée vu comme je me suis occupé d'elle jusque là. Seule ombre au tableau, j'avais retrouvé mon calme et je tiens à profiter encore quelques instants de la situations avant de lui offrir ce qu'elle veut.

Alors qu'une de ses mains est collée sur mon aine pendant que l'autre me branle de façon presque frénétique, je glisse l'une des miennes dans ses cheveux humides et collants de transpiration pour l'aider à se mettre de travers pour que ses lèvres coulissent le long de ma queue.

- J'adore sentir ta langue sur ma queue. Ouais, comme ça !

Mon corps tout entier réclame d'être libéré de cet orgasme retenu. C'est sûrement pour ça que je veux faire le maximum pour que lorsque le moment arrive, la chose soit aussi intense que possible. Mais sans non plus abuser d'elle en l'étouffant sur ma bite comme lors de notre premier essai au parc.
Faut que je l'encourage à faire ce qui me plaît sans y aller trop fort si j'ai bien compris ce qui l'a dérange. Parce qu'au fond, Kara aime être poussée, je l'ai compris rapidement. Tout est question de mesure.

En tout cas, à l'aide de ma main je l'aide à faire remonter et descendre ses lèvres fines mais si adaptées au pompage de bite tout en la fixant du regard. Nos pupilles respectives doivent puer le stupre car je ne pense plus à rien d'autre en ce moment.

Ma poigne se fait un peu plus insistante au fil des secondes car l'envie de me vider est de plus en plus forte. Et je ne me gêne pas pour la prévenir.

- Je sens que ça vient... Descends t'occuper de mes couilles !

Je n'ai pas besoin de forcer sur sa tête pour la pousser à y aller. C'est pas la première fois que je lui demande de me les sucer pour m'aider à les vider dans l'instant qui suivra. Mais j'aime tellement la sentir s'en occuper alors que seul son petit regard dépasse de mon pubis.
Dans la foulée je l'encourage à s'acharner dessus comme une possédée pour que je puisse tout donner rapidement.

- Je vais les vider dans ta petite bouche. C'est ce que tu veux après tout.

Ma main rejoint la sienne sur ma bite pour l'encourager à me branler encore plus fort et vite. Toute la salive qu'elle a laissé dessus aide le mouvement. Je me mets à gémir de plus en plus fort. Mon orgasme retenu durant tout ce temps me fait presque mal avant de sortir. La sensation est similaire à celle de tout à l'heure quand je me faisais écraser par sa petite chatte quand je forçais le passage pour y marquer mon territoire. A croire que ça m'a un peu plus marqué physiquement que prévu.

Elle qui semble apprécier qu'on l'encourage, je continue de lui dire à quel point j'aime ce qu'elle fait en soupirer bien fort. Et cette fois ce n'est pas exagéré. Le plaisir et l'excitation qui nourrissent mes gémissements sont authentiques. Mon corps est sur le point de céder à ses attaques incessantes sur toutes les parties sensibles de mon corps.

- J'en peux plus ! Vite ! Reviens sur ma q-

Elle a à peine le temps de lâcher mes couilles qu'un premier jet sort sans que je m'y attendre pour s'étaler sur son beau visage déformé par l'effort et la jouissance. Le seconde explose en partie sur ses lèvres qui reviennent emprisonner mon gland et savourer le reste. S'en suit une longue et généreuse éjaculation qui va lui remplir l'estomac.

A la différence que cette fois je vais la laisser se délecter de sa nouvelle boisson favorite sans les commentaires graveleux de tout à l'heure. C'est elle qui a le dessus, même si je l'ai un peu encouragé physiquement pour m'aider à avoir un orgasme aussi puissant que possible. Après tout c'est aussi à elle que ça profite vu qu'elle voulait que je me lâche dans sa bouche. Y aller à moitié aurait été un manque de respect.

Au fur et à mesure que je me déverse dans sa bouche, je préfère lever les yeux au ciel pour mieux profiter de chaque sensation. Le tout accompagné de gémissements légèrement retenus. Je tiens pas à ce que la voisine me gâche mon plaisir. Un homme se sent tellement bien quand il éjacule car tout son corps se relâche, comme libéré d'une énorme pression qui le comprimait durant plusieurs minutes. Et dans le cas actuel, la pression précédent l'orgasme était beaucoup trop forte. La pauvre Kara va la découvrir à ses dépends.

