Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

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Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 30 dimanche 28 février 2021, 20:55:13

Un lit ? Le prochain jeu ? Si Kara ne connaissait pas aussi bien Souta, elle aurait sans doute eu peur, à l’entendre encore si sûr de lui, dominant, ayant déjà tout calculé de ce qu’il attendait d’elle. Il y avait évidemment un côté très excitant à tout cela, savoir qu’elle l’avait hanté si puissamment, qu’il avait déjà des tonnes de scénarios en tête… Mais elle se demandait aussi jusqu’où il voulait aller, et si tout ce qu’il voulait lui faire faire n’était pas juste une recherche constante de la performance, le plaisir de repousser les limites, ses limites à elle, visiblement, puisque lui ne semblait pas en avoir…

« Ah. Euh, par ici. »

Même si c’était elle qui le guidait vers sa chambre, elle avait l’impression que c’était bien Souta qui tenait les rênes, il avait déjà tout imaginé et tout préparé… C’était loin d’être spontané comme dans cette chambre d’hôtel hors de prix, et Kara commençait légèrement à se poser trop de questions à ce sujet. C’était très bien, ces petits jeux, elle devait l’avouer ; elle aimait cela, et elle adorait se dire qu’elle lui faisait de l’effet. Mais quoi qu’elle fasse, il passait à l’étape suivante, celle qu’il avait lui-même décidé, méthodiquement. Est-ce qu’il cherchait juste à cocher des cases ? Jeu terminé, jeu suivant. Prochaine étape. Next.

Et d’après ses gestes insistants, Souta a des projets pour ses fesses dans les prochaines séances, il semble avoir déjà bien en tête ce qu’il attend d’elles, tout est millimétré… Pour quelqu’un qui ne se prend pas la tête, finalement, leurs parties de sexe sont plutôt parfaitement bien organisées… Et quand il aura coché toutes les cases de son bingo du cul, il fera quoi ? Il la jettera ?

Pas le temps de s’appesantir sur cette impression désagréable, il déclare que la prochaine partie sera capturée sur son smartphone… En temps normal, Kara n’est pas vraiment attirée par ces mises en scène, d’autant qu’elle craint évidemment les dérives et les utilisations… Mais puisque c’est sur son téléphone à elle, quel risque ? Au pire, elle pourra sans doute tout effacer ensuite ? Ses dernières pensées l’ont légèrement contrariées, elle se sent moins à l’aise, et surtout moins prête à tout. Son regard est moins vif, moins pétillant de désir, elle a peur qu’il s’en rende compte, se remotive mentalement en allumant son portable et en le lui tendant. Aller, ma grande, ça va aller…

Son excitation revient en flèche dès lors que Souta se déshabille, et surtout au vu des regards de fou qu’il lui lance… ça suffit à la faire sourire, se mordant les lèvres, l’attente commence sans doute à la rendre fébrile, toute cette préparation la laisse impatiente. Aller, crache le morceau, qu’est-ce que tu attends Souta ? Kara, obéissante, vient se positionner exactement comme il le demande, observant son visage dans le but d’y lire les prochains commandements avant même qu’il ne les prononce.

« D’accord. »

Ne pas se servir de ses mains jusqu’à nouvel ordre ? Son visage s’abaisse et le lève doucement, se mordant l’intérieur de la joue, pour acquiescer à cette demande, même si le simple fait d’en parler lui donne envie de transgresser la règle, déjà. Ses doigts pressent ses cuisses et elle esquisse un sourire dès qu’il flash l’instant.
La suite la laisse sans voix, évidemment, elle s’efforce d’être à la hauteur, la présence du smartphone la pénalise au début, la mettant mal à l’aise étrangement, mais petit à petit, excitée par l’énorme queue qui glisse dans sa bouche au fond de sa gorge, et la poigne dans ses cheveux. Définitivement, elle aimerait gémir, mais en est incapable, l’air est trop rare et plusieurs fois, Kara a l’impression d’étouffer. Souta apprécie, c’est indéniable, elle l’entend la flatter et l’insulter à la fois, la motivant davantage à le sucer dans les règles.

Enfin, dans un bruit obscène, elle peut reprendre une longue goulée d’air après l’intensité de cette pénétration, suffoquant comme après un sprint, les poumons en feu. Il ne pouvait pas s’en empêcher… Kara releva immédiatement les yeux pour les ancrer dans les siens en fronçant les sourcils à sa remarque sur la qualité de sa prestation. Blessée, elle tordit son petit visage en une moue hargneuse en pestant entre ses dents « Ta gueule. » mais Souta se montre encore directif et lui indique la marche à suivre.

Encore une étape… Mais Kara exécute, la mine renfrognée, pliant le cou pour lui laisser le champ bien libre et une inclinaison optimale de sa gorge. Pourtant, avant de recevoir son gland suintant, ce sont quelques coups qui l’assaillent, la faisant sursauter. Visiblement, ce simple geste de domination semble décupler l’impatience de son amant, elle sent dans ses mouvements à quel point il se retient, et à quel point il apprécie la surplomber ainsi. C’est communicatif, elle cesse de bouder pour esquisser un sourire à sa petite pique.

« Tu causes, tu causes, mais t’agis pas beaucoup, aller, Souta, remplis-moi ! »

Une provocation gratuite, une sorte de vengeance bien inutile, elle sent de nouveaux coups de son sexe brûlant cogner ses joues et son menton, et d’instinct, ouvre grand les lèvres lorsqu’il s’approche… La déception la fait grogner dès que son épais membre dépasse sa bouche pour s’engouffrer entre ses seins. A défaut de son gland luisant, elle s’occupera de ses bourses qu’il lui présente sans moyen de douter de ses intentions… Ses mots confirment ce qu’elle avait de toute façon deviné et sans se faire prier, Kara s’attelle à la tâche.

Alors qu’il s’active de son côté, la jeune femme s’évertue à reproduire à la perfection les préceptes de son mentor en la matière, pour lui prouver, sans doute qu’elle a bien retenu la leçon depuis tout ce temps. Les mains de Souta sur ses seins augmentent son désir, son bassin accompagne désormais les mouvements de cette queue compressée en gigotant nerveusement. Le laissant faire, puisque de toute façon il semble avoir déjà un chemin tout tracé en tête, Kara agit comme il aime, étouffant ses gémissements contre ses couilles, couinant et râlant de plaisir.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 31 mercredi 03 mars 2021, 08:36:00

La position en elle même est sacrément inconfortable. Pourtant elle est également tellement agréable et excitante dans l'autre sens. Les genoux pliés pour coller mes couilles pleines sur ses lèvres pour aller jusqu'à les caler toutes les deux dans sa petite bouche afin de la remplir et la boucher complètement malgré le fait de l'avoir assez écartelée avec l'aide de ma large queue à plusieurs reprises offre un plaisir impossible à définir. Associé à un sentiment de domination évident car elle n'a aucune liberté ou marche de manœuvre tant que je ne décide pas de la libérer.

- Mnnn ! Continue ! Comme ça, ouais...

Les gémissements provenant de ma bouche sont aussi nombreux que les soupirs de plaisir. Sentir mes boules devenir plus lourdes à cause de la salive qui les macule un peu plus chaque seconde me fait trembler de la tête aux pieds. Au point d'avoir du mal à me branler correctement avec ses deux nichons massifs qui restent collés à mes mains moites. J'ai toute la peine du monde à me faire plaisir avec alors que l'envie ne manque clairement pas. Oui, une envie de lui faire tout et n'importe quoi. Les images s'enchaînent dans ma tête alors qu'on n'aura clairement pas l'énergie ou le temps de parcourir tout ce qui me fait envie.

J'attrape alors de nouveau ses seins à l'aide de mes paumes tout en soupirant alors que je reprends mon propre massage avec. Cette douce sensation sur ma peau veinée et brûlante associée à celle plus moite au niveau en-dessous me refait trembler comme une feuille. Mon sang se met à bouillir dans mes veines, la transpiration commence à se faire plus apparente sur mes épaules et mon visage au fur et à mesure que je me laisse aller.
Une fois sa poitrine bien remontée pour me branler facilement, du bout des doigts je me saisis de ses tétons et commence à les pincer pour jouer avec.

- Faut croire que me branler avec tes seins en te faisant bouffer mes couilles t'excite grave.

Mes doigts pincent alors ses petits mamelons roses encore plus fort tout en prenant soin de venir écraser d'avantage mon scrotum contre son visage. Les quelques gouttes de pré-sperme qui dégoulinent de mon gland en viennent d'ailleurs à couler sur son ventre. Je prends un malin plaisir à alterner entre pression de mes doigts sur ses pointes dures et sensibles, un malaxage de poitrine ferme et puissant ou un massage délicat de ma bite.

