Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'Entreprise [PV : Alice]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 15 lundi 28 mai 2018, 20:21:18

Leona Morimoto appartenait à l’élite mondiale. Elle était bien au-delà de tout ce que F-187 pouvait espérer être. Les médias, les journaux comme Forbes, parlaient souvent de ces individus à la fortune colossale. Des individus disposant de dizaines de milliards de dollars... Eh bien, c’était le cas du clan Morimoto. Leona était venue au monde avec une cuiller en argent dans la bouche sertie de plusieurs diamants parfaitement taillés le long de la manche. Elle avait bénéficié d’une éducation exceptionnelle, et, même avant ça, sa mère avait eu recours à une thérapie génique pour s’assurer d’avoir une fille exceptionnelle, unique au monde. L’homme choisi pour l’engrosser avait également été sélectionné sur la base de multiples critères, afin de s’assurer que Leona ne naisse pas au monde avec des tares génétiques. Avec sa fortune, Leona avait suivi une éducation privée dans l’immense manoir familial. Elle était aussi belle que cultivée, et, comme F-187 pouvait le voir, elle portait une délicieuse poitrine, et une assurance incroyable.

Confuse, la femme devant elle venait à peine d’entamer son traitement. Leona, elle, aimait profondément sa mère, et avait été très heureuse d’apprendre qu’elle avait enfin trouvé le parfait cadeau d’anniversaire. Toujours assise sur le visage de F-187, elle se décida à lui parler un peu, profitant du fait que la femme avait encore l’esprit qui continuait à fonctionner :

« Évidemment que tu seras sage, mais je n’aime pas me répéter. Ai-je parlé de te libérer ? Tu es ma chienne, et je ne libère pas mes chiens. »

Il était bon de noter que F-187 n’était même pas dans l’agressivité, mais dans une passivité exceptionnelle. Elle ne cherchait pas à se battre, ni à contester sa situation. Leona en gloussa légèrement, et retourna poser sa culotte sur son visage, remuant un peu de gauche à droite, étouffant à moitié la belle femme. F-187 devrait probablement commencer à ressentir les odeurs corporelles de Leona, qui étaient délicieuses, très agréables. La femme prenait un soin méticuleux et très important de son corps, entretenant sa beauté, sa perfection, tant physique que spirituelle.

« Ma mère m’a appris dès que j’avais huit ans à dresser des chiens... J’ai toujours été très douée là-dedans, avec une nette préférence pour les femmes. Tu les vois autour de toi... Ce sont pour la plupart des filles de salariés de la Compagnie, que nous avons pris, élevé, et cultivé. Il y a aussi des inconnues, des femmes kidnappées. La première que j’ai dressé avait été kidnappée, par exemple. Crois-tu donc vraiment que ton sort sera différent ? Je croyais pourtant que les Français étaient bien éduqués. Tu vis au 21ème siècle, un monde gouverné par des sociétés utopistes qui visent à contrôler le monde. »

C’était le discours du Docteur Lombier. Leona appuya encore davantage sur le visage de la femme, et reprit encore :

« Tu crois que Facebook ne vise qu’à développer un réseau social ? L’objectif de cette compagnie est de contrôler l’information, de décider ce qui relève ou pas de la vie privée... C’est-à-dire rien. Amazon développe un monopole en matière de vente, et cherche à contrôler le savoir, à être le seul organisme qui pourra distribuer et vendre des livres. Notre compagnie n’est pas bien différente. À nos yeux, F-187, tu n’es pas un être humain, tu es juste un produit de consommation. »

L’esclavage post-moderne, un esclavage insidieux, sournois, où l’humain n’était plus vu comme un être digne et égal aux autres, mais comme un simple bien de consommation, qui était là pour suivre le mouvement, et accueillir les produits de multinationales corrompues aux visions grandiloquentes et orwelliennes. Google n’était pas bien différente, et le disait même publiquement : la vie privée n’avait pas d’importance, et ne devait pas en avoir.

Leona se redressa doucement, et posa sa main sur la fermeture Éclair de sa culotte. Elle souleva cette dernière, révélant son intimité, très propre, très épilée.

« Et, en l’occurrence, tu es mon produit. Alors, commençons officiellement les choses, ma petite ondiniste... »

Leona se concentra alors... Et un jet doré jaillit de ses cuisses, tombant sur le visage de la femme. Pendant plusieurs secondes, Leona lui pissa dessus.

« Te voilà marquée bien comme il faut. Maintenant, ma chérie, je vais t’enculer bien fort... Puis toutes les personnes ici présentes vont ensuite te passer dessus ! »

Pour F-187, les choses ne faisaient clairement que commencer !

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 16 mercredi 30 mai 2018, 23:24:10

La terreur était sensible en la pauvre Lucie... Il faut dire... Ce n’était pas le genre de situation « traditionnelle ». Elle était captive, prisonnière, et qu’on soit clair... Là, et elle le savait bien... Elle n’avait aucune chance de s’en sortir, et encore moins seule. Elle était captive de la corporation, et elle n’était qu’une adolescente. Comment trouver la capacité de s’en sortir toute seule, quand tu es juste une lycéenne ? Elle n’avait aucune compétence en fuite, crochetage... Elle était assez intelligente pour savoir que cela était inutile, complètement inutile... Mais... Mais elle gardait une lueur d’espoir... Peut-être qu’il y avait un moyen qu’elle soit sauvée ? Peut-être que la police allait intervenir pour la libérer de cette histoire de fou ? Malheureusement, même elle avait des doutes sur une happy end...

« Évidemment que tu seras sage, mais je n’aime pas me répéter. Ai-je parlé de te libérer ? Tu es ma chienne, et je ne libère pas mes chiens. »

Une... Chienne ? Elle connaissait l’insulte, et comprenait bien ce que cela voulait dire, pensa-t-elle en avalant sa salive avec difficulté... Elle ne rigolait absolument pas, et elle doutait très fort d’avoir la bonne surprise que cela soit un nom affectif, juste pour rigoler... Elle était... Une chienne ? Elle n’arrivait pas à croire qu’elle pensait cela... Elle était une humaine, elles étaient toutes des humaines dans cette salle... Comment pouvait-on commencer à voir si peu de considérations dans les hommes, pour considérer les autres êtres humains comme des... Chiens ? C’était... C’était terrible comme comportement ! Elle ne connaissait pas cette dame, enfin, elle ne connaissait que son nom, donc, elle ne pouvait pas savoir ce qu’elle comptait faire... Mais elle n’avait pas du tout l’air de rigoler... Heureusement -ou pas-

« Ma mère m’a appris dès que j’avais huit ans à dresser des chiens... J’ai toujours été très douée là-dedans, avec une nette préférence pour les femmes. Tu les vois autour de toi... Ce sont pour la plupart des filles de salariés de la Compagnie, que nous avons pris, élevé, et cultivé. Il y a aussi des inconnues, des femmes kidnappées. La première que j’ai dressé avait été kidnappée, par exemple. Crois-tu donc vraiment que ton sort sera différent ? Je croyais pourtant que les Français étaient bien éduqués. Tu vis au 21ème siècle, un monde gouverné par des sociétés utopistes qui visent à contrôler le monde. Tu crois que Facebook ne vise qu’à développer un réseau social ? L’objectif de cette compagnie est de contrôler l’information, de décider ce qui relève ou pas de la vie privée... C’est-à-dire rien. Amazon développe un monopole en matière de vente, et cherche à contrôler le savoir, à être le seul organisme qui pourra distribuer et vendre des livres. Notre compagnie n’est pas bien différente. À nos yeux, F-187, tu n’es pas un être humain, tu es juste un produit de consommation. »

Encore ce discours... Elle commençait à comprendre où voulez en venir la fameuse femme... C’était un cas classique de « Oui mais tout le monde le fait donc on peux le faire »... Peut-être que tout le monde faisait ça, en effet... Mais cela ne justifiait pas ! Non ! Oui, d’accord, le monde était peut-être contrôler par des multinationales qui vendait les données privaient ! Mais pourquoi cela lui priverait d’être un être humain ? Juste car elle n’était pas née dans la même famille que cette femme ? Est-ce qu’elle accepterait ce qu’elle disait, si la situation était inversée ? Là vous pouviez voir un cas typique de « Je pense des choses très rebelle », mais « je suis bien trop terrifiée pour dire quoique ce soit. » Et ouais... C’était bien beau de penser tout ça, sauf que dans les faits, elle était bien trop terrifiée à ce qui risquait de lui arriver...

