Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'Entreprise [PV : Alice]

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Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 30 mercredi 18 juillet 2018, 23:21:08

Il… Il fallait que ça cesse. Par pitié, il fallait que ça cesse. Elle ferait ce que voulait ces femmes, mais elle voulait juste que ça cesse… Mais malheureusement, elle ne semblait toujours pas comprendre que ce qu’elle subissait, ce n’était pas une punition, où quoique ce soit du genre. Non, c’était ça que voulait les femmes justement. Elles voulaient l’enculer, elle voulait être dans cette gorge… Bref, donc, notre Lucie devait comprendre qu’il y avait une volonté contre elle. Après, est-ce que ces différentes esclaves voulaient vraiment cela ? C’était un peu complexe à savoir ce qu’elles voulaient vraiment, mais on pouvait supposer que oui, elle le voulait bien. Quoiqu’il en soit, la jeune femme cru que ça y est, ça finissait, quand quelques choses sorti enfin… Mais non, ce n’était pas du sperme, mais… De l’urine !

« À force, tu aimeras tout de ta Déesse, F-182... Tu boiras ma pisse, sale chienne, comme si c’était le plus divin des nectars !! »

C’était immonde… Elle détestait ça… Mais elle acceptait si cela voulait dire que c’était fini. Malheureusement, non, ce n’était pas fini. Elle eut encore des coups dans sa bouche, et ce goût désagréable… Mais même quand ce fut « fini » et bien, il y en avait encore… Encore bien plus. Après un moment interminable, la bouche de la jeune femme fut libérée. Mais Lucie ne put emettre le moindre mot… Elle n’en n’avait pas la force. Et puis, un harnais fut installée. Un peu comme une muselière, elle fut complètement baillonée, elle avait la bouche pleine par un gros vibromasseur, qui la forçait à sucer, sucer et encore sucer… Elle ne savait pas quoi faire, ni quoi dire… De toute façon, ce n’était pas elle qui choisissait…

« Huhu, si tu voyais ton cul, ma salope... Plus d’une centaine de queues lui sont rentrées dedans ! Tu es trempée de partout, aussi, petite pute... »

En effet, là, il n’y avait rien d’autres à dire… Elle était en sueur, mais véritablement en sueur… Ce qu’était logique. Elle n’arrivait même pas à croire qu’elle avait tenue. Elle… Elle n’aurait pas pu tenir en théorie. Comment avait-elle fait pour tenir véritablement à un tel traitement ? C’était pas humain. Elle ne savait pas qu’elle était… Plus tout à fait totalement humaine. Oui, c’était terrible de dire ça, mais que voulez vous… C’est la vérité ! Elle était plus tout à fat humaine. Elle était maintenant une sorte de mélange entre une humaine et une humaine améliorée. Et le pire ? c’est qu’elle avait pas encore tout découvert… Mais inutile d’aller trop loin.. Elle avait encore beaucoup à apprendre…. À apprendre sur elle-même. Mais pas d’inquiétude, concentrons-nous sur le temps présent...

« Salope ! Salope ! Salope ! Salope !! »

Qui n’était pas tellement bien, on va bien l’avouer. Car elle se faisait… Cravacher le derrière ! Presque chaque coup était accompagné d’un « Salope » bien sonore, tandis que toutes les autres femmes s’étaient légèrement éloigné, machinalement, laissant ainsi Lucie entièrement à son éducatrice… Cela faisait mal, mais les couinements étaient bien étouffé étant donné que la bouche de la fameuse Lucie était encore occupée, et difficilement utilisable pour emmettre des sons… Bref, elle se faisait cravacher le derrière, et son cul, déjà solidement abimé après tout ce qu’il avait subit, ne faisait que subir encore plus… Il était rouge comme une tomate, l’anus était bien dilaté, du sperme en coulait, bref, c’était un spectacle délicieux à voir pour certain, déplorable aux yeux d’autres…

Quand les coups se turent enfin, quand son anus pu croire qu’il était enfin libre… Non. Non en effet, car son interlocutrice, enfin, plutôt celle qui monologuait, étant donné que la fameuse Lucie pouvait guère parler avec ce qu’elle avait dans la bouche, en avait pas fini avec elle… Bref, quoiqu’il en soit, la jeune demoiselle aux cheveux blond se prit une nouvelle bite dans l’anus… C’était un peu la conclusion de la pire soirée de sa vie, mais la première soirée de sa nouvelle vie. Il y allait avoir un avant et un après cette terrible journée, qui depuis qu’elle s’était réveillée depuis qu’elle s’était levée… Depuis qu’elle avait découvert que toute son ancienne vie était fini. Elle arriva même à jouir de cela, avant qu’à son tour, la crème fut relachée dans son anus… Une de plus… 

Une fois cela fini, elle s’autorisa une chose… S’effondrer par terre, littéralement. Elle en pouvait plus. Elle était physiquement brisée, même sa bouche n’était toujours pas libérée. Elle devait respirer par le nez, alors qu’elle voudrait haleter, pour tenter de récupérer de l’air. Cela avait été extrêmement éprouvant… Elle en pleurait, elle voulait rentrer, elle voulait que Jeanne soit là pour l’aider, elle voulait retrouver ses cours, ses devoirs de math… Mais non, ma vieille ! Tout cela, c’était fini ! Fini de chez fini ! Maintenant, elle allait devoir s’adapter… Elle voyait encore les images qui avaient presque étaient préfiguratrice de ce qu’elle avait subi, et elle en tremblait. C’était.. Terrible. Vraiment terrible. Elle espérait que le repos finirait pas venir… Qu’allait-elle devenir maintenant ? Elle ne pouvait guère le savoir, mais elle ne pouvait que trembler en imaginant ce qui pouvait encore arriver.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 31 dimanche 22 juillet 2018, 23:08:40

Après cette orgie de sexe, cette tornade qui avait duré plusieurs heures, des heures pendant lesquelles le cul de F-182 avait été pris dans les grandes largeurs, l’esclave n’en pouvait plus. Quand les liens lui furent ôtés, et que Leona se relâcha en elle, jouissant copieusement pour marquer la fin de cette séance, F-182 s’effondra mollement sur le sol. L’esclave était totalement épuisé, et, dans ce qui ressemblait à un étonnant moment de grâce, on lui ôta également le gode sur sa bouche. De la bave coula au sol, et les esclaves gloussèrent, caressant tendrement son visage au passage, relevant leur regard vers leur Maîtresse.

« Elle est épuisée, Maîtresse...
 -  Totalement crevée...
 -  Son traitement ne fait que commencer, c’est normal. »

Leona se rapprocha de F-182. La jeune femme ne cherchait même plus à protester. Allait-elle enfin pouvoir respirer ? Pouvoir souffler quelques secondes ? Mais tout l’objectif de sa thérapie, ici, était de la transformer, de tuer en elle sa fausse personnalité, afin que ne reste que F-182. Leona hocha donc la tête. Elle avait rétracté sa verge, mais conservait encore sa sensuelle tenue en latex.

« Mettez-là dans une cuve, on va la laisser se reposer quelques jours. »

Les esclaves acquiescèrent. Elles tirèrent ensuite sur la laisse, et, même si F-182 était incapable de marcher à quatre pattes, elle la posèrent sur un fauteuil roulant, attachant ses poignets, puis poussèrent le fauteuil. Leona menait doucement la marche, faisant claquer ses talons en avançant à travers les couloirs de l’institut Ravenborn. Un véritable asile avec des murs blancs. Des infirmiers passaient souvent devant eux, et Leona s’arrêtait tout aussi souvent pour embrasser de belles infirmières. Leona fit même une assez longue pause devant une très belle infirmière, allant jusqu’à s’équiper d’un vibromasseur pour pénétrer la femme contre le mur.

Quoi qu’il en soit, la procession se poursuivit jusqu’à une double porte que les esclaves de Leona entrèrent, conduisant à une grande pièce médicale avec plusieurs cuves translucides qui s’étalaient devant. Un homme barbotait déjà dans l’une de ces cuves, le corps recouvert d’implants et de tubes, son phallus disparaissant dans une étonnante ceinture, ses signes vitaux retransmis sur plusieurs écrans permettant d’observer son état de santé, mais aussi son état d’excitation sexuelle.

