Le joyau pour une première(PV: Le joyau de Sylvandell)

Alice n'était plus là même que lors de son enlèvement, elle était sexuellement active et envieuse et ça, Algogia ne s'y attendait pas. Mais, cela ne lui deplaisait pas... que du contraire. Algogia avait soulevé Alice afin de l'embrasser et doucement, elle amena la princesse dans une toile, elle colla la princesse par son dos et directement après, la drider souleva les cuisses d'Alice pour amener sa fleur au visage de la créature.

- Tu as raison, je vais me faire pardonner...

Algogia se montra tendre et déposa quelques baisers sur les grandes lèvres avant d'y glisser sa langue sur la fente. Faisant des mouvements de haut en bas, elle suivait cette ligne d'amour, lorsque les lèvres s'écartèrent par plaisir, Algogia attaque doucement le clitoris princière. La mouille coula sur le menton de l'araignée qui s'appliqua à donner le plus de plaisir possible. Elle s'amusa même à sucer ce dernier pour surprendre sa majesté. Elle relacha les cuisses d'Alice et la reposa sur la toile délicatement, mais continua de jouer avec sa langue en remontant sur le pubis, le nombril et pour finir sur ses seins. Algogia sentit sa verge sortir de son abdomen mais elle contrôla son érection, elle avait une autre surprise pour la princesse. Après quelques instants de tendresse, Algogia reprit Alice dans ses bras avant de la remettre sur la toile mais tête à l'envers. Elle la plaça de telle sorte que le minou d'Alice soit au menton de l'araignée et la tête d'Alice se trouvait devant le couvercle chetineux qui protège le vagin d'Algogia. D'un claquement de doigts, miss Korvander tomba nez a nez à un vagin dégoulinant de cyprine.

- Alors Majesté, je reste une dame après tout.

Elle éclata de rire avant de retourner plonger sur le sexe brûlant de la princesse.

Aussi incroyable que cela puisse paraître... Les choses entre elles commençaient à s’améliorer sensiblement. Difficile de l’expliquer concrètement. Alice avait juste eu vraiment très peur au début, car elle s’était, après tout, réveillée devant une femme-araignée. Or, vu la réputation que les Driders avaient, elle avait de quoi être effrayée. Mais, passée la surprise initiale, elle avait pu se rapprocher de cette femme. On pouvait aussi donner du crédit aux amantes d’Alice, qui, à leur manière, lui avaient appris à ne plus avoir peur du sexe. Indéniablement, c’était bien ça, le sexe, qui avait permis de les rapprocher, et qui les rapprocherait encore. Maintenant qu’Alice n’avait plus peur, elle ne voyait plus forcément Algogia comme un monstre. Alors, certes, Alice n’aimait pas spécialement les araignées, mais elle n’était pas non plus arachnophobe... Même si l’idée de donner naissance à des araignées continuait quand même à l’angoisser un peu. Ce n’était pas très esthétique, après tout ! Mais, pour l’heure, le désir effaçait ses doutes et ses angoisses.

Algogia tissa une nouvelle toile, et elle posa Alice dessus, avant de se rapprocher. Sa langue fila alors à l’assaut de ses lèvres intimes, et Alice serra les poings en gémissant. Ses bras étaient étalées à droite et à gauche de sa tête, et elle se pinça les lèvres, gémissant longuement en sentant la langue de la Drider filer entre ses cuisses. La Princesse se mit à soupirer, ferma les yeux, et remua faiblement les jambes. La tâche était difficile, car la soie la bloquait, mais elle pouvait les déplacer un peu. Yeux clos, elle s’imagina la scène, elle, prisonnière de ce grand monstre arachnéen, au milieu de cette belle toile, et en ressentit une pointe d’excitation supplémentaire.