- Tu me rends fou, Kara ! C'est de ta faute si je fais tout ça !

Une affirmation véridique à 100%. Dès qu'on entre en contact l'un avec l'autre, j'ai du mal à retenir mon envie de lui sauter dessus. Que ce soit en intérieur comme en extérieur. Et vu qu'elle m'a tenté à plusieurs reprises de céder à la tentation dans une ruelle sombre, elle va obtenir bien plus très rapidement. Mais ce sera pour un autre jour. Ce soir on va s'amuser chez elle. Une autre de ses demandes d'ailleurs.
Et vu qu'on est sur ce sujet, il va être temps que je remplisse celle qu'elle m'a fait plus tôt.

En coinçant mes couilles dans sa bouche elle ne peut probablement plus avaler sa salive correctement. Sans oublier qu'elle dit avoir les narines saisies par l'odeur virile qui se dégage de mon service trois pièces qui est un mélange de sueur et de sperme après notre coup rapide de ce midi.

Au bout de deux minutes supplémentaires je libère sa poitrine de ses mains et en pose une sur son visage pendant que je me retire aussi de dans sa bouche pour admirer le résultat tout en récupérant le portable. Un grand sourire aux lèvres je lui demande de faire coucou à l'objectif pour immortaliser son petit visage déformé par une large accumulation de salive et d'abus de ma part. Alors que la suite ne pas sera pas plus flatteuse pour elle quand elle repassera les clichés en revue pour se remémorer la soirée.

- Approche, ma belle.

Une jambe se lève pour qu'un pied se pose sur le lit. Je monte rapidement dessus en lui faisant comprendre de se redresser et se mettre sur les genoux pour que je puisse lui offrir ce feu d'artifice tant attendu. Son portable toujours planté dans ma main. En mode vidéo cette fois.
Ma bite brûlante vient se poser plus délicatement sur son visage cette fois. Ses joues semblent encore plus chaudes que ma queue qui frémit d'impatience alors qu'elle racle un peu de la salive de la belle qui lui coulait au menton. Le tout sous l'objectif de l'appareil qui va filmer la scène jusqu'au bout.

- Je veux te baiser la bouche. La remplir de sperme jusqu'à ce que ça déborde. Alors ouvre et suce !

La seconde d'après, je m'enfonce dedans une nouvelle fois et en savoure chaque sensation alors qu'un frisson me parcoure la colonne vertébrale en m'arrachant un des plus long et agréable soupire de ma vie. Sa langue humide et ses douces lèvres viennent prendre possession de ma queue sensible qui ne va pas tarder à lui exploser en bouche.
Une main dans ses cheveux, l'autre qui tient le portable en résistant aux tremblements, je lui demande d'y aller de façon vulgaire pour me faire céder plus rapidement.

- Avale pas ta salive, laisse tout couler. Bave sur ma queue en faisant autant de bruit que possible comme la bonne salope que t'es. J'adore quand tu fais ça, tu le sais.

Ma main sur sa tête n'est désormais là que pour la forme étant donné que je la laisse faire à son rythme et à sa façon pour me donner envie. Et la libération ne se fera pas tarder plus de cinq minutes. Le plaisir est si intense quand je sens l'envie d'éjaculer parcourir tout mon corps qui se crispe. Même mes doigts viennent enserrer sa chevelure rousse humide alors que je tente de ne pas tirer dessus pour lui faire trop mal.

- Putain ! Ouais, je vais te remplir la gueule, viens par là !

En général je me tiens la bite par la garde quand je me lâche. Sauf que là je préfère filmer tout ce que je peux et mon autre main de ne me réponds plus. Le sperme se met alors à couler plus calmement que les autres fois. Pas de jets puissants qui viennent assaillir ma partenaire. Non, c'est un flot calme et continu cependant qui ne va pas tarder à la remplir autant et aussi vite que ce midi.
Quand je vois ses joues gonfler, un énorme sourire déforme mon visage car je réalise que ma main qui tient sa tête va vite s'avérer utile.

- Avale, vas-y ! Essaie de tout bouffer ! J'adore te regarder comme ça.

C'est vrai que ça m'excite terriblement de la voir se débattre avec mes éjaculations un peu trop consistantes. Enfin, là, ce n'est plus du domaine du "un peu". La chose dure plusieurs secondes, jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau forcée à recracher ma bite qui termine hors de ses lèvres.
Mais je me reprends rapidement et me mets à frotter son beau visage pour le souiller au fur et à mesure que le liquide blanchâtre, dense... voir gélatineux quitte mon gland. Ses joues, son nez, son front. Tout y passe alors que je grogne de plaisir en lui confirmant oralement la chose. Jusqu'à ce que le robinet se referme.

Je continue de la filmer encore un peu, le visage dans un sale état par ma faute pour retirer la couverture qui a été maculée de sperme et je m'allonge sur le dos cette fois. La bite tendue, gonflée, déterminée à poursuivre la soirée. Encore un peu maculée de sperme, mais c'est qu'un détail. Son portable dans les mains pour l'enregistrer si nécessaire.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 32 mercredi 03 mars 2021, 11:45:54

L’explosion tant attendue, mais presqu’aussi redoutée arrive, et est à la hauteur des impatiences. Kara se retrouve rapidement submergée par la quantité qui coule dans sa gorge, l’étouffe en l’empêchant de respirer. Elle avait déjà été largement asphyxiée avant par le traitement intense administré à ses bourses, et avait eu peine à retrouver son souffle. C’est qu’il y était allé fort en maltraitant ses seins, et il savait à quel point elle adorait cela… se concentrer sur son plaisir et ses succions avaient été vraiment compliqué, son cerveau avait été incapable de correctement fonctionner, il avait vrillé. D’autant en l’entendant couiner et causer pendant qu’il gémissait… Il savait comme ça la rendait dingue.

Elle suffoque un peu, tousse, serre les lèvres et son regard brille à le voir, lui, qui affiche ce visage particulier qu’il arbore lorsqu’il vient de jouir, emplissant Kara d’un sentiment de puissance malgré la posture clairement soumise qu’elle a actuellement. Les yeux d’ambre de Souta brillent bizarrement quand il est ainsi, elle croit même y lire de l’attachement… C’est mignon. Le contraste est flagrant entre ce qu’elle ressent et la quantité de liquide visqueux qui coule sur son menton et lui donne des spasmes chaotiques pour espérer respirer.

Dès qu’il semble avoir tout déversé, docile, l’œil pétillant comme si elle venait d’oublier ses craintes précédentes, Kara avale, petit à petit, comme il le lui a demandé, mais une bonne quantité goutte mollement, ça l’épuise, elle soupire en voyant Souta s’éloigner… Comment fait-il pour toujours être aussi énergique, lui ? Il n’est jamais fatigué… Kara l’admire une minute, le laissant allongé sur le dos, le sexe encore bien dressé et ne peut s’empêcher de sourire légèrement. C’est sans doute légèrement ridicule vu l’état lamentable de son visage, mais elle ne peut pas y songer, trop attirée par son corps offert.

A quatre pattes, elle s’avance comme un fauve, se marre toute seule de son attitude, et sans même qu’il ait besoin de dire quoi que ce soit, bonne élève, vient lécher et nettoyer cette tige bien tendue qui rougit à son contact. Il a suffisamment insisté les fois précédentes, il aime ça. Ses yeux remontent jusqu’au visage de Souta, ancrant son regard clair dans le sien, repensant clairement à ce qu’il a soufflé, avant. Il a dit qu’elle le rendait fou, et ça, ça a gonflé son orgueil, boosté la confiance en elle, rassuré ses doutes… Quelques mots, un effet bœuf.

« Presque propre… » Souffle Kara en se léchant les babines et reprenant son ascension, chopant au passage un coin de couverture pour s’essuyer sommairement le visage, sans aucune considération pour ses draps… Il a bien trop réussi à la convaincre que ça allait, qu’elle n’avait pas à s’en faire, qu’il était bien, là… Et la jeune femme glisse ses cuisses de chaque côté de ses hanches, les fesses encore hautes, mais sentant malgré tout le membre dur chatouiller son entre-jambe alors qu’elle n’a même pas encore entamé une descente. Ce sont pourtant ses lèvres à lui qui l’attirent, elle penche le buste pour l’embrasser, elle en a besoin. Il sait qu’elle en a besoin. Il faut qu’elle efface totalement ses désagréables pensées.