« C’est ici que nous allons t’améliorer, F-182... Mais inutile de trop en dire, je parlerai dans le vide. »

De magnifiques infirmières dans des robes moulantes en latex entreprirent d’approcher une cuve, la faisant descendre en position couchée, puis F-182 fut posée à l’intérieur. Son corps fut ensuite recouvert de câbles, et une ceinture métallique s’enroula autour de sa taille, un vibromasseur venant ensuite s’enfoncer dans ses fesses, tandis qu’un casque de réalité virtuelle fut posée sur sa tête. La cuve se remplit ensuite de ce liquide très particulier, une construction originale propre à la Lactos Company, et qui allait améliorer sur le long terme les performances sexuelles de F-182.

La cuve fut ensuite positionnée en position debout, puis F-182 commença à se reposer... Tout en ayant un vibromasseur planté dans les fesses. Le casque de réalité virtuelle sur ses yeux diffusa des images, des films pornographiques montrant la femme en train de se faire sodomiser, en vue à la première personne, ou de sucer des queues en batterie.

F-182, qui allait être nourrie en intraveineuse, ne sortirait de cette cuve qu’au bout de quelques jours...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 32 mercredi 25 juillet 2018, 22:34:15

La tourmente avait durée des heures, et des heures. C’était incroyable que la fameuse Lucie avait pu tenir autant de temps. On va même pouvoir dire, c’était quasiment inhumain. Comment avait-elle fait ? Cela était une très bonne question, franchement, si vous voulez mon avis, elle avait des super pouvoirs… Et… Et enfaite, c’était pas totalement faux. Alors, bien sûr, il ne fallait pas appeler ça des super pouvoirs, mais on était pas loin. C’est vrai qu’on était dans le surnaturel… Où plutôt le métanaturel. Qu’est-ce que ce néologisme ? Et bien, tout simplement, on pouvait supposer que notre Lucie était plus, physiquement parlant, qu’une humaine. Mais elle ne le savait pas, étant donné qu’elle n’avait pas accès à tout ce qu’elle avait subit à une époque où la raison et la mémoire n’étaient pas encore parfaitement formé chez elle...

« Elle est épuisée, Maîtresse...
 -  Totalement crevée...
 -  Son traitement ne fait que commencer, c’est normal. »

Oui ! Car si elle avait tenue, et bien, on pouvait bien mentionner quand même que c’était TOUT JUSTE tenu. Car franchement, elle avait subit une tourmente comme on en connaissait peu, donc, il fallait bien dire que cela avait été éprouvant. Surtout que durant cette tourmente, et bien, elle avait découvert cela ! Encore une fois, ses rares aventures amoureuses n’avaient jamais vraiment dépassé le chaste baiser. Et là, pour sa première fois, elle n’avait préservée que sa virginité vaginale. Sa virginité anale, sa virginité buccale… Tout cela n’existait plus maintenant, elle était plus du tout vierge, et cela serait difficile de dire l’inverse. Bref son anus était maintenant un hall de gare, qui avait énormément de sperme à l’intérieur, coulant allégrement...

« Mettez-là dans une cuve, on va la laisser se reposer quelques jours. »

Elle fut alors attachée à un fauteuil roulant. Elle ne tenta ni de lutter, ni de se plaindre… On pourrait croire que c’était car cela ne servait à rien et qu’elle l’avait compris… Mais même pas. C’était tout simplement qu’elle n’avait absolument aucune force, et aucun moyen de réussir à faire comprendre qu’elle allait se plaindre. Elle n’avait plus la force pour cela… Bref, elle était lessivée, crevée, et elle voulait juste que cela cesse, qu’elle puisse se reposer. Elle était tellement… Déconnectée du monde réel, qu’elle n’eut même pas conscience de ce qui se passait autour d’elle. Et ouais, carrément ! Elle ne remarqua pas quand sa maîtresse -car oui, il fallait bien au bout d’un moment accepter l’inévitable, et appeler un chat un chat-, commença à prendre une femme contre un mur… Et ouais…

« C’est ici que nous allons t’améliorer, F-182... Mais inutile de trop en dire, je parlerai dans le vide. »

Elle arriva juste à gémir quelques choses d’incompréhensible, en réponse à ce qui avait été dit… Dois-je préciser qu’elle ne remarqua pas non plus l’homme qui barbottait dans une cuve ? Quoiqu’il en soit, elle se fit attraper par les infirmières, qui la posèrent dans l’une des cuves qui avaient été installée de façon horizontale, histoire de pouvoir… Bah la mettre dedans. Elle fut solidement attachée, avant que la cuve retourne en position horizontal, donnant quand même, on va bien l’avouer, un ensemble très agréable à l’oeil ! N’était-elle pas jolie comme ça ? C’était le genre de décoration que beaucoup aimeraient avoir dans leur salon… Enfin, des gens qui sont un peu des psychopathes, on va bien l’avouer, mais quand même ! Quoiqu’il en soit, elle était maintenant emprisonnée, et ne sortirait que quand sa maîtresse le déciderait...

Mais pas d’inquiétude, elle n’allait pas s’ennuyer pendant ce long temps enfermée. En effet, elle avait deux choses… Une chose physique et une chose mentale. Pour la chose physique, c’est que quand elle fut attachée, et bien, on décida de ne pas lui garentir un parfait repos… Ou non ! Son anus avait été habitué par la force à avoir quelques choses qui rentre en lui.. Donc, on allait continuer, hein, c’est comme ça ! Donc, elle se retrouva avec un vibromasseur d’une taille importante dans l’anus. Si elle avait été vierge de ce trou, cela aurait fait sans doute très mal, là, ce fut juste inconfortable. Si elle avait plus conscience d’elle même, et bien, elle aurait sans doute été horrifiée de voir que cela était juste inconfortable, montrant que son corps s’était « habitué » à ce traitement… Chose très mauvaise pour elle, qu’on soit clair. Mais ce n’était pas tout...

Et oui, c’était loin d’etre tout ! Car il y avait aussi le mental… On lui avait installé un casque de réalité virtuel sur la tête. C’était triste de ce dire que ce bijou de technologie qui avait fait fantasmé plus d’un de ses camarades à l’école, Jeanne en avait toujours rêvé d’un par exemple, et bien… Servait là pour lui faire « jouer » à des jeux interractifs de sexe… Elle suçait et était enculée, en boucle. Et le pire, c’est que son anus était enculé, donc, cela rendait l’immension encore plus incroyable… Et pour les fellations… Et bien presque inconsciemment, presque dans un état second, elle se retrouvait à faire les mouvements de succions, comme si elle avait un vrai phallus en bouche, alors qu’elle n’avait rien… C’était terrible les comportements instinctifs hein ? Elle le découvrait tout juste, et c’était très drôle !

La notion de temps avait totalement disparu. Elle ne savait plus du tout combien de temps étaient passé depuis son ancienne vie. Premier pas pour que cette vie disparaisse, car une fois qu’on ne sait plus quand elle a eu lieu, cela devient très difficile de se retrouver. Et là, vu son traitement, le tout avait été redoutablement efficace pour lui faire disparaître cette notion de temps qui pour elle était extrêmement difficile à retrouver. Quand tout cela avait commencé ? Quand son ancienne vie avait terminé ? Et tout cela… Et bien, elle ne pouvait pas y penser. Aussi bien mentalement que physiquement, son repos n’était pas optimale… Tout ce qu’elle faisait, c’était être là, et attendre… Encore et toujours… Attendre qu’on vienne la retrouver… Et qu’on vienne continuer son éducation !

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 33 jeudi 02 août 2018, 10:37:08

Leona prenait des vacances ici, et comptait bien passer un mois sur place. Mais elle n’y était pas que pour flâner, mais aussi pour se renseigner sur les activités de l’institut Ravenborn. C’était après tout un point central, car l’institut regroupait tous les esclaves de la Lactos Company, afin de les former, et pouvoir ensuite les envoyer dans les centres de traitement du Japon. Ravenborn était donc un élément-pivot, et Leona savait que la police enquêtait sur eux. Gérer une telle organisation n’était pas facile, et il y avait toujours des fuites, des interrogations sur certaines disparitions, ou sur certains mouvements comptables. L’année dernière, la Lactos avait eu des difficultés avec l’administration fiscale, qui avaient nécessité une intervention, et la disparition d’un contrôleur des comptes publics, avec toute sa famille. Un incendie avait servi à maquiller le rapt. Cette année, Ravenborn avait récupéré un policier avec sa femme, officiellement morts dans un accident de circulation en montagne. Un mauvais virage la nuit, et les deux avaient disparu dans une crevasse. En réalité, ils étaient là, barbotant dans des cuves, perdant toute notion de la réalité, comme F-182.

