La sodomie n’était pas quelques choses de facile de suite ! En effet, il fallait comprendre que quand vous débutez la sodomie, bah au début, c’est pas la grande joie ! Surtout quand c’est contre votre gré, bah, c’est ce qu’on appelle un viol, déjà, mais on pouvait être quasi sur que Leona s’en contrefichait complètement de l’avis de la fameuse jeune femme. De toute façon, elle la considérait déjà comme une chienne, donc franchement son avis sur ce genre de truc, sans doute qu’il était extrêmement secondaire, et qu’au fond, elle s’en fichait qu’elle souffrait. Mais visiblement, si elle s’en fichait qu’elle souffrait, cela, on l’a bien compris… Et bien, elle ne se fichait pas de ce que disait la fameuse Lucie… Car vis à vis de ces déclarations, voilà ce qu’elle répondit…
« Pour qui tu te prends, hein... ? Hmmm... De quel droit une sale chienne comme toi ose me parler ainsi... ? Me... Me supplier, haaaa... »
« AIE !!! AIIIIIE ! »
Il faudrait mieux pour que cela s’arrête qu’elle se taise, n’est-ce pas ? Malheureusement, elle n’y arrivait pas. Elle couinait, et hurlait de douleur, alors que le fouet venait mordre sa peau. Il fallait l’excuser, pour beaucoup, elle n’avait jamais été fouettée auparavant dans sa vie… Et ça faisait mal, on va pas le cacher ! D’ailleurs, cela se voyait sur son dos, son dos qui se marquaient des marques de fouets, qui se gravaient dans sa peau. Sans doute qu’elle allait même un peu saignée. Après, sans aucun doute, si elle avait été régulièrement torturée dans sa vie, cela se serait mieux passée… Mais là, il fallait se rappeler que jusqu’à il y a quelques jours, elle avait été une adolescente normale, vivant une vie normale, et qui n’avait pas l’habitude de tout ça…
« Tu sais, l’Olympe est une mythologie qui a été basée sur de vrais personnes. Des individus si forts, si populaires, qu’aux origines de la Grèce antique, ils se sont déifiés. Ils avaient droit de vie et de mort sur leurs sujets... Crois-tu donc que tout cela a disparu ? Hah, pauvre conne ! Tu es une chienne, MA chienne ! Les gens mourraient pour avoir ce privilège ! Moi, et tous les autres, nous sommes les Olympiens du troisième millénaire ! »
Oui… C’était une théorie assez ancienne qui dirait que les Dieux Grecs, enfaite, avaient été des héros des temps anciens -X-XI siècle avant J.C.- bien souvent, et qui auraient été déifié par les populations, créant les dieux qu’on connaît. Cela portait un nom… Mais évidemment, vu la situation, elle n’était pas trop en position pour en parler ! Non, elle était fouettée, maltraitée, et la femme faisait crisper le latex tandis que son phallus continuait de faire son chemin dans l’anus toujours recalcitrant de la fameuse Lucie Martin ! Celle-ci couinaient, mais ne se plaignaient plus, tout ce qu’on entendait pour le moment, c’était ses petits cris de douleurs, de plaintes, montrant qu’elle souffrait toujours autant, mais qu’elle avait eu la présence d’esprit d’arrêter de se plaindre pour ne pas se faire refouetter !
« Aboie, sale pute... Aboie, tu es ma chienne !! »
« OUAF ! »
Alors que plusieurs femmes s’approchèrent des deux beaux seins qui pendouillaient, et installèrent une pince sur les tétons, le tout reliée à une chaine en argent -ou seulement argenté, impossible de savoir du premier coup d’oeil, notre fameuse vache, je veux dire chienne, je veux dire Lucie aboya pour la première fois. Ce ne fut pas un petit « ouaf » discret, ce ne fut pas un « pitié, je ne veux pas aboyer », suivi d’un ouaf… Non, c’était un vrai cri qui venait du fond du coeur… Pourquoi cela ? Et bien, car elle espérait vraiment que si elle aboyait, elle aurait la chance que cela s’arrête, que cela s’arrête vraiment une bonne fois pour toute… Donc, on obéissait, c’était un principe célèbre : Si tu obéis, tu te dis que tu ne vas pas te faire trop torturer… Donc, elle aboyait… Et ce n’était pas fini, étant donné qu’elle déclara après !
« OUAF OUAF ! OUAF OUAF OUAF ! »
Elle continuait d’aboyer, alors que la sodomie continuait son passage… Celle-ci devait être un poil, je dis bien, un poil plus facile, mais restait grosso-modo assez compliqué, étant donné que la fameuse Lucie n’aidait pas à cela. Donc, c’était du perdant-perdant, étant donné que la fameuse Lucie n’en n’avait que plus mal. Comme elle n’arrivait pas à se relacher, à se libérer, et bien l’ensemble ne faisait que devenir douloureux, encore plus douloureux, toujours plus douloureux. Mais il y avait un peu d’espoir, étant donné qu’elle obéissait de plus en plus, donc son corps se relachait quelques peu, tandis qu’elle commençait à suivre les vas et viens, faisant rebondir avec enthousiasme ses seins, et faisant voltiger ses cheveux.
« OUAAAAAAF ! »
Elle hurla un grand ouaf, faisant qu’elle était ça y est, profondément humiliée… Mais elle se devait de tenir le coup… Car elle était pas une chienne, au fond. Elle le savait, elle devait juste le faire, car elle était obligée et maltraitée, très fortement maltraitée ! Cependant, si elle essayait de tenir le coup intellectuellement parlant, dans l’espoir… Et bien, elle devait bien avouer qu’elle n’avait plus beaucoup d’espoir… On ne viendrait pas la sauver, on ne viendra pas la chercher… Mais elle devait tenir, car elle ne voulait pas souffrir. Tout ce qu’elle voulait, c’est que cette maudite sodomie s’arrête, et qu’on la laisse tranquille, qu’on la laisse dormir, qu’on la laisse manger… Bref, qu’on la laisse être une chienne, s’il fallait, mais qu’on ne lui fasse pas de mal...