Ce qui se passait était vraiment une merveille. Alors, attention, oui, c’était horrible, atroce, inacceptable, un crime… Bref, vous aurez compris. Mais c’était une merveille. La Lactos Compagnie avait quand même réussi à organiser tout ça, avait fait des nombreuses découvertes, et montraient à quel point on pouvait aller loin dans la recherche scientifique. À quel point on pouvait pousser le corps humain… C’est horrible ? Et bien possible. Mais rappelez-vous que si on peut aller sur la Lune, c’est grâce à un ingénieur qui a fait un missile qui pouvait bombarder Londres depuis l’Allemagne. Ce n’était pas car quelques choses était horrible en soit, que cela voulait forcément dire que toutes ses inventions ne pouvaient pas donner l’avenir, l’avenir de la recherche et de la science…
« Ses signes vitaux se stabilisent...
- Ça y est, la dopamine se libère... »
Mais revenons à Lucie. Car en effet, Lucie était quand même toujours Lucie pour le moment. Bien que son nom n’était jamais mentionné, et bien, la fameuse jeune demoiselle aux cheveux blonds était encore dans sa tête « Lucie », elle savait encore qui elle était, d’où elle venait, et ce qu’elle savait. Mais c’était compliqué d’y penser, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas eu un moment pour s’en remémorer. Là, si elle tenterait, elle ferait quelques fautes, par exemple. Bref, pourquoi elle ne pouvait pas trop y penser là en ce moment… ? Alors, je ne suis pas expert, je vais bien le dire… Mais je pense que le fait qu’elle a, durant ce moment clef, un phallus dans l’anus, pouvait expliquer cela. Cela ne reste bien entendue qu’une théorie difficilement vérifiable en l’état, mais voilà !
Elle avait mal. Cela faisait mal, son anus, bien que largement élargie par ce qu’il avait eu avant, et bien, n’était pas non plus prêt pour tout cela, donc, cela faisait bien mal. Mais, et il y a toujours un mais… Et bien, elle ne savait pas pourquoi… Mais elle ressentait du plaisir. De ces quinze ans, elle connaissait pas assez malheureusement le monde des sciences neuronales pour savoir ce qu’était la dopamine. Dans un sens, cela ne serait pas forcément super utile. Après tout, elle pourrait apprendre pourquoi, mais cela ne l’avancerait pas tellement que ça. Bref, de toute façon, ainsi, elle ressentait douleur et plaisir, deux sensations qui étaient littéralement en compagnie là, chez la demoiselle aux cheveux blonds !
Ainsi, bien malgré elle, et bien, elle commençait à accompagner le mouvement, bougeant son corps en harmonie avec le mouvement de vas et viens qui défonçait son anus. Comme précédemment, son corps était toujours aussi doux, ses seins faisaient des vas et viens, et donc, elle continuait à prendre encore plus de plaisir. Car oui, c’est véritablement un cercle vicieux (ou vertueux, suivant la position où vous vous mettez.) ! En effet, la jeune demoiselle donc ressentait du plaisir à cause de sa naissance même, quand elle se faisait baiser. Donc, elle accompagnait le mouvement, accélérant donc son propre plaisir. Donc, renforçant la production de dopamine, et donc, ayant encore plus de plaisir. Vous avez compris ? Elle était coincée, elle pouvait plus s’en sortir… Et cela devait être très amusant à voir… Et entendre !
« Tellement… Chaud… Partout... »
Ah ! Elle parlait de nouveau un peu. Et en effet, le plaisir lui donnait chaud, elle transpirait, gémissait et était en sueur. Sa langue pendait alors exactement comme la chienne qu’elle était. N’oubliez pas comment appelait notre fameuse Leona appelait la jeune demoiselle ? Une chienne ! Et là, on pouvait tout à fait le dire : elle se comportait exactement comme une chienne, en haletant, gémissant, et se faisant bien prendre dans le cul. Enfin, je sais pas si les Chiens se prendre régulièrement des hommes génétiquement modifiés dans le cul… Mais voilà ! Alors qu’elle continuait de gémir, et de mouiller comme une chienne, elle tentait de trouver les moyens de dire des mots, une phrase à peu près construite… On allait voir si elle allait y arriver, mais à mon avis, entre le plaisir et le fait de se faire bourrer le cul, cela était compliquée...
« Aaaah… Arrêtez… Plus… Plus... »
Attention. À l’écrit, cela ne se voit pas… Mais enfaite, ses paroles là étaient paradoxales. Comment cela ? Et bien, elle disait « arrêtez » et elle disait aussi « plus », mais dans le sens… Plus ! Avec un « s » qui s’entend aussi bien ! Bref, elle gémissait de plaisir, un peu perdue, et continuait d’haleter. D’ailleurs, le plaisir était bien là, étant donné qu’elle arriva à la jouissance, mouillant encore plus ! Elle avait encore plus chaud qu’avant, et son anus, lui, continuait de recevoir le phallus, qui ne faisait bien entendue pas la moindre pause… Après tout, à quoi cela servait ? L’homme qui la bourrait aviat été construit visiblement pour faire cela… Donc, il n’allait pas s’arrêter aussi aisément ; Sans doute pouvait-il encore donner de nombreux orgasmes à la demoiselle aux cheveux blond, sans qu’elle puisse rien faire d’autres que gémir comme la vulgaire chienne qu’elle était, bien qu’elle le niait encore.