Celle-ci flotta dans la cuve pendant plusieurs jours. Le liquide spécial renforçait ses reins, sa résistance et son endurance sexuelle, son plaisir sexuel, la sécrétion de cyprine et de lait. De petites aiguilles venaient en effet régulièrement injecter des produits dans les seins de la femme. Sous le désir sexuel, celle-ci allaitait fortement. En réalité, F-182 atteignait le taux de production de lait d’une Ushi. Cependant, les Ushis étaient rarissimes, et très onéreuses. Alors, la Lactos Comapny avait développé un vaste système visant à transformer des humaines en Ushis. Leona supervisait tout cela avec plaisir, et autorisa une première sortie pour F-182.

La cuve se vida de son liquide, et le casque de réalité virtuelle s’éteignit, tandis que la cuve reprenait une position horizontale. De belles infirmières saisirent les poignets de F-182, et l’attachèrent ensuite à des sangles sur un chevalet.

« Là, là...
 -  Elle réagit très bien au traitement, sens comme sa peau est douce... »

C’était la douceur d’une peau de bébé, tout simplement ! Les infirmières caressèrent son cul avec leurs gants en latex, giflant volontiers son postérieur, puis Leona, présente, se racla la gorge.

« Libérez les cobayes ! »

D’autres cuves s’ouvrirent, libérant cette fois l’un après l’autre les cobayes masculins. Les infirmières s’écartèrent ensuite, tandis que F-182 reprenait ses esprits. Elle put voir, en levant la tête, derrière une paroi en verre, le corps de Leona, toujours dans sa tenue rouge moulante en latex, qui lui souffla un baiser... Puis l’un des esclaves se redressa. Il avait gagné en musculature, tout en étant imberbe, et observa le cul de F-182 avec une érection phénoménale. Sa verge était très épaisse, très grosse, ayant bénéficié d’augmentations.

Tout cela suivait une boucle logique. Les femmes avaient besoin de plaisir pour produire du lait, et il fallait donc des hommes endurants. Le cobaye, M-256, se rua sur F-182, et empoigna ses cheveux, faisant hurler la femme, avant de la sodomiser brutalement.

« Hnnnn... Gnnnn... Rrrrrr... !! »

Tout comme F-182, M-256 oubliait progressivement qui il était, ne devenant plus qu’une bête de sexe, uniquement motivé par le fait de copuler sauvagement avec cette femme.

Et il y avait encore cinq cobayes derrière qui attendaient dans leurs cuves...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 34 mardi 07 août 2018, 22:39:59

Du temps était passé, où évidemment, Lucie n’avait absolument rien pu faire. Enfin si ! Comme dit précédemment, elle avait eu l’anus bien occupé, bien pris, mais bon, ça, elle ne gérait pas ! C’était la machine qui faisait le tout, tout seul ! Comme quoi la technologie c’est bien beau ! Bref, elle avait été concentrée sur le casque de réalité virtuel qui avait occupé grandement son esprit, son corps, son âme ! Mais cela avait une fin, étant donné que la jeune femme fut sortit alors de la cuve. Elle fut alors libérée, aussi bien de la cuve et de son mystérieux liquides, que tout ce qu’elle avait connu sinon… Le casque fut retirée, le vibromasseur fut retirée, se libérant de l’anus de la fameuse jeune demoiselle avec un « PLOP » assez caractéristique, montrant bien que l’instrument c’était bien, très bien installée dans l’anus de la jeune demoiselle, et ainsi… Elle était prête pour la suite des festivités !

 Là, là...
 -  Elle réagit très bien au traitement, sens comme sa peau est douce...

-Libérez les cobayes ! »


En effet, la peau de la jeune femme était extrêmement douce, et ses seins avaient un peu grossis. Mais enfaite la plupart des changements n’étaient pas visible. En effet, ils correspondaient plutôt à des modifications internes, pour donc la rendre plus résistantes, plus endurantes, bref, adaptés à ce qui allait être progressivement sa nouvelle vie. Elle n’en savait encore rien… Mais elle allait sans doute en savoir plus plus tard. Enfin, vraiment plus tard, car là, elle avait autre chose à faire. Quoi donc ? Et bien, comme l’avait dit Leona, oui, notre chère Lucie avait reconnu la voix de Leona, contrairement aux autres voix dont elle n’avait absolument aucune idée de qui elles venaient. Bref, ainsi, que se passait-il ? Et bien, Lucie n’était plus la seule libérée des différentes cuves… Oh non ! Quelqu’un était là… Et pourquoi donc venait-il ici ? Oh… Pour pas grand-chose juste… Juste faire une petite enculade !

« Hnnnn... Gnnnn... Rrrrrr... !! »

« Haaaaaaaaaaa ! »


Elle se fit alors sauvagement prendre dans le cul. Le tout était d’une violence extrême, franchement, cela ne faisait aucun doute. Elle s’était fait attraper par les cheveux, qui avaient été tirés alors sauvagement, tandis que l’anus se dilatait pour prendre la bite bien dans son entier… Le fameux M-256 se faisait alors la jeune femme, rappelons-le, il y avait une sacrée différence d’âge entre les deux personnages, vu que l’homme semblait être déjà un homme d’âge mur, tandis que Lucie, elle, n’avait que quinze ans… Bien sûr, progressivement, cela n’allait plus poser problème, étant donné que la jeune femme allait être conditionné pour être experte dans cela ! Donc, bientôt, cela allait pour qu’elle puisse s’en sortir, même avec des gens qui étaient beaucoup plus gros que sa morphologie…

« Han… Han !!! HAAAAN ! »

Difficile de parler dans de telles situations ! On sentait que « parler » en général était compliqué. La  situation n’aidait pas, mais parler de façon générale… Cela devenait de plus en plus compliquée pour Lucie. Ces moyens de communications devenaient de plus en plus difficile. Faut dire, dans cette cuve, elle n’avait pas pu parler : bien sûr, cela ne voulait pas dire qu’elle avait déjà perdu ses capacités vocales, mais avec le fait qu’elle était entrain de se faire sodomiser brutalement ! Mais la pente était là, maintenant, et il allait être difficile de s’en sortir pour la fameuse Lucie, surtout qu’elle n’allait devenir que de plus en plus abrupte avec le temps, et tout les moyens seraient fait pour qu’elle la dégringole à un moment ou à un autre… Et sans doute que la Lactos pensait ouvertement que cela arriverait !

« Gn… S’il vous… gnn... »

Oh ! Oh ! C’était une tentative de langage ! On devinait sans problème qu’elle avait voulu dire « S’il vous plait » ! Pourquoi était-elle si gêné ? Après tout, cela faisait mal, oui, mais pas tant au niveau de l’anus, il faut bien le dire. Pourquoi cela ? Et bien, je vous rappelle que durant tout son temps dans la cuve, elle avait eu l’anus bien remplis par un gros vibromasseur. Donc, franchement, ça allait mieux sur ce point. Alors, oui, par contre, le phallus était bien plus gros que tout ce qu’elle avait eu au cours de toute sa vie, donc, bon… Mais quoiqu’il en soit, c’était surtout qu’elle voulait que ça cesse, tout court… Et que pour le moment, le plaisir ne venait pas encore… Peu à peu, il allait arriver, mais vous connaissez ce genre de chose… Cela prends toujours son temps malheureusement !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 35 mercredi 08 août 2018, 17:49:54

La solution utilisée sur le corps de F-182 était un produit très rare, unique en son genre, résultant d’un brevet déposé par la Lactos Company. Une solution qui avait pour effet de provoquer chez le sujet des modifications physiologiques et sexuelles permanentes. Cette solution chimique s’appuyait sur de récentes découvertes en neurosciences. Il existait dans le cerveau deux neurotransmetteurs chargés de diffuser le plaisir : les endorphines et la dopamine. La Lactos Company avait réalisé d’importantes études sur le fonctionnement de ces neurotransmetteurs, notamment à l’aide de toxicomanes. Pour le dire autrement, il existait un neurotransmetteur chargé du désir, la dopamine, et un autre chargé du plaisir, l’endorphine. Les drogues jouaient généralement avec ces neurotransmetteurs pour provoquer une sensation de bien-être, de relâchement, en libérant l’endorphine. De telles recherches étaient déjà connues dans le domaine public, mais, là où la Lactos Company avait su développer un système avant-gardiste, c’était en inventant une solution qui jouait habilement avec les deux neurotransmetteurs. Une solution qui était appliquée sur F-182 pour faire d’elle une femme qui serait, sexuellement, toujours consentante.