« Et, en l’occurrence, tu es mon produit. Alors, commençons officiellement les choses, ma petite ondiniste... »

« Je... »


.Elle ne connaissait pas le sens de « l’ondinisme ». Elle ne connaissait pas Aloysius Bertrand, elle n’avait jamais lu les Gaspard de la Nuit, et pourtant elle était française !  Mais heureusement... Et bien, elle n’avait pas à s’en faire ! Pourquoi cela ? Et bien tout simplement car son interlocutrice... Etait une femme très gentille, et allait lui faire comprendre ! Elle commença alors à lui uriner dessus ! Alors, tout d’abord, il fallait bien comprendre que la jeune française... N’avait pas été très gênée par les « odeurs », la femme prenait très soin de son corps, cela se sentait... Au deux sens du termes d’ailleurs ! Mais malheureusement... Une fois qu’elle commença à lui uriner dessus, de suite, ce fut bien moins agréable. Elle détesta... Mais vraiment... Mais qu’importe ! Elle était là pour apprendre à aimer ça !

« Te voilà marquée bien comme il faut. Maintenant, ma chérie, je vais t’enculer bien fort... Puis toutes les personnes ici présentes vont ensuite te passer dessus ! »

« Attendez, c’est... Je ne suis pas... »

Elle ne savait pas quoi dire, elle ne savait absolument pas quoi dire. Bien entendu, elle voulait dire « non », dire quelques choses qui la sauve... Sauf qu’elle n’était pas (encore) stupide ! Elle savait bine que cela ne servait strictement à rien, elle pouvait pas dire « non » et bam, son interlocutrice allait décider de la libérer, et, je ne sais pas moi, de lui donner des cookies et tout un tas de trucs du genre ! Bref, non, vous avez compris, ça ne se passe pas comme ça ! Bref, elle ne savait pas quoi dire qui lui permettrait de ce sortir de cette situation... Car tout simplement, il n’y avait pas de façon pour elle, là, dans cette situation de s’en sortir ! Non, soyons intelligent deux minutes -tant qu’elle le pouvait encore-, et regardons la situation. Un tas de fille lobotomisée, prête à obéir aux moindre ordre, et une cheffe qui avait une seule et unique volonté là maintenant... Bref, ainsi, elle déclara finalement, après avoir bafouillée.

« Ne... Ne me faites pas de mal s’il vous plait... je... Je n’ai jamais rien fais de telle... C’est... C’est ma première fois »

Si elle ne pouvait empêcher cela... Peut-être pouvait-elle faire en sorte que cela ne soit pas trop... Violent ? Et oui, elle avait peur, faut bien l’avouer ! Et donc, elle espérait que peut-être que si elle arrivait à convaincre de ne pas être trop violente... Elle serait douce... Elle ne voulait pas souffrir, elle avait peur d’avoir mal, il faut bien l’avouer ! Faut dire... Se faire enculer, c’était quand même fort comme première façon de découvrir la vie sexuelle ! Mais bon, il faut bien commencer par quelques choses... De toute façon, là, elle ne pouvait faire qu’une seule et unique chose... Espérer. Sauf que même elle sentait que son espoir était vain. Abandonnait-elle tout espoir ? Et bien... C’est difficile d’avoir de l’espoir dans ce genre de situation, faut bien l’avouer... Il fallait voir ce qui allait se passer, mais cela sentait mal... Très mal pour elle... Surtout vu le nombre de personnes prête à l’enculer visiblement...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 17 lundi 04 juin 2018, 01:04:19

« Sois une petite chienne obéissante si tu ne veux pas que je te punisse. »

F-187 était confuse. Était-ce si surprenant ? À vrai dire, pour Leona, un peu... Après tout, les humains avaient conscience qu’ils n’étaient que de la piétaille, des outils de consommation au service d’immenses entreprises dominant le monde. Le « Grand Complot » mondial dénoncé par des illuminés sur les Illuminatis n’était pas totalement exact. Il n’y avait pas de grande table ronde regroupant les PDG des GAFA et des puissantes multinationales. La concurrence était féroce entre elles, mais c’était elles qui dictaient les règles du jeu. L’époque où l’État pouvait dicter sa loi aux entreprises était révolue. La Lactos Company ne faisait qu’appliquer ce principe, mais il est vrai qu’en France, les gens avaient fait la Révolution. Ils avaient chassé la monarchie absolue, détruit l’aristocratie au profit de la bourgeoisie, en croyant naïvement qu’il suffirait de quelques émeutes pour renverser un fonctionnement établi depuis des siècles.

Leona caressa son visage doucement, et pinça ensuite son nez, avant de glousser doucement, et s’abaissa davantage, venant poser son sexe sur la bouche de F-187. La culotte de latex s’appuya sur ses lèvres.

« Bien sûr que tu seras sage, ma belle, je vais t’éduquer en ce sens. Tu es ma petite chienne, tu m’accompagneras partout avant que je te remette à Maman... »

C’était le plan, un magnifique programme pour F-187.

« Bien sûr, tu donneras aussi de ton corps à la Compagnie, vu que c’est elle qui t’a fabriqué... »

On aurait presque pu envier le sort de F-187. Leona remua davantage, un sourire malicieux, pervers, venant se dessiner sur ses lèvres, puis elle se redressa brusquement. Les sangles retenant F-187 se retirèrent alors. Debout sur la table, Leona l’observa, et l’une de ses servantes lui remit une cravache. Le bout de la cravache se posa sur le nez de F-187, qui pouvait maintenant remuer ses membres, comme pour lui annoncer qu’elle n’avait pas intérêt à faire la rebelle, et à obéir bien sagement.

Leona reprit donc :

« Montre-moi que tu es une gentille chienne, et mets-toi à quatre pattes ! »

Leona ne comptait pas bouger, car, ainsi, elle retarderait toute tentative de fuite. Comme Leona l’avait annoncé, elle allait passer aux choses sérieuses avec elle, et F-187 put voir ce qui l’attendait. Sous ses yeux, Leona rouvrit la fermeture Éclair de sa culotte, laissant apparaître sa délicieuse intimité, et se concentra un peu. Elle ferma les yeux, et, au bout de quelques secondes, un beau mât jaillit. Une belle verge se forma dans un soupir de sa porteuse, se dressant ensuite devant elle, s’accompagnant de deux testicules.

De quoi avoir une assez bonne idée de la suite...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 18 mercredi 06 juin 2018, 09:53:48

Bien entendue qu’elle ne voulait pas être punie. Lucie représentait totalement ce qu’on disait de beaucoup d’humains : prêt à accepter l’esclavage, tant qu’ils ne souffraient pas. Lucie ne voulait pas être une martyr de la liberté, mourir pour ses droits, etc... Non, elle ne voulait ni souffrir, ni mourir. Elle voulait vivre. De préférence, bien entendue, elle préférerait vivre libre, et pouvoir faire ce qu’elle veut... Mais elle ne voulait pas trop souffrir, et quand je dis pas trop... C’était pas du tout son objectif. Elle avait peur de souffrir, et le fait qu cette femme voulait visiblement la traiter comme un chien, faisait qu’elle sentait qu’elle ne plaisantait pas du tout, quand elle disait que Lucie devait être une bonne petite chienne obéissante, si elle ne voulait pas être punie... Bref, ainsi, la fameuse maîtresse de Lucie commença à expliciter ce qu’ils voulaient faire.

« Bien sûr que tu seras sage, ma belle, je vais t’éduquer en ce sens. Tu es ma petite chienne, tu m’accompagneras partout avant que je te remette à Maman... Bien sûr, tu donneras aussi de ton corps à la Compagnie, vu que c’est elle qui t’a fabriqué... »

Mais... Mais qu’est-ce qu’ils voulaient d’elle ? Des filles, il y en avait des milliards, et des biens plus jolies et mures qu’elle ! Et surtout, que voulaient-elle vient dire par « elle qui avait fabriquée » la jeune fille ? Bon, pour ce qui est de donner son corps, elle avait bien compris maintenant, la Compagnie visiblement faisait avant tout du proxénétisme... Et ouais, elle ne savait pas, mais elle se mettait le doigt dans l’oeil jusqu’à l’omoplate. Elle avait été crée, fabriquée pour autre chose... Mais pour le moment, accompagner partout cette femme ? Attendez, est-ce que cela voulait dire qu’elle allait peut-être sortir à un moment ? Cela serait son unique chance de s’en sortir. Après tout, elle était une fille intelligente, douée, et maligne... Mais pour le moment, elle devait se concentrer sur ce qui se passait... C’est à dire ce qu’elle allait devoir faire.