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 52 mercredi 28 avril 2021, 11:12:26

Cette sensation d’impatience la gagnait de plus en plus depuis qu’il avait déclaré solennellement qu’il allait se vider dans sa bouche, comme elle l’avait couiné en l’implorant presque. C’était plus fort qu’elle, Kara était dépendante de cette sensation si plaisante, d’être à l’origine de sa jouissance, d’en être la maîtresse, et de manière très superficielle, détenir ce pouvoir sur lui quelques instants. En règle générale, la vie la possédait et la ballottait au gré des épreuves, mais lorsqu’elle avait en main le contrôle du plaisir d’autrui, soudainement, une puissante émotion de vanité la remplissait d’orgueil.

Remplie, c’était plutôt le mot, mais à défaut d’orgueil supplémentaire, désormais, c’était un flot discontinu et chaotique de spasmes chauds. Elle avait été présomptueuse et avait trop fanfaronné, n’étant pas assez rapide pour éviter une douche blanchâtre qui dégoulinait à grosses gouttes. Pourtant, Kara se concentrait davantage sur ce qu’elle devait encaisser maintenant, comprenant qu’il ne rigolait pas quand il évoquait sa frustration trop longtemps contenue. Cette fois, il n’était plus question de se retenir, et elle faisait les frais de cette libération.

Loin de s’en plaindre, bien que peinant dans son état un peu second à respirer convenablement en cherchant à avaler le liquide brûlant sans s’étouffer, la Commerciale eut la mauvaise idée d’essayer de sourire de manière satisfaite. Erreur ! De longs filets coulèrent à la commissure de ses lèvres, qu’elle s’efforçait de comprimer autour du gland visqueux de Souta. Prise d’un rire nerveux, elle manqua de suffoquer en avant de travers, lui tirant une larme à l’œil.

Il fallut un bon moment pour s’assurer qu’elle ne risquait plus de mauvaises surprises en le relâchant de son emprise buccale. Plissant ses petits yeux en amande avec une moue qui faisait dégouliner davantage de ce fluide qui la maculait, Kara pinça les lèvres avant de passer sa langue comme elle pouvait au coin de sa bouche. Elle s’était appliquée à ce que Souta reste le plus propre possible, vaine attention vu les substances échangées, mais elle le connaissait suffisamment pour savoir qu’il réclamait toujours un nettoyage attentionné après voir jouit. Aussi lui adressa-t-elle un clin d’œil complice.

« Bah c’est à moi d’aller me doucher, maintenant… »

Elle avait été boostée par le sentiment de puissance ressenti lorsqu’il avait craqué, et l’observa un instant, en silence, son visage satisfait caractéristique, presqu’adorable.

« Dis-moi des trucs gentils. » Souffla-t-elle, avant de se redresser, sa main glissant machinalement contre sa cuisse en accompagnant son mouvement pour se lever. Elle se sentit immédiatement poisseuse, réalisant combien elle devait être sale. L’envie de cette douche se fit bien plus pressante, et elle fit quelques pas hasardeux vers sa salle de bain.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 53 mercredi 19 mai 2021, 07:54:01

La frustration et l'attente auront eu raison de moi. En plus de la bouche et de l'estomac de ma partenaire de jeu du soir qui en a pour son argent. J'ai fait tellement plus que de jouir dans sa bouche. A en juger par ses réactions, on peut clairement parler de remplissage ou d'explosion. Au moins le barrage formé par ses lèvres n'a pas rompu face au tsunami de crème blanche et épaisse qui a tout fait pour forcer le passage en jouant autant sur la quantité que sur la consistance visqueuse et collante.

Au bout de plusieurs secondes à soupirer d'extase en la regardant s'atteler à quelque chose de pourtant aussi basique en temps normal, je peux enfin retrouver une respiration normale car tout mon corps se retrouve détendu. Faut dire que je ne l'ai pas ménagé entre la levrette en force de tout à l'heure et le fait d'avoir retenu mon orgasme si longtemps. Ce qui me surprend le plus c'est le regard de Kara. Celle qui était il y a encore quelques minutes à me demander de tout arrêter car elle ne se sentait pas l'envie d'aller plus loin semble avoir retrouvée son étincelle coquine et perverse. Les femmes n'aiment pas les faciales en règle générale. Et pour ce qui est d'avaler, n'en parlons pas. Ce qui est compréhensible. Alors qu'elle... Elle aurait pu tout recracher vu l'état déjà déplorable des draps après ce qu'on vient de faire. Je ne lui ai d'ailleurs jamais demandé d'avaler.