Pour réussir cela, les traitements chimiques et psychiatriques que F-182 subissait avaient pour but d’amener son corps à réagir à certains stimuli pour relâcher instantanément de la dopamine. Là encore, les études scientifiques avaient démontré que, sous certaines conditions, le corps humain était programmé, conditionné, pour relâcher de la dopamine. Il existait des signes extérieurs témoignant du désir humain chez une personne : regard  concentré, crispation musculaire, ventre serré, attente douloureuse... Tous ces éléments avaient été des signaux permettant aux scientifiques de la Lactos de perfectionner le traitement. Dans le cas du sexe, ou, plutôt, du désir sexuel, la libération de la dopamine provenait du partenaire sexuel, de réactions diverses et variées. Aucune personne n’avait les mêmes stimuli, mais les scientifiques avaient réussi, par cette solution, à imposer certains stimuli aux sujets.

Autrement dit, et pour le résumer simplement, ils avaient développé un système faisant que F-182, indépendamment de son consentement, prendrait toujours son pied en se faisant baiser.

« Ses signes vitaux se stabilisent...
 -  Ça y est, la dopamine se libère... »

De l’autre côté, les scientifiques continuaient à suivre les progrès de F-182, pendant que M-256 la besognait furieusement. Ses solides coups de reins étaient terribles, et même Leona ne pouvait avoir une telle intensité dans son corps. Il s’agissait là de différences anatomiques entre l’homme et la femme, tout simplement. M-256 était, comme tous les sujets masculins de la Lactos, un besogneux, énergique.

Les coups s’accentuaient, s’accompagnant de puissantes gifles, de grognements. Rien n’était épargné à la délicieuse F-182.

Et elle allait prendre son pied là-dessus !

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 36 jeudi 09 août 2018, 19:20:10

Ce qui se passait était vraiment une merveille. Alors, attention, oui, c’était horrible, atroce, inacceptable, un crime… Bref, vous aurez compris. Mais c’était une merveille. La Lactos Compagnie avait quand même réussi à organiser tout ça, avait fait des nombreuses découvertes, et montraient à quel point on pouvait aller loin dans la recherche scientifique. À quel point on pouvait pousser le corps humain… C’est horrible ? Et bien possible. Mais rappelez-vous que si on peut aller sur la Lune, c’est grâce à un ingénieur qui a fait un missile qui pouvait bombarder Londres depuis l’Allemagne. Ce n’était pas car quelques choses était horrible en soit, que cela voulait forcément dire que toutes ses inventions ne pouvaient pas donner l’avenir, l’avenir de la recherche et de la science…

« Ses signes vitaux se stabilisent...
 -  Ça y est, la dopamine se libère... »

Mais revenons à Lucie. Car en effet, Lucie était quand même toujours Lucie pour le moment. Bien que son nom n’était jamais mentionné, et bien, la fameuse jeune demoiselle aux cheveux blonds était encore dans sa tête « Lucie », elle savait encore qui elle était, d’où elle venait, et ce qu’elle savait. Mais c’était compliqué d’y penser, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas eu un moment pour s’en remémorer. Là, si elle tenterait, elle ferait quelques fautes, par exemple. Bref, pourquoi elle ne pouvait pas trop y penser là en ce moment… ? Alors, je ne suis pas expert, je vais bien le dire… Mais je pense que le fait qu’elle a, durant ce moment clef, un phallus dans l’anus, pouvait expliquer cela. Cela ne reste bien entendue qu’une théorie difficilement vérifiable en l’état, mais voilà !

Elle avait mal. Cela faisait mal, son anus, bien que largement élargie par ce qu’il avait eu avant, et bien, n’était pas non plus prêt pour tout cela, donc, cela faisait bien mal. Mais, et il y a toujours un mais… Et bien, elle ne savait pas pourquoi… Mais elle ressentait du plaisir. De ces quinze ans, elle connaissait pas assez malheureusement le monde des sciences neuronales pour savoir ce qu’était la dopamine. Dans un sens, cela ne serait pas forcément super utile. Après tout, elle pourrait apprendre pourquoi, mais cela ne l’avancerait pas tellement que ça. Bref, de toute façon, ainsi, elle ressentait douleur et plaisir, deux sensations qui étaient littéralement en compagnie là, chez la demoiselle aux cheveux blonds !

Ainsi, bien malgré elle, et bien, elle commençait à accompagner le mouvement, bougeant son corps en harmonie avec le mouvement de vas et viens qui défonçait son anus. Comme précédemment, son corps était toujours aussi doux, ses seins faisaient des vas et viens, et donc, elle continuait à prendre encore plus de plaisir. Car oui, c’est véritablement un cercle vicieux (ou vertueux, suivant la position où vous vous mettez.) ! En effet, la jeune demoiselle donc ressentait du plaisir à cause de sa naissance même, quand elle se faisait baiser. Donc, elle accompagnait le mouvement, accélérant donc son propre plaisir. Donc, renforçant la production de dopamine, et donc, ayant encore plus de plaisir. Vous avez compris ? Elle était coincée, elle pouvait plus s’en sortir… Et cela devait être très amusant à voir… Et entendre !

« Tellement… Chaud… Partout... »

Ah ! Elle parlait de nouveau un peu. Et en effet, le plaisir lui donnait chaud, elle transpirait, gémissait et était en sueur. Sa langue pendait alors exactement comme la chienne qu’elle était. N’oubliez pas comment appelait notre fameuse Leona appelait la jeune demoiselle ? Une chienne ! Et là, on pouvait tout à fait le dire : elle se comportait exactement comme une chienne, en haletant, gémissant, et se faisant bien prendre dans le cul. Enfin, je sais pas si les Chiens se prendre régulièrement des hommes génétiquement modifiés dans le cul… Mais voilà ! Alors qu’elle continuait de gémir, et de mouiller comme une chienne, elle tentait de trouver les moyens de dire des mots, une phrase à peu près construite… On allait voir si elle allait y arriver, mais à mon avis, entre le plaisir et le fait de se faire bourrer le cul, cela était compliquée...

« Aaaah… Arrêtez… Plus… Plus... »

Attention. À l’écrit, cela ne se voit pas… Mais enfaite, ses paroles là étaient paradoxales. Comment cela ? Et bien, elle disait « arrêtez » et elle disait aussi « plus », mais dans le sens… Plus ! Avec un « s » qui s’entend aussi bien ! Bref, elle gémissait de plaisir, un peu perdue, et continuait d’haleter. D’ailleurs, le plaisir était bien là, étant donné qu’elle arriva à la jouissance, mouillant encore plus ! Elle avait encore plus chaud qu’avant, et son anus, lui, continuait de recevoir le phallus, qui ne faisait bien entendue pas la moindre pause… Après tout, à quoi cela servait ? L’homme qui la bourrait aviat été construit visiblement pour faire cela… Donc, il n’allait pas s’arrêter aussi aisément ; Sans doute pouvait-il encore donner de nombreux orgasmes à la demoiselle aux cheveux blond, sans qu’elle puisse rien faire d’autres que gémir comme la vulgaire chienne qu’elle était, bien qu’elle le niait encore.

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 37 lundi 13 août 2018, 00:55:42

C’était physique, c’était biologique. Quand on mettait de côté tout le romantisme, toutes ces imbécilités enfantines, le corps humain apparaissait comme ce qu’il était : un ensemble fait de chair et d’atomes. Le mysticisme, la spiritualité, la supériorité de l’âme sur le corps, n’étaient que des concepts creux, des prétextes qu’on avait inventé à défaut d’une véritable explication cohérente. Le sexe, longtemps perçu comme quelque chose de mystérieux et d’incompréhensible, était un domaine dans lequel la science avançait de plus en plus. Bientôt, il n’était pas impossible d’envisager un contrôle total et absolu du désir sexuel, avec la possibilité de mettre fin aux déviances sexuelles, de modifier les orientations sexuelles. En la matière, la Lactos Company disposait d’études d’avant-garde, des recherches qu’on ne trouvait nulle part ailleurs. Rien de bien surprenant là-dedans, car la Lactos avait considérablement investi dans ce domaine, et elle récoltait désormais les fruits de ses investissements. F-182 était l’un de ces fruits.