« Hmmmm... Haaaaa... !! »

Ses joues s’empourprèrent encore, et elle se dandina sur place, incapable de retenir le plaisir qui croissait en elle, s’exprimait entre ses cuisses, et se déversait dans son corps. Elle mouillait encore, longuement, mais était bien incapable de pouvoir faire quoi que ce soit dans sa position. Algogia  finit alors par soulever Alice, qui, telle une poupée de chiffon, se laissa faire, avant de se retrouver à l’envers. Elle vit alors l’abdomen d’Algogia se rapprocher, et serra ses poings... Avant de constater qu’elle avait retrouvé l’usage de ses bras, comme si la soie sur laquelle ses bras étaient n’était pas aussi collante que le reste. Devant son nez, il y avait la carapace chitineuse séparant le tronc humain du reste, et elle vit la carapace s’ouvrir, révélant une intimité luisante. Quelques gouttes tombèrent sur son nez. Alice gémit alors. Algogia avait laissé sa verge à l’air libre, bien tendue, qui partait au-dessus de son intimité, et elle continua à s’écraser contre elle.

« Gnnnnnnnnnnnn... !! »

Alice serra les poings, et caressa le corps lisse d’Algogia, son gros ventre, tout en léchant son sexe, fourrant sa langue dans son vagin, se délectant de son intimité, elle-même mouillant de plus en plus. Alice ne le réalisait pas vraiment, mais, par rapport au reste de la pièce, elle avait la tête en bas, la toile d’araignée décrivant un arc ascendant. Elle couinait donc, et ses mains se caressèrent, venant s’agripper à une paire de pattes, ses doigts gantés s’appuyant dessus, s’en servant comme d’un appui efficace pour lécher plus vigoureusement la délicieuse fente intime de sa magnifique ravisseuse...

Algogia était dans une état second, la luxure l'habitait alors que son esprit était programmé pour donner du plaisir à la princesse. Alice n'était pas en reste et rapidement, elle s'agrippa aux pattes de la drider afin de passer en force dans ma fente dégoulinante de l'araignée. Quand la langue princière fut à l'intérieur, Algogia lança sa tête en arrière en soupirant de bonheur.

- Aaaaah

Mais, elle se rattrapa aux cuisses de la princesse pour plonger son appendice buccale dans l'antre intime de la blonde. L'araignée se dechaina avec sa langue, ne voulant pas laisser le moindre répit à la princesse. Algogia avait encore faim mais doucement, elle pouvait sentir que ses toiles vibraient, quelqu'un approchait de son antre.

Prisonnière de la délicieuse Drider, Alice était piégée dans sa toile. Elle se laissait porter par elle, laissait la Drider lui faire un bien fou, tout en se tortillant sur place, gémissant et couinant, soupirant longuement, le visage s’emplissant de la mouille de la femme. Plus aucune résistance en elle, plus aucune velléité guerrière, elle était comblée par elle. Après leur rencontre tumultueuse, c’était un grand plaisir de faire l’amour avec Algogia, en sachant qu’elle ne lui ferait aucun mal, et que tout irait bien entre elles. Et puis, Alice considérait maintenant avec sérieux l’hypothèse de l’amener à Sylvandell. Ce qu’elle avait dit était vrai ; la Couronne était en train de rouvrir les mines, mais ces dernières étaient infestées de monstres. C’était d’ailleurs l’une des principales raisons ayant amené, dans le passé, à les fermer. Mais, avec une Drider dans les mines...

Alice songeait à tout cela quand des bruits de pas se firent entendre. La jeune Princesse tomba brusquement au sol, en sentant Algogia pivoter sur place.

*Que... ?!*

Perturbée, elle vit, entre les pattes de la Drider, une paire de jambes. Une femme se tenait à l’entrée de la grotte, pointant une arbalète à répétition vers la Drider.

« Toi... J’ignore si tu me comprends, mais tu as intérêt à vite me rendre la Princesse, ou je t’éclate sur place ! »

Impossible de ne pas reconnaître cette voix ! Alice cligna des yeux, en constatant que Cirillia venait d’arriver sur place.