« Je vais te rendre encore plus dingue, mon petit Souta. »

Tout en continuant de lui rouler de belles pelles, mémorables, affamées, ses mains viennent serrer ses poignets et les ramener au-dessus de sa tête avec fermeté. De toute façon, vu la différence de force physique, Kara serait incapable de lui imposer quelque chose qu’il n’aurait pas désiré également. Mais cette fois, elle est sur son terrain à elle. Sa bouche devient plus insistante sur ses lèvres, le mordille, tire sa lèvre inférieure, la jeune femme soupire en amorçant lentement un mouvement de bassin.

Tout ceci l’excite, la fait se dandiner, suffisamment pour baisser les reins, qu’il constate à quel point ses cuisses luisent et comme son gland glisse bien sur sa peau trempée. Doucement, sans brusquer plus que nécessaire, la pression de son bassin force cette queue veinée à écarter ses lèvres intimes, à la pénétrer à peine. Et elle remonte en ricanant contre sa bouche, réitère l’opération plusieurs fois, semblant souffrir autant que s’amuser de la frustration, serrant fort les poignets dans ses petits doigts qui blanchissent sous l’effort.

« C’est dur de se retenir… » Elle croque sa mâchoire et ses fesses redescendent à nouveau, plus franchement, comme pour illustrer ses propos. Trop dur, oui… Kara n’est pas patiente, ils le savent tous les deux… Alors qu’elle laisse passer l’embout rougeoyant en elle et lâche un long gémissement de salut. « Hmmmmmmmmmm… » Pas question de le laisser s’en aller cette fois, elle continue à s’asseoir davantage, centimètre par centimètre. Malgré l’entraînement régulier, elle se sent incapable de s’empaler totalement sur son pieux énorme, mais la sensation est intense, déjà, suffisante pour la faire bouger, onduler longuement.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 33 mercredi 03 mars 2021, 12:40:26

J'ignore complètement si c'est pour me tenter davantage ou juste parce qu'elle commence à aimer ça et y prendre ses habitudes. Ceci étant, le fait qu'elle vienne me lécher un peu la queue pour finir en gros plan sur ce bout de vidéo est terriblement excitant. Une prise de vue qui est cependant rapidement balayée par sa soif de se faire prendre. A croire que sa bouche n'est la seule à avoir faim et soif ce soir.

- Ouais, pour être dur, ça l'est...

Jouer sur les mots dans ce genre de situation m'a toujours amusé. Les sous-entendus, les double sens. L'envie doit être encore plus forte chez elle que chez moi vu le mal qu'elle a pour venir s'empaler sur ma queue qui n'attend que ça depuis qu'elle s'est approchée. Ses doigts n'exercent pas une grande force pour me restreindre les poignées à cause de son excitation et de ce qui se passe dans une zone qui est complètement bloquée niveau visuel. Du coup je pourrais me libérer et m'enfoncer en elle en forçant le passage. Et pourtant je n'en fais rien. L'envie de la pousser à s'y embrocher toute seule est clairement plus amusante.

C'est elle qui voulait se faire baiser en brisant les règles, c'est aussi elle qui a insisté pour qu'on aille enfin chez elle. Alors qu'elle au bout des choses en prenant la situation à son compte. Quand son long gémissement est libéré, j'en rajoute une couche. Surtout que le portable enregistre toujours. L'audio uniquement, certes. Sauf que ça compte.

- Continue, je veux t'entendre gémir en t'enfilant ma queue comme la dernière des salopes.

Sans trop d'effort, j'arrive à libérer mes poignets de son emprise. Et pour aller dans le sens de mes envies je ne fais rien pour l'aider dans son entreprise. Non, je me contente de lui pousser un peu les épaules vers le haut et me dégager la vue et l'espace pour me saisir de ses gros seins. Ses mamelles qui tombent semblent encore plus énormes à quelques centimètres de distance.
Je les empoigne de toutes mes forces pour venir les tirer vers ma bouche qui se met à en aspirer un tellement fort que le son rivaliserait presque avec selon de son gémissement.

J'aspire, de toutes mes forces, écrasant son sein de mes doigts au passage. Elle a clairement un côté masochiste au niveau de sa poitrine. Ce qui va de paire avec mon amour des grosses poitrines quand il s'agit de jouer un peu dans certaines situations. Un fait que je ne lui ai pas caché.
Le mamelon maltraité est libéré dans un son humide et pervers pour reprendre la parole alors que sa chatte me comprime toujours aussi fort.

- Fais pas attention à moi.

Je repars de plus belle pour m'attaquer à l'autre sein que je presse encore plus fort pour en faire ressortir la pointe dure et tendue. Qui va rapidement subir le même traitement. Plus bruyant cette fois en terme de son. Les dents, la langue, les succions. Tout y passe. Puis je le recrache vulgairement pour rajouter encore.

- On sait tous les deux que tu peux aller plus loin. Où est passée la chiennasse d'hier qui me suppliait de la baiser contre un mur dégueulasse d'une ruelle ?

L'envie de relever les hanches d'un coup sec pour la casser en deux est si vivace en moi que j'ai un mal fou à me retenir. Car d'un autre côté je sais que la pousser à aller plus loin d'elle-même pourra être aussi excitant que libérateur pour la suite. Mes mains tremblent tellement à l'idée de la prendre comme une brute par tous les trous que ma seule façon que j'ai trouvé de me calmer était de les occuper autrement. Ses seins étaient les seules cibles que je voyais qui pourraient me permettre de détourner mon attention sans la pousser à faire plus de force.
Si j'avais opter pour ses épaules, ses hanches ou son cul, ça aurait très vite mal tourné.

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 34 mercredi 03 mars 2021, 14:42:06

 Le traitement administré à sa poitrine augmente sensiblement ses mouvements, la faisant trembler immédiatement, frémir, transpirer d’un coup. Tout est toujours meilleur lorsque Souta s’occupe de ses tétons, les sons augmentent, la chaleur la submerge délicieusement… C’est plus fort qu’elle, Kara implose à ce contact, et ne se fait pas prier pour élever la voix. Quel bonheur d’être chez soi, de n’avoir à penser à rien d’autre. Et d’avoir toute la nuit pour eux. C’est qu’ils en avaient besoin, tous les deux, comme si cela faisait des mois qu’ils ne s’étaient pas vu… Alors que, globalement, ils restaient en contact tous les jours. Attention, c’était de l’addiction…

Et Souta de la traiter encore de salope, de chienne. Kara ricane, glousse à ses insultes, elle sait qu’il adore l’appeler comme cela. C’est sa façon à lui de tenter de la motiver, et de garder le contrôle sur elle, lui rappeler qui était le patron ? Mais cette fois, la jeune femme lui rit au nez, magnifiée par la posture droite qui le surplombe, ses cheveux courts bougent au rythme de ses reins se déhanchant. D’une main, elle empoigne ses cheveux, remontant depuis sa nuque jusqu’à son crâne pour l’obliger à rester la tête sur l’oreiller.

« Tout doux, Trésor, tout doux. »

Il ne peut pas s’en empêcher, c’est plus fort que lui, il faut qu’il fanfaronne. Souta est incapable de la laisser faire, et Kara s’en amuse en levant un sourcil à son attention, se mordillant la lèvre au rythme de ses doigts qui pincent l’extrémité de ses seins. Et ses vocalises s’intensifient avec ce mouvement, galvanisée par ses mots, ses encouragements à s’affaisser encore davantage pour accentuer la pénétration. Ses cuisses sont en feu, et la sueur perle suffisamment à son front pour coller sa frange mal taillée à sa peau.

En y mettant plus de poids, Kara lâche un juron, les centimètres passent moins facilement, elle balance la tête en arrière en pliant le cou en deux pour contrôler au mieux ses mouvements, la pression qu’elle opère sur la masse de chair gonflée qui lui écarte les entrailles. Et les oreilles pleines des gémissements de Souta, elle tire ses cheveux dès qu’il lui fait mal, dès que le pincement est abusif, ce qui devient de plus en plus fréquent. Elle agrippe ses mèches à pleine main, ne lésine pas sur la force, mais doute pouvoir le meurtrir suffisamment pour lui faire vraiment mal. Il est résistant, le bougre. Bien plus qu’elle. Et il continue de fanfaronner quoi qu’il arrive.

« Ferme-là… » Gronde-t-elle, en réflexe, avant de pousser un piaulement strident en s’enfonçant davantage, et revenir sur ses mots. « Non ! Encore. Cause-moi encore. J’aime quand tu discutes… Aïe ! »

Elle redresse la tête pour lui lancer un regard presque haineux, alors qu’il vient de la pincer vivement, sans doute en représailles. « Putain… » Sa main dans ses cheveux le lâche et vient serpenter dans son cou, pour se saisir de sa mâchoire et presser. En se penchant, relevant fatalement les fesses, Kara pose sa bouche sur celle, en cœur, de son amant.