Devant l’équipe de scientifiques, et devant Leona, F-182 se faisait donc sauvagement baiser. Restait-il encore en elle quelque chose de Lucie Moreau ? Très certainement. Le conditionnement psychique n’était pas quelque chose qu’on faisait sur un claquement de doigts. La Lactos s’était inspirée de multiples programmes militaires confidentiels menés pendant la Guerre Froide, et toujours conduits actuellement dans le cadre de programmes de déradicalisation de terroristes islamistes. En réalité, le conditionnement psychique avait toujours été un domaine que l’humanité avait affectionné. La Lactos n’avait eu qu’à se pencher pour récupérer les différents travaux menés, et mener les siens. F-182, comme tous les autres avant elle, succomberait également. C’était inévitable.

*Et je l’offrirai à Maman dans les temps…*

Le magnifique cadeau d’une fille attentionnée envers sa mère. Leona n’aimait et ne respectait que sa mère, la seule autre Déesse comme elle. À ses yeux, tous les autres ne vivaient que pour la servir. Mère lui avait toujours enseigné que les humains leur étaient inférieurs, et qu’il leur appartenait de les guider, de les contrôler. Elle ne voyait donc pas F-182 comme une victime, mais clairement comme une élue, une misérable humaine qui aurait la chance de pouvoir tâter des Dieux.

F-182 se faisait donc prendre longuement. M-256 n’était pas pressé, et grognait de plus en plus, sa grosse queue labourant le cul de la femme. Sa résistance était admirable, et de nombreuses minutes passèrent donc, avant qu’il ne finisse enfin par jouir. Ses muscles se contractèrent, et, encore une fois, les scientifiques de la Lactos sentirent ce moment approcher. Comme pour le reste, la jouissance masculine pouvait se contrôler, mais les scientifiques n’en firent rien.

« 23’47 avant son premier orgasme, il s’améliore…
 -  Et la quantité de sperme projetée… »

Les scientifiques prenaient leurs calculs, et M-256 se calma ensuite. Il se retira du corps de la femme. Toutefois, F-182 eut à peine le temps de se reposer que son fondement fut à nouveau assailli par un autre mâle.

En tout, elle allait se faire sodomiser pendant plusieurs heures, et le second mâle s’avéra encore plus vorace et violent que le premier, puisqu’il n’hésita pas à gifler à plusieurs reprises le cul de la femme, tout en continuant sauvagement à la bourrer…

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 38 jeudi 16 août 2018, 13:54:58

On sentait que F-182, ou Lucie Moreau, pour le moment les deux étaient encore possibles à dire, l’un n’était pas encore prévalant sur l’autre, avait été modifiée. Il faut bien le dire, en effet, c’était quand même une belle performance de la part de la fameuse Lucie de tenir malgré les coups dans son anus. Mais elle tenait, elle gémissait fortement, haletait, gémissait comme une chienne, mais pour le moment, depuis les quelques mots qu’elle avait dit auparavant, elle ne disait visiblement plus rien. Mais vous avez bien compris, elle était loin, très loin d’être devenue silencieuse. Enfaite, elle était encore extrêmement « bavarde », étant donné qu’elle gémissait comme la chienne qu’elle devait devenir… Après tout, son destin était bien d’être un cadeau, un cadeau avant toute chose… N’est-ce pas ?

Elle avait finalement jouie, comme dit précédemment… Mais cela ne voulait pas dire qu’elle était libérée ! Genre, bravo, tu as jouis, c’est bon, tu peux partir, on a fini avec toi. Ce n’était pas l’orgasme féminin qui signait la fin de l’acte, mais l’orgasme masculin. Et si visiblement, la fameuse Lucie avait été programmée, conditionnée, modifiée pour qu’elle soit capable d’orgasmer vite, et régulièrement… Et bien, ce n’était pas du tout le cas des personnes masculines ici présentes. Visiblement, celle-ci étaient au contraire préparés pour pouvoir bourrer des filles comme Lucie le plus longtemps possible avant de relacher la sauce. Ainsi, de longues et longues minutes passèrent, avant qu’à son tour, le cobaye masculin se lache en l’intérieur de la fameuse adolescente.

« 23’47 avant son premier orgasme, il s’améliore…
 -  Et la quantité de sperme projetée… 
»


Après cette jouissance, le corps de F-182 fut alors posé sur le sol, misérablement. Ses gros seins, c’est ce qu’on pouvait dire, se pressant à même le sol, et son anus encore bien mis en avant, on voyait du sperme en couler. Moins qu’après la terrible tourmente, son dernier grand acte sexuelle, mais quand même, on en voyait… Mais cette trève, qu’ici peut paraître longue grâce à la magie de la narration qui peut étendre un moment, en l’étirant encore et encore, ou qui au contraire peut-être raccourcis par la magie de l’ellipse… Et bien, cette trève n’était qu’une illusion. Elle était loin d’être libérée, loin d’être prête à être rangée, non… Vu qu’il y avait encore un autre sujet mâle qui était là pour elle… Et ainsi...

Elle se fit de nouveau sodomisée, par un nouvel homme. Ce qui était incroyable dans l’histoire, ce qu’on pouvait faire remarquer, c’est que l’ensemble était banale. Comme cela dura plusieurs heures, les scientifiques faisaient leur travail, et ne s’intéressaient pas forcément à ce qui se passait ! Pourtant Lucie étai constamment bourré ! Elle se faisait prendre, le phallus faisait un aller retour incessant dans l’anus, qui maintenant était bien prêt pour les bites, étant donné qu’il était de plus en plus facile de faire passer un chibre de taille pourtant importante, dans son interieur. Bref, cela continuait, encore et encore, faisant gémir… Et c’était accompagnée de frappe sur ses fesses, de petits coups, et du frottement du reste de son corps contre le sol… Et le pire, c’est que son corps continuait à lui donner encore et toujours du plaisir, sans aucune pause. Elle gémissait et orgasmait…

Entre deux orgasmes, deux gémissements, son esprit tentait de se raccrocher au plus important. Ces souvenirs. Elle avait encore ça, ses souvenirs de classes… C’était extrêmement dur de penser à ça dans les situations où elle était, mais elle tentait quand même. Elle se rappelait de ces cours passer à tenter de travailler sur des équations, des produits chimiques, et principes littéraires, des figures de styles et des dates historiques. Elle pensait à Jeanne, Jeanne, son amie qu’elle estimait toujours possiblement à sa recherche. Oh, elle était sûre que Jeanne, cette fille, devait sans doute être possiblement à sa recherche, et qu’elle allait la trouver. Ces souvenirs, c’était un peu son ultime barrière, constamment attaquée, constamment frappée par le phallus des hommes voraces qui la bourraient depuis autant de temps. Encore une fois… Combien de temps ? Elle était incapable de savoir…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 39 dimanche 19 août 2018, 22:06:29

Combien y en avait-il d’autres ? D’autres esclaves en train de se faire sodomiser dans d’autres cages ? F-182 n’était qu’un sujet comme un autre, une jeune femme jetée dans une immense machine et destinée à devenir une esclave sexuelle. La seule particularité de F-182, par rapport aux autres, c’est qu’elle était destinée à être l’esclave personnelle de la Déesse moderne dirigeant tout cet établissement. Elle était un cadeau d’anniversaire, mais, parallèlement à elle, les scientifiques géraient d’autres cages. En réalité, la salle de contrôle était une salle centrale, et, sur d’autres écrans, on pouvait voir d’autres esclaves se faire tringler. Certaines étaient à un stade plus avancé, puisqu’elles étaient libres de leurs mouvements, et couchaient avec une dizaine d’hommes, ceux-ci se relayant les uns aux autres, et tenaient maintenant depuis des heures, voire des jours. Était-ce si surprenant ? Ceux qui en doutaient n’avaient qu’à se renseigner. Lisa Sparxxx, une actrice pornographique américaine, détenait ainsi le record du monde de la plus grande orgie sexuelle, avec 919 amants en une journée. Partant de là, les modestes séances de la Lactos n’étaient pas grand-chose.