« N-Non... Ci-Ciri’, attends, ce n’est pas ce que tu crois ! »

Alice apparut à côté d’Algogia, nue, les joues rougies. Cirlklia lui accorda à peine un regard, ciblant la Drider.

« Libère la Princesse, ma chérie ! Je vais te faire regretter de m’avoir ridiculisé comme ça ! »

Aïe ! Cirillia restait fidèle à elle-même...

Alors que Algogia commençait à s'échauffer mais une invitée surprise arriva comme un cheveux sur la soupe et se montra très agressive. Mince, la gardienne de la princesse, Algogia prise dans son ébat sexuel avec Alice n'avait même pas remarqué que Cirilia était entrée. Elle demanda de libérer la princesse rapidement, enfin si Algogia comprenait.

- Aah, la gardienne... Enchantée de te connaitre éveillée...

Même l'intervention de la princesse ne fit rien, la gardienne était toujours belligérante envers la drider, Alice se plaça à coté d'Algogia, cette dernière s'était mise en position de défense afin de préparer une attaque.

- Essaie pour voir ma belle rousse... Je vais te montrer ce qu'une drider à dans le ventre...

Cela ne ressemblait pas à l'araignée, mais Alice portait sa progéniture et son instinct animal avait repris le dessus vis-à-vis de la nouvelle arrivante.

Cirillia était une véritable tête brûlée, qui avait suivi la formation des sorceleurs, et qui menait une vie de vagabonde. Elle traquait surtout un dragon noir, responsable du massacre de ses parents et de son village natal, mais, comme Algogia, Ciri’ s’était attachée à la Princesse. Elle était son amante, mais aussi une garde du corps régulière, ce qui lui permettait d’avoir de l’argent pour entretenir ses armes, mais aussi des contrats assez intéressants. Sylvandell se trouvait dans une région montagneuse, entourée de provinces dangereuses et où la présence impériale était assez faible. Régulièrement, les provinces locales demandaient donc de l’aide aux Sylvandins pour chasser tel ou tel monstre, des quêtes qui rentraient tout à fait dans les prérogatives de Cirillia. Elle n’avait donc qu’intérêt à suivre Alice... Mais là, face à cette redoutable Drider, Ciri’ voyait juste ce que n’importe qui verrait de prime abord : un monstre qui avait capturé une femme. Et puis, surtout, Algogia avait volé Alice en piégeant Cirillia, la traitant comme une amatrice.

Entre les deux femmes, il y avait des étincelles. Ciri’ avait pointé sa lame vers l’avant, sûrement en l’enduisant d’un baume spécial, et Algogia avait plié les pattes, prête à bondir. Alice réagit au quart de tour, et se mit brusquement entre les deux, tendant une main vers Ciri’, et l’autre sur l’abdomen d’Algogia. Ciri’, surprise, écarquilla les yeux.

« M-Mais... Pousse-toi !
 -  Pour que vous vous entretuiez comme deux idiotes ? Il n’en est pas question !
 -  Elle t’a capturé ! Crois-moi, j’ai vu assez de nids de Driders dans ma vie pour savoir ce qui t’attend...
 -  Tu te trompes ! »

Cirillia resta silencieuse pendant quelques secondes, visiblement confuse.

« Bon, c’est vrai, elle m’a capturé, mais... Enfin, je ne lui en veux pas ! Et je n’ai pas été empoisonnée !
 -  Hein ? Mais...
 -  Elle n’est pas comme les autres Driders que tu as rencontré, Ciri’. Enfin... Elle ne veut pas me manger, mais... »

Alice rougit en posant sa main sur son ventre, geste qui n’échappa nullement à Cirillia. La sorceleuse écarquilla les yeux sous l’effet de la surprise.

« Quoi ? Ne me dis pas que... ! »

Inutile d’insister, le rougissement d’Alice était une réponse à part entière. La jeune Princesse releva finalement le visage, l’air déterminé et résolu.