« Montre-moi que tu es une gentille chienne, et mets-toi à quatre pattes ! »

Elle regarda à droite et à gauche. Elle était libérée maintenant de ses emprises... Et elle réfléchissait à toute vitesse... Elle pourrait tenter de s’enfuir, là, maintenant... Mais plusieurs choses faisaient qu’elle ne pouvait pas fuir... Déjà, le fait qu’elle avait... Qu’elle voyait... Une... La femme était entrain de se faire apparaître une... Un... Elle savait même pas quoi penser, du fait qu’elle venait de voir la femme se faire pousser une bite. Elle avait étudiée la biologie, et ça, elle savait que c’était pas possible. C’était pas humaine possible... Quand on rajoutait ce choc, au fait qu’ils y avaient BEAUCOUP de femmes ici présentes, et qu’elle avait mal aux articulations, car rester autant de temps attacher, ça limitait grandement des possibilités de fuites... Et bien, ça faisait qu’elle était dans une position très inconfortable, et que ses espoirs de fuites étaient bien faibles... Donc... Qu’allait-elle faire finalement ?

Comprenant que cela servait à rien, elle s’installa alors à quatre pattes. Elle montrait bien son fessier, et sa chatte, toujours encore un peu souillée par sa propre pisse. Cela ne changeait pas grand chose, car son visage l’était de l’autre côté, par celle de Leona... D’ailleurs, on pouvait voir au niveau de son visage, des gouttes d’or goutter encore de temps en temps. D’autres glissaient alors sur ses beaux seins... D’ailleurs, le fait qu’elle était maintenant à quatre patte, faisait que ses deux beaux seins pendaient, c’était sans doute ce qui était le plus beau chez elle. Et oui, faut bien le dire, elle ne pouvait pas le savoir, mais l’une des choses les plus importantes chez elle, et bien, ça restait sa poitrine. Elle n’était pas encore achevée, mais elle était en bonne voie pour cela, cela ne faisait aucun doute...

Mais comme toujours, il était inutile d’aller trop loin, trop vite. Il fallait se concentrer sur ce qui se passait là maintenant. Notre fameuse jeune demoiselle tremblait. Elle avait encore en tête toutes les images qu’elle avait vu, en boucle et en boucle... Et franchement, elle avait en toute logique peur que cela arrive à elle. Elle savait qu’on voulait visiblement l’enculer. C’était visiblement cela qui était au programme pour elle... Mais... Si elles décidaient d’aller plus loin... Et surtout... Elle n’allait jamais tenir à se faire enculer par... par toutes ses personnes ! Elles étaient toutes si-nombreuses, cela n’allait pas être possible d’humainement tenir à tout ça.. Franchement, l’une des grandes questions qu’elle se posait, c’était... Par bon Dieu, qu’allait-on faire d’elle ? On comptait la violer, encore et encore, jusqu’à l’offrir, emballer, enfermer dans une valise, un papier cadeau autour de tout son corps ? Elle ne savait pas, mais elle devait réfléchir, user de son intelligence pour tenter de trouver un moyen de s’en sortir. Et le tout vite...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 19 lundi 11 juin 2018, 00:44:00

Très rapidement, tout se mit en place. F-187 n’émettait aucune résistance, semblant juste indécise sur l’issue à donner à cette scène. Il était fréquent que les sujets d’expérience, au moins au début, se révoltent. Ils vivaient dans l’illusion de la liberté depuis leur enfance. On les biberonnait avec les droits de l’homme, on leur disait que tous étaient égaux devant la loi, et eux croyaient alors avoir autant d’importance que les puissants de ce monde. Mais, en réalité, peu importe comment des gens comme ça réussiraient, ils n’auraient jamais vraiment le pouvoir. Le pouvoir, le vrai pouvoir, celui de diriger des sociétés, d’influencer les foules, les masses, ce vrai pouvoir était détenu depuis des éons entre les mains d’une caste bien précise, qui vivait dans un monde totalement différent du leur. Leona était née richissime, mais l’argent n’avait jamais été son but premier. Elle poursuivait des buts de grandeur, d’évolution et de changement profond de la race humaine. Comme Facebook voulant détruire la vie privée, Google voulant vaincre la Mort, la Lactos luttait contre la liberté individuelle et contre l’égalitarisme, contre ces mensonges modernes. F-187 n’était pas son égale, elle était une créature insignifiante, comme bien des êtres vivants sur ce monde. Leona sourit donc en la voyant se mettre en position, réalisant que son cadeau d’anniversaire serait très certainement prêt pour sa mère !

Elle se tenait devant la table, et plusieurs filles s’approchèrent. La culotte de F-187 lui fut retirée, et on lui enfila à la place une culotte en latex assez particulière, avec quelques flacons attachés sur le devant. Il n’y avait qu’une seule fermeture Éclair à hauteur des fesses, et rien sur le devant. Une autre fille s’agenouilla devant Leona, et entreprit de lécher son membre, préparant ainsi le rituel qui allait suivre.

« Tu peux désormais pisser dans ta culotte, ma chienne. Cette culotte particulière est une création maison, qui stockera ton urine dans les flacons accrochés à ce dernier. »

Qu’adviendrait-il ensuite de ces flacons ? Une autre fille lécha alors le fondement de F-187, venant la préparer, dilatant ses parois. Leona rajouta ensuite :

« Tu les boiras ensuite. »

Humiliation, ondinisme, rabaissement... C’était désormais le quotidien de F-187. Pendant plusieurs minutes, son fondement fut léché, préparé, puis les filles s’écartèrent ensuite. La cravache de Leona fouetta ensuite le postérieur rebondi de la femme, et elle posa après cela ses mains sur son fessier, pinçant ses fesses à travers sa culotte de latex, sa queue tendue venant s’approcher de sa croupe.

« Bon, je t’ai assez fait patienter, ma chienne... Couine bien pour moi. »

Leona se concentra alors, et enfonça son membre chaud dans le cul étroit de F-187, ses doigts se crispant dessus. En un sens, elle regrettait de ne pouvoir prendre la virginité vaginale de la femme, mais... À défaut, elle se contenterait volontiers de son cul ! Un sourire pervers se dessina sur les lèvres de la riche femme, qui se les pinça ensuite en sentant la résistance du corps de la femme. Elle se replia, puis réitéra son office, s’enfonçant à nouveau en elle, un grognement s’échappant de ses lèvres.

« Hnnn... Ton cul de salope est... Si étroit, haaaa... !! » commenta-t-elle.

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 20 mercredi 13 juin 2018, 20:14:08

Elle allait s’en sortir. Courage, elle allait souffrir, oui, mais elle allait s’en sortir. Pourquoi cela ? Et bien, car elle était intelligente, calme, et réfléchie. La preuve : elle « obéissait » pour le moment, bien contre son gré, histoire de tenter que sa tortionnaire soit plus douce avec elle, ait de la pitié, ou alors croit qu’elle était désormais bien dominée… Mais en vrai, et bien, elle avait beau avoir été relativement traumatisée par ses images, qui ne disparaisseraient jamais de son cerveau, elle restait une fille doté d’un cerveau, et elle pouvait tenir. Elle se devait de tenir, d’ailleurs, si elle ne voulait pas céder… Elle restait calme, tandis qu’on lui retirait sa culotte, pour lui en mettre une nouvelle… Une nouvelle qui ne pouvait pas se retirer d’elle-même encore, mais… Mais qui ne s’ouvraient pas pour son intimité… Bonne nouvelle, elle ne serait pas violée vaginalement… Mauvaise nouvelle… Pour uriner elle devait… Donc… Faire…

« Tu peux désormais pisser dans ta culotte, ma chienne. Cette culotte particulière est une création maison, qui stockera ton urine dans les flacons accrochés à ce dernier. Tu les boiras ensuite. »

C’était... C’était immonde… Elle… Ne voulait pas boire son urine, c’était dégueulasse… Heureusement, elle s’était déjà urinée dessus depuis un peu plus tôt… Donc, elle n’avait pas encore envie. Mais bref, trève de blabla, car pendant ce temps là, et bien… On continuait de la préparer pour ce qui allait suivre… Et ce qui allait suivre allait être torride, et surtout, elle n’était pas prête… Bien sur, on continuait de la lécher, lui faisait échapper des soupirs et des petits couinement de plaisir… Elle découvrait tout juste qu’on pouvait vraiment ressentir du plaisir par là… Mais malheureusement, ce plaisir n’allait pas durer longtemps… Etant donné que derrière, il y en avait toujours une qui se préparait...