« Je fais ce que je veux de toi, Souta. Chhh, tais-toi, dis pas le contraire. Laisse-moi y croire. »

De nouveaux baisers pleuvent sur ses lèvres, bruyants, en aspirant sa lèvre violement pour la recracher dans un bruit vulgaire qui les excitent largement tous les deux. Ses doigts passent encore sur sa pomme d’adam, pour se ficher plus bas et empoigner son cou dans un geste possessif d’intimidation. Si, elle peut l’être, ne dis pas le contraire. Laisse-la y croire.

En se redressant, bien droite, le dos cambré au maximum, le buste fier, la jeune femme adresse à Souta un délicieux sourire, conquérant et taquin. Une seconde, elle acquiesce bizarrement, en hochant la tête doucement. Et sans crier gare, enfonce d’un coup une bonne partie supplémentaire de cette queue épaisse en elle. Son gémissement ressemble plus à un cri qu’à un feulement rauque, et bientôt, son bassin s’active, ondulant frénétiquement, électrisée par la sensation d’empalement puissante qui l’envahit.

Et puisqu’il semble vouloir se rendre utile, sa main libre se saisit d’une de ses mains pour diriger ses doigts entre ses cuisses, l’incitant à titiller un autre bouton qui lui plaira assurément. Un clin d’œil complice accompagne même son mouvement…



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 35 jeudi 04 mars 2021, 08:30:13

Comme toujours, c'est avec un air amusé que je la laisse prendre les choses en main. Littéralement. J'obéis bien sagement en la laissant tenter de me saisir le cou tout en gardant le silence. Mon regard est rivé dans le sien ou sur ses seins qui s'éloignent de moi. Un long soupir accompagne alors le sien quand elle vient se prendre les trois quarts de ma queue tendue et gonflée au fond de sa petite chatte. Mon gland semble même déjà cogner contre le fond de son trou si étroit et humide qui me masse aussi fort que délicatement chaque centimètre et veine de mon membre insatiable lorsqu'on se retrouve ensemble.

Une main vient se poser sur sa cuisse couverte de chair de poule. Brûlante, couverte de sueur déjà alors que l'on n'a encore rien fait. Pour moi du moins. Car je compte bien lui en faire voir de toutes les couleurs ce soir. Que mon odeur imprègne sa chambre de manière permanente même après un ménage complet. Que le simple fait de s'allonger sur ses draps lui rappelle le traitement brutal et sans fin que je lui ai fait subir lors de ma première visite chez elle.

Puis sa main vient attraper la mienne qui était libre pour l'amener vers elle. Je me laisse faire, encore. Je vais même jusqu'à l'ouvrir entièrement pour déposer mes doigts sur son pubis alors que mon pouce entre en contact avec son clito durcit par les sensations répétées. Comme un bon soldat je me mets à la frotter et le caresser en fonction de ses réactions pour ne pas y aller trop fort ou trop vite étant donné que madame veut contrôler le rythme.

Par contre, quand ses hanches se mettent à remuer, j'attends qu'elle remonte et redescende pour passer à l'action et appuyer ma prise plus fermement sur sa cuisse afin de faire remonter mes hanches et l'aider dans la pénétration suivante. Ricanant et soupirant de concert alors que la pression exercée par ses parois intimes me donne l'impression de me faire torturer de l'intérieur.

Doucement mais sûrement, ma bite creuse, écarte et déforme tout sur son passage pour modeler la chatte de Kara comme elle le souhaite pour s'y sentir plus à l'aise.

Le rythme légèrement installé, ma main quitte sa cuisse après l'avoir caressée un petit moment pour se déposer sur sa hanche. Je prends tout mon temps pour caresser sa peau de façon délicate. Vient ensuite son ventre, son nombril. La montée se poursuit pour revenir sur sa poitrine.
La délicatesse cède alors sa place de façon inattendue à la douleur car j'attrape ma cible et l'empoigne avec toute ma poigne en lui offrant mon plus grand sourire. De manière courte, le temps d'une seconde ou deux. Pour laisser la place à une palpation plus douce. Et je recommence à le presser fort. Plus encore que la précédente. Tout en ne négligeant pas ma poussée en elle ou la stimulation de son clitoris.

J'aide comme je peux, c'est tout naturel.

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 36 samedi 06 mars 2021, 15:03:03

La chaleur explose presqu’immédiatement dans tout son corps, se diffusant comme une réaction en chaîne, puissante, qui bouleverse tout sur son passage. Ses reins s’enflamment, ses cuisses tremblent, et la brûlure monte dans son ventre, rencontre la fièvre que Souta fait naître sur sa poitrine. Il semble à Kara que chacun de ses membres est parcouru de frissons, des fourmis dans le bout des doigts la rend plus gauche, un moment, alors qu’elle a glissé sa main dans ses cheveux.

Les attentions conjointes administrées par cet amant qui commence à parfaitement savoir ce qu’elle aime la transportent suffisamment pour qu’elle n’ait plus aucune retenue de ses gémissements. Dans le parfait contrôle du rythme qu’elle impose à l’ondulation de son bassin, tantôt lascive et douce, tantôt plus rude et franche, Kara maîtrise au moins les pénétrations de l’épais membre en elle, à défaut de pouvoir garder le contrôle des caresses devenues tortures. C’est un parfait chaos paradoxal qui l’amène lentement mais sûrement vers une strate supplémentaire de plaisir.

Sa peau luit depuis un moment de cette sueur qui roule sur le grain de son épiderme, jusqu’aux doigts qui s’acharnent sur ses seins, le seuil entre le plaisir qui la brûle et la douleur se fait de plus en plus ténu, jusqu’à ce qu’elle gronde de manière indicible, ne sachant vraisemblablement plus choisir entre les deux, les deux se mêlent, s’annule dangereusement, se décuple alors qu’elle lâche un juron.

« Oh, bordel. Continue… »

A la légère souffrance de sa poitrine, répond la chaleur bouillante entre ses jambes, dans un équilibre qui ne tarde pas à la faire exploser véritablement. De là où il se trouve, Souta ne peut ignorer les spasmes et les tremblements massifs, ni ne pas ressentir les contractions autour de sa tige gonflée et compressée à l’extrême. Le visage de Kara se crispe pour finalement serrer les dents si fort qu’elle en a des crampes, et expulse un puissant hurlement de plaisir en s’arcboutant.

Obligée de s’accrocher à lui pour ne pas perdre l’équilibre et se gaufrer comme une idiote, sa face affiche la béatitude classique quelques secondes après avoir réussi à ne pas retomber mollement sur lui, comme une loque sans énergie. En ouvrant les paupières, la jeune femme se penche cependant pour venir à la rencontre de ses lèvres, toujours affectueuse et douce après l’extase, et le crible de baisers passionnés.

« Rah Souta… Souta… Souta… »

Son rire se brise contre la bouche de son amant à qui elle laisse peu d’espace pour parler, l’assaillant toujours, prenant encore quelques minutes pour se remettre un peu.

Lorsque ses jambes semblent pouvoir la supporter, taquine, Kara se redresse en glissant son index sur les lèvres de son partenaire, dessinant les contours de sa bouche en plissant les yeux, ricanant, même, lorsqu’il veut le lui gober, et qu’elle esquive.

« Attends. »

Elle se contorsionne pour se relever, chancelante, et a aussitôt l’impression que c’était une très mauvaise idée. La chambre tourne autour d’elle, comme si elle était ivre, s’en amuse, souffle une seconde. « Oh merde, je crois que jsuis saoûle… »

Quand les murs cessent leur danse devant ses yeux, encore maladroite, Kara se penche en avant en se pliant en deux. Son corps à l’équerre, ses seins pendant frottent contre les draps éparpillés par leurs précédents ébats. D’un geste de menton elle invective Souta encore allongé.

« Hé bah alors, j’vais devoir attendre longtemps ? Qu’est-ce que t’attends pour venir me prendre ? »

Son regard se veut plein de défi, mais elle glousse comme sous l’emprise de l’alcool. Mais après tout, tout ce plaisir qu’elle a prit en pleine face, c’est une drogue assez puissante… La jeune femme dandine son arrière-train pour l’inciter à se bouger, mais connaissant Souta, il ne va pas se faire prier. Encore que…

« A moins que tu sois trop peu endurant pour remettre ça ? »



Souta et Janus

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 37 dimanche 07 mars 2021, 13:50:43

A combien est-ce qu'on est d'orgasmes pour elle ? Trois ? Non, quatre je crois. Au minimum en tout cas. La pression qu'elle exerce sur ma bite aurait pu me faire céder si j'étais aussi excité qu'elle avant qu'elle cède à la tentation en se laissant aller. Je la regarde alors faire sans dire un mot et en ne réagissant qu'à ses petites manies et autres gestes aguicheurs alors qu'elle ne semble pas en avoir eu assez. La chose qui l'empêche de poursuivre semble être cette jouissance qui a sapée ses dernières forces. La forçant à changer son fusil d'épaule pour continuer à en profiter.