« Oui ! Algogia ne me veut aucun mal ! Alors, dépose cette épée ! »

Cirillia fronça encore les sourcils, peu convaincue...

Algogia et Ciri se fixèrent comme deux lions, deux lionnes. Aucunes des deux ne voulaient pas laisser la princesse a l'autre. Alice tenta rapidement de se placer en séparatrice mais les femelles un chouïa énervées l'ecoutèrent a moitié.

- Quoi tu es jalouse que je t'ai pas capturé avec la princesse...

Mais rien à faire l'écart entre les deux diminuait et Alice tenta encore de les raisonner. Mais Alice trouva les mots qui rappela Ciri à la raison. Alors qu'elle fixa le ventre de la princesse Algogia baissa les bras avant de soupirer.

- Je sais que ça peut être difficile à comprendre... Mais je ne ferais jamaos de mal à une humaine et encore moins à Alice...

Algogia voulu se montrer de bonne foi et tendit la main vers Ciri dépitée.

- Je suis désolée de la méthode mais je n'avais pas trop le choix.

Alice sentait clairement la tension entre ces deux furies. Deux dominatrices, après tout, et qui n’avaient visiblement pas un talent inné pour la diplomatie. Algogia était une Drider redoutable qui, tout en appréciant Alice,n avait sûrement déjà dû tuer. Quant à Ciri’... Eh bien, elle était versée à l’art des sorceleurs, et, même si elle ne portait pas le médaillon de ces derniers, elle avait tué son lot de monstres, et avait donc tendance à se méfier instinctivement des Driders. Surtout, Ciri’ voyait d’un mauvais œil le fait que cette Drider ait engrossé Alice. Dans ce genre de cas, Ciri’ tuait rapidement la femme piégée, car, quand l’œuf arrivait à maturation, l’araignée sortait directement de ce dernier, et déchiquetait les entrailles de la porteuse. Une façon horrible et glauque de venir au monde, en réalité... Et sûrement de mourir.

Ciri’ n’était donc guère encline à faire confiance à cette puissante Drider, qui se rapprocha lentement, et tenta de calmer le jeu. Alice était nerveuse, redoutant des effusions de sang.

« Ciri’, je t’en prie...
  - Elle t’a engrossé ? » demanda brusquement Cirillia.

La Princesse regarda la femme, et haussa les épaules.

« Abaisse ton arme !
 -  Est-ce qu’elle t’a engrossé ?!
 -  Oui, mais... Je suis consentante !
 -  Tu as oublié comment les œufs des Driders éclosent ? »

Alice secoua la tête.

« Ça n’a rien à voir ! Tous les Driders ne sont pas pareils, tu le sais très bien ! »

Cirillia fronça les sourcils, et commença à abaisser sa lame, la plantant dans le sol, consciente qu’un comportement agressif ne ferait qu’envenimer la situation. Elle observa ensuite Algogia, et laissa passer plusieurs secondes, réfléchissant à ce qu’il fallait dire. Elle étudiait le nombre de pattes, l’absence de poils, la capacité de réflexion de la Drider, l’apparence du nid, pour arriver à la conviction que celle-ci ne pondait pas de manière agressive.

Elle enchaîna donc :

« Qui es-tu, Drider ? D’où viens-tu ? Que cherches-tu à faire ? Tu as conscience que tu as capturé une Princesse, n’est-ce pas ? »

Ciri accueillait la nouvelle de façon catastrophique, parlant même de la façon de naître des driders, enfin pour avoir pris le temps de se renseigner, Algogia connaissait que trop bien la façon de se reproduire de ses cousines. Algogia écoutait attentivement la blonde et la rousse. Après un coloc, Ciri posa son arme et analysa Algogia.

- Quoi? Ma tête te reviens pas?