« Bon, je t’ai assez fait patienter, ma chienne... Couine bien pour moi. »

« Pi... Pitié... »


Elle sentait son anus s’élargir quelques peu… Mais pas dans le bon sens. Oh non, pas du tout dans le bon sens, étant donné que progressivement, son anus s’élargissaient pour faire entrer quelques choses à l’intérieur… Son anus qui faisait de la résistance, tentant d’empêcher visiblement ce qui était entrain de se passer… Pour Lucie, bien sûr, cela la faisait gémir de douleur, et « sa chienne », comme disait très bien Leona, et bien, faisait exactement ce qu’on lui avait demander… Elle ne pouvait que couiner devant un tel traitement de son fondement, n’ayant, encore une fois je me répète, mais je pense que c’est assez clair… Et bien, elle n’avait jamais fais ça ! Sa première fois, la rupture de sa virginité anale était donc tout à fait nouvelle pour elle… Ainsi, quand son interlocutrice déclara quelques choses, la réponse fut assez évidente.

« Hnnn... Ton cul de salope est... Si étroit, haaaa... !! »

« Non... Arrêtez... »

Oui, par pitié… Arrêtez… Ce n’était pas un traitement adaptée que cela soit pour un humain… Mais même pour une chienne ! Même une chienne méritait plus de considération non ? Franchement, là… C’était douloureux, méchant, et franchement, où il y avait le plaisir ! Pour elle, il n’y avait que, et uniquement de la violence. Et ouais, elle n’allait pas encore ressentir du plaisir, il était trop tôt, c’était que sa première fois. Peut-être quand son anus se sera fait maltraitée des centaines et des centaines de fois, là, cela allait marcher… Mais malheureusement, pour le moment, cela faisait mal, c’était beaucoup trop gros pour elle… Il fallait qu’elle s’en sorte, c’était trop douloureux, et elle priait pour que cela finisse… Encore une fois, elle tentait de mettre en avant une fibre de pitié, et elle déclara, alors, d’un ton plaintif qui se voulait le plus pathétique possible, pour tenter de faire arrêter son interlocutrice… Il n’y avait aucune chance, mais qui sait… Peut-être que…

« C’est... C’est trop gros... Ca... Ca me fait mal ! »

Oui, ça faisait vraiment mal. Pourtant, elle faisait rien pour tenter de s’en sortir ! Et ouais, elle était quand même dans une position totalement passive et obéissante… Pas étonnant que tu vas mal finir ma vieille ! Toujours à quatre pattes, les quelques coups de reins, enfonçant progressivement le phallus dans son anus, faisait que tout son corps d’adolescente se retrouvait à ballotter, faisant que ses deux seins continuaient de pendre misérablement. Ses beaux cheveux blonds voltigeaient, te elle continuait de couiner de douleur… Elle voulait que ça stoppe, elle ne voulait pas que ça continue, car… Car c’était bien trop douloureux pour elle ! Elle n’était pas une chienne ! Elle voulait que ça stoppe ! Par pitié ! Sauf que non, elle avait mit le pieds dans un engrenage qui faisait qu’elle ne pourrait plus s’en sortir. De toute façon, depuis qu’elle était arrivé ici… C’était fini pour elle… Mais bref, elle espérerait presque que revienne le scientifique à ce stade…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 21 lundi 18 juin 2018, 00:35:30

Leona allait prendre bien soin de sa chienne, elle allait sagement la préparer, afin qu’elle soit pleinement opérationnelle pour sa rencontre avec sa mère. C’est que, mine de rien, Leona était tout de même une fille aimante. La grande loterie de la vie lui avait permis d’être la fille surdouée et extrêmement belle de l’une des personnes les plus puissantes du monde. Leona se devait tout de même d’être reconnaissante, d’autant qu’elle partageait avec sa mère des moments forts de complicité. C’était sa mère qui lui avait appris à dominer les autres humains, à les mépriser, à leur pisser dessus. C’était sa spécialité à elle, l’ondinisme. Elle ne saurait pas trop dire pourquoi, mais, assez rapidement, la jeune Leona avait pris plaisir à uriner sur la tête de ses esclaves. Une attitude qui n’était jamais totalement partie, même si, maintenant, elle aimait aussi énormément le sexe. Leona vivait clairement dans un autre monde que F-187, celui des orgies démentielles, des fêtes somptueuses, des excès incroyables, le monde des ultrariches. Car la famille de Leona était richissime à souhait. Même les études économiques de Forbes sur les plus grandes fortunes mondiales n’étaient pas à la hauteur pour décrire le colossal patrimoine des Morimoto, un patrimoine qui surclassait le PIB de certains pays pauvres.

F-187 ne pouvait imaginer dans quelle sphère Leona voletait. Elle était comme une Déesse à ses yeux, et, de fait, le simple fait que Leona daigne honorer F-187 de sa présence devrait inciter cette sale chienne à être plus obéissante. Agacée, Leona claqua des doigts, et deux femmes s’approchèrent, tenant des fouets, et fouettèrent le dos de la femme, la battant sans ménagement.

« Pour qui tu te prends, hein... ? Hmmm... De quel droit une sale chienne comme toi ose me parler ainsi... ? Me... Me supplier, haaaa... »

Les fouets frappèrent encore, et Leona la gifla sèchement, avant de reprendre ses explications :

« Tu sais, l’Olympe est une mythologie qui a été basée sur de vrais personnes. Des individus si forts, si populaires, qu’aux origines de la Grèce antique, ils se sont déifiés. Ils avaient droit de vie et de mort sur leurs sujets... Crois-tu donc que tout cela a disparu ? Hah, pauvre conne ! Tu es une chienne, MA chienne ! Les gens mourraient pour avoir ce privilège ! Moi, et tous les autres, nous sommes les Olympiens du troisième millénaire ! »

L’arrogance de Leona semblait sans limite, et elle recommença à la bourrer, faisant hurler F-187. La belle blonde n’avait aucune échappatoire, aucune chance de survie, aucun moyen d’échapper à cette séance qui se poursuivait inlassablement. Leona la prenait donc, faisant crisser sa tenue en latex.

« Aboie, sale pute... Aboie, tu es ma chienne !! »

Et, pendant ce temps, les esclaves posèrent sur les seins de F-187 deux pinces reliées entre elles par une fine chaîne argentée. Il fallait prendre soin de la chienne, après tout...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 22 jeudi 21 juin 2018, 08:20:57

La sodomie n’était pas quelques choses de facile de suite ! En effet, il fallait comprendre que quand vous débutez la sodomie, bah au début, c’est pas la grande joie ! Surtout quand c’est contre votre gré, bah, c’est ce qu’on appelle un viol, déjà, mais on pouvait être quasi sur que Leona s’en contrefichait complètement de l’avis de la fameuse jeune femme. De toute façon, elle la considérait déjà comme une chienne, donc franchement son avis sur ce genre de truc, sans doute qu’il était extrêmement secondaire, et qu’au fond, elle s’en fichait qu’elle souffrait. Mais visiblement, si elle s’en fichait qu’elle souffrait, cela, on l’a bien compris… Et bien, elle ne se fichait pas de ce que disait la fameuse Lucie… Car vis à vis de ces déclarations, voilà ce qu’elle répondit…

« Pour qui tu te prends, hein... ? Hmmm... De quel droit une sale chienne comme toi ose me parler ainsi... ? Me... Me supplier, haaaa... »

« AIE !!! AIIIIIE ! »


Il faudrait mieux pour que cela s’arrête qu’elle se taise, n’est-ce pas ? Malheureusement, elle n’y arrivait pas. Elle couinait, et hurlait de douleur, alors que le fouet venait mordre sa peau. Il fallait l’excuser, pour beaucoup, elle n’avait jamais été fouettée auparavant dans sa vie… Et ça faisait mal, on va pas le cacher ! D’ailleurs, cela se voyait sur son dos, son dos qui se marquaient des marques de fouets, qui se gravaient dans sa peau. Sans doute qu’elle allait même un peu saignée. Après, sans aucun doute, si elle avait été régulièrement torturée dans sa vie, cela se serait mieux passée… Mais là, il fallait se rappeler que jusqu’à il y a quelques jours, elle avait été une adolescente normale, vivant une vie normale, et qui n’avait pas l’habitude de tout ça…

« Tu sais, l’Olympe est une mythologie qui a été basée sur de vrais personnes. Des individus si forts, si populaires, qu’aux origines de la Grèce antique, ils se sont déifiés. Ils avaient droit de vie et de mort sur leurs sujets... Crois-tu donc que tout cela a disparu ? Hah, pauvre conne ! Tu es une chienne, MA chienne ! Les gens mourraient pour avoir ce privilège ! Moi, et tous les autres, nous sommes les Olympiens du troisième millénaire ! »

Oui… C’était une théorie assez ancienne qui dirait que les Dieux Grecs, enfaite, avaient été des héros des temps anciens -X-XI siècle avant J.C.- bien souvent, et qui auraient été déifié par les populations, créant les dieux qu’on connaît. Cela portait un nom… Mais évidemment, vu la situation, elle n’était pas trop en position pour en parler ! Non, elle était fouettée, maltraitée, et la femme faisait crisper le latex tandis que son phallus continuait de faire son chemin dans l’anus toujours recalcitrant de la fameuse Lucie Martin ! Celle-ci couinaient, mais ne se plaignaient plus, tout ce qu’on entendait pour le moment, c’était ses petits cris de douleurs, de plaintes, montrant qu’elle souffrait toujours autant, mais qu’elle avait eu la présence d’esprit d’arrêter de se plaindre pour ne pas se faire refouetter !