- Ah ouais ? Je dirais surtout que ton cerveau a du mal à suivre.

Chose qui est étrange car des orgasmes elle a déjà eu avant et celui-là n'avait rien de particulièrement spectaculaire. Reste la théorie de la succession ou du fait de s'être lâchée après avoir retenu son envie durant ces quelques jours. A croire que la petite Kara n'est pas faite pour l'abstinence. Heureusement pour elle que je suis là vu qu'en terme d'envie je suis pas le dernier à me faire désirer.

Sa remarque ne trouve aucune réponse. Pas orale du moins. A l'aide de mon coude gauche je prends appuie sur le lit afin de me redresser et de passer derrière elle. Un genou vient se poser sur le drap alors que le pied de ma seconde jambe vient se mettre à plat de l'autre côté pour m'offrir une position légèrement surélevée à la sienne.

Une claque vient alors résonner à travers toute la pièce quand ma main droite entre en contact avec son petit cul qu'elle remuait à l'instant sous ses yeux en me demandant ce que j'attendais pour m'y mettre. Ma main reste alors collée sur sa fesse pendant que je guide mon gland au contact de ses lèvres intimes pour me glisser entre elles avec une facilité déconcertante. La laisser s'amuser dessus semble avoir fait des miracles vu que le passage est bien plus ouvert que les fois précédentes.

Le gland entré lentement, je libère un énorme soupire en poussant d'un coup sec pour la prendre en profondeur et venir faire cogner le bout de mon chibre au fond de son trou. Laissant mes couilles se soulever par ce mouvement brut et sec pour venir s’aplatir sur son clitoris dans un mouvement de pendule.

Mon visage se baisse alors pour se rapprocher du sien et lui glisser tout doucement.

- J'ai assez d'endurance pour te baiser toute la nuit. Et après m'avoir chauffé autant j'te laisserai pas dormir avant de te remplir et te couvrir de sperme.

La main posée sur son cul remonte légèrement pour m'offrir un meilleur appui alors que la seconde se positionne sur ses cheveux et appuie fort sur sa tête pendant que je me redresse tout en relevant les hanches. Quand il ne reste plus qu'un tiers de ma bite en elle... BAM ! Je la plante littéralement avec une violence et une énergie non retenue. Comme si je cherchais à lui faire mal dans un coin de ma tête.

Il ne me faudra pas plus de dix secondes pour me mettre à la pilonner comme une brute sur son lit en me tenant légèrement au-dessus d'elle et en effectuant des mouvements en diagonale avec les hanches qui y vont de bon cœur alors que je rigole tout en gémissant de plaisir. Mon corps tout entier se contracte pour la maintenir bloquée en lui empêchant toute possibilité de se défaire de ma poigne pendant que je la baise comme un possédé.

- Alors... J'ai assez... d'énergie pour toi... là ?

Entre deux coups de bite je m'arrête un bref instant pour revenir lui claquer le cul avant de repartir de plus belle. Ma respiration est si lourde que chaque halètement semble raisonner à travers la chambre de Kara. Pour un premier passage, ce dernier risque de devenir assez mémorable pour nous deux.

Au bout d'environ six minutes je fais glisser mes mains pour les déposer sur chacune de ses épaules en lui posant une dernière question qui précédera l'assaut final sur son petit corps.

- J'espère que ton lit est solide. Parce que je t'en paitrais pas un nouveau si il lâche.

Mes mains pressent légèrement sur ses épaules alors que je me prépare à lancer la dernière longue salves de coups de rein et de bite. Je reprends ma respiration durant quelques secondes en l'avertissant.

- Prépare-toi à te faire casser en deux comme la chienne que t'es, Kara.

Son prénom est prononcé en même temps que le premier coup de butoir dans sa chatte serrée et trempée qui se fait écarteler sans aucune pitié. Mon gland vient cogner de toutes ses forces au fond de son corps en la poussant presque en avant si je ne la retenais pas avec mes mains. Le second coup et les suivants s'enchainent à une vitesse folle et une sauvagerie sans limite. Chaque mouvement se veut accompagné d'un soupir, d'un gémissement ou d'une respiration lourde et pénible.
Pour couronner le tout je me retiens aussi longtemps que possible pour entendre sa voix brisée autant que je le peux. La voir à ma merci me procure une sensation de puissance et d'excitation qui me pousse à aller encore plus loin, à en faire davantage.

Mon corps brûlant pourrait quasiment libérer de la vapeur tant il fait chaud ici. L'odeur de sa peau et son shampoing dans mes narines finit par rapidement ne plus me servir de distraction pour occuper mon esprit. Me branler frénétiquement avec l'intérieur de son corps va m'achever au bout d'une dizaine de minutes. Pas d'avertissement ou de remarque cette fois. Je laisse ma queue gonfler et déverser le contenu de mes testicules en elle jusqu'à le sentir déborder et dégouliner sur son drap.

Sans la laisser respirer, je lui saisis les poignets et la tire avec moi en arrière pour me retrouver sur le dos et elle au-dessus de moi. Mes hanches se soulèvent en poussant ses fesses en l'air pour faire claquer mon pubis dessus quand je repars la pénétrer dans un mouvement verticale cette fois. Un étrange son humide se fait entendre quand le surplus de sperme gicle d'entre ses cuisses pour asperger le drap déjà bien souillé par nos échanges.

Cette fois encore, chaque coup de rein se veut puissant et brutal pour la faire réagir.

- Allez ! Gueule ! Hurle au bout de ma grosse queue, salope ! Dis à tout ton bâtiment que t'adores ça.

Sans image, le portable doit continuer d'enregistrer le son. Si elle accepte d'obéir, ça lui fera sûrement un bon et drôle souvenir quand elle ira revoir la vidéo.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 38 mercredi 10 mars 2021, 14:58:43

Regrettait-elle ses paroles ?

Non ?

Mais il fallait avouer que, contrairement à Souta, Kara était loin d’être endurante comme un athlète et elle avait sans doute un peu trop fanfaronner. Et en même temps… Il fallait avouer qu’ils se chauffaient depuis tellement de temps sans avoir eu juste le temps de se retrouver vraiment seuls pour assouvir leurs pulsions les plus sauvages, que la perspective de toute une soirée avec lui lui avait peut-être voilé la face… Les yeux plus gros que le ventre, comme on dit…

Les coups de reins étaient si brutaux qu’elle tressautait comme une poupée de chiffon, incapable pourtant de s’en trouver dérangée, bien qu’il cogne sèchement et sans relâche. Il été idiot de ne pas s’avouer vaincue dans de telles conditions, mais Kara avait une sorte d’orgueil mal placé, que Souta mettait en exergue souvent, sans doute parce qu’elle détestait l’idée qu’il gagne à chaque fois.

Cependant, mentir était également inutile, il pouvait voir son petit corps se tordre sous le plaisir et ses assauts bestiaux, se contractant, à mesure qu’elle enchaînait les vocalises de plus en plus gutturales, les gémissements devenant de sourds « ohhhh… Soutaaaaaaaaaa-ah...» à chaque fois qu’elle encaissait un nouveau coup de boutoir.

« M… Mon lit… » Elle s’interrompt pour supporter en se mordant la lèvre. Mais alors que le calme s’impose une seconde avant la tempête de coups de reins, le simple fait de l’entendre prononcer son prénom la rend dingue, et elle ronronne juste à peine, comme attendrie… ça ne dure pas, elle se met à hurler.

Sans avoir le temps de reprendre son souffle, les poumons en feu, les jambes tremblantes, Souta la soulève facilement, si facilement que cela en devient déconcertant, bandant ses muscles en sueur et lui laissant juste une sensation étrange d’élévation. Un instant presque calme après la déferlante d’assauts, et qui n’augure que la reprise de ses attaques impulsives. Les sons obscènes qui envahissent la pièce la rendent dingue, autant que cette voix rauque qui lui grogne dessus, l’invective, lui ordonne de gueuler.