Mais Ciri n'en n'avait que faire et demanda qui était la créature.

- Gardienne, je me nomme Algogia et je pense qu'au vu de mes attributs physiques, tu as remarqué que je ne suis pas une simple drider. Je suis née de la magie, en fait, j'ai été créée par un humain qui m'a tout appris.

S'approchant de Ciri, Algogia se sentait désireuse d'aller explorer le corps de la Sorceleuse. Mais, elles n'étaient pas en très bon terme pour le moment.

- Je n'ai jamais eu l'intention de faire du mal à Alice, c'est juste que je suis seule et je veux m'entourer d'une famille. Elle sera libre après la naissance de ou des petits. Et je te promets sur ma vie, que rien ne lui arrivera lors de la naissance.

Que Ciri’ ait déposé sa lame était, en soi, une grande victoire. C’était la preuve qu’elle envisageait de discuter, ce qui n’était pas si mal, vu le contexte. La Princesse était toujours inquiète, bien entendu. Mais, si elle arrivait à convaincre Cirillia, elle arriverait aussi à convaincre les gardiens. Était-ce qu’Alice avait pris en pitié Algogia ? Peut-être... Ou peut-être était-il plus juste de dire qu’elle avait vu en elle autre chose qu’un monstre, même si Algogia l’avait capturé, et s’était donc, d’elle-même, mise en position de difficulté. Alice ne pouvait néanmoins nier que l’idée de donner naissance à une créature arachnéenne à six ou huit pattes provoquait en elle des bouffées d’angoisse. Elle préférait se dire qu’elle pondrait un œuf, et qu’elle laisserait le reste à Algogia... Tout simplement. Mais, pour l’heure, il fallait surtout gérer le cas Cirillia.

Algogia expliqua donc ne vouloir aucun mal à Alice. Un léger moment de flottement accueillit les dernières remarques de la Drider. Alice en profita alors pour intervenir :

« C’est vrai qu’elle m’a effrayé au début, mais... Elle n’est pas comme les autres Driders que tu as pu croiser, Cirillia. Algogia ne me veut aucun mal, et... Pour ne rien te cacher, je lui ai même proposé de venir à Sylvandell. »

Intriguée, Ciri’ regarda Alice, qui enchaîna donc :

« Tu te rappelles quand nous avons voulu rouvrir les mines ? On t’a envoyé dans les grottes pour voir ce qu’il en était, et tu nous as dit que les mines étaient remplies de goules, et de putréfacteurs... Algogia serait parfaite pour les chasser ! »

Cirillia ne put que soupirer.

« Tu essaies de m’avoir par les sentiments ?
 -  Pas du tout, je te dis juste qu’Algogia est sous ma protection !
 -  Mais c’est n’importe quoi, elle t’a capturé !
 -  Elle n’est pas la première à m’avoir fait quelque chose contre mon consentement initial ! »

Là, pour le coup, Cirillia ne sut pas quoi répondre, et se contenta de fixer silencieusement la jeune tête blonde pendant quelques secondes. Elle venait de marquer un coup, en effet. Jadis, quand Alice avait connu Cirillia, cette dernière lui avait fait découvrir le sexe en la forçant. On en voyait maintenant le résultat ! Mais l’argument d’Alice était, en tout état de cause, des plus pertinents. Que dire contre cela ? Ciri’ se pinça les lèvres, et secoua la tête.

« Je ne veux même pas imaginer ce que vous faisiez avant que je débarque... Ou ce que vous allez faire après. Tu es vraiment sûre, Alice ?
 -  Oui ! »

Alors, Cirillia hocha la tête, sans trouver rien de plus à dire.

« Je crois qu’il ne me reste plus qu’à monter la garde dehors... »

Oui... Sauf si Algogia avait d’autres plans pour elle. Après tout, Ciri’ ne l’avait pas observé uniquement pour déterminer sa race, mais aussi pour apprécier ses voluptueuses formes...