« Aboie, sale pute... Aboie, tu es ma chienne !! »

« OUAF ! »


Alors que plusieurs femmes s’approchèrent des deux beaux seins qui pendouillaient, et installèrent une pince sur les tétons, le tout reliée à une chaine en argent -ou seulement argenté, impossible de savoir du premier coup d’oeil, notre fameuse vache, je veux dire chienne, je veux dire Lucie aboya pour la première fois. Ce ne fut pas un petit « ouaf » discret, ce ne fut pas un « pitié, je ne veux pas aboyer », suivi d’un ouaf… Non, c’était un vrai cri qui venait du fond du coeur… Pourquoi cela ? Et bien, car elle espérait vraiment que si elle aboyait, elle aurait la chance que cela s’arrête, que cela s’arrête vraiment une bonne fois pour toute… Donc, on obéissait, c’était un principe célèbre : Si tu obéis, tu te dis que tu ne vas pas te faire trop torturer… Donc, elle aboyait… Et ce n’était pas fini, étant donné qu’elle déclara après !

« OUAF OUAF ! OUAF OUAF OUAF ! »

Elle continuait d’aboyer, alors que la sodomie continuait son passage… Celle-ci devait être un poil, je dis bien, un poil plus facile, mais restait grosso-modo assez compliqué, étant donné que la fameuse Lucie n’aidait pas à cela. Donc, c’était du perdant-perdant, étant donné que la fameuse Lucie n’en n’avait que plus mal. Comme elle n’arrivait pas à se relacher, à se libérer, et bien l’ensemble ne faisait que devenir douloureux, encore plus douloureux, toujours plus douloureux. Mais il y avait un peu d’espoir, étant donné qu’elle obéissait de plus en plus, donc son corps se relachait quelques peu, tandis qu’elle commençait à suivre les vas et viens, faisant rebondir avec enthousiasme ses seins, et faisant voltiger ses cheveux.

« OUAAAAAAF ! »

Elle hurla un grand ouaf, faisant qu’elle était ça y est, profondément humiliée… Mais elle se devait de tenir le coup… Car elle était pas une chienne, au fond. Elle le savait, elle devait juste le faire, car elle était obligée et maltraitée, très fortement maltraitée ! Cependant, si elle essayait de tenir le coup intellectuellement parlant, dans l’espoir… Et bien, elle devait bien avouer qu’elle n’avait plus beaucoup d’espoir… On ne viendrait pas la sauver, on ne viendra pas la chercher… Mais elle devait tenir, car elle ne voulait pas souffrir. Tout ce qu’elle voulait, c’est que cette maudite sodomie s’arrête, et qu’on la laisse tranquille, qu’on la laisse dormir, qu’on la laisse manger… Bref, qu’on la laisse être une chienne, s’il fallait, mais qu’on ne lui fasse pas de mal...

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 23 lundi 25 juin 2018, 00:47:13

Aussi belle que fatale, Leona Morimoto continuait à s’enfoncer dans le cul de F-182. En soi, il était un peu indigne de son statut qu’une telle femme s’abaisse à venir former les futurs produits de la Lactos Company. Elle avait bien d’autres choses plus intéressantes à faire. Après tout, elle était destinée à conquérir le monde, à diriger l’une des plus puissantes compagnies de la planète, et même de l’Histoire toute entière. Quand Francis Fukushima avait analysé la « fin de l’Histoire », il n’avait, techniquement, pas eu totalement tort. La chute de l’URSS avait symbolisé l’avènement définitif des puissantes corporations, des familles ancestrales qui, depuis des éons, se partageaient la majeure part du gâteau. La fortune des Morimoto n’était pas née ces quelques dernières années, elle remontait à il y a des siècles, et n’avait eu de cesse d’augmenter, au cours des guerres, des conflits, de l’évolution du monde. Le développement exponentiel de la mondialisation avait constitué une augmentation de la fortune des Morimoto sans précédent. Une croissance presque à trois chiffres qui faisait maintenant que, à travers différentes sociétés d’investissements, des fonds boursiers, et une multitude de comptes en banque, la fortune des Morimoto surclassait le PIB de certains États pauvres du monde ! Alors, qu’était donc F-182 face à la femme appelée à diriger cet immense empire ? Elle n’était qu’un jouet, une poussière qui devait s’estimer chanceuse, honorée, de pouvoir goûter à la trique de Leona !

Celle-ci, qui se comparait effectivement à une Déesse, la prenait donc. Ses mains giflaient sèchement le cul de la femme, et Leona gloussa en l’entendant aboyer.

« C’est bien, c’est bien !! Obéissante chienne, haaaa... Ton cul est si étroit, hmmm... ! Comme quoi, même les Dieux peuvent avoir des plaisirs tout à fait humains ! »

Au moins, F-182 était très obéissante ! Pour Leona, c’était un vrai plaisir, la confirmation que l’ASPED avait su bien former cette petite perle. Oh, quel magnifique cadeau ce serait pour sa mère ! Leona était clairement impatiente de la lui présenter, et, tandis qu’elle continuait à la bourrer, d’autres esclaves s’approchèrent. Certaines étaient des adultes bien mûres, ce qui, si F-182 avait encore le moyen d’y penser, confirmerait toute la puissance de cette femme, et le fait qu’il n’y avait, pour elle, aucune autre option que subir et d’être une gentille chienne bien obéissante.

« Maîtresse...
 -  Oh, Maîtresse... »

Deux esclaves s’approchèrent de Leona, à sa gauche et à sa droite, et vinrent doucement l’embrasser, tout en caressant son corps, pinçant ses fesses, glissant leurs doigts gantés sur son corps, accompagnant avec leurs caresses les solides coups de reins de Leona. Celle-ci gémit lentement, le plaisir croissant furieusement en elle, et se mit finalement, au bout de plusieurs longues minutes, à jouir dans le cul de F-182.

Un bel orgasme, tandis que Leona se retira.

« Bien, bien... Haaaa... Allez-y, vous pouvez utiliser le traitement. »

Une femme s’approcha du cou de F-182 avec une seringue violette, et la piqua avec, répandant dans son corps un redoutable aphrodisiaque. De cette manière, les prochaines sodomies à venir allaient être particulièrement jouissives pour elle. C’était le début de son traitement, de son lavage de cerveau, qui allait passer par un terrible épuisement de son corps.

Déjà, une nouvelle queue s’enfonça en elle, retournant remplir son cul...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 24 mardi 26 juin 2018, 21:07:01

On dit souvent « les plus sages obéissent, les plus idiots se rebellent. » Et ouais… On a longtemps voulu nous faire croire que les plus intelligents étaient ceux qui se rebellaient contre l’autorité… Mais regardez les installations de tout ces fameux régimes totalitarismes… Bien souvent, les élites intellectuelles l’ont acceptés. Si les dictateurs en avaient peur, c’est qu’ils étaient capable de canaliser et contrôler les forces énergiques capables de se révolter : le peuple. Regardez la Révolution Française : Les bourgeois ne se sont pas révoltés contre les injustices. Ils ont laissés le peuple le faire, pour ensuite le contrôler. Ainsi, notre chère Lucie, qui se vantait comme intelligente… Et bien elle pensait que le plus intelligent était ici d’obéir aveuglement, en espérant qu’on soit plus gentille avec elle. Elle n’avait aucune idée de son destin, mais juste en échange qu’on ne soit pas trop sévère avec elle, elle était prête à plier. Un choix dangereux, très dangereux même…

« C’est bien, c’est bien !! Obéissante chienne, haaaa... Ton cul est si étroit, hmmm... ! Comme quoi, même les Dieux peuvent avoir des plaisirs tout à fait humains ! »

Est-ce que cela voulait dire qu’elle appréciait ? Non pas du tout ! Visiblement, deux femmes venaient rejoindre sa maîtresse, et commençait à lui donner du plaisir, elle ne savait pas, et ne savait pas du tout… Franchement, son anus lui faisait mal, et elle sentait que ce dernier n’était pas fait pour ça ! Non, mais tout sauf ça ! Elle couinait de douleur, alors que son anus continuait à se prendre les vas et viens… Elle aboyait de moins en moins, cela devenait de plus en plus rare de réussir à les entendre… Elle voulait juste que ça s’arrête, que cela s’arrête une bonne fois pour toute, car c’était pas supportable… Heureusement, au bout d’un moment, sa maîtresse arriva à se lacher à l’intérieur d’elle, la faisant pousser un profond gémissement… Avant que le phallus sorte de l’anus, avec un « pop » sonore, laissant l’ensemble donc ouvert…