D’autres femmes avaient également droit à l’utilisation d’animaux, des chiens de chasse formés pour les relations sexuelles. Il y avait ainsi une dizaine de cages, et même Leona s’ennuyait. En fait, de manière générale, Leona n’avait jamais été très patiente. F-182 se faisait maintenant baiser depuis plus de deux heures. À chaque fois qu’elle était sur le point de s’évanouir, des seringues s’injectaient en elle, diffusant de l’adrénaline. À terme, son corps serait conçu pour vivre de manière permanente dans le sexe. Leona, elle, s’amusa donc avec plusieurs de ses esclaves, et même deux ou trois scientifiques. Elle les prenait par l’arrière, ou leur ordonnait de venir la sucer, ou urinait en elles. Après tout, Leona était une grande ondiniste. Bisexuelle, elle coucha aussi avec quelques hommes, s’amusant à les voir lui lécher les pieds. Une journée de repos assez ordinaire pour cette jeune Déesse.

Finalement, le traitement anal de F-182 finit par se terminer dans un ultime râle. Les liens la retenant se relâchèrent, et la femme tomba au sol. Son cul et son dos avaient de multiples traînées de foutre, des marques rougeâtres et violacées, et elle respirait lourdement. Quelques minutes passèrent avant qu’une lumière ne s’allume. La vision fut rendue à F-182 qui put voir, devant elle, plusieurs des esclaves de Leona, qui l’aidèrent à se redresser, la tenant par les épaules, et Leona elle-même debout.

« Alors ? »

Les doigts d’une esclave claquèrent devant les yeux de F-182.

« Elle comate, Maîtresse...
 -  Tout cela est assez décevant. Il y a encore besoin de beaucoup te former, F-182 ! Le temps presse, et les résultats attendus ne sont pas à  la hauteur ! »

F-182 s’en sortait en fait plutôt bien, dans la mesure où il y avait pire... Mais il y avait aussi mieux. Même avec les stimulants, F-182 avait fini par être à bout de force. Leona marcha pendant quelques secondes, avant de rajouter :

« Viens me lécher les pieds, F-182 ! Remue ton cul de salope, allez ! »

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 40 mercredi 22 août 2018, 22:00:13

On doutait souvent de la puissance du corps humain. Cela était sans doute du à des années et des années de vie dans une relative confortable vie occidental. À l’ère où le moindre bobo amenait de suite chez le médecin, on semblait oublier que les humains modernes avaient survécus à plus de 100 000 ans d’histoire, de multiples changements sociétaux, géographique, géologique… Ils avaient colonisés tout les espaces sur terre, vivaient maintenant de l’Antarctique jusqu’au désert les plus chauds… Et certains étaient capable de faire des gang-bang absolument intense. Pourquoi cela serait plus illogique qu’un homme capable de faire 100 mètre en moins de 10 secondes ? Quelqu’un capable de monter les plus hautes montagnes du monde ? Bref, ainsi, les performances sexuelles étaient des performances comme les autres, qu’on pouvait améliorer, comme les autres.

Et là, nous étions plein dedans. Mais Lucie restait Lucie, bien qu’elle avait été renforcée. Ce qu’elle faisait était exceptionnelle pour une jeune femme de son âge. Il fallait se rappeler qu’elle avait quinze ans, et qu’elle connaissait le sexe anal que depuis peu ! Mais visiblement, ce n’était pas suffisant… Et c’était logique pour quelqu’un comme Leona considère cela comme « peu » ou « pas suffisant ». Après tout elle avait sans doute entrainé des tas et des tas de femmes. En gros, en résumé, Lucie n’était qu’un détail, dans sa très longue liste de femmes et hommes entraînés. Bref, elle ne devait pas croire que son cas était unique. Oh non ! Après elles, d’autres femmes y passeraient, et avant elle, il y en avait eu.

« Alors ? »

Quelqu’un… Quelqu’un parlait ? Oui, elle en était sûre, mais c’était difficile de savoir… Après un long moment où râles avaient été poussés, gémissement, et même plusieurs orgasmes, la fameuse Lucie avait été détachés, et s’étalaient tout du long de son corps sur le sol… Elle était dans une position obcène, et comme la dernière fois, son anus débordait de sperme, ses fesses étaient bien violacé, c’était assez beau à voir… Elle venait quoiqu’il en soit, de retrouver la vue, enfin, et voyait donc… C’était encore les fameuses assistances de Leona. Elle arriva à faire fonctionner son cerveau pour les reconnaître, ce qui on va bien le dire, était un sacré exploit, vu ce qu’elle venait d’enchaîner… Ainsi…

« Elle comate, Maîtresse...
 -  Tout cela est assez décevant. Il y a encore besoin de beaucoup te former, F-182 ! Le temps presse, et les résultats attendus ne sont pas à  la hauteur ! »

« Aaaah... »


Ce « Aaah » dans les fait, avait été une tentative de réponse, mais visiblement, cela n’avait pas bien marchée. Elle n’avait pas réussi à dire ce qu’elle voulait dire. Qu’avait-elle voulu dire ? Et bien, impossible de savoir. De toute façon, Leona visiblement voulait faire ce qu’elle voulait, et donc, quoique tente Lucie, elle savait qu’elle n’y arriverait jamais… Son… Son passé de jeune lycéenne, on va bien le dire, lui manquait… Mais maintenant, elle comprenait qu’il n’y avait pas de retour… Comment faire pour empêcher cela ? Leona était une déesse, qu’elle le veuille ou non, qui avait tout les pouvoirs sur elle. Elle pouvait bien tenter d’empêcher cela, mais cela ne servait à rien. Elle était face à sa déesse, celle-ci d’ailleurs qui avait visiblement des ordres à lui donner, étant donné que fut déclarer :

« Viens me lécher les pieds, F-182 ! Remue ton cul de salope, allez ! »

« B… bien... »


Oh ! Elle avait réussi à dire un mot ! Non sérieux, vu son état, c’était quand même assez… incroyable ! Bref, la fameuse Lucie tenta de s’approcher de sa maîtresse. En tout cas, là où la dite maîtresse pouvait être contente, c’est qu’il n’y avait aucune, mais alors absolument aucune résistance ! Elle tentait pas d’empêcher ça, elle tentait pas ne serait-ce que de ralentir le tout… Non, elle tentait vraiment ! Mais vous avez bien compris, elle faisait que tenter. Elle avait trop mal au cul pour réussir à ne serait-ce que se mettre à quatre pattes, et finalement, s’écroula misérablement, le cul encore légèrement en l’air, au pied de Leona… Mais, voilà, elle avait quand même la tête juste au niveau des fameux pieds… Donc, voilà, elle sorti sa langue, et comme ça, elle lécha misérablement les pieds qui se présentaient à elle. Loin d’être gracieuse, on pouvait avoir des doutes sur la véritable réussite de son action… Mais…

MAIS ! Mais elle arriva à faire ce qu’on lui avait demandé. Même si c’était loin d’être vraiment réussi, une part d’elle… Une toute petite part… Bah avait une sorte de sentiment de fierté. Cela pouvait sembler absurde, mais réussir là, à faire ce qu’on lui demandait, c’est à dire lécher les pieds de sa « maîtresse », et bien… Dans ses conditions, c’était quasi un miracle ! Après tout, elle était loin d’être en forme. Cependant, il fallait bien dire que ce qui apportait donc fierté à la fameuse jeune demoiselle, ou plutôt à F-182, et bien, ne serait pas suffisent pour Leona ! Elle ne léchait que faiblement le pied, passant lentement sa langue, et tentant de faire ce qu’on lui demandait, mais dans les fait, elle n’y arrivait qu’à peine. Donc, on allait bien voir ce qu’allait faire Leona. Sans doute accélérer tout ça, car elle progressait trop peu vite…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 41 lundi 27 août 2018, 00:42:00

Leona ne s’attendait pas à ce que F-182 y arrive. Mais elle voulait au moins la voir essayer... Car cette tentative lui parlait plus que tout le reste, cette tentative était la preuve que, fondamentalement, F-182 ne chercherait pas à se rebeller, qu’elle était dressée, obéissante... Alors, somme toute, en la voyant s’approcher, Leona sourit lentement, une lueur malicieuse dans le blanc des yeux. Le visage de F-182 s’écroula contre sa chaussure, et la jeune blonde pencha la tête sur le côté, mains posées sur les hanches.

« Bon... »

La jeune femme fléchit alors les genoux... Et sa main caressa tendrement les cheveux de sa petite esclave, comme pour la féliciter, à sa manière. Elle la félicitait d’avoir tenu, d’en être arrivée jusque-là. C’était bien elle, sa petite chienne, son précieux cadeau pour sa mère. Un léger sourire se dessina ensuite sur le visage de Leona. La jeune femme venait d’acquérir cette intime conviction qu’elle y arriverait, qu’elle parviendrait à la former, et qu’elle serait prête à temps pour l’anniversaire.