Algogia écoutait avec ferveur les propos de la noble, Alice défendait bec et ongles la drider des représailles de la gardienne qui se demandait réellement ce qu'il se tramait dans sa tête. Mais après une dizaine de minutes, la rousse tourna talon pour ne plus rien voir entre l'humaine et la drider. Algogia sentit une occasion lui passer sous le nez de féconder une deuxième femelle.

- Attends, gardienne, pas besoin de garde à ma porte, mon réseaux de toile fera office de garde. Reste parmi nous ma belle rousse.

Algogia s'approcha de plus belle de Ciri' et elle se permit même de placer ses deux mains sur les épaules de la femme. Elle la retient mais légèrement, pas de geste brusque, et elle la fit pivoter sur elle même.

- J'aimerais bien te connaitre aussi bien que tu me connais, surtout au vue de tes yeux sur ma poitrine. Alors jolie gardienne, qui es tu et d'où viens Tu?

Quand Algogia se rapprocha de Ciri’, Alice frémit... Et se pinça les lèvres, légèrement blême, quand la femme posa ses mains sur les épaules de la sorceleuse. Cette dernière se dégagea brusquement, la main sur la garde de son épée, prête à attaquer... Avant que la Drider ne parle de sa « poitrine », et ne demande à faire plus amplement connaissance. Silencieuse, Alice savait ce qu’Algogia voulait vraiment, et Ciri’ n’était sûrement pas dupe, elle non plus. Elle observa Algogia sans rien dire pendant plusieurs secondes, et relâcha les doigts de son épée.

« Je suis Cirillia... D’où je viens, ça ne te regarde pas. »

Elle ne comptait pas dire à n’importe qui qu’elle avait perdu sa ville natale suite à l’attaque d’un dragon noir, qui avait tué son père. Depuis lors, Ciri’ cherchait à se venger activement de ce dragon. Elle n’avait pas perdu le reste de sa famille, mais, suite à ça, sa mère avait dû se prostituer, et son frère était finalement devenu forgeron. Elle, Ciri’, avait ensuite été formée par une sorceleuse, Amalia Joever.

« Je suis une ancienne sorceleuse, et je passe ma vie à traquer un certain dragon pour l’occire... Et le reste à veiller sur le petit cul de la blonde, là, et à tenter, très vainement, de lui apprendre à se battre. Visiblement, la Princesse préfère passer son temps à forniquer qu’apprendre le maniement de la lame. »

Aussi incroyable que cela puisse paraître, compte tenu des circonstances, Alice rougit, gênée, et baissa la tête. Effectivement, elle n’aimait pas les entraînements à l’épée, mais ses échecs étaient toujours un bon prétexte pour que Cirillia la brutalise sexuellement.

« Je suppose que tu as dû remarquer qu’Alice aimait le sexe fort... Elle aime les femmes fortes et qui ont du caractère, ça l’inspire, elle qui a un tempérament si doux... Mais je l’aime bien comme ça. »

Elle croisa ensuite les bras, avant de faire d’ultimes précisions :
 
« Je ne suis pas idiote, je sais dans quoi je vous ai interrompu, je sais ce que tu attends... Mais je suis moins docile que notre amie princière. »

Mieux valait, en effet, le préciser, vu comment les choses évoluaient !

Ciri était une femme plus forte mentalement et physiquement que la princesse, baroudeuse et Sorceleuse, la rousse présentait un fort potentiel pour la naissance d'une puissante drider. Encore fallait il qu'elle se laisse convaincre de laisser Algogia la féconder. Ça, c'était une autre histoire.
Cirillia se présenta sèchement et pour réponse, la drider fit une petite révérence de bienvenu mais sans dire un mot, elle continua après un petit moment de blanc en racontant son passé et son présent avec Alice.

- Ancienne, le temps ne semble pas avoir d'emprise sur toi, belle aux cheveux de feu. Et ne pense pas que Alice s'est livrée immédiatement, j'ai dû... négocier... assez longtemps même.