Je ne dis rien lorsqu'elle annonce devoir passer sous la douche. Aaah, la douche... Je crois que c'est un lieu sous lequel on s'est amusé ensemble le plus souvent à ce jour quand j'y pense. On a exploité une bagnole, visité des cabines, des chambres, un vestiaire... et même un jardin public. Mais je crois bien qu'on s'est le plus souvent retrouvé sous une douche qu'ailleurs.
Histoire de changer la donne je me dis que ce serait sympa d'y aller avec elle pour faire uniquement ce qu'on est censé faire dedans. A savoir se laver.

Avec les années j'ai développé une certaine rapidité dans la récupération d'endurance. Pas de quoi sauter de toit en toit, mais assez pour pouvoir me déplacer après une pause de quelques secondes. Question de survie dans les cas extrêmes. Du coup il ne me fallait pas une pause plus longue pour retrouver ma mobilité et sauter de ce lit crasseux par notre faute pour me glisser derrière elle et la rattraper alors qu'elle semble tituber. Probablement de ma faute vu que j'y suis allé vraiment fort quand j'ai voulu lui fourrer ma bite jusqu'à la garde quitte à forcer le passage.

- Des trucs gentils ? J'sais pas moi... J'ai l'impression que ça sonnerait faux quand c'est demandé de cette façon.

Vu la taille des couloirs qui semblent bien étroits dans son petit appart, je me contente de me coller contre elle sur sa gauche pour l'aider à marcher le plus droit possible jusqu'à la salle de bain. Une main sur sa hanche de l'autre côté pour l'empêcher de tomber de l'autre côté.

- T'as du caractère et du répondant. J'trouve que c'est le plus important chez une femme.

Ce qui est vrai. Les potiches qui ne savent pas réfléchir par elle même ou agir selon leurs envies en se laissant faire du début à la fin c'est d'un ennui mortel. Kara a beau se laissé un peu entraîner, elle a prouvé ce soir qu'elle avait des trucs à dire. Reste à l'encourager à aller jusqu'au bout. Ce soir ou un autre jour. Tout garder pour soi n'est pas bon. Ca fini par vous ronger de l'intérieur et vous pourrir la vie au quotidien.

On arrive rapidement dans sa salle de bain dont je pousse la porte et allume la lumière en perdant quelques secondes durant ma recherche de l'interrupteur. Je l'emmène jusqu'à la cabine de douche et allume l'eau avant de me tourner dans sa direction, la trique toujours aussi gonflée et tendue.

- T'en fais pas, ça va se calmer tout seul. On va juste se laver cette fois. C'est épuisant que tu me sautes dessus dès qu'on passe sous la douche. Alors pas de mains baladeuses.

Tout en rigolant à ma propre bêtise, je pose un pied à l'intérieur pour la rejoindre et attrape un savon pour me savonner de mon côté tout en la regardant faire. Quitte à bander encore comme un âne, autant que ce soit pour quelque chose. "Touche avec les yeux" qu'on dit aux enfants dans les magasins.

C'est sûrement une mauvaise idée maintenant que la situation est détendue, mais il faudra bien en parler un jour. Je lance alors la chose de moi-même.

- C'était quoi le truc tout à l'heure ? Tu veux en causer ? Ca pourrait pas te faire de mal.

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 54 samedi 22 mai 2021, 17:05:23

Dans cet état bizarre où elle tenait mal sur ses jambes, Kara releva légèrement vers Souta, qui venait de se coller à elle dans un geste simple, pour la soutenir, voyant bien combien elle peinait à marcher droit après autant d’effets, d’émotions confuses. Elle cilla longtemps, en silence, à le regarder du coin de l’œil. Il n’était pas foutu de lui dire des mots gentils, était-ce si étonnant ? Il n’avait pas non plus été capable de répondre à sa demande de câlin, qu’il avait tout de suite interpréter comme une demande sexuelle.