« Bien, bien... Haaaa... Allez-y, vous pouvez utiliser le traitement. »

« Que quoi ? Non ! Ouaf ! OUAF ! »


Elle aboya, désespérément, un peu, comme ce que j’ai expliqué auparavant, elle pensait que si elle aboyait bien, elle allait être pardonner, et elle n’allait pas le recevoir, ce fameux traitement. Car autant le dire de suite, ce fameux « traitement », le fait qu’elle n’en savait strictement rien le rendait absolument terrifiant. Et ouais ! Vous imaginez le gros coup de stresse ! Vous savez même pas ce qu’elle veut mettre en vous ! Cependant, si vous suiviez ce RP depuis un moment, vous savez maintenant qu’il est inutile d’espérer, qu’on soit clair… Elle n’allait pas échapper à son destin par l’espoir, et elle devait accepter ce qui allait se passer, ce qui semblait être l’inévitable vu sa situation… Donc, finalement, une seringue se piqua dans son cou… Et injecta quelques choses, ce qui amena l’inévitable :

« Aaah ! Qu’est-ce que... »

Elle ne put parler plus. Serait-ce donc l’effet de la seringue ? Là, pas vraiment. En effet, alors qu’elle était encore l’anus attendant, et bien, ce trou encore ouvert fut rebouchée. Et ouais. Leona n’avait-elle pas dit que les femmes ici présentes allaient se faire un plaisir de tous s’aventurer dans son anus ? Leona était visiblement une femme de confiance, et ça, c’est une très bonne chose. Il y a trop de personnes à qui on peut pas faire confiance, qui sont du genre à nous mentir… Et là, oui, enfin une personne, tout d’un coup, qui respectait ses promesses ! Bon, d’accord… La dite promesse était de t’enculer comme ça… Mais c’était déjà ça. Ouais, faut pas trop en demander non plus ! Ahlala, on vous donne la main, et vous coupez le bras. Bref, quoiqu’il en soit, elle se faisait bien enculer… Mais la question qui se posait alors sur toutes les lèvres… Aboyait-elle bien ? Comme c’était son devoir depuis tout à l’heure… Et bien, regardons, ou plutôt, soyons plus logique… Ecoutons !

« Aaah… Aaaaaah... »

Oh ! Oh !  Ecoutez ? Elle haletait comme un chien ! Mais véritablement, elle ne savait pas ce qu’on lui avait injecté… Et ouais, elle connaissait pas le principe d’aphrodisiaque. Tout ce qu’elle comprenait, c’est qu’elle commençait à avoir chaud, très chaud comparé à tout à l’heure, et qu’elle se sentait bizarre… Et qu’elle commençait à mouiller. Là, elle avait beau avoir quinze ans, elle n’était pas stupide, elle avait entendu parler du principe que beaucoup de femmes mouillaient quand elles ressentaient de l’excitation sexuelle… Mais bref, cela devenant compliquée pour elle de réfléchir. Elle avait encore des images qui apparaissaient parfois dans son esprit, et celui-ci était embrouillés par le fait qu’elle avait un aphrodisiaque extrêmement puissant dans le sang… Et une bite dans le cul ! Et ouais, faut pas l’oublier, ça, non plus !

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 25 lundi 02 juillet 2018, 00:47:42

La Lactos Company ne faisait pas que dans la production de lait. C’était une immense firme qui avait aussi des activités plus sombres, tout simplement illégales. Les scientifiques de la compagnie avaient ainsi développé une véritable « drogue du viol », proche du GHB, mais différente dans ses effets, car elle rendait la personne consentante en jouant avec de puissants aphrodisiaques. L’idée n’était donc pas juste de faire oublier à la personne ce qu’elle avait vécu, mais de la faire mouiller. Naturellement, la compagnie utilisait cette injection pour la formation de ses esclaves, mais elle n’hésitait pas aussi à la commercialiser à certains grands groupes criminels : les Yakuzas, les Cartels sudaméricains… Qu’était donc F-182 devant tout cela ?

Rapidement, une femme avala une pilule d’hermaphrodisme, et pénétra la femme, qui se mit à haleter, la langue pendante. Une véritable chienne, tellement heureuse d’être prise qu’elle n’arrivait plus à se contrôler, et laissa sa salive couler au sol, ses yeux se révulsant dans leurs orbites. Leona ne lui aura pas arraché son premier orgasme, mais ce n’était guère important. Tournant autour de son cadeau, elle sourit doucement, caressant le dos de F-182 avec sa main, frottant ensuite ses beaux cheveux, jusqu’à se mettre devant elle, sa queue trempée frottant sur le visage de la femme, glissant sur sa joue.

« Tes proportions, ta peau… Tu es vraiment parfaite, F-182 ! Tu feras un magnifique cadeau pour ma mère… »

Souriant encore, Leona se positionna devant elle, caressant avec ses deux mains les cheveux de la femme. Elle avait beau avoir joui, Leona était d’une vigueur sexuelle impressionnante. Sa queue caressait doucement le visage de la femme, Leona s’amusant à la biffler en déplaçant son corps doucement.

« Toutes ces femmes sont mes esclaves, tu sais… Je les ai tous formés personnellement, elles forment ma cour personnelle. »

Comme quoi, quand Leona prétendait être une sorte d’Olympienne moderne, elle appliquait ce principe à la lettre. Riche, belle, et perverse, elle était, en soi, l’incarnation moderne du nouveau monde, de ce nouveau millénaire où les inégalités sociales avaient atteint un niveau jamais atteint au cours de l’Histoire de toute l’humanité, un monde où une seule personne située tout au haut de l’échelle sociale touchait plus que des millions de personnes réunies. Leona était cette personne, et, dès son plus jeune âge, sa mère lui avait appris à dresser des esclaves.

Le résultat final était plutôt impressionnant, et la première esclave y allait franchement. Elles portaient toutes des tenues moulantes, du cuir, du latex…

« Enfin, ceci dit, je ne crois pas que tu sois en mesure de le réaliser, alors… Ouvre bien la bouche, ma petite chienne. »

Et Leona enfonça ensuite sa queue en elle, venant jouer elle, optant pour une délicieuse fellation…

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 26 mercredi 04 juillet 2018, 10:02:00

L’aphrodisiaque était évidemment bien violent sur Lucie… Elle n’avait jamais connu de relation sexuelle… Donc… Elle ne savait pas du tout comment gérer ça, elle était totalement faible devant un tel traitement… Donc, on devinait que ça risquait de mal finir pour Lucie. Mais depuis que Lucie s’était révélée être « F-132 » et bien… Pouvait-elle espérer un autre destin ? Pas vraiment. Elle n’avait pas d’autres choix que d’accepter ce destin, car c’était ainsi. Certains étaient nés pour diriger, d’autres étaient nés pour se soumettre… Et Lucie se mettait dans la seconde catégorie ! L’aphrodisiaque n’était là que pour aider une situation qui était sans doute perçue comme totalement normal par Leona… Et que si cela continuait, elle finirait pas être perçue comme normale par notre chère Lucie également… Mais voyons voir ça...

« Tes proportions, ta peau… Tu es vraiment parfaite, F-182 ! Tu feras un magnifique cadeau pour ma mère… »

Elle ne put s’empêcher de rougir. En effet, son corps était magnifique… Autrefois, elle avait expliqué cela par deux choses : la chance, et le fait qu’elle avait bien entretenue ce corps avantagé par la chance. Maintenant, elle apprenait une autre réalité. Oui, elle avait bien entretenu le corps qu’elle avait… Mais ce n’était pas par chance qu’elle l’avait eu. Après, elle se posait des tas et des tas de questions. Etait-ce lié au fait qu’elle était née d’une mère porteuse, puis abandonnée ? Est-ce qu’elle avait eu d’autres traitements ? Elle avait toujours été voir le même médecin, le médecin que l’ASPED lui avait conseillé… Est-ce qu’ils étaient lié à tout ça ? Elle penserait bien à tout cela sérieusement et de manière approfondi, mais là, faut comprendre que ce n’était que de vague pensée… Le plaisir, ou plutôt la recherche de plaisir était trop importante. Beaucoup trop importante même.

