Ainsi, Syndra allait devoir se débrouiller pour retirer le reste, seule. Encore un challenge. Elle savait déjà comment elle allait s'y prendre. Avec sa main libre et surtout, ses dents. Bien évidemment, à chaque fois, elle agissait d'une telle manière qu'elle évitait de mordre les autres. Car, lorsque certaines personnes n'utilisaient que leurs dents pour une telle chose, elles pouvaient mordre. Mais la jeune femme avait un atout dans sa poche. Ses dents agissaient comme des mains à présent. A vrai dire, elle n'avait pas vraiment d'autres alternatives. Elle aurait très bien pu faire la demande pour avoir une sorte de prothèse lui permettait d'avoir enfin une main fonctionnelle. Le seul problème, c'était le coup. Elle n'avait tout simplement pas les moyens pour une telle chose. Car cela coûtait extrêmement cher. Du moins, c'était ce qu'elle avait compris lors de sa prise de renseignements.
Par conséquent, elle utilisait à la fois sa main et ses dents pour faire glisser lentement, mais sûrement, cette combinaison. Elle était relativement habile avec ses dents. Tant qu'elle avait une certaine accroche, elle pouvait se débrouiller. Si ses dents n'accrochaient pas, c'était peine perdue. Elle prenait son temps, mais elle faisait les choses bien. Si elle se précipitait, elle la mordrait, et ce n'était absolument pas le but recherché, puisqu'elle ne maîtrisait absolument pas la force de sa mâchoire lorsqu'elle mordait. Gagnant quelques petits centimètres à chaque fois, elle veillait bien entendu à faire ça de manière propre. Ce fut au bout de quelques minutes qu'elle parvint enfin à la descendre jusqu'en bas, et à lui ôter. En la jetant sans vraiment regarder où elle allait atterrir, elle faisait lentement glisser sa langue depuis son nombril, aussi lentement que possible, jusqu'à l'extrême limite de son bas-ventre. Une vraie teigne.
Et ce n'était qu'au moment où elle le jugeait le plus opportun, qu'elle passa à l'attaque. Glissant bien plus rapidement vers son entrejambe, elle venait doucement lécher son clitoris, avant de le prendre en bouche, le suçotant encore plus lentement. Comme s'il s'agissait d'une petite sucette. Syndra plaquait sa main sur le fessier de Félicia, le malaxant vigoureusement. Elle veillait à entretenir une sorte d'incohérence entre ses mouvements, l'un étant rapide, tandis que l'autre était on ne peut plus lent. Elle comptait attaquer de la sorte, pendant un certain temps, avant de passer à la seconde phase de son plan. Elle allait le découvrir par la suite, Syndra ayant tout préparé dans sa tête.