Pour réponse, Ciri décrivait Alice comme une femme qui aimait le sexe violent, ce qui tranchait avec son côté doux. Algogia se tourna vers Alice avec un petit sourire coquin car elle avait déjà eut la démonstration. Et pour finir, la Sorceleuse fit remarquer que la démarche de la drider était connue.

- Allons allons, ma belle, on ne peut pas dire que l'on aime pas avant d'avoir goûté. Je ne suis pas méchante et de plus, vous recherchez des guerrières pour vos mines... Quoi de mieux que des driders pour faire place nette dans les dédales souterrain?

Algogia s'approcha doucement d'Alice, la prit dans les hanches et la serra contre elle.

- Regarde, elle n'a pas l'air de s'en plaindre...

« Oui, bah, vous pourriez quand même vous montrer plus respectueuses, je suis une Princesse, quand même ! » s’exclama Alice en croisant les bras, prenant une mine boudeuse, les joues toutes rouges.

Difficile, toutefois, de faire preuve de respect, quand, comme Cirillia, on venait de surprendre la glorieuse Princesse en train de se faire bourrer par la puissante Drider, et en sentant toute cette odeur de stupre et de sexe. Alice frissonna ensuite quand Alogiga retourna près d’elle, essayant de convaincre Cirillia  de faire l’impensable. Incroyable retournement de situation, quand on savait que, il y a à peine quelques minutes, Ciri’ était prête à en découdre, l’épée à la main ! Algogia, du reste, ne manquait vraiment pas de sang-froid. Cirillia ne savait tout simplement plus quoi dire.

« Non, mais je rêve...
 -  Le choix t’appartient, Ciri’, mais je ne voudrais surtout pas que tu fasses un malentendu...
 -  Oh non, tout est clair, maintenant ! »

La sorceleuse soupira encore, et pencha la tête sur le côté. Accoucher d’un Drider ne la tentait vraiment pas ! Alice avait visiblement une approche différente, mais la belle tête blonde n’était pas dénuée d’idées pour motiver Ciri’. Se retournant vers Algogia, elle se hissa sur la pointe des pieds, et lui murmura l’une de ces petites idées dont elle avait le secret dans le creux de l’oreille :

« Tu devrais l’entoiler, et me faire l’amour sous son nez, ça la fera craquer, je la connais ! »

C’était même une technique infaillible !

Algogia reçu l'idée du siècle pour Ciri, lui donner un spectacle digne de ce nom. Algogia réfléchit un instant afin de capturer sans problème la gardienne. Elle roula des yeux afin de voir toutes les possibilités qui s'offrent à elle. Elle tomba sur une petite crevasse au plafond et elle trouva l'idée, certe enfantine, bonne. Elle pointa du doigt le trou et Cirillia regarda au dessus d'elle. C'était bien l'idée de base car à sa gauche, il y avait encore la toile de la princesse et elle collait encore parfaitement. Profitant de l'inattention de la Sorceleuse, Algogia poussa très fort la rousse sur la toile et pour vraiment la coller, elle tissa des liens plus fort sur les mains et les pieds. Une fois fait, Ciri hurlait de colère alors que Algogia riait de bon coeur. S'approchant d'elle avec un sourire pervers.

- Tu vois, toi aussi je t'ai capturée. Maintenant, tu restes tranquille pendant que la princesse et moi allons jouer. Alors, profites du spectacle...

Algogia se retourna vers la princesse et elle était replacée à côté d'elle. Lui prenant la main, elle accompagna Alice au lit.

- Vous verrez princesse, j'aurais son consentement aussi. Et maintenant, reprenons là où on avait terminé.

Algogia poussa Alice sur le dos et elle plongea rapidement sur l'antre intime de la blonde. Jouant immédiatement avec son clitoris pour la faire mouiller le plus fort possible.