Quelque chose se demandait, en elle, ce qui lui était arrivé dans sa vie passée pour être ainsi incapable de faire preuve de sensibilité, d’exprimer des sentiments plus tendres. Ou alors, tout simplement, il n’en avait pas pour elle… Puisqu’il ne voulait pas, par franchise, que cela sonne faux dans sa bouche. Etait-ce vraiment grave ? La Commerciale se contenta de soupirer lorsqu’il se montra aussi franc, en hochant légèrement la tête, lui répondant simplement par un haussement d’épaule. Même ce geste lui coûta, elle était fourbue… Et, pourtant, les gestes de son amant restaient emplis d’attention simple. Il ne devait juste pas faire autrement. Elle n’était pas là pour le forcer. Pour le changer.

En marchant, elle eut l’impression qu’il cherchait à se rattraper en lui soufflant des compliments maladroits. C’était tout lui. Elle se souvenait que toutes ses intentions ou ses essais pour être cool sonnaient de manière douce-amère à ses oreilles. Un sourire s’étira un peu, sur ses lèvres poisseuses, et elle lui saisit le bras pour ne pas trop chanceler. Elle avait du caractère, et du répondant… C’était euh… Positif ?

« Merci pour ta franchise. » Souffla-t-elle lentement, se concentrant sur ses pas hasardeux.

Fort heureusement, son appartement était loin d’être immense, et ils se retrouvèrent rapidement dans la pièce d’eau, pendant que Kara évite son reflet dans le miroir du lavabo… Elle se sait immonde et saccagée, et n’a aucune envie de le constater véritablement. Dans les yeux de Souta, elle ne lit aucun dégoût, mais elle sait à quel point il est trash, lui…

A le voir ainsi, encore vraiment en forme, la Commerciale se demande ce qu’il prend pour être vraiment tout le temps opérationnel. C’est pas humain… Un instant, elle louche sur son sexe érigé d’une taille colossale, se demandant encore comment elle a pu encaisser ça, et relève le nez vers son visage pour lui sourire, à cette petite remarque, comme s’il lisait dans ses pensées. Et elle éclate de rire en même temps que lui, il semble heureux de sa connerie.

« Que JE te saute dessus ? » Elle glousse, mais rire fait mal aux abdos, elle se tient les côtes en grimaçant. « Putain, t’es chié quand même, c’est toi qu’en demande toujours plus. »

Cependant, Kara n’a pas trop la force de lui envoyer une pique, elle s’engouffre dans la douche et le laisse la rejoindre en lui tirant la langue. Même ça, ça tire sur sa peau maculée de fluide qui commence à craqueler. Rapidement, elle lève la tête et ferme les yeux, sous le jet d’eau puissant qui la débarrasse efficacement de tous les miasmes de cette soirée bizarre. Un bon moment, n’ayant que les sons de Souta qui se savonne, couvert par le bruit de l’eau, l’odeur du savon la détend, elle garde le silence, puis soupire longuement.

Elle l’entend parler, certes, mais hésite à répondre. Quelque chose lui dicte que c’est peine perdue. Ils sont différents sur ce point, elle ne peut pas lui demander quelque chose qu’il ne peut pas lui apporter… Kara hausse les épaules, par dépit, baisse la tête en ruisselant et sourit légèrement avec une sorte de compassion.

« Je crois que t’es un trop mauvais garçon pour moi. Je suis un cœur d’artichaut, tu sais… Alors je m’attache un peu trop. Je sais que t’es pas le genre de mec qu’il me faut… Tu me fais du mal, parfois, sans le vouloir. » Elle ricane et, pour casser cette lourde atmosphère qu’elle créé, lance : « Et je parle pas de ta queue, crétin. »

En lui prenant le savon des mains, la jeune femme entreprend d’être plus claire, évitant son regard, comme juste avant. « En fait, moi j’ai besoin qu’on me prenne dans ses bras, et qu’on sache me dire des trucs gentils, tout comme me grogner des insultes à la gueule en me sautant. Tu vois ? » Ses mains pleines de mousse glissent sur son propre corps, machinalement. « Et toi, tu sais faire que la moitié, tu vois ? »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 55 jeudi 03 juin 2021, 08:35:07

L'eau chaude et le parfum reposant du savon ont pour effet de calmer toutes les personnes qui se retrouvent sous leur combinaison presque toute puissante. On n'y prête pas forcément attention, mais un geste aussi simple qu'une douche ou un bain pour pousser la personne la plus coincée ou têtuée à se lancer aux confidences. On s'y sent détendu, en sécurité même. Qui irait vous attaquer sous la douche à moins d'être une pinup des années 60 ou une actrice d'un film d'horreur cliché à souhait ?