Totalement impuissante en sautant et en retombant pour s’empaler sur son épais membre veiné, Kara ne couine plus, incapable de baisser la voix désormais, trop submergée par la tension et l’intensité de leurs ébats. Et assurément les murs pouvaient trembler sous ses cris de plaisir, hurlant son prénom à qui voulait l’entendre, grondant à quel point elle était sa petite salope, à lui, juste à lui, au point t’entendre soudainement de violents coups au sol…

« Oh merde… » Kara sursauta, pas à cause d’un coup violent cette fois, tentant de se redresser, sortant une seconde de leur communion bestiale. « Attends, attends… »

Les coups se répétèrent, plus vifs. « La… La voisine. » Assurément, elle devait frapper avec le manche de son balai au plafond, et une petite voix grognon, étouffée, pestait légèrement.

- Pas bientôt fini ce bazar, ça suffit les lapins !

Kara éclata de rire, avant de se dégager de son amant, en se tortillant, relevant les hanches pour évacuer toute la longueur de cette tige énorme, dans un bruit de succion abjecte, et faisant s’écouler sur ses cuisses et ailleurs, les restes abondant du passage de Souta bien profondément en elle. Toujours hilare, l’office-girl se retourna et vint se lover contre la peau en sueur du jeune homme.

« J’vais me faire défoncer par la copropriété, à cause de toi, tu sais. » Mais ses yeux pétillaient, en gloussant comme une adolescente prise en flagrant délit avec un garçon. « T’es chiant aussi, à me faire gueuler… » Un baiser claque sur sa joue, avant qu’elle se semble se souvenir de l’existence du portable… D’un bond, qu’elle regrette immédiatement en grimaçant de douleur tant ses muscles attestent des coups subis, Kara se contorsionne pour le récupérer et éteindre tout enregistrement.

En revenant contre Souta, toujours aussi suffocante, sa voix éraillée paraît moins sûre.

« Tu… T’aimerais qu’on revoie les images… genre… plus tard. Ensemble ? » Elle ignorait si cela pourrait l’exciter, elle, ou non. Se voir ou s’entendre était souvent désagréable, à vrai dire, elle était trop complexée pour apprécier véritablement. Mais Souta. Cela devait lui plaire, non ?



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 39 lundi 22 mars 2021, 08:06:28

Tout se passait merveilleusement bien... jusqu'à ce qu'une vieille coincée du cul pousse Kara à tout arrêter. Je peux sentir qu'elle a autant envie que moi de poursuivre pendant qu'elle se retire vu avec qu'elle force elle m'aspire tout en se désengageant. Cette sensation si particulière me retire même un dernier et long soupir avant de la voir venir se coller tout contre moi avec son corps en sueur et sa respiration haletante qui fait soulever sa poitrine de façon si caractéristique. La voir dans cet état me plaît toujours autant. Surtout qu'elle m'a coupé en pleine ascension là.

- J'y peux rien, j'aime entendre ta petite voix quand tu prends ton pied.

Alors qu'elle part se saisir du portable pour revenir se coller contre moi, je profite de l'occasion pour passer mon bras derrière elle et la faire se presser un peu plus sur mon corps. Des orgasmes elle en a eu à la pelle aujourd'hui. Et elle m'abandonne comme ça avec un piquet entre les jambes parce que sa voisine est une emmerdeuse. Et parler de visionner les vidéos et photos qu'on a fait ce soir n'arrange rien à la situation.
Ce qui est sûr c'est que ma petite employée de bureau se lâche de plus en plus au fil du temps. A se demander jusqu'où elle ira.

Mon bras se pose sous son épaule afin de pousser son corps et la faire s'allonger sur moi. Sa poitrine vient rapidement s'écraser sur mon torse musculeux et en sueur. Nos visages l'un en face de l'autre. Ma main vient alors se poser à l'arrière de son crâne pour faire descendre ce dernier de quelques centimètres pour lui offrir un nouveau baiser baveux en guise de réponse. La langue sortie avant de lui offrir mes lèvres.

- Mnnnnn... Aaaaaahn !

Ma queue, tendue et pulsante car toujours demandeuse d'attention pour être libérée une dernière fois, se frotte contre son petit minou trempé et dégoulinant ou sur son petit cul en fonction de ses mouvements et ondulations.
Après une longue minutes à jouer avec sa langue et ses lèvres, je m'arrête de l'embrasser. Déjà que j'avais chaud comme pas permis, le fait qu'elle se trouve sur moi n'arrange rien car elle semble aussi être sur le point de prendre feu.

- Ouais, ça pourrait être sympa. Mais là, maintenant...

Une main se pose sur son dos pour le caresser tout doucement. Mes doigts recueillent sa propre sueur au passage pour venir les caresser son petit cul et y loger rapidement deux doigts qui s'enfoncent dans son oeillet en forçant légèrement le passage. Ma paume ne se prive pas pour frotter la peau si délicate de son fessier parfaitement rebondi. Je lui représente alors ma langue dans la foulée tout en faisant glisser davantage mes doigts dans son petit trou pour le travailler. Même si elle s'est arrêtée, je ne compte pas en faire autant. J'ai envie de m'amuser, moi.

Mes deux doigts viennent triturer son orifice pendant de longues minutes alors que les sons de nos bouches remplissent la pièce de façon plus sensuelle et délicate que ses cris de plaisirs qui empêchaient sûrement Martine de regarder son feuilleton du soir.
Sauf que cela avait beau être amusant et excitant, ça ne suffira jamais à me calmer.

- Tu comptes me laisser comme ça sans rien faire ? Car j'ai pas envie de passer la soirée dans cet état. Surtout que c'est de ta faute.

C'est vrai, quoi. Qui a décidé de tout arrêter en plein milieu ? J'ai besoin de me vider, c'est devenu vital tellement je bande dur là.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 40 dimanche 28 mars 2021, 14:25:36

Kara était persuadée que Souta allait trouver cette proposition de revoir les images, réécouter la bande son de leurs ébats, plus tard, assez excitante. Elle s’était même attendue à ce qu’il se moque d’elle, de se montrer gênée à cette idée, une pique sarcastique avec ce petit sourire en coin qu’il avait parfois… Au lieu de cela elle sursauta lorsqu’elle sentit les doigts inquisiteurs venir la fouiller, se mordant la lèvre une seconde, le temps de s’habituer à cette sensation qui la mettait d’abord mal à l’aise, mais faisait naître en elle une chaleur perturbante.

La valse de leurs lèvres, fort heureusement, équilibrait parfaitement les sensations d’envahissement de son postérieur, et créait une ambivalence délicieuse qui faisait revenir assez vite son désir, coupé par la voisine. Mais quelque chose lui trottait dans la tête… Les mots de Souta étaient à nouveau insistants, plaintifs presque. Il y avait quelque chose de flatteur à ce qu’il ne soit jamais rassasié d’elle, de son corps, de ses caresses, de leurs étreintes… Mais il fallait avouer qu’il était en demande, constante, qu’il ne faisait que la réclamer, à tous moments, même lorsqu’elle prenait une pause.

Et pire, il ne faisait que jouer, mais tentait de la culpabiliser, en lui indiquant que c’était sa faute. Sa faute ? Par quel miracle ? Son petit nez se fronça avec malice.

« Ma faute ? Ma faute si t’as un appétit d’ogre ? »

Son rire s’éleva un peu, alors qu’elle s’interrompit pour gémir aux intrusions qu’il opérait toujours. S’il ne c’était pas agit de Souta, cet homme à qui elle s’attachait finalement bien trop au fur et à mesure de leurs rencontres, Kara aurait certainement été bien plus vindicative. Pauvre homme insatisfait qui réclame des attentions… Dans pareils cas, avec un autre, elle aurait clairement ricané avec sarcasme, en lui faisant remarqué que s’il n’était pas content, pas comblé, pas satisfait d’elle, il pouvait bien se prendre en main et déguerpir.

« T’es insatiable, j’y peux rien, moi. »

Nouveau petit rire espiègle, alors qu’elle se cambrait davantage pour profiter d’un angle plus doux de pénétrations. Elle avait du mal à se concentrer sur ce qu’il attendait d’elle dans ces conditions, et c’était ainsi qu’elle se sentait perturbée. Il attendait beaucoup d’elle… Toujours… Et ce n’était jamais assez. A chaque fois c’était ainsi. Il voulait plus, il voulait qu’elle évolue, qu’elle change, qu’elle… ‘se lâche’ encore, tout le temps. Ne pouvait-il pas se contenter de ce qu’elle était, simplement ? S’il avait envie d’une femme plus libérée, moins coincée, il pouvait surement trouver ça dans ses contacts non ? Visiblement il avait des connaissances bien marginales, ou louches même. Ca devait se trouver facilement pour un mec avec sa belle gueule… ?

