Sans l’infirmier, notre chère Lucie aurait pu baiser encore, et encore, et encore Jeanne, sans que cette dernière ne puisse rien faire. Elle avait l’endurance maintenant, et le pire, c’est que plus le temps passait, plus Jeanne appréciait ça. Oh que oui, elle appréciait, elle appréciait l’idée même de se faire enculer par sa meilleure amie ! Et ouais ! Il faut bien dire que c’était du à deux raisons. La première était lié à la situation même : elle était entrain de se faire baiser, la seconde, et bien… Les drogues ! Les drogues bien sûr, et ouais, notre chère Jeanne avait eu pas mal de drogue, ce qui faisait qu’elle prenait encore plus de plaisir que normalement. Ainsi, pendant que Leona faisait l’analyse, si elle put remarquer sans problème que Jeanne avait jouie, elle pu remarquer qu’elle n’avait pas été la seule à prendre du plaisir...
« Hm-hm, c’est bien ce que je pensais, il n’y a pas que de la sueur... Tu as joui, ma petite cochonne, hein ? »
Oui. Elle ne répondit pas, mais oui, elle avait jouie. Elle ne savait pas quoi, mais il y avait un… Un quelques chose qui avait rendu cela différent de tout les exercices qu’elle avait fait auparavant. Mais vraiment tous. Comme si… Comme si il y avait un petit plus, quelques choses avait rendu cette pénétration plus excitante que les autres. Elle croyait, au départ, que c’était le fait qu’elle était la pénétrante. Mais non ! Mais non, ce n’était pas ça… Et ce qui lui permit de comprendre, et bien, ce fut une action de son interlocutrice. En effet, au bout d’un moment, sa maîtresse, la déesse même, pouvait-on dire, décida de libérer alors le visage de Lucie. Une fois ceci fit, elle accorda son et lumière comme on dit :
« Oui, tu la reconnais, n’est-ce pas ? C’est Jeanne, la meilleure amie de Lucie... Et, puisque tu te refuses à abandonner Lucie, je vais être généreuse avec toi. »
Jeanne… Cela… Cela lui disait… Quelques choses… Oui… Quelques choses… Tout comme Lucie enfaite… C’était des éléments qui lui disaient tout deux quelques choses, étant donné que c’était sans doute lié à elle… Mais comment… Pourquoi ? Cela était lié à elle, mais de quelle manière ? Tant de questions qui se trottaient dans sa tête, là, maintenant, et dont elle n’avait pas les réponses malheureusement. Qui était-elle ? Elle était forcément lié à elle… Une sœur ? Une amie ? Une petite amie ? Une déesse ? Une compagnnone ? Tant de possibilités, mais encore une fois, elle n’avait aucune idée de ce que c’était. Elle n’avait pas assez de mémoire, pas assez de souvenir pour aller plus loin que… « Bon sang, ça me dit quelques choses, elle me dit quelques choses, je suis sûr qu’elle me dit quelques choses… Mais quoi ?! » Quoiqu’il en soit, la déesse reprit alors sa parole, tranquillement :
« Bon, alors, voilà... Il faut s’occuper du cul de ta petite-copine. C’est très simple, en réalité. Si tu ne le fais pas toi-même, je vais libérer dans cette cage plusieurs de tes amants, ceux qui te prennent régulièrement. Tu te souviens comment ils sont assoiffés, n’est-ce pas ? Tu imagines ce qu’ils vont faire subir à ta petite-copine ? »
« ... »
Il fallait l’enculer… Soit c’était elle… Soit c’était les amants… Soit c’était elle… Soit c’était les amants… Les amants si brutaux… Qui la prenait régulièrement… oh oui, elle pensait bien à eux. C’était toujours eux qui en profitaient, qui la prenaient avec violence et véhémence, avec brutalité et efficacité, sans aucune once de pitié… bref, soit c’étaient eux qui pouvaient profiter de cette magnifique beauté, car oui, c’est ce qu’elle était entrain de penser… Soit c’était elle… Mais oui, elle souffrirait moins si c’était elle… Son gode était moins gros que les phallus… Et même si elle n’arrivait pas à s’en souvenir, elle… Elle aimait cette fille… Donc, elle serait moins violente, mais oui, c’était sûre… C’était sûre… C’était une bonne idée…
« Allez, encule-le moi cette pute, trésor ! »
« L’enculer… Déesse… L’enculer…
-MMMMMH! »
Oh ! Ca y est, Jeanne se manifestait ! Malheureusement, pour elle, aucun espoir de se faire comprendre… Mais pourtant, comme dit précédemment, elle avait fini par aimer vraiment ce qui lui arrivait… Pourquoi ne décidait-elle pas de signer pour un autre tour ? Et bien, déjà premièrement, elle avait encore sa virginité anale, et deuxièmement… Et bien, il y avait une grande différence entre « je prends mon pied alors qu’on est entrain de me violer », et « je vais accepter de me faire violer ! » Voilà, vous avez maintenant tout compris : son viol allait arriver, il était imminent, c’était sûr et certain… Mais cela allait sans doute être avec un peu de résistance que cela arrivait… Mais ce n’était pas de la résistance qui allait arrêter Lucie !
« MMMMH ! MMMMH !!!!
-L’enculer, l’enculer, l’ENCULER ! »
Malheureusement, ses plaintes tombèrent dans l’oreille d’une sourde ! Et ouais ! Car sans hésitation, l’anus de son interlocutrice se fit prendre par le vibro ! Bon sang, ce que c’était serré ! Et ouais ! Surtout que la pénétration n’avait pas grand-chose comme lubrifiant, hein, qu’on soit clair, il n’y avait que la mouille de notre chère Jeanne qui permettait de lubrifier quelque peu cet anus qui n’avait rien d’autre sinon. Et ouais, donc, vous imaginez bien que l’anus d’une vierge, alors qu’on a jamais rien fait avec -autre que les fonctions habituels d’un anus, bien entendu vous le devinez- et qu’en plus, l’unique lubrifiant, c’est la mouille de la personne que vous violez… Cela donnait un cocktail absolument délicieux. D’ailleurs, le mot n’a jamais été aussi bien trouvé, dans cette situation, si vous voulez mon avis (décomposez le mot, et vous comprendrez ma blague de merde, ahah.)
« MMMMMMMMMMMMMMMMH !!! MMMMMH !!! Mmmh… ! Mmmmh… ! Mmmhh…. »
Alors, je les réunis en un seul, mais faut imaginez qu’il eut des pauses, et que j’ai genre élipsé quelques uns, d’accord ? Bref, merci de votre compréhension. Donc ! Le premier « MMMMH » était bien correspondant au fait qu’elle avait découvert les joies du sexe anal d’un seul coup. Doit-on dire que ce n’était pas un gros « OUI » ? Ouais, je crois que ce n’est guère utile, vous le comprenez sans soucis. Mais les autres, et bien… Plus cela passait, plus elle appréciait. Plus cela passait, plus c’était du plaisir qui surpassait la douleur de se faire enculer. Elle aimait de plus en plus cela, et commençait à prendre son pied… Alors qu’elle ne devait pas ! Mais… Mais c’était Lucie qui l’enculait, et donc c’était… Mieux… ? Mieux oui ? On pouvait supposer…