« Laissez-là se reposer... Puis nous continuerons la formation. »

Les esclaves ramenèrent F-182 sur une civière, soulevant sans difficulté son corps, et, pour la première fois depuis longtemps, la jeune femme put goûter au confort d’un vrai lit. Elle fut déposée dans une chambre capitonnée, une pièce sans aucun meuble, avec des murs blancs, aseptisés... Une véritable chambre d’asile, mais elle était après tout dans un institut psychiatrique de haute sécurité, à Ravenborn.

Au petit main, F-182 put se réveiller. Depuis une fenêtre dans un coin de la chambre, la lumière du soleil venait éclairer l’ensemble. Elle portait un uniforme beige uniforme, grossier, donnant presque l’impression qu’elle était passée du laboratoire sexuel à un asile. Était-ce la continuation de sa formation ? Ou une journée de repos ? Qui aurait pu croire qu’elle avait droit à une journée de repos ? Mais que signifiait ceci, alors ? Pour une fois, elle n’était pas réveillée par un chibre. Pour une fois, il n’y avait pas des hommes en chaleur, ni des tentacules, des drogues, juste... L’étonnante sensation d’un réveil banal et ordinaire.

Dans un sifflement, la porte s’ouvrit.

« C’est l’heure du repas ! s’exclamait une infirmière dans le couloir. Tous au réfectoire ! »

Toutes les portes s’étaient ouvertes, et F-182 put voir d’autres individus avancer. Et, somme toute, la faim devait sans doute tirailler le ventre de la jeune fille, puisque son corps avait brûlé un nombre très élevé de calories hier. Il ne lui restait plus qu’à suivre le groupe. Les visages étaient renfrognés, silencieux. Une atmosphère surréaliste, qui s’accrut encore quand F-182 rejoignit le réfectoire. C’était une grande pièce dans un chalet en bois, avec des fenêtres donnant sur la terrasse à l’extérieur. Depuis là, on avait une vue fantastique sur les Alpes, une série de montagnes, de forêts, avec des neiges éternelles sur certains monts.

Le plus étonnant, encore une fois, venait du mutisme généralisé. Aucun des pensionnaires ne parlait entre eux, tandis que des agents leur donnaient du pain avec du beurre, le tout avec des couteaux en plastique, et servaient des chocolats chauds.

« Mangez bien ! Prenez des forces ! »

Contre un mur, un énorme écran affichait parfois deux numéros. Un « M » et un « F »... Etr les concernés se relevaient alors, puis faisaient l’amour entre eux, le M plaquant la F, et venant la bourrer. Les soupirs et les gémissements se mélangeaient alors aux bruits des cuillers et des mâchoires avalant le pain.

Quoi de mieux pour convaincre un individu de la normalité d’une situation anormale que de l’entourer de gens anormaux comme lui ? Finalement, la normalité n’était qu’une conception très subjective, dépendant fortement de son entourage...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 42 mercredi 29 août 2018, 22:21:49

Elle avait réussi son coup… Mais ce fut la dernière chose qu’elle arriva à faire. Elle tomba dans les pommes, incapable de faire quoique ce soit de plus. On pouvait comprendre en même temps… Comment réussir à faire plus ce qu’elle avait fait ? C’était déjà exceptionnelle d’arriver à tenir dans ce genre de situation… C’était pas quelques choses de facile ce qui s’était passé pour elle ! Elle ne put entendre avec précision ce que son interlocutrice et maîtresse déclara, mais comme une chienne, elle se sentit heureuse quand elle reçu une caresse sur sa tête… C’était… C’était extrêmement gentil… Bref, elle était heureuse de quelques choses d’aussi basique qu’un peu de décence humaine. Mais après ce qu’elle avait subit, c’était compréhensible qu’elle soit dans un état un peu… Comment dire… Spécial ! Bref, ce fut le tour complet après.

Le black-out fut total, mais quand elle revint à elle… Elle était dans un milieu… Normal. Oui, une chambre, une vraie chambre. C’était très sobre, et cela ressemblait beaucoup à un hôpital ? Etait-elle… Sauvée ?! Elle n’en savait rien. Elle avait un peu mal partout, mais bien moins que ce qu’elle pensait devoir avoir niveau douleur. C’était surprenant. Bref, elle était surprise… Mais heureuse. Franchement, elle n’aurait jamais cru qu’elle aurait été rêvé d’un simple lit. Ici, pas de cuves, pas de mâles en rutes, pas de maîtresses pour lui faire du mal… Bref, c’était comme si cela était enfin terminée… Comme si elle s’était réveillée d’un cauchemar. Seul son corps qui avait connu des modifications -elle voyait bien que ses seins avaient bien grossis-, et ces quelques douleurs la faisaient dire qu’elle n’avait pas rêvé tout ça…

« C’est l’heure du repas ! Tous au réfectoire ! »

Ce fut à ce moment là qu’elle remarqua qu’elle avait faim. Très faim. Depuis quand n’avait-elle pas mangée ? Bref, elle suivit le groupe. Parfois, elle tenta de parler, mais le mutisme général lui faisait trop peur. Elle devinait qu’elle n’était pas tout à fait rentrée chez elle, mais de l’autre côté, qu’elle n’était pas dans le même milieu. Et l’esprit changea du tout au tout, quand elle vit l’endroit où les personnes marchants étaient toutes arrivés. Une sorte de salle de repas d’un gite de montagne. Ouais, c’était presque ça… C’était surréaliste encore une fois. Elle ne savait pas où elle était.. Qu’est-ce que tout cela voulait dire ? Etait-elle vraiment sortie de l’auberge ? Bref, toutes ses questions n’eurent d’importance à ces yeux, étant donné que la faim était la plus importante là, dans cette situation.

« Mangez bien ! Prenez des forces ! »

Personne ne parlait, tout était silencieux. Elle avait du mal à concevoir ce qui se passait exactement, l’ensemble était très… étrange. Bref, elle commença à manger, tranquillement. Tout les couverts étaient en plastiques, empêchant ainsi la moindre tentative de faire une révolte, ou faire un suicide, mais de toute façon, l’idée même ne serait-ce pas venue à la fameuse Lucie. Mais on voyait quand même qu’avec ce genre de détails, et bien, ils avaient pensés littéralement à tout. Bref, la demoiselle aux cheveux blond commença à manger, elle tentait de manger pas trop rapidement, étant donné que même si elle avait faim, elle savait qu’elle devait pas non plus pour autant manger comme un goinfre, et donc, tomber malade. Mais quand même ! Elle mangeait avec appétit.

Elle n’aurait pourtant, normalement, jamais pensée qu’elle aurait pu manger dans ce genre de situation… En effet, il fallait bien dire qu’il eut deux détails qui lui firent comprendre que non. Non, elle n’était pas sauvée, et qu’elle avait encore du soucis à se faire. En effet… Ce quelques choses, c’était le fait que… Que… Que des hommes et des femmes étaient entrain de faire l’amour dans la salle. Maintenant, notre fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or savait que l’acte qui était pratiquée dans cette situation là s’appelait la « sodomie ». Génial, elle aurait bien aimé ne jamais le savoir. Si seulement, elle pouvait avoir une bonne lobotomie histoire d’oublier ce genre de chose… Ouais, ça serait sympathique. Malheureusement, lobotomie s’il y avait, cela ne serait pas pour oublier ça… Mais passons.

Le second détail fut comment elle était appelée… Ou plutôt comment les personnes ici étaient appelés. Elle n’était pas « Lucie Martin », ce qu’elle estimait toujours être avant toute chose son nom… Mais il y avait encore l’usage de ces numéros. Et là, les numéros étaient important. Les numéros changeaient, et ceux qui apparaissaient à l’écran était donc ceux qui devaient faire l’amour… D’accord. Il n’y avait aucun paterne pour les numéros, donc, impossible de savoir qui serait le prochain. Les numéros défilaient… Et finalement, le F 182 apparu. Elle avala sa salive. Elle savait que cela ne servait à rien de tenter de ne pas le faire. Elle aurait sans doute une punition négligeable… Et à quoi cela servait ? Elle n’avait pas envie d’être tabassée, donc, et bien… Autant obéir.