Lentement, Kara se redresse assez pour relever son dos bien à la verticale, et chasse d’une main la sienne, qui fouillait ses entrailles, avec un petit sourire narquois. Bien que préoccupée, quelque chose la poussait à tout de même revenir s’empaler sur lui. Est-ce qu’elle s’en sentait obligée ? Ce sentiment la chiffonnait, l’angoissa, même, ce qui devait se lire sur son visage. Alors qu’elle s’installait doucement pour faire passer le gland luisant et pulsant en elle, en écartant ses chairs, Kara fronça clairement les sourcils, avant de se raviser, et se relever totalement. La trique de Souta était tellement dure qu’elle ne bougea pas d’un pouce lorsqu’elle se retira, mais la jeune femme se releva jusqu’à descendre du lit, croisant les bras sur la poitrine.

« Bon. Attends. Y a un truc qui va pas. »

C’était compliqué à expliquer, et quelque part, Souta lui faisait un peu peur… Il était impressionnant, il fallait l’avouer. Mais cela lui pesait trop.

« J’en ai marre d’avoir l’impression d’être pas assez bien pour toi. Si tu veux une gonzesse plus expérimentée ou j’en sais rien, vois d’autres filles. Et puis on fait rien d’autre, jamais, que baiser. Je… C’est pas que j’aime pas, juste… Je suis pas comme toutes ces nanas de porno, Souta, et si c’est ce dont tu as envie hé bas. Euh. Bah… J’suis pas la bonne personne. Voilà. »

Elle avait les joues rouges d’avoir osé dire ce qu’elle avait sur le cœur, et son petit corps tremblait. Pourtant, elle n’était pas assez affirmée pour réussir à le regarder dans les yeux quand elle parlait, alors qu’elle avait tenté de soutenir son regard, au début. Tant pis, c’était dit.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 41 lundi 29 mars 2021, 08:08:04

La situation devient assez étrange quand Kara décide de continuer de façon hésitante. Son regard ne va pas de pair avec ses gestes alors qu'elle va semble vouloir repartir pour un tour en revenant me chevaucher lentement et avec soin. Ouais, j'avais raison, elle semble pas si motivée que ça à l'idée de reprendre où on s'est arrêté. Pourtant c'est elle qui en voulait juste avant que sa voisine vienne nous emmerder.

- Ah bon ? Ca a pas l'air pourtant.

Merde, on parle sans doute pas de la même chose. Parce qu'on a beau regarder la chose sous tous les angles, je "marche" très bien là. C'est ensuite que les explications deviennent plus sérieuses et il est clair qu'on n'était pas sur la même longueur d'onde pour ma réponse à l'instant.

Je reste à la regarder tout en l'écoutant alors qu'elle explique qu'elle se sent mal à l'aise après tout ce qu'on a fait ces derniers jours. Pour être franc j'ai du mal à la cerner vu que c'est elle qui m'a lancé ces derniers jours en insistant pour qu'on laisse de côté notre petit jeu en passant directement à l'action. Idem pour le jeu en lui-même ou le passage à son bureau qui n'a pas semblé la gêner une seconde.
Soit elle ne sait pas ce qu'elle veut, soit elle n'assume pas.

Allongé sur le lit je ne réagis pas et la fixe pendant plusieurs secondes alors qu'un long et gênant silence commence à s'installer. Je pourrais reprendre mes fringues et me tirer en m'excusant. Mais je doute que ce soit ce qu'elle recherche. Rassurer les autres ça a jamais été mon fort pour la simple et bonne raison que je ne sais pas comment on est censé faire. Les exemples dans ce genre de cas, j'en ai aucun.

Toujours à la regarder, je baisse les yeux en soupirant légèrement et me redresse pour colle mon dos à la tête de son lit avec l'aide d'un coussin en bas des reins.

- Ouais, t'as raison. Si je voulais une pute qui obéit au doigt et à l'oeil j'serais aller voir ailleurs. Et pourtant je suis là. Parce que je trouve qu'on s'amuse bien. Enfin, je croyais.

La situation est quand même super étrange étant donné qu'on se lance dans un échange sérieux et que je continue à bander comme un âne sans pouvoir rien faire à ce niveau.

- T'es très bien comme t'es. Puis j't'ai jamais forcée à rien. SI tu veux pas faire un truc... Ou, non, si tu veux faire un truc qu'à rien à voir avec tout ça, suffit de demander. Surtout que de ce que je me souviens, t'avais du répondu la première fois où on s'est croisé.

Mes épaules se relâchent tandis que je continue de regarder dans sa direction pour ajouter sur un ton toujours aussi calme et légèrement sérieux.

- On peut faire ce que tu veux d'autre, tu sais. On a essayé les jeux vidéos l'autre soir. Mais ça peut aussi être un bowling, un film, de l'escalade, un restau... Et sans cul. J'aime m'amuser sans réfléchir, c'est tout. Je pars du principe que si on veut quelque chose, faut le faire comprendre à l'autre. Alors si t'as une idée ou une envie, tu sais quoi faire.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 42 jeudi 01 avril 2021, 22:33:01

Kara s’était attendue à ce qu’il se barre… Qu’il lui dise qu’elle avait finalement raison, qu’elle n’était pas vraiment ce qu’il attendait d’une femme, et qu’il allait se rhabiller, rapidement, sans même la regarder, ou avec un sourire moqueur aux lèvres. Elle avait même imaginé qu’il s’énerve, l’insulte ou lui dise à quel point elle était ridicule. Evidemment, penser tout cela ne l’aidait pas à se rassurer, à reprendre pied, à ne pas avoir l’air d’être totalement nulle face à lui…

Et les premiers mots qu’il prononça lui glacèrent le sang. Elle… elle avait raison ? Ses yeux se relevèrent d’un coup, implorants presque, dans le sien. L’idée de le décevoir lui donnait un goût ferreux dans la bouche, et contractait son cou, en raidissant sa nuque. Kara déglutit lentement, la gorge serrée.

« Mais si… on s’amuse, mais… »

Rien ne lui venait naturellement. La jeune femme ignorait ce qu’elle voulait vraiment lui dire, et surtout, comment l’exprimer. Il lui semblait que tout ce qu’elle pourrait dire serait idiot. Comment justifier un ressenti, par essence, flou, intangible et souvent sans fondement véritable ? C’était une impression, pas un fait… Et maintenant qu’il parlait, elle doutait elle-même du bien-fondé de cette sensation.

La pièce lui semblait bien plus grande qu’avant, et pourtant, elle connaissait sa chambre par chœur. Le soupir de Souta lui a rappelé combien elle devait l’avoir déçu… C’était une chieuse, une épine dans le pied alors qu’il voulait qu’elle le soulage. Mais c’était bien, non, qu’elle exprime ce qu’elle ressentait ? Désormais, Kara doutait. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais rien ne vint.

Alors, elle se contenta de l’écouter, en hochant légèrement la tête, en baissant le menton comme une enfant qu’on sermonne. Ce n’était pas courant chez son amant d’être aussi sérieux… Ses lèvres se pincèrent en se mordant l’intérieur de la joue, penaude.

« Mais je sais pas bien demander… »

C’était un fait, dans la vie, elle se laissait porter sans réussir à jamais rien contrôler, et lorsqu’elle n’avait plus pied, elle sombrait, jusqu’à réussir à ouvrir les yeux à nouveau. Les hommes qu’elle avait côtoyés avaient tous ce même pli, la consommaient et cela lui allait : ils étaient de passage, elle n’avait pas besoin de se poser de question, car le temps de le faire, tout était déjà fini. Souvent de manière assez moche mais… Bah… c’était comme ça.

Elle se sentait mal. Seule. Le regard de Souta était pesant sur elle… Mais Kara était incapable de dire exactement ce dont elle avait envie. Sortir ? Aucune de ses propositions, actuellement, ne semblaient correspondre à ce qu’elle voulait. Et puis, il fallait déjà savoir, ce que l’on veut. Son estomac se noua, et ses lèvres se tordirent en une moue embarrassée, presque souffrante.

« Toi t’arrives à pas réfléchir mais… » Un soupir s’échappa de ses lèvres. « … Désolée si je sais pas bien me faire comprendre. » C’était de pire en pire, elle ressentait désormais la culpabilité d’être suffisamment inadaptée pour pouvoir faire comprendre ce qu’elle voulait à Souta. Comment faisait-il ?

Kara fit un pas de nouveau vers son lit. Il fallut qu’elle s’impose un énorme effort pour articuler, la gorge serrée. « Ben… là j’ai… J’ai envie d’un câlin. »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 43 mercredi 14 avril 2021, 07:27:04

Plus les secondes passent et moins je comprends ce qu'elle me raconte. D'un côté elle me dit ne pas vouloir continuer, du moins pas comme ça, et de l'autre elle ne sait pas ce qu'elle veut ? Voir reprendre ce qu'on faisait ? Faut pas oublier que c'est elle qui m'a chauffé à mort pour qu'on vienne chez elle et qu'elle en redemandait avant que sa voisine nous arrête. Puis c'est quoi ça un câlin ?