« Toutes ces femmes sont mes esclaves, tu sais… Je les ai tous formés personnellement, elles forment ma cour personnelle. »

Elle… Elle deviendrait comme ça elle aussi ? Est-ce que la recherche de plaisir, imposée par l’aphrodisiaque, allait la forcer à devenir ainsi ? Non, sans doute pas. Pourquoi cela ? Et bien, elle se rappela -pas très difficile étant donné qu’on lui avait tappelé il y a très approximativement quelques secondes- qu’elle n’était pas faite pour être pour Leona… Mais pour sa mère. Elle était fait pour donner du plaisir visiblement à une vieille dame. Oui, notre chère Lucie imaginait la chef de la Lactos Entreprise comme une vieille femme en manque de plaisir visiblement. Enfin, encore une fois, elle tentait d’imaginer ça… Car il fallait bien comprendre que le plaisir était avant tout là, et occupait une grande partie de toute ses pensées…

« Enfin, ceci dit, je ne crois pas que tu sois en mesure de le réaliser, alors… Ouvre bien la bouche, ma petite chienne. »

« Aaaah... »


L’obéissance était bien présente. Et puis… Son excitation, son désir absolu, cela lui donnait presque une soif, une faim de plaisir, qui la poussait à demander véritablement cela… Pas qu’elle le voulait, mais qu’elle en avait besoin. Et ouais, c’est la grande différence… Elle ne voulait pas ce qui lui arrivait, elle n’avait pas envie que cela continue, elle voulait juste rentrer paisiblement dans sa petite vie tranquille, retrouvée ses amies… Jeanne par exemple ? Qu’est-ce qu’elle devenait ? Est-ce qu’elle pleurait la perte de son amie ? Disparue alors qu’elle s’était vue pendant l’anniversaire, juste avant ? Est-ce qu’elle pleurait là, maintenant ? Est-ce qu’elle était partie dans une quête pour la retrouver, devinant qu’elle n’était pas vraiment morte ? Est-ce qu’elle était dans les Montagnes des Alpes à rechercher son amie ? Non, sans doute pas. Cela serait un miracle… Ou bien pire, vu la puissance de la Lactos.

Mais malheureusement, elle n’avait plus à penser à tout ça. La bite de Leona, qui depuis un petit moment se baladait sur le visage d’ange de Lucie, commença à chercher à entrer dans la bouche. Et ce ne fut pas dur ! Pourquoi cela ? Et bien, car depuis tout à l’heure, rappelez-vous juste avant mon précédent paragraphe… Elle avait dit « Aaaaah » ! Ce qui sous-entendait une chose… Elle connaissait la première lettre de l’alphabet… Oui, peut-être en effet. Mais avant tout, cela voulait dire qu’elle avait la bouche ouverte… Donc alors que son cul était pénétré depuis un moment, ce fut autour de sa bouche d’être prise. Ce fut la première fellation de sa vie, et on pouvait dire que Leona avait un sacré palmarès. Elle avait prit la virginité anale ET buccale de la fameuse Lucie… C’était pas mal ! Pas mal du tout…

Finalement… Entre la bite dans sa bouche et celle dans son anus… Vint alors son tout premier voyage au septième ciel. Et ouais… Sans doute à cause -ou grâce ?-  de l’aphrodisiaque, la jeune demoiselle eut sa première jouissance. Et vous savez quel est le pire ? Celle qui avait réussi à lui donner son premier orgasme… Et bien c’était une no-name. Une parfaite inconnue. Une femme interchangeable. C’était peut-être le pire qu’on pourrait dire pour la fameuse Lucie… Car elle avait sans doute rêvée que son premier orgasme soit par un homme qu’elle aime. Ou une femme, qu’importe, elle était ouverte à toutes les expériences ! Mais là, c’était une personne qu’elle ne connaissait pas, qu’elle ne connaîtrait jamais, car elle était personne en particulier. Bref, une anonyme, qui faisait jouir une future anonyme elle aussi. Comme deux lignes d’un corpus qui s’entrefilaient.

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 27 lundi 09 juillet 2018, 00:45:15

Oui, Leona sentait que F-132 ne poserait aucune difficulté. Au sein de sa cour, il y avait eu des femmes rebelles. Leona était bisexuelle, mais avec un très fort penchant pour les femmes. Elle aimait toujours autant dresser les autres, les humilier, leur rappeler sa supériorité. Oui, Leona était unique, exceptionnelle ! Et F-132 semblait le réaliser. Écrasée par le sexe, elle ne pouvait lutter, et eut donc son premier orgasme, ce qui fit réagir les capteurs installées sur sa culotte. Leona sourit en voyant l’une de ses esclaves, les yeux rivés sur une tablette informatique, lui faire un signe du pouce. Elle gloussa alors, sa queue plantée dans la bouche de F-132, consciente que, pendant quelques instants, F-132 allait retrouver sa lucidité.

« Ton premier orgasme, ma chérie, c’est très bien... C’est le premier pas vers ta nouvelle vie, amour. Laisse-toi aller, laisse ton corps prendre le pas sur ton esprit, et laisse-moi gérer le reste, hmmm... »

Sa main gantée se crispa sur les cheveux de F-132, et elle continua à la bourrer. Leona disposait de toutes les vidéos de ses dressages, et elle les regardait souvent avec sa mère, ou lors du jour anniversaire de son esclave, avec elle. L’anniversaire ne correspondait d’ailleurs pas au jour de sa naissance biologique, mais à celui où elle avait reçu, dans les données de la Lactos, sa numérotation. Un jour particulier, que Leona célébrait en honorant ses esclaves à sa manière. Elle se rappelait donc des difficultés qu’elle avait pu avoir, car certaines esclaves avaient été très rebelles. De fait, Leona avait dressé plus d’une centaine de femmes, allant de simples femmes récupérées par la Lactos à ses anciennes nourrices, ainsi qu’à de simples filles qu’elle croisait dans la rue et qui lui plaisaient. Après tout, entre mener une morne vie d’être humain et servir une Déesse moderne au corps parfait, le choix était fait. Leona enviait quelque peu le sort de ses esclaves, car, non seulement ils servaient la deuxième femme la plus belle du monde (derrière sa mère), mais ils avaient aussi droit à une vie de rêve. Jamais ils ne connaîtraient la chômage, la famine, ou encore le doute ou l’hésitation. Ils étaient aimés par une puissance supérieure qui veillait sur eux, ce qui était, sans aucun doute, le meilleur qui puisse leur arriver.

F-132 eut donc son premier orgasme, et la femme dans son dos se relâcha ensuite, jouissant dans ce cul serré en soupirant. Elle se retira ensuite, et, rapidement, une autre paire de mains s’empara des fesses de F-132, et fila en elle. Le même rodéo reprit, avec une queue toujours aussi énergique. La femme qui avait joui s’assit alors à côté de F-132, et pinça l’un de ses seins. Quand la deuxième femme qui la prenait jouit à son tour, elle s’occupa de l’autre sein, le malaxant et le pinçant. Elles portaient des gants en latex, et F-132 ne pouvait pas voir grand-chose d’elle, car Leona avait sa queue nichée en elle, et se refusait à jouir, ondulant d’avant en arrière.

« Haaaa, tu sais, je peux te violer la bouche pendant des heures sans jouir, ma belle... L’idée, tu vois, est de te rendre totalement dépendante au sexe, au sentiment d’être remplie, de sorte que, lorsque ces délicieuses queues ne seront plus en toi, hmm... Ton corps sera en manque. »

Des esclaves s’approchèrent alors de Leona, et l’embrassèrent, tout en caressant son corps, frottant leurs tenues en latex sur son corps, caressant ses fesses. Il y avait justement l’une de ses anciennes nourrices. Leona l’avait dressé quand elle était encore mineure, en compagnie de sa fille. Au moins, elle ne séparait pas les familles, et elle laissa deux belles esclaves majeures la serrer, la caresser, se frottant joyeusement à elle.

« Hmmm... Haaaa... »

Et une troisième femme finit par jouir dans le cul de F-132, terminant cela par une grosse gifle sur son postérieur. L’une des femmes palpant ses seins fut alors remplacée par cette nouvelle femme, et la tournante continua.

L’aphrodisiaque était très efficace, car, pendant de nombreuses heures, F-132 allait se faire prendre par toute la cour de Leona, tout en constatant que celle-ci semblait véritablement disposer de performances sexuelles surnaturelles, puisque sa queue ne se vidait pas...