Elle se leva donc. Et regarda, l’homme concerné devait sans doute être pas loin.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 43 samedi 08 septembre 2018, 15:30:46

Les traitements de la Lactos se fondaient sur de multiples expériences et autres tests historiques. Le fonctionnement de l’Institut Ravenborn était très pavlovien, et les penseurs à l’origine de ce système s’étaient beaucoup inspiré&s de l’expérience de Watson. S’inspirant des études d’Ivan Pavlov sur le conditionnement, le docteur John Watson avait réalisé dans les années 1920’s une expérience de conditionnement sur un jeune garçon. La théorie de Patson sur le conditionnement partait du principe qu’il était possible de créer un stimulus et de conditionner inconsciemment les gens. Le concept reposait sur des notions faciles à appréhender. Un individu lambda, face à ce que Pavlov appelait un stimulus inconditionnel (SI), dégageait une réaction conditionnelle (RC). La théorie de Pavlov consistait à introduire un autre élément, un stimulus neutre (SN) pour modifier l’ensemble. Par exemple, en voyant une poitrine, un homme ressentait du désir, et une érection. En jouant avec ce système, on pouvait conditionner les individus.

Watson avait donc réalisé l’expérience du Petit Albert. Cette expérience très particulière était aujourd’hui utilisée dans le traitement contre les phobies. Watson avait réalisé une expérience avec un enfant qui aimait les souris blanches, mais avait très peur des sons forts. Ainsi, quand on frappait deux bâtons entre eux, un son fort se dégageait (SI), déclenchant une réaction panique chez l’enfant (RC). Le docteur Watson avait alors inclus la souris (SN). À chaque fois que la souris s’approchait du petit Albert, le docteur déclenchait les bâtons, jusqu’à ce que le simple fait de voir la souris ne panique l’enfant. Le docteur Watson avait ainsi créé un stimulus conditionnel déclenchant automatiquement une bonne réaction.

De tels travaux avaient servi de fondement aux recherches des chercheurs de l’Institut Ravenborn, et on en voyait le résultat. Les cobayes réagissaient intuitivement, et le sexe devenait un stimulus conditionnel les amenant à ressentir systématiquement du plaisir. C’était l’une des nombreuses preuves des faiblesses de l’esprit humain, qui se déclencha encore quand l’appareil annonça « F-182 ».

La jeune femme se releva alors, tandis que M-072 fut annoncé. Un homme se leva à l’extrémité du réfectoire, et se rapprocha de F-182. Il était assez massif, le crâne rasé, rejoignit donc la femme. Près de la table, il déboutonna alors l’uniforme de F-182, jusqu’à révéler ses seins, puis sourit lentement, avant de poser ses mains sur eux, et les caressa, pinçant les tétons.

« Ce que t’es bonne, toi... »

Plus le conditionnement avançait, et plus les cobayes fonctionnaient de manière inerte, atone, ne se réveillant que quand le désir sexuel remontait en eux. M-072 sourit malicieusement, et pinça plus fortement les seins de la femme, avant d’aller l’embrasser. Il fourra sa langue dans sa bouche, puis continua à déshabiller F-182, jusqu’à ce qu’elle retrouve toute nue.

« Commence par me sucer, F-182... Excite-moi bien avant que je t’encule. »

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 44 mercredi 12 septembre 2018, 19:10:11

Lucie n’avait aucune idée de système de conditionnement. Elle n’avait jamais travaillé ça. Il faut dire, c’est quelques choses qu’on aborde que trop rarement dans les cursus du secondaire. C’est dommage, vraiment, je suis sûr qu’il y aurait plein, mais alors plein de chose à dire ! Mais voilà, on ne pense pas assez aux choses qui peuvent être un peu amusante pour tout le monde… Ahlala. Qu’est-ce que le monde est mal fait ! Bref, quoiqu’il en soit, Lucie avait donc une impression extrêmement dérangeante, mais elle ne pouvait pas comprendre le système de conditionnement. Pour elle, c’était juste que voilà, les numéros l’avaient dit, et si elle ne voulait pas être punie, et bien, elle devait le faire. C’était inconditionnel. Elle en était bien triste, mais elle devait obéir. Ainsi, elle était arrivé jusqu’à l’homme visiblement… Un homme grand et rasé, contrairement à elle qui avait toujours ses longs cheveux blonds.

« Ce que t’es bonne, toi... »

« Me… Merci... »


C’était ça le pire. Après tout ce qui s’était passé, une trop inquiétante impressionnante impression (ouah la répétition dégueulasse) de… Normalité. Tout avait l’air trop… Trop… Normal. Comme s’il n’y avait rien de différent. Bon sang, elle ne savait pas quoi dire. L’homme tripotait ses seins, sans aucune hésitation, et n’hésitait pas à les pincer, les tortiller… Cela la faisait bien entendu gémir, sans qu’elle puisse se contrôler. Une chose était intéressante avant de suivre tout ça… Le fait qu’elle trouvait ça normal, cela voulait dire que maintenant, elle trouvait ça normal qu’un homme plus âgé qu’elle vienne comme ça lui tripoter les seins. Comme s’il n’y avait aucun soucis avec cela. Ce qui est tout à fait frappant ! Cela montre bien que le conditionnement était en route ! Car réussir à penser cela, alors qu’on se fait conditionner… Et bien là, cela montre que cela marche. Quoiqu’il en soit, Lucie était maintenant entièrement nue… Et donc...

« Commence par me sucer, F-182... Excite-moi bien avant que je t’encule. »

« Bien… Bien sur… Enfaite… Moi c’est Lucie... »


Elle ne voulait pas oublier son nom, c’était comme une ultime résistance, et comme l’homme, bien qu’il disait clairement son attention final, venir enculé la pauvre jeune demoiselle, et bien, ne semblait pas trop méchant, contrairement à TOUTES les personnes qu’elle avait rencontrée depuis qu’elle était là, et bien… Elle espérait qu’il fasse cette concession, et qu’il décide bien de l’appeler par son nom. Qu’il l’encule, ok, elle savait qu’elle n’y échapperait pas -je veux dire, elle n’avait fait que ça depuis qu’elle était arrivé, elle n’était pas dupe, et savait très bien que cela n’allait pas s’arrêter comme ça pour ses beaux yeux-, mais au moins, qu’il dise son nom, et non pas son « code » alors qu’il enfoncerait son phallus dans son anus -qui au passage, précisons le, était encore bien dilaté, hein, pas un hall de gare, mais pas mal quand même !

« Vous dîtes si ça ne convient pas... »

Elle avait été dénudée par l’homme, c’était à son tour de dénuder. Elle se positionna à genoux, et commença à baisser bien sagement le fameux pantalon de l’homme. Se révéla bien vite un phallus d’une taille imposante. L’homme était bien membré, cela ne faisait aucun doute. Une chose était sûre : si Lucie arrivait à s’enfuir, et bien, elle serait choqué à jamais comment en vrai, les phallus d’hommes sont petits. Et ouais, les phallus qu’elle avait découvert étaient tous de tailles absolument énorme, donc, vous devinez que les phallus normaux… Enfin, pas d’inquiétude, car il était très TRES peu probable qu’elle s’échappe un jour de cela… Donc, quoiqu’il en soit, la jeune demoiselle aux cheveux blond avait le pénis devant elle… Il fallait bien qu’elle fasse quelques choses avec elle. Elle savait bien qu’elle ne pouvait pas rester passive, et donc…

« Mmh... »

Elle n’était pas encore très douée pour cela. En effet, les seuls fellations qu’elle avait fait, on lui avait enfoncé la bite dans la bouche, sans aucune préparation, et c’était les personnes qui s’étaient débrouillés pour gérer tout, Lucie avait donc eu un rôle tout à fait passif. Là, elle devait faire quelques choses de tout à fait différents, car elle devait avoir un rôle actif. Cela passait par une certaine maladresse qui avait son charme. Quelques coups de langues sur le gland, une grande hésitation quand il s’agit de prendre un peu plus en bouche, bref, on sentait qu’elle débutait encore. Mais encore une fois, le conditionnement faisait qu’elle tentait de faire de son mieux pour satisfaire l’homme. Elle prit alors une grande respiration, et avala progressivement le gland, et une partie du phallus. Bon sang, il était « gentil » pour le moment, mais il pourrait sans doute devenir violent, si elle n’était pas suffisamment bonne. Voilà pourquoi elle devait faire de son mieux… Vraiment de son mieux.


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