Je me redresse lentement sur le lit pour tendre le bras dans sa direction et lui attraper le poignet. Le tout de façon plutôt délicate et je la tire vers moi pour la faire tomber sur les genoux devant moi. Sa poitrine énorme aux mamelons si savoureux et déjà dressés sous mes yeux. De toutes les fois où on s'est vu, je sais désormais que c'est une partie extrêmement sensible de son corps. Autant donc commencer par là.

Ma tête se penche sur le côté pour venir lécher un peu de sa sueur salée pour ensuite venir déposer des baisers dans son cou. Le tout associé à une respiration volontairement plus forte sur le moment pour qu'elle en déduise que ça me plaît. Car bon, même si j'exagère un peu la chose, ça me plaît quand même au fond.
Je fais exprès de garder une distance de quelques centimètres entre nos corps pour pouvoir entamer la seconde phase qui est le malaxage de sa poitrine que je connais quasiment par coeur désormais. Ma main gauche vient se saisir de son sein droit et le caresse tendrement alors que de l'autre côté il y a plus de vigueur et de force dans mon geste. Mes doigts se font un plaisir de venir s'enfoncer dans la chair molle et malléable qui s'offre à eux. Sentir ma poigne déformer et prendre possession de son sein est une sensation si excitante quand je prends le temps d'en savourer chaque seconde. Ses réactions, ses gémissements, sa respiration qui s'accélère aussi, chaque mouvement de son corps pour s'adapter à la situation brûlante entre nous.

Je pousse le vice à faire un peu riper mes dents sur la peau de sa nuque avant de reculer quelques seconde pour lui glisser à l'oreille.

- T'auras tout le temps de réfléchir demain, parce que je vais nulle part.

Ma main droite libère alors son sein pour se poser sur son épaule afin de la renverser sur le lit... sur le dos. La trique toujours aussi dure, j'ai un peu de mal à me positionner au-dessus d'elle pour venir entamer un plongeon sur son corps. Mon gland vient titiller le bas de son ventre ou le haut de ses cuisses sans que je le fasse exprès vu que mon objectif reste sa poitrine. Ses deux montagnes se font de nouveau saisir par mes mains pour les plaquer l'une contre l'autre afin de pouvoir mieux les dévorer. La chaleur remonte rapidement en moi et la concentration est de nouveau revenue. Comme si ce court échange n'avait pas eu lieu.

De mes lèvres humides et de ma langue baveuse, je m'amuse à téter et sucer ses mamelons dressés l'un après l'autre en plaquant ses seins en utilisant mes mains comme un étau qui les empêche de faire le moindre mouvement. Pressées, enfoncées, collées à ses chairs moites mais si douces. Le tout dans un mélange de sons et de gestes pervers et humides. Ma bouche aspire l'un d'eux pour le recracher vulgairement. Pour ensuite cracher sur le second et le titiller du bout de la langue pour la faire attendre. Avant de me jeter dessus à son tour, comme un affamé. Même les dents y passent quand je décide de la taquiner un peu plus directement.

Au bout de plusieurs minutes à jouer de ce petit jeu, je prends mes aises et arrive à coincer un de ses obus dans ma bouche. Mon menton s'enfonce dans sa peau pendant que mes lèvres dévorent sa pointe sensible. Tout ça me permet de libérer une main qui retourne titiller son clitoris sensible sans glisser de doigt en elle. Je me contente de titiller son entrée du bout des doigts vu qu'elle veut sûrement qu'on fasse les choses différemment cette fois.

Mon prochain objectif sera donc d'y aller plus mollo pour voir ses réactions et réagir en conséquence.

Kara Desco

Humain(e)

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    Description
    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 44 jeudi 15 avril 2021, 22:17:19

 Une seconde, Kara se demanda si Souta avait déjà eu un câlin, dans sa vie. Elle allait froncer les sourcils et lui signifier qu’en général, ce n’était pas ce qu’on attendait lorsqu’on se sentait mal, et qu’on arrivait enfin à exprimer ne serait-ce qu’un seul petit besoin… La gorge nouée, elle ne sut pas réagir lorsqu’il lui enserra le poignet avec une douceur qui ne lui ressemblait pas, il fallait le lui accorder. Il semblait tenter de rattraper le coup, ou du moins de prendre en compte son mal-être, mais Kara c’était attendu à de la tendresse pure. Du réconfort.

Pourtant, dès les premiers baisers de son amant dans son cou, le nuage sombre qui encombrait ses pensées semble prêt à se dissiper… La chaleur met du temps à s’installer, d’autant après cette conversation étrange, et le sentiment de malaise laisse cependant un creux dans son ventre. Souta semblait incapable d’agir sans sexualiser leur relation, mais ses lèvres sur sa peau, si douces, si chaudes, la font peu à peu frissonner. Les sons qui s’échappaient de la bouche du jeune homme accentuaient d’autant cette perte de contrôle, ignorant totalement qu’il accentuait ses réactions pour lui plaire, ne se rendant, heureusement, pas compte qu’il forçait le trait pour la pousser à lâcher prise.

Soudainement, ses mains se joignirent à la danse, et Kara sursauta presque, ouvrant les paupières sans se rappeler qu’elle les avait fermées. Elle baissa le regard sur le visage, si près, de Souta, tenta de lui sourire, mais ne réussit qu’à moitié. Un soupir bruyant s’échappa de sa gorge face aux caresses expertes, comme s’il savait parfaitement ce qu’elle aimait, ce qui lui faisait de l’effet, ce qui pouvait réussir à la forcer à déconnecter son cerveau bien trop pénible dans leurs jeux.

Ça devait le soûler, qu’elle soit si incapable de se lâcher, jamais assez, pas comme il voulait, pas – Ses réflexions s’interrompirent lorsqu’il prit la parole, et surtout, sentant les dents qui venaient de piquer sa chair, en la forçant à pousser un gémissement de désir bien plus fort que les autres.

Le nuage gris était désormais bien mince, lorsqu’il affirmait vouloir rester avec elle, jugulant sa crainte qu’il s’enfuit en l’insultant, qu’il la laisse seule parce qu’elle avait osé lui dire ce qu’elle ressentait. Enfin, qu’elle avait essayé, toujours.

« ‘Me laisse pas. »

Murmure-t-elle en retour, ses mains ballantes jusqu’à présent, se lèvent fébrilement pour venir se ficher sur sa nuque, instinctivement, comme pour le forcer à rester près d’elle, alors même qu’il n’a aucune intention de partir bien loin. La proximité de leurs corps nus la rassure, tout comme cette légère distance à vrai dire…

Ses mains se serrent sur son corps, le pressant contre elle alors qu’il compresse sa poitrine, lui fait oublier à coup de langue et de piqûres de ses canines combien elle s’était sentie mal juste avant. Petit à petit, la chaleur reprend ses droits au creux de ses reins, faisant naître de profonds frissons le long de sa colonne vertébrale, sa respiration de plus en plus bruyante à nouveau. Les minutes nécessaires à la rendre de nouveau brûlantes s’égrènent, Kara gémit désormais franchement, pinçant les lèvres en sentant l’une de ses mains se glisser entre ses jambes… elle se cambre, ouvre les yeux pour chercher le regard brûlant de Souta. Ses gestes plus doux ont l’effet escomptés, elle se sent désormais bien plus à l’aise, prenant cette tendresse comme naturelle, alors qu’il ne fait que se plier à ce qu’elle semble exprimer.

D’une main, Kara lui relève le visage, le forçant à recracher son téton durci après toutes ces tortures, passant ses doigts sous son menton, pour le faire venir à sa bouche. Son baiser est assez parlant, plus que ses mots d’ailleurs, pour lui exprimer combien elle a peur de déconner, ou de tout gâcher. Elle sent qu’elle a besoin d’être rassurée, il faut qu’elle le soit. Son autre main vient se poser sur la sienne, qui stimule son entre-jambe avec assez d’insistance pour la rendre folle, sans jamais réellement concrétiser sa possession.

Avalant difficilement sa salive, la jeune femme accompagne sa main à lui, frémissant sous les caresses qu’elle encourage, guidant ses doigts ou son intensité, des râles plus francs sortant désormais de ses lèvres, buttant contre la bouche de Souta toute collée à elle. En accentuant la pression sur le dos de sa main, elle lui signifie qu’elle est prête pour plus… mieux encore… qu’elle en a très envie. Qu’elle le veut.




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