Je l'écoute alors sans réagir ou répondre. Je me contente de me laver tranquillement en la regardant. Le visage légèrement masqué par mes cheveux mouillés que je remets en place ici et là avec mon poignet. A l'entendre, elle prend tout ce qu'on fait et se dit avec beaucoup trop de sérieux. J'ai beau essayer de la pousser à se lâcher, ça n'a pas l'air de marcher. Tant que ça viendra pas d'elle-même, elle restera coincée comme ça. Et le lui dire risque d'avoir l'effet contraire.

- Hmmm...

La chose résonne plus comme un "d'accord" qu'on songe ou un gémissement. Je lui reprends alors le savon des mains avant qu'elle le lâche pour se frotter et le frictionne entre mes mains pour accumuler un maximum de mousse et commencer à lui frotter les bras et le dos. Sans aucune ambiguïté dans mes gestes. Les autres fois je m'amusais à lui parler doucement dans l'oreille. Mais pas là. Même en étant dans son dos, je garde un ton et un volume sonore qui lui permet de bien m'entendre.

- C'est pas faux. Je suis pas doué pour ces trucs, on me le dit souvent.

On peut même dire que c'est la raison pour laquelle on ne me confie jamais de mission où il faut draguer des cibles pour leur voler des objets ou des renseignements. Le sexe reste un moyen comme un autre de s'amuser ou de se défouler quand l'envie est là. Je sais que certaines personnes se mettent en couple et font la chose par amour. Enfin, de ce que je sais. Ca reste un concept abstrait pour moi.

Les femmes que j'ai croisé jusque là avaient, et ont, la même façon de voir le cul que moi. Pour les femmes c'est même encore plus simple de jouer de leurs charmes vu que les hommes qui ciblent se foutent bien qu'on leur cause de quoi que ce soit du moment qu'ils peuvent jouer à touche-pipi. Nous, les hommes, faut savoir faire preuve d'empathie. Okay, ça je sais faire. Puis se montrer sensible, prévenant, quitte à en faire des caisses. Et ça... c'est moins dans mes cordes.

Son dos bien propre, mes mains descendent sur ses hanches. Ma trique, qui se calme que très lentement, vient se frotter contre l'intérieur de sa cuisse. Mon gland chaud appuie sur sa peau tendre et douce.

- T'as qu'à m'apprendre. J'tai bien donné un cours... Bon, okay, super court, d'auto défense l'autre jour. Ce serait donnant-donnant.

Ma main droite continue sa descente pour venir lui attraper une fesse. J'ai dit pas de main baladeuse pour elle. En ce qui me concerne, il y a une faille que je peux exploiter sans souci. J'y vais doucement, avec délicatesse.

- Faut pas croire que je suis un queutard qui saute sur tout ce qui bouge. T'es belle, bien foutue... Voir super sexy dans ton tailleur. Même si je plains tes hauts moulants qui semblent toujours à deux doigts d'exploser avec ce qu'ils retiennent.
J'aime entendre ta petite voix quand tu gémis de plaisir. Ou ton regard brûlant quand tu te lâches.


L'érection qui commençait à se calmer au fil des secondes reprend rapidement du poil de la bête. Le gland qui s'appuyait sur sa cuisse de manière légère exerce alors une telle pression qu'il racle sa peau pour se libérer et venir échanger sa place avec ma tige pour venir, lui, se coller contre le bas de ses fesses.

- Tu vois ? Rien que d'en parler, le reste suis. A bien y penser, t'es la seule responsable.

Je me mets alors à sourire sans rigoler pour ne pas qu'elle prenne mal la chose. Va falloir y aller mollo. Mais tant que c'est pas de la niaiserie, je pense pouvoir gérer. Puis, détail important, je fais pas semblant.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 56 mercredi 23 juin 2021, 09:17:40

Kara n’était pas certaine que ses mots sauraient être compris comme il faut par Souta. Pas une question d’intelligence pure, mais plutôt un constat alarmant qui devait bien admettre qu’ils ne parlaient parfois pas la même langue. C’était souvent le cas, sauf lorsqu’ils baisaient, à vrai dire. Et cette fois, la Commerciale avait analysé la situation problématique… C’était chouette lorsqu’ils arrivaient à communiquer, mais…

Être dos à lui permettait de pouvoir causer sans trop de peine, d’éviter d’être perturbée par son regard d’ambre sur elle, et d’être attirée par son corps sous l’eau, plein de mousse. Elle avait dans les narines l’odeur de son savon, qui chassait peu à peu de manière efficace les relents de leurs ébats. Ses paupières se ferment vivement alors que les mains de son amant descendent jusqu’à ses reins, et elle tente d’ignorer son sexe contre sa peau. Kara se sent soulagée, un peu, d’avoir réussi à lui exprimer ce qu’elle ressentait… Ce n’était peut-être pas très clair, et elle s’étonnait que Souta continue lentement, comme si de rien n’était, à la savonner, alors qu’elle avait eu l’impression de lui déclarer quelque chose d’assez dur à entendre.

Pourtant, comme toujours, elle aurait dû se douter que rien ne semblait le toucher, et qu’il avait l’air de ne jamais pouvoir être heurté par les mots. Et, les poings n’étaient pas plus efficaces, du moins pas les frappes de mouche de la jeune femme. Kara soupire doucement, entre ses dents, en l’écoutant lui demander de lui apprendre… Si c’était si facile, elle aurait rééduqué pas mal de tocards dans sa vie… Et puis, avait-elle vraiment envie de prendre cette charge pour elle ? Quelle fatigue en tirerait-elle, morale, psychologique, à s’acharner pour tenter de le changer ? Ce n’était même pas garanti qu’elle soit ou bonne pédagogue, ou qu’il puisse évoluer. Si elle échouait là-dedans, elle serait d’autant plus brisée.

« C’est pas… »

Sa voix s’interrompit quand les mains du jeune homme aux cheveux d’argent se faisaient plus insistantes. En fronçant les sourcils, Kara fronce le nez. Il avait dit juste une douche, mais encore une fois, Souta semblait déjà trahir ses paroles et ça ne ressemblait pas à « pas de mains baladeuses »… Mais il enchaine, dans un argumentaire maladroit. Il se contredisait lui-même en deux phrases, ce qui lui tira un petit sourire de dépit. Il partait de loin, celui-là…

En sentant évidemment sa queue durcir à nouveau et remonter lentement jusqu’à ses fesses, Kara lâcha un soupir sonore, les épaules basses, en secouant lentement la tête.

« Pas un queutard ? Tu te rends compte que ce que tu viens de dire est contredit par ton corps ? » En faisant un pas comme elle pouvait en évitant de glisser, la jeune femme se tourna pour lui faire face, prenant une profonde respiration.

« Regarde, je te parle de sentiment, Souta. Je t’exprime mon besoin, peut-être de manière un peu maladroite, pour te dire que j’ai besoin de plus que ta bite. Et toi… tu y réponds justement avec ça. »

D’un index tendu, elle désigna la trique qui pulsa, le visage de la Commerciale exprimant une sorte de déception douce, comme si elle s’était résignée à se dire qu’il n’était juste… pas capable… de comprendre ça. C’était surement pas dans la nature de tout le monde.

« J’vais avoir besoin d’un peu de temps, si on doit se revoir, pour me blinder, et essayer de te gérer sans attendre autre chose de toi que du cul. Parce que j’pense pas que tu puisses apprendre… »

Une épaule se leva, et elle fit une moue plutôt triste et désolée. Kara s’était suffisamment éloignée pour éviter le contact de sa peau chaude qui la perturbait, elle voulait garder les idées claires, enfin, autant que possible, passant sous le jet d’eau, la mousse s’enfuit rapidement en lui laissant une sensation agréable de propreté, confirmant ses pensées. En acquiesçant, pour elle-même, elle sortit de la douche pour attraper une serviette et s’y enrouler. Comme un peu perdue dans ses pensées, l’Office Girl attrapa alors un second drap de bain qu’elle tendit à Souta, esquissant un léger sourire gêné.




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