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 28 mardi 10 juillet 2018, 21:19:35

Soumise ? Lucie ? Et bien… Oui, plutôt. Les premiers signes avaient pu se voir dès mon premier post. Comment cela me diriez vous ? Et bien, rappelez vous. C’était complètement innocent, mais quand son anniversaire, son amie Jeanne avait décidée qu’il fallait qu’il soit fêté… ? Et bien, Lucie au début, elle était contre ! Mais finalement, elle avait cédé. Rien que ce petit signe montrait qu’elle  avait des… Tendances à être soumise. Alors, là, son apprentissage, étant donné qu’il était fait dans ce but, n’allait faire que renforcer ces tendances à la soumission… Pour finalement la rendre totalement soumise. Il y allait avoir de la résistance, mais plutôt une résistance intellectuelle. Elle n’allait qu’avoir que très peu de résistance… Physique disons. Bref, quoiqu’il en soit, vu les déclarations de son interlocutrice…

« Ton premier orgasme, ma chérie, c’est très bien... C’est le premier pas vers ta nouvelle vie, amour. Laisse-toi aller, laisse ton corps prendre le pas sur ton esprit, et laisse-moi gérer le reste, hmmm... »

« Mmmh… »

Non… Son esprit était plus fort… Mais elle ne pouvait rien dire, étant donné que sa bouche était entièrement prise… Mais son corps, lui, continuait de se faire occuper. Que cela soit ses seins, son anus, tout était malaxé, utilisé… Peu après qu’elle est jouie, et bien, ce fut à la fameuse femme, anonyme, de jouir à son tour. Ce fut la deuxième personne qui jouissait dans son anus… Et cela faisait beaucoup pour une fille qui n’avait jamais eu aucun contact sexuelle auparavant… On pouvait bien le dire, c’était quand même fort ! Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or n’avait aucun échappatoire. Elle pouvait tenter de résister, mais son anus et sa bouche était des endroits libres pour des phallus… Mais il y avait une différence phénoménal entre sa bouche et son anus…

« Haaaa, tu sais, je peux te violer la bouche pendant des heures sans jouir, ma belle... L’idée, tu vois, est de te rendre totalement dépendante au sexe, au sentiment d’être remplie, de sorte que, lorsque ces délicieuses queues ne seront plus en toi, hmm... Ton corps sera en manque. »

Elle… Elle ne voulait pas être réduite à ça. Des larmes coulaient sur son visage. Elle ne voulait pas devenir une esclave. Peut-être que tout ce que disait la fameuse Leona était vraie, peut-être qu’il y avait des multinationales extrêmement puissantes… Mais la fin ne justifiait pas les moyens… Est-ce que franchement cela était… Normal de faire ça ? Et bien, oui, Lucie, visiblement pour son interlocutrice, c’était normale. Mais elle ne voulait pas. Elle ne voulait pas devenir dépendante du sexe. Elle ne trouvait pas délicieuse ses queues, elle trouvait juste ça horrible, douloureux, et franchement, inacceptable… Et bien, elle ne voulait pas. Elle voulait tout sauf ça… Elle préférait encore les images… Non, elle ne préférait pas les images… Quoique ? Bref, elle ne savait plus, elle ne savait pas. 

« Hmmm... Haaaa... »

Et… Et une nouvelle qui jouissait dans son anus… Une… Encore une… C’était terrible, elle en pouvait plus… Mais si ! Une nouvelle femme remplaçait, et prenait son anus. Son anus était une porte libre pour n’importe quel fille ici équipée de phallus… Toute l’était ? Cela, notre chère Lucie n’en n’avait aucune idée, mais en tout cas, une bonne partie semblait en avoir. Mais c’était pas tout. Car il y avait aussi ses seins, ses très beaux seins qui eux aussi étaient en proie aux mains, sans arrêt malaxée, touchée… Pressé… Bref, si son anus était le centre des attentions, et bien, il fallait pas oublier les seins… Et la bouche, bien sûr, que Leona bourrait sans difficulté, et surtout, sans se décider à jouir… Et ouais, elle semblait bien capable de faire ce qu’elle avait dit, à la grande surprise de la fameuse Lucie, qui n’y croyait pas au début… Fille de peu de foi que voilà !

Mais cela continuait, encore et encore… A chaque fois, à part sa bouche, qui continuait d’être prise par la personne, que cela soit ses seins, ses fesses, ou son anus, il était remplacé constamment par des nouvelles personnes. Elle jouissait, pas si souvent, mais quand même. Son corps était de plus en plus faible, avait du mal à tenir, se sentait défaillir… Son esprit ne voulait pas l’accepter… et pourtant cela continuait ? Et depuis combien de temps ? Elle ne comptait plus. Cela continuait, et c’est tout, les femmes se succédaient pour jouir dans son anus, encore et encore, rendant le tout de plus en plus crémeux. Son anus était entièrement rempli de blanc. Son anus avait été pris dans l’un des plus gros gang bang de l’année, un sacré record que faisait exploser notre Lucie, dont l’esprit avait bien du mal à accepter ce qui arrivait ?

Mais son corps, lui, qu’est-ce qu’il faisait ? Et bien comme dit précédemment, il était quand même grandement affaibli. On sentait qu’elle n’avait quand même pas l’habitude de se faire traiter ainsi ! Mais une chose était sûre… Plus le temps passait, plus c’était facile. Pour Leona d’abord, étant donné qu’elle pouvait aller à chaque coup plus profondemment dans la gorge, comme si les bloquages tombaient un par un. Et pour l’anus… Alors n’en parlons même pas ! Là, c’était la fête du slip. Son anus était tellement élargie, elle allait plus pouvoir s’asseoir pendant au moins une bonne semaine, déjà, et secondemment… Et bien, maintenant, les queues pouvaient y passer comme dans un hall de gare ! Franchement, la fameuse Lucie était maintenant bourrée, et son corps se livrait de plus en plus, bien que l’esprit résistait encore.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 29 lundi 16 juillet 2018, 01:03:20

Et les heures passèrent. Des heures pendant lesquelles F-182 était au cœur d’un massif gang bang incluant la vaste cour de Leona Morimoto. Et la redoutable blonde était aux premières loges. Comme elle l’avait promis, sa résistance sexuelle exceptionnelle, fruit de multiples heures d’entraînement et d’améliorations génétiques appliquées sur son corps, lui permettait de tenir le rythme, de conserver sa belle fellation. Dans les faits, elle devait quand même se relâcher de temps en temps pour ramener sa queue à une taille plus modeste, avant de gonfler encore. Ce n’était toutefois pas du sperme qui sortait, mais... Mais de l’urine ! Et oui ! Un liquide jaunâtre, poisseux, qui s’enfonçait entre les lèvres de F-182, et qu’elle était forcée de boire ! Lors du premier jet, Leona ricana doucement, déplaçant ses mains des paires de fesses qu’elle caressait pour serrer les cheveux de la femme.

« À force, tu aimeras tout de ta Déesse, F-182... Tu boiras ma pisse, sale chienne, comme si c’était le plus divin des nectars !! »

Leona prenait son pied. Très clairement, la femme était une sadique, une femme qui aimait torturer les autres. Elle savourait donc pleinement ce moment, et retourna bourrer le visage de la jeune femme. Et, pendant ce temps, les autres esclaves continuaient à lui prendre le cul. Une procession sans fin, éternelle, longue, épuisante. À chaque fois que F-182 pensait en avoir assez, on la droguait, ou on pinçait fermement ses seins, allant jusqu’à utiliser des électrodes sur ses tétons pour la réveiller. Ce n’était que le début, que la première soirée.

Une orgie sans fin, tout simplement. Les heures filaient, le cul de la femme était meurtri. F-182 en avait les yeux révulsés, jusqu’à ce que, après un moment interminable, la queue de Leona ne se retire à nouveau de son visage. Les lèvres de F-182 claquèrent faiblement dans le vide, et, rapidement, on lui attacha sur le visage un harnais en cuir, avec un gode orienté à l’intérieur, un gros vibromasseur qui se planta dans sa bouche. Pour elle, el calvaire continuait, et, tandis qu’elle avait cet appareil sur ses lèvres, Leona se glissa dans le dos de la femme.

« Huhu, si tu voyais ton cul, ma salope... Plus d’une centaine de queues lui sont rentrées dedans ! Tu es trempée de partout, aussi, petite pute... »

Leona récupéra une cravache, et l’abattit alors sur le cul de F-182, la cravachant une bonne dizaine de fois sur chaque fesse.

« Salope ! Salope ! Salope ! Salope !! » hurlait-elle entre chaque coup.

Une fois la séance passée, Leona jeta la cravache sur le sol, puis s’approcha de son cul rougi... Et mit le coup final de la soirée, en retournant la pénétrer. Le sperme dégoulinait déjà du cul de la femme, et elle sourit en sentant ce liquide chaud ruisseler contre sa verge, tout en la bourrant énergiquement.

Un ultime orgasme qui marquerait la fin de la soirée... Et le début du calvaire pour la belle